Print Transcript
Bonjour ici Bonnel développant leur argent de placement DirecTVaccueil des invités que dans notre bien et que vous ne verrez qu'ici. Nous parlons de ce qui fait beaucoup bouger les marchés et ce qui répond à vos questions sur les placements. Aujourd'hui nous allons voir s'il y a un risque croissant de récession grâce à Andrew Kelvin et dans le secteur éducation nous allons voir les alertes voici donc comment communiquer avec nous envoyer-nous un courriel à l'adresse qui figure à l'écran ou cliquez sur la carte au bas de l'écran pour nous envoyer vos messages. Avant d'entendre nous inviter un peu ce qui se passe dans les marchés boursiers et c'est maintenant du passé au Canada et aux États-Unis, cet intermédiaire les bourses américaines évoluent un peu ce qui se passe chez nous d'abord au TSX. 18 647 une baisses de 2 %381 points de moins. Aujourd'hui aujourd'hui on parle de port de récession à quel point est-ce réaliste? Ce jeu dans l'esprit de plusieurs investisseurs donc un recul recul du prix du pétrole brut à moins de 100 $ à l'heure actuelle 99 64 le barrait alors c'est un grand retrait dans le secteur des produits de base à Toronto on voit Crescent énergie qui a perdu une partie de sa valeur 9 % de moins c'est pas seulement dans l'énergie voyons un peu le secteur minier notamment le réfère qui a baissé de près de 50 5 % pendant au sud de la frontière ce n'est guère mieux on a lu à CPC le S&P 500 se 50 les Américains sortent leur longue fin de semaine et puis il y a des préoccupations là aussi en matière de récession les banques centrales que vont-elles faire pour juguler l'inflation? Dans le contexte économique voyons un peu dans le secteur technique des technologies dirige le Nasdaq 97. Plus bas Ford à la baisse aussi. 8 % Carnival dans le secteur des croisières voyons un peu en faite c'est dans le verre ce matin j'ai vérifié ça semblais plus faible, mais maintenant on est à la hausse d'environ 1 % voici donc pour la mise à jour des marchés boursiers. Le risque d'une récession est de plus en plus occupe l'esprit de plusieurs investisseurs alors que les banques centrales de lutte contre l'inflation et des signaux contradictoires pour ce qui est du Canada mais quand même on doit se demander si le ralentissement est imminent donc nous allons entendre Andrew Kelvin ravis de vous accueillir. Il y a une grande question qui se pose dans l'esprit des gens: ce que l'arrêt c'est de la récession. Quels sont les risques de ralentissement? - Je pense que c'est réel. Je ne pense pas qu'on doit être inquiet d'une récession très proche de nous dans le temps, en juillet au mois d'août, mais si on part de la première moitié de l'année prochaine, ce sera une situation où les conséquences des mesures de stimulation économique seront du passé. Alors les taux d'intérêt auront grimpé, nous pensons qu'à ce moment-là, il y a un risque. Donc les conséquences de la fin de la politique de la hausse des taux d'intérêt alors actuel, c'est évidemment les dépenses des ménages qui comptent. S'il y a un recul de ce côté pour les dépenses discrétionnaires, ça pourrait faire en sorte que l'économie canadienne soit à risque. Les choses que nous avons quand même, pour ce qui est de la croissance démographique donc c'est peut-être une situation PNB serait négatif, mais imaginons un peu que la population grandit et que ça a des effets positifs donc on avait l'impression d'une récession pour bien des gens mêmes si techniquement ça ne répond pas à la définition. Parlons des dépenses des consommateurs maintenant. Je trouve fascinant l'idée de la colère valeur des maisons est à la hausse on se sent riche, et quand les portefeuilles gagnent en valeur, on se sent riche aussi c'est un ralentissement côté résidentiel, recul dans la valeur des portefeuilles bien souvent est-ce que ça commence avoir des conséquences sur la façon dont nous percevons l'économie dont nous dépenses? Je - Je pense que cette partie des réalités oui si on parle des choses qui sont fonctions de resserrement trop prononcé de la part des banques centrales, c'est le secteur résidentiel qui en subira le plus gros impact. On parle de création de richesses, le marché résidentiel au Canada tout spécialement, on a l'impression que c'est ce qui compte le plus. Ce qu'on examine pour voir si