Placements directs donne le coup d’envoi du Mois de l’éducation des investisseurs, qui mettra l’accent sur les nouveaux investisseurs tout au long du mois d’octobre. Anthony Okolie reçoit Nugwa Haruna, animatrice, Formation des clients à Placements directs TD, pour discuter des façons de gagner en confiance et d’élargir ses connaissances pour partir du bon pied.
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[MUSIQUE]
Pour la génération Z et les milléniaux, c’est parfois intimidant d’investir sur les marchés financiers, surtout quand on est complètement novice. Nugwa, tu es une milléniale et tu as vécu cette expérience. Raconte-nous ça.
Il y a quelques années, les actions de certains secteurs se négociaient à des niveaux record. C’était impossible d’aller à la salle à manger sans entendre des collègues parler des rendements ahurissants de leurs placements. Et ça a vraiment piqué ma curiosité. J’avais peur de rater une belle occasion, alors je me suis lancée et j’ai ouvert un compte de placement autogéré. Ensuite, j’ai mis des fonds sur mon compte, j’ai investi dans des actions, et j’ai gagné 20 % en quelques jours.
Là, je me suis prise pour une gourou des placements. J’ai continué, j’ai mis plus d’argent dans mon compte, j’ai fait des petites recherches sur Google et j’ai acheté d’autres actions. Et puis les cours ont dégringolé. J’ai perdu une part importante du montant que j’avais investi au départ. Et pendant longtemps, ça m’a dissuadé d’investir sur les marchés.
Quelques années plus tard, je suis tombée sur les offres de formation de Placements directs, qui sont gratuites. Et ça a vraiment changé ma façon de voir les placements. J’ai découvert des webinaires, c’est-à-dire des vidéos à la demande dans lesquelles des experts du secteur viennent parler de toute une variété de sujets liés aux placements. J’ai aussi découvert les classes de maître : des séances interactives en direct au cours desquelles on peut interagir avec un instructeur, poser des questions et obtenir des réponses en temps réel. Et tous ces outils ont changé ma façon d’aborder les placements.
Je me suis rendu compte qu’il n’y a pas de solution universelle. Je peux opter pour une stratégie plutôt passive ou plutôt active. Je ne vais pas abandonner mon travail pour devenir courtière en bourse, et ça me va.
D’accord. Quel est le meilleur moyen de surmonter sa peur la première fois qu’on fait une opération?
En fait, j’ai découvert que j’étais loin de connaître tout l’éventail d’options de placement à ma disposition. Par exemple, pour mettre en œuvre une stratégie qui vise plutôt à générer un revenu tout en préservant mon capital initial, je peux opter pour des placements à revenu fixe. Je peux investir dans des certificats de placement garanti – des CPG – ou des obligations qui rapportent des intérêts mensuels, trimestriels ou annuels, selon ce que je préfère. Il y a aussi les actions à dividendes, en gardant à l’esprit que les sociétés peuvent annuler le versement de dividendes à tout moment.
Mais si mon but, c’est la croissance de mon portefeuille, je peux acheter des actions. C’est intéressant de savoir que même s’il y a eu des corrections et des baisses sur le marché boursier, c’est là qu’on obtient les rendements les plus élevés dans la durée. Les rendements sont supérieurs à ceux des espèces ou des titres à revenu fixe.
Enfin, j’ai appris que si ça ne m’intéresse pas ou si je n’ai pas le temps de sélectionner moi-même des placements, je peux tirer parti des fonds communs de placement ou des fonds négociés en bourse. Là, un gestionnaire de fonds professionnel regroupe différents placements en fonction d’un objectif de placement. Je peux trouver le fonds qui correspond à ma tolérance au risque et à mon objectif financier, sans oublier qu’il peut y avoir des frais de gestion.
Pour ma part, quand j’ai découvert les webinaires, les classes de maître et les vidéos du Centre d’apprentissage de CourtierWeb, ça a changé ma façon de voir les placements. Je me suis sentie plus à l’aise d’investir. Et ça m’a donné davantage confiance pour investir de manière autonome.
