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(musique) - Bonjour ici Greg Bonnell. Bienvenue à parloir argent, une place mission de placements directs télé. Nos invités commentent l'actualité des marchés répondre à vos questions sur les placements. Aujourd'hui, Michael Craig, chef de la répartition d'actifs s'est aidé, nous explique si le bon départ des marchés cette année est une illusion.
Anthony Okolie va nous donner une avant-première du rapport sur l'inflation aux États-Unis qui paraient demain. Nous poursuivons la découverte de CourtierWeb.
Nugwa Haruna nous explique comment nous renseigner sur la liquidité du marché.
Poser une question ou dans la boîte au bas de votre écran.
Tout d'abord, un coup d'œil sur le marché.
Le premier jour de bourse de la semaine se solde par un résultat positif modeste.
L'indice TSX composite est en progression de 76 ; soit un peu plus d'un tiers de pour cent.
Certains secteurs affichent une certaine fermeté, mais dans une assez faible mesure.
Le Canadien Pacifique a un peu cédé depuis début de séance mais toujours en progression de 67 ; soit un peu plus d'un demi pour cent. Nutrien, le titre est sous pression aujourd'hui, en baisse de 2 %.
Aux États-Unis, les marchés attendent les statistiques de l'inflation qui paraîtront demain. Il y a une certaine dynamique à la hausse. Le S&P 500 est en hausse de 37.
Soit un prix de 1 %. Le Nasdaq spécialisé dans la technologie progresse encore davantage, 265 ; soit 1,4 %. Test de participe à la remontée. Le titre est encore recule.
Soit 1,8 % de moins.
Les marchés ont pris un bon départ cette année. Mais de nombreuses entreprises avertissent que la croissance affaiblirait les investisseurs peut se demander si cette remontée va se prolonger s'il s'agit d'un faux départ. Michael Craig.
Parlons-en. Il y a eu des hauts et des bas.
Quand on considère le point de départ cette année et Céline somme arrivée, il y a eu des gains sur le marché pour ceci.
Comment les investisseurs devraient les considérer?
- Il y a deux raisons pour lesquelles les actions m'ont.
Vous payez plus pour la même chose ou bien elles ont pu générer des bénéfices améliorés.
À long terme, ce sont les bénéfices qui font la différence.
Cette remontée est plutôt fondée sur les valorisations. Qui tourne aujourd'hui autour de 19 19 ans et demi.
Les informes observations des entreprises sont plutôt mitigées, voire négative.
La plupart des annonces de bénéfices pour le dernier trimestre sont accompagnées de coupures d'emploi. Les marges peuvent-ils monter davantage? Peut-être, mais il n'y a pas de facteurs qui sont tellement convaincants pour envisager une remontée prolongée.
Il convie de faire preuve de prudence surtout sur le marché américain.
Certains pensaient qu'il s'agissait d'une situation assez classique.
Certains investisseurs pessimistes ont été pris de court par la remontée du début de l'année il a fallu qu'ils comblent leurs ventes à découvert.
Si l'on considère des corbeilles de titres qui sont le plus souvent vendu à découvert, tesla par exemple à remonter considérablement depuis quelque temps. Le titre est à 180 aujourd'hui mettait à 300 $ en novembre.
Cette remontée est impulsée par les stratégies de bourses qui ont suivi il s'agit de couverture de vente à découvert.
C'est une remontée classique en phase baissière.
On peut gagner beaucoup d'argent en profitant mais c'est délicat de discuter et danser.
Si vous avez fait preuve de prudence, ils ne doivent pas se faire entraîner par la crainte de rater quelque chose.
Pendant l'été dernier, il y a une remontée. Les investisseurs il y a une baisse au mois d'août et une autre baisse à l'automne.
Il s'agit donc de faire preuve de prudence.
C'est un excellence marchée pour les spéculateurs. Mais pour les investisseurs, est-ce que les choses sont différents de disques Italia moi? Pas vraiment.
L'optimisme à l'égard des coupures de taux au deuxième semestre s'est quelque peu estompé dans les cours en bourse.
Je ne dirais pas que le marché est universellement en difficulté, il y a certains secteurs de valeur.
À part les cinq méga titre, il y a des actions qui sont un prix intéressant.
Si la sélection de titres qui content en ce moment. Mais n'aura pas une remontée généralisée comme précédemment. Dans un avenir prévisible, ce sera marché gîte mitigé. Que dire des titres à revenu fixe?
Début de l'année il y avait un certain optimisme. Car la fête se disait-on allait finir d'augmenter les taux. La grande question restait combien de temps resterons-nous à ces taux élevés? Cela semblait préparer une belle phase pour les titres à revenu fixe. Les titres à revenu fixe portaient extrêmement bien.
La semaine dernière, cette remontée s'est quelque peu dégonflée.
Surtout à cause des chiffres plus élevés que prévu pour la masse salariale au Canada et aux États-Unis. Nous sommes dans une zone où il y a beaucoup de courants contradictoires en ce qui concerne l'inflation. On s'entend pour dire que l'inflation baise, mais demain, chiffre de l'IPC sera très important.
Au début du mois prochain, l'indice des coûts de l'emploi. Il y a eu des insultes justement saisonniers.
Donc les milieux financiers s'inquiètent beaucoup des changements qui ont été apportés aux indices.
Il s'agit d'estimations qui sont le fruit de calcul très complexe.
Je crois qu'il s'agirait d'une bonne année pour les titres à revenu fixe mais ce ne sera pas sans volatilité.
Malgré tout, détenant un titre à revenu fixe, on gagne quatre ou quatre et demis pour cent avec beaucoup d'actions en cas de récession si le rendement diminue.
C'est la thèse pour les titres à revenu fixe. Il se porte bien, le léger recul depuis quelque temps offre des possibilités de se relancer sur le marché.
C'est comme les actions. Il y aura d'invalidité compte tenu de la situation économique parce que beaucoup de gens ne savent pas où nous allons.
- Parle de l'incertitude. Vous avez parlé de l'emploi qui se porte très bien. Nous savons également que l'inflation globale diminue.
On a parlé d'une désinflation immaculée.
Il y a toutes sortes d'idée assez originale.
Il s'agit d'une situation où l'inflation baisserait sans trop endommager l'économie. Est-ce possible?
- Historiquement, ce genre d'argument est avancé avant une récession. Ce n'est pas la première fois que l'on en parle. Il est très difficile de voir, les banques centrales rendues très clairement, nous allons entrer en récession il n'y aura pas d'assouplissement monétaire parce que l'inflation ne sera pas parvenue au point où nous souhaitons qu'elle a.
Cette rentrée fermée très clair.
Nous pensons que nous allions voir la fin du monde en septembre un atterrissage en douceur.
Il y a eu toute une gamme de pronostics.
Je crois que la dernière fois… je ne crois pas que les choses vont se passer comment 2008.
C'est la première fois que nous sommes en présence d'un écosystème des médias sociaux ou les opinions circulent très rapidement.
Les gens ne pensent pas à une récession si toute l'idée d'une récession.
Après un choc.
Nous attendons encore, rien de ces produits. Je crois qu'il s'agit d'accepter que le monde a changé, la manière dont nous communiquons à changer, ce qui entraîne la propagation d'idées fausses.
Au sujet d'une récession, l'idée de notre grand tissage en douceur me laisse très sceptique.
Les données sur le logement aux États-Unis et au Canada continu d'être très faible.
Ce n'est pas propice à un atterrissage en douceur.
- Excellent début d'émission.
