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(musique) - Bonjour, ici Greg Bonnell. Bienvenue à Parlons Argent en direct, une émission de Placements directs TD. Nos invités commentent l'actualité des marchés. Puisque nous sommes vendredis, nous vous proposons le meilleur des commentaires de la semaine. Aujourd'hui, le thème auquel tout le monde songe de voir l'inflation et les taux d'intérêt. L'inflation demeure galopant au Canada. Valeur mobilière TD nous dit pourquoi elle pense que la banque du Canada pourrait augmenter les taux encore plus que prévu. La réserve fédérale américaine va prendre sa prochaine décision mercredi. On prévoit une autre forte augmentation des taux d'intérêt. Alex Gorewicz nous dit pourquoi un atterrissage en douceur de la économie américaine est de moins en moins probable. Aujourd'hui, nous poursuivons la découverte de CourtierWeb. Jason nous explique comment suivre la moyenne mobile d'une action. Posez-nous vos questions, MoneyTalkLive@TD.com ou dans la boîte de questions au bas de votre écran. D'abord, un coup d'œil sur les marchés. (. ..) En séquelle que ces augmentations successives vont déclencher une récession. Une perte de 218. Sur l'indice TSX, plus de 1 % à la baisse. Les actions de technologie sont à la peine au sud comme au nord de la frontière. Shopify est en baisse d'un peu plus de 5 % à 42 l'action. Le cours de l'or, qui est Annabelle depuis quelques séances, fait un léger bon. Ce qui avantage les mines d'or. Abricot est en hausse de 1,3 %. Aux États-Unis, l'indice S&P 500 annonce de ces mauvaises nouvelles que nous allons approfondir tout à l'heure, non seulement au sujet de FedEx mais la signification quant à l'avenir de l'économie mondiale. Cela a suscité une onde de choc sur le marché. L'indice S&P 500 est en baisse de un et un corps pour cent. L'indice Nasdaq est encore plus en baisse, 200; soit 1,7 %. Mais comme nous l'avons dit, il y a des éléments positifs sur le marché. Dans le secteur minier aux États-Unis, ces New m'ont en hausse à 43 l'action. FedEx envoie une onde de choc sur les marchés. Non seulement le cours de l'action dégringole après que la compagnie a essentiellement annulé ses prévisions de bénéfices à cause de la perspective économique mondiale. Quel moment mal choisi pour faire une telle annonce, quelques jours avant l'annonce par la Fed. Les marchés réagissent négativement. FedEx est un repère. Les marchés comptent sur ce type pour savoir comment fonctionne l'énergie. Les sites industriels, Deer 3M, il s'agit d'un indicateur économique prospectif. Si FedEx annonce un affaiblissement des volumes d'expédition dans le monde, une réduction des coûts, cela semble présager une réduction de l'activité mondiale. L'annonce de FedEx a contribué à l'aggravation des marchés aujourd'hui. Bien sûr, les banques centrales ne commentent pas des entreprises individuelles, des actions individuelles. J'ai essayé dans le passé de faire en sorte que la banque du Canada répondait à des questions sur les entreprises, mais FedEx et comme vous l'avez de repère pour l'économie mondiale. Toute idée d'augmenter les taux, c'est de maîtriser l'inflation, mais il faut aussi atténuer la croissance économique. À un moment donné, on commence à se demander quel effet jusqu'ici ces augmentations exceptionnellement importantes ont elles eu sur l'économie mondiale. nous avons beaucoup de ruses statistiques cette semaine quant à l'évolution de l'économie américaine. Le taux de chômage diminue pour la cinquième semaine de suite. Les prix à l'importation baissée moins que prévu. Les ventes au détail aux États-Unis sont supérieures aux attentes. S'agissant des autos, les ventes étaient en fait en baisse. Ce matin encore une fois, l'indice d'optimisme des consommateurs de l'université du Michigan est assez inférieur aux attentes est supérieur au chiffre du mois de septembre. Rien de tout cela ne va atténuer les craintes à l'égard de l'inflation. L'inflation a toujours beaucoup de possibilités de hausse. La Fed se rencontre la semaine prochaine nous pouvons envisager une autre os important. Le scénario de base semble être de 75 points de base. Certains pensent même 100 points de base. En même temps, pour beaucoup de participants du marché, et beaucoup de commentateurs l'ont déjà dit, on se demandera à quel point les commentaires seront sévères. Il y aura une augmentation, 75 points de base au moins, mais à quel point cette série va-t-elle se prolonger? C'est à Jackson Hole que le message