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(musique) - Bonjour! Ici Greg Bonnell. Bienvenue à Parlons Argent en direct, une émission de Placements directs TD. Aujourd'hui Jennifer Nowski de Gestion de Placements TD nous dira si les actions de mines d'or vont rattraper la remontée du métal précieux. Mario Mendonca de TD Cowen réagit aux derniers résultats des banques canadiennes. Et David Sekera de Morningstar Research nous explique pourquoi les actions axées sur la valeur méritent d'être réexaminées. Nous poursuivons la découverte de CourtierWeb.
Hiren Amin nous montre comment filtrer les actions reliées à l'intelligence artificielle. Mais d'abord, un coup d'œil sur les marchés en ce dernier jour de bourse de la semaine.
L'indice TSX composite progresse modestement.
C'est mieux que ce qui se passe à New York, une hausse de 22 points, un dixième de pour cent.
Parmi les actions qui bougent aujourd'hui, London Mining portée par la hausse du cours du cuivre augmente de quatre et demis pour cent à 13,54 $ l'action. Comme vous le voyez progresse depuis le début du mois de mars.
Premium Brands annonce ses derniers résultats et les milieux financiers ne sont pas impressionnés! Recule près de 4 %.
Aux États-Unis, nous entrerons dans le détail dans un instant, de l'annonce de la Fed de la semaine prochaine.
Les statistiques de l'inflation paraissent cette semaine que les marchés cherchent à assimiler à 5118 points. Indice S&P 500 recule de 31 poins, soit un peu plus de 2 %. L'indice Nasdaq est également sous pression avec recule 145 ; presque 1 %.
Certains des poids-lourds de la technologie sont sous pression y compris Apple.
Rien de grave, mais à 171,03 $ l'action recule un peu plus de 1 %.
La semaine a été très occupée et la semaine qui s'en vient le sera aussi.
Antony Okolie préfigure le grand événement de la semaine prochaine. Oui, la décision de la Fed sur les taux.
Qui dépend en partie des données qui ont paru cette semaine.
Commençons par les statistiques de l'inflation plus élevée que prévu.
Les prix américains à la consommation, l'inflation des prix de groupe. Tout d'abord l'IPC, inflation globale être conforme au consensus, sur une base de 12 mois. L'IPC s'établit à trois pour cent, c'est-à-dire plus élevé qu'au mois de janvier. Ceci a également marqué le deuxième mois de suite ou l'inflation de base était plus élevée que prévu. C'est un indicateur que la Fed scrute de près. Les prix des producteurs aux États-Unis étaient plus élevés que prévus.
On a parlé des rendements du bon du Trésor à 10 ans. Qui ont atteint le sommet depuis plusieurs semaines. La production d'usine américaine a augmenté plus que prévu en février. Les marchés s'inquiètent à l'idée que ces données économiques sont trop positives pour que la Fed puisse réduire les taux.
- Ces chiffres sont plus élevés que prévu.
C'était intéressant de voir la réaction des marchés boursiers.
Au début, ils ont semblé faire la part des choses, jusqu'à ce que la réaction se fasse sentir. On a commencé à 406, rendement 10 ans, mettons ensemble 4,3. 10 une progression de 20 points de base depuis deux jours pour le marché obligataire devient plus prudent. Qu'en pense service économique des valeurs mobilières TD?
- La réunion de la (...) prochaine que le marché prévoit que la banque va maintenir ses taux.
Mais les marchés ont nettement réduit la voilure en ce qui concerne les paris relatifs au taux.
Le président de la Fed Jérôme Powell a bien dit qu'il ne devait pas avoir de coupure de taux en mars. À l'heure actuelle, on prévoit deux points de base de coupe (....) alors qu'il n'y en aura pas. Les marchés envisagent une coupure de 25 % juillet, et encore 1 point de base entre 2024 et 2025.
Valeurs mobilières TD prévoit encore une fois qu'il n'y aura pas de coupure la semaine prochaine et que la Fed recommence à réduire les taux à la réunion du mois de mars.
Nous prévoyons que la Fed va pratiquer cinq coupures 2024, et 5 coupures 2025, ce qui amènera le taux terminal à 3 %. Ce qui permettra d'éviter une récession.
Le pronostic intéressant. Merci Antony Okolie!
Vous venez d'entendre Antony Okolie. À présent, un coup d'œil sur l'actualité du monde des affaires et sur les marchés.
Les actions d'Adobe sont sous les feux de la rampe. L'éditeur de logiciels a dépassé les prévisions pour le dernier trimestre les prévisions de vente déçoivent les investisseurs.
L'action d'Adobe recule de 14 %.
Bien sûr, les actions avaient beaucoup progressé depuis un an, dans un contexte d'enthousiasme à l'égard de ces outils intelligence artificielle.
Ulta Beauty voit le cours de son action reculer de 4,7 %.
En raison de la hausse des coûts de son approvisionnement et des promotions qui affectent le bénéfice, le détaillant de produits de beauté prévoit un bénéfice annuel inférieur aux attentes.
L'action avait atteint de nouveaux services quelques séances, aujourd'hui un peu de recul pour une terre.
Le giron de la restauration rapide McDonald's a subi une panne technique aujourd'hui qui a affecté ses activités dans plusieurs pays.
Notamment ici au Canada, au Japon, et au Royaume-Uni. Selon certaines informations et le magasin au Japon ont cessé de reprendre des commandes avant de se remettre en ligne. McDonald a déclaré que la panne n'était pas due à un incident de cybersécurité.
L'action de McDonald recule modestement un peu plus d'un demi pour cent.
À présent, les grands indices. L'indice de Toronto est à la hausse de 10.
.Très modestement, soit 0,05 %. Aux États-Unis, certain recul des marchés boursiers après une semaine bien occupée et dans l'attente d'une semaine bien occupée la semaine prochaine. À 5117..
Les titres que le 33 ; un peu plus de 8 %.
Un nouveau rapport sur l'inflation plus élevée que prévu aux États-Unis, ainsi que les investisseurs se demandaient quand la Fed pourrait être de retour les taux d'intérêt. Qu'est-ce que cela pourrait signifier pour la récente hausse record de l'autre?
Jennifer Nowski de Gestion de Placements TD m'a rejoint pour en discuter.
- La remontée de l'or que nous avons constatée récemment a puissamment contribué à la demande des banques centrales. Les banques centrales sont acheteuses d'or depuis plus d'une décennie. Ils veulent s'éloigner du dollar américain dans le réserve. Depuis deux ans, les achats ont été historiquement élevés.
Cette tendance se poursuit, mais en plus, il y a les préoccupations géopolitiques à la hausse, les sanctions, et les achats importants de Chine. Ce qui est délicat, c'est qu'avec les HD vont s'en travailler difficile de savoir combien vont acheter dans une année donnée.
Il y a également la hausse des taux réels depuis deux ans, ainsi que l'amenuisement de la demande des investisseurs, comme on le voit dans les sorties de fonds des FNB d'or et de métal. Le rendement américain réel sur 10 ans était à -1 % à la fin de 2021, aujourd'hui, il est à près de 2 %.
Il s'agit d'une forte augmentation des rendements réels, est un facteur négatif pour l'autre qui ne rapporte pas de rendement. Vous voyez que cela réduit l'investissement, demandez investisseurs comme on le voit par les sorties de fonds des FNB d'or et de métal.
La perspective des taux pourrait changer comme vous l'avez dit. L'inflation a reculé par rapport au sommet qu'elle avait atteint. Les marchés envisagent de plus en plus que la Fed pourrait réduire les taux.
Cette question fait encore débat comme vous y avez fait allusion avec les statistiques de l'inflation.
Les taux de l'or évoluent en réponse aux attentes changeantes entrecoupées de tous par la Fed. Si celle-ci pratiquait une coupure de taux, cela pourrait réduire les taux réels, ce qui paraît une orientation pour l'or et pour renouveler l'intérêt d'investir dans les grandes catégories d'actifs. Se pose beaucoup de choses car du métal précieux, et que dire des mines d'or? Des actions de mines d'or?
Comment se comporte-t-elle?
- En 2003, l'or était en hausse de quelque 5 %, alors que le cours de l'or a progressé de 13 %. Les mineurs sont à la traîne. Surtout à cause des coûts. Compte comme dans le reste de l'économie, les sociétés minières ont subi une inflation des coûts.
Particulièrement élevé, la main-d'œuvre, le carburant parfois, d'autres intrants.
Tout augmente.
