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(musique) Bonjour! Ici Greg Bonnell et bienvenue à Parlons argent en direct qui vous est proposé par placement direct TD. C'est une nouvelle émission diffusée chaque jour sur WebBroker. Chaque jour, nos invités vont commenter l'actualité du marché et répondre à vos questions sur les placements. Hussein Allidina, chef des produits de base chez gestion d'actifs TD, déclare que la demande de pétrole dépasse déjà l'offre et que nous n'avons pas atteint la saison de conduite de l'été... 111 $ le baril. À Toronto, il y a un déficit de 115 points.Plus d'un demi pour cent plus un des secteurs les plus actifs négociaient sur base street, , Crescent., Et d'autres titres de l'énergie sont 6 % à la baisse actuellement. Donc que l'ensemble du marché américain, le S&P 500, aussi entre les territoires positifs et négatifs, après la dégringolade d'hier. Beaucoup de mesures prises par des banques centrales cette semaine, mais la banque du Japon n'a encore pris aucune mesure. La banque nationale de Suisse nous a pris par surprise en agissant dans la foulée de la FED. Le S&P 500 est en baisse de sept points de base. L'indice à forte teneur en technologie, c'est un secteur difficile depuis quelques temps. À l'heure actuelle, un bon dans les actions de Revlon, qui est en phase de réorganisation. Il s'agit d'un bond considérable, qui subit énormément de pression sur ce titre largement baisse par rapport à ses sommets atteints récemment. Le dollar américain, à présent. Un recul considérable dans l'indice TXY, qui mesure la solidité du dollar américain. À l'heure actuelle, recul d'un an et demi pour cent par rapport à cette corbeille de devises. Nous savons que le cours du pétrole est un facteur clé dans l'inflation. Il y a eu une certaine faiblesse, en particulier aujourd'hui. Les confinements en Chine, les préoccupations quant à la croissance. Toutefois, notre invité affirme que la demande dépasse déjà l'offre, et que nous n'avons pas encore même entamé la saison de conduite l'été. Voici Hussein Allidina, chef des produits de base chez TD Gestion d'actifs. Bonjour, Monsieur Hussain. Beaucoup de commentateurs disent qu'on ne peut pas réduire l'inflation avant que les cours de l'énergie ne baissent. Quel est le mécanisme du marché? Est-ce qu'on peut s'attendre à une baisse? Merci, Greg, de m'avoir invité. Si on considère la balance du pétrole en particulier, les creux que nous avons touchés pendant la crise de 2020, les industries, depuis 16 mois, consomment et les stocks baissent également, nonobstant le fait que le gouvernement américain de façon assez systématique,injecte des stocks de ces réserves. Quand j'envisage reste de l'été, comme vous l'avez dit, typiquement, la demande d'essence augmente de façon saisonnière. Et mondialement, la demande augmente entre mai et la fin de l'été de deux à 4 millions de barils par jour. Il y a déjà un déficit d'offres, comme le montre le fait que l'on consomme les stocks. Il y aura peut-être 1 million de barils par jour de croissance, donc il y a un déficit aujourd'hui, un déficit qui augmente pendant l'été. Et mon point de départ pour les stocks est déjà serré et va même se resserrer pendant l'été. Votre question sur les mesures qui pourraient soulager la situation, il faudrait qu'il y ait une contraction considérable entre la demande et la croissance afin de faire descendre la demande en deçà de l'offre. C'est le seul moyen d'obtenir un soulagement et je ne le prévois pas. Soulagement qui pourrait intervenir dans le scénario que personne n'envisage que c'est celui de la récession. Oui, si on considère la demande de pétrole historiquement, il y a sûrement un ou deux épisodes depuis 20 ou 30 ans où la demande globale de pétrole a diminué. Au moment de la pandémie, quand le monde s'est arrêté de fonctionner, la demande de pétrole était négative. Pendant la crise financière en 2008, la demande de pétrole était négative. Entre 1990 et 2020, il y a eu des périodes de faible croissance, mais croissance positive malgré tout de la demande. Ce qui souligne l'importance du pétrole dans l'économie mondiale. Si vous voulez que l'économie renoue avec la croissance, il faut se dissocier du pétrole. Si nous voulons que la croissance de la demande de pétrole diminue, il faut qu'il y ait une contraction importante du PIB, malgré que la banque mondiale et la FED ont réduit leur pronostic en matière de PIB, la croissance est toujours prévu, donc resserrement de la demande de l'offre. S'il y a une augmentation de la demande, il faut attendre la prochaine réunion de l'OPEP et les voir augmenter le nombre de barriques ils pompent chaque jour. Certains sont sceptiques. Bon, un peu de recul avant de parler de l'OPEP. Parlons du paysage mondial de l'offre de pétrole et d'autres produits de base. Nous venons de vivre, Greg, une période de 10 à 12 ans de faiblesse des prix des produits de base. Ce marché baissier dans les produits de base, après le pic de la crise financière, à décourager tout investissement OPEP ou non OPEP dans la production. Nous sortons d'une période de 10 ans de sous investissement et d'offres serrées. Il y a des projets de pétrole, en cuivre, en aluminium, qui vont entrer en service d'ici 3,5, sept ans. Parce que ces projets prennent du temps à mettre en œuvre. Il y a une pénurie d'offres nouvelles. Est-ce que l'OPEP va pouvoir soulager la situation? C'est très peu probable. On ne prévoit pas pouvoir augmenter la production. Et même au sein de l'OPEP, il y a beaucoup de discussions de départ quant à la quantité de capacités excédentaires. On peut mettre cette discussion de côté pour un instant et voir ce qu'on fait les producteurs à l'égard de leur quota. En moyenne, produits moins que ce qu'elle est autorisée à produire. Cela devrait montrer à quel point il existe une capacité excédentaire. Selon la plupart des estimations, la capacité excédentaire s'est avérée à 2 000 000,2. 