l'économie est en santé. Même si c'est médiocre ailleurs, bien des gens ont l'impression que tant que le marché résidentiel est à la hausse, tout va bien. Donc le deuxième trimestre de 2022, c'était le contraire. Le taux de chômage faible, mais le marché immobilier commence à avoir des effet négatif et central des conséquences évidemment. Alors voir un peu ce qu'il en est. Si on se retrouvait je ne dis pas que c'est un fait accompli, évidemment, dans une récession, comment le Canada va-t-il s'en tirer en comparaison des autres pays, notamment des États-Unis? Y a des raisons pour lesquelles notre économie se trouve réopérée? - Ça dépend du type de récession. Ça dépend à quel point c'est répandu, quels sont les déclencheurs. Une récession, ça vient souvent de taux d'intérêts très élevés et si l'inflation est pire que prévu et qu'il faut resserrer de la part des banques centrales, à l'heure actuelle, Citroën 8 % disons, comme taux d'intérêt, supposons gratuitement 5 % de taux d'intérêt ce serait beaucoup plus dur pour le Canada que les États-Unis, alors nous avons beaucoup d'effet de levier d'endettement dans le secteur résidentiel et les particuliers, les ménages sont très endettés et donc, on réagirait rapidement aux changements de taux d'intérêt car le taux d'intérêt sont à la base, les gens vont y penser et à l'inverse évidemment, quand il y a une hausse des taux d'intérêt, les gens vont faire le contraire, donc ça entraîne des conséquences. - Par ailleurs, si vous voulez examiner d'autres chocs à l'offre par exemple, les cours du pétrole plus élevé, je sais qu'aujourd'hui c'est à la baisse, mais imaginons une situation où les coûts d'énergie sera là aussi donc ailleurs dans le monde, le Canada s'en tire plutôt bien comparativement nos voisins, car nous avons cette composante des produits de base dans notre économie. Et s'il y a un ralentissement mondial, ce sera lié au taux d'intérêt à l'inflation et au Canada probablement consommer un peu plus à risque à cet égard mais j'ajouterai qu'il y a quand même divers facteurs si le Canada subit la hausse des taux d'intérêt de façon très négative est bien la banque du Canada va sans doute moins resserrer. Parlons justement du rôle des banques centrales elle en a sondage la confiance des hommes d'affaires donc selon comprendre aux gens de faire aux propriétaires de maisons, on s'attend dans les deux cas anneaux est un intérêt d'environ 0,75 %. On avait pas prévu que ça gratte autant. On a modifié nos perfections de ce qui est possible si vous m'aviez dit en mars que je parlerai de la hausse des taux d'intérêt avant juillet je ris de vous. Et voilà même en mars alors qu'il était clair que la banque du Canada avait pris du retard bien des gens penser que c'est en janvier qu'ils allaient hausser le Tedey – et ils n'ont pas fait. Peut-être que maintenant il leur répète. Il regrette. Même s'il est aussi en janvier, on aurait quand même été surpris de la hausse de l'inflation de l'ampleur de ces changements inflationnistes et bien des analystes n'avaient pas prévu. Alors si on cherche des conseils en matière d'inflation il vaut mieux discuter aux gens d'affaires que de parler aux gens de biscuits c'est un scénario maintenant on a des facteurs transitionnels qui persistent pendant plus d'une année donc on ne pense plus que c'est temporaire. Les attentes en matière d'inflation grimpée. Ce qu'on a vu dans sondage paru hier. La banque du Canada évidemment donc ils ont vu les conséquences possibles. Donc les attentes en matière d'inflation se trouvent des points d'ancrage faudrait que la banque centrale agisse vigoureusement pour rester crédible et c'est la hausse des taux d'intérêt dépend de trois cordes ; la semaine prochaine, et cela va soulever des questions pour savoir s'ils prennent des décisions épineuses pour maîtriser l'inflation et quant au retard, ça ne fait que retarder la douleur pour ainsi dire. Alors les taux d'intérêt à la hausse c'est dur pour l'économie, mais les autres possibilités sont pires. Les investisseurs aujourd'hui se demandent s'il est des signes que peut être l'inflation a atteint son sommet. Vous avez dit que les banques centrales ne voyaient pas clairement ce qui allait arriver dans le contexte actuel on dit que c'est temporaire n'est-ce pas alors qu'est-ce qu'on peut