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(musique) - Bonjour. Ici Greg Bonnell.
Bienvenue à Parlons Argent en direct, une émission de Placements directs TD. Nos invités commentent l'actualité des marchés et répondent à vos questions sur les placements.
Dans l'émission d'aujourd'hui, la demande de voyage est revenue à ce niveau d'avant la pandémie.
Mais cette vigueur se reflète-t-elle dans les actions des compagnies aériennes?
David Mau, gestionnaire de portefeuille à Gestion de Placements TD, commentent.
Anthony Okolie examine rapport de Services économiques TD sur la santé de l'industrie canadienne du tourisme.
Nous poursuivons la découverte de CourtierWeb. Caitlin Cormier nous explique comment avoir accès aux marchés internationaux.
Posez-nous vos questions par courriel à moneytalklive@td.com ou dans la boîte de questions au bas de votre écran.
Mais d'abord, un coup d'œil sur les marchés.
Après la longue fin de semaine, l'indice TSX est en recul de 116 points, soit un peu plus de 0,5 %.
Parmi les titres les plus actifs, Baytex Energy. Le cours du pétrole brut recul avec des statistiques décevantes sur les exportations chinoises et la consommation de produits énergiques au pays. Baytex recule donc de presque 2 %.
Shopify prolonge une longue tendance à la baisse après l'annonce de ses résultats trimestriels.
À 75,23 $ l'action, elle recul de près de 3 %.
Aux États-Unis, l'indice S&P 500 des marchés instantanés américains, après une journée intéressante aujourd'hui - hier plutôt, puisque hier n'était pas férié - l'indice recul de 50 points.
, Soit un peu plus de 1 %. Les banques régionales États-Unis sont sous le feu des projecteurs.
L'agence Moody's
rétrograde une de ces banques après les inquiétudes du printemps. Les intérêts plus élevés nuisent à leurs actifs à revenu fixe, qui entraîne une fuite de dépôt. Ceci plombe les marchés. L'indice Nasdaq spécialisé dans la technologie recul 275 points, soit un peu plus de 1,5 %.
Même si la rétrogradation ne concerne que quelques banques régionales de petite envergure aux États-Unis, les grandes banques sont touchées aussi. Bank of America à 30,86 $, recule de plus de 3 %.
Une saison estivale chargée en voyage a vu la demande de vols revenir au niveau d'avant la pandémie. Mais cette croissance reflète dans les actions des compagnies aériennes? David Mau, gestionnaire de portefeuille à Gestion de Placements TD, commentent.
- Bonjour, Greg.
- Il ne faut pas aller loin quand on ouvre un journal ou qu'on consulte le net pour savoir que la demande. Je porte bien. Les gens veulent se déplacer. Nous avons renoué avec les niveaux d'avant la pandémie.
Qu'arrive-t-il aux actions?
- Vous avez raison, la demande de voyage est au rendez-vous, à renouer avec les niveaux d'avant 2020, mais la croissance des revenus prévus pour 2023 sera supérieure à celle de 2019.
Mais comme vous l'avez dit, les actions des compagnies aériennes sont cotées largement en deçà de leur niveau de 2019.
Le cours des actions de compagnies aériennes sont essentiellement inférieurs de 30 à 50 % à ce qu'ils étaient en 2019.
Il y a certaines raisons à cela, mais la principale, c'est que les dépenses ont beaucoup augmenté.
Cela signifie que la rentabilité de ces compagnies aériennes abaissait.
Même si le chiffre d'affaires est plus élevé, les bénéfices sont plus bas. Le coût du carburant a augmenté, le coût de la main-d'œuvre aussi.
Dans cette conjoncture inflationniste, les frais d'exploitations généraux sont beaucoup plus élevés qu'ils de l'été il y a quatre ans, en 2019. Et cela se reflète sur le cours des actions.
Il y a un autre facteur dont les marchés tiennent compte, c'est la récession annoncée depuis deux ans, qui ne s'est pas encore vraiment concrétisée, mais qui plombe également le cours des actions.
- J'imagine que l'inquiétude face à une récession, il y a longtemps qu'on en parle.
On l'attend encore, on espère peut-être qu'elle n'arrivera jamais au qu'il y aura un atterrissage en douceur. Mais si une récession se déclare, et surviendrait au moment même où les compagnies aériennes renouent avec la croissance.
Oui, ce serait une autre raison pour les gens pour ne pas voyager. Rappelez-vous qu'en 2020–2021, même au début 2022, c'était une époque difficile pour les compagnies aériennes.
Elles ont perdu des milliards de dollars et non pas encore refaits ses pertes. Cela reflète également le cours des actions.
- Quant aux destinations de voyage, il y a une différence entre les voyages intérieurs et les voyages à l'étranger.
Lequel gagne?
- À l'heure actuelle, les voyages à l'étranger offre des perspectives beaucoup plus prometteuses.
Rappelez-vous 2022, l'an dernier, c'était la première année complète pendant laquelle il était possible de voyager. La plupart des déplacements étaient intérieurs. C'était c'était des voyages à l'intérieur du pays de chacun. Mais les voyages à l'étranger étaient entravés par de nombreuses restrictions liées à la COVID qui avaient été mis en œuvre par un certain nombre de pays.
Il fallait porter un masque à l'aéroport, à bord de l'avion. Il y avait des quarantaines, des exigences de vaccination.
Tous ces éléments ont entravé l'essor des déplacements à l'étranger, la plupart de ces restrictions ont été abrogées au milieu de l'année dernière.
À l'heure actuelle, beaucoup de gens ayant accompli le voyage à l'autre bout du pays pour visiter grand-maman vont se payer le voyage en Asie ou des vacances au soleil qu'elle avait dû reporter.
Ce qui est reflété dans les chiffres des déplacements, ce que la demande voyage intérieur commence à diminuer beaucoup.
Les résultats du deuxième trimestre, pour la plupart des grandes compagnies aériennes américaines, les compagnies régionales, Southwest , etc.
, ont obtenu de bons résultats au deuxième trimestre qui dépasse les attentes, mais leurs annonces pour le troisième trimestre et au-delà, sont beaucoup moins prometteuses qu'on ne l'avait supposé.
Ceci peut prometteuses, en fait, que la plupart des transporteurs intérieurs vont devoir réduire le prix des billets après la saison des voyages estivales. C'est très différent de ce qui se passe pour les compagnies internationales.
American Airlines, Delta, United, qui ont d'excellentes perspectives pour le troisième trimestre. D'excellentes réservations jusqu'à la fin de l'année sur les liaisons internationales.
Les transporteurs internationaux ont relevé leur pronostic de bénéfices pour le reste de l'année alors que le transporteur intérieur l'ont baissé.
- C'est compréhensible. Les gens qui ont dû prendre des vacances dans leur pays veulent maintenant aller à l'étranger.
Que dire des déplacements d'affaires, qui sont très lucratifs pour les entreprises compte tenu des prix des biens affaires?
- Il y a eu une certaine reprise, mais comparativement au niveau de 2019, nous sommes encore en deçà de 15 à 20 % des niveaux de 2019. Les entreprises sont plus grandes face à la perspective de récession. Ils ne veulent pas claquer le budget de déplacement pour l'année et elles cherche à faire preuve de retenue.
Même si à une relance déplacements d'affaires, nous ne sommes pas encore au niveau d'il y a quelques années.
- On a parler des hausses de coûts les compagnies aériennes. L'une des hausses les plus importantes, c'est le coût du carburant.
Le cours du pétrole est plus bas qu'il ne l'était l'an dernier.
- Les cours du carburant cette année sont un facteur favorable.
Lorsque le pétrole avait atteint 120 $ par rapport à ce qu'il est aujourd'hui, environ 80, c'est un facteur très favorable.
Mais quand on compare à 2019, le pétrole coûtait 60 $ le baril.
Alors à 80 $ aujourd'hui, le coût du carburant est toujours supérieur d'un tiers.
Depuis 12 mois, le coût du carburant effectivement baissé, ce qui est favorable, mais d'autres catégories de dépenses augmentent, en revanche.
La plus importante, c'est celle de la main-d'œuvre. Le coût de la main-d'œuvre.
De fait, quand on considère la répartition des coûts d'exploitation des compagnies aériennes, le carburant représente 25 à 30 % et le personnel, 25 voire davantage.
Quand ces deux éléments sont plus élevés qu'ils ne l'étaient l'été il y a quelques années, cela a un impact sur la rentabilité. Voilà les problèmes à court terme et à moyen terme.
Que se passe au niveau du long terme?
- Je crois que les compagnies aériennes en situation assez favorable, mais elles doivent maîtriser leurs coûts.
Le coût de la main-d'œuvre, comme je l'ai dit, est très important et la tendance est à la hausse.
Cette tendance ne semble pas appelée à prendre fin.
Il y a quelques semaines, United a conclu un accord avec ses pilotes, dont le traitement a été relevé de 40 % d'ici quatre ans.
American Airlines, peu de temps après, a conclu une entente semblable.
En effet, il s'agit d'éviter une grève des pilotes qui paralyseraient le réseau.
Ces coûts sont permanents.
Il s'agit de voir dans quelle mesure les compagnies aériennes peuvent les compenser en relevant le prix des billets et quelle sera la capacité de riposte des syndicats, car il y a des syndicats des aiguilleurs de l'air, du personnel navigant, ainsi de suite.
- Excellent début d'émission! David Mau répond à vos questions sur les actions industrielles, compagnies aériennes, chemin de fer, automobile.