Michael Craig répond à vos questions sur la répétition d'actifs dans quelques minutes. Vous pouvez communiquer avec nous en tout temps par par courriel ou dans le cloître de réponse au bas de votre écran.
Tout d'abord l'actualité des marchés et un coup d'œil sur le marché.
Il semble que Bed Bath and Beyond a liquidé ses 65 magasins canadiens après avoir reçu une ordonnance de protection contre ses créanciers. Il s'agit de l'un des plus grands départs de détails depuis quelques années mais valeur immobilière TD prévoit que la plupart des c'est super City guident devraient être remplis.
Dario connaît la plus exposée puisque le détail représentait zéro.
2 % de son loyer prude. Une acquisition dans le secteur minier canadien B2Gold fait à Christian de Sabina Gold and Silver moyennant des actions. Sabina est active dans le secteur aurifère de backup au Nunavut. La transaction doit être approuvée.
Encore des licenciements dans le secteur de la technologie, l'éditeur répond 10 sont il se réorganise. À présent, les grands indices. TSX est en hausse de 85.
La Silésie SP500 est dans l'expectative en attendant les statistiques de l'inflation aux États-Unis mais pour aujourd'hui progresse de presque 1 %. Michael Craig, chef de la répartition d'actifs, répond à vos questions.
Tout d'abord, vaut-il mieux couvrir vos actions et vos affinités par rapport au dollar américain?
- D'abord, la règle générale en matière d'action, je n'ai jamais été très favorable à la couverture du taux de change parce que cela finit par s'annuler.
Aux États-Unis, 40 % des revenus des entreprises cotées SIP 500 provient de l'international.
Il y a des plus et des moins.
C'est très difficile à déterminer.
Le dollar canadien, si nous entrions dans une récession, on pourrait perdre sur les actions et pertes sur le dollar canadien.
Ma matière de répartition d'actifs, nous sommes baissiers à l'égard du dollar comme catégorie d'actifs. Nous pensons que le dollar américain a dépassé son niveau approprié et continu de faiblir.
C'est beaucoup plus sensible si vous êtes un investisseur de titres à revenu fixe ou cela affecte beaucoup plus votre revenu.
Ce n'est pas une façon de naître d'investir dans les sections.
Si vous inquiétez du dollar, investi en Europe au Japon.
C'est une façon plus nette de gérer le dollar américain. Je ne m'intéresserai pas couverture.
Stratégie de couverture exige d'avoir eu une thèse sur l'évolution des taux de change. Si vous avez toutes sortes d'entreprises, un portefeuille d'actions américaines qui sont concentrées sur les États-Unis, envisager de liquider ses titres leur.
Si vous avez des entreprises qui réalisent leur chiffre d'affaires à l'étranger, cela s'équivaut.
- Justement, on demande s'il est préférable d'investir en Amérique du Nord au plus à l'international. Je sais que les investisseurs canadiens ont été critiqués.
Les investisseurs individuels ont été critiqués ce qui se concentre trop sur le Canada.
- A du bon sens avoir une exposition à l'international. Puisque nous avons dans nos portefeuilles.
Le Canada va bien se tirer d'affaire d'ici 10 ans. Les 10 dernières années, c'était le logiciel et les 10 années à venir c'est l'investissement dans l'infrastructure et le zéro carbone. Quand on songe aux entreprises d'agriculture, d'énergie, le Canada se classe en tête de liste. C'est un élément important du portefeuille.
Je ne néglige pas le Canada au profit du Japon. Mais il est important que les investisseurs aident une pour toutes sortes de raisons.
Notamment la diversification. Vous réduisez votre risque et vous obtenez un meilleur rendement.
Il a du bon sens, je pense.
- Je vous ai parlé de zéro carbone et du secteur de l'énergie au Canada. Certaines personnes constatent que sur le TSX, l'indice de l'énergie et composé de pétrolières et de gazières. Est-ce que ce sont des compagnies d'énergies qui vont réussir leur transition? Ça dépend de l'entreprise.
Dans le secteur de l'énergie, la expectative c'est l'énergie.
Je pense qu'il n'est pas réaliste de croire qu'elles vont se réorienter. Je crois que nous allons encore consommer du pétrole largement après que nous n'y serons plus. Le pétrole ne peut pas disparaître du jour au lendemain.
Nous n'avons pas vraiment de substitution.
Les énergies renouvelables sont intéressantes mais elles ne sont pas aussi efficaces, de loin, que l'utilisation de l'essence pour le transport.
Il faut avoir une exposition, mais dans secteur énergétique, mettons qu'on a une entreprise où il y a un secteur très protégé, les investisseurs ne veulent pas courir un tel risque. C'est comme le secteur de l'énergie aujourd'hui.
Il y a moins de, les entreprises ne sont pas payées pour investir, soit pour entretenir leur activité. Restitue beaucoup de gens aux actionnaires.
Ce qui avait nui aux compagnies pétrolières, c'est qu'elles avaient entamé de vastes campagnes d'exploration et de développement et elle voyait leur immobilisation augmentée démesurément.
Mais ce n'est plus le cas.
- Une autre question.
Privilégiez-vous pour le volet à revenu fixe portefeuille?
- On peut aborder la question sous plusieurs angles.
La liquidité rapporte quatre et demis pour cent.
Ce n'est pas un mauvais investissement.
Je ne dirais pas : mettez 30 % de votre portefeuille dans la liquidité, 5 %, c'est du bon sens.
Une façon d'y remédier, c'est d'avoir de l'argent sur la main pour protéger profiter des occasions qui présentent.
Il y a deux secteurs qui nous plaisent.
Les obligations du gouvernement à long terme au cas où il y aurait une récession légère aggrave.
C'est l'assurance si vous voulez, contre les inondations si votre sous-sol est inondé n'est pas content mais au moins vous avait les assurances.
Les rendements sont donc favorables.
Et puis à l'autre extrémité, il y a les obligations de sociétés zéro à 5 % surtout de première qualité.
Les écarts ont quelque peu diminué mais il y a des rendements supérieurs à cinq ou 6 %. En supposant que le risque de crédit vous satisfait et qu'il n'y a pas de problème de refinancement, c'est un endroit du marché où il est très favorable d'investir.
Quand on parle d'obligation de société, la première société, car la première activité, il y aura peut-être quelques inquiétudes quant au bilan des entreprises. Ça dépend des entreprises.
Je n'écris pas les obligations à rendement élevé. C'est spéculatif.
Il s'agit d'une catégorie phénoménale au niveau du risque. Mais s'il y a… le défi avec les obligations rendement élevées qui se sait que les entreprises sont par définition très endettée, il y a davantage de défaillance. Le risque c'est être rétrogradé en obligations à rendement élevé. Il faut faire des recherches, mesurer le risque.
- Agora semble s'être recherche pour un nain du investisseur individuel? Il a peut-être l'habitude d'étudier une action, bilan d'entreprise mais si vous renseignez sur vos titres à revenu fixe, que vous recherchez les mêmes éléments?
- Oui.
En général, investisseur en bourse va s'intéresser à l'état des revenus, à la croissance.
C'est le bilan, la capacité de payer.
Bien sûr, c'est l'influent est trésorerie qui est nécessaire pour rembourser. Il faut s'intéresser au bilan pour comprendre le levier.
En définitive, la fiabilité de l'entreprise.
Il y a des investisseurs qui se spécialisent dans les deux marchés mais en général, les analystes sont dans l'un ou l'autre corps.
Les spécialistes des actions veut que les investisseurs soient davantage rémunérés.
Le spécialiste veut davantage.
- Fait toujours vos propres recherches avant de faire vos décisions de placement.