5 millions de barils par jour. On n'a jamais produit un tel niveau. On ne sait pas dans quelle mesure ça pourrait être durable. Même si nous pouvions produire à ces niveaux, le marché du pétrole et un marché de 100 millions de barils par jour. On part d'une capacité excédentaire de peut-être un. 5 millions. Ce n'est pas une capacité qui me rassure. Un autre argument, Hussain, veut que nous ne soyons pas dans cette situation n'eut été de l'invasion de l'Ukraine par la Russie. Est-ce que c'est trop simpliste? La Russie est un très gros producteur de pétrole, gaz naturel. Un gros fournisseur de l'Europe et de certaines régions d'Asie. Ce qui est important quand on considère les chiffres, c'est que la perturbation réelle dans les volumes russes a été relativement atténuée. Les volumes diminueront au fil de l'année. Beaucoup des grands courtiers en produits de base déclarent que nous avons des contrats existants avec la Russie, que nous allons honorer jusqu'à la fin de l'année. Donc, les volumes russes ont diminué encore plus. La chute de volumes russes jusqu'ici a été peu importante. La Russie n'envoie pas autant de cargaison Europe. En définitive, ces cargaisons sont acheminées en Chine, en Inde. Ça prend 30 jours pour aller en Chine ou en Inde, contre trois jours pour aller en Europe depuis la Russie. Donc, il y a une partie de leur qui a été affecté, mais nous n'avons pas encore vu l'importance d'un déclin qui est probable au fur et à mesure que le temps progressait que ce conflit s'éternise. Donc le contenu de la structure du marché, Hussain, à quoi pouvons-nous nous attendre comme prix du pétrole West Texas Intermediate? dans l'avenir, quelle serait la gamelle raisonnable? C'est difficile à dire. Quand je considère l'été le paysage dans lequel la demande augmente et l'offre augmente moins, à quel point les stocks sont serrés, je crois qu'il existe un risque réel que les prix pourraient atteindre de nouveaux sommets nominaux. Que les sommets antérieurs qui étaient à 145 et quelques pourraient être dépassés. En définitive, l'inquiétude est la suivante. Avec des mesures de resserrement de la Fed, 24/36 banques centrales ont pris des mesures de resserrement, la croissance subira une pression. Dans quelle mesure cette pression s'exerçant sur la croissance va faire fléchir? C'est cela qui déterminera quel point les cours du pétrole seront durables. Mais si je devais pronostiquer les trois ou quatre mois à venir, je crois qu'à l'approche de l'hiver, il pourrait y avoir une baisse. Mais on ne reviendra pas avec 70 ou 80 $, à moins que la croissance affiche une contraction notable, c'est-à-dire une récession, et ce n'est pas le servir de base. Mais cela semble le risque le plus important. Vous avez expliqué comment fonctionne le marché, provoque la demande. La récession, en définitive, serait négatif pour plusieurs actifs, y compris le pétrole. En 2007–2008, l'équilibre fondamental était serré. Pas autant que aujourd'hui, mais c'était serré, ce qui a fait basculer le prix du pétrole, depuis plus de 100 $ jusqu'à 50–60 $. C'était une contraction importante du PIB. S'il y a une contraction important du PIB, le pétrole diminuera jusqu'à 60 et 70 $, au fur et à mesure que la demande faiblit. En mars 2020, lorsque la demande arrêtée, ces contraintes devront disparu. La contrainte de fonds existe que s'il y a une demande excédentaire. Mon scénario de base, c'est que la demande à leur actuel est solide, et même avec l'affaiblissement du PIB qui est attendu, je ne prévois pas de la demande chute suffisamment pour résoudre le programme d'offres. Excellent début d'émission! Envoyez-nous vos questions. À l'attention du Sénat la Dina, responsable des produits de base chez TD Gestion d'actifs. Envoyez-nous un courriel à l'adresse qui figure à l'écran ou saisissez votre question dans la boîte sous votre écran, son courtier Web. Maintenant, une mise à jour sur les principales actualités dans le monde des affaires et sur les marchés. La société Bausch Health reporte son premier appel public à l'épargne pour son activité de soins de la peau. Les investisseurs se sont intéressés à son état médical, mais Bausch Health met la pédale douce en raison des difficultés sur le marché. Solta demeurera donc une partie de Bausch Health pour l'instant, ce qui aidera notamment la société mère à rembourser sa dette. Bausch Health a vendu son activité de soins des yeux à un prix inférieur aux prévisions. La compagnie de logiciels de conception Adobe réduit ses pronostics de bénéfices pour l'année, à cause des défis semblables à ceux des autres entreprises de logiciels. L'effet du dollar américain fort sur les revenus. 