envisager maintenant pour voir si l'inflation atteint son sommet ou va atteindre son sommet? - Je pense que les gens prévus plusieurs sommets ils se sont trompés donc je ne peux pas dire ce que ça pourrait être quand ça pourrait venir. C'est peut-être pas une façon de bonne réfléchir aux choses. Si le prix de l'énergie s'avère… ça été très volatile à vrai dire. Alors bonjour ça grimpée le lendemain s'abaisse, donc il va falloir si ça varie, que l'inflation soit la baisse. Alors il s'agit vraiment d'une inflation très répandue dans toutes sortes de secteurs d'activité et sa tendance à perdurer même si on est près du sommet le ralentissement de l'inflation sera plus graduel que ce qu'on a vu dans le cycle antérieur. Ce n'est pas qu'un seul facteur ou de ce qui suscite inflation, c'est beaucoup de choses. Et le marché de la main-d'œuvre est très serré, marché du travail serré. Alors les augmentations de salaires que prévoient les gens d'affaires sont à des sommets, des records. Bon début d'émission, nous allons recevoir vos questions s'adressant d'où je vous rappelle que vous pouvez communiquer avec nous à tout moment envoyez-nous un message adresse figurer l'écran ou cliquer sur la case au bas de l'écran aussi. Maintenant quelques mises à jour sur ce qui se passe dans le monde des affaires dans les marchés boursiers. Tesla a livré plus de véhicules que prévu au deuxième trimestre. Les fabricants de voitures électriques à part de facteurs au-delà de son contrôle y compris des défis en matière de chaîne d'approvisionnement et de fermeture d'usine. Tesla livrait presque 255 000 véhicules pendant ces trois mois, soit 18 % de moins ou presque. Les convives enchaînant cause de la Covid-19 ont été un problème pour la manufacture d'automobiles tesla fera son bilan le 20 juillet. La crainte de deux semaines Océane prend fin. 750 travailleurs qui ont déclenché une grève vous revenaient au travail. Ils ont convenu les syndicats ont convenu de passer par un arbitrage exécutoire, alors la dernière offre du CN comprenait une offre de 10 % une hausse de 10 % des salaires sur trois ans. Astra Zeneca dit avoir acheté le fabricant de médicaments contre la drogue pardon contre le cancer (mot en anglais) Astra Zeneca prévoit que ça va se régler au troisième trimestre et que ça n'aura pas de conséquences sur ses perspectives pour 2020: voyons ce qui se passe dans les marchés boursiers. Dans biscuits les Américains vient de leur longue fin de semaine et au TSX en ce deuxième moitié de l'année, situation difficile TSX une baisse de un peu plus de 2 % au sud de la frontière maintenant les ports de récession ce que je pourrais signifier pour les bénéfices à l'avenir et pour l'économie donc le reste de S&P 500 a baissé de 35 %. Donc beaucoup de questions de nos auditeurs qui nous arrivent sur la plate-forme on commence par le dollar canadien donc quel perspectives pour la devise canadienne? Pourquoi est-ce que ça grimpée alors que les prix du pétrole grimpé? C'est un pétrodollar ou pas? C'est moins de pétrole de Paris qu'auparavant. Voilà comment je répondrai. Le secteur énergétique est devenu -1 véhicule pour déplacement de grande ampleur. En comparaison des antérieures à 2014 avant le dernier crash du prix du pétrole, il y avait une augmentation importante du côté des projets énergétiques donc les gaz bitumineux les sables bitumineux pardon sans créer des pressions inflationnistes et le dollar canadien s'est apprécié aujourd'hui on a véritablement une hausse des prix du pétrole mais on ne voit pas en même temps une augmentation des investissements dans le secteur pétrolier. Donc étant donné que les problèmes en matière de carbonisation des problèmes du côté des oléoducs donc moins d'investissement et du côté pétrolier. C'est quand même avantageux pour l'économie canadienne en général que les cours du pétrole soient la hausse, mais ce n'a pas les mêmes conséquences en matière de croissance inflation et par conséquent, ce n'est pas tout à fait la même chose pour ce qui est des conséquences sur notre devise. - Bien compris. Et dans le sondage, ont posé des questions sur ce genre de thème. Pourquoi est-ce que les pétrolières ne réinvestissent pas? - Est-ce une tendance à plus long terme? Y a-t-il des facteurs qui font en sorte de renverser cette tendance et