Michael Craig répond à vos questions dans quelques minutes. Vous pouvez nous les poser partout en courriel. À présent, poursuivons la découverte de CourtierWeb.
Lorsque vous évaluez un placement, la liquidité est un des facteurs. CourtierWeb propose des d'outils. Nugwa Haruna et..
. parle de la liquidité.
- Ça fait plaisir à modifier être ici.
La liquidité, de base, c'est la facilité avec laquelle on peut transformer un actif. Titre en argent liquide sans affecter son prix du marché.
On peut entendre parler de liquidité et ce mot peut signifier la liquidité du marché où la liquidité comptable.
La liquidité du marché et la capacité de transformer des titres en argent liquide.
– Lorsque Walter sont appelés équivalents liquides.
. Il y a des actifs comme l'immobilier qui ne sont pas aussi liquides. Je peux vendre ma maison demain il y a de fortes chances que je devrais l'avoir beaucoup moins chère que le nouveau pour la liquider rapidement.
Voici les outils que CourtierWeb vous propose poursuivre la liquidité. On clique sur recherches puis sur la réplique placement sous action.
On va utiliser l'action qui est déjà l'écran. Un indicateur de la liquidité d'un titre pourrait être l'écart entre les cours acheteurs et vendeurs.
Il s'agit du cours que les acheteurs sont disposés à payer et de celui que les vendeurs sont disposés à accepter.
Plus cet écart est important, cela pourrait ça pourrait indiquer que les actions ne seront pas très souvent.
Lorsque la décade était restreint, il y a plus d'obligations.
Ceci indique essentiellement à quel point les investisseurs s'intéressent à acheter ou vendre cette action. Vous pouvez donc vendre considérer l'arrêt car pour vendeurs et le volume.
Certains titres ne sont pas aussi liquides que d'autres.
Les actions à petite ici après la clôture des bourses, il se peut qu'il y ait davantage de marchés liquides, c'est-à-dire un écart plus important.
L'écart entre cours acheteurs et vendeurs, le nombre d'actions qui sont négociées, la possibilité de boucler une décision, mais de quoi s'agit-il.
Ce terme de liquidité comptable signifie la capacité d'une entreprise à remplir ses obligations financières. Rembourser ses dettes par exemple.
Il est possible de suivre cette information en considérant le bilan qui monte les actifs de l'entreprise.
Ces éléments de passif, ce qu'elle doit.
L'avoir des actionnaires. Voici comment il est possible de voir à quel point une entreprise Air liquide au niveau comptable.
Examinons les données fondamentales pour ce même site.
Il s'agit d'informations qui sont tirées des états financiers.
L'état du flux de trésorerie et l'état des revenus.
Dérouleront jusqu'au ratio du fonds de roulement.
Il tient compte des actifs à court terme.
Dans quel délai une compagnie peut-elle transformer ses actifs en liquidité dans un an est divisé par le passif à court terme, c'est-à-dire la dette que l'entreprise devra rembourser en un an. Il s'agit d'un SIF qui est conforme et cela peut indiquer que la compagnie a une meilleure liquidité est plus saine financièrement. Un chiffre qui est largement inférieur à la moyenne de l'industrie peut-être un investissement.
Il y a ensuite le ratio de trésorerie.
Il soustraie les inventaires d'actifs à court terme puisque les inventaires ne sont pas aussi liquides que les entreprises voudraient nous faire croire.
Je voulais avoir une mesure plus stricte, vous pouvez utiliser le ratio de trésorerie.
Il s'agit d'avoir un ratio qui est semblable à la moyenne de l'industrie supérieure.
Il faut se demander de quel type de liquidité s'agit-il.
Liquidité des marchées liquidités comptables.
- Merci.
Vous m'avez rappelé mon cours de valeurs mobilières.
Une.
Nugwa Haruna et formatrice ATD. N'oublie pas de visiter le centre d'apprentissage où vous trouverez encore plus de ressources, y compris un atelier sur l'introduction à l'analyse technique.
Je vous rappelle comment nous poser vos questions.
Avez-vous une question sur les placements ou encore sur les marchés? Vous pouvez nous la poser.
Soit par courriel@moneytalkliveatd.
com, soit à la sur la boîte au bas de votre écran.
Nos invités pourraient vous répondre en direct.
Michael Craig répond à vos questions sur la répartition d'actifs.
Que pensez-vous du pétrole?
Les pessimistes tablent sur une récession et les outils mis sur une pénurie d'offres.
- Tous deux pourraient avoir raison.
La récession, c'est un phénomène qui s'étend sur 12 à 18 mois.
Si nous entrons dans une phase de ralentissement, la demande d'énergie va baisser.
L'énergie est très corrélée afin que le PIB. À plus long terme, en supposant que nous ressortirons d'une récession avec une trajectoire de croissance, les problèmes d'offres seront de nouveau d'actualité.
Nous en avons beaucoup d'étudiants cela dans d'autres groupes de produits de base.
L'offre est insuffisante et ce sera un véritable défi. Les prix ne resteront pas abaissés pendant très longtemps.
Le pétrole est 1, Cours inférieur à ce qu'il était avant l'invasion de l'Ukraine.
Il y a beaucoup de facteurs négatifs en ce qui concerne le pétrole. Il n'en faudrait pas beaucoup pour déclencher une remontée.
Il y a des risques géopolitiques qui s'accumulent dans le Moyen-Orient et qui représente une inconnue.
Mais un jour, on pourrait allumer son terminal Bloomberg et le pétrole aura promis de 20 $. Il existerait dont les marchés ne tiennent pas vraiment compte.
Je ne sais pas cela va se produire ou non, mais il faut tenir compte de cela.
L'équilibre des risques est plus propice à une hausse des cours du pétrole.
La situation est donc… pendant quelque temps.
Récession, c'est très négatif.
Géopolitiques, s'est favorable pour le cours du pétrole.
Et à long terme, l'offre insuffisante sera un facteur clé pour les clés.
- Une excellente réponse de mon point de vue.
On en a déjà parlé : comment les options affectent tels les marchés et est-ce que les options jour zéro déformées marché?
- Un éclaircissement d'une question qui a été posée. Je pense qu'il s'agit d'options d'un jour. Ce qui produit, c'est qu'historiquement, les options étaient négociées le troisième vendredi de chaque mois.
Cette date était négociée et ensuite, c'était plutôt la fin du mois.
Il y a de plus en plus de dates aujourd'hui.
On peut négocier des options qui expirent le lendemain. Je dirais que pour certains événements, cela crée beaucoup de tendances contradictoires bizarres. Au dernier trimestre, des statistiques comparées qui étaient très négatives.
Les marchés ouvrent à neuf heures et à 10 heures, il y avait une remontée.
Il y avait tellement de protection acheter sur le marché des options qui sont accumulant que tout le monde a voulu monétiser cela à cause de la façon dont les options sont gérées, cela a créé une énorme demande de titre le marché a grimpé.
Il y a des mères de vêtements qui se produisent à court termes qui n'ont pas de sens jusqu'à ce qu'on comprenne qu'elle était la position terre qui crée cette dynamique.
À plus long terme, il y a deux effets.
Cela encourage des comportements très spéculatifs qui ne sont pas tellement ça.
Ils ont des rôles à jouer mais ça me paraît pas être très sain.
Pas très sain à court terme, mais vous avez dit que l'on terminera pas faire une grande différence.
Ce n'est pas présent dans ce secteur, n'a pas s'en inquiété.
Si vous dîtes que les marchés ne fonctionnent plus comme il le devrait, c'est à cause de ce genre de spéculation.
Il faut parfois ne pas se laisser distraire par le comportement des marchés.