175 millions de dollars de baisse des bénéfices à cause des taux de change. C'est un défi pour les entreprises américaines qui rapatrient leurs revenus étrangers en dollars américains. Microsoft et Salesforce ont également éprouvé la même difficulté depuis quelques trimestres. US Steel tirent les avantages d'une augmentation de la demande et du cours de l'acier. Les bénéfices nets de la compagnie s'établiraient maintenant à 3,88 $ par action pendant le trimestre actuel, bien au-dessus des estimations des analystes. Le conflit en Ukraine a fait augmenter le coût des matières premières, mais US Steel prévoit que ces pressions seront augmentées par l'augmentation des prix de vente de l'acier. À présent, les grands indices. Au Canada, l'indice TSX composite. Sur Wall Street, nous sommes toujours en territoire négatif à Toronto. Un peu plus d'un demi pour cent. Ce recul est cours de l'énergie aujourd'hui pèse sur certains des grands titres énergétiques au Canada. Aux États-Unis, l'énergie exerce un effet négatif, après la dégringolade d'hier, l'indice S&P 500, grand instantané du marché américain, est modestement négatif. un peu plus de deux points à la baisse. Beaucoup de questions commencent à nous arriver à l'attention de Hussein Allidina. Un spectateur demande de parler de la sécurité alimentaire. Quel est votre point de vue sur les denrées alimentaires? La balance alimentaire n'est pas aussi serrée par rapport à la balance énergétique. Mais l'énergie est un point clé pour la production alimentaire. Vous avez parlé de la Russie et de l'Ukraine, qui sont tous les deux de gros producteurs et le grenier de l'Europe. Les pronostics du département américain de l'agriculture pour la saison à venir projettent des balances serrées. Pas accord, mais serrées, sur cinq à 10 ans, mais suppose un rendement record sur ses pronostics. La météo représente toujours un risque pour ses rendements. Aux États-Unis, la récolte de maïs n'a pas toutes été plantées. Il fait très chaud à l'heure actuelle, ce qui augmente le risque pour le rendement au moment de la pollinisation. Mais le plus gros risque pour moi, c'est l'engrais. Le prix des engrais a beaucoup augmenté. Il y a une réduction de la disponibilité des engrais et leur application, ce qui pose un risque pour la balance. Encore une fois, il y a un marché baissier pour les produits alimentaires depuis huit à 10 ans. Les agriculteurs n'augmentent pas leur superficie. C'est différent de la période entre 2002 et 2010, où les cours des denrées alimentaires augmentées, ce qui encouragé les agriculteurs à augmenter la superficie. La balance est serrée. Pas autant qu'en 2006–2007, mais il y a un risque que cette balance recèle encore, par exemple sous l'impact de l'augmentation du cours des engrais. À cause du conflit entre la Russie et l'Ukraine, le grenier de l'Europe, on s'est demandé pourquoi d'autres pays, par exemple les agriculteurs canadiens, ne répondrait pas à la demande. Ce n'est pas facile. Si vous êtes agriculteurs, vous maximisez la superficie susceptible d'être plantés et récoltés. Si je décide aujourd'hui d'ajouter une superficie supplémentaire, en supposant que je dispose des terrains, historiquement, cette terre n'a pas été productive faute de justification économique. Maintenant, à huit dollars pour le maïs ou 15 $ pour les fèves de soja, ça marche, mais ce n'est pas du jour au lendemain. Bon, ça prend moins longtemps que de mettre en production une ligne de cuivre ou un champ pétrolier ou le faire, mais ça prend un an ou un an et demi avant de mettre un nouveau champ en culture. Donc, les denrées alimentaires, il y a des risques à la hausse et à la baisse. Cela va faire subir beaucoup de pression sur les prix. Est-ce qu'il y a des denrées qui se comportent mal dans ces conjonctures? puisque l'économie représente un élément clé du prix de revient de ces denrées, l'inflation du prix de l'énergie doit se répercuter sur les prix des denrées agricoles pour que les agriculteurs aient des motifs de planter. On pourrait supposer que la demande de coton pourrait augmenter parce que le prix des frais libres artificiels augmente considérablement. Cela pourrait être favorable pour le coton. Mais je crois qu'aucune de ces balances agricoles et à l'abri de la hausse des cours de l'énergie. Les agriculteurs utilisent du carburant diesel dans leur tracteur pour planter, dans la moissonneuse-batteuse pour récolter… il y a toute sorte d'énergie qui intervienne à toutes les étapes. Pour nous, énergie, les sens comme dans l'autre voiture, mais il y a beaucoup d'énergie qui est indispensable à la production de beaucoup de denrées. Vous avez rapidement évoqué le prix des engrais qui est important pour les denrées agricoles. Un spectateur nous demande, s'agissant du conflit avec l'Ukraine et la Russie, la Russie est un gros producteur de potasse. Comment ces nutrients pour récoltes seront-ils remplacés? Les prix de l'anglais ont augmenté à cause du conflit. Le Canada a une