Vous pouvez me les poser en tout temps par courriel à moneytalklive@td.com ou dans la boîte de questions au bas de votre écran.
À présent, l'actualité du monde des affaires et un coup d'œil sur les marchés.
Grâce aux fortes ventes de Tim Hortons, la société mère Restaurant Brands International a enregistré des résultats supérieurs. Un indicateur clé de l'activité commerciale a augmenté de plus de 12 % au cours du trimestre j'ai Tim Hortons. Ces offres de café et de sandwiches pour le petit déjeuner sont très demandés.
Restaurant Brands compte également Burger King parmi ces enseignes, dont les ventes ont augmenté de plus de 8 % aux États-Unis.
Les actions du géant mondial du transport UPS sont sous les feux de la rampe aujourd'hui.
UPS revoit à la baisse ses prévisions pour l'année en raison d'une baisse de la demande et d'une hausse des coûts. Le secteur a dû faire face à un ralentissement des volumes de colis à la suite de la pandémie. De plus, UPS prévoit des coûts plus élevés en raison de nouveaux contrats négociés avec ses travailleurs.
L'action est aujourd'hui inchangée, essentiellement.
Eli Lilly revoit à la hausse ses prévisions de bénéfices grâce au vente importante de son nouveau médicament contre le diabète. La société a dépassé les estimations des analystes au cours du dernier trimestre à la demande croissante de ce médicament, qui est également efficace pour aider les personnes atteintes du diabète de type deux à perdre du poids. L'action bondit de 16 %.
À présent, coup d'œil sur les marchés.
L'indice TSX composite, à l'issue de la longue fin de semaine, est en baisse de 122 points, un peu plus de 0,5 %.
Aux États-Unis, la journée a été profitable. J'y ai jeté un coup d'œil, quoiqu'il se fut agi d'un jour de congé.
Aujourd'hui, l'indice recul de 44 points, soit presque 1 %.
David Mau répondent à vos questions sur les titres du secteur industriel.
Pouvez-vous nous expliquer comment fonctionne carburant durable et ce que cela signifie pour l'industrie aéronautique?
- Voilà une excellente question.
L'industrie aéronautique, comme toutes les industries, examine son empreinte carbone et envisage des moyens de réduire les retombées de son activité sur l'environnement.
L'aviation représente 2,5 % des émissions mondiales. Ce n'est pas un chiffre énorme, mais c'est toujours considérable il s'agit de le réduire. Qu'est-ce que le carburant d'aviation durable? Comme son nom l'indique, il s'agit d'une source durable et renouvelable de carburant pour l'industrie aéronautique qui permet à cette dernière de réduire son empreinte carbone.
Il y a quelques années, tandis que les préoccupations environnementales passaient au premier plan, on s'est demandé s'il était possible de doter les avions de batterie, comme des voitures.
On s'est rendu compte rapidement que ce n'était pas réalisable pour des avions long-courriers.
Les batteries devraient être trop grosses et trop lourdes.
L'industrie à envisager d'autres sources potentielles de réduction de carbone et le carburant d'aviation durable a été inventé.
Qu'est-ce que c'est?
Il s'agit de carburant élaboré à partir d'huile de cuisson, de rebuts, de déchets alimentaires, de rebuts végétaux ou d'autres végétaux on en alimentaires qui sont transforméspour créer un carburant utilisable par les compagnies aériennes.
Il y a plusieurs arguments en faveur du carburant d'aviation durable.
Ce que les avions existants peuvent consommer sans aucune modification à la motorisation ni à l'appareil. Toute l'infrastructure actuelle - les cuves de stockage, les moyens de transport existant du carburant d'aviation - peuvent être utilisé pour le carburant durable.
Il y a un ou deux facteurs négatifs à l'heure actuelle: C'est le coût, tout d'abord. Le carburant d'aviation durable coûte deux à cinq fois plus chères que le carburant d'aviation à l'heure actuelle.
Il est difficile pour une compagnie aérienne d'adopter intégralement le carburant d'aviation durable en quintuplant le coût de cette fourniture.
Deuxième élément: Le carburant d'aviation durable n'a que deux fournisseurs au monde à l'heure actuelle, donc l'offre est plus limitée.
Il y a beaucoup de facteurs positifs, un ou deux facteurs très négatifs, mais je pense que ce sera un secteur qui est appelé à un grand essor au fil du temps.
Il y a des encouragements gouvernementaux, la loi américaine de nos entreprises des encouragements pour étudier davantage le carburant d'aviation durable.
- Un secteur à suivre!
Une autre question intéressante. Je vois qu'un groupe de grands constructeurs automobiles s'associe pour construire un réseau de recharge.
Est-ce une menace pour tesla?
- oui, il y a une concurrence.
Certains des grands constructions se sont joints au réseau de recherche de Tesla, mais la semaine dernière où il y a 15 jours, 700 constructeurs automobiles, y compris General Motors, BMW, Mercedes, Honda et quelques autres, ont annoncé qu'ils vont mettre en place un réseau de recharge en Amérique du Nord consistant en 30 000 points de chargement.
C'est un réseau d'envergure. À l'heure actuelle, tesla dispose d'environ 45 000 bornes de chargement dans le monde entier, mais plus de la moitié étend en Amérique du Nord.
Mettons 20 000 bornes environ en Amérique du Nord.
Ce groupe de sept constructeurs proposent une cible de 30 000.
Cela va rivaliser avec le réseau de Tesla.
Ces constructeurs espèrent que cela va leur permettre de vendre davantage de voitures et de rattraper Tesla.
Il faudra reste dans l'attente, car ces charges ne seront installées que d'ici deux à trois ans sans doute. Mais quant à la menace pour Tesla, cette annonce et ce nouveau réseau vaut certainement aviver la concurrence entre Tesla et les autres constructeurs.
- Cela m'a rappelé la transition entre les sens avec plomb et laissant son plomb. Il fallait aller à la station-service pour sélectionner entre la pompe d'essence avec ou sans plomb ou diesel.
Nous ne savons pas encore… à l'heure actuelle, Tesla 2000, les bandes Tesla ne sont pas compatibles avec les voitures de la plupart des autres constructeurs. Le groupe de cette constructeur qui a fait cette annonce à semaine dernière va créer un réseau compatible avec les véhicules des sept autres constructeurs.
Il semble que Tesla ne sera pas inclus dans le réseau, mais c'est ce que nous avons pour l'instant.
- Une question sur les véhicules électriques. Compte tenu de la récente faillite de Lordstown, quel est l'environnement dans lequel évoluent les petits acteurs de véhicules électriques?
- Oui, Lordstown, pour ceux qui n'étaient pas au courant, était un constructeur de véhicules électriques, une jeune pousse américaine, laquelle a été créée vers 2018 et a déposé son bilan à la fin du mois de juin.
Pourquoi? Parce que la compagnie avait surestimé sa capacité de contre des voitures, de concrétiser ses véhicules et de générer les ventes indispensables pour assurer la continuité de l'entreprise.
La compagnie a manqué de trésorerie et a dû déposer son bilan. Les deux autres compagnies dont vous avez parlé, Rivian et Lucid, sont également deux jeunes pousses américaines. Mais ni l'une ni l'autre constate que ces deux compagnies construisent déjà des voitures, mais ni l'une ni l'autre n'en livre beaucoup et elles sont extrêmement déficitaires pour l'instant. Selon les chiffres que j'ai vus récemment, pour chaque voiture vendue par Lucide, elle perd 250 000 $.
- 250000 $ par voiture vendue! Sur une base annuelle, ces deux constructeurs perdent des milliards. Ceci illustre la difficulté qu'il y a pour des entreprises en démarrage surtout dans le secteur des véhicules électriques. Il faut réunir des capitaux imposants pour traverser la phase de recherche et de développement, la construction de l'usine, la conception des véhicules, la livraison au client.
Cela prend beaucoup d'argent et la difficulté pour ces entreprises consiste à réunir de telles sommes à fin de parvenir à une montée en gamme pour bénéficier des économies d'échelle indispensable pour gérer une entreprise automobile viable.
Ces deux constructeurs semblent disposés à y parvenir. Elles ont des appuis financiers puissants, mais c'est également assez risqué.
Lorsque ces entreprises sont à la merci d'une baisse des ventes ou de l'incapacité de construire les voitures promises au client, ils n'auront pas la trésorerie nécessaire pour persévérer.
- Un secteur à surveiller. Faites toujours vos propres recherches avant de prendre une décision de placement.
David Mau répondra à d'autres questions sur les titres industriels dans quelques instants. Vous pouvez nous poser vos questions en tout temps par courriel à moneytalklive@td.com. À présent, poursuivons la découverte de CourtierWeb.
Si vous souhaitez accéder aux marchés mondiaux, CourtierWeb peut vous aider.
Caitlin Cormier, formatrice à Placements directs TD, nous explique. Caitlin, parlons des marchés mondiaux. Comment les investisseurs peuvent-ils y accéder sur CourtierWeb?
- Bonjour!
Lorsqu'il s'agit d'investir sur les marchés internationaux, il est possible de le faire, mais pas sur CourtierWeb. Vous pouvez appeler notre bureau international et investir sur 20 bourses différentes au téléphone.
Mais si vous voulez utiliser CourtierWeb pour avoir une certaine exposition et une certaine diversification, avec une somme plus faible, il est possible de le faire par les FNB. Alors, cliquons sur: Recherche, puis: Sélection.
Et puis une fois sur la page triage action, cliquons sur: FNB.