cela a été lancé. Lorsqu'on considère le fait que le rendement des obligations qui ont augmenté parce que la Fed a entamé cette série de hausse afin d'atténuer l'inflation, le roman du bon du trésor sur 10 ans à achever 2021 1/2 %. Cette année, il a atteint un record. Le bon du trésor sur deux ans, c'est la partie sensible de la courbe des responsabilités 2007. Le rendement des obligations indique le virage de la Fed à une position plus sévère se produit bel et bien. Il se pourrait qu'il y a une augmentation de 75 points de base. C'est ce que les marchés supposent. Certains envisagent même 100 points de base. Il faudra attendre la semaine prochaine. Beaucoup de changement dans une période assez courte. Merci Anthony Okolie. À présent, une mise à jour sur les marchés. FedEx, géant de la livraison de colis, annonce des perspectives assez difficiles pour son activité pour l'économie mondiale. Beaucoup d'investisseurs considèrent FedEx comme repère de l'économie mondiale et l'entreprise sabre dans les coûts face à la faiblesse des volumes d'expédition dans le monde. FedEx affirme que son activité subit des pressions du fait de l'affaiblissement de la situation macro-économique. Nombre de mises en chantier de nouveaux logements Canada a diminué en août. Le nouveau chef de la société canadienne d'hypothèques et de logement montre une baisse de 3 % ajustés pour l'assaisonnement les mises en chantier d'un mois sur l'autre. La baisse était surtout sensible dans les immeubles multi familiaux dans les grandes villes. Cette faiblesse a compensé une légère augmentation de l'idée mise en chantier des maisons unifamiliales. Air Canada annonce qu'elle achètera 30 avions électriques de la compagnie Heart Aerospace de suite. Les avions devraient entrer en service en 2028. Air Canada n'a pas annoncé le prix de la transaction. L'indice composite TSX au Canada, une séance à la baisse face à l'appréhension engendrée par la séance de la Fed la semaine prochaine. 222; en baisse de plus de 1 %. L'indice S&P 500 est essentiellement dans la même situation, en baisse de plus de 40 %. Pour cet instantané de l'économie américaine. En dépit des inquiétudes à l'égard du ralentissement de la croissance, y compris ici au Canada, la lutte contre l'inflation demande la priorité de la banque centrale. Nous nous sommes entretenus avec Andrew Kelvin, qui déclare que l'inflation montre peu de signe d'affaiblissement et que les taux pourraient augmenter encore plus que prévu. La banque du Canada, à sa dernière réunion, à donner des prévisions très ouvertes mais très énergiques. Ce qui me laisse croire que la banque du Canada n'a pas nécessairement une idée précise de la tournure finale de ce sec, ou si elle en a une, elle ne veut pas la partager parce qu'elle gardait toutes options verts. En quelque sorte, s'il vous dit qu'il n'est pas certain qu'elle s'était sur le point de lâcher, simple et claire d'un point final beaucoup plus élevé. Nous avions envisagé que la banque termine son cycle de resserrement à un demi pour cent et nous sommes maintenant à 4 % est plus probable. Sans doute. Je pense que de façon réaliste on peut envisager un taux de 3a4 et demis ou quatre 75 comme point final plausible pour la banque du Canada, dès que tout taux supérieur à 4 % sera agressif compte tenu de la situation de l'économie canadienne. Parlant de la situation de l'économie canadienne, car évidemment, avec la hausse (...) au de revoir certaines personnes se retirer à cause des coûts d'emprunt aussi élevé, peut-être une incidence sur l'économie. Qu'est-ce que cela nous dit sur l'inflation et la station d'économie? - L'inflation reste la priorité absolue comme la banque du Canada. Le travail de la banque du Canada consiste à faire baisser l'inflation et elle a sous-estimé la force de l'inflation depuis plusieurs années. Elle a sous-estimé la force de l'économie après la pandémie. Au début de l'année, la banque craignait que les vagues persistantes de COVID entraînent le premier trimestre plus lent. nous avons des problèmes de chaîne d'approvisionnement pendant plus longtemps que prévu. La banque du Canada s'attende à ce que ces problèmes se résolvent de même. Ces décisions étaient très difficiles à prendre sur le moment, mais le fait est que l'inflation est élevée depuis un certain temps. Elle commence à se répercuter sur les attende inflation long terme. Cette contrainte. La plupart des gens, quand on leur parle dans la rue, on les flatte l'impression qu'elle inflation est