occasion extraordinaire à saisir. L'Alberta est un gros producteur de potasse. Vous verrez que les producteurs d'anglais en Saskatchewan vont en bénéficier. mais ces prix plus élevés sont essentiellement transmis aux agriculteurs, et par conséquent, aux producteurs de bétail, par conséquent à vous et moi. Est-ce qu'il y a un risque sur le marché des engrais? Qu'est-ce qui change la situation et qui pourrait par exemple entraîner un excédent de potasse sur le marché? Pour cela, il faudrait une réintégration de la Russie dans les marchés mondiaux. Est-ce un risque? Oui. Est-ce que c'est une probabilité élevée? Je ne le pense pas aujourd'hui. Une autre question nous arrive sur la plate-forme, sur les produits de base en général. Chaque fois que les produits de base augmentent que les producteurs augmentent l'offre. Chaque fois, pourquoi est-ce que ça ne va pas se produire cette fois-ci? Excellente question. C'est tout à fait vrai. Lorsque les cours des produits de base augmentent, les producteurs de ces produits sont encouragés à investir à fin d'augmenter l'offre. La raison pour laquelle le cycle des produits de base existe, c'est parce que l'offre est inélastique. Votre exemple portant sur le prix du blé et du maïs, le prix du blé est sans doute le signal de prix auquel il est le plus facile de répondre. Cela ne prend pas longtemps. Ça prend un an ou 16 mois. Aujourd'hui, le coût plus élevé du cuivre peut encourager les producteurs de cuivre à investir pour augmenter la production, mais on ne va pas mettre en service une mine de cuivre à partir de zéro en moins de cinq à sept ans. Dans le secteur pétrolier, encore une fois, c'est sans casser temps qu'il faut pour mettre un service en production. Donc oui, l'offre, peut répondre à l'augmentation des prix, mais par rapport au site précédent que nous avons connu, il y a l'idée des considérations ESG, l'idée qu'on ne consommera plus de pétrole dans cinq ou 10 ans. Cette idée est inexacte selon moi. Cela décourage ceux qui le peuvent de produire et d'investir. Si vous considérez le lien entre le cours du pétrole et l'immobilisation, historiquement, il y a eu des relations assez serrées. Les compagnies d'énergie, par exemple, réagissent à l'augmentation du cours du pétrole. Aujourd'hui, si je regarde cours de pétrole par rapport au nombre d'installations de forage, il y a eu une bifurcation. À cause de la vogue des considérations ESG, n'a plus de désir d'investir parce que l'on pense qu'on se passa du pétrole dans l'avenir, l'augmentation des prix, augmentation de la volatilité. Et à mon avis, ce n'est pas la bonne méthode. Le risque politique est toujours un facteur important quand il s'agit d'investir. Le risque du point de vue politique à l'égard des gouvernements, il y a différents présidents à la Maison-Blanche qui ont un point de vue différent. Un gouvernement différent Canada, qui a une approche différente de l'énergie. Est-ce que les choses pourraient évoluer rapidement ou si cette considération n'est pas tellement importante? Dans les cas extrêmes où nous vivons, un cas extrême, les politiques peuvent évoluer. Aux États-Unis, on parle beaucoup d'une exonération de la loi Jones. La loi Jones empêche les pétroliers en pavillon américain de livrer du pétrole aux États-Unis. Par exemple, on pourrait avoirun approvisionnement adéquat de l'essence sur la côte du golfe sur la côte, on importe de l'Europe parce que les pétroliers en pavillon américain ne peuvent pas la livrer. Le reste au plan des politiques existe toujours. Je pense que dans un environnement où le prix des denrées est plus élevé, risque lié aux politiques est accru. Il existe une possibilité que des changements de politique pourraient augmenter l'offre, mais encore une fois, le défi, si vous êtes chefs de la direction d'un conseil d'administration engageant des investissements pendant plusieurs milliards, vous ne pouvez pas compter sur le président aujourd'hui par cette décision ne va pas nécessairement être durables. Ce risque est plus prononcé qu'il ne l'a été historiquement à coordonner pourtant ces considérations ESG, qui sont importantes. Mais simplement, nous ne pouvons pas arrêter d'investir au niveau de l'offre de produits que nous continuons de consommer. Nous n'avons pas de produits de remplacement. Dans un véhicule à essence, il n'y a pas suffisamment de véhicules électriques pour répondre à la demande. Vous voulez acheter un véhicule électrique aujourd'hui, vous êtes inscrits sur une liste d'attente pendant 12 à 16 mois. Nous allons reparler des véhicules électriques dans un instant. Lorsque je reviendrai à ces questions, je vous rappelle que vous pouvez nous imposer en tout temps l'adresse électronique qui figure sur l'écran. À présent, un segment d'éducation. Les marchés des produits de base peuvent évoluer très rapidement, mais WebBroker peut vous aider à rester au courant. Voici Nugwa Haruna, être plus principal chez placement direct TD. Nugwa, ça me fait plaisir de vous voir. Comment pouvons-nous utiliser WebBroker poursuivre les résultats des produits de base? Bonjour, Greg. Merci de m'inviter. En tant qu'investisseur qui envisage de diversifier son portefeuille, ou qui envisage