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(musique) Bonjour, je suis Greg Bonnell et bienvenue à Parlons Argent en direct, présenté par Placements directs TD. Chaque jour, je serai rejoint par des invités de la TD dont beaucoup que vous ne vient verrez qu'ici. Répondre à vos questions sur l'investissement. Avenir dans l'émission d'aujourd'hui, nous discutons de la question à savoir si la saison des bénéfices laisse présager une récession. Avec Justin Flowerday, de TD gestion placement. Dans le cadre de la formation CourtierWeb d'aujourd'hui, nous verrons les fonds inversés et comment il fonctionne. Voici comment vous devez nous contacter. Il suffit d'envoyer un e-mail à Parlons Argent en direct. Avant d'accueillir notre invité, faisons le tour des marchés. On est en plein dans le rapport des bénéfices. On va commencer par ce qui se passe chez nous avec l'indice composite TSX. On passe d'une baise le presque un pourcentage entier. Dans l'espace technologique, on n'en parlera davantage, Shopify évidemment sort avec cette note de service à ses employés qu'il fait une coupure de ce personnel. Ils avaient parié (. ..) il y a encore du chemin à faire dans ce domaine. On approfondira dans quelques instants. J'aimerais regarder aussi du côté d'énergie, parce que plutôt il y a quelques noms énergétiques qui contraignent un peu les pressions et retournent dans un territoire négatif. Le Nasdaq a baissé depuis plus d'un pour cent. c'est un changement dans les négociations. Au sud, le S&P 500, vous voyez une baisse de un et encore pour cent. Il y a du mouvement des vibrations si on veut dans le secteur du détail au sud de la frontière. Regardez Nasdaq. Évidemment, il y avait des choses qui se passent. Shopify, j'en ai déjà parlé, ça a baissé de un. 7 %. Regardons de plus près General moteur. Les bénéfices nets chutent en raison des perturbations de la chaîne provisionnement. On va parler de Walmart aussi. Il y a des chocs sur la question de la chaîne d'approvisionnement qu'à son poisson poursuit. Et voilà pour la mise à jour. C'est une semaine très importante pour les résultats. Certains des plus grands noms de l'industrie publient leurs derniers chiffres. Pour faire le point sur ce que les entreprises nous disent de l'état de l'économie et de ce que cela signifie pour les portefeuilles, voici Justin Flowerday, responsable de la recherche chez Gestion de placements TD. Nous avons des préoccupations par rapport à ce que nous entendons et même de ce côté-ci de la frontière par rapport au chemin qui nous attend. Que devrions-nous retenir? - Il y a plusieurs aspects sur lesquels on s'attarde. On essaie de mieux comprendre les tendances des demandes de la part des consommateurs et des entreprises afin de mieux comprendre les préférences d'achat. Cela nous dit à quel point la demande au sein de l'économie est fragile. On a de bonnes lectures sur ce plan là. Les marges aussi nous intéressent, les marges progressives. Qui décrivent la rentabilité des dollars pour les entreprises. Nous parlons aussi de comment la société gère leurs coûts dans l'environnement. Les différentes industries, les différents secteurs et leur capacité en termes de compétitivité. Ce que j'ai en dernier lieu, ce qu'on porte attention à ce qu'ils disent les groupes de direction ``a propos de l'avenir. C'est un aspect très important. on a un dollar américain plus fort, une volatilité des devises et des prix du pétrole plus élevé, des taux d'intérêt plus élevé et donc on espère sincèrement et on commence à voir des éléments plus négatifs ressortir des équipes de directions. Quand il s'agit de ce point de vue plus réaliste de la mairie de ce qui nous attend, c'est une des grandes questions, n'est-ce pas? Une inflation qui grimpe, ce que font les banques centrales, quand on me récession pas, que nous disent les bénéfices? Le Canada a des entreprises et le