Qui n'est pas nécessairement ce que l'on pourrait prédire.
En fonction de l'action et des réactions à l'actualité.
Il y a eu des jours je me demandais pourquoi cela se produit.
C'est à cause des conceptions de jour.
- Question suivante.
Qu'est-ce cela.
Les véhicules électriques, ce n'est pas mon domaine d'expertise.
Je ne m'intéresse pas nécessairement aux véhicules électriques.
Ce n'est plus nouveau.
Je ne veux pas dire que c'est banalisé, ce ne sera pas tellement juste, mais tout le monde construit des voitures électriques.
Vous construisez automobile, vous construisez des véhicules électriques.
Une stratégie si c'est une thèse, si c'est un thème, demandez-vous quels sont les éléments qui sont nécessaires pour construire des. Les batteries par exemple, mais les véhicules électriques se banalisent car tout le monde construit.
Les constructeurs ne se laissent pas déposséder de leur marché.
Michael Craig va répondre aux questions dans quelques instants.
Comme d'habitude, faites vos propres recherches avant de prendre vos décisions de placement. Je vous rappelle comment poser vos questions. Avez-vous une question sur le placement sur le marché?
Vous pouvait nous la poser soit par courriel@manitowoclivetd.com, soit dans la boîte de questions au bas de votre croix.
Il s'agit de cliquer sur envoyer.
Nos invités pourraient vous répondre en direct.
Aujourd'hui, tout le monde annonce l'annonce qui sera faite demain des statistiques sur sur les prix à la consommation du mois de janvier aux États-Unis.
Surtout après les observation très ferme de Jerome Powell, président de la Fed.
Anthony Okolie nous explique les conséquences de l'annonce de demain.
Valeurs mobilières qu'elle prévoit que les façons de base demeurent élever en janvier.
La baisse récente attribuable au recul de l'inflation des biens est sans doute pris fin.
L'inflation globale et de base demeure à un niveau inconfortable.
Il s'agit d'une baisse par rapport à cette pour cent en novembre et 6 % au mois de juin, ce qui est attribuable notamment à la baisse du cours du carburant.
L'inflation de base, en base de cette pour cent en novembre.
Dédé prévoit que l'inflation s'établisse à 0,4 % sur un mois. C'est le gant le plus important depuis octobre. Sous l'effet du rebond du ciment des prix de l'énergie, les prix de l'essence sont remontés pour la première fois depuis trois mois.
L'inflation de base de progressé de 3,3 % sur un mois, soit l'équivalent de la progression en décembre.
Ces projections sur un mois supposent que l'IPC globale et de base continuera de s'essouffler sur 12 mois en janvier.
Quand on analyse le segment des biens de l'inflation de base va baisser beaucoup moins, notamment les véhicules d'occasion qui devrait accuser une baisse de 0,7 % sur un mois par rapport à la moyenne d'un peu plus de 2 % sur quatre mois.
À cause du ralentissement de la demande des consommateurs.
Dédé prévoit que l'inflation des services établisse à environ 0,5 % soient près de la moyenne mobile sur trois mois, mais l'inflation pour les loyers et l'équivalent des logements devrait être élevé.
Le logement demeure une inconnue pour l'IPC et le risque le plus important pour les prévisions.
En janvier, l'indice de l'IPC comportera de nouvelles méthodologies pour le calcul de l'équivalent loyer.
Enfin, Dédé prévoit que le coût d'autres catégories basket considérablement alors que les déplacements par avion reculeront un peu plus modestement.
Si les chiffres sont plus élevés que prévus dans l'annonce de demain, quelle sera la trajectoire des taux d'intérêt?
Valeurs mobilières TD parce que les statistiques de demain vont renforcer le thème de résilience de l'économie et vont sans doute faire monter encore les prix du marché de la prochaine hausse de taux.
Les marchés pronostiques plus de 5 % d'ici juillet pour le taux des fonds du marché monétaire.
Valeurs mobilières TD pensent toutefois que le résultat moins élevé que prévu pourrait renforcer les propos de Jerome Powell augmentant la possibilité que la Fed puisse arrêter plutôt les augmentations de taux. Vous venez d'entendre Anthony Okolie.
À présent, à marche coup d'œil sur les marchés.
L'indice TSX composite progresse de 58 points, soit un peu plus d'un quart de pour cent.
Le secteur ferroviaire attire les investisseurs.
Nous avons parlé de CP, voici à présent idéal, qui légèrement en avance après avoir progressé davantage en début de séance.
B2Gold annoncé un accord pour l'acquisition de Sabina Gold and Silver.
L'action affichait une baisse de 6 % à l'ouverture de la session est aujourd'hui en baise un peu moins de 3 %.
Aux États-Unis, à l'annonce des chiffres de la l'inflation, le S&P 500 progresse de 40; presque 1 %.
Le secteur de la technologie affiche une meilleure santé que le reste du marché.
L'indice Nasdaq est en progression de presque 1 1/2 %.
Tesla est en baisse, nous l'avons montré tout à l'heure.
D'autres types de la technologie progressent.
Le géant du logiciel de la nuagique et Microsoft est en hausse de presque trois nuits pour cent.
Michael Craig répond à vos questions.
Les bénéfices des constructeurs automobiles, les marches sont sous pression.
Est-ce que ce secteur recèle de la valeur faut-il éviter par une récession?
Qu'en pensez-vous?
- C'est bien simple.
Les hausses de taux sur l'occasion de parler du logement.
Ils n'oublions pas qu'il y a énormément d'emprunts sont contractés pour acheter des autos.
Il n'y a pas si longtemps, on pouvait emprunter à 1 % aussi longtemps qu'on voulait.
Maintenant, c'est notablement plus élevé.
Je ne vois pas comment la demande des automobiles ne sera pas affectée.
Je pense que ce n'est pas favorable pour le secteur de l'automobile.
S'il n'est sans doute pas favorable pour toute cette chaîne d'approvisionnement. Au niveau très général, ce sera un défi.
- Est un gros avertisseur.
S'il faut payer quatre à 5 % sur son prêt, s'est considérablement plus élevé.
Cela va changer les décisions peut-être vont-elles conduire leur auto plus longtemps, en ce qui concerne les ventes unitaires, cela ne peut que baisser.
- Parlant présent du secteur financier.
Comment le voyez-vous dans le secteur financier? Les avantages et les inconvénients.
- Il y a beaucoup d'entreprises qui font parti de ce secteur.
Au niveau des banques, le marché distingue les banques de qualité et de moindre qualité.
On le voit dans différencier le niveau… c'est une question de dividende.
Je pense que les prix ne vont pas augmenter jusqu'à ce qu'il y ait une résolution quant au ralentissement à venir et à quoi il ressemblera.
Les banques sont des dérivés de l'économie, progressent avec l'économie et l'économie ne devrait pas connaître une croissance avant de 12 à 18 mois.
Je dirais qu'à long terme, le secteur financier va très bien réussir.
Il ne s'agit pas d'être inquiet.
Mais à bien des égards, c'est comme l'ensemble du marché.
Et je pense que cela s'applique également secteur financier.
Également les compagnies d'assurance vie, si on considère ce secteur, est-ce que dans les considérer différemment des banques?
Il y a différents facteurs qui les affectent.
Elles sont plus sensibles aux taux d'intérêt.
Les hausses de taux Lander et leur ont été très favorable.
Encore une fois, la sensibilité économique des compagnies d'assurance vie est moindre mais ce n'est pas un domaine qui m'inquiéterait.
Simplement à détenir.
Pendant ce malaise qui met que nous vivons.