Tout le monde peut utiliser ces informations. Vous pouvez décider de gérer vous-même tous vos placements ou seulement une partie, ou avoir des conversations plus constructives sur votre portefeuille avec votre planificateur financier ou votre conseiller en placement.
À quel point est-ce que c’est important pour la génération Z et les milléniaux de pouvoir gérer leurs placements sur leur téléphone?
On ne se sépare jamais de notre téléphone. On sait toujours où il est, et on ne quitte jamais la maison sans notre mobile. Si je veux suivre les cours du marché ou passer rapidement un ordre – et il n’y a pas que les opérations : si j’ai le temps de regarder une petite vidéo éducative... je peux faire tout cela sur mon téléphone.
Je n’ai qu’à ouvrir l’appli TD et aller à l’onglet Apprendre à investir. Et là, je peux trouver de courtes vidéos et des leçons sur les différents placements. Je peux aussi suivre ce qui se passe sur les marchés. C’est un outil très pratique pour apprendre.
En octobre, Placements directs célèbre son Mois de l’éducation des investisseurs qui mettra l’accent sur les milléniaux. Quels seront les grands thèmes?
Nous proposerons quatre webinaires qui porteront sur une vaste gamme de placements. Nous avons invité des conférenciers. On parlera par exemple de la liste de survie des nouveaux investisseurs... Ça m’aurait bien servi quand j’ai commencé à investir. On verra comment surmonter la peur de rater une occasion pour les investisseurs milléniaux.
On offrira aussi des classes de maître interactives en direct qui couvriront les notions de base pour différents types d’investisseurs. Par exemple, les lundis et vendredis à 16 h, il y aura des séances en direct pour les investisseurs actuels ou potentiels qui sont curieux de savoir tout ce qu’offre Placements directs TD, que ce soit les comptes de placement, les produits et services de placement, la formation ou les plateformes de négociation. Pour celles et ceux que ça intéresse, vous pouvez aller à td.com/mei pour consulter notre calendrier des événements.
Nugwa, merci du temps que tu nous as accordé.
J’ai hâte qu’on se reparle du Mois de l’éducation des investisseurs en octobre.
[MUSIQUE]
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Pour la génération Z et les milléniaux, c’est parfois intimidant d’investir sur les marchés financiers, surtout quand on est complètement novice. Nugwa, tu es une milléniale et tu as vécu cette expérience. Raconte-nous ça.
Il y a quelques années, les actions de certains secteurs se négociaient à des niveaux record. C’était impossible d’aller à la salle à manger sans entendre des collègues parler des rendements ahurissants de leurs placements. Et ça a vraiment piqué ma curiosité. J’avais peur de rater une belle occasion, alors je me suis lancée et j’ai ouvert un compte de placement autogéré. Ensuite, j’ai mis des fonds sur mon compte, j’ai investi dans des actions, et j’ai gagné 20 % en quelques jours.
Là, je me suis prise pour une gourou des placements. J’ai continué, j’ai mis plus d’argent dans mon compte, j’ai fait des petites recherches sur Google et j’ai acheté d’autres actions. Et puis les cours ont dégringolé. J’ai perdu une part importante du montant que j’avais investi au départ. Et pendant longtemps, ça m’a dissuadé d’investir sur les marchés.
Quelques années plus tard, je suis tombée sur les offres de formation de Placements directs, qui sont gratuites. Et ça a vraiment changé ma façon de voir les placements. J’ai découvert des webinaires, c’est-à-dire des vidéos à la demande dans lesquelles des experts du secteur viennent parler de toute une variété de sujets liés aux placements. J’ai aussi découvert les classes de maître : des séances interactives en direct au cours desquelles on peut interagir avec un instructeur, poser des questions et obtenir des réponses en temps réel. Et tous ces outils ont changé ma façon d’aborder les placements.
Je me suis rendu compte qu’il n’y a pas de solution universelle. Je peux opter pour une stratégie plutôt passive ou plutôt active. Je ne vais pas abandonner mon travail pour devenir courtière en bourse, et ça me va.