Canada de façon générale. Je voudrais que jusqu'ici, il y a un quart du S&P 500 si on regarde aux États-Unis, ils font face aux pressions des coûts de façon décente, ce n'est pas un désastre total, nous avons commencé entendre parler de changement de ton parmi les équipes. On l'entend davantage parler des défis auxquels ils font face, l'inventaire, la demande de façon générale, les stocks, etc. Je ne dirais pas que ce soit quelque chose de particulièrement positif. Tout cycle qui terrasse afin de rétablir ses attentes. C'est un médicament, si on veut, que doive avaler le marché et on avance quand même dans ce sens. La partie du sel et de déterminer lorsqu'on a bien pris tous nos médicaments, lorsqu'on en aurait eu assez. Évidemment, c'est impossible de synchroniser les marchés. - Est-ce que vous diriez que le pire est probablement derrière nous? Iriez-vous jusque-là? - Ça toujours à voir avec les attentes par rapport aux bénéfices et aux revenus. Si on se range vers 2023. On voit les estimations pour le S&P 500, 245 $, c'est de baisser absolument. Ce qu'on commence à voir, dans les derniers jours, c'est que ces chiffres commencent tranquillement à baisser au goutte-à-goutte. Les équipes de directions doivent avoir une approche plus réaliste par rapport la structure de coûts. Et cherche à protéger l'image. On commence à parler davantage d'investissements rationnels sur le plan des personnes, des êtres humains, des projets etc. Tout cela est très positif. Ce dispositif est un médicament que le marché doit prendre. Une partie de la discussion tourne autour du fait que nous avons pas passé au sommet de l'inflation. Si nous avions cela, peut-être que nous aurions une stratégie pour faire ceci. Mais que devrions observer ou surveiller pour tenter de déterminer tout ça? - Je dirais qu'on a vu le sommet. Nous sommes au sommet.il y aura plusieurs phases dans les 18 prochains mois. La première phase dans les six prochains mois et cette phase désinflationniste douce. On voit le prix des biens commence à changer.la phase suivante sera plus difficile. Beaucoup avoir avec le prix des services. Les salaires. Cette phase va peut-être prendre un peu plus de temps. On a une courbe différent de ce qu'elle était par le passé, davantage asymétrique limitée par le passé. Il y a des défis devant nous certainement. Mais je pense que nous allons progresser dans les six prochains mois, passé 19 % à quelque chose dans l'ordre du quatre aux cinq. Ce déplacement de quatre ou cinq verse boucle d'or (...) savait un peu plus difficile. on fait preuve de grande agressivité. Ces hausses incroyables commencées dernièrement. On entend un peu les sociétés dire qu'il y a un adoucissement, qu'ils vont peut-être changer un peu leurs attentes etc., que pensez-vous qui doit se faire à partir de maintenant? - Je pense que la Fed (...) ils ont repris avec ce qui se passe sur le marché, mais je ne pense pas que ça va prendre un point de données d'affaiblissement de l'inflation pour changer quoi que ce soit dans l'esprit ou la psychologie de la Fed. Ça va prendre deux ou 34 ou cinq de ce point de donner pour que Powell réclame haut et fort que nous avons les choses contrôle. Je ne pense pas que sur le mois suivant le mois d'après. Probablement pas avant six mois. il faut donner du temps pour voir les effets de tout ce qui a été déclenché. Certains pensent que le pivot va peut-être aller plus loin. L'année prochaine, en 2023, même si on vit avec ses hausses incroyables, quant au score des coupures de taux? Est-ce qu'il y a quiconque cherche à voir cela? Est-ce que c'est trop optimiste? - Je ne pense pas que ce soit trop optimiste comme hypothèse éventualité. La Fed va faire qu'elle a à faire. Elle va augmenter, s'occuper du chômage, et lorsqu'ils y arriveront, ils vont penser à l'équilibre qu'ils doivent frapper, si on veut, pour le mandat: gérer l'inflation