une couverture contre l'inflation, on peut explorer certains des produits de base que vous évoquez dans WebBroker. Une fois que je suis dans WebBroker, je clique sur recherche. Une fois que je clique sur recherche, je vais examiner les survols du marché. Nous avons évoqué quelques-uns de ces produits aujourd'hui. Il est très difficile pour un investisseur particulier… comme vous le savez, de stocker ses produits. Par exemple, de stocker du gaz naturel dans notre jardin. Donc, pour suivre le cours de ses produits, on peut considérer le cours des contrats à terme à courte échéance. Voici les contrats à terme à courte échéance. Énergie, métaux et agriculture. Qu'est-ce que c'est que ces contrats à terme à courte échéance? Ils sont basés sur des contrats à terme qui arrive à échéance aux dates figurant sur l'écran, qui sont basés sur des éléments comme le cours actuel de ces produits, ainsi que les frais de stockage, jusqu'à la livraison. Une autre chose à évoquer, c'est qu'en tant qu'investisseur, nous n'avons peut-être pas la possibilité de négocier ces contrats à terme. On peut considérer les secteurs dans le domaine des produits de base. On peut également considérer combien de pays, ou plutôt combien de produits ont vu des progrès. Alors, voilà où nous nous retrouvons pour avoir un survol. Qu'est-ce qui fait progresser le prix des produits de base? Alors, en tant qu'investisseur, on peut considérer certains de ces secteurs. Dans WebBroker, je clique sur le secteur. Alors donc, une fois que je le fais, cela va m'amener à un écran consacré au secteur de l'énergie. Alors, sera pour me montre quel est le degré de confiance du marché à l'égard de ce produit. Par exemple, ce sera basé sur l'information sur l'achat et la vente des responsables des achats dans ces compagnies, ainsi que des administrateurs, donc les transactions d'initiés. Cela me donne une idée de l'orientation qu'ils attribuent à leur compagnie. Si je cherche une compagnie spécifique, je peux dérouler un peu plus et voir les compagnies qui obtiennent les meilleurs résultats aujourd'hui, puis approfondir et explorer davantage. Encore une chose que l'on peut faire dans WebBroker, je peux cliquer sur l'onglet rapport. Disons que je reste cherche davantage de rapports sur des industries spécifiques, je me concentre sur la droite de mon écran, ce qui me permet de jeter un coup d'œil aux rapports sectoriels de mon histoire. Je peux me concentrer sur le secteur des produits de base et puis jeter un coup d'œil à ce que les analyses de projets au sujet du cours dans ce secteur. Il y a toujours quelque chose de nouveau sur WebBroker. Merci, Nugwa Haruna, être plus principal chez placement direct TD. Ne manquez pas de visiter le centre d'apprentissage sur WebBroker, vous trouverez davantage de vidéos et autres ressources. Avant de revenir à vos questions, je vous rappelle comment vous pouvez communiquer avec nous. Avez-vous une question au sujet des placements? Nos invités on rate d'apprendre ce que vous pensez. Envoyez-nous vos questions, soit en nous envoyant un courriel en tout temps à moneytalklive. td. com ou en utilisant la boîte de questions en dessous de cet équivalent. Saisissez la question et cliquez sur envoyer. L'un de nos invités vous répondre instantanément. Nous voici de retour avec Hussein Allidina de TD Gestion d'actifs. Nous parlons de produits de base. Je voudrais revenir la conversation sur les considérations ESG. Une autre question ne vient. La question de la sécurité énergétique a-t-elle commencé à affecter l'opinion qu'ont les gens des questions ESG? Ça a été très commode de se dessaisir de l'énergie depuis 10 à 12 ans, parce que l'énergie affiche des résultats décevants. Bon nombre de fonds ESG qui sont concentrés sur le filtrage de l'énergie ont surclassé. Cela a changé compte tenu des résultats de l'énergie depuis deux mois. Lorsque j'étudie l'équilibre, la balance énergétique, nous utilisons toujours énormément d'énergie conventionnelle dans le PIB. Je serai le premier à soutenir que les émissions de carbone sont un problème et que nous devons les réduire. Mais nous ne pouvons pas nous éloigner en un an ou deux, ou cinq ans, de l'énergie telle que nous la connaissons. Et telle que l'économie mondiale et base si depuis 100 ou 150 ans. Il y a donc une réévaluation du cadre ESG. Nous considérons l'Europe, par exemple. Même avant la Russie et l'Ukraine, les cours du gaz naturel ont atteint un pic incroyable. Et la même chose s'applique au charbon ou à d'autres produits de base. En définitive, on repense à la question. Nous devrions continuer, c'est évident, d'évoluer vers une réduction des émissions de carbone, mais cela ne peut plus faire abstraction de l'impact social considérable de l'évolution des prix de l'énergie. Nous restons pour ses problèmes dans le monde développé, dans le monde occidental. C'est encore plus grave sur les marchés émergents, où les consommateurs paient une proportion excessive de leurs revenus discrétionnaires pour acquérir l'alimentation énergie. On commence à repenser à la situation. Les émissions de carbone sont un problème. Nous devons évoluer dans la direction d'une réduction, mais nous pouvons être un