que les pétrolières diraient: on va investir de nouveau faire des immobilisations? Alors évidemment la question se pose: qu'est-ce qui va arriver dans 10 ou 20 ans? Il faut des améliorations technologiques pour réduire l'intensité de la production de gaz carbonique de carbone au Canada dans le secteur pétrolier pour que les gens investissent plus dans ce secteur. Ce serait une situation qui de manière hypothétique pourrait déclencher plus d'investissement à l'heure actuelle étant donnée ce qui est prévisible, je ne pense pas en un scénario tout d'un coup ça va de nouveau grimper les placements dans le secteur les les investissements dans le secteur pétrolier au Canada le transcendaient carbonisation de rester les nôtres. Par ailleurs, quand on a une devise moins vigoureuse comparée au dollar canadien, et américain, certains vont dire que c'est bien pour nos fabricants, nos exportateurs. Est-ce que ces valeurs actuelles? En cette période de dislocation et de perturbation? Est-ce qu'il y a des avantages pour le Canada, une vie plus faible? - Oui. Il y a évidemment un avantage pour les fabricants. D'abord une devise stable plus faible pendant plus longtemps. On ne produit davantage pendant ce siècle parce qu'il y a eu des perturbations aux chênes d'approvisionnement. Donc évidemment ça ralentit la croissance. Et la devise qui compte le plus pour les fabricants, c'est le dollar américain. Le dollar canadien a été très stable en comparaison dollar américain. Ces derniers mois, et à l'avenir prévoyons que ce sera à peu près stable, disons entre 75 et 87. Nous ne pensons pas qu'il y a beaucoup de marge pour que le dollar canadien s'éloigne beaucoup de cette fourchette. La banque canadienne, la banque du Canada et la fête de Bourges en même temps. - Autre question de nos auditeurs sur nos plates-formes. On a parlé du marché résidentiel. Quelqu'un demande votre point de vue sur le marché résidentiel dans le contexte actuel. Les coûts actuels ce sont des coûts élevés des emprunts. - Oui. C'est une question intéressante si on voit les comportements de le secteur résidentiel en 2020 2021, certains des gains dans la valeur des résidences étaient énormes probablement non viables à long terme est franchement pas utile pour la société. Puisque les coûts des emprunts grimpent, les prix des maisons baissent un peu probablement qu'on va avoir des baisses raisonnables ici prises au Canada ce sera plus prononcé dans certaines régions une hausse des plus prononcées en 2020 ou 2021 sera peut-être le secteur de marché immobilier les plus à risque en 2020: mais ce marché a quand même eu un avantage même si les coûts d'emprunt sont élevés, et c'est que la croissance de la population, la croissance démographique va rester robuste et les gens qui viennent un endroit où vivre. Le Canada en général apparaît en mesure de construire ces deux nouvelles maisons pour sa population croissante. Donc un moment donné, ça été le marché trouve son plateau, mais étant donné ce qui s'est passé depuis un an ou deux, on peut s'attendre à une baisse raisonnable des prix de l'immobilier. Si on parle d'économie stabilise de la stabilité économique, donc le marché résidentiel a joué un grand rôle pour la croissance économique et si c'était plus simple au plus normal, le secteur résidentiel qu'est-ce que ça voulait dire pour l'économie? - Une période de croissance plutôt lente pendant plusieurs années historiquement, quand on a vu les cycles résidentiels au Canada, ça n'a pas été des chutes catastrophiques. C'était plutôt modéré. Depuis de longues périodes où c'était au beau fixe. Et puis on se retrouvait essentiellement dans des situations où c'est l'inflation qui règle le reste. Dans le contexte actuel, je pense que probablement, si on voit que l'apport du résidentiel dans l'économie revenait à quelque chose de plus de 1000 proportionnées pour ainsi dire, ça voudrait dire qu'on aurait une croissance peut-être un peu plus faible que la tendance générale en 2024,25, 26. - Voilà la forme que ça prendrait. On peut espérer qu'une autre partie de l'économie pourrait s'enflammer pour ainsi dire, pour aider à contrer cet effet stabilisateur. Un ancien gouvernement de la banque centrale du Canada indiquait que il y a évidemment un équilibre à trouver entre les consommateurs, les