Quant aux orientations données en matière de coût, d'après les pronostics des compagnies pour 2024, il y aura une hausse de coût, mais ce ne sera pas aussi important depuis deux ans environ.
Du moins probablement pas il y a un autre facteur propice au niveau des coûts, ce sera l'amélioration des opérations. Le dernier ainsi a été assez défavorable pour le fonctionnement de certaine ce qui a eu des conséquences au niveau des coûts.
Si les coûts augmentent moins que le cours de l'or remonte, cela sera favorable aux actions dominantes.
- Comprend les actions de mines d'or, il y a toute une gamme de sociétés de profil de risque.
Depuis les sociétés d'explorations qui n'ont pas de production, jusqu'au producteur historique qui possède plusieurs mines une vaste base de production.
Dans ce dernier groupe de sociétés de mines d'or à grande capitalisation historique, les choses ont changé par rapport au dernier cycle. Financièrement, ils sont bien mieux placés.
Leur endettement est au bas de l'échelle.
Le rapport de la dette nette au bailleur pour l'éminence historique est à cinq ou six fois.
Les projets d'immobilisation sont moins élevés à 2000,11 $ que le groupe de sociétés historiques à trois et demis pour cent des flux de trésorerie disponible. - Intéressante analyse non seulement de l'or, mais des sociétés de mines d'or qu'il extrait. Que dire du secteur de l'énergie? C'est un secteur qui est très volatil et que des fluctuations du cours du brut.
- Le cours du pétrole continuera d'évoluer dans une certaine fourchette. Le marché est toujours très équilibré, la clé réside dans le petit peu plus et sa discipline en ce qui concerne le maintien d'une production limitée. Quant à la demande de pétrole, 2003 est une très belle année pour la demande de pétrole surtout parce que la Chine mis fin à son confinement et la demande pétrole rebondit.
Cette année, il est probable que le la demande pétrole reprendra sa corrélation normale avec la croissance du PIB mondial.
La direction pourrait être quelque peu positive et pas dans la même rigueur que l'an dernier.
C'est l'offre ou la situation plus mitigée. Il y a certaines régions du monde la l'approvisionnement de bande, les États-Unis, la Guyane, le Brésil.
Pour n'en nommer que quelques-uns. En revanche, plus une production artificiellement basse afin de maintenir l'équilibre du marché.
Pour cette raison, les pays de l'OPEP+ ont également capacité excédentaire.
Les marchés s'attendent à ce que l'OPEP+ continue de faire preuve de discipline que le marché reste équilibré.
Toutefois le cours du produit brut qui fluctue dans certaines fourchettes comme vous l'avez dit, qu'est-ce que cela signifie pour les actions de pétrole et de gaz? Sachant qui confond les actions, en définitive que le coût est influencé par le compte pétrole.
Les données fondamentales des entreprises sont très bonnes.
Avec les cours élevés du pétrole depuis quelques années, les sociétés pétrolières ont pu se désendetter considérablement. Le ratio de la dette nette au bailleur est de 3,6 fois pour les sociétés grandes capitalisation. La discipline au niveau de la répartition des capitaux est à l'ordre du jour pour ces entreprises et cela se poursuit. Ne pas engager de plans d'immobilisation très audacieux. Nous venons de connaître les orientations pour 2004, tout secteur. Cela varie, mais les immobilisations semblent échanger de la production est légèrement en hausse.
Le flux de trésorerie disponible généré par ces entreprises au cours actuel du brut essentiellement restitue aux actionnaires sous forme de dividendes et de rachat d'actions.
Il y a eu quelques fusions et acquisitions dans le secteur, mais globalement, je pense que cela n'a pas diminué cette concentration sur la discipline en matière de capital.
À 75 $ du prix de référence WTI, les compagnies historiques nord-américaines auraient un flux de trésorerie disponible à un chiffre.
Encore une fois sur le soutien au bon moment pour les actionnaires. Il y a cette exposition au cours du brut de faire évoluer celui des actions. Sache nous avons parlé de l'autre, l'énergie et du pétrole. Parlons du cuivre. Qu'en pensez vous?
- Je suis optimiste à l'égard du cuivre pour l'année à venir environ. Nouveaux au niveau de l'offre, il est certain nombre de difficultés.
La demande est sans doute plus élevée qu'on le pensait l'an dernier, surtout à cause de la Chine. La Chine avait eu des difficultés avec son marché immobilier.
Mais cela est compensé par les dépenses qui continuent en matière d'infrastructures, surtout pour la transition énergétique, les énergies renouvelables que le réseau électrique. En ce qui concerne l'offre, ça va beaucoup changer les perspectives pour 2024.
L'année dernière, la production du Chili était en baisse, les entreprises faisaient des annonces moins ambitieuses au niveau du cuivre pour 2024, ce qui réduit les pronostics de production de cuivre.
Il y a également eu des problèmes géopolitiques.
À cause de troubles civils, la mine de Cobre Panama a été arrêtée, ce qui réduit d'autant l'offre. Les perspectives pour Cobre Panama sont très incertaines. Les marchés attendent la prochaine élection Panama pour connaître l'avenir de cette mine.
D'ici là, la balance du marché du cuivre semble très serrée. Les stocks sont faibles et tout cela est favorable au cours.
- Vous venez d'entendre Jennifer Nowski de Gestion de Placements TD.
À présent, poursuivons la découverte de CourtierWeb.
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Nous abordons, quand nous abordons là le les résultats des banques, les analystes s'inquiétaient des conséquences et aux autorités problèmes de l'immobilier commercial pour les bénéfices.
Kim Parlee s'entretient avec Mario Mendonca de TD Cowen.
Il y a des préoccupations niveau du levier d'exploitation des banques. La cause brutale des dépenses de la baisse des revenus du marché des capitaux de la majoration de fond. Le ralentissement de la croissance des bilans.
Principalement pour ces raisons, j'avais ramené le groupe en décembre d'une sous-pondération à une pondération inférieure à celle du marché.
Au vu des résultats du premier trimestre à l'approche du deuxième trimestre, il y a beaucoup de facteurs qui m'auraient incité à faire preuve d'une certaine prudence qui commence à s'atténuer.
Les ratios de fonds propres semblent solides, on anticipe un levier d'exploitation positif pour tout le groupe au deuxième trimestre.
Les revenus liés aux marchés de capitaux se sont améliorés si les taux d'intérêt baissent au deuxième trimestre que cela pourrait soutenir la croissance du bilan.
Du point de vue des bénéfices, enfin avant impôt et provision, le contexte familial.
Je m'attends de meilleurs résultats de la part des banques canadiennes. Comme vous l'avez dit, les (...) et ne déçoivent pas.
Contrairement à 2023. En fait, au premier trimestre 2024, toutes les banques ont atteint ou surpassé les attentes à part BMO.com pour les bénéfices avant impôt et provision. Les crédits risquent de se détériorer sitôt. Sachez qu'on en parle.
Dans votre rapport vous mentionnez qu'il s'agit du septième trimestre consécutif de baisse. A atteint le creux de la bague?
Est-ce qu'on commence à remonter la pente?
- Parlez-moi de ce que vous surveillez comme cycle de crédit. Quels indices vous mètrent sur la piste de ce qui pourrait arriver?
- Il faut bien souligner que le bénéfice avant impôt et provision et augmente.
C'est le côté positif.
Pas encore le crédit se détériore. Cette détérioration est attribuable au prêt personnel, quatre crédits, les lignes de crédit, des prêts automobiles, les prêts remboursables par versements. Ces prêts représentent une importante proportion du solde des pros Canada, on voit une hausse très nette des prêts, ce qui est logique vu à la hausse des cas d'insolvabilité. On informe les pertes sur créances. Ils sont en augmentation par la hausse des pertes sur créances n'est pas problématiques en soi.
Qu'on s'y attendait. La question est de savoir si elles augmentent plus vite que prévu. Est-ce qu'elles augmentent plus rapidement que les banques ne s'y attendaient?
Si le crédit se détériore à un rythme plus soutenu que ce qu'anticipent les banques, où la plupart des analystes, on observe un effet négatif sur les bénéfices, ce qui risque de miner la confiance. On peut soutenir que les crédits se détériorent plus rapidement que les banques ne l'anticipaient ou que je ne l'anticipais.
Il semble que ce soit fortement liée aux attentes à l'égard des taux. Si on revient six mois en arrière, tout - La baisse des taux pourrait avoir un impact plutôt favorable sur la croissance du bilan et des prêts vers la fin de cette année.
Je suppose que c'est ce que vous attendez.
Vous dîtes qu'il serait prématuré d'être plus optimiste pour le groupe à ce stade.