peu plus méthodique, et je pense que c'est cela qui se produit en ce moment. Notre discussion portait tout à l'heure sur les véhicules électriques. Il y a quelqu'un qui demande: c'est métaux qui sont utilisés pour les véhicules électriques était en vedette à la conférence des prospecteurs et développeurs. Alors, qu'en pensez-vous? Les métaux, la transition énergétique exige énormément de métaux. Si je songe à un véhicule renouvelable par rapport à un véhicule à moteur, à combustion interne, la quantité de cuivre d'aluminium incorporé dans la batterie est bien supérieure à ce qu'on voit dans un véhicule conventionnel. Et ses semblables au cas de l'approvisionnement d'énergie, approvisionnement métaux connaît des difficultés parce que nous avons vécu une période où il y a eu peu d'encouragement à investir en raison du cours de ces produits. Si l'on considère la part des véhicules vendus aujourd'hui, la part des véhicules électriques est relativement faible. 10–12–13 %. Avec le temps, cette proportion va augmenter et la quantité de cuivre, de lithium, de cobalt, de manganèse nécessaire pour faire fonctionner cette infrastructure va augmenter considérablement. Aujourd'hui, la Chine représente un consommateur très important de ses produits de base. Quand nous arrivons en 2030 2035, la demande véhicule électriques sera notablement plus élevée. Donc oui, les véhicules électriques exigent non seulement une batterie, mais encore, il y a la production d'énergie, réseaux de distribution d'énergie, qui exige beaucoup de cuivre. Et si l'on s'éloigne des véhicules conventionnels en faveur de véhicule renouvelable, il faut le demander d'où viendra l'énergie. Ce que nous avons infrastructures de transport? Donc, est-ce que nous sommes en mesure de fournir une telle alimentation en électricité? Si nous ne déterminons pas comment nous allons produire cette électricité, nous avons un problème. On l'a vu en Europe cette année. La fiabilité des éoliennes a diminué et les propriétaires de véhicules électriques ont été invités à ne pas charger leur véhicule parce qu'il n'y avait pas assez d'énergie sur le réseau. C'est facile à dire que nous n'allons pas consommer de pétrole et le gaz parce qu'ils sont sales. Il faut songer aux solutions de rechange nous assurer que tout est en place pour que nous puissions passer à ces substitutions. Et nous ne l'avons pas fait de façon sérieuse. Prenons la température des marchés en ce dernier jour de la semaine de négociation, semaine mouvementée. Commençons chez nous. L'indice composite TSX, qui a remonté par rapport aux crues, mais toujours un déficit de 79 points. . Encore une fois, c'est l'évolution des cours du brut qui pèse. Même si les titres énergétiques sont durement touchés. Voyons comment se comporte s'Encore, avec tous les grands titres de l'énergie, seul le corps est l'un des titres les plus négociés sur Base Street et affiche une baisse de presque 6 %. L'indice S&P 500, je suis très curieux parce qu'ils ne s'y entrent du côté négatif et le côté positif. De retour du côté positif, environ 0,20 %. Semaine difficile pour ceux qui sont investies à long terme. Cela ne compense pas les pertes, mais il vaut mieux avoir du vert que du rouge sur les marchés. L'indice Nasdaq, les titres de technologie se comportent un peu mieux que l'ensemble du marché. 170 point de base alors actuelle. Encore une fois, une semaine difficile, une année difficile pour la technologie. Mais si vous avez un horizon à long terme, ça fait plaisir de voir un peu de vert sur cet écran. Aux États-Unis, les titres d'énergie, nous voyons Exxon en baisse de 87 %. Le dollar américain, nous n'en avons parlé au début de l'émission, qui mollissait légèrement par rapport à la corbeille de monnaies étrangères. Après quelques semaines assez impressionnante de remonter pour le billet vert, recul de 1,5 %. Revenons à vos questions à l'attention de Hussein Allidina, chef des produits de base chez TD Gestion d'actifs. Dans un instant, vous pourrez communiquer avec mon tout temps. Avez-vous une question à poser sur l'investissement ou sur les facteurs à l'œuvre sur les marchés? Nos invités veulent entendre vos questions. Vous pouvez nous envoyer un courriel en tout temps, à moneytalklive@td. com ou saisir la question de la boîte sous votre écran sur le courtier Web. Saisissez la question et cliquez sur envoyer, l'un de nos invités pourrait peut-être vous répondre instantanément. Pour résumer les grandes nouvelles de la semaine, la réserve fédérale annonce une augmentation montre de 75 point de base la plus important depuis 1994. Valeur mobilière TD a mis à jour ses pronostics quant à la décision de la Banque du Canada, qui interviendra en juillet. Anthony Okolie est parmi nous. Valeur mobilière TD, pronostic à la Banque du Canada va augmenter son taux de 75 point de base lorsqu'il se réunit en juillet. Ceci suit la décision de la réserve fédérale, qui vient de relever son taux directeur de 75 point de base cette semaine. Outre cette augmentation, TD prévoit que la Banque du Canada augmentent les taux de cinq point de base en septembre et en octobre. Le taux terminal de la banque fédérale devra se situer autour de 4 % à la fin du