mais aussi gérer pour un plein-emploi sur le long terme. C'est toujours un équilibre qui est difficile. L'inflation est devant leurs yeux et il doit s'en occuper, ils doivent agir. Lorsqu'ils verront les choses taper un peu, je pense que nous verrons, et lorsque l'économie aura faibli, et franchement on n'y arrive bientôt, je pense qu'on verra davantage le discours dans l'autre sens. Le sens des coupures. - Excellent. Justin Flowerday, dans quelques instants, vous pouvez nous contacter. MoneyTalkLive@TD.com. Il y a une boîte où vous pouvez réagir. Sur CourtierWeb. On va regarder un peu ce qui se passe. Comment les choses se négocient sur les marchés. Shopify supprime 10 % de son personnel, affirmant qu'elle s'est trompée sur la vigueur de la demande du commerce électronique à la sortie de pandémie. Dans une lettre adressée aux pentes aux employés, le PDG a déclaré que son pari selon lequel la pénétration du commerce en ligne avait fait un bon permanent de plusieurs années n'a pas été payant. Selon lui, la comète combinaison de commerce électronique et de vente au détail est revenue au prévôt niveau privé avant la pandémie. (...) Un boom des achats en ligne,, mais l'action a perdu de sa valeur depuis le début de l'année. À l'avertissement de Walmart selon lesquelles inflation apaisée sur les bénéfices cette année est ressentie dans tout le secteur de la vente au détail. Walmart affirme que les prix élevés modifient les comportements des consommateurs sont contraints de dépenser davantage pour se nourrir et déduire leur consommation donna (. ..) réduire les prix des vêtements pour mieux maîtriser les stocks. La nouvelle mise sous pression d'autres grands noms de la distribution, dont Target et Amazon. (. ..)La FMI indique que l'inflation et les conflits en Ukraine font des ravages et prévient qu'une récession mondiale ne peut être exclue. Voici comment se comporte le principal indice de référence au Canada et aux États-Unis. Vous voyez ce pass avec Shopify et aussi regarder du côté du secteur énergétique. Une réduction dans le prix du pétrole brut. Une perte à trois chiffres, 169; vous voyez que c'est à la baisse. Le S&P 500, beaucoup de bénéfices qui font l'objet de rapports. GM est sous pression également comme vous le voyez. 3900 et 17. On revient avec Justin Flowerday, avec Gestion de placements TD. On va passer sur les marchés(...) - excellente question. Les soins de santé (... ) il faut se souvenir que le secteur des soins de la santé comporte plusieurs composantes. Il y en a qui seront plus défensives, d'autres seront davantage de nature cyclique. Il y a eu des tendances plutôt positives qui découlent secteur de la santé, récemment, on avait la capacité de plusieurs de ses fournisseurs de réellement soutenir leurs activités avec l'augmentation des prix à travers cet environnement. Il y a un collègue qui a participé à une conférence aux États-Unis, une conférence sur les soins de santé justement, et qui m'a fait un commentaire. Il parlait de ces sociétés de soins de santé qui rétablisse leur prix une fois par année. Il m'a parlé de ça il y a peut-être six mois, et maintenant c'est sur eux une base trimestrielle il regarde même chose sur une base mensuelle, hebdomadaire. Le rapport est sorti tard la semaine dernière, commencer à parler de la façon dont ils augmentent les prix à chaque semaine. On part d'une augmentation de 4 % dans certains cas. Il y a une combinaison de sociétés qui peuvent augmenter les prix et gérer les coûts des activités qui augmentent et qui ont un flux de revenus défensifs pas aussi volatiles que d'autres parties plus cycliques du marché. Il s'agit d'une recette pour des multiples stables et potentiellement une expansion de multiples. - Est-ce que ce type que vous décrivez cause problème du point de vue politique? Je pense à d'autres cycles, d'autres élections les gens vont se dire: on va