très élevée. Si les gens croient que l'inflation restera élevée pendant longtemps, cent le travail de la banque du Canada beaucoup plus difficile. Ce passe territoire plus restrictif rapidement. En deux réunions, ce qui est extraordinairement rare pour une banque centrale. Il est peu probable qu'elle aille un peu plus loin dans ce siècle juste pour s'assurer que le travail est fait, pour vraiment s'assurer d'être capable de ramener l'inflation l'objectif malgré trois mois de perte d'emploi. L'économie montre des signes de ralentissement. Normalement, la banque du Canada doit constater ces signes de ralentissement, faire une pause. Dans ce cycle plus normal, je pourrais examiner les cycles de croissance, regardez l'emploi, de bosser le sommet. Comme la banque du Canada étend en début d'année à la fin de l'année dernière, commettant aller un peu plus loin pour maîtriser l'inflation. Les taux, combien doit-il augmenter? Vous avez une illustration, graphique je crois. Qu'est-ce samedi? Voulez-vous le commenter? - Je crois qu'il y a: considérer(... ) 48 points de base. Le marché a pleinement pris en compte une variation de cinq ans. En septembre là où je diffère un petit peu, c'est un outil rhétorique, je pense que maintenant que les taux d'intérêt sont assez élevés par rapport à ce qu'ils ont été depuis 15 ans, comme l'économie ne ressemble pas à ce qu'elle était en 2004 ou 2005, l'économie, un levier beaucoup plus important, sera plus sensible hausse de taux d'intérêt. Je crois qu'il serait avisé que la banque du Canada se rapproche un peu plus prudemment susceptible de 4 % en cas de conséquences imprévues des hausses de taux. Pour qu'elle n'est pas à serrer la vis dans une maison qui ne souhaiterait pas. L'autre point que je voudrais soulever, parce que plus loin en taïga des prévisions de baisse. Le fait que la banque procède à un tel resserrement pour maîtriser les attentes en matière d'inflation, si elle y parvient, ce qui selon moi devrait être le cas, et si nous allons jusqu'au troisième trimestre de l'année prochaine, elle envisage peut-être une économie où le taux de chômage a augmenté:, peut-être plus,, l'inflation diminue. Nous pensons que l'inflation a atteint un sommet. Les attentes en matière d'inflation sont bien ancrées. Est-ce que on pourrait se demander s'il est vraiment nécessaire d'atteindre 4 %, ce qui représente un taux de directeur restrictif. La banque du Canada aura la possibilité de commencer à lever une partie de resserrement mis en place. Ce ne sera pas symétrique, selon nous, il n'y aura pas de réduction de 100 ou 75 points de base par réunion, mais nous pourrions avoir un assouplissement graduel au deuxième semestre de l'année prochaine, ce qui nous amènerait quelque chose de plus normal d'ici la fin 2024. Bien sûr, la banque du Canada n'agit pas isolément. Les banques centrales du monde entier, à l'exception de la Chine, sont sur la même voix. À quel moment le Canada pourrait-il s'écarter des États-Unis? La dynamique est-elle assez différente pour que la Fed continue mais la banque du Canada réalise comme tel aussi loin que possible dans notre conjoncture économique? Je pense à la dette. - C'est très juste. Isolément, si vous mettez la réserve fédérale face aux mêmes défis que la banque du Canada, il y a plus de possibilités de resserrement pour la Fed ça nous ramène à l'endettement des ménages. Depuis la crise financière, les ménages canadiens ont continué à s'endetter et s'endetter. Après la crise de 2009, les ménages américains ont entamé un long désendettement. Par conséquent, (...) que celui des ménages américains. Chaque hausse de taux au Canada et plus efficace aux États-Unis, dans cette optique je pense que la sienne pourrait resserrer davantage sitôt que la banque du Canada. Nous pensons que la fête pourrait aller jusqu'à 4 %, comme limite supérieure, tandis que nous pensons que la banque Canada s'arrêtera 4 %. Ceci dit, elle ne peut pas trop s'éloigner de la Fed. (...) Si la banque Canada prenait trop de retard sur la Fed au cours du cycle que cela aurait des conséquences sur la monnaie. La monnaie se dépréciait et, ça aurait des répercussions inflationnistes à court terme. La banque du Canada ne souhaite pas particulièrement. Ce n'est donc pas sa principale priorité. Mais ça a un impact à la marge. Étant donné que le Canada États-Unis subisse le même choc, si la Fed prend prudemment sur la banque du Canada, on se demandera si la banque Canada prend les choses au sérieux, ce qui nous