présidentielles et ce qui se passent du côté de l'exportation, de la fabrication. Donc on peut se demander pourquoi les prévisions ne se réalisent pas toujours. La banque centrale fait des prévisions, mais ce n'est pas toujours ce qui arrive. L'économie vit des changements structurels à plus long terme dans les années 90 dans ce contexte-là, s'il y avait si on avait eu ce scénario actuel, il aurait eu une grande hausse des exportations, mais la fabrication aujourd'hui qu'une partie plus faible de l'économie. De l'ensemble des pays de l'OCDE s'étira au Canada et ailleurs. Alors que le secteur de la fabrication devient constitue une part plus faible de l'économie dans son ensemble, on peut prévoir que l'économie comment dire il y a un certain relâchement. - Assurez-vous de faire votre propre recherche avant de prendre déplacement. Et nous reviendrons à vos questions dans un instant. Je vous rappelle que vous pouvez communiquer avec nous à tout moment à l'adresse courriel que vous voyez à l'écran cependant, maintenant nous allons parler éducation. Supposons que vous voulez trouver un titre boursier et que le cours est un peu trop élevé pour voilà actuel. Sur courtier Web, il y a des outils qui nous permettraient de faire un suivi pour atteindre 1, Cours qui vous intéressera. Formation des clients chez placements TD, va nous en parler. Alors comment utiliser courtier Web pour obtenir des alertes pour les changements de cours? Je suis toujours ravi de vous retrouver Greg. Il y a beaucoup d'incertitudes dans les marchés il y a des beaucoup de volatilité à l'heure actuelle et pour les investisseurs qui ont déjà une certaine idée de ce qu'ils sont prêts à payer pour acheter ou alors dans quel cours il pourrait vendre leurs actions, il y a des outils. Il y a beaucoup d'investisseurs qui ne savent pas exactement quand acheter et qui n'ont pas décidé quand il y a quels cours. Quel court vendre et ses investisseurs peuvent utiliser les alertes quand courtier Web donc une fois que vous êtes sur la plate-forme, il est possible de cliquer sur recherche rôle voit l'écran d'anglais et puis vous allez afficher disons le titre qui vous intéresse, supposons (mot en anglais), et ici cliquez pour établir des alertes comme les investisseurs. Comme investisseurs, je peux par exemple créer une alerte pour obtenir un avis si le cours de l'action passe échappa une certaine fourchette, à la hausse ou à la baisse. Si vous êtes plutôt un analyste technique, il est possible de recevoir des alertes certains indicateurs indique justement ceux qui s'annoncent dans un proche avenir donc les moyens par exemple volatilité vous pouvaient établir des alertes voyaient les renseignements et vous pouvez les recevoir par courriel ou sur votre téléphone cellulaire donc si vous avez l'application TD sur votre cellulaire. Donc si je suis plutôt du côté des facteurs fondamentaux, pour avoir des alertes qui vont m'indiquer quand il y a des annonces de dividendes pour telle ou telle action ou quand il y a par exemple des annonces sur les bénéfices trimestriels. Eh bien moi, en divers aspects de ma vie, y compris dans ce domaine si, j'ai tendance à exagérer. Je peux peut-être créer trop d'alertes et comment les gérer sans être bombardé. - Oui je comprends. Ça peut arriver qu'on crée trop d'alertes et puis tout d'un coup qu'on se sent débordé. Il faut y voir. Alors il y a des mécanismes qui nous permettent de le faire. Alors supposons que vous avez plein d'alertes que vous avez préétablis, vous pouvez ici les voir pour modifier les effacer vous pouvez les modifier. J'ajoute ceci. Vous pouvez recevoir des alertes passablement pour des actions, mais aussi pour des FNB des fonds de placement de l'ensemble de marchés. Donc si vous avez un rapport d'un analyste de courtier Web que vous avez bien et que vous voudriez recevoir une alerte quand il publie quelque chose de nouveau, c'est possible. C'est en fait ce que je voulais entendre. C'est très intéressant. (.. .) Alors si vous avez des questions sur ce qui se passe dans les marchés, nos invités seront ravis de vous entendre. Envoyez-nous vos questions de manière de procéder un courriel à tout moment à cette adresse courriel ou en utilisant la case qui permet de recevoir les questions ici au bas de l'écran. Notez votre question et