leur courir après. Ça impose une certaine pression. - oui, ça impose une certaine pression c'est sûr, et je pense que c'est sûr que ça m'a quelque chose à surveiller pour tout ce qui est bio(... ) d'autres objets de consommation ainsi que les sociétés off pour faire fonctionner des machineries plus importantes. Je pense que ça peut être échappe au radar. Ce sera peut-être moins l'enjeu. Les prix des médicaments, c'est sûr, vont continuer à être dans la ligne de mire sur le plan politique aussi. Quand on part du secteur des soins de santé, on parle de contexte de certaines compagnies doive parler. J'attends sous interaméricain de soins de santé. C'est très différent. La composition est très différente ici que là-bas. Ça ne ressemble pas du tout ce qui se passe aux États-Unis. - non,, tout à fait. D'ailleurs tous ces commentaires au préalable portaient surtout sur les États-Unis. (.. .) notre auditoire le sait très bien, font leurs recherches sur CourtierWeb. On ne vit pas avec les noms associés à la marijuana. Que penser voudra le récent ralentissement des ventes de publicité numériques dans des compagnies comme Snapchat et Twitter? Est-ce que c'est de mauvais augure pour le secteur des technologies? - Oui, c'était gros. Snapchat passe par des moments douloureux. Beaucoup de clients commencent à couper leur budget. Un des commentaires que je formais à propos de Snapchat, c'est que si on les compare à une société comme Google ou Facebook, ils sont tellement plus petits et ils desservent un service différent. Ils ne font pas appel à Snapchat en mettant leurs bases principales comme le fait Google ou Facebook. Snap 50 000 clients je dirais. Snap va être une des premières sociétés à subir la douleur pour ce qui est de réduire le budget de publicité. Je ne pense pas qu'on verra une frappe aussi importante à Google ou Facebook ce trimestre. Si on entame véritablement de récession, Google et Facebook ressentiront la douleur aussi. Pour l'heure je ne pense pas qu'ils vont être frappés aussi durement que Snap. C'est très important la publicité numérique, parce qu'il y a de plus en plus d'argent qui passe de traditionnelles à numériques. La publicité numérique domine. - Est ce qui est ce qui est retiré de ce côté-là va placer un? - Non, ça va demeurer dans la publicité numérique mais peut-être pas au même endroit. Une statistique j'ai vu la semaine dernière parlait d'Amazon en particulier. Amazon génère 30 milliards de dollars en revenue publicité sur une base annuelle. C'était en 2021. En 2021, la catégorie journaux sur le plan mondial a généré moins de 30 milliards. En ventes publicitaires. Amazon, qui n'est pas le plus gros choix dans ce domaine, et plus gros que l'industrie des journaux. Oui, le glissement a eu lieu et probablement il y aura encore davantage glissement, mais toutes les sociétés font leur publicité de façon numérique, même les petites. C'est là que vont se trouver les budgets. - En tant qu'ancien gars qui travaillait dans ce domaine, ça fait (...) c'est le monde dans lequel on vit. Une augmentation entière de 1 %. - je ne pense pas que ce soit impossible ce n'est pas mon idée de base, principal. Ce que nous avons vu cette semaine de la part de sociétés, il y a des gels d'embauche, c'est sûr,il y a certains indicateurs qui soutiennent que le sommet de l'inflation est arrivé oui derrière nous. Ce qui leur donne le droit de passer à 75 100. Moi je dirais 75. Mais peut-être qu'ils vont opter pour l'autre direction(... ) on verra demain à 2h15. On sera tous. - Oui effectivement. Assurez-vous pour faire votre propre recherche avant de prendre des décisions de placement. On va revenir à Justin Flowerday dans quelques instants. Je vous rappelle que vous nous contactez en tout temps. Passons à la partie éducative d'aujourd'hui si vous voulez bien. Les fonds négociés en bourse offrent de nombreux stratégies possibles