D’accord. Quel est le meilleur moyen de surmonter sa peur la première fois qu’on fait une opération?
En fait, j’ai découvert que j’étais loin de connaître tout l’éventail d’options de placement à ma disposition. Par exemple, pour mettre en œuvre une stratégie qui vise plutôt à générer un revenu tout en préservant mon capital initial, je peux opter pour des placements à revenu fixe. Je peux investir dans des certificats de placement garanti – des CPG – ou des obligations qui rapportent des intérêts mensuels, trimestriels ou annuels, selon ce que je préfère. Il y a aussi les actions à dividendes, en gardant à l’esprit que les sociétés peuvent annuler le versement de dividendes à tout moment.
Mais si mon but, c’est la croissance de mon portefeuille, je peux acheter des actions. C’est intéressant de savoir que même s’il y a eu des corrections et des baisses sur le marché boursier, c’est là qu’on obtient les rendements les plus élevés dans la durée. Les rendements sont supérieurs à ceux des espèces ou des titres à revenu fixe.
Enfin, j’ai appris que si ça ne m’intéresse pas ou si je n’ai pas le temps de sélectionner moi-même des placements, je peux tirer parti des fonds communs de placement ou des fonds négociés en bourse. Là, un gestionnaire de fonds professionnel regroupe différents placements en fonction d’un objectif de placement. Je peux trouver le fonds qui correspond à ma tolérance au risque et à mon objectif financier, sans oublier qu’il peut y avoir des frais de gestion.
Pour ma part, quand j’ai découvert les webinaires, les classes de maître et les vidéos du Centre d’apprentissage de CourtierWeb, ça a changé ma façon de voir les placements. Je me suis sentie plus à l’aise d’investir. Et ça m’a donné davantage confiance pour investir de manière autonome.
Tout le monde peut utiliser ces informations. Vous pouvez décider de gérer vous-même tous vos placements ou seulement une partie, ou avoir des conversations plus constructives sur votre portefeuille avec votre planificateur financier ou votre conseiller en placement.
À quel point est-ce que c’est important pour la génération Z et les milléniaux de pouvoir gérer leurs placements sur leur téléphone?
On ne se sépare jamais de notre téléphone. On sait toujours où il est, et on ne quitte jamais la maison sans notre mobile. Si je veux suivre les cours du marché ou passer rapidement un ordre – et il n’y a pas que les opérations : si j’ai le temps de regarder une petite vidéo éducative... je peux faire tout cela sur mon téléphone.
Je n’ai qu’à ouvrir l’appli TD et aller à l’onglet Apprendre à investir. Et là, je peux trouver de courtes vidéos et des leçons sur les différents placements. Je peux aussi suivre ce qui se passe sur les marchés. C’est un outil très pratique pour apprendre.
En octobre, Placements directs célèbre son Mois de l’éducation des investisseurs qui mettra l’accent sur les milléniaux. Quels seront les grands thèmes?
Nous proposerons quatre webinaires qui porteront sur une vaste gamme de placements. Nous avons invité des conférenciers. On parlera par exemple de la liste de survie des nouveaux investisseurs... Ça m’aurait bien servi quand j’ai commencé à investir. On verra comment surmonter la peur de rater une occasion pour les investisseurs milléniaux.
On offrira aussi des classes de maître interactives en direct qui couvriront les notions de base pour différents types d’investisseurs. Par exemple, les lundis et vendredis à 16 h, il y aura des séances en direct pour les investisseurs actuels ou potentiels qui sont curieux de savoir tout ce qu’offre Placements directs TD, que ce soit les comptes de placement, les produits et services de placement, la formation ou les plateformes de négociation. Pour celles et ceux que ça intéresse, vous pouvez aller à td.com/mei pour consulter notre calendrier des événements.
Nugwa, merci du temps que tu nous as accordé.
J’ai hâte qu’on se reparle du Mois de l’éducation des investisseurs en octobre.
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