Vous attendez que d'autres signes se manifestent.
- Le plus important pour moi, c'est la hausse des bénéfices avant impôt et provision. Je peux affirmer avec une grande confiance que les paramètres fondamentaux sous-jacents comme levier d'exploitation et la croissance des bénéfices avant impôt et provision et le ratio de fonds propres s'améliore fortement.
Si je reste relativement prudent à l'égard du groupe, c'est parce que je surveille la détérioration liée au crédit. Je ne veux pas et que les prêts hypothécaires ont explosé que les banques canadiennes seront aux prises avec le faible ratio.
Pas du tout. Je dis que la hausse S'attendait à des baisses de taux en ce moment même. Ne sont pas au rendez-vous mais elles arriveront peut-être en juin au plus tard.
- Pourriez-vous nous parler de la sensibilité aux autorités aux effets dont il est question aujourd'hui?
- Les taux ont un impact général sur les banques. Les baisses de taux allègent un peu la pression sur les consommateurs.
Surtout sur les prêts hypothécaires à taux fixe qui arrive à échéance les prêts à taux variable. Quand les taux d'intérêt baissent, c'est positif pour le crédit.
L'effet n'est pas immédiat. Il y a un décalage. Le crédit ne s'est pas détérioré quand les taux ont augmenté. Il a fallu du temps. Il en va de même pour qu'on l'est obèse pour que les taux baisseront les conditions de crédit vont s'améliorer mais en décalé. L'autre point important c'est que la baisse des taux pourrait relancer la demande de prêt. C'est un point très pertinent mais une grossièreté un prêt lié à l'offre et à la demande. Les fonds propres des banques sont été ont été limités, offrant restreint la demande.
Conjugué au bon ratio de fonds propres de la baisse des taux pourrait constituer la hausse des pertes sur créances les bénéfices des banques avec la confiance des investisseurs.
Passé ce stade, je pourrais relever avec confiance la cote des banques. Ça se produira peut-être bien plus tard dans l'année.
- Très bien. Prenons chaque banque une par une. Commençons par la CIBC. Vous l'avez revu à la hausse après la publication, vous recommandez l'achat plutôt que la conservation. Qu'observez-vous?
- La banque CIBC observait le cours de bénéfice le plus faible du groupe. Les facteurs attribuables à ce faible ratio on commence à s'estomper. Je vous donne un exemple la banque subit de fortes pertes sur créances à cause de l'immobilier commercial américain. Afin de ce trimestre la CBC dit que les pertes sont en baisse et ont atteint leur point culminant.
L'important pour moi c'est que ces pertes diminuent sur l'immobilier commercial américain. La banque affichait un faible ratio de fonds propres qu'à peser sur la croissance de son bilan.
Ce ratio est remonté à 13 %.
De plus, CBC avait un levier d'exploitation assez élevée pour les bénéfices avant impôts et provisions se sont améliorées.
Des facteurs qui expliquent les sentiments négatifs à l'égard de la CBC se tournent désormais en sa faveur. La somme était résonnant dans le contexte de cette faible évaluation d'exprimer des perspectives plus optimistes. Pensons à BMO qui se situe à l'autre extrémité de la gamme.
C'est la seule banque n'a pas été à la hauteur des attentes. Pourquoi?
- C'est vrai.
Pour moi, c'est dû en grande partie au contexte du quatrième trimestre au trimestre dernier, à BMO a suscité une vague d'optimiste avec la réduction des coûts et une acquisition. Ces estimations étaient un peu élevées.
La BMO affiche un trimestre décevant avec une baisse des marges dans le segment des grandes entreprises. Les revenus liés au frais, les revenus liés au marché des capitaux. Levier d'exploitation négatif.
Tous ces facteurs ont contribué aux piètres résultats de BMO notamment pour les pertes sur créances. Notamment sur les prêts productifs. Je pense qu'on verra ce premier trimestre 2024 comme un point d'inflexion pour BMO. La banque a déclaré que ses revenus seraient au plus bas au premier trimestre les dépenses culminera, ce qui laisse présager une solide levier d'exploitation deuxième trimestre et au-delà.
Le premier trimestre a perçu comme un point d'inflexion pour BMO à mon avis.
- Très bien.
Scotia Bank fait partie des banques qui ont surpassé les attentes.
Qu'en pensez-vous?
- Vous fait une remarque intéressante en conclusion de votre rapport. Vous dîtes que la capacité de la Banque Scotia dégagée moins de bénéfice est plus claire.
Qu'est-ce que vous entendez par là?
- C'est très important, parce que les banques peuvent surpasser les prévisions pour deux raisons, soit les résultats sont vraiment bons, soit les attentes étaient trop basses.
Aucune autre banque n'a vu ces estimations pour 2024 reculer plus en 2023 que la station. J'entends par là que les analystes ont considérablement revu à la baisse les prévisions de bénéfices pour l'Arcoxia. C'est donc plus facile de les surpasser.
Ces résultats ne sont donc pas forcément meilleurs mais les attentes sont faibles et c'est une bonne chose parce que les investisseurs auront plus de facilité à acheter des actions de la station sachant qu'il n'y a pas de mauvaises surprises. Le problème c'est qu'il reste beaucoup de questions à régler.
Elle doit réduire les prêts hypothécaires générés par les courtiers au Canada, accroître les dépôts Canada, peut-être réduire sa présence en Amérique latine.
Elle devra régler ces grandes questions épineuses au cours des prochaines années.
Je préfère me tenir à l'écart pour cette banque, et m'abstenir de recommander l'achat pendant cette phase de changement.
La banque doit d'abord me convaincre réussi à opérer ces changements avant que je ne change d'avis. Je n'en suis pas là pour l'instant. Je recommande certainement pas l'achat.
- OK. Là aussi on devra attendre les résultats des prochains trimestres. La RDC pour finir. Elle affiche depuis toujours une prime de valorisation de six à 8 % par rapport au groupe. Est-ce encore justifié à l'heure actuelle? Qu'est-ce que vous constatez? Cela je pense que oui.
Pour moi la RDC cherche une solide combinaison au Canada, beaucoup d'activités sur le marché des capitaux.
L'un des chefs de file de la Gestion de Patrimoine TD, ce modèle diversifié me conforte dans l'idée que c'est une bonne valeur à détenir. Ceci dit, deux points me posent problème.
D'abord la filiale américaine connaît une période houleuse. C'est le cas depuis un an. RBC déploie beaucoup d'efforts pour corriger la situation, mais soyons honnêtes: quand une banque est très bien évaluée affiche de mauvais résultats dans un segment, on se doit d'être clair à ce sujet. Je pense que RBC est en train de redresser la situation, mais ce sont sans aucun doute un échec.
L'autre point important, c'est l'acquisition de HSBC Canada, une opération de très grande envergure.
L'achat et l'intégration d'une institution aussi importante ont tendance à entraîner des résultats chaotiques dans les premiers trimestres. Aucun doute quant à la qualité de l'action. On recommande l'achat. À court terme on s'attend à un peu de flottement lors de l'intégration. À long terme, elle mènera à deux forces baisse de coût des ventes croisées. Ce sera une activité structure.
À court terme il y aura des moments difficiles.
- Vous venez d'entendre TD Cowen qui s'entretient avec Kim Parlee de MoneyTalk.
TD Cowen course CBC, BMO, CIBC et quotient. Pour plus d'informations, le sien un lien vers les sociétés couvertes se trouve à la fin de la vidéo.
Comme toujours, faites vos propres recherches avant de prendre une décision de placement.
À présent, coup d'œil sur le marché.
Voici les plates-formes avancées conçues pour les négociateurs actifs écho proposés par Placements directs TD. Voici la carte thermique qui permet de visualiser les actions qui bougent. Voici les 10 TSX 60 fonction du cours et de volume. L'indice composite essentiellement inchangé aujourd'hui.
Le tableau est mitigé. Commençons par le vert à l'écran.
En ce dernier jour de la semaine, soyons positifs. First Quantum est en hausse de cinq et demis pour cent. Il y a des problèmes à la mise Copre, au cours du cuivre toutefois non remonté depuis plusieurs sessions ce qui fait remonter beaucoup les actions de mines de cuivre.
Cameco tout en bas de l'écran intervient est en hausse d'environ 3 %. Le producteur d'uranium. Toutefois certaines faiblesses chez Shopify, en baisse de 1 1/2 %.