- Quelles sont vos attentes à la rigueur des métaux précieux?
- Le comité de répartition d'actifs vient de rétrograder lors au niveau neutre.
L'aura bien progressée.
Nous avons repris une partie notre mise.
S'intéresser alors et à l'argent, son pauvre parent.
Le métal va suivre le dollar.
Sur une base de taux d'intérêt réel, au niveau où en sont les obligations et l'inflation implicite, c'est-à-dire l'inflation que prévoit le marché depuis cinq ans.
C'est très défavorable pour leur.
Je ne vois pas beaucoup de vente au détail, mais il y a beaucoup d'achat par les banques centrales.
Je ne suis pas emballé par lors mais je reviendrai s'il remontait à 1600 ou 1700.
C'est une forme d'assurance vous voulait.
Mais je pense qu'au prix actuel, lors n'a pas beaucoup de bon sens.
Je le dis sérieusement : les gens aiment beaucoup quand vous passez à l'émission.
Un complément que je vous transmets.
Merci pour votre invité Monsieur Craig qui a toujours des aperçus qui dépassent les thèses simplistes.
Notre public vous apprécie. J'ai hâte que vous reveniez sur le plateau.
Merci à Michael Craig, chef de répartition chez TD. Faites toujours vos propres recherches avant de faire vos, demain, Hafid nordiste répond à vos questions sur les titres à revenu actif.
Vous posez vos questions par courriel.
Merci à demain.
Anthony Okolie va nous donner une avant-première du rapport sur l'inflation aux États-Unis qui paraient demain. Nous poursuivons la découverte de CourtierWeb.
Nugwa Haruna nous explique comment nous renseigner sur la liquidité du marché.
Poser une question ou dans la boîte au bas de votre écran.
Tout d'abord, un coup d'œil sur le marché.
Le premier jour de bourse de la semaine se solde par un résultat positif modeste.
L'indice TSX composite est en progression de 76 ; soit un peu plus d'un tiers de pour cent.
Certains secteurs affichent une certaine fermeté, mais dans une assez faible mesure.
Le Canadien Pacifique a un peu cédé depuis début de séance mais toujours en progression de 67 ; soit un peu plus d'un demi pour cent. Nutrien, le titre est sous pression aujourd'hui, en baisse de 2 %.
Aux États-Unis, les marchés attendent les statistiques de l'inflation qui paraîtront demain. Il y a une certaine dynamique à la hausse. Le S&P 500 est en hausse de 37.
Soit un prix de 1 %. Le Nasdaq spécialisé dans la technologie progresse encore davantage, 265 ; soit 1,4 %. Test de participe à la remontée. Le titre est encore recule.
Soit 1,8 % de moins.
Les marchés ont pris un bon départ cette année. Mais de nombreuses entreprises avertissent que la croissance affaiblirait les investisseurs peut se demander si cette remontée va se prolonger s'il s'agit d'un faux départ. Michael Craig.
Parlons-en. Il y a eu des hauts et des bas.
Quand on considère le point de départ cette année et Céline somme arrivée, il y a eu des gains sur le marché pour ceci.
Comment les investisseurs devraient les considérer?
- Il y a deux raisons pour lesquelles les actions m'ont.
Vous payez plus pour la même chose ou bien elles ont pu générer des bénéfices améliorés.
À long terme, ce sont les bénéfices qui font la différence.
Cette remontée est plutôt fondée sur les valorisations. Qui tourne aujourd'hui autour de 19 19 ans et demi.
Les informes observations des entreprises sont plutôt mitigées, voire négative.
La plupart des annonces de bénéfices pour le dernier trimestre sont accompagnées de coupures d'emploi. Les marges peuvent-ils monter davantage? Peut-être, mais il n'y a pas de facteurs qui sont tellement convaincants pour envisager une remontée prolongée.
Il convie de faire preuve de prudence surtout sur le marché américain.
Certains pensaient qu'il s'agissait d'une situation assez classique.
Certains investisseurs pessimistes ont été pris de court par la remontée du début de l'année il a fallu qu'ils comblent leurs ventes à découvert.
Si l'on considère des corbeilles de titres qui sont le plus souvent vendu à découvert, tesla par exemple à remonter considérablement depuis quelque temps. Le titre est à 180 aujourd'hui mettait à 300 $ en novembre.
Cette remontée est impulsée par les stratégies de bourses qui ont suivi il s'agit de couverture de vente à découvert.
C'est une remontée classique en phase baissière.
On peut gagner beaucoup d'argent en profitant mais c'est délicat de discuter et danser.
Si vous avez fait preuve de prudence, ils ne doivent pas se faire entraîner par la crainte de rater quelque chose.
Pendant l'été dernier, il y a une remontée. Les investisseurs il y a une baisse au mois d'août et une autre baisse à l'automne.
Il s'agit donc de faire preuve de prudence.
C'est un excellence marchée pour les spéculateurs. Mais pour les investisseurs, est-ce que les choses sont différents de disques Italia moi? Pas vraiment.
L'optimisme à l'égard des coupures de taux au deuxième semestre s'est quelque peu estompé dans les cours en bourse.
Je ne dirais pas que le marché est universellement en difficulté, il y a certains secteurs de valeur.
À part les cinq méga titre, il y a des actions qui sont un prix intéressant.
Si la sélection de titres qui content en ce moment. Mais n'aura pas une remontée généralisée comme précédemment. Dans un avenir prévisible, ce sera marché gîte mitigé. Que dire des titres à revenu fixe?
Début de l'année il y avait un certain optimisme. Car la fête se disait-on allait finir d'augmenter les taux. La grande question restait combien de temps resterons-nous à ces taux élevés? Cela semblait préparer une belle phase pour les titres à revenu fixe. Les titres à revenu fixe portaient extrêmement bien.
La semaine dernière, cette remontée s'est quelque peu dégonflée.
Surtout à cause des chiffres plus élevés que prévu pour la masse salariale au Canada et aux États-Unis. Nous sommes dans une zone où il y a beaucoup de courants contradictoires en ce qui concerne l'inflation. On s'entend pour dire que l'inflation baise, mais demain, chiffre de l'IPC sera très important.
Au début du mois prochain, l'indice des coûts de l'emploi. Il y a eu des insultes justement saisonniers.
Donc les milieux financiers s'inquiètent beaucoup des changements qui ont été apportés aux indices.
Il s'agit d'estimations qui sont le fruit de calcul très complexe.
Je crois qu'il s'agirait d'une bonne année pour les titres à revenu fixe mais ce ne sera pas sans volatilité.
Malgré tout, détenant un titre à revenu fixe, on gagne quatre ou quatre et demis pour cent avec beaucoup d'actions en cas de récession si le rendement diminue.
C'est la thèse pour les titres à revenu fixe. Il se porte bien, le léger recul depuis quelque temps offre des possibilités de se relancer sur le marché.
C'est comme les actions. Il y aura d'invalidité compte tenu de la situation économique parce que beaucoup de gens ne savent pas où nous allons.
- Parle de l'incertitude. Vous avez parlé de l'emploi qui se porte très bien. Nous savons également que l'inflation globale diminue.
On a parlé d'une désinflation immaculée.
Il y a toutes sortes d'idée assez originale.
Il s'agit d'une situation où l'inflation baisserait sans trop endommager l'économie. Est-ce possible?
- Historiquement, ce genre d'argument est avancé avant une récession. Ce n'est pas la première fois que l'on en parle. Il est très difficile de voir, les banques centrales rendues très clairement, nous allons entrer en récession il n'y aura pas d'assouplissement monétaire parce que l'inflation ne sera pas parvenue au point où nous souhaitons qu'elle a.