cycle. Valeur mobilière TD ajuste ses pronostics. On prévoit que la Banque du Canada verra son terminal augmentait à 3,85 % d'ici la fin de ce cycle. Valeur mobilière TD met également en garde. Il s'agit le moment-clé pour les banques centrales dans le monde entier. Leur crédibilité est en jeu, ainsi que leur capacité de lutter contre l'inflation. Donc pour l'avenir, on s'attend à ce que l'inflation demeurera opiniâtrement élever à l'approche de la réunion de décembre. On prévoit que l'inflation s'établira à 6 % sur 12 mois. On prévoit quelques signes de ralentissement, surtout avec le rapport sur les emplois au mois de novembre et l'estimation du PIB au mois d'octobre. Mais on prévoit que la Banque du Canada va cesser d'augmenter les taux après la réunion d'octobre et que la Banque du Canada réduisent les taux d'ici la fin 2023. Prévisions d'arrêt des augmentations après la réunion d'octobre. Pas seulement les investisseurs, il y a des gens qui ont des prêts à taux variable relié au taux préférentiel. Pourquoi pensent donc ils vont arrêter après octobre? Une ou deux hypothèses. Tout d'abord, les foyers canadiens sont parmi les plus endettés dans le monde occidental. Ils ne sont peut-être pas nécessairement en mesure de supporter les augmentations supérieures au taux terminal de 3,25 % de la Banque du Canada. En outre, la Banque du Canada pourrait considérer un rapide ralentissement de l'économie comme ayant un effet dedéflationniste. Si les attentes à l'égard de l'inflation sont modérées, la Banque du Canada pourrait considérer que ces mesures pourraient ramener l'inflation à son objectif. Merci, Anthony Okolie. Je rappelle à notre histoire, valeurs mobilières TD et une marque de commerce de la Banque Toronto-Dominion. Sur Base Street, une baisse de 99: une séance inégale aujourd'hui après une semaine difficile, une baisse d'un demi pour cent du S&P 500. Chaque fois qu'on regarde le S&P 500, il fait quelque chose de différent. Il se maintient tout juste en territoire positif. 0,04 %. C'est une semaine difficile. Dégringolade pour commencer, et puis une dégringolade hier encore. Notre invité Hussain Allidina, chef des produits de base chez gestion d'actifs TD. Hussain, une question que je me pose depuis le début de ma carrièrepourquoi alors se comporte-t-il si mal malgré les marchés qui dégringolent? Très bonne question, mais je la poserai un peu différemment. Laure s'est remarquablement bien comportée compte tenu de la solidité du dollar américain. Typiquement, un dollar fort, c'est une équivaut à une faiblesse du cours de l'or, ainsi qu'une évolution des taux réels. une augmentation des taux réels signifie que l'opportunité quant au fait de détenir de l'or est plus élevée. Si l'on songe au rôle que joue l'or dans un portefeuille, il s'agit d'un avantage différent par rapport à celui que procurent les produits de base. L'or est une couverture contre l'inflation. Les produits de base aussi, mais le type d'inflation que nous voyons aujourd'hui est axée sur les produits de base. Ce sont les produits de bases qui font augmenter le prix des biens et services. Donc les produits de base sont sans doute une meilleure couverture pour ce genre d'inflation. Si nous nous retrouvons dans un environnement où l'on s'inquiète de la valeur des monnaies papier, ou que l'on envisage une hyperinflation, lorsqu'on porterait mieux dans ces environnements la. Je crois également qu'en 2020–2021, le comportement du Bitcoin et d'autres cryptomonnaie a réduit un peu la part de marché de l'or. Mais je crois qu'en définitive, les 12 derniers mois et le comportement de leur par rapport au Bitcoin fait litière de l'idée que l'un de ces actifs remplace l'autre. L'or est une manière de conserver de la valeur, et c'est très bien comporté compte tenu de l'évolution des taux réels et de celle du dollar. Un dernier élément. Si l'on considère les banques centrales des marchés émergents, celles qui ont relevé la location alors on constate une volatilité plus faible dans leur monnaie, ce qui donne confiance à l'investisseur à l'idée que leur a un rôle à jouer dans un portefeuille au niveau de la construction de portefeuille,on ne veut pas que l'on passe à cinq ou 6000 $ l'once parce que cela aurait des ramifications importantes pour le reste du portefeuille. Lors jouent un rôle pour conserver de la valeur comme refuge. Voilà d'excellentes observations qui aident à mieux comprendre. Parfois, quand on assiste à l'évolution de leur au quotidien, on n'y comprend rien. Alors, beaucoup de débats au sujet de l'énergie nucléaire. Que c'est une source d'énergie verte et qu'est-ce que ça signifie pour l'uranium? Je crois que l'énergie éolienne et solaire sont plus propres et plus renouvelables que le nucléaire. Mais encore une fois, il faut nous positionner dans la réalité. La réalité, c'est que notre consommation d'énergie, notre PIB aujourd'hui, et surtout impulsée par le pétrole, gaz naturel et l'or. L'alimentation nucléaire, énergie nucléaire, qui a une mauvaise presse depuis quelques années, après Fukushima et d'autres incidents, l'énergie nucléaire occupe une place importante à titre de soutien. Les émissions associées l'énergie nucléaire sont