ramène à la question de la crédibilité. La banque Canada ne peut pas décevoir les marchés. Elle n'est pas en mesure de susciter des questions sur son engagement. Les banques centrales, dont la nôtre, n'essaie pas de rompre quelque chose. C'est ce qu'on entend. Elles vont continuer à resserrer la politique jusqu'à ce que quelque chose casse. Évitez ça, c'est le but maintenant. On ne peut pas régler le problème de chaîne d'approvisionnement avec des hausses de taux, mais on peut réduire la demande. - L'idée est de ralentir la croissance. C'est délicat pour une banque centrale de dire: ce que nous aimerions faire, c'est augmenté le taux de chômage. Sur le plan politique, ce n'est pas une chose que le décideur peut faire. Mais c'est ainsi que le resserrement de la politique monétaire fonctionne un certain niveau. Ce qu'elle banque centrale aimerait faire, c'est organisé un atterrissage en douceur. Il n'y a pas de définition technique, on pourrait débattre de la journée, ce n'est pas un débat très utile, mais c'est la voie médiane dans laquelle les banques aiment de s'engager. Le problème, c'est que puisqu'ils ont pris du retard, au début l'année, et qu'elles essaient de le compenser en augmentant à coups de 75 et 100 points de base, cela fait courir un risque de dépassement plus grand parce qu'il y a un décalage dans la politique monétaire. Les taux n'augmentent pas un jour et l'inflation best-seller mais, il faut un an ou un ONU pour que les effets se fassent sentir. (...) Les banques sont prêtes(.. .) ça devient beaucoup plus difficile à réaliser quand il faut procéder à des hausses tout aussi rapide. C'est pourquoi je répète à mon avis, la chose la plus prudente afin de procéder à un resserrement plus ralenti. - Vous venez d'entendre Andrew Kelvin, valeurs mobilières TD. À présent, poursuivons la découverte de CourtierWeb. Un outil utile dans les placements, c'est la moyenne mobile d'une action. Comment la suivre sur CourtierWeb? Quelques moyenne mobile et comment peut-on l'utiliser? - Merci. Beaucoup d'investisseurs ont entendu dire que la tendance est votre ami. Autrement dit, les titres qui montent aux candidats montés et les titres qui Besson continue à baisser. C'est-à-dire qu'il faut songer non pas à contre-courant, mais avec le courant. Les moyens mobiles peuvent être utiles pour identifier les titres qui montent, qui pèsent ou qui fait du surplace. Voici comment on peut rajouter une moyenne mobile sur un graphique. Voici un graphique sur CourtierWeb. Pour ajouter moyenne mobile, nous allons sélectionner le menu déroulant des indicateurs supérieurs. Il y a plusieurs différentes mobile moyennes mobile. On va se concentrer sur la moyenne mobile simple? La sélectionne. La moyenne est ajoutée sur le graphique. Cette ligne à nous aider à identifier dans quelle direction le titre évolue. Cela nous aide à identifier certains signaux supplémentaires. Est-ce que le titre augmente et descend au-delà et en deçà de la moyenne mobile? Cela peut aider à identifier des signaux de vente et d'achat pour le titre en particulier. En un mot, le résultat que donne ce graphique, il s'agit d'une moyenne mobile sur 15 périodes, c'est-à-dire comprend les prix de clôture des 15 dernières séances et on a fait la moyenne. Pour que vous puissiez discerner la tendance du titre. Puisqu'il s'agit d'une moyenne mobile, au fur et à mesure qu'on avance jour, il y a un chiffre quotidien qui est éliminé à la fin et un chiffres nouveaux est ajoutée. Un outil utile dans ce graphique pour nous aider méthodes moyennes, c'est la possibilité d'y accéder, d'y apporter des changements en fonction du nom de l'étude dans la partie supérieure droite. Cela vous donne résumer de ce que l'intéressé veut vous montrer. Cela nous permet de modifier la période de la moyenne mobile. Je vais indiquer,, je vais donc modifier la période je vais acheter de multiples moyens afin de déterminer quelles sont les tendances à court, moyen et à long terme. On va mettre 20,50 et 200 périodes respectivement. Vous voyez que nous avons maintenant trois moyenne. La couleur de chaque moyenne correspond à la légende dans le coin supérieur droit. Nous avons des informations pour identifier quelle est la tendance du titre sur une période prolongée. C'est un outil très utile une fois que vous apprenez à le manier. Il peut jouer un rôle clé dans votre stratégie de placement. Une fois que vous commencez à vous pencher sur l'analyse technique, la moyenne mobile est un outil très utile. Une