pour les investisseurs et dans le segment éducatif d'aujourd'hui nous allons examiner ce que font (...) et comment il fonctionne. Bienvenue à notre programme. Expliquez-nous directement comment cela fonctionne, ces fonds négociés en bourse inversée. - Merci. Merci de m'avoir invité encore une fois. Ça me fait plaisir de parler de ces FNB. On voit un ralentissement, des tendances de plus en plus lentes et des tendances baissières. Il s'agit de fonds négociés en bourse inversée qui utilise plusieurs dérivatifs pour profiter d'un déclin de ralentissement dans la valeur de référence sous-jacente ou d'un indice qui suivit. La plupart des investisseurs feraient appel à cet outil pour spéculer. Sur un déclin. D'autres pour couvrir leur portefeuille contre les prix qui chutent. Prenons un exemple. Disons qu'un investisseur détient un FNB. et veut couvrir contre un déclin. Ils peuvent le faire en détenant un FNB inversé sur le S&P 500. Si le marché chute ou périclite, le FNB va augmenter approximativement de la même valeur(...) envoie environ gain de 2 % de FNB inversé. Autrement dit, les investisseurs peuvent faire de l'argent même s'il y a un déclin du marché. Mais lorsqu'il est question de FNB inversé, vous le faites sans vendre quoi que ce soit de façon courte. Puisque ces produits sont plutôt agressifs de nature, on les appelle aussi des FNB courts. Prudence, ils ne sont peut-être pas idéaux pour les investissements à long terme. Toujours achetés vendus sur une base quotidienne. Autrement dit, les fonds de ses produits sont rétablis au quotidien. Ce que cela veut dire, il est impossible de garantir que ces FNB inversés vont être en mesure de faire un suivi sur la performance à long terme sur l'index sous-jacent ou le titre qui suivit. Ça veut dire qu'il y a davantage de négociations et donc il va y avoir des coûts accrus et normalement ça veut dire que ces FNB inversés peuvent avoir des ratios de dépenses plus élevées au-delà de 1 %. Les FNB inversés sont plus utiles en tant qu'instrument sur le long terme. Ils peuvent donner aux investisseurs la chance de perdre (. ..) et aussi la question du timing, de la synchronisation. - Très intéressant d'entendre les bémols. Si quelqu'un voulait explorer dans le domaine, comment faudrait-il suspendre? - Regardez un peu notre onglet de recherche. On va aller sur l'écran. C'est là qu'on veut faire la recherche à la colonne outil. On va cliquer sur Screeners. Ça nous permet de passer à tout ce qui existe. On va cliquer sur l'onglet FNB. Enfin un écran personnalisé pour réduire notre recherche. Nous avons une sélection par pays. On va mettre Canada pour voir ce qui est disponible sur notre marché canadien. Vous allez voir qu'il y a aussi des critères inversés aussi, c'est parfait pour nous. On va cliquer là-dessus, on va l'acheter. Voilà. On veut voir ces fonds inversés. Il y a quelque chose d'autre que je vais ajouter: les index. Je veux me baser sur des fonds en termes de critères. On va cliquer droit quoi cela ressemble. Il y a 14 résultats dans les champs. Je vais les regarder à quoi ça concoure. Lorsque ceux-ci s'affichent, voyez les différentes FNB inversées. Non seulement il sur ses index de référence, mais d'autres produits pour le pétrole et d'autres produits de base. On va regarder les références, et ensuite refaire un tri. Voici celui sur lequel je voudrais me concentrer. on va faire un exercice de comparaison. Je voudrais parler de ce dont je parlais, court terme et le long terme. si on va dans notre tableau de rendement, ce que vous allez remarquer, c'est qu'il y a un roman sur trois mois ici. On a notre (. . . ) baissait dans les trois derniers mois, environ 8 % va dire. Le FNB versa grimper environ du même pourcentage. Quoi qu'il en soit, si on déplace le tout sur une performance sur le plus long terme, sur un an, vous voyez des différence significative. il y a