Et cliquons sur: Créer un triage personnalisé.
Ensuite, nous allons sélectionner les différents critères que nous recherchons.
tout d'abord, vous avez parlé de chercher des actions mondiales. Ci-contre: Catégories de fonds.
Et cliquez pour ajouter un critère.
Ensuite, lorsqu'on déroule, on parvient à quelque chose de mondial. Alors je vais dérouler assez rapidement parce qu'il faut parvenir au G, global.
Alors il y a toute une série d'options pour les marchés mondiaux, des FNB canadiens et américains.
Aujourd'hui, nous allons cliquer sur les fonds canadiens actions mondiales. Mais encore une fois, il existe de nombreuses autres options.
Vous pouvez choisir celle qui vous intéresse spécifiquement. On va ajouter le critère du ratio de frais de gestion.
C'est ce que l'on va voir à la première page, et on va ajouter également des fonds standards.
Les fonds standards, ce sont des fonds qui ne sont pas indiciels, c'est-à-dire des fonds qui ne sont pas basés sur un indice sous-jacent, mais qui sont gérés de façon active.
Nous allons également désélectionner: Inclure les fonds communs de placement, car je ne veux voir que les FNB. Il y a donc 67 occurrences.
Voici donc tous les fonds qui correspondent aux critères que j'ai montrés.
Donc, les fonds sont standards. On voit donc le ratio de frais de gestion également. Ceci nous donne une information sur chaque fonds.
Nous pouvons donc obtenir davantage d'informations sur le fonds. Par exemple, le rendement de distribution, les prix, les informations sur les gestionnaires de portefeuille, leur ancienneté… la création du fonds, le roulement du portefeuille… toutes sortes d'informations qu'il est possible d'obtenir sur ces pages. Donc, l'outil est une excellente façon d'approfondir les catégories et de trouver des options d'investissement différentes.
- Bon, nous avons pu travailler pour parvenir à ce stade. Nous faisons d'autres choses sur CourtierWeb. Est-ce qu'on peut revenir à ce filtre?
- Absolument. Bien sûr, on a fait tout ce travail pour créer un triage, il est important de pouvoir y revenir dans l'avenir.
Car ce triage est continuellement mis à jour en temps réel.
Donc, revenons à l'écran.
Il est possible de modifier le triage sous la rubrique: Résultat auto. Mettons que je voulais ajouter quelque chose d'autre ou si je voulais sélectionner par exemple les fonds de ratio de frais de gestion inférieure à la moyenne.
Ensuite, on clique sur: Voir les résultats.
Cela concerne les critères précédents et cela ajoute les nouveaux.
Et si je veux revenir à une date ultérieure, il faut toujours se rappeler de saisir un nom. Mettons: Actions mondiales.
Et puis ensuite, je vais cliquer sur le bouton: Sauvegarder l'écran.
Donc, la prochaine fois que je vais faire mes recherches avec outil et sélection, sous la rubrique FNB, je verrai sur la droite mon triage des actions mondiales, et je peux voir les résultats et procéder aux recherches élémentaires qui m'intéressent.
- Merci, Caitlin!
- Je vous en prie, Greg.
- Caitlin Cormier est formatrice à Placements directs TD. Ne manquez pas de consulter le centre d'apprentissage de CourtierWeb où vous trouverez encore plus de ressources.
Je vous rappellecomment nous poser vos questions.
Avez-vous une question sur les placements ou encore sur les marchés? Vous pouvez nous la poser soit par courriel à moneytalklive@td.com, soit dans la boîte de questions au bas de votre écran.
Il suffit de cliquer sur: Envoyer.
Nos invités pourraient vous répondre en direct.
David Mau de Gestion de Placements TD répond à vos questions sur les titres industriels.
Que pensez-vous du secteur des chemins de fer?
- Les chemins de fer canadien, le CN et le CP, ont annoncé le résultat du deuxième trimestre la semaine dernière ou celle d'avant.
Les résultats n'étaient pas reluisants. Le deuxième trimestre a été décevant, avec des résultats inférieurs aux estimations.
C'est le volume du fret qui commence à décliner, les prix ne sont pas aussi porteurs.
Ceci est en partie attribuable à des facteurs externes comme la grève portuaire en Colombie Britannique qui ralentit les choses. Il y a eu des feux de forêt très grave, aussi bien dans l'Ouest que dans l'est du Canada, qui ont un impact sur le volume.
Donc les perspectives annoncées par les compagnies ferroviaires pour le reste de l'année ne sont pas tellement porteuses.
Il y a une certaine morosité à l'heure actuelle.
Combien de temps durera-t-elle?
Nous ne le savons pas encore, mais pour les investisseurs qui envisagent les actions du secteur ferroviaire, l'histoire montre que la bonne décision consiste à acheter et détenir ces compagnies au fil du temps plutôt que d'essayer de synchroniser les marchés.
Nous avons vu le rendement des compagnies ferroviaires dépassées le marché pendant une période longue.
À l'heure actuelle, CN et auparavant le CP Kansas City… en fait, qu'est-ce qui est un spectateur régulier nous demander s'il y a des différences entre CP et CN, peut-être sur les effets du rapatriement, avec notamment le paquet de mesures adoptées récemment aux États-Unis.
- Cela devrait être positif en général.
Si la production industrielle est rapatriée en Amérique du Nord, il y aura davantage de volume de fret à déplacer.
Nous n'avons pas encore vu d'industries probants. On n'en parle depuis plusieurs années.
Mais nous n'avons pas encore vu si les mesures adoptées aux États-Unis vont amener les entreprises à rapatrier une proportion importante de leur production en Amérique du Nord.
- Si on fait ce travail assez longtemps, les expressions qui restent en tête.
Lorsqu'on parle de CN, on parlait du plus important réseau en Amérique du Nord, mais maintenant, la fusion de CP et de Kansas City à changer la situation.
- Oui, CP demeurent le réseau le plus fort des deux, à cause de son nom, plus importante, de son plus grand dynamisme dans la conquête de nouveaux clients et de nouveaux contrats.
Plus que CN. CN bénéficie d'un réseau trans canadien plus complet, qui s'étend de la côte ouest jusqu'à Halifax. Donc, le réseau est plus complet au Canada, mais CP dispose incontestablement d'une empreinte plus large quand on considère le Canada, les États-Unis et le Mexique.
- Il faut que je change mes observations d'usage au sujet des entreprises lorsqu'elles se mettent en tête de faire des acquisitions. Mais c'est mon problème.
Merci pour votre question, Jeff.
Question suivante: Que pensez-vous de Boeing et de Airbus?
Boeing a tourné le coin ou non? Qui emporte la course à la domination de l'industrie mondiale aérienne?
- Les consultants d'avion sont vraiment au nombre de deux dans le monde, à leur niveau.
Boeing et Airbus. Chacun se porte bien.
Chacun a des carnets de commandes s'étalant sur des années et valeur de centaines de milliards de dollars, ce qui leur donne beaucoup de visibilité. Qui gagne la course?
Airbus, à mon avis, est plus fort des deux jusqu'ici. Comme nous le savons, Boeing a éprouvé des difficultés, surtout au niveau du 787. Plus récemment, il y a eu d'autres problèmes de qualités qui sont survenues.
À l'heure actuelle, Airbus semble toujours en tête.
Mais l'un des grands fournisseurs deux Airbus, Pratt & Whitney, a annoncé la semaine dernière la nécessité de rappeler certains moteurs en raison de problèmes de qualité.
Cela pourrait avoir un impact sur le calendrier de production d'Airbus.
Pour l'instant, le constructeur annonce que tout sera inchangé cette année, mais nous ne savon pas quel sera l'impact de ce rappel.
Les investisseurs surveillaient cela de près.
- Une autre question de secteur dont on n'a pas encore parlé.
Que pensez-vous du secteur des déchets?
- La gestion des déchets est une industrie très intéressante, qui nous plaît beaucoup.
En général, ces entreprises réalisent des bénéfices réguliers, même en cas de baisse de l'activité économique, puisqu'elles disposent de contrats qui s'étend en général sur un à trois ans. Même en cas de récession, les entreprises n'ont pas tendance à réduire le ramassage des déchets. D'abord parce qu'il ne s'agit pas d'une part importante de leurs frais d'exploitation: Un ou 2 % en général. Il ne s'agit donc pas d'une dépense qui est réduite d'emblée. Par ailleurs, une entreprise doit faire ramasser ses déchets chaque semaine ou aux deux semaines pour continuer de fonctionner.
Les revenus du secteur de la gestion des déchets sont donc résiliant.
Un autre élément positif pour les compagnies de gestion de déchets, facteur positif depuis au moins deux ans, c'est que les contrats signés avec les entreprises sont négociés basés sur l'indice des prix à la consommation, c'est-à-dire l'inflation.
Dans un environnement inflationniste comme celui d'aujourd'hui, qui dure depuis 18 mois, pendant lequel inflation est élevée, chaque fois que le contrat est renouvelé, le prix augmente automatiquement, au même rythme que l'inflation.
À moment donné, les prix augmentaient très rapidement lorsque l'inflation était à huit ou 9 %.
Tout ceci se répercute directement sur les résultats définitifs. Chaque augmentation de prix, tant que la compagnie peut maîtriser ses coûts, se répercute directement sur les bénéfices.
Quand on considère le secteur des déchets en général, pour les acheteurs qui achètent et détiennent des actions, ces investissements sont excellents.
Ils dépassent le marché au fil du temps.
