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(musique) – Bonjour, ici Greg Bonnell, bienvenue apparemment argent en direct, une émission quotidienne de placement direct aidait. Chaque jour, nos invités commentent l'actualité des marchés et répondre à vos questions sur les placements. Dans l'émission d'aujourd'hui, tandis que des films de technologie comme Netflix et Facebook ont été les grands gagnants pendant la pandémie, les actions plus traditionnelles sont désormais en vogue. Monica Yeung, analyste chez gestion TD, commente cette tendance. Pendant la séquence de formation, elle va nous montrer comment utiliser la plate-forme pour trouver des renseignements. Pour communiquer avec nous, envoyez un courriel ou saisissez votre question dans la case sous l'écran mais d'abord, un coup d'œil sur les marchés. Du verre à l'écran de partis et d'autre de la frontière en ce dernier jour de bourse de la semaine. Le TSX est en hausse confortablement de 318. . (. ..) est une des actions les plus négociés. Bâche à nommer le milliardaire, (...) elle affirme que la compagnie va prendre des mesures décisives pour débloquer la valeur des actionnaires. D'où la progression de l'action de bâche qui a progressé de 11 $ l'action, soit sept. 5 %. Aux États-Unis, l'indice SP500 en hausse de 89. , Plus de 2 %. Les marchés commencent à repenser à la dynamique de la hausse des taux par la et les autres banques centrales, car l'économie semble reculer dans certains domaines et la Fed pourrait ne pas avoir à pratiquer des augmentations aussi agressives. C'est du moins ce qui semble se produire sur les marchés obligataires. L'indic Nasdaq 100, axée sur la technologie, en hausse de 2,3 %. – Intéressant, index a été repris par un groupe de firmes de capitaux privés dans une transaction valant 10,2 milliards de dollars. Actualité des marchés. Les grands noms de la technologie, Netflix, Facebook et bien d'autres étaient bien avant pendant la pandémie. Cette année, ils sont sur le recul. Les entreprises de télécommunications historiques sont de nouveaux en vogue. Voici Monica Yeung, analyste chez TD. Monica, c'est une tendance intéressante. Passé en revue le retour en vogue des opérateurs historiques de télécommunications. – L'année 2022 a été très intéressante. Prenons du recul et comprenant le secteur des télécommunications que je couvre comme analyste. Il s'agit d'une corbeille de titres très intéressants. D'une part, il y a les entreprises traditionnelles parvenues à maturité comme des compagnies de médias, de télécommunications, de téléphone ce sont des entreprises dont la croissance se situe à moins de 10 %. Parfois est nulle, voire ce sont des entreprises sur le déclin. En revanche, il y a des compagnies en pleine croissance. Les grands noms d'Internet Facebook et Google il s'agit vraiment d'une inversion de la situation. Depuis 10 ans, cette seconde corbeille d'action vous aura permis de réaliser des importants bénéfices par un indice. Or, cette tendance s'est enrayée en 2022. Netflix est en baisse de 17 %, Facebook en perte de 50 %. Inversement, il y a ces belles endormies, les compagnies de télécommunications ennuyeuses auxquels on ne pensait plus, comme AT&T aux États-Unis, Tellus, (. ..), au Canada, ce sont des titres gagnants cette année, qui sont même légèrement en hausse dans un marché baissier. Il importe de comprendre certains des facteurs qui expliquent que certaines actions sont en baisse de 70 % et d'autres inchangés ou même roses. Il y a deux raisons qui ressortent. D'abord, la plus évidente, c'est que les gens choisissent de passer leur temps différemment après la COVID. En mars 2020, nous avons tous été confinés à la maison. Nous ne pouvions aller nulle part. Conséquence: une énorme poussée de demande de services en ligne. Beaucoup de gens ont ouvert de nouveaux comptes Netflix, on passait davantage de temps sur les avis de médias sociaux, Facebook, TikTok, Instagram deux ans plus tard, nous revenons de cet univers numérique dans la vraie vie. Les gens veulent vivre des expériences, aller au cinéma, dîner avec des amis, voyager et cela aux dépens des titres qui achèvent une tendance de croissance de longue date. Les gens passent plus de temps sur Netflix, sur Instagram. C'est cela qui a déclenché un affaiblissement de ses actions. Un autre facteur qui explique ce retournement, c'est la conjoncture macro-économique qui a changé plus rapidement qu'on ne le pensait. Avec deux conséquences. D'abord, la valorisation des titres de croissance ont