une différence importante lorsqu'il s'agit d'un investissement sur le long terme. Gardez à l'esprit la question du court terme long terme, il y a des distinctions à faire. Solide merci beaucoup et merci de vous adjoignent. - c'est mon plaisir. Merci. - Toujours important de consulter vos conseillers. Nous allons bon avec Justin Flowerday dans quelques instants. Vous pouvez nous contacter en tout temps, MoneyTalkLive@TD.com. Avez-vous des questions sur les investissements ce qui pousse les marchés? Les invités ont entendu que vous avez à dire. Il y a deux façons nous contacter. Vous fîtes envoyer un courriel en tout temps MoneyTalkLive@TD.com ou faire appel à la bonne question en bas de l'écran sous WebBroker ou CourtierWeb. On va voir si un de nos invités peut répondre à votre question directement sur Parlons Argent en direct. Nous sommes de retour avec Justin Flowerday. (...) Qu'attendez-vous du secteur du pétrole et du gaz à l'avenir? - Du secteur semblable et en même temps différent. Je vais commencer justement avec le secteur du pétrole. Le pétrole obtient un certain soutien. On entend dire que ça va briser, que l'économie va briser, et je ne pense pas que cela va se produire comme ça s'est produit dans le passé. Je pense que cela a beaucoup à voir avec l'offre et il y a beaucoup de sous investissement, dans le schiste par exemple aux États-Unis, l'OPEP est proche de son offre maximale, si sous investi, revoir toute une gamme. Ça promet 165,66 après grimpe à 130. Ça va devenir la fourchette pour la prochaine année ou deux je dirais. Ça prendrait quelque chose d'extraordinaire comme une récession pour ce qui est du gaz naturel, c'est une situation (...) la plupart beaucoup à voir avec ce qui se passe en Europe, tout particulièrement en Russie et en Ukraine évidemment. En termes des prix pour le gaz naturel, c'est un marché excessivement serré. Je pense que pour 2023, strip et 30 $, un chiffre absurde. En Europe et en Amérique du Nord, et beaucoup des investissements que les sociétés veulent faire pour produire davantage énergie s'assurer que les pipelines soient là pour fournir ces produits au moment opportun comme en Allemagne, 2022,23, 24,25, mais quand on passe à la consommation globale du gaz naturel est-ce que ça pompon continu à faire fonctionner les économies européennes et en particulier en Allemagne, il faut placer davantage de (...) ça va conditionner. Cette crise géopolitique, la crise en Ukraine rend les choses encore plus difficiles à déterminer. Pour une société qui veut investir dans l'univers du gaz naturel au vêtement de l'expansion, à quoi ressemble le monde d'ici deux ans, trois ans et plus? On ne sait même pas quoi lui ressembler d'ici six mois. - Pour les sociétés qui tentent de prendre des décisions au quotidien, (.. .) en Europe par exemple. Ils s'échangent deux fois plus de trésorerie libre. Il y a des risques évidemment. On ne sait pas ce prix strip vont estimer les essais de comprendre. Est-ce qu'on devrait geler et avoir une certaine couverture? Ce n'est pas évident évidemment. Lorsqu'on parle de couvrir la courbe geler les prix. Les sociétés tentent de faire face à ce genre de choses au quotidien et se disent aussi: j'ai un flux de trésorerie excédentaire. Est-ce que je commence à former de nouveaux puits? À côté de la réserve actuelle? C'est une opposition coûteuse qui pourrait payante éventuellement, mais s'il y a une entente classiques quelconque entre la Russie et l'Ukraine plus tard qui s'est cette année, les pipelines sont à nouveau à flot, ça prenne une situation difficile. les choses vont demeurer volatiles jusqu'à ce qu'on obtienne une pleine résolution, et même volatil après. - Une autre question sur un tout autre univers. Quelle est votre opinion sur les épiceries comme Loblaws? - On a connu des rendements très solides parce qu'ils ont cette capacité de faire passer ces