négligeables par rapport à d'autres formes de production d'électricité. Je crois que l'uranium devrait former un élément de base de la demande. L'éolien et le solaire, c'est merveilleux, mais seulement quand il vente ou qu'il fait soleil. Il faut avoir une demande de base. Je crois que nous allons assister à une augmentation du nucléaire. Les sentiments à l'égard du nucléaire évoluent en Europe, en partie à cause de ce qui se passe à l'égard du conflit Russie–Ukraine. Qu'est-ce que cela va signifie pour l'uranium? Encore une fois, le cours de l'uranium n'encourage pas, depuis 10 à 12 ans, l'exploration et la production du minerai. Lorsque la demande du secteur nucléaire augmente, et je crois que ce sera le cas, le cours de l'uranium va augmenter. Et je pense que cela continu d'être un environnement favorable. Un autre spectateur nous interroge sur le gaz naturel. On entend parler de l'impact sur le gaz naturel du conflit russe ou ukrainien, mais bien souvent, on parle des cours du gaz naturel en Europe. Est-ce qu'on devrait envisager le marché du gaz naturel avec les investisseurs? Oui, il n'y a pas un marché unique. Les marchés sont reliés, mais pas autant que ceux du pétrole. C'est essentiellement attribuable au fait qu'il n'est pas possible d'envoyer des cargos des États-Unis ou en Europe à vice versa. Cela change la quantité de gaz naturel liquéfié que les États-Unis exportent aujourd'hui. Elle a atteint des niveaux records, nonobstant les problèmes reliés à Freeport, les exportations de génial par les États-Unis se situent à 12,13, 14 milliards de pieds cubent par jour mais non parce que ça peut passer à 30 milliards de pieds cube par jour, ce qui crée davantage d'interconnexion entre les marchés et va harmoniser les prix, les cours que l'on constate sur le marché aujourd'hui, qui sont en fonction de la demande de gaz en Europe et en Asie. Contenu de la réduction des flux en provenance de Russie. Alors, la demande gaz naturelle, la demande de pétrole brut, je songe aux pays où nous vivons. Nous avons ces produits à vendre au monde. Est-ce que c'est un élément positif pour le secteur énergétique canadien? Certes, nous devons repenser à fond notre politique énergétique au pays. Car nous avons un gaz naturel. . . Je suis frustré quand les gens parlent du charbon, du pétrole et du gaz. Le charbon est notablement différent du gaz du point de vue des émissions. Je pense que nous avons au Canada une ressource phénoménale. Nous avons des gouvernements au Canada. C'est important pour nous de mettre notre produit au marché, même sans investissements supplémentaires. Les investissements que nous engageons aujourd'hui vaudrons davantage compte tenu de l'évolution des cours. L'Europe, le monde occidental, les États-Unis vont se tourner vers le Canada comme fournisseur parce que l'on constate à quel point il est périlleux de se fier à d'autres producteurs dans le monde entier. Bon, une dernière réflexion pour notre public quant au secteur des produits de base dans l'avenir. Je crois que nous sommes dans une phase d'investissement. Quand je songe au cycle des produits de base, c'est un cycle long. 25 à 30 ans. Pendant la moitié de ce cycle que nous exploitons les investissements engagés dans le marché aussi précédent. Le reste de cette période que l'on envisage d'investir davantage. Nous avons vécu des à 12 années de marché baissier. Maintenant, il faut donner des encouragements producteurs afin qu'ils investissent et déploient leurs capitaux. Il y a des défis qui sont associés à sa, et cela remettre en question le mécanisme de transition entre les prix et la production. Si vous croyez que l'économie mondiale va croître, et je crois qu'il y a des préoccupations à court terme, mais en définitive, si vous croyez qu'il y aura une croissance du PIB, vous êtes aussi sur les produits de base, parce que l'offre ne répond pas à la demande. Le PIB dépend de ses produits de base. Il faut que l'offre répond à la demande. Jusque-là, le prix doit imiter la demande de laisser l'environnement que nous connaissons. Hussain à la Dina, à bientôt. Merci, Hussain à la Dina, chef des produits de base chez TD Gestion d'actifs. Comme d'habitude, faites vos propres recherches avant de prendre des décisions de placement. Voici quelques événements inscrites dans votre calendrier. Lundi 20 juin, nouvel indice des prix du logement pour le mois de mai au Canada. On se concentre sur le marché des reventes pour des raisons importantes. Compte tenu de l'augmentation des taux, nous voulions voir quelles sont également les prix des maisons neuves au Canada. Mardi 21 juin, le tout dernier rapport sur les ventes au détail au Canada, baromètre de la consommation. Et le mercredi 22 juin, rapport sur l'inflation Canada, statistique Canada va chiffrer ce phénomène le 22 juin. Un rappel des invités que nous avons prévus pour vous sur Parlons argent direct. Lundi 20 juin, Colin Lynch va nous parler de l'investissement dans l'immobilier dans le monde. Et le 21 juin, Ben Cosack va nous parler des titres producteurs de revenus. Et mercredi 22 juin, nous allons parler à Michael O'Brien des actions canadiennes. Voilà notre émission pour aujourd'hui. Merci et à bientôt.