Pour ceux qui ont la possibilité d'attendre sur plusieurs années, il peut s'agir de la base d'un portefeuille.
- Quel est le principal risque?
Vous avait dit que les entreprises peuvent transmettre la hausse de l'inflation, mais doivent maîtriser leurs coûts.
- Oui, c'est le principal risque.
Comme tout le monde, le coût le plus important je crois, pour les compagnies de gestion des déchets, c'est la main-d'œuvre. Et nous savons que, surtout aux États-Unis, le taux de chômage a atteint un niveau bas record, tout comme Canada.
Les entreprises doivent payer davantage pour fidéliser leurs employés et en attirer de nouveaux.
La main-d'œuvre représente donc l'un des risques les plus importants.
Pour les entreprises de gestion des déchets, il y a également de fortes dépenses de carburant pour faire circuler les camions qui sillonnent nos rues, la plupart des quais ne sont pas électriques ni à hydrogène.
Il y a donc un risque de fluctuation des produits de base.
- David Mau répond à d'autres questions sur les titres industriels dans quelques instants.
Toujours vos propres recherches avant de prendre des décisions de placement.
Voici comment vous pouvez nous contacter.
Avez-vous une question sur les placements ou encore sur les marchés?
Vous pouvez nous la poser, soit par courriel à moneytalklive@td.com, soit dans la boîte de questions au bas de votre écran.
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Nos invités pourraient vous répondre en direct.
L'industrie canadienne du tourisme s'est fortement redressée depuis la première fermeture de la COVID-19.
Cependant, le rythme de la reprise ralenti. Anthony Okolie se penche sur un récent rapport de Services économiques TD sur l'état du secteur canadien du tourisme.
- Comme vous l'avez dit, trois ans après la survenue de la pandémie, Services économiques TD constate que l'activité de l'industrie canadienne du tourisme est toujours largement inférieure à la normale. Le rythme de la relance a ralenti à cause de la hausse des taux d'intérêt, du ralentissement du marché du travail et de ralentissement cyclique mondial général.
Le tourisme est à répartir en deux groupes: Les déplacements internationaux et les déplacements intérieurs.
Statistique Canada utilise le nombre de visas d'entrée de non-résidents pour mesurer les voyageurs étrangers, comme le graphique le montre, au niveau canadien, la reprise de l'activité du tourisme international semble ralentir après un rebond assez net par rapport à l'année 2021.
Depuis le début 2023, nombre de non-résidents voyageant au Canada a augmenté de 1,2, à presque 3,3 millions de voyageurs. C'est toujours inférieur de quelque 20 % au pic d'avant la pandémie.
Il y a une source clé de faiblesse, c'est l'absence du tourisme en provenance de Chine. Pendant les cinq premiers mois de l'année, selon Services économiques TD, le nombre de touristes chinois visitant le Canada était inférieur de 80 % à ce qu'il était pendant la même période en 2019.
En revanche, Services économiques TD déclare que l'activité des touristes américains, ainsi que celle des touristes en provenance de l'Inde, dont le nombre a plus de doublé par rapport à avant la pandémie. Les données de l'autorité canadienne de sécurité du transport aérien, montre que l'activité de partager en 2023 surpasser à compter du mois de juillet les résultats de 2019. Et les données sur les dépenses montrent que l'activité de tourisme intérieur a diminué moins que l'activité internationale pendant les confinements, et que la relance a été plus rapide.
À compter du premier trimestre de cette année, les dépenses de tourisme intérieur ajusté en fonction de l'inflation sont parvenues à 90 % du niveau d'avant la pandémie, par rapport à 80 % pour les voyages internationaux.
On peut donc être optimiste à l'idée que les dépenses de voyage intérieur ont nettement rebondi.
Services économiques TD note que les tendances de relance du tourisme diffèrent d'une province à l'autre.
D'une part, la Saskatchewan est derrière toutes les autres provinces, avec presque 40 % de moins que la moyenne. Le tourisme québécois connaît une relance beaucoup plus rapide que celle du reste du Canada.
En effet, le Québec bénéficie de millions de dollars de financement de la société de développement économique canadienne pour la région du Québec.
Alors avec la demande satisfaite de visiteurs internationaux, la demande va sans doute commencer à progresser pendant le trimestre à venir, alors même que le marché du travail aux États-Unis et au Canada ralenti.
- C'est une tendance progressive qui ralenti, mais qui continuera, même si c'est plus lentement.
À moment donné, nous allons revenir au niveau pré pandémie. Quand?
- Selon Services économiques TD, il est peu probable que les niveaux pré pandémie seront surpassés avant 2025, comme le montre le graphique.
Cette reprise se fera, mais à une échéance de quelques années. Il y a un certain nombre de facteurs négatifs qui retiennent augmentation de déplacement.
Tout d'abord, on prévoit que la reprise du marché du travail canadien va s'essouffler pendant le deuxième trimestre. En outre, la hausse des taux d'intérêt oblige les ménages à consacrer une plus grande partie de leurs revenus au remboursement de la dette. Ces deux facteurs vont numéro dépensent de voyage intérieur. Enfin, plusieurs trimestres de croissance économique inférieure à la tendance aux États-Unis vont plomber les arrivages en provenance du principal marché du tourisme Canada. En revanche le dollar canadien devrait demeurer plus bas l'an prochain, ce qui compenserait en partie ses autres facteurs négatifs.
Je pense qu'il faut faire notre part. Il faut aller à Aruba pour l'été, ou encore monter en voiture et parcourir nos routes.
Anthony Okolie. À présent, un coup d'œil sur les marchés.
Nous jetons un coup d'œil sur la plate-forme avancée conçue pour les négociateurs actifs proposés par Placements directs TD. Voici la carte thermique qui permet de jeter un coup d'œil sur le marché. Il s'agit du TSX 60, en fonction du prix et du volume.
Le volume étend représenté par la superficie de chaque case.
Kinross Gold occupe un espace considérable.
Il est en hausse d'un peu plus de 2 %.
Dans le secteur de l'énergie, il y en a qui progresse légèrement, mais en revanche, il y a du rouge à l'écran, notamment chez First Quantum, FM, juste à côté de Kinross.
Un peu plus de 2 %. Shopify est toujours suppression, mais qu'USR, tout en bas au coin, il s'agit de Restaurant Brands International, la société mère de Tim Hortons.
Tim Hortons et Burger King Montagné des ventes impressionnants pendant le dernier trimestre.
On peut également jeter un coup d'œil sur d'autres indices. Voici le S&P 100.
Certaines faiblesses au niveau des constructeurs de plus. AMD recule de 3,6 %.
Nous parlions de certaines des banques de plus petite taille qui ont été touchées par une rétrogradation de Moody's.
L'agence de notation évoque les mêmes préoccupations qu'au printemps. Taux d'intérêt plus élevé, valeur inférieure pour les actifs à revenu fixe, fuite des dépôts. Cela semble avoir des répercussions sur le secteur bancaire américain dans son ensemble, y compris l'action de Bank of America, en baisse de 2,7 %. Mais voilà du vert à l'écran, avec LLY . C'est Eli Lilly, qui bondit de 16 % grâce à la forte demande de ce médicament contre le diabète.
Vous pouvez trouver davantage de renseignements sur la plate-forme avancée.
David Mau de Gestion d'actifs TD répondent à vos questions sur le secteur industriel.
Pourquoi les valeurs de défense sont-elles à la traîne du marché?
- Il est vrai que le secteur de la défenses a déçu récemment. Mais si on prend plus longtemps, qu'on remonte au mois de février dernier avec l'invasion de l'Ukraine par la Russie, la plupart des actions de défense en Europe et aux États-Unis ont été nettement revalorisées.
À partir de ce moment-là jusqu'à aujourd'hui, le secteur de la défense a surclassé l'ensemble du marché.
Mais depuis quelques trimestres, deux ou trois trimestres, sans doute depuis le début de cette année où la fin de l'an dernier, les titres de défense ont nettement été à la traîne par rapport au reste du marché. Première raison: Lorsque l'invasion russe s'est produite en février, les marchés ont sans doute eu une réaction excessive au niveau du cours des actions, lesquelles ont grimpé à l'excès.
Il a tendance à la baisse depuis lors.
L'on s'est aperçu que le secteur de la défense est un cycle long. Depuis le moment où un gouvernement s'engage à financer un projet de défense jusqu'au moment où ces dépenses sont approuvées, puis les devises sont reçues, puis le contrat est conféré à une entreprise ou un groupe d'entreprises, tout ceci prend des années, parfois même plus que plusieurs années. Il s'agit d'un cycle vraiment très long.
donc un engagement aujourd'hui à dépenser pour tel ou tel projet pourrait ne pas se répercuter sur les états financiers d'une compagnie avant cinq ou six ans.
C'est un secteur article long, comme je le disais.
Or, la réaction au mois de février dernier a sans doute été excessive au niveau du cours des actions des compagnies de défense.
Mais quand on tient compte de l'instabilité politique dans le monde, la guerre russo-ukrainienne ne n'est toujours pas réglée. Il y a également le problème sino taïwanais, puis le Moyen-Orient, et puis d'autres régions en Afrique.
Il y a beaucoup d'instabilité. Alors je ne vois pas vraiment les gouvernements réduire leur budget de des fonces de sitôt. Je de défense toujours très bien positionnée.
Merci pour tous ces aperçus. David Mau, Gestion de Placements TD. Faites toujours vos propres recherches avant de prendre des décisions de placement.