envoyez-la. On verra ce que nous inviter pour vous répondre immédiatement. Nous revenons maintenant pour entendre Andrew Kelvin des questions qui nous viennent sur la plate-forme donc sans tarder, quelque chose qu'on abordait alors: est-ce qu'une récession serait pire pour le cadeau pour les États-Unis? - Voilà une bonne question. Et ça rassemble plusieurs aspects des choses qu'on n'a abordées déjà. Kylian récession par habitant, je prévois que ce sera pire au Canada qu'aux États-Unis par ce que probablement que le principal facteur d'inflation, ce sera des taux d'intérêt n'est-ce pas? (. ..) Alors… on n'a pas résolu les problèmes structurels à long terme. Alors oui les marchés pensent qu'il y a des possibilités de réduction des taux d'intérêt en 2023. Ça paraisse raisonnable de la part du marché boursier l'objectif de banque du Canada c'est un taux d'inflation de 2 % dans les siècles antérieurs qu'à l'inflation était plutôt faible, maîtrisée alors que l'économie ralentissait, il était valable pour la banque du Canada de réduire les taux d'intérêt. Car le taux de chômage plus élevé pourrait faire en sorte que moins déflation à l'avenir. C'est la façon classique de percevoir cela. Dans ce contexte aussi, alors que l'inflation dépense dépasse largement le seuil de 2 %, ça pourrait même atteindre 8 % alors les attentes en matière déflation de la part des gens d'affaires et des particuliers sont à la hausse évidemment, et donc, la banque du Canada doit se concentrer d'abord et avant tout sur la maîtrise de l'inflation. Donc leur capacité d'aider les ménages, Eh bien, se serait limitée en comparaison des siècles antérieurs. Leur capacité donc de réduire les silicones si l'économie ralentissait, serait plutôt faible. Ça pourrait signifier ça que ça pourrait être pénible pendant plus longtemps avant de réussir à juguler l'inflation. Alors une autre banque centrale nous dise voici l'objectif, voilà ce qu'on veut maîtriser. Ne voulons pas tomber en récession, mais ça pourrait arriver. On ne peut pas exclure cette possibilité. La question était posée à la banque du Canada. Je ne sais pas exactement comment de formuler la question, mais voilà où on en est. Je déteste poser ces questions, mais voilà. Alors à la banque du Canada, ils se sont faits demander s'ils étaient prêts à risquer une récession pour maîtriser l'inflation. La réponse a été on ne prévoit pas que ce sera nécessaire de créer une récession pour maîtriser l'inflation en demandant ces 2 % on peut lire entre les lignes et le sous-entendu c'est qu'il faut choisir entre la stabilité des prix et la récession. Et de leur mandat consiste à pouvoir maintenir la stabilité des prix. Voyant que maintenant les marchés boursiers avant de revenir aux questions, les Américains de nouveau sont présents dans les marchés boursiers alors… 18 535 pour le TSX à Toronto une baisse de plus de 2 % et maintenant le S&P 500 on parle de la part de récession et ça pèse lourd dans l'esprit des consommateurs. De ce côté, une baisse depuis plus de 1 %. 1,2 % précisément. On revient aux questions maintenant. Alors je sais que vous êtes occupés, mais que vous regardez notre émission voici une question qui nous revient souvent: quels sont les avantages et les inconvénients pour ce qui est de placer de l'argent dans le CPJ. Avant le tournoi d'intérêt est faible s'intéresse moins les gens mais tout cela change. Le grand moteur, grand facteur pour les produits de revenus fixes intérêt du banque du Canada troyen et pour cent la courbe du rangement n'est pas sur deux ans j'imagine que ça va se refléter dans toutes sortes de produits à revenu fixe de titres à revenu fixe donc on pense que les taux d'intérêt sera un peu plus élevée qu'à l'heure actuelle mais sur le plan qualitatif, ce que l'on prévoit l'heure actuelle qu'on prévoit. Nous prévoyons que pour les gens qui achètent des obligations canadiennes, les obligations ne sont pas déraisonnables. Le risque c'est que s'il est au bout devait monter de façon marquée à cause de l'inflation qui persisterait: les taux de référence en quelque sorte sera la hausse aussi. Donc… on perdrait une partie des photos d'intéresse mais si l'inflation était maîtrisée plus rapidement à ce 2023 réduire les taux d'intérêt peut-être ne pas hausser de haut en cette année les taux d'intérêt que