augmentations de prix qu'eux-mêmes subissent de leur côté, mais ils peuvent repasser ça au consommateur ils y arrivent au quotidien. Ils agissent leur prix. Cela leur a permis non seulement de maintenir des marges brutes, même de les faire grossir. Une société comme Loblaws a vraiment très bien réussi son titre, très bien réussi. Regardez, dépassez le TSX de façon très importante ces derniers mois. Je ne vois pas que ces tendances ne s'estompent. J'imagine plutôt que l'on continue parce que mon continent pour transmettre les hausses de prix au consommateur et elles vont continuer à gérer leur efficacité opérationnelle. Elles se sont vraiment améliorées dans ce sens. C'est une question de savoir ce que le marché est prêt à payer pour ce flux de revenus. Je ne sais pas si multiples connais une expansion, mais probablement demeurer stable en tout cas. Je dirais que c'est une bonne compagnie de haute qualité, rien d'extraordinaires mais peut-être six et huit ou 10 % de rendement. Il y a eu beaucoup de débats quand on passe de ses épiceries. Les ventes augmentaient parce que tout le monde restait chez soi est faisait à manger, mais les gens ont pensé qu'on allait vite courir à l'extérieur et ne jamais plus se servir de ses casseroles. Faire la cuisine etc. Qu'en pensez-vous, dans quelle direction allons-nous? Un équilibre? - Je pense que oui, il y a une réouverture, c'est vrai, on part de 60,70, 80 % d'ouverture globale au Canada. Les gens mangent à l'extérieur et vont continuer dans ce sens, être de plus en plus à l'aise à le faire, aller au restaurant etc. Mais les épiciers sont protégés, ils vendent leurs produits partout. La demande va être maintenue pour les industries de base. Je ne vois pas quelle réouverture a un impact énorme. Nous avons parlé d'Amazon brièvement plus tot, Walmart Shopify, Chris va se passer? - Si vous entendez parler devant du détail que vous regardez par rapport à Walmart, par exemple, si vous pensez à l'avenir d'Amazon, et ce qui va mousser la création de la valeur, c'est vraiment toujours la vente au détail. Tout ce qui est AWS. (. ..) Il y a beaucoup de croissance qui a lieu dans cette industrie. Je pense que ça va être le catalyseur ultime de l'avenir de la société. Ceci étend dit, ils ont aussi fait des investissements très importants. Ils ont fait des investissements très importants. 5 % et passer à quatre et demis pour cent, Amazon c'est encore plus bas en termes de ses profits. C'est très très serré, je le répète. Il doit faire attention aux dépenses qu'ils feront pour continuer à faire croître leur (...) sachant que c'est la clé de leur avenir. - Reviendra vos questions dans quelques instants avec Justin Flowerday. Comme toujours, Cyrille de faire vos propres recherches avant de prendre des décisions d'investissement. Vous devez nous contacter à tout moment. Avez-vous des questions sur les investissements ou ce qui poussent les marchés? Nous invitions bien adoptant de ce que vous avez en tête. Envoyez-nous vos questions. De façon nous rejoint. Vous nous envoyez un courriel, MoneyTalkLive@TD.com ou Parlons Argent en direct, et vous pouvez utiliser aussi la boîte de questions ici sur CourtierWeb. Indiquez votre question et puisse renvoyer. Peut-être qu'un de nos invités va pouvoir vous répondre ici en direct. (...) Anthony Okolie nous rejoint avec un aperçu. - (.. .) Cela nous ramènerait à un niveau plus proche du neutre. On s'attend à ce que le président laisse la porte ouverte, et avec cela intégré au mois de juillet, les avait savoir se pencher vers l'avenir et cherche à savoir ce qu'elle a fait de le faire après avoir atteint la position neutre. Surtout quand on pense au potentiel ou ce qui promet une certaine pression sur d'autres taux et cela pourrait aussi augmenter une pression sur d'autres courbes. L'auditoire a posé une question. Même si on a vu le rapport le plus récent (...) en