Demain, Andres Rincon, responsable des ventes de la stratégie des FNB à Valeurs Mobilières TD, répondre à vos questions sur les fonds négociés en bourse. Vous pouvez me les poser déjà par courriel à moneytalklive@td.com.
Merci et à demain!
Bienvenue à Parlons Argent en direct, une émission de Placements directs TD. Nos invités commentent l'actualité des marchés et répondent à vos questions sur les placements.
Dans l'émission d'aujourd'hui, la demande de voyage est revenue à ce niveau d'avant la pandémie.
Mais cette vigueur se reflète-t-elle dans les actions des compagnies aériennes?
David Mau, gestionnaire de portefeuille à Gestion de Placements TD, commentent.
Anthony Okolie examine rapport de Services économiques TD sur la santé de l'industrie canadienne du tourisme.
Nous poursuivons la découverte de CourtierWeb. Caitlin Cormier nous explique comment avoir accès aux marchés internationaux.
Posez-nous vos questions par courriel à moneytalklive@td.com ou dans la boîte de questions au bas de votre écran.
Mais d'abord, un coup d'œil sur les marchés.
Après la longue fin de semaine, l'indice TSX est en recul de 116 points, soit un peu plus de 0,5 %.
Parmi les titres les plus actifs, Baytex Energy. Le cours du pétrole brut recul avec des statistiques décevantes sur les exportations chinoises et la consommation de produits énergiques au pays. Baytex recule donc de presque 2 %.
Shopify prolonge une longue tendance à la baisse après l'annonce de ses résultats trimestriels.
À 75,23 $ l'action, elle recul de près de 3 %.
Aux États-Unis, l'indice S&P 500 des marchés instantanés américains, après une journée intéressante aujourd'hui - hier plutôt, puisque hier n'était pas férié - l'indice recul de 50 points.
, Soit un peu plus de 1 %. Les banques régionales États-Unis sont sous le feu des projecteurs.
L'agence Moody's
rétrograde une de ces banques après les inquiétudes du printemps. Les intérêts plus élevés nuisent à leurs actifs à revenu fixe, qui entraîne une fuite de dépôt. Ceci plombe les marchés. L'indice Nasdaq spécialisé dans la technologie recul 275 points, soit un peu plus de 1,5 %.
Même si la rétrogradation ne concerne que quelques banques régionales de petite envergure aux États-Unis, les grandes banques sont touchées aussi. Bank of America à 30,86 $, recule de plus de 3 %.
Une saison estivale chargée en voyage a vu la demande de vols revenir au niveau d'avant la pandémie. Mais cette croissance reflète dans les actions des compagnies aériennes? David Mau, gestionnaire de portefeuille à Gestion de Placements TD, commentent.
- Bonjour, Greg.
- Il ne faut pas aller loin quand on ouvre un journal ou qu'on consulte le net pour savoir que la demande. Je porte bien. Les gens veulent se déplacer. Nous avons renoué avec les niveaux d'avant la pandémie.
Qu'arrive-t-il aux actions?
- Vous avez raison, la demande de voyage est au rendez-vous, à renouer avec les niveaux d'avant 2020, mais la croissance des revenus prévus pour 2023 sera supérieure à celle de 2019.
Mais comme vous l'avez dit, les actions des compagnies aériennes sont cotées largement en deçà de leur niveau de 2019.
Le cours des actions de compagnies aériennes sont essentiellement inférieurs de 30 à 50 % à ce qu'ils étaient en 2019.
Il y a certaines raisons à cela, mais la principale, c'est que les dépenses ont beaucoup augmenté.
Cela signifie que la rentabilité de ces compagnies aériennes abaissait.
Même si le chiffre d'affaires est plus élevé, les bénéfices sont plus bas. Le coût du carburant a augmenté, le coût de la main-d'œuvre aussi.
Dans cette conjoncture inflationniste, les frais d'exploitations généraux sont beaucoup plus élevés qu'ils de l'été il y a quatre ans, en 2019. Et cela se reflète sur le cours des actions.
Il y a un autre facteur dont les marchés tiennent compte, c'est la récession annoncée depuis deux ans, qui ne s'est pas encore vraiment concrétisée, mais qui plombe également le cours des actions.
- J'imagine que l'inquiétude face à une récession, il y a longtemps qu'on en parle.
On l'attend encore, on espère peut-être qu'elle n'arrivera jamais au qu'il y aura un atterrissage en douceur. Mais si une récession se déclare, et surviendrait au moment même où les compagnies aériennes renouent avec la croissance.
Oui, ce serait une autre raison pour les gens pour ne pas voyager. Rappelez-vous qu'en 2020–2021, même au début 2022, c'était une époque difficile pour les compagnies aériennes.
Elles ont perdu des milliards de dollars et non pas encore refaits ses pertes. Cela reflète également le cours des actions.
- Quant aux destinations de voyage, il y a une différence entre les voyages intérieurs et les voyages à l'étranger.
Lequel gagne?
- À l'heure actuelle, les voyages à l'étranger offre des perspectives beaucoup plus prometteuses.
Rappelez-vous 2022, l'an dernier, c'était la première année complète pendant laquelle il était possible de voyager. La plupart des déplacements étaient intérieurs. C'était c'était des voyages à l'intérieur du pays de chacun. Mais les voyages à l'étranger étaient entravés par de nombreuses restrictions liées à la COVID qui avaient été mis en œuvre par un certain nombre de pays.
Il fallait porter un masque à l'aéroport, à bord de l'avion. Il y avait des quarantaines, des exigences de vaccination.
Tous ces éléments ont entravé l'essor des déplacements à l'étranger, la plupart de ces restrictions ont été abrogées au milieu de l'année dernière.
À l'heure actuelle, beaucoup de gens ayant accompli le voyage à l'autre bout du pays pour visiter grand-maman vont se payer le voyage en Asie ou des vacances au soleil qu'elle avait dû reporter.
Ce qui est reflété dans les chiffres des déplacements, ce que la demande voyage intérieur commence à diminuer beaucoup.
Les résultats du deuxième trimestre, pour la plupart des grandes compagnies aériennes américaines, les compagnies régionales, Southwest , etc.
, ont obtenu de bons résultats au deuxième trimestre qui dépasse les attentes, mais leurs annonces pour le troisième trimestre et au-delà, sont beaucoup moins prometteuses qu'on ne l'avait supposé.
Ceci peut prometteuses, en fait, que la plupart des transporteurs intérieurs vont devoir réduire le prix des billets après la saison des voyages estivales. C'est très différent de ce qui se passe pour les compagnies internationales.
American Airlines, Delta, United, qui ont d'excellentes perspectives pour le troisième trimestre. D'excellentes réservations jusqu'à la fin de l'année sur les liaisons internationales.
Les transporteurs internationaux ont relevé leur pronostic de bénéfices pour le reste de l'année alors que le transporteur intérieur l'ont baissé.
- C'est compréhensible. Les gens qui ont dû prendre des vacances dans leur pays veulent maintenant aller à l'étranger.
Que dire des déplacements d'affaires, qui sont très lucratifs pour les entreprises compte tenu des prix des biens affaires?
- Il y a eu une certaine reprise, mais comparativement au niveau de 2019, nous sommes encore en deçà de 15 à 20 % des niveaux de 2019. Les entreprises sont plus grandes face à la perspective de récession. Ils ne veulent pas claquer le budget de déplacement pour l'année et elles cherche à faire preuve de retenue.
Même si à une relance déplacements d'affaires, nous ne sommes pas encore au niveau d'il y a quelques années.
- On a parler des hausses de coûts les compagnies aériennes. L'une des hausses les plus importantes, c'est le coût du carburant.
Le cours du pétrole est plus bas qu'il ne l'était l'an dernier.
- Les cours du carburant cette année sont un facteur favorable.
Lorsque le pétrole avait atteint 120 $ par rapport à ce qu'il est aujourd'hui, environ 80, c'est un facteur très favorable.
Mais quand on compare à 2019, le pétrole coûtait 60 $ le baril.
Alors à 80 $ aujourd'hui, le coût du carburant est toujours supérieur d'un tiers.
Depuis 12 mois, le coût du carburant effectivement baissé, ce qui est favorable, mais d'autres catégories de dépenses augmentent, en revanche.
La plus importante, c'est celle de la main-d'œuvre. Le coût de la main-d'œuvre.
De fait, quand on considère la répartition des coûts d'exploitation des compagnies aériennes, le carburant représente 25 à 30 % et le personnel, 25 voire davantage.
Quand ces deux éléments sont plus élevés qu'ils ne l'étaient l'été il y a quelques années, cela a un impact sur la rentabilité. Voilà les problèmes à court terme et à moyen terme.
Que se passe au niveau du long terme?
- Je crois que les compagnies aériennes en situation assez favorable, mais elles doivent maîtriser leurs coûts.
Le coût de la main-d'œuvre, comme je l'ai dit, est très important et la tendance est à la hausse.
Cette tendance ne semble pas appelée à prendre fin.
Il y a quelques semaines, United a conclu un accord avec ses pilotes, dont le traitement a été relevé de 40 % d'ici quatre ans.
American Airlines, peu de temps après, a conclu une entente semblable.
En effet, il s'agit d'éviter une grève des pilotes qui paralyseraient le réseau.
Ces coûts sont permanents.
Il s'agit de voir dans quelle mesure les compagnies aériennes peuvent les compenser en relevant le prix des billets et quelle sera la capacité de riposte des syndicats, car il y a des syndicats des aiguilleurs de l'air, du personnel navigant, ainsi de suite.