prévu et ce serait avantageux de racheter les obligations dès maintenant. L'incertitude prévaut partout. Dans ce genre de contexte vu la volatilité ne serait pas exactement sur quoi miser. Ça été un marché très difficile on ne sait pas exactement quoi décider. Mais c'est à vous de trancher aujourd'hui. Autre question au sujet du prix du pétrole. Alors est-ce que ça pourrait baisser cet été? Cet été je pense pas mais d'ici la fin de 2022 vous pour les cours du pétrole pourrait être plus faible ainsi qu'en début de l'année prochaine. Alors qu'il y aura un meilleur approvisionnement en pétrole et alors qu'on verra une certaine destruction on pense que l'économie mondiale va être plus ralentie à la fin de 2022 débuts 2023 donc moins de demandes des produits pétroliers. Donc on pense que ce sera moins de 100 $ le baril d'ici la fin de l'année il y a au début de l'année prochaine. Nous prévoyons que n'est pas forcément cet été. Alors nous parlons de contexte de récession et la demande évidemment de produits baisserait aussi lisse que le est-ce ou obtenir le pétrole requis et il y a des préoccupations qui pourraient modifier la donne mais nous prévoyons que les cours du pétrole ne vont probablement pas persister perdurer au taux actuel donc voilà c'étaient je voudrais vous inviter à faire votre propre recherche encore une fois avant de faire des placements et communiquer avec nous si vous avez des questions à nous poser sur les placements nous éviter se feront un plaisir de vous répondre alors envoyez-nous vos questions de façon de procéder soient un courriel à l'adresse que vous voyez à l'écran ou alors en cliquant sur la case au bas de l'écran pour nous envoyer votre question. N'hésitez pas à le faire. On verra si nous éviter peut vous répondre immédiatement. Alors qu'est-ce qui se passe du côté de boursiers et donc maintenant, les marchés boursiers les marchés boursiers sont ouverts des deux côtés de la frontière mais malheureusement chez nous c'est à la baisse. Pour le TSX, une baisse de 2 % 393 ans. Néanmoins. Notamment du côté des titres énergétiques voyons (mot en anglais) une baisse de près de 8 % le prix du West Access du pétrole brut a chuté d'un peu moins de 100 $ le baril à l'heure actuelle. Le recul de 8 % dans cette cession. Alors voyons un peu le secteur minier. (mot en anglais). Une baisse de presque 8 % 4,32 $ c'est douloureux donc dans le secteur minier pour le S&P 500 500, une baisse d'un peu plus d'un pour cent, 45 points en moins. Quant au Nasdaq, le baromètre de technologie une baisse d'environ un tiers de 1 %. Alors à Toronto, ce secteur d'activité des technologies à bouger. (mot en anglais) subit une pression à la baisse de 7 % en moyenne presque et la banque de l'America donc une baisse de près de 3 %. Nous revenons maintenant à Andrew Kelvi. Donc voici une question qui nous vient de la plate-forme. Votre perspective pour la province de l'Alberta. J'ai déjà signalé que le Canada tire parti des cours pétroliers plus élevés de façon générale. Ces gaines ne sont pas également réparties sur le plan géographique utilisé dans la région du grand Toronto c'est difficile d'acheter de l'essence, ça coûte cher pour vous ce n'est pas avantageux. La hausse des cours du pétrole. Et ses avantages on les trouve surtout dans les provinces productrices donc l'Alberta devrait mieux réussir que le reste du pays dans ce contexte. S'il y a une croissance plus lente en Alberta pendant plusieurs années n'est-ce pas? - Il y a eu des changements structurels dans le secteur énergétique et pétrolier notamment cette année, ces années de contre-performance devraient être renversées. La question portait sur l'Alberta mais manifestement, ça peut être vrai dans d'autres provinces productrices. À l'époque on disait ce qui est bon pour l'Alberta c'est mauvais pour l'Ontario et vice versa. Alors c'était vraiment l'époque: de 2014 2015 il y avait beaucoup d'investissements dans le secteur de l'énergie et de façon générale, si l'économie canadienne croît plus rapidement, c'est bon. À long terme, peu importe que ce soit un événement, peu importe l'événement économique dont on parle, les avantages sont répartis de manière inégalement mais de façon générale, étant donné que la secteur énergie il y a un ralentissement pas la ralentissement ces derniers