fois que vous affichez des lignes à l'écran, les courbes à l'écran, vous devez déterminer dans quelle mesure il s'agit de signaux. Tout à fait, il s'agit pas seulement de courbes. Quelle en est la signification? CourtierWeb possède bon nombre d'outils d'informations très utiles pour vous aider à situer ces données et à les intégrer dans votre plan de négociation. Voici deux outils très utiles. Tout d'abord, près du haut de l'écran, il y a un onglet technique. Si on clique sur l'onglet technique, cette zone du site Web est tout à fait unique. On procède à une veille au niveau des événements techniques pour voir s'il serait utile pour vos négociations, vos opérations. Au niveau de la formation, je voudrais cliquer sur ce petit mortier en haut à droite. Il y a un sous-ensemble de différents événements. La moyenne mobile se trouve sous indicateur et on peut voir qu'il nous donne des indicateurs relatifs à différents éléments du point de vue de la moyenne mobile. Lorsqu'il s'agit des moyens mobiles des prix croisés, vous avez une description de l'événement, un graphique et les considérations utiles que vous utilisez dans vos propres opérations. Je vous recommande de visiter cette partie de site Web. Un dernier endroit que je veux vous montrer, c'est notre centre d'apprentissage. Si vous cliquez sur apprendre, parvenu au centre d'apprentissage sous la rubrique court vidéo, voyons quelles sont les cours disponibles. Nous avons beaucoup d'informations excellentes que tous les investisseurs sur CourtierWeb peuvent consulter. Cette série en cinq parties sur les bases de l'analyse technique regorge d'informations. C'est disponible sur demande. Vous pouvez assister à l'émission lorsque vous avez le temps d'approfondir et d'absorber le contenu. C'est un secteur de site Web que je recommande à tout le monde visiter. - Spécialiste de la formation Placements directs TD. Ne manquez pas de visiter le centre d'apprentissage CourtierWeb où vous trouverez encore plus de ressources. Eh bien, ce sera vraiment une indication de ce que la Fed fera ensuite, si on ne parle que du marché américain. N'importe quelle banque centrale reportée une attention particulière marché de l'emploi. Pour les banques centrales et la Fed notamment, pour qu'elle cesse de relever les taux d'intérêt, doivent tenir compte de l'état de l'inflation. Trois ou quatre mois, le niveau sera important aussi. Tant qu'on commence avoir cette tendance à la décélération, on pourrait profiter d'une pause un moment donné, peut-être plus tard cette année, peut-être au début de l'an prochain. Quant aux attentes actuelles du marché obligataire, contenu du resserrement du marché du travail, par resserrement je veux dire il n'y a rien de très flexible. Le taux de chômage très faible, la croissance des salaires commence vraiment à prendre de la vitesse, et au cours des trois ou quatre derniers mois, la croissance des salaires a été en moyenne supérieure à 5 %. Donc on commence avoir ce genre de dynamique dans le marché du travail. Qui inquiète les marchés obligataires quant à la quantité potentielle nouvelle positive. Quand on pense aux raisons pour lesquelles le marché obligataire a pris son compte deux à trois réductions de taux à compter du deuxième semestre l'année prochaine, cela a trait à l'emploi. On s'attend à ce que l'utilisation, la meilleure utilisation se situe à ce niveau-là. C'est intéressant parce que c'est le croisement de ce qu'elle tente de réaliser en termes de réduction de l'inflation en comprimant la demande. Les salaires suscitent plus d'inquiétude, mais on essaie de répéter que ça va faire mal. Il faut qu'on endure des difficultés. Le marché obligataire du qu'un moment donné les difficultés vont l'amener non pas s'effondrer, mais la banque va se rendre compte que le travail est fait. On ne sait pas qui niveau ce sera. D'après ce que la Fed a déclaré sa réunion de juin, elle nous a dit des indications quant à ses prisons économiques, mais on n'en sera propice avant sa prochaine réunion. Au mois de juin, la Fed a dit qu'elle croyait que le taux de chômage augmenterait d'environ 1,1 %. On passe donc une légère hausse du chômage nous aider à réduire l'inflation. En fait, il y a eu plusieurs économistes ou anciens décideurs, comme l'ancien économiste (... ) qui affirme qu'il pourrait y avoir des signes de changement structurel sur le marché du travail qui pourrait indiquer que pour réduire l'inflation, il faut augmenter le chômage beaucoup plus que ce que l'on dit