- Excellent début d'émission! David Mau répond à vos questions sur les actions industrielles, compagnies aériennes, chemin de fer, automobile.
Vous pouvez me les poser en tout temps par courriel à moneytalklive@td.com ou dans la boîte de questions au bas de votre écran.
À présent, l'actualité du monde des affaires et un coup d'œil sur les marchés.
Grâce aux fortes ventes de Tim Hortons, la société mère Restaurant Brands International a enregistré des résultats supérieurs. Un indicateur clé de l'activité commerciale a augmenté de plus de 12 % au cours du trimestre j'ai Tim Hortons. Ces offres de café et de sandwiches pour le petit déjeuner sont très demandés.
Restaurant Brands compte également Burger King parmi ces enseignes, dont les ventes ont augmenté de plus de 8 % aux États-Unis.
Les actions du géant mondial du transport UPS sont sous les feux de la rampe aujourd'hui.
UPS revoit à la baisse ses prévisions pour l'année en raison d'une baisse de la demande et d'une hausse des coûts. Le secteur a dû faire face à un ralentissement des volumes de colis à la suite de la pandémie. De plus, UPS prévoit des coûts plus élevés en raison de nouveaux contrats négociés avec ses travailleurs.
L'action est aujourd'hui inchangée, essentiellement.
Eli Lilly revoit à la hausse ses prévisions de bénéfices grâce au vente importante de son nouveau médicament contre le diabète. La société a dépassé les estimations des analystes au cours du dernier trimestre à la demande croissante de ce médicament, qui est également efficace pour aider les personnes atteintes du diabète de type deux à perdre du poids. L'action bondit de 16 %.
À présent, coup d'œil sur les marchés.
L'indice TSX composite, à l'issue de la longue fin de semaine, est en baisse de 122 points, un peu plus de 0,5 %.
Aux États-Unis, la journée a été profitable. J'y ai jeté un coup d'œil, quoiqu'il se fut agi d'un jour de congé.
Aujourd'hui, l'indice recul de 44 points, soit presque 1 %.
David Mau répondent à vos questions sur les titres du secteur industriel.
Pouvez-vous nous expliquer comment fonctionne carburant durable et ce que cela signifie pour l'industrie aéronautique?
- Voilà une excellente question.
L'industrie aéronautique, comme toutes les industries, examine son empreinte carbone et envisage des moyens de réduire les retombées de son activité sur l'environnement.
L'aviation représente 2,5 % des émissions mondiales. Ce n'est pas un chiffre énorme, mais c'est toujours considérable il s'agit de le réduire. Qu'est-ce que le carburant d'aviation durable? Comme son nom l'indique, il s'agit d'une source durable et renouvelable de carburant pour l'industrie aéronautique qui permet à cette dernière de réduire son empreinte carbone.
Il y a quelques années, tandis que les préoccupations environnementales passaient au premier plan, on s'est demandé s'il était possible de doter les avions de batterie, comme des voitures.
On s'est rendu compte rapidement que ce n'était pas réalisable pour des avions long-courriers.
Les batteries devraient être trop grosses et trop lourdes.
L'industrie à envisager d'autres sources potentielles de réduction de carbone et le carburant d'aviation durable a été inventé.
Qu'est-ce que c'est?
Il s'agit de carburant élaboré à partir d'huile de cuisson, de rebuts, de déchets alimentaires, de rebuts végétaux ou d'autres végétaux on en alimentaires qui sont transforméspour créer un carburant utilisable par les compagnies aériennes.
Il y a plusieurs arguments en faveur du carburant d'aviation durable.
Ce que les avions existants peuvent consommer sans aucune modification à la motorisation ni à l'appareil. Toute l'infrastructure actuelle - les cuves de stockage, les moyens de transport existant du carburant d'aviation - peuvent être utilisé pour le carburant durable.
Il y a un ou deux facteurs négatifs à l'heure actuelle: C'est le coût, tout d'abord. Le carburant d'aviation durable coûte deux à cinq fois plus chères que le carburant d'aviation à l'heure actuelle.
Il est difficile pour une compagnie aérienne d'adopter intégralement le carburant d'aviation durable en quintuplant le coût de cette fourniture.
Deuxième élément: Le carburant d'aviation durable n'a que deux fournisseurs au monde à l'heure actuelle, donc l'offre est plus limitée.
Il y a beaucoup de facteurs positifs, un ou deux facteurs très négatifs, mais je pense que ce sera un secteur qui est appelé à un grand essor au fil du temps.
Il y a des encouragements gouvernementaux, la loi américaine de nos entreprises des encouragements pour étudier davantage le carburant d'aviation durable.
- Un secteur à suivre!
Une autre question intéressante. Je vois qu'un groupe de grands constructeurs automobiles s'associe pour construire un réseau de recharge.
Est-ce une menace pour tesla?
- oui, il y a une concurrence.
Certains des grands constructions se sont joints au réseau de recherche de Tesla, mais la semaine dernière où il y a 15 jours, 700 constructeurs automobiles, y compris General Motors, BMW, Mercedes, Honda et quelques autres, ont annoncé qu'ils vont mettre en place un réseau de recharge en Amérique du Nord consistant en 30 000 points de chargement.
C'est un réseau d'envergure. À l'heure actuelle, tesla dispose d'environ 45 000 bornes de chargement dans le monde entier, mais plus de la moitié étend en Amérique du Nord.
Mettons 20 000 bornes environ en Amérique du Nord.
Ce groupe de sept constructeurs proposent une cible de 30 000.
Cela va rivaliser avec le réseau de Tesla.
Ces constructeurs espèrent que cela va leur permettre de vendre davantage de voitures et de rattraper Tesla.
Il faudra reste dans l'attente, car ces charges ne seront installées que d'ici deux à trois ans sans doute. Mais quant à la menace pour Tesla, cette annonce et ce nouveau réseau vaut certainement aviver la concurrence entre Tesla et les autres constructeurs.
- Cela m'a rappelé la transition entre les sens avec plomb et laissant son plomb. Il fallait aller à la station-service pour sélectionner entre la pompe d'essence avec ou sans plomb ou diesel.
Nous ne savons pas encore… à l'heure actuelle, Tesla 2000, les bandes Tesla ne sont pas compatibles avec les voitures de la plupart des autres constructeurs. Le groupe de cette constructeur qui a fait cette annonce à semaine dernière va créer un réseau compatible avec les véhicules des sept autres constructeurs.
Il semble que Tesla ne sera pas inclus dans le réseau, mais c'est ce que nous avons pour l'instant.
- Une question sur les véhicules électriques. Compte tenu de la récente faillite de Lordstown, quel est l'environnement dans lequel évoluent les petits acteurs de véhicules électriques?
- Oui, Lordstown, pour ceux qui n'étaient pas au courant, était un constructeur de véhicules électriques, une jeune pousse américaine, laquelle a été créée vers 2018 et a déposé son bilan à la fin du mois de juin.
Pourquoi? Parce que la compagnie avait surestimé sa capacité de contre des voitures, de concrétiser ses véhicules et de générer les ventes indispensables pour assurer la continuité de l'entreprise.
La compagnie a manqué de trésorerie et a dû déposer son bilan. Les deux autres compagnies dont vous avez parlé, Rivian et Lucid, sont également deux jeunes pousses américaines. Mais ni l'une ni l'autre constate que ces deux compagnies construisent déjà des voitures, mais ni l'une ni l'autre n'en livre beaucoup et elles sont extrêmement déficitaires pour l'instant. Selon les chiffres que j'ai vus récemment, pour chaque voiture vendue par Lucide, elle perd 250 000 $.
- 250000 $ par voiture vendue! Sur une base annuelle, ces deux constructeurs perdent des milliards. Ceci illustre la difficulté qu'il y a pour des entreprises en démarrage surtout dans le secteur des véhicules électriques. Il faut réunir des capitaux imposants pour traverser la phase de recherche et de développement, la construction de l'usine, la conception des véhicules, la livraison au client.
Cela prend beaucoup d'argent et la difficulté pour ces entreprises consiste à réunir de telles sommes à fin de parvenir à une montée en gamme pour bénéficier des économies d'échelle indispensable pour gérer une entreprise automobile viable.
Ces deux constructeurs semblent disposés à y parvenir. Elles ont des appuis financiers puissants, mais c'est également assez risqué.
Lorsque ces entreprises sont à la merci d'une baisse des ventes ou de l'incapacité de construire les voitures promises au client, ils n'auront pas la trésorerie nécessaire pour persévérer.
- Un secteur à surveiller. Faites toujours vos propres recherches avant de prendre une décision de placement.
David Mau répondra à d'autres questions sur les titres industriels dans quelques instants. Vous pouvez nous poser vos questions en tout temps par courriel à moneytalklive@td.com. À présent, poursuivons la découverte de CourtierWeb.
Si vous souhaitez accéder aux marchés mondiaux, CourtierWeb peut vous aider.
Caitlin Cormier, formatrice à Placements directs TD, nous explique. Caitlin, parlons des marchés mondiaux. Comment les investisseurs peuvent-ils y accéder sur CourtierWeb?
- Bonjour!
Lorsqu'il s'agit d'investir sur les marchés internationaux, il est possible de le faire, mais pas sur CourtierWeb. Vous pouvez appeler notre bureau international et investir sur 20 bourses différentes au téléphone.
Mais si vous voulez utiliser CourtierWeb pour avoir une certaine exposition et une certaine diversification, avec une somme plus faible, il est possible de le faire par les FNB. Alors, cliquons sur: Recherche, puis: Sélection.