baissé. Mais en revanche, les gens cherchent des titres défensifs face à la crainte d'une récession. Les titres de télécommunications, les belles endormies. Ils offrent optionnellement, grâce à la résilience, leur rentabilité, leur chiffre d'affaires stables, offre une perspective de défense. Crainte de récession, qui plane sur le marché. Ce qui est favorable aux opérateurs historiques. Parlons de certains de ces titres, comme Facebook, Google, qui dépendent de la publicité. Que se passera-t-il si il advenait une récession? – Ce sont des titres de technologie mais qui dépendent de la publicité. Qu'il s'agisse de publicité en ligne ou traditionnelle à l'écran, la publicité est très sensible à la conjoncture. Dans une situation où le PIB est en baisse de 2 %, le gâteau total de publicité est réduit de beaucoup plus que cela. Historiquement, Google, avant la récession, connaissaient une croissance de 40 % par an. À présent, sa croissance est diminuée à 5 %. Soit une chute de 35 % aujourd'hui, Google affiche une croissance entre 10 et 15 pour cent. En cas de récession, cette récession (...) pourrait devenir négative. Ces entreprises ne sont donc pas immunisées contre la récession. Parlons des compagnons (... ) que pensez-vous de ce secteur? Vous avez un graphique, je crois. – Nous avons évoqué tout à l'heure la recherche de titres défensifs. Les données fondamentales sont généralement positives. Les compagnies de télécommunications canadiennes sont pertinentes dans le cadre de la relance de l'économie. Les gens recommencent à voyager, d'où une augmentation des revenus d'itinérance. Les frontières ouvrent, l'immigration reprend Canada. Ces favorables pour la croissance démographique. Et l'environnement compétitif est très favorable. Dans le passé, il y a eu des périodes de promotion très agressive dans lesquels Rogers et Tellus s'affrontaient dans des luttes fratricides. Ce sont des titres défensifs. La conjoncture est favorable. Il y a la valorisation justement, parlez-nous des valorisations de société canadienne de télécommunications. – Voici la moyenne du rapport coût bénéfice depuis une dizaine d'années. Nous sommes à un écart type au-delà du sommet de la fourchette. Cela nous incite à la prudence. En revanche, ce sont des titres brésiliens en cas de récession. – Excellent début d'émission. Envoyez-nous vos questions à l'intention de Monique. Il vous suffit d'envoyer un courriel ou de saisir votre question dans la case située sous votre propre mise à jour sur les actualités du marché. Les ventes chez BlackBerry au premier trimestre sont meilleures que prévu par les analystes. Cette compagnie de Waterloo, Ontario, affiche une bonne croissance dans ses produits pour l'automobile (.. .). Le revenu de la divinisation arrondie de 19 % et les ventes de cybersécurité ont augmenté. La compagnie à 6-1 perte ajustée de cinq cents actions. FedEx propose aux investisseurs un pronostic optimiste bénéfices malgré le ralentissement des volumes d'expédition. On prévoit réaliser des bénéfices jusqu'à 24 $ l'action cette année. Largement au-delà des attentes doit strictement FedEx (.. .). Et prévoit que les pressions continuent de s'exercer sur les volumes d'expédition, mais prévoit d'améliorer ses marges grâce à une amélioration de l'efficacité, tout en surveillant de près les façons et le prix du carburant. L'industrie des croisières bénéficie de la reprise des voyages carnivores affiche la trésorerie de son exploitation est positive au deuxième trimestre. Les revenus ont bondi de 50 %. Il s'agit du meilleur trimestre pour les réservations depuis le début de la pandémie. Mais carnivores prévoient afficher une perte nette pour l'exercice et ne prévoit pas (... ). Encore un coup d'œil sur les marchés. L'indice TSX est positif, surtout après les péripéties des quelques dernières semaines. 328. En augmentation. Ce sont des gains généralisés. En bord de 1,76 %. Aux États-Unis, l'indice SP500, il semble que les investisseurs et le marché obligataire repensa la dynamique des augmentations de taux par la Fed. Car semble-t-il, l'économie est peut-être déjà en ralentissement. Mais comme on nous l'a déjà dit dans cette émission, les conditions peuvent changer rapidement. Pour aujourd'hui, 91. À la hausse pour les 10 SP500. Commençons répondre à vos questions. Tout d'abord une question sur Facebook. L'action a dégringolé de près de 50 % à ce jour. Depuis le début de l'année. Prenons un peu de recul et comprenons ce qui s'est passé. Un certain nombre de facteurs se sont