Et la situation est très mitigée dans le secteur de l'énergie. Aux États-Unis, indice S&P 500, tandis que la Fed doit prendre une décision sur les taux mercredi prochains, les statistiques d'inflation aux États-Unis, IPC, prix de gros sont plus élevés que le marché ne s'y attendait. La situation est donc mitigée là aussi.
Hadopi recule considérablement de 14 % à cause de prévisions de ventes décevantes les fabricants de puces sont à aujourd'hui. C'est AMD qui progresse de plus de 3 %. Tandis que Nvidia après une remontée très impressionnant depuis un an et très légèrement en hausse aujourd'hui.
- Pour vous renseigner sur la plate-forme avance, visitez le site Web de Placements directs TD. Parlons des technologies. Les grandes compagnies de technologie ont ouvert la voie de nouveaux sommets pour les marchés boursiers. Certains investisseurs pour rechercher des occasions au-delà de cette magnifique.
Des vétérans de Morningstar Research m'a rejoint plutôt pour évoquer les occasions potentielles des actions de valeur.
- Les motions progressa quelques pour cent au-delà de notre évaluation de la juste valeur. Ce n'est pas encore une survalorisation de cela comme ça paraît un peu étiré.
Donc quand on ventile nos valorisations, hostiles selon Morningstar Research la valeur qui demeure sous valorisées pour les investisseurs aujourd'hui.
Quand je songe à ce qui s'est produit sur le marché depuis 16 mois, il y a un nombre croissant c'était sous valorisées, la technologie était l'un des secteurs les plus valorisées selon notre modèle.
Tous ces secteurs ont tellement progressé si loin et si vite que plusieurs d'entre eux sont largement sur valorisées. Les actions axées sur la valeur sont à la traîne. Pour l'avenir, pour que les actions axées sur la valeur surclassent, il faut que les investisseurs à contre-courant de ce qui a marché depuis un an et commence à tirer le jus dans certains secteurs valorisés dans certaines des bénéfices au rendez-vous. Il faut aller à contre-courant. Nous approfondissons les actions qui sont délaissées, qui suscite la méfiance des marchés, qui ont déçu depuis un an.
Et que nous considérons comme étant sous valorisées.
Alors selon votre travail, David, vous avez trois corbeilles. Commençons par les services publics.
- Les services publics sont très corrélés au taux d'intérêt. Beaucoup d'investisseurs utilisent les services publics comme substitut des titres à revenu fixe lorsque les taux étaient très bas il y a deux ans pour le secteur des services publics abaissés l'automne dernier quand le rendement du bon du Trésor à 10 ans est monté en flèche au-delà de 4 %.
Le secteur des services publics à remonter quelque peu, mais essentiellement, les perspectives des services publics sont aussi bonnes qu'elles ne l'ont jamais été.
Notre équipe d'analystes spécialisés note un fort potentiel de croissance. La tradition à l'énergie renouvelable, il y a beaucoup de potentiel de croissance, beaucoup de dépenses du gouvernement de l'infrastructure et la modernisation du réseau électrique. Fondamentalement la situation semble très positif pour l'avenir.
Quand je parle à notre équipe d'économistes américains, il pense que les taux d'intérêt vont décliner sur toute la courbe au deuxième semestre de cette année.
Donc avec de bonnes données fondamentales et le coup de pouce du à la baisse des taux d'intérêt, ces secteurs étaient d'excellents résultats.
- Voilà le scénario optimiste qu'est-ce qui pourrait entraver sa concrétisation?
- Bien sûr, si les taux d'intérêt demeurent élever, cela va exercer une pression sur le secteur des services publics, beaucoup plus qu'on ne le pense.
C'est la saison du budget à Washington. Si le budget était remanié, si l'on commençait à retrancher des dépenses d'investissement dans l'infrastructure, surtout le réseau et l'infrastructure en général, cela exercera une certaine pression sur notre thèse.
Vous vous intéressez également au secteur de l'énergie.
Le secteur de l'énergie, globalement, offre un rabais considérable par rapport à la juste valeur pour le secteur de l'énergie me plaît pour plusieurs raisons.
Tout d'abord fondamentalement lorsqu'on considère les valorisations, on note que le cours du pétrole prévu sur deux ans, nous pensons dans notre modèle que le cours du pétrole va commencer à descendre jusqu'à notre objectif de 55 $ le baril que nous pronostiquant pour le milieu du cycle.
Après la deuxième année nous prévoyons des cours plus bas. Même avec ses cours plus bas, modèle nous montre toujours que ces actions sont sous valorisées aujourd'hui.
Cela donne également votre portefeuille une bonne couverture naturelle. Si nous avons tort que l'inflation demeure élever plus longtemps, cela nous apprenons ce scénario me fit une bonne couverture naturelle portefeuille soit face aux risques géopolitiques.
Le désavantage, c'est que si la demande diminue plus rapidement que nous prévoyons, nous pensons que la demande va continuer d'augmenter d'ici deux ans, atteint le plateau à la fin de la décennie commence à diminuer.
Ou encore il y a beaucoup plus de forage aux États-Unis, où ici il y a beaucoup plus d'offres qui misent en marché, cela pourrait faire baisser les cours du pétrole plus rapidement que nous le prévoyons.
Est-il difficile alors de créer une thèse au sujet de l'énergie? Il y a les conflits géopolitiques, l'économie chinoise de la demande de pétrole brut.
Il y a tellement d'éléments à prévoir dans ce secteur!
- Oui, c'est pourquoi notre équipe de l'énergie travail main dans la main avec notre équipe qui analyse économie américaine au rétro. La courbe prévisionnelle d'offres et de demandes du cours du pétrole.
Pas nécessairement court terme, mais tout au long du cycle économique.
Voilà comment nous parvenons à ce prix de 55 $ le baril au milieu du cycle économique pour le bruit de référence américain 60 $ le baril pour le pétrole de la mer du Nord.
- Passant un autre domaine. Vous avez dit qu'il y avait trois corbeilles la troisième heure immobilier. Très sensible au taux d'intérêt.
- Non seulement cela, mais l'immobilier est très sensible au taux d'intérêt. Il s'agit de la catégorie d'actifs la plus détestée sur le marché aujourd'hui.
Personnellement je me méfiera toujours des immeubles de bureaux urbains. Il pourrait y avoir des pressions à la baisse les valorisations pour la bonne nouvelle pour les investisseurs, c'est que la valorisation des bureaux urbains ont fait diminuer la valorisation à l'ensemble du paysage immobilier. Il est certain domaine qui nous paresse attrayant pour les investisseurs aujourd'hui.
Et domaines qui nous intéressent le plus sont les secteurs défensifs.
Songer aux soins de santé, cabinets de médecins, les immeubles des sciences de la vie.
Je pense que ces immeubles vont se comporter positivement au fil des années.
Et même les centres commerciaux de catégorie A, haut-de-gamme, achalandage remonté, les modèles ont changé, et sont de plus en plus expérientiels et dépendent moins du commerce de détail.
Il y a les centres de donnés qui sont de plus en plus nécessaires avec l'intelligence artificielle. Nous prévoyons que les taux d'intérêt, cela devrait être positif pour le secteur de l'immobilier. Bien sûr si les taux d'intérêt demeurent élever, ou même augmente, cela exercera une pression sur toutes les valorisations du secteur immobilier et pour aller faire baisser encore davantage.
- Vous avez parlé de l'intelligence artificielle dans le contexte de votre thèse immobilière.
Parlons dahlia à une otite qui a bénéficié de cet engouement depuis un an, Nvidia. À quoi ressemble-t-il? Est-il correctement valorisé?
- Je pense Nvidia être augmenté à ce stade. Quand je considère Nvidia que je considère notre scénario de base, les marchés s'attendent à une croissance relevée depuis trop longtemps. Selon notre modèle, non seulement les revenus du chiffre d'affaires doivent-ils doubler cette année, mais on prévoit déjà quel doublon l'an prochain. Avec une augmentation de 40 ou 50 % en 2025.
Un chiffre d'affaires augmentant de 30 %, croissance composée annuelle d'ici cinq ans.
Les pronostiques des marges plus fortes canons l'ont jamais été pendant cette période de cinq ans.
Malgré tout, tout cela ne justifie pas le cours du marché aujourd'hui. À moins que nous nous trempions absolument sur la croissance de lia au fil du temps, cette action a beaucoup pour progresser.
- Vous venez d'entendre David Sekera de Morningstar Research. Faites toujours vos propres recherches avant de prendre des décisions de placement. rester à l'écoute, nous revenons lundi avec Derek Burleton, vice préside économique en chef de la Banque TD qui répondra à vos questions sur l'économie, les taux d'intérêt, il nous fera part de ses réflexions sur ce que la Fed pourrait annoncer mercredi.