Et puis une fois sur la page triage action, cliquons sur: FNB.
Et cliquons sur: Créer un triage personnalisé.
Ensuite, nous allons sélectionner les différents critères que nous recherchons.
tout d'abord, vous avez parlé de chercher des actions mondiales. Ci-contre: Catégories de fonds.
Et cliquez pour ajouter un critère.
Ensuite, lorsqu'on déroule, on parvient à quelque chose de mondial. Alors je vais dérouler assez rapidement parce qu'il faut parvenir au G, global.
Alors il y a toute une série d'options pour les marchés mondiaux, des FNB canadiens et américains.
Aujourd'hui, nous allons cliquer sur les fonds canadiens actions mondiales. Mais encore une fois, il existe de nombreuses autres options.
Vous pouvez choisir celle qui vous intéresse spécifiquement. On va ajouter le critère du ratio de frais de gestion.
C'est ce que l'on va voir à la première page, et on va ajouter également des fonds standards.
Les fonds standards, ce sont des fonds qui ne sont pas indiciels, c'est-à-dire des fonds qui ne sont pas basés sur un indice sous-jacent, mais qui sont gérés de façon active.
Nous allons également désélectionner: Inclure les fonds communs de placement, car je ne veux voir que les FNB. Il y a donc 67 occurrences.
Voici donc tous les fonds qui correspondent aux critères que j'ai montrés.
Donc, les fonds sont standards. On voit donc le ratio de frais de gestion également. Ceci nous donne une information sur chaque fonds.
Nous pouvons donc obtenir davantage d'informations sur le fonds. Par exemple, le rendement de distribution, les prix, les informations sur les gestionnaires de portefeuille, leur ancienneté… la création du fonds, le roulement du portefeuille… toutes sortes d'informations qu'il est possible d'obtenir sur ces pages. Donc, l'outil est une excellente façon d'approfondir les catégories et de trouver des options d'investissement différentes.
- Bon, nous avons pu travailler pour parvenir à ce stade. Nous faisons d'autres choses sur CourtierWeb. Est-ce qu'on peut revenir à ce filtre?
- Absolument. Bien sûr, on a fait tout ce travail pour créer un triage, il est important de pouvoir y revenir dans l'avenir.
Car ce triage est continuellement mis à jour en temps réel.
Donc, revenons à l'écran.
Il est possible de modifier le triage sous la rubrique: Résultat auto. Mettons que je voulais ajouter quelque chose d'autre ou si je voulais sélectionner par exemple les fonds de ratio de frais de gestion inférieure à la moyenne.
Ensuite, on clique sur: Voir les résultats.
Cela concerne les critères précédents et cela ajoute les nouveaux.
Et si je veux revenir à une date ultérieure, il faut toujours se rappeler de saisir un nom. Mettons: Actions mondiales.
Et puis ensuite, je vais cliquer sur le bouton: Sauvegarder l'écran.
Donc, la prochaine fois que je vais faire mes recherches avec outil et sélection, sous la rubrique FNB, je verrai sur la droite mon triage des actions mondiales, et je peux voir les résultats et procéder aux recherches élémentaires qui m'intéressent.
- Merci, Caitlin!
- Je vous en prie, Greg.
- Caitlin Cormier est formatrice à Placements directs TD. Ne manquez pas de consulter le centre d'apprentissage de CourtierWeb où vous trouverez encore plus de ressources.
Je vous rappellecomment nous poser vos questions.
Avez-vous une question sur les placements ou encore sur les marchés? Vous pouvez nous la poser soit par courriel à moneytalklive@td.com, soit dans la boîte de questions au bas de votre écran.
Il suffit de cliquer sur: Envoyer.
Nos invités pourraient vous répondre en direct.
David Mau de Gestion de Placements TD répond à vos questions sur les titres industriels.
Que pensez-vous du secteur des chemins de fer?
- Les chemins de fer canadien, le CN et le CP, ont annoncé le résultat du deuxième trimestre la semaine dernière ou celle d'avant.
Les résultats n'étaient pas reluisants. Le deuxième trimestre a été décevant, avec des résultats inférieurs aux estimations.
C'est le volume du fret qui commence à décliner, les prix ne sont pas aussi porteurs.
Ceci est en partie attribuable à des facteurs externes comme la grève portuaire en Colombie Britannique qui ralentit les choses. Il y a eu des feux de forêt très grave, aussi bien dans l'Ouest que dans l'est du Canada, qui ont un impact sur le volume.
Donc les perspectives annoncées par les compagnies ferroviaires pour le reste de l'année ne sont pas tellement porteuses.
Il y a une certaine morosité à l'heure actuelle.
Combien de temps durera-t-elle?
Nous ne le savons pas encore, mais pour les investisseurs qui envisagent les actions du secteur ferroviaire, l'histoire montre que la bonne décision consiste à acheter et détenir ces compagnies au fil du temps plutôt que d'essayer de synchroniser les marchés.
Nous avons vu le rendement des compagnies ferroviaires dépassées le marché pendant une période longue.
À l'heure actuelle, CN et auparavant le CP Kansas City… en fait, qu'est-ce qui est un spectateur régulier nous demander s'il y a des différences entre CP et CN, peut-être sur les effets du rapatriement, avec notamment le paquet de mesures adoptées récemment aux États-Unis.
- Cela devrait être positif en général.
Si la production industrielle est rapatriée en Amérique du Nord, il y aura davantage de volume de fret à déplacer.
Nous n'avons pas encore vu d'industries probants. On n'en parle depuis plusieurs années.
Mais nous n'avons pas encore vu si les mesures adoptées aux États-Unis vont amener les entreprises à rapatrier une proportion importante de leur production en Amérique du Nord.
- Si on fait ce travail assez longtemps, les expressions qui restent en tête.
Lorsqu'on parle de CN, on parlait du plus important réseau en Amérique du Nord, mais maintenant, la fusion de CP et de Kansas City à changer la situation.
- Oui, CP demeurent le réseau le plus fort des deux, à cause de son nom, plus importante, de son plus grand dynamisme dans la conquête de nouveaux clients et de nouveaux contrats.
Plus que CN. CN bénéficie d'un réseau trans canadien plus complet, qui s'étend de la côte ouest jusqu'à Halifax. Donc, le réseau est plus complet au Canada, mais CP dispose incontestablement d'une empreinte plus large quand on considère le Canada, les États-Unis et le Mexique.
- Il faut que je change mes observations d'usage au sujet des entreprises lorsqu'elles se mettent en tête de faire des acquisitions. Mais c'est mon problème.
Merci pour votre question, Jeff.
Question suivante: Que pensez-vous de Boeing et de Airbus?
Boeing a tourné le coin ou non? Qui emporte la course à la domination de l'industrie mondiale aérienne?
- Les consultants d'avion sont vraiment au nombre de deux dans le monde, à leur niveau.
Boeing et Airbus. Chacun se porte bien.
Chacun a des carnets de commandes s'étalant sur des années et valeur de centaines de milliards de dollars, ce qui leur donne beaucoup de visibilité. Qui gagne la course?
Airbus, à mon avis, est plus fort des deux jusqu'ici. Comme nous le savons, Boeing a éprouvé des difficultés, surtout au niveau du 787. Plus récemment, il y a eu d'autres problèmes de qualités qui sont survenues.
À l'heure actuelle, Airbus semble toujours en tête.
Mais l'un des grands fournisseurs deux Airbus, Pratt & Whitney, a annoncé la semaine dernière la nécessité de rappeler certains moteurs en raison de problèmes de qualité.
Cela pourrait avoir un impact sur le calendrier de production d'Airbus.
Pour l'instant, le constructeur annonce que tout sera inchangé cette année, mais nous ne savon pas quel sera l'impact de ce rappel.
Les investisseurs surveillaient cela de près.
- Une autre question de secteur dont on n'a pas encore parlé.
Que pensez-vous du secteur des déchets?
- La gestion des déchets est une industrie très intéressante, qui nous plaît beaucoup.
En général, ces entreprises réalisent des bénéfices réguliers, même en cas de baisse de l'activité économique, puisqu'elles disposent de contrats qui s'étend en général sur un à trois ans. Même en cas de récession, les entreprises n'ont pas tendance à réduire le ramassage des déchets. D'abord parce qu'il ne s'agit pas d'une part importante de leurs frais d'exploitation: Un ou 2 % en général. Il ne s'agit donc pas d'une dépense qui est réduite d'emblée. Par ailleurs, une entreprise doit faire ramasser ses déchets chaque semaine ou aux deux semaines pour continuer de fonctionner.
Les revenus du secteur de la gestion des déchets sont donc résiliant.
Un autre élément positif pour les compagnies de gestion de déchets, facteur positif depuis au moins deux ans, c'est que les contrats signés avec les entreprises sont négociés basés sur l'indice des prix à la consommation, c'est-à-dire l'inflation.
Dans un environnement inflationniste comme celui d'aujourd'hui, qui dure depuis 18 mois, pendant lequel inflation est élevée, chaque fois que le contrat est renouvelé, le prix augmente automatiquement, au même rythme que l'inflation.
À moment donné, les prix augmentaient très rapidement lorsque l'inflation était à huit ou 9 %.
Tout ceci se répercute directement sur les résultats définitifs. Chaque augmentation de prix, tant que la compagnie peut maîtriser ses coûts, se répercute directement sur les bénéfices.
Quand on considère le secteur des déchets en général, pour les acheteurs qui achètent et détiennent des actions, ces investissements sont excellents.