partie pour alléger la pression sur d'autres devises comme l'euro qui souffre d'inflation associée au prix des importations. - oui il y a une hausse après le rapport du mois de juin, c'est encore en bas du point le plus élevé de 4 %. Toujours très intéressant. - Merci Anthony. (...) Une baisse de 140 points. Vous voyez les chiffres là. 18 de fiscal, Shopify frappé dur, les titres énergétiques aussi ont connu un certain recul, avec le recul, le prix du pétrole à l'heure du midi, on voit un affaiblissement. Regardez près de chez nous. Exploitation minière, regarde à quoi cela ressemble. 2,4 %, 19 $ et 60 sous. Regardons ce qui se passe avec les autres. Canadian Tire, c'est intéressant. On parlait de ce que Walmart a dit avec leur avis de prudence et leur changement de comportement des consommateurs, une pression aussi du côté des ventes au détail canadienne, regardez, 160,98 $, une baisse de 6 %. Regardons S&P 500. Walmart fait son annonce, ça ne fait pas plaisir aux investisseurs. Regardez, on voit une baisse de presque 4 %. Nasdaq, pression à la baisse encore plus fort. Regardez, un. 8 %. Regardons un peu c'est par Walmart. Une baisse de sept et 10 % à cause de l'inflation qui change très certainement la façon dont le consommateur dépense. Ces achats davantage pour se nourrir, il y a d'autres choses qu'ils ne consommeront plus. C'est ce qu'on entend dire, n'est-ce pas? De nos collègues. Nous sommes de retour avec Justin Flowerday avec Gestion de placements TD. Il y a une chose qui vient d'arriver il y a quelques secondes. Pouce vers le haut, pouce vers le bas? À quoi ressemble cet espace? - ils sont à la hausse à travers le Canada. On parle de 20 à 25 % de hausse. (... ) pas aussi rapidement que ce qui serait nécessaire pour perturber l'industrie. C'est bien absorbé par les locataires. Il semble y avoir un petit souci avec l'anglais. Les choses sont peut-être un petit peu plus raisonnable, mais plus cyclique que les Reeds typiques. Avec certains types de vêtements, il aime davantage de risque. Voici un autre élément intéressant pour tout ce qui est de l'espace financier. Il y a un accès intéressant cet espace financier. Comment les banques américaines et canadiennes se comportent tel en ce moment? - Il y a des gens qui cherchent à mettre de l'argent de côté au cas où les choses se gâtent. C'est une dynamique très intéressant pour les banques canadiennes et américaines. Les banques américaines sont différentes, plus lourdes du côté du marché des capitaux des PAP est, etc. Au Canada, il y a la question des services bancaires au détail, les divisions de patrimoine, assurance etc. et il aura (...) les deux banques vont voir les provisions pour pertes de crédits qui vont augmenter. Ce modèle tente de prévoir le type de pression sous lesquels certains des clients vont se trouver. Est-ce qu'ils vont en mesure de payer leurs hypothèque? Il va y avoir certaines dispositions, on l'a vu aux États-Unis et on va le voir au Canada dans les prochains trimestres.(...) démarche qui serait peut-être possible grâce aux taux d'intérêt qui gagne. Les banques sont pénalisées par les marchés et les banques canadiennes en moyenne s'échangea peut-être 10 fois. Le marché ne s'attend pas à des tonnes de choses positives qui découlent des banques dans les prochains trimestres. On verra bien. On va voir ce qui va se passer, mais la question des prévisions, pour les pertes de crédit etc., si jamais les choses s'assombrissent. C'était un plaisir de vous avoir parmi nous aujourd'hui. On a hâte de vous revoir. Merci. Il y aura Ben Gossack qui sera notre invité et répondra à vos questions sur les stratégies de croissance des dividendes. Vous pouvez prendre une longueur d'avance en envoyant un courriel à MoneyTalkLive@TD.com ou Parlons Argent en direct. C'est tout pour notre émission d'aujourd'hui. Merci d'être parmi nous. On se rejoint demain.