Cette rentrée fermée très clair.
Nous pensons que nous allions voir la fin du monde en septembre un atterrissage en douceur.
Il y a eu toute une gamme de pronostics.
Je crois que la dernière fois… je ne crois pas que les choses vont se passer comment 2008.
C'est la première fois que nous sommes en présence d'un écosystème des médias sociaux ou les opinions circulent très rapidement.
Les gens ne pensent pas à une récession si toute l'idée d'une récession.
Après un choc.
Nous attendons encore, rien de ces produits. Je crois qu'il s'agit d'accepter que le monde a changé, la manière dont nous communiquons à changer, ce qui entraîne la propagation d'idées fausses.
Au sujet d'une récession, l'idée de notre grand tissage en douceur me laisse très sceptique.
Les données sur le logement aux États-Unis et au Canada continu d'être très faible.
Ce n'est pas propice à un atterrissage en douceur.
- Excellent début d'émission.
Michael Craig répond à vos questions sur la répétition d'actifs dans quelques minutes. Vous pouvez communiquer avec nous en tout temps par par courriel ou dans le cloître de réponse au bas de votre écran.
Tout d'abord l'actualité des marchés et un coup d'œil sur le marché.
Il semble que Bed Bath and Beyond a liquidé ses 65 magasins canadiens après avoir reçu une ordonnance de protection contre ses créanciers. Il s'agit de l'un des plus grands départs de détails depuis quelques années mais valeur immobilière TD prévoit que la plupart des c'est super City guident devraient être remplis.
Dario connaît la plus exposée puisque le détail représentait zéro.
2 % de son loyer prude. Une acquisition dans le secteur minier canadien B2Gold fait à Christian de Sabina Gold and Silver moyennant des actions. Sabina est active dans le secteur aurifère de backup au Nunavut. La transaction doit être approuvée.
Encore des licenciements dans le secteur de la technologie, l'éditeur répond 10 sont il se réorganise. À présent, les grands indices. TSX est en hausse de 85.
La Silésie SP500 est dans l'expectative en attendant les statistiques de l'inflation aux États-Unis mais pour aujourd'hui progresse de presque 1 %. Michael Craig, chef de la répartition d'actifs, répond à vos questions.
Tout d'abord, vaut-il mieux couvrir vos actions et vos affinités par rapport au dollar américain?
- D'abord, la règle générale en matière d'action, je n'ai jamais été très favorable à la couverture du taux de change parce que cela finit par s'annuler.
Aux États-Unis, 40 % des revenus des entreprises cotées SIP 500 provient de l'international.
Il y a des plus et des moins.
C'est très difficile à déterminer.
Le dollar canadien, si nous entrions dans une récession, on pourrait perdre sur les actions et pertes sur le dollar canadien.
Ma matière de répartition d'actifs, nous sommes baissiers à l'égard du dollar comme catégorie d'actifs. Nous pensons que le dollar américain a dépassé son niveau approprié et continu de faiblir.
C'est beaucoup plus sensible si vous êtes un investisseur de titres à revenu fixe ou cela affecte beaucoup plus votre revenu.
Ce n'est pas une façon de naître d'investir dans les sections.
Si vous inquiétez du dollar, investi en Europe au Japon.
C'est une façon plus nette de gérer le dollar américain. Je ne m'intéresserai pas couverture.
Stratégie de couverture exige d'avoir eu une thèse sur l'évolution des taux de change. Si vous avez toutes sortes d'entreprises, un portefeuille d'actions américaines qui sont concentrées sur les États-Unis, envisager de liquider ses titres leur.
Si vous avez des entreprises qui réalisent leur chiffre d'affaires à l'étranger, cela s'équivaut.
- Justement, on demande s'il est préférable d'investir en Amérique du Nord au plus à l'international. Je sais que les investisseurs canadiens ont été critiqués.
Les investisseurs individuels ont été critiqués ce qui se concentre trop sur le Canada.
- A du bon sens avoir une exposition à l'international. Puisque nous avons dans nos portefeuilles.
Le Canada va bien se tirer d'affaire d'ici 10 ans. Les 10 dernières années, c'était le logiciel et les 10 années à venir c'est l'investissement dans l'infrastructure et le zéro carbone. Quand on songe aux entreprises d'agriculture, d'énergie, le Canada se classe en tête de liste. C'est un élément important du portefeuille.
Je ne néglige pas le Canada au profit du Japon. Mais il est important que les investisseurs aident une pour toutes sortes de raisons.
Notamment la diversification. Vous réduisez votre risque et vous obtenez un meilleur rendement.
Il a du bon sens, je pense.
- Je vous ai parlé de zéro carbone et du secteur de l'énergie au Canada. Certaines personnes constatent que sur le TSX, l'indice de l'énergie et composé de pétrolières et de gazières. Est-ce que ce sont des compagnies d'énergies qui vont réussir leur transition? Ça dépend de l'entreprise.
Dans le secteur de l'énergie, la expectative c'est l'énergie.
Je pense qu'il n'est pas réaliste de croire qu'elles vont se réorienter. Je crois que nous allons encore consommer du pétrole largement après que nous n'y serons plus. Le pétrole ne peut pas disparaître du jour au lendemain.
Nous n'avons pas vraiment de substitution.
Les énergies renouvelables sont intéressantes mais elles ne sont pas aussi efficaces, de loin, que l'utilisation de l'essence pour le transport.
Il faut avoir une exposition, mais dans secteur énergétique, mettons qu'on a une entreprise où il y a un secteur très protégé, les investisseurs ne veulent pas courir un tel risque. C'est comme le secteur de l'énergie aujourd'hui.
Il y a moins de, les entreprises ne sont pas payées pour investir, soit pour entretenir leur activité. Restitue beaucoup de gens aux actionnaires.
Ce qui avait nui aux compagnies pétrolières, c'est qu'elles avaient entamé de vastes campagnes d'exploration et de développement et elle voyait leur immobilisation augmentée démesurément.
Mais ce n'est plus le cas.
- Une autre question.
Privilégiez-vous pour le volet à revenu fixe portefeuille?
- On peut aborder la question sous plusieurs angles.
La liquidité rapporte quatre et demis pour cent.
Ce n'est pas un mauvais investissement.
Je ne dirais pas : mettez 30 % de votre portefeuille dans la liquidité, 5 %, c'est du bon sens.
Une façon d'y remédier, c'est d'avoir de l'argent sur la main pour protéger profiter des occasions qui présentent.
Il y a deux secteurs qui nous plaisent.
Les obligations du gouvernement à long terme au cas où il y aurait une récession légère aggrave.
C'est l'assurance si vous voulez, contre les inondations si votre sous-sol est inondé n'est pas content mais au moins vous avait les assurances.
Les rendements sont donc favorables.
Et puis à l'autre extrémité, il y a les obligations de sociétés zéro à 5 % surtout de première qualité.
Les écarts ont quelque peu diminué mais il y a des rendements supérieurs à cinq ou 6 %. En supposant que le risque de crédit vous satisfait et qu'il n'y a pas de problème de refinancement, c'est un endroit du marché où il est très favorable d'investir.
Quand on parle d'obligation de société, la première société, car la première activité, il y aura peut-être quelques inquiétudes quant au bilan des entreprises. Ça dépend des entreprises.
Je n'écris pas les obligations à rendement élevé. C'est spéculatif.
Il s'agit d'une catégorie phénoménale au niveau du risque. Mais s'il y a… le défi avec les obligations rendement élevées qui se sait que les entreprises sont par définition très endettée, il y a davantage de défaillance. Le risque c'est être rétrogradé en obligations à rendement élevé. Il faut faire des recherches, mesurer le risque.