Nous pourrons également annoncer le budget fédéral du mois prochain aujourd'hui.
Posez-nous vos questions tout à moneytalklivetd.com.
Merci, au nom de toute l'équipe de Parlons Argent en direct. À lundi!
Hiren Amin nous montre comment filtrer les actions reliées à l'intelligence artificielle. Mais d'abord, un coup d'œil sur les marchés en ce dernier jour de bourse de la semaine.
L'indice TSX composite progresse modestement.
C'est mieux que ce qui se passe à New York, une hausse de 22 points, un dixième de pour cent.
Parmi les actions qui bougent aujourd'hui, London Mining portée par la hausse du cours du cuivre augmente de quatre et demis pour cent à 13,54 $ l'action. Comme vous le voyez progresse depuis le début du mois de mars.
Premium Brands annonce ses derniers résultats et les milieux financiers ne sont pas impressionnés! Recule près de 4 %.
Aux États-Unis, nous entrerons dans le détail dans un instant, de l'annonce de la Fed de la semaine prochaine.
Les statistiques de l'inflation paraissent cette semaine que les marchés cherchent à assimiler à 5118 points. Indice S&P 500 recule de 31 poins, soit un peu plus de 2 %. L'indice Nasdaq est également sous pression avec recule 145 ; presque 1 %.
Certains des poids-lourds de la technologie sont sous pression y compris Apple.
Rien de grave, mais à 171,03 $ l'action recule un peu plus de 1 %.
La semaine a été très occupée et la semaine qui s'en vient le sera aussi.
Antony Okolie préfigure le grand événement de la semaine prochaine. Oui, la décision de la Fed sur les taux.
Qui dépend en partie des données qui ont paru cette semaine.
Commençons par les statistiques de l'inflation plus élevée que prévu.
Les prix américains à la consommation, l'inflation des prix de groupe. Tout d'abord l'IPC, inflation globale être conforme au consensus, sur une base de 12 mois. L'IPC s'établit à trois pour cent, c'est-à-dire plus élevé qu'au mois de janvier. Ceci a également marqué le deuxième mois de suite ou l'inflation de base était plus élevée que prévu. C'est un indicateur que la Fed scrute de près. Les prix des producteurs aux États-Unis étaient plus élevés que prévus.
On a parlé des rendements du bon du Trésor à 10 ans. Qui ont atteint le sommet depuis plusieurs semaines. La production d'usine américaine a augmenté plus que prévu en février. Les marchés s'inquiètent à l'idée que ces données économiques sont trop positives pour que la Fed puisse réduire les taux.
- Ces chiffres sont plus élevés que prévu.
C'était intéressant de voir la réaction des marchés boursiers.
Au début, ils ont semblé faire la part des choses, jusqu'à ce que la réaction se fasse sentir. On a commencé à 406, rendement 10 ans, mettons ensemble 4,3. 10 une progression de 20 points de base depuis deux jours pour le marché obligataire devient plus prudent. Qu'en pense service économique des valeurs mobilières TD?
- La réunion de la (...) prochaine que le marché prévoit que la banque va maintenir ses taux.
Mais les marchés ont nettement réduit la voilure en ce qui concerne les paris relatifs au taux.
Le président de la Fed Jérôme Powell a bien dit qu'il ne devait pas avoir de coupure de taux en mars. À l'heure actuelle, on prévoit deux points de base de coupe (....) alors qu'il n'y en aura pas. Les marchés envisagent une coupure de 25 % juillet, et encore 1 point de base entre 2024 et 2025.
Valeurs mobilières TD prévoit encore une fois qu'il n'y aura pas de coupure la semaine prochaine et que la Fed recommence à réduire les taux à la réunion du mois de mars.
Nous prévoyons que la Fed va pratiquer cinq coupures 2024, et 5 coupures 2025, ce qui amènera le taux terminal à 3 %. Ce qui permettra d'éviter une récession.
Le pronostic intéressant. Merci Antony Okolie!
Vous venez d'entendre Antony Okolie. À présent, un coup d'œil sur l'actualité du monde des affaires et sur les marchés.
Les actions d'Adobe sont sous les feux de la rampe. L'éditeur de logiciels a dépassé les prévisions pour le dernier trimestre les prévisions de vente déçoivent les investisseurs.
L'action d'Adobe recule de 14 %.
Bien sûr, les actions avaient beaucoup progressé depuis un an, dans un contexte d'enthousiasme à l'égard de ces outils intelligence artificielle.
Ulta Beauty voit le cours de son action reculer de 4,7 %.
En raison de la hausse des coûts de son approvisionnement et des promotions qui affectent le bénéfice, le détaillant de produits de beauté prévoit un bénéfice annuel inférieur aux attentes.
L'action avait atteint de nouveaux services quelques séances, aujourd'hui un peu de recul pour une terre.
Le giron de la restauration rapide McDonald's a subi une panne technique aujourd'hui qui a affecté ses activités dans plusieurs pays.
Notamment ici au Canada, au Japon, et au Royaume-Uni. Selon certaines informations et le magasin au Japon ont cessé de reprendre des commandes avant de se remettre en ligne. McDonald a déclaré que la panne n'était pas due à un incident de cybersécurité.
L'action de McDonald recule modestement un peu plus d'un demi pour cent.
À présent, les grands indices. L'indice de Toronto est à la hausse de 10.
.Très modestement, soit 0,05 %. Aux États-Unis, certain recul des marchés boursiers après une semaine bien occupée et dans l'attente d'une semaine bien occupée la semaine prochaine. À 5117..
Les titres que le 33 ; un peu plus de 8 %.
Un nouveau rapport sur l'inflation plus élevée que prévu aux États-Unis, ainsi que les investisseurs se demandaient quand la Fed pourrait être de retour les taux d'intérêt. Qu'est-ce que cela pourrait signifier pour la récente hausse record de l'autre?
Jennifer Nowski de Gestion de Placements TD m'a rejoint pour en discuter.
- La remontée de l'or que nous avons constatée récemment a puissamment contribué à la demande des banques centrales. Les banques centrales sont acheteuses d'or depuis plus d'une décennie. Ils veulent s'éloigner du dollar américain dans le réserve. Depuis deux ans, les achats ont été historiquement élevés.
Cette tendance se poursuit, mais en plus, il y a les préoccupations géopolitiques à la hausse, les sanctions, et les achats importants de Chine. Ce qui est délicat, c'est qu'avec les HD vont s'en travailler difficile de savoir combien vont acheter dans une année donnée.
Il y a également la hausse des taux réels depuis deux ans, ainsi que l'amenuisement de la demande des investisseurs, comme on le voit dans les sorties de fonds des FNB d'or et de métal. Le rendement américain réel sur 10 ans était à -1 % à la fin de 2021, aujourd'hui, il est à près de 2 %.
Il s'agit d'une forte augmentation des rendements réels, est un facteur négatif pour l'autre qui ne rapporte pas de rendement. Vous voyez que cela réduit l'investissement, demandez investisseurs comme on le voit par les sorties de fonds des FNB d'or et de métal.
La perspective des taux pourrait changer comme vous l'avez dit. L'inflation a reculé par rapport au sommet qu'elle avait atteint. Les marchés envisagent de plus en plus que la Fed pourrait réduire les taux.
Cette question fait encore débat comme vous y avez fait allusion avec les statistiques de l'inflation.
Les taux de l'or évoluent en réponse aux attentes changeantes entrecoupées de tous par la Fed. Si celle-ci pratiquait une coupure de taux, cela pourrait réduire les taux réels, ce qui paraît une orientation pour l'or et pour renouveler l'intérêt d'investir dans les grandes catégories d'actifs. Se pose beaucoup de choses car du métal précieux, et que dire des mines d'or? Des actions de mines d'or?
Comment se comporte-t-elle?
- En 2003, l'or était en hausse de quelque 5 %, alors que le cours de l'or a progressé de 13 %. Les mineurs sont à la traîne. Surtout à cause des coûts. Compte comme dans le reste de l'économie, les sociétés minières ont subi une inflation des coûts.
Particulièrement élevé, la main-d'œuvre, le carburant parfois, d'autres intrants.
Tout augmente.
Quant aux orientations données en matière de coût, d'après les pronostics des compagnies pour 2024, il y aura une hausse de coût, mais ce ne sera pas aussi important depuis deux ans environ.
Du moins probablement pas il y a un autre facteur propice au niveau des coûts, ce sera l'amélioration des opérations. Le dernier ainsi a été assez défavorable pour le fonctionnement de certaine ce qui a eu des conséquences au niveau des coûts.