actuellement. On connaît les perspectives de cet atterrissage en douceur, c'est-à-dire un ralentissement économique aussi important de chômage, sont assez faibles. Depuis le discours de Powell, on ne parle pas vraiment d'atterrissage en douceur. Je pense donc que la Fed est scindée télégraphique une récession improbable. S'il n'y a pas d'atterrissage en douceur, ça ne semble pas possible compte tenu de la politique en vigueur. À quoi ressemble un atterrissage brutal? Qu'est-ce que ça signifie pour les titres à revenu fixe? - c'est la grande question. On ne sait pas encore quel genre de récession pourrait survenir. C'est ce qu'on appelle le pour et le compte pour le scénario d'atterrissage en douceur, brutal, ou un scénario normal de récession. D'une part, l'inflation, si on se fie aux nouveaux actualisons de huit à 9 %, indiquait que si on veut vraiment lutter contre l'inflation, il faudrait relever les taux d'intérêt ce niveau-là. Les banques centrales, la banque du Canada ne laisse entendre qu'elles vont le faire. Elle croyait que leur fourchette neutre se (...) si le taux d'intérêt important trois ou 4 %, qu'elle croyait que c'était suffisamment restrictif(...) en revanche les taux vont demeurer neutres. Ça devrait être relativement simple à gérer pour l'économie. Et vaillamment le ralentissement, mais ne sera pas très important. En revanche, si ces personnalités éminentes qui disent que le chauffage chômage doit augmenter l'emporte, et qu'elle a fait augmenter taux de plus de 4 %, il est très possible que la ralentissement économique soit plus important est beaucoup plus long qu'une récession normale. Ça me fait penser à la dynamique qui alimente ladite l'inflation ce moment. Certaines préoccupations ont été soulevées, (.. .) les prix de l'énergie ont chuté, ça commence à se faire sentir sur le secteur des services. Une fois les salaires augmentés. Ça va être assez difficile pour le patron de revenir et de dire l'inflation ne semble plus être un problème, on va récupérer cet argent là. Merci beaucoup mais je vais conserver mon augmentation. C'est probablement ce qui rend la situation si difficile. Les banques centrales ont été en retard jusqu'à maintenant. l'objectif, c'est là où se situent les tiraillements. Les banques centrales disent on va augmenter les taux d'intérêt jusqu'à tel niveau, et les y maintenir, et les marchés obligataires disent non parce que quand on considère l'augmentation des coûts pour les entreprises, au niveau des salaires, des produits de base, ce sont des intrants pour les sociétés, la demande globale de l'économie fâche encore plus. Il y aura en quelque sorte un bras de fer entre les décideurs et les marchés. En ce qui concerne les répercussions sur les titres à revenu fixe, les placements, ça signifie une volatilité accrue mais ça signifie également que même s'il a une hausse des taux d'intérêt, les écarts de taux des obligations de sociétés se sont élargis depuis début de l'année. Ça ne signifie pas nécessairement que c'est terminé. En fait, s'il y a une récession pour les obligations de sociétés en particulier, on sait qu'au début d'une récession, peut-être même avant qu'elle ne commence, les entreprises, surtout avec de bonnes équipes de directions, peuvent gérer ses coûts accrus, que ce soit salaire ou autre. Mais si la récession est plus profonde, plus longue que prévue, il y a une limite à la gestion des coûts. Les écarts des obligations de sociétés finissent par s'élargir au fur et à mesure que leurs paramètres détériorent. Ce qui exacerbe le ralentissement économique. Il y a tellement d'inconnus quant à l'impact est un élément importante tournera autour de la manière dont la dynamique du marché du travail va acter affecter le type d'inflation, de récession convoqua. Parle de tiraillements, bras de fer entre les décideurs et les marchés obligataires. Et signifie ce produit? Il est arrivé que le marché décide: on aime pas du tout ce que vous faites, jusqu'à présent, on ne semble pas être sur le point de déclencher une crise. Dans une certaine mesure, c'est facile de voir parce qu'on examine les taux nominaux. Les taux nominaux peuvent être des composants taux réels et en toute attente d'inflation du marché. Si on considère l'ensemble de la situation,(.. .) ce qui le plus important, c'est le changement des taux réels. Vous avez dit questions par des taux réalisés, si on prend le taux directeur et consultait l'inflation, le résultat est encore négatif. Mais si le marché s'attend à ce