- Agora semble s'être recherche pour un nain du investisseur individuel? Il a peut-être l'habitude d'étudier une action, bilan d'entreprise mais si vous renseignez sur vos titres à revenu fixe, que vous recherchez les mêmes éléments?
- Oui.
En général, investisseur en bourse va s'intéresser à l'état des revenus, à la croissance.
C'est le bilan, la capacité de payer.
Bien sûr, c'est l'influent est trésorerie qui est nécessaire pour rembourser. Il faut s'intéresser au bilan pour comprendre le levier.
En définitive, la fiabilité de l'entreprise.
Il y a des investisseurs qui se spécialisent dans les deux marchés mais en général, les analystes sont dans l'un ou l'autre corps.
Les spécialistes des actions veut que les investisseurs soient davantage rémunérés.
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Ce terme de liquidité comptable signifie la capacité d'une entreprise à remplir ses obligations financières. Rembourser ses dettes par exemple.
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Ces éléments de passif, ce qu'elle doit.
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Examinons les données fondamentales pour ce même site.
Il s'agit d'informations qui sont tirées des états financiers.
L'état du flux de trésorerie et l'état des revenus.
Dérouleront jusqu'au ratio du fonds de roulement.
Il tient compte des actifs à court terme.
Dans quel délai une compagnie peut-elle transformer ses actifs en liquidité dans un an est divisé par le passif à court terme, c'est-à-dire la dette que l'entreprise devra rembourser en un an. Il s'agit d'un SIF qui est conforme et cela peut indiquer que la compagnie a une meilleure liquidité est plus saine financièrement. Un chiffre qui est largement inférieur à la moyenne de l'industrie peut-être un investissement.
Il y a ensuite le ratio de trésorerie.
Il soustraie les inventaires d'actifs à court terme puisque les inventaires ne sont pas aussi liquides que les entreprises voudraient nous faire croire.
Je voulais avoir une mesure plus stricte, vous pouvez utiliser le ratio de trésorerie.
Il s'agit d'avoir un ratio qui est semblable à la moyenne de l'industrie supérieure.
Il faut se demander de quel type de liquidité s'agit-il.
Liquidité des marchées liquidités comptables.
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Vous m'avez rappelé mon cours de valeurs mobilières.
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Nugwa Haruna et formatrice ATD. N'oublie pas de visiter le centre d'apprentissage où vous trouverez encore plus de ressources, y compris un atelier sur l'introduction à l'analyse technique.
Je vous rappelle comment nous poser vos questions.
Avez-vous une question sur les placements ou encore sur les marchés? Vous pouvez nous la poser.
Soit par courriel@moneytalkliveatd.
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Nos invités pourraient vous répondre en direct.
Michael Craig répond à vos questions sur la répartition d'actifs.
Que pensez-vous du pétrole?
Les pessimistes tablent sur une récession et les outils mis sur une pénurie d'offres.
- Tous deux pourraient avoir raison.
La récession, c'est un phénomène qui s'étend sur 12 à 18 mois.
Si nous entrons dans une phase de ralentissement, la demande d'énergie va baisser.
L'énergie est très corrélée afin que le PIB. À plus long terme, en supposant que nous ressortirons d'une récession avec une trajectoire de croissance, les problèmes d'offres seront de nouveau d'actualité.
Nous en avons beaucoup d'étudiants cela dans d'autres groupes de produits de base.
L'offre est insuffisante et ce sera un véritable défi. Les prix ne resteront pas abaissés pendant très longtemps.
Le pétrole est 1, Cours inférieur à ce qu'il était avant l'invasion de l'Ukraine.
Il y a beaucoup de facteurs négatifs en ce qui concerne le pétrole. Il n'en faudrait pas beaucoup pour déclencher une remontée.
Il y a des risques géopolitiques qui s'accumulent dans le Moyen-Orient et qui représente une inconnue.
Mais un jour, on pourrait allumer son terminal Bloomberg et le pétrole aura promis de 20 $. Il existerait dont les marchés ne tiennent pas vraiment compte.
Je ne sais pas cela va se produire ou non, mais il faut tenir compte de cela.
L'équilibre des risques est plus propice à une hausse des cours du pétrole.
La situation est donc… pendant quelque temps.
Récession, c'est très négatif.
Géopolitiques, s'est favorable pour le cours du pétrole.
Et à long terme, l'offre insuffisante sera un facteur clé pour les clés.
- Une excellente réponse de mon point de vue.
On en a déjà parlé : comment les options affectent tels les marchés et est-ce que les options jour zéro déformées marché?
- Un éclaircissement d'une question qui a été posée. Je pense qu'il s'agit d'options d'un jour. Ce qui produit, c'est qu'historiquement, les options étaient négociées le troisième vendredi de chaque mois.
Cette date était négociée et ensuite, c'était plutôt la fin du mois.
Il y a de plus en plus de dates aujourd'hui.
On peut négocier des options qui expirent le lendemain. Je dirais que pour certains événements, cela crée beaucoup de tendances contradictoires bizarres. Au dernier trimestre, des statistiques comparées qui étaient très négatives.
Les marchés ouvrent à neuf heures et à 10 heures, il y avait une remontée.
Il y avait tellement de protection acheter sur le marché des options qui sont accumulant que tout le monde a voulu monétiser cela à cause de la façon dont les options sont gérées, cela a créé une énorme demande de titre le marché a grimpé.
Il y a des mères de vêtements qui se produisent à court termes qui n'ont pas de sens jusqu'à ce qu'on comprenne qu'elle était la position terre qui crée cette dynamique.
À plus long terme, il y a deux effets.
Cela encourage des comportements très spéculatifs qui ne sont pas tellement ça.
Ils ont des rôles à jouer mais ça me paraît pas être très sain.
Pas très sain à court terme, mais vous avez dit que l'on terminera pas faire une grande différence.
Ce n'est pas présent dans ce secteur, n'a pas s'en inquiété.
Si vous dîtes que les marchés ne fonctionnent plus comme il le devrait, c'est à cause de ce genre de spéculation.
Il faut parfois ne pas se laisser distraire par le comportement des marchés.
Qui n'est pas nécessairement ce que l'on pourrait prédire.
En fonction de l'action et des réactions à l'actualité.
Il y a eu des jours je me demandais pourquoi cela se produit.
C'est à cause des conceptions de jour.
- Question suivante.
Qu'est-ce cela.
Les véhicules électriques, ce n'est pas mon domaine d'expertise.
Je ne m'intéresse pas nécessairement aux véhicules électriques.
Ce n'est plus nouveau.
Je ne veux pas dire que c'est banalisé, ce ne sera pas tellement juste, mais tout le monde construit des voitures électriques.
Vous construisez automobile, vous construisez des véhicules électriques.
Une stratégie si c'est une thèse, si c'est un thème, demandez-vous quels sont les éléments qui sont nécessaires pour construire des. Les batteries par exemple, mais les véhicules électriques se banalisent car tout le monde construit.
Les constructeurs ne se laissent pas déposséder de leur marché.
Michael Craig va répondre aux questions dans quelques instants.
Comme d'habitude, faites vos propres recherches avant de prendre vos décisions de placement. Je vous rappelle comment poser vos questions. Avez-vous une question sur le placement sur le marché?
Vous pouvait nous la poser soit par courriel@manitowoclivetd.com, soit dans la boîte de questions au bas de votre croix.
Il s'agit de cliquer sur envoyer.
Nos invités pourraient vous répondre en direct.