siècles sur les investissements, mais aujourd'hui, la situation pourrait se renverser et donc ce serait avantageux pour les travailleurs et pour le trésor public de l'Alberta qui prévoit cette année un surplus budgétaire, ce qui n'était pas le cas il y a six mois. C'est quand même une situation comme canadien, je préfère que les cours du pétrole soient plus élevés plutôt que faibles, même si je ne vis pas en Alberta. Les avantages vont être moins manifestes pour le reste du pays que pour l'Alberta si quelqu'un doit reprendre le flambeau pour aider l'économie canadienne, quel espoir dans le Canada dans cinq ou 10 ans? Est-ce qu'on s'oriente vers une certaine direction différent de ce qu'on a connu jusqu'à maintenant? Ce serait un changement vers l'économie dite des services. On a beaucoup d'universités au pays, nous produisons beaucoup de diplômés de langue anglaise je prévois que ça va devenir une plate-forme de bonne plate-forme de service Canada. Jadis on planifiait de planifier beaucoup de voitures c'est un technologie américaine qui va ouvrir la croissance proviendra probablement du secteur des services et il s'agira de voir comment le pays va favoriser l'inondèrent l'innovation pour générer de la richesse. En fin de compte, nous sommes toujours dans un contexte hautement mondialisé au lieu d'exporter des biens, ce serait plutôt d'exporter les services. - Questions intéressantes ici dites-moi si je me trompe, mais je ne pense pas qu'on ait parlé de la Covid-19 ici aujourd'hui. Alors qu'on aborde l'économie et ce qui nous attend l'avenir. Vous et moi jadis on parle souvent des conséquences de la Covid-19. Alors que penser de la Covid-19 maintenant et de ses conséquences à l'avenir pour notre économie? - Est bien la Covid-19 y est toujours évidemment. Elle entraîne toujours un absentéisme au travail, des perturbations des chaînes d'approvisionnement, des pertes de productivité et c'est mauvais pour les gens sur le plan humain de souffrance, on a quand même l'impression d'avoir passé un certain seuil. Il est peu probable que les la mêmes ampleurs pour ce qui est des confinements. L'économie, on l'a refermée, nous ne repartions la refermer, mais nous prévoyons que ça ne va pas se répéter maintenant. Dans les années à venir à moins évidemment qu'il y ait un variant très important, mais si on voit ce qui se passe aujourd'hui comme vous l'avez dit, on n'a pas encore parlé de la Covid-19 aujourd'hui même parce que les gouvernements en parlent beaucoup moins. On ne parle pas de confinement ou de restrictions mêmes s'il y a des nouveaux variantes circule. Donc la Covid-19 restera des autres pendant si longtemps je pense bien, et ça va continuer de créer des frictions pour ce qui est du secteur du voyage par exemple. Mais j'ai l'impression que nous avons passée un seuil et que dorénavant, on ne va pas ralentir l'économie pour faire preuve de précaution. Et c'est notamment grâce au vaccin. - Très bien merci beaucoup et d'autres questions deviennent merci aux gens qui nous avons vos questions. On n'a pas le temps de répondre à toutes les questions mais écouter: si on voulait rassembler tout ce qu'on a dit jusqu'à présent, exerçons-vous beaucoup de pression, mais allez-y. - Voici ce que je dirais: parfois, j'ai l'impression que les choses sont très noires, sombres, je ne veux pas faire circuler le message le fait que tout va mal dans notre économie, non. Je pense que probablement, il y aura une croissance ralentie à cause des taux d'intérêt plus élevé, mais en fin de compte, au Canada, on est bien placé, donc le taux de chômage de 5 %, c'est quand même bien, même si l'économie surchauffée un peu. Les ménages sont mieux positionnés qu'en 2017 ou 2018, il y a plus de gens qui pourront soutenir des taux d'intérêt plus élevé que c'était le cas des siècles précédents. La fin de compte, pour que notre économie soit prospère à long terme, il faudra qu'il y ait plus d'investissement et plus de productivité. Voilà pourquoi nous concentrer et c'est ce que doivent faire les décideurs. - Merci devrait aider d'autres. - Merci de m'avoir invité. - Merci à Andrew Kelvin. Alors restez des nôtres demains Monsieur Fernandez va répondre à vos questions sur les titres boursiers voilà c'est tout pour vous aujourd'hui. Parlons argent en direct. À la prochaine!