que l'inflation se renverse relativement rapidement au cours des 12 derniers mois, si cette inflation diminue quel taux directeur demeure plus élever, on se retrouve avec des taux réels positifs et ça préfère très mal à l'économie parce qu'en fait, après avoir ajusté au coût de la vie, vous êtes obligés de payer assez substantiellement pour emprunter de l'argent et notre économie fonctionne sur le crédit. - Vous venez dans ton Alex Gorewicz, Gestion d'actifs TD. Un coup d'œil sur les marchés à mi-chemin de la pause du midi. La semaine finit pas sur une tonalité très positive. Indice TSX composite est en baisse de 262; 1/3 %. FedEx a vraiment fait frissonner les marchés, car FedEx non seulement est une entreprise importante, mais joue le rôle de repères pour l'économie mondiale. Les augmentations de taux très sévère, craint-on, vont déclencher une récession et FedEx semblent confirmer ses craintes. FedEx est en baisse, mais cargo jet subit également cette pression à la baisse. Une baisse de plus de 9 %. Il y a eu un investissement supplémentaire dans l'or aujourd'hui. pendant toute la séance, il était en territoire positif mais il est essentiellement au seuil de rentabilité. Les CP cinq cent instantanées des marchés américains classables à 1,6 %. Jetons un coup d'œil sur l'indice Nasdaq. Voici FedEx, 159 62 l'action. L'action a dévissé de 45,25 $, en baisse de plus de 22 %. Les annonces de coupure d'emploi n'y ont rien fait. Les investisseurs constatent que l'ensemble de l'activité de l'entreprise est compromise. La hausse des taux d'intérêt est le principal outil que les banques centrales utilisent pour juguler l'inflation. Avec des conséquences sur les marchés du logement. Avec de nouvelles augmentations de taux, il se pourrait qu'il y ait encore des dégâts. Je me suis entretenu au sujet du marché immobilier canadien et américain avec Colin Lynch, chef des placements mondiaux immobilières Gestion d'actifs TD. Si on prend du recul et qu'on se demande quelle est la raison de ces hausses de taux, on s'aperçoit qu'en fin de compte, elles sont notifiées par la forte inflation, laquelle s'explique par deux facteurs. D'abord, l'offre. L'offre reste restreindre beaucoup de secteurs, y compris ceux qui ont un impact sur l'immobilier, qu'il s'agisse de la main-d'œuvre, des matériaux, on a des contraintes. Une demande importante, une partie de cette demande résulte à certains égards de la faiblesse des taux d'intérêt et il y a eu davantage de consommation, davantage de dépenses des ménages, et cela se répercute sur l'économie et contribuant parcelle inflation élevée. Voilà pour la dynamique. Cette dynamique des taux d'intérêt à 0 % ou presque n'est vraiment pas saine à long terme. D'où ce remède nécessaire. Il importe de revenir un contexte plus normal où les banques centrales disposent d'outils comme les taux d'intérêt, qu'elles peuvent utiliser pour réagir à l'environnement inflationniste. Qu'est-ce que cela signifie pour le marché du logement, pour les secteurs de l'habitation, appartement, copropriété ou autre? Ces dernières années, les prix des logements fortement augmentés. C'est en partie attribuable à l'idée que les taux d'intérêt resteraient à 0 % à très long terme. Maintenant que les taux d'intérêt reviennent à la normale, certains prix doivent subir un réajustement. Refléter la hausse des coudonc; des prix de construction. Il faut un ajustement pour refléter ce retour à la normale. Par conséquent, on observe ce phénomène en toutes catégories d'actifs, qu'il s'agisse d'actions cotées, titres à revenu fixe. Dans certains aspects du secteur immobilier, il faut qu'un ajustement s'opère pour tenir compte du retour à un contexte plus normal à long terme. Où les taux d'intérêt sont plus élevés. Je sais qu'à valeur mobilière TD, tout le monde parle de recul de l'immobilier. On l'a constaté, les prix ont baissé, est-ce qu'il s'agit de remettre pour marcher à leurs paramètres fondamentaux? Que dire de l'avenir? À quoi ça tend? - Le temps de l'argent facile et révolu. Il faut regarder les deux côtés de la médaille. Au Canada, comparativement à d'autres pays, l'immigration forte et elle constitue un rempart pour toute l'industrie du logement. Le logement, immobilier sont en définitive au service de la société de la croissance et cela crée énormément de demandes. Ceci propose un certain plancher pour le marché de l'immobilier. En considérant le Canada, nous avons un secteur de l'immobilier beaucoup plus important en proportion du