Aujourd'hui, tout le monde annonce l'annonce qui sera faite demain des statistiques sur sur les prix à la consommation du mois de janvier aux États-Unis.
Surtout après les observation très ferme de Jerome Powell, président de la Fed.
Anthony Okolie nous explique les conséquences de l'annonce de demain.
Valeurs mobilières qu'elle prévoit que les façons de base demeurent élever en janvier.
La baisse récente attribuable au recul de l'inflation des biens est sans doute pris fin.
L'inflation globale et de base demeure à un niveau inconfortable.
Il s'agit d'une baisse par rapport à cette pour cent en novembre et 6 % au mois de juin, ce qui est attribuable notamment à la baisse du cours du carburant.
L'inflation de base, en base de cette pour cent en novembre.
Dédé prévoit que l'inflation s'établisse à 0,4 % sur un mois. C'est le gant le plus important depuis octobre. Sous l'effet du rebond du ciment des prix de l'énergie, les prix de l'essence sont remontés pour la première fois depuis trois mois.
L'inflation de base de progressé de 3,3 % sur un mois, soit l'équivalent de la progression en décembre.
Ces projections sur un mois supposent que l'IPC globale et de base continuera de s'essouffler sur 12 mois en janvier.
Quand on analyse le segment des biens de l'inflation de base va baisser beaucoup moins, notamment les véhicules d'occasion qui devrait accuser une baisse de 0,7 % sur un mois par rapport à la moyenne d'un peu plus de 2 % sur quatre mois.
À cause du ralentissement de la demande des consommateurs.
Dédé prévoit que l'inflation des services établisse à environ 0,5 % soient près de la moyenne mobile sur trois mois, mais l'inflation pour les loyers et l'équivalent des logements devrait être élevé.
Le logement demeure une inconnue pour l'IPC et le risque le plus important pour les prévisions.
En janvier, l'indice de l'IPC comportera de nouvelles méthodologies pour le calcul de l'équivalent loyer.
Enfin, Dédé prévoit que le coût d'autres catégories basket considérablement alors que les déplacements par avion reculeront un peu plus modestement.
Si les chiffres sont plus élevés que prévus dans l'annonce de demain, quelle sera la trajectoire des taux d'intérêt?
Valeurs mobilières TD parce que les statistiques de demain vont renforcer le thème de résilience de l'économie et vont sans doute faire monter encore les prix du marché de la prochaine hausse de taux.
Les marchés pronostiques plus de 5 % d'ici juillet pour le taux des fonds du marché monétaire.
Valeurs mobilières TD pensent toutefois que le résultat moins élevé que prévu pourrait renforcer les propos de Jerome Powell augmentant la possibilité que la Fed puisse arrêter plutôt les augmentations de taux. Vous venez d'entendre Anthony Okolie.
À présent, à marche coup d'œil sur les marchés.
L'indice TSX composite progresse de 58 points, soit un peu plus d'un quart de pour cent.
Le secteur ferroviaire attire les investisseurs.
Nous avons parlé de CP, voici à présent idéal, qui légèrement en avance après avoir progressé davantage en début de séance.
B2Gold annoncé un accord pour l'acquisition de Sabina Gold and Silver.
L'action affichait une baisse de 6 % à l'ouverture de la session est aujourd'hui en baise un peu moins de 3 %.
Aux États-Unis, à l'annonce des chiffres de la l'inflation, le S&P 500 progresse de 40; presque 1 %.
Le secteur de la technologie affiche une meilleure santé que le reste du marché.
L'indice Nasdaq est en progression de presque 1 1/2 %.
Tesla est en baisse, nous l'avons montré tout à l'heure.
D'autres types de la technologie progressent.
Le géant du logiciel de la nuagique et Microsoft est en hausse de presque trois nuits pour cent.
Michael Craig répond à vos questions.
Les bénéfices des constructeurs automobiles, les marches sont sous pression.
Est-ce que ce secteur recèle de la valeur faut-il éviter par une récession?
Qu'en pensez-vous?
- C'est bien simple.
Les hausses de taux sur l'occasion de parler du logement.
Ils n'oublions pas qu'il y a énormément d'emprunts sont contractés pour acheter des autos.
Il n'y a pas si longtemps, on pouvait emprunter à 1 % aussi longtemps qu'on voulait.
Maintenant, c'est notablement plus élevé.
Je ne vois pas comment la demande des automobiles ne sera pas affectée.
Je pense que ce n'est pas favorable pour le secteur de l'automobile.
S'il n'est sans doute pas favorable pour toute cette chaîne d'approvisionnement. Au niveau très général, ce sera un défi.
- Est un gros avertisseur.
S'il faut payer quatre à 5 % sur son prêt, s'est considérablement plus élevé.
Cela va changer les décisions peut-être vont-elles conduire leur auto plus longtemps, en ce qui concerne les ventes unitaires, cela ne peut que baisser.
- Parlant présent du secteur financier.
Comment le voyez-vous dans le secteur financier? Les avantages et les inconvénients.
- Il y a beaucoup d'entreprises qui font parti de ce secteur.
Au niveau des banques, le marché distingue les banques de qualité et de moindre qualité.
On le voit dans différencier le niveau… c'est une question de dividende.
Je pense que les prix ne vont pas augmenter jusqu'à ce qu'il y ait une résolution quant au ralentissement à venir et à quoi il ressemblera.
Les banques sont des dérivés de l'économie, progressent avec l'économie et l'économie ne devrait pas connaître une croissance avant de 12 à 18 mois.
Je dirais qu'à long terme, le secteur financier va très bien réussir.
Il ne s'agit pas d'être inquiet.
Mais à bien des égards, c'est comme l'ensemble du marché.
Et je pense que cela s'applique également secteur financier.
Également les compagnies d'assurance vie, si on considère ce secteur, est-ce que dans les considérer différemment des banques?
Il y a différents facteurs qui les affectent.
Elles sont plus sensibles aux taux d'intérêt.
Les hausses de taux Lander et leur ont été très favorable.
Encore une fois, la sensibilité économique des compagnies d'assurance vie est moindre mais ce n'est pas un domaine qui m'inquiéterait.
Simplement à détenir.
Pendant ce malaise qui met que nous vivons.
- Quelles sont vos attentes à la rigueur des métaux précieux?
- Le comité de répartition d'actifs vient de rétrograder lors au niveau neutre.
L'aura bien progressée.
Nous avons repris une partie notre mise.
S'intéresser alors et à l'argent, son pauvre parent.
Le métal va suivre le dollar.
Sur une base de taux d'intérêt réel, au niveau où en sont les obligations et l'inflation implicite, c'est-à-dire l'inflation que prévoit le marché depuis cinq ans.
C'est très défavorable pour leur.
Je ne vois pas beaucoup de vente au détail, mais il y a beaucoup d'achat par les banques centrales.
Je ne suis pas emballé par lors mais je reviendrai s'il remontait à 1600 ou 1700.
C'est une forme d'assurance vous voulait.
Mais je pense qu'au prix actuel, lors n'a pas beaucoup de bon sens.
Je le dis sérieusement : les gens aiment beaucoup quand vous passez à l'émission.
Un complément que je vous transmets.
Merci pour votre invité Monsieur Craig qui a toujours des aperçus qui dépassent les thèses simplistes.
Notre public vous apprécie. J'ai hâte que vous reveniez sur le plateau.
Merci à Michael Craig, chef de répartition chez TD. Faites toujours vos propres recherches avant de faire vos, demain, Hafid nordiste répond à vos questions sur les titres à revenu actif.
Vous posez vos questions par courriel.
Merci à demain.