Ils dépassent le marché au fil du temps.
Pour ceux qui ont la possibilité d'attendre sur plusieurs années, il peut s'agir de la base d'un portefeuille.
- Quel est le principal risque?
Vous avait dit que les entreprises peuvent transmettre la hausse de l'inflation, mais doivent maîtriser leurs coûts.
- Oui, c'est le principal risque.
Comme tout le monde, le coût le plus important je crois, pour les compagnies de gestion des déchets, c'est la main-d'œuvre. Et nous savons que, surtout aux États-Unis, le taux de chômage a atteint un niveau bas record, tout comme Canada.
Les entreprises doivent payer davantage pour fidéliser leurs employés et en attirer de nouveaux.
La main-d'œuvre représente donc l'un des risques les plus importants.
Pour les entreprises de gestion des déchets, il y a également de fortes dépenses de carburant pour faire circuler les camions qui sillonnent nos rues, la plupart des quais ne sont pas électriques ni à hydrogène.
Il y a donc un risque de fluctuation des produits de base.
- David Mau répond à d'autres questions sur les titres industriels dans quelques instants.
Toujours vos propres recherches avant de prendre des décisions de placement.
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L'industrie canadienne du tourisme s'est fortement redressée depuis la première fermeture de la COVID-19.
Cependant, le rythme de la reprise ralenti. Anthony Okolie se penche sur un récent rapport de Services économiques TD sur l'état du secteur canadien du tourisme.
- Comme vous l'avez dit, trois ans après la survenue de la pandémie, Services économiques TD constate que l'activité de l'industrie canadienne du tourisme est toujours largement inférieure à la normale. Le rythme de la relance a ralenti à cause de la hausse des taux d'intérêt, du ralentissement du marché du travail et de ralentissement cyclique mondial général.
Le tourisme est à répartir en deux groupes: Les déplacements internationaux et les déplacements intérieurs.
Statistique Canada utilise le nombre de visas d'entrée de non-résidents pour mesurer les voyageurs étrangers, comme le graphique le montre, au niveau canadien, la reprise de l'activité du tourisme international semble ralentir après un rebond assez net par rapport à l'année 2021.
Depuis le début 2023, nombre de non-résidents voyageant au Canada a augmenté de 1,2, à presque 3,3 millions de voyageurs. C'est toujours inférieur de quelque 20 % au pic d'avant la pandémie.
Il y a une source clé de faiblesse, c'est l'absence du tourisme en provenance de Chine. Pendant les cinq premiers mois de l'année, selon Services économiques TD, le nombre de touristes chinois visitant le Canada était inférieur de 80 % à ce qu'il était pendant la même période en 2019.
En revanche, Services économiques TD déclare que l'activité des touristes américains, ainsi que celle des touristes en provenance de l'Inde, dont le nombre a plus de doublé par rapport à avant la pandémie. Les données de l'autorité canadienne de sécurité du transport aérien, montre que l'activité de partager en 2023 surpasser à compter du mois de juillet les résultats de 2019. Et les données sur les dépenses montrent que l'activité de tourisme intérieur a diminué moins que l'activité internationale pendant les confinements, et que la relance a été plus rapide.
À compter du premier trimestre de cette année, les dépenses de tourisme intérieur ajusté en fonction de l'inflation sont parvenues à 90 % du niveau d'avant la pandémie, par rapport à 80 % pour les voyages internationaux.
On peut donc être optimiste à l'idée que les dépenses de voyage intérieur ont nettement rebondi.
Services économiques TD note que les tendances de relance du tourisme diffèrent d'une province à l'autre.
D'une part, la Saskatchewan est derrière toutes les autres provinces, avec presque 40 % de moins que la moyenne. Le tourisme québécois connaît une relance beaucoup plus rapide que celle du reste du Canada.
En effet, le Québec bénéficie de millions de dollars de financement de la société de développement économique canadienne pour la région du Québec.
Alors avec la demande satisfaite de visiteurs internationaux, la demande va sans doute commencer à progresser pendant le trimestre à venir, alors même que le marché du travail aux États-Unis et au Canada ralenti.
- C'est une tendance progressive qui ralenti, mais qui continuera, même si c'est plus lentement.
À moment donné, nous allons revenir au niveau pré pandémie. Quand?
- Selon Services économiques TD, il est peu probable que les niveaux pré pandémie seront surpassés avant 2025, comme le montre le graphique.
Cette reprise se fera, mais à une échéance de quelques années. Il y a un certain nombre de facteurs négatifs qui retiennent augmentation de déplacement.
Tout d'abord, on prévoit que la reprise du marché du travail canadien va s'essouffler pendant le deuxième trimestre. En outre, la hausse des taux d'intérêt oblige les ménages à consacrer une plus grande partie de leurs revenus au remboursement de la dette. Ces deux facteurs vont numéro dépensent de voyage intérieur. Enfin, plusieurs trimestres de croissance économique inférieure à la tendance aux États-Unis vont plomber les arrivages en provenance du principal marché du tourisme Canada. En revanche le dollar canadien devrait demeurer plus bas l'an prochain, ce qui compenserait en partie ses autres facteurs négatifs.
Je pense qu'il faut faire notre part. Il faut aller à Aruba pour l'été, ou encore monter en voiture et parcourir nos routes.
Anthony Okolie. À présent, un coup d'œil sur les marchés.
Nous jetons un coup d'œil sur la plate-forme avancée conçue pour les négociateurs actifs proposés par Placements directs TD. Voici la carte thermique qui permet de jeter un coup d'œil sur le marché. Il s'agit du TSX 60, en fonction du prix et du volume.
Le volume étend représenté par la superficie de chaque case.
Kinross Gold occupe un espace considérable.
Il est en hausse d'un peu plus de 2 %.
Dans le secteur de l'énergie, il y en a qui progresse légèrement, mais en revanche, il y a du rouge à l'écran, notamment chez First Quantum, FM, juste à côté de Kinross.
Un peu plus de 2 %. Shopify est toujours suppression, mais qu'USR, tout en bas au coin, il s'agit de Restaurant Brands International, la société mère de Tim Hortons.
Tim Hortons et Burger King Montagné des ventes impressionnants pendant le dernier trimestre.
On peut également jeter un coup d'œil sur d'autres indices. Voici le S&P 100.
Certaines faiblesses au niveau des constructeurs de plus. AMD recule de 3,6 %.
Nous parlions de certaines des banques de plus petite taille qui ont été touchées par une rétrogradation de Moody's.
L'agence de notation évoque les mêmes préoccupations qu'au printemps. Taux d'intérêt plus élevé, valeur inférieure pour les actifs à revenu fixe, fuite des dépôts. Cela semble avoir des répercussions sur le secteur bancaire américain dans son ensemble, y compris l'action de Bank of America, en baisse de 2,7 %. Mais voilà du vert à l'écran, avec LLY . C'est Eli Lilly, qui bondit de 16 % grâce à la forte demande de ce médicament contre le diabète.
Vous pouvez trouver davantage de renseignements sur la plate-forme avancée.
David Mau de Gestion d'actifs TD répondent à vos questions sur le secteur industriel.
Pourquoi les valeurs de défense sont-elles à la traîne du marché?
- Il est vrai que le secteur de la défenses a déçu récemment. Mais si on prend plus longtemps, qu'on remonte au mois de février dernier avec l'invasion de l'Ukraine par la Russie, la plupart des actions de défense en Europe et aux États-Unis ont été nettement revalorisées.
À partir de ce moment-là jusqu'à aujourd'hui, le secteur de la défense a surclassé l'ensemble du marché.
Mais depuis quelques trimestres, deux ou trois trimestres, sans doute depuis le début de cette année où la fin de l'an dernier, les titres de défense ont nettement été à la traîne par rapport au reste du marché. Première raison: Lorsque l'invasion russe s'est produite en février, les marchés ont sans doute eu une réaction excessive au niveau du cours des actions, lesquelles ont grimpé à l'excès.
Il a tendance à la baisse depuis lors.
L'on s'est aperçu que le secteur de la défense est un cycle long. Depuis le moment où un gouvernement s'engage à financer un projet de défense jusqu'au moment où ces dépenses sont approuvées, puis les devises sont reçues, puis le contrat est conféré à une entreprise ou un groupe d'entreprises, tout ceci prend des années, parfois même plus que plusieurs années. Il s'agit d'un cycle vraiment très long.
donc un engagement aujourd'hui à dépenser pour tel ou tel projet pourrait ne pas se répercuter sur les états financiers d'une compagnie avant cinq ou six ans.
C'est un secteur article long, comme je le disais.
Or, la réaction au mois de février dernier a sans doute été excessive au niveau du cours des actions des compagnies de défense.
Mais quand on tient compte de l'instabilité politique dans le monde, la guerre russo-ukrainienne ne n'est toujours pas réglée. Il y a également le problème sino taïwanais, puis le Moyen-Orient, et puis d'autres régions en Afrique.
Il y a beaucoup d'instabilité. Alors je ne vois pas vraiment les gouvernements réduire leur budget de des fonces de sitôt. Je de défense toujours très bien positionnée.
Merci pour tous ces aperçus. David Mau, Gestion de Placements TD. Faites toujours vos propres recherches avant de prendre des décisions de placement.
Demain, Andres Rincon, responsable des ventes de la stratégie des FNB à Valeurs Mobilières TD, répondre à vos questions sur les fonds négociés en bourse. Vous pouvez me les poser déjà par courriel à moneytalklive@td.com.
Merci et à demain!