PIB par rapport à d'autres pays comme les États-Unis. C'est le revers de la médaille. Quand on considère l'économie dans son ensemble, il faut bien en avoir conscience. Qu'est-ce que ça signifie? Je dirais que potentiellement les hausses de taux d'intérêt risquent d'avoir plus d'impact au Canada qu'aux États-Unis parce que l'immobilier est un secteur vaste au pays. La construction représente une part plus importante de notre économie ici au Canada. De l'autre côté, à très long terme, notre population va continuer d'augmenter. Surtout dans des grands centres comme Toronto et Vancouver. Qui sont des éléments pour l'immigration mondiale. Si on tient compte des universités, des étudiants étrangers qui arrivent et qui peuvent rester, il y a une possibilité de croissance importante dans ces villes. En fin de compte, cela se reflétera dans les copropriétés, les autres logements destinés à ces nouveaux immigrants et à la population actuelle de ces villes. Donc oui, il y a deux côtés de la médaille. À court terme, une certaine volatilité, à long terme, si l'ajustement ne se produit pas aujourd'hui là arrivera dans l'avenir. Si c'est dans l'avenir, il est plus probable que l'ajustement sera plus difficile qu'il ne l'est aujourd'hui. Donc autant prendre votre médicament et participer à l'ajustement, compte tenu du fait qu'elle a tendance à long terme est très positive avec immigration. Mais quel effet sur l'état d'esprit des immeubles des investisseurs? Quand vous dîtes l'argent facile et fini, je pense que tout investisseur immobilier sérieux adopte plutôt une vision à long terme. Argent facile c'est fini, mais je dois me projeta 5,10, 15,20 ans. - Tout à fait. La perspective fondamentale en matière de placement. On peut adopte une perspective à long terme court terme. On a toujours choisi une perspective à long terme. En s'appuyant sur deux facteurs fondamentaux: la croissance économique économique et démographique à long terme. L'autre facteur extrêmement important aussi dans le secteur immobilier, . Dans ce secteur, certains participants y ont énormément recours. c'est important de tenir compte du type de levier, taux fixe, taux variable. Quelle est la durée? Toutes ces décisions prennent une importance critique dans le contexte actuel. Il est essentiel de se pencher sur ces questions. Si vous avez un rapport prix valeur prudent et un levier fixé il y a deux ans, c'est bien plus rentable aujourd'hui où vous allez tenter d'atteindre au rapport prix valeur très élevé et peut-être tenter d'obtenir un taux fixe. Ce sont des situations très différentes. Le levier est donc très important. Quand on se penche sur les acteurs du secteur, leurs occasions de créer de la valeur, la question du levier est très important. Combien de levier? Quel type d'effet? Qui prête l'argent? Quelle est la qualité du promoteur, propriétaire, du parti pendant le secteur des appartements? Quelle est la qualité de l'entreprise en matière de crédit? Tout cela prend une importance considérable. C'est un vecteur de valeur. À court terme, faut-il s'inquiéter du levier pour ceux qui ont décidé de ne pas bloquer leurs coûts d'emprunt sur une période fixe? Qui ont préféré garder un taux variable? Il y a six ou sept mois, c'était une option séduisant. C'est toute l'importance de bien faire ces calculs. Quand on investit à long terme, il est vraiment critique d'apporter cette analyse quantitative et de procéder à des contrôles de scénarios pour différents types d'environnement de taux d'intérêt. Si ce n'est déjà fait, ou que vous avez posé une hypothèse selon laquelle les taux ressembleraient ce qu'ils étaient il y a sept mois, perpétuellement, vous aurez peut-être des ennuis. Pour les participants de secteurs qui ont fait ce travail, qui ont analysé des scénarios, qui ont étudié leur effet de levier, qui ont été un peu plus prudent, il y a peut-être une opportunité à saisir. L'opportunité d'acquérir des actifs incroyablement bien situés qui ne seraient pas disponibles autrement à la vente, sachant qu'ils seront rentables à très long terme. C'est peut-être une excellente occasion d'acquérir ces actifs aujourd'hui parce que certains participants pourraient bien, font de meilleur terme, se retrouver piégé par l'évolution des taux d'intérêt. - Vous venez d'entendre Colin Lynch, Gestion d'actifs TD. Reste à l'écoute. Lundi, répondre à vos questions sur l'énergie. Vous qui nous question d'ores et déjà, par courriel, MoneyTalkLive@TD.com. Merci et bonne fin de semaine!