Si les coûts augmentent moins que le cours de l'or remonte, cela sera favorable aux actions dominantes.
- Comprend les actions de mines d'or, il y a toute une gamme de sociétés de profil de risque.
Depuis les sociétés d'explorations qui n'ont pas de production, jusqu'au producteur historique qui possède plusieurs mines une vaste base de production.
Dans ce dernier groupe de sociétés de mines d'or à grande capitalisation historique, les choses ont changé par rapport au dernier cycle. Financièrement, ils sont bien mieux placés.
Leur endettement est au bas de l'échelle.
Le rapport de la dette nette au bailleur pour l'éminence historique est à cinq ou six fois.
Les projets d'immobilisation sont moins élevés à 2000,11 $ que le groupe de sociétés historiques à trois et demis pour cent des flux de trésorerie disponible. - Intéressante analyse non seulement de l'or, mais des sociétés de mines d'or qu'il extrait. Que dire du secteur de l'énergie? C'est un secteur qui est très volatil et que des fluctuations du cours du brut.
- Le cours du pétrole continuera d'évoluer dans une certaine fourchette. Le marché est toujours très équilibré, la clé réside dans le petit peu plus et sa discipline en ce qui concerne le maintien d'une production limitée. Quant à la demande de pétrole, 2003 est une très belle année pour la demande de pétrole surtout parce que la Chine mis fin à son confinement et la demande pétrole rebondit.
Cette année, il est probable que le la demande pétrole reprendra sa corrélation normale avec la croissance du PIB mondial.
La direction pourrait être quelque peu positive et pas dans la même rigueur que l'an dernier.
C'est l'offre ou la situation plus mitigée. Il y a certaines régions du monde la l'approvisionnement de bande, les États-Unis, la Guyane, le Brésil.
Pour n'en nommer que quelques-uns. En revanche, plus une production artificiellement basse afin de maintenir l'équilibre du marché.
Pour cette raison, les pays de l'OPEP+ ont également capacité excédentaire.
Les marchés s'attendent à ce que l'OPEP+ continue de faire preuve de discipline que le marché reste équilibré.
Toutefois le cours du produit brut qui fluctue dans certaines fourchettes comme vous l'avez dit, qu'est-ce que cela signifie pour les actions de pétrole et de gaz? Sachant qui confond les actions, en définitive que le coût est influencé par le compte pétrole.
Les données fondamentales des entreprises sont très bonnes.
Avec les cours élevés du pétrole depuis quelques années, les sociétés pétrolières ont pu se désendetter considérablement. Le ratio de la dette nette au bailleur est de 3,6 fois pour les sociétés grandes capitalisation. La discipline au niveau de la répartition des capitaux est à l'ordre du jour pour ces entreprises et cela se poursuit. Ne pas engager de plans d'immobilisation très audacieux. Nous venons de connaître les orientations pour 2004, tout secteur. Cela varie, mais les immobilisations semblent échanger de la production est légèrement en hausse.
Le flux de trésorerie disponible généré par ces entreprises au cours actuel du brut essentiellement restitue aux actionnaires sous forme de dividendes et de rachat d'actions.
Il y a eu quelques fusions et acquisitions dans le secteur, mais globalement, je pense que cela n'a pas diminué cette concentration sur la discipline en matière de capital.
À 75 $ du prix de référence WTI, les compagnies historiques nord-américaines auraient un flux de trésorerie disponible à un chiffre.
Encore une fois sur le soutien au bon moment pour les actionnaires. Il y a cette exposition au cours du brut de faire évoluer celui des actions. Sache nous avons parlé de l'autre, l'énergie et du pétrole. Parlons du cuivre. Qu'en pensez vous?
- Je suis optimiste à l'égard du cuivre pour l'année à venir environ. Nouveaux au niveau de l'offre, il est certain nombre de difficultés.
La demande est sans doute plus élevée qu'on le pensait l'an dernier, surtout à cause de la Chine. La Chine avait eu des difficultés avec son marché immobilier.
Mais cela est compensé par les dépenses qui continuent en matière d'infrastructures, surtout pour la transition énergétique, les énergies renouvelables que le réseau électrique. En ce qui concerne l'offre, ça va beaucoup changer les perspectives pour 2024.
L'année dernière, la production du Chili était en baisse, les entreprises faisaient des annonces moins ambitieuses au niveau du cuivre pour 2024, ce qui réduit les pronostics de production de cuivre.
Il y a également eu des problèmes géopolitiques.
À cause de troubles civils, la mine de Cobre Panama a été arrêtée, ce qui réduit d'autant l'offre. Les perspectives pour Cobre Panama sont très incertaines. Les marchés attendent la prochaine élection Panama pour connaître l'avenir de cette mine.
D'ici là, la balance du marché du cuivre semble très serrée. Les stocks sont faibles et tout cela est favorable au cours.
- Vous venez d'entendre Jennifer Nowski de Gestion de Placements TD.
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Nous abordons, quand nous abordons là le les résultats des banques, les analystes s'inquiétaient des conséquences et aux autorités problèmes de l'immobilier commercial pour les bénéfices.
Kim Parlee s'entretient avec Mario Mendonca de TD Cowen.
Il y a des préoccupations niveau du levier d'exploitation des banques. La cause brutale des dépenses de la baisse des revenus du marché des capitaux de la majoration de fond. Le ralentissement de la croissance des bilans.
Principalement pour ces raisons, j'avais ramené le groupe en décembre d'une sous-pondération à une pondération inférieure à celle du marché.
Au vu des résultats du premier trimestre à l'approche du deuxième trimestre, il y a beaucoup de facteurs qui m'auraient incité à faire preuve d'une certaine prudence qui commence à s'atténuer.
Les ratios de fonds propres semblent solides, on anticipe un levier d'exploitation positif pour tout le groupe au deuxième trimestre.
Les revenus liés aux marchés de capitaux se sont améliorés si les taux d'intérêt baissent au deuxième trimestre que cela pourrait soutenir la croissance du bilan.
Du point de vue des bénéfices, enfin avant impôt et provision, le contexte familial.
Je m'attends de meilleurs résultats de la part des banques canadiennes. Comme vous l'avez dit, les (...) et ne déçoivent pas.
Contrairement à 2023. En fait, au premier trimestre 2024, toutes les banques ont atteint ou surpassé les attentes à part BMO.com pour les bénéfices avant impôt et provision. Les crédits risquent de se détériorer sitôt. Sachez qu'on en parle.
Dans votre rapport vous mentionnez qu'il s'agit du septième trimestre consécutif de baisse. A atteint le creux de la bague?
Est-ce qu'on commence à remonter la pente?
- Parlez-moi de ce que vous surveillez comme cycle de crédit. Quels indices vous mètrent sur la piste de ce qui pourrait arriver?
- Il faut bien souligner que le bénéfice avant impôt et provision et augmente.
C'est le côté positif.
Pas encore le crédit se détériore. Cette détérioration est attribuable au prêt personnel, quatre crédits, les lignes de crédit, des prêts automobiles, les prêts remboursables par versements. Ces prêts représentent une importante proportion du solde des pros Canada, on voit une hausse très nette des prêts, ce qui est logique vu à la hausse des cas d'insolvabilité. On informe les pertes sur créances. Ils sont en augmentation par la hausse des pertes sur créances n'est pas problématiques en soi.
Qu'on s'y attendait. La question est de savoir si elles augmentent plus vite que prévu. Est-ce qu'elles augmentent plus rapidement que les banques ne s'y attendaient?
Si le crédit se détériore à un rythme plus soutenu que ce qu'anticipent les banques, où la plupart des analystes, on observe un effet négatif sur les bénéfices, ce qui risque de miner la confiance. On peut soutenir que les crédits se détériorent plus rapidement que les banques ne l'anticipaient ou que je ne l'anticipais.
Il semble que ce soit fortement liée aux attentes à l'égard des taux. Si on revient six mois en arrière, tout - La baisse des taux pourrait avoir un impact plutôt favorable sur la croissance du bilan et des prêts vers la fin de cette année.
Je suppose que c'est ce que vous attendez.
Vous dîtes qu'il serait prématuré d'être plus optimiste pour le groupe à ce stade.
Vous attendez que d'autres signes se manifestent.
- Le plus important pour moi, c'est la hausse des bénéfices avant impôt et provision. Je peux affirmer avec une grande confiance que les paramètres fondamentaux sous-jacents comme levier d'exploitation et la croissance des bénéfices avant impôt et provision et le ratio de fonds propres s'améliore fortement.
Si je reste relativement prudent à l'égard du groupe, c'est parce que je surveille la détérioration liée au crédit. Je ne veux pas et que les prêts hypothécaires ont explosé que les banques canadiennes seront aux prises avec le faible ratio.
Pas du tout. Je dis que la hausse S'attendait à des baisses de taux en ce moment même. Ne sont pas au rendez-vous mais elles arriveront peut-être en juin au plus tard.
- Pourriez-vous nous parler de la sensibilité aux autorités aux effets dont il est question aujourd'hui?
- Les taux ont un impact général sur les banques. Les baisses de taux allègent un peu la pression sur les consommateurs.
Surtout sur les prêts hypothécaires à taux fixe qui arrive à échéance les prêts à taux variable. Quand les taux d'intérêt baissent, c'est positif pour le crédit.
L'effet n'est pas immédiat. Il y a un décalage. Le crédit ne s'est pas détérioré quand les taux ont augmenté. Il a fallu du temps. Il en va de même pour qu'on l'est obèse pour que les taux baisseront les conditions de crédit vont s'améliorer mais en décalé. L'autre point important c'est que la baisse des taux pourrait relancer la demande de prêt. C'est un point très pertinent mais une grossièreté un prêt lié à l'offre et à la demande. Les fonds propres des banques sont été ont été limités, offrant restreint la demande.
Conjugué au bon ratio de fonds propres de la baisse des taux pourrait constituer la hausse des pertes sur créances les bénéfices des banques avec la confiance des investisseurs.
Passé ce stade, je pourrais relever avec confiance la cote des banques. Ça se produira peut-être bien plus tard dans l'année.
- Très bien. Prenons chaque banque une par une. Commençons par la CIBC. Vous l'avez revu à la hausse après la publication, vous recommandez l'achat plutôt que la conservation. Qu'observez-vous?
- La banque CIBC observait le cours de bénéfice le plus faible du groupe. Les facteurs attribuables à ce faible ratio on commence à s'estomper. Je vous donne un exemple la banque subit de fortes pertes sur créances à cause de l'immobilier commercial américain. Afin de ce trimestre la CBC dit que les pertes sont en baisse et ont atteint leur point culminant.
L'important pour moi c'est que ces pertes diminuent sur l'immobilier commercial américain. La banque affichait un faible ratio de fonds propres qu'à peser sur la croissance de son bilan.
Ce ratio est remonté à 13 %.
De plus, CBC avait un levier d'exploitation assez élevée pour les bénéfices avant impôts et provisions se sont améliorées.
Des facteurs qui expliquent les sentiments négatifs à l'égard de la CBC se tournent désormais en sa faveur. La somme était résonnant dans le contexte de cette faible évaluation d'exprimer des perspectives plus optimistes. Pensons à BMO qui se situe à l'autre extrémité de la gamme.
C'est la seule banque n'a pas été à la hauteur des attentes. Pourquoi?
- C'est vrai.
Pour moi, c'est dû en grande partie au contexte du quatrième trimestre au trimestre dernier, à BMO a suscité une vague d'optimiste avec la réduction des coûts et une acquisition. Ces estimations étaient un peu élevées.
La BMO affiche un trimestre décevant avec une baisse des marges dans le segment des grandes entreprises. Les revenus liés au frais, les revenus liés au marché des capitaux. Levier d'exploitation négatif.
Tous ces facteurs ont contribué aux piètres résultats de BMO notamment pour les pertes sur créances. Notamment sur les prêts productifs. Je pense qu'on verra ce premier trimestre 2024 comme un point d'inflexion pour BMO. La banque a déclaré que ses revenus seraient au plus bas au premier trimestre les dépenses culminera, ce qui laisse présager une solide levier d'exploitation deuxième trimestre et au-delà.
Le premier trimestre a perçu comme un point d'inflexion pour BMO à mon avis.
- Très bien.
Scotia Bank fait partie des banques qui ont surpassé les attentes.
Qu'en pensez-vous?
- Vous fait une remarque intéressante en conclusion de votre rapport. Vous dîtes que la capacité de la Banque Scotia dégagée moins de bénéfice est plus claire.
Qu'est-ce que vous entendez par là?
- C'est très important, parce que les banques peuvent surpasser les prévisions pour deux raisons, soit les résultats sont vraiment bons, soit les attentes étaient trop basses.
Aucune autre banque n'a vu ces estimations pour 2024 reculer plus en 2023 que la station. J'entends par là que les analystes ont considérablement revu à la baisse les prévisions de bénéfices pour l'Arcoxia. C'est donc plus facile de les surpasser.
Ces résultats ne sont donc pas forcément meilleurs mais les attentes sont faibles et c'est une bonne chose parce que les investisseurs auront plus de facilité à acheter des actions de la station sachant qu'il n'y a pas de mauvaises surprises. Le problème c'est qu'il reste beaucoup de questions à régler.
Elle doit réduire les prêts hypothécaires générés par les courtiers au Canada, accroître les dépôts Canada, peut-être réduire sa présence en Amérique latine.
Elle devra régler ces grandes questions épineuses au cours des prochaines années.
Je préfère me tenir à l'écart pour cette banque, et m'abstenir de recommander l'achat pendant cette phase de changement.
La banque doit d'abord me convaincre réussi à opérer ces changements avant que je ne change d'avis. Je n'en suis pas là pour l'instant. Je recommande certainement pas l'achat.
- OK. Là aussi on devra attendre les résultats des prochains trimestres. La RDC pour finir. Elle affiche depuis toujours une prime de valorisation de six à 8 % par rapport au groupe. Est-ce encore justifié à l'heure actuelle? Qu'est-ce que vous constatez? Cela je pense que oui.
Pour moi la RDC cherche une solide combinaison au Canada, beaucoup d'activités sur le marché des capitaux.
L'un des chefs de file de la Gestion de Patrimoine TD, ce modèle diversifié me conforte dans l'idée que c'est une bonne valeur à détenir. Ceci dit, deux points me posent problème.
D'abord la filiale américaine connaît une période houleuse. C'est le cas depuis un an. RBC déploie beaucoup d'efforts pour corriger la situation, mais soyons honnêtes: quand une banque est très bien évaluée affiche de mauvais résultats dans un segment, on se doit d'être clair à ce sujet. Je pense que RBC est en train de redresser la situation, mais ce sont sans aucun doute un échec.
L'autre point important, c'est l'acquisition de HSBC Canada, une opération de très grande envergure.
L'achat et l'intégration d'une institution aussi importante ont tendance à entraîner des résultats chaotiques dans les premiers trimestres. Aucun doute quant à la qualité de l'action. On recommande l'achat. À court terme on s'attend à un peu de flottement lors de l'intégration. À long terme, elle mènera à deux forces baisse de coût des ventes croisées. Ce sera une activité structure.
À court terme il y aura des moments difficiles.
- Vous venez d'entendre TD Cowen qui s'entretient avec Kim Parlee de MoneyTalk.
TD Cowen course CBC, BMO, CIBC et quotient. Pour plus d'informations, le sien un lien vers les sociétés couvertes se trouve à la fin de la vidéo.
Comme toujours, faites vos propres recherches avant de prendre une décision de placement.
À présent, coup d'œil sur le marché.
Voici les plates-formes avancées conçues pour les négociateurs actifs écho proposés par Placements directs TD. Voici la carte thermique qui permet de visualiser les actions qui bougent. Voici les 10 TSX 60 fonction du cours et de volume. L'indice composite essentiellement inchangé aujourd'hui.
Le tableau est mitigé. Commençons par le vert à l'écran.
En ce dernier jour de la semaine, soyons positifs. First Quantum est en hausse de cinq et demis pour cent. Il y a des problèmes à la mise Copre, au cours du cuivre toutefois non remonté depuis plusieurs sessions ce qui fait remonter beaucoup les actions de mines de cuivre.
Cameco tout en bas de l'écran intervient est en hausse d'environ 3 %. Le producteur d'uranium. Toutefois certaines faiblesses chez Shopify, en baisse de 1 1/2 %.
Et la situation est très mitigée dans le secteur de l'énergie. Aux États-Unis, indice S&P 500, tandis que la Fed doit prendre une décision sur les taux mercredi prochains, les statistiques d'inflation aux États-Unis, IPC, prix de gros sont plus élevés que le marché ne s'y attendait. La situation est donc mitigée là aussi.
Hadopi recule considérablement de 14 % à cause de prévisions de ventes décevantes les fabricants de puces sont à aujourd'hui. C'est AMD qui progresse de plus de 3 %. Tandis que Nvidia après une remontée très impressionnant depuis un an et très légèrement en hausse aujourd'hui.
- Pour vous renseigner sur la plate-forme avance, visitez le site Web de Placements directs TD. Parlons des technologies. Les grandes compagnies de technologie ont ouvert la voie de nouveaux sommets pour les marchés boursiers. Certains investisseurs pour rechercher des occasions au-delà de cette magnifique.
Des vétérans de Morningstar Research m'a rejoint plutôt pour évoquer les occasions potentielles des actions de valeur.
- Les motions progressa quelques pour cent au-delà de notre évaluation de la juste valeur. Ce n'est pas encore une survalorisation de cela comme ça paraît un peu étiré.
Donc quand on ventile nos valorisations, hostiles selon Morningstar Research la valeur qui demeure sous valorisées pour les investisseurs aujourd'hui.
Quand je songe à ce qui s'est produit sur le marché depuis 16 mois, il y a un nombre croissant c'était sous valorisées, la technologie était l'un des secteurs les plus valorisées selon notre modèle.
Tous ces secteurs ont tellement progressé si loin et si vite que plusieurs d'entre eux sont largement sur valorisées. Les actions axées sur la valeur sont à la traîne. Pour l'avenir, pour que les actions axées sur la valeur surclassent, il faut que les investisseurs à contre-courant de ce qui a marché depuis un an et commence à tirer le jus dans certains secteurs valorisés dans certaines des bénéfices au rendez-vous. Il faut aller à contre-courant. Nous approfondissons les actions qui sont délaissées, qui suscite la méfiance des marchés, qui ont déçu depuis un an.
Et que nous considérons comme étant sous valorisées.
Alors selon votre travail, David, vous avez trois corbeilles. Commençons par les services publics.
- Les services publics sont très corrélés au taux d'intérêt. Beaucoup d'investisseurs utilisent les services publics comme substitut des titres à revenu fixe lorsque les taux étaient très bas il y a deux ans pour le secteur des services publics abaissés l'automne dernier quand le rendement du bon du Trésor à 10 ans est monté en flèche au-delà de 4 %.
Le secteur des services publics à remonter quelque peu, mais essentiellement, les perspectives des services publics sont aussi bonnes qu'elles ne l'ont jamais été.
Notre équipe d'analystes spécialisés note un fort potentiel de croissance. La tradition à l'énergie renouvelable, il y a beaucoup de potentiel de croissance, beaucoup de dépenses du gouvernement de l'infrastructure et la modernisation du réseau électrique. Fondamentalement la situation semble très positif pour l'avenir.
Quand je parle à notre équipe d'économistes américains, il pense que les taux d'intérêt vont décliner sur toute la courbe au deuxième semestre de cette année.
Donc avec de bonnes données fondamentales et le coup de pouce du à la baisse des taux d'intérêt, ces secteurs étaient d'excellents résultats.
- Voilà le scénario optimiste qu'est-ce qui pourrait entraver sa concrétisation?
- Bien sûr, si les taux d'intérêt demeurent élever, cela va exercer une pression sur le secteur des services publics, beaucoup plus qu'on ne le pense.
C'est la saison du budget à Washington. Si le budget était remanié, si l'on commençait à retrancher des dépenses d'investissement dans l'infrastructure, surtout le réseau et l'infrastructure en général, cela exercera une certaine pression sur notre thèse.
Vous vous intéressez également au secteur de l'énergie.
Le secteur de l'énergie, globalement, offre un rabais considérable par rapport à la juste valeur pour le secteur de l'énergie me plaît pour plusieurs raisons.
Tout d'abord fondamentalement lorsqu'on considère les valorisations, on note que le cours du pétrole prévu sur deux ans, nous pensons dans notre modèle que le cours du pétrole va commencer à descendre jusqu'à notre objectif de 55 $ le baril que nous pronostiquant pour le milieu du cycle.
Après la deuxième année nous prévoyons des cours plus bas. Même avec ses cours plus bas, modèle nous montre toujours que ces actions sont sous valorisées aujourd'hui.
Cela donne également votre portefeuille une bonne couverture naturelle. Si nous avons tort que l'inflation demeure élever plus longtemps, cela nous apprenons ce scénario me fit une bonne couverture naturelle portefeuille soit face aux risques géopolitiques.
Le désavantage, c'est que si la demande diminue plus rapidement que nous prévoyons, nous pensons que la demande va continuer d'augmenter d'ici deux ans, atteint le plateau à la fin de la décennie commence à diminuer.
Ou encore il y a beaucoup plus de forage aux États-Unis, où ici il y a beaucoup plus d'offres qui misent en marché, cela pourrait faire baisser les cours du pétrole plus rapidement que nous le prévoyons.
Est-il difficile alors de créer une thèse au sujet de l'énergie? Il y a les conflits géopolitiques, l'économie chinoise de la demande de pétrole brut.
Il y a tellement d'éléments à prévoir dans ce secteur!
- Oui, c'est pourquoi notre équipe de l'énergie travail main dans la main avec notre équipe qui analyse économie américaine au rétro. La courbe prévisionnelle d'offres et de demandes du cours du pétrole.
Pas nécessairement court terme, mais tout au long du cycle économique.
Voilà comment nous parvenons à ce prix de 55 $ le baril au milieu du cycle économique pour le bruit de référence américain 60 $ le baril pour le pétrole de la mer du Nord.
- Passant un autre domaine. Vous avez dit qu'il y avait trois corbeilles la troisième heure immobilier. Très sensible au taux d'intérêt.
- Non seulement cela, mais l'immobilier est très sensible au taux d'intérêt. Il s'agit de la catégorie d'actifs la plus détestée sur le marché aujourd'hui.
Personnellement je me méfiera toujours des immeubles de bureaux urbains. Il pourrait y avoir des pressions à la baisse les valorisations pour la bonne nouvelle pour les investisseurs, c'est que la valorisation des bureaux urbains ont fait diminuer la valorisation à l'ensemble du paysage immobilier. Il est certain domaine qui nous paresse attrayant pour les investisseurs aujourd'hui.
Et domaines qui nous intéressent le plus sont les secteurs défensifs.
Songer aux soins de santé, cabinets de médecins, les immeubles des sciences de la vie.
Je pense que ces immeubles vont se comporter positivement au fil des années.
Et même les centres commerciaux de catégorie A, haut-de-gamme, achalandage remonté, les modèles ont changé, et sont de plus en plus expérientiels et dépendent moins du commerce de détail.
Il y a les centres de donnés qui sont de plus en plus nécessaires avec l'intelligence artificielle. Nous prévoyons que les taux d'intérêt, cela devrait être positif pour le secteur de l'immobilier. Bien sûr si les taux d'intérêt demeurent élever, ou même augmente, cela exercera une pression sur toutes les valorisations du secteur immobilier et pour aller faire baisser encore davantage.
- Vous avez parlé de l'intelligence artificielle dans le contexte de votre thèse immobilière.
Parlons dahlia à une otite qui a bénéficié de cet engouement depuis un an, Nvidia. À quoi ressemble-t-il? Est-il correctement valorisé?
- Je pense Nvidia être augmenté à ce stade. Quand je considère Nvidia que je considère notre scénario de base, les marchés s'attendent à une croissance relevée depuis trop longtemps. Selon notre modèle, non seulement les revenus du chiffre d'affaires doivent-ils doubler cette année, mais on prévoit déjà quel doublon l'an prochain. Avec une augmentation de 40 ou 50 % en 2025.
Un chiffre d'affaires augmentant de 30 %, croissance composée annuelle d'ici cinq ans.
Les pronostiques des marges plus fortes canons l'ont jamais été pendant cette période de cinq ans.
Malgré tout, tout cela ne justifie pas le cours du marché aujourd'hui. À moins que nous nous trempions absolument sur la croissance de lia au fil du temps, cette action a beaucoup pour progresser.
- Vous venez d'entendre David Sekera de Morningstar Research. Faites toujours vos propres recherches avant de prendre des décisions de placement. rester à l'écoute, nous revenons lundi avec Derek Burleton, vice préside économique en chef de la Banque TD qui répondra à vos questions sur l'économie, les taux d'intérêt, il nous fera part de ses réflexions sur ce que la Fed pourrait annoncer mercredi.
Nous pourrons également annoncer le budget fédéral du mois prochain aujourd'hui.
Posez-nous vos questions tout à moneytalklivetd.com.
Merci, au nom de toute l'équipe de Parlons Argent en direct. À lundi!