conjugués on février 2022 lorsque Facebook a affiché des bénéfices inférieurs au pronostic et pour la première fois, une baisse des utilisateurs séquentiels. Pourquoi? Une augmentation de la concurrence. Il s'agit d'un acteur important ce qui concerne le nombre d'utilisateurs. Outre l'accroissement de la concurrence, les annonceurs en ligne comme Facebook sont moins en mesure de mesurer l'efficacité de leur plate-forme en ligne. Quel est le scénario pessimiste? Facebook fait face à une menace existentielle. Une diminution séquentielle des utilisateurs actifs peut sembler annoncée que la compagnie a capturé l'essentiel de son marché. Au niveau de la concurrence, Facebook a été pris par surprise par la tendance à TikTok et domaine de rattrapage, refaire sa plate-forme pour la troisième fois depuis une décennie. Quant au changement des critères de protection des renseignements personnels, Google ne possède pas sa plate-forme et doit donc s'adaptait aux changements qui sont apportés par les plates-formes. Voici le scénario optimiste. Quels sont les facteurs favorables Facebook? On pourrait soutenir que Facebook a déjà survécu à de nombreuses controverses passées. Il s'agit d'une de plus que la compagnie va surmonter et dont elle va émerger plus forte. La compagnie a lancé un concurrent à TikTok, qu'elle va bientôt commencer à monétiser. Quant au changement relatif à la protection des renseignements personnels, la compagnie a refondu sa plate-forme pour assurer un meilleur suivi notamment grâce à l'intelligence artificielle. Quant à la valorisation, Facebook a été (...) 11 fois lisant (... ). Il y a beaucoup de facteurs favorables à la valorisation la situation pourrait évoluer à la hausse ou à la baisse. Jusqu'ici, dans notre conversation, nous n'avons pas utilisé le nom que la compagnie a adopté, méta. Parlons donc du métavers. Comment les investisseurs doivent-ils appréhender ces opportunités de à la fin de l'an dernier, la compagnie a annoncé son changement de nom de Facebook méta pour refléter sa nouvelle concentration sur le métavers, au-delà des médias sociaux. Qu'est-ce que le métal? C'est un monde numérique dans lequel vous et moi sommes représenté par nos avatars et pouvons faire tout ce que nous faisons dans le monde physique. Mais virtuellement. Nous pouvons aller dans un restaurant virtuel, rencontrer des amis, acheter un terrain et construire une maison virtuelle, et la meubler d'articles lâchés chez nos détaillants préférés. Nous pouvons aller avec nos collègues dans des salles de conférence virtuelle. Facebook a donné l'impulsion à ce secteur en affirmant qu'elle prévoit dépasser 10 milliards de dollars chaque année pour cette initiative. En investissant dans la réalité virtuelle, (...). Est-ce qu'il s'agit d'un pari gagnant? Les marchés sont sceptiques. Je suis sceptique. Il est très difficile d'estimer le marché total parce qu'il s'agit de monétiser. Je me rabats qu'avec Facebook, quand la compagnie savait encore Facebook, tout le monde disait: est-ce que la compagnie peut monétiser (. ..). Lorsque vous avez dit que l'on peut faire des choses dans le métavers qu'on fait dans la vie réelle, j'aimerais bien pouvoir voler. Mais avoir une réunion, c'est aussi acceptable. Il ne semble pas y avoir de potentiel de croissance à très court terme. D'ici une définition de marque du Québec est un visionnaire extraordinaire. (. ..) que le marché n'avait pas prévu. Une autre question nous parvient au sujet de Google. Les titres qui comptent sur les revenus publicitaires en cas de récession. La question est la suivante: est-ce que Google est mieux positionné que les autres compagnies de publicité en ligne? Nous avons parlé de la transition de l'univers numérique à l'univers réel. Google n'est pas immunisé contre ces tendances. Mais mieux positionné que certains de ses pairs. Pourquoi, parce que c'est une compagnie de plate-forme qui possède son propre système d'exploitation, le système Android et qui doit être maître de sa destinée. Alors que Facebook est à la merci des caprices d'apport, Google peut contrôler l'évolution, le calendrier, la mise en œuvre. Il possède une technologie qui peut mieux réagir à la guerre (. .. ). À bien des égards, Google est un service public. Alors que Facebook compte sur le temps des utilisateurs, plus de temps les utilisateurs y passent, plus les annonceurs récompensés 18 (...). Google est devenu un verbe. Google n'est pas le seul moteur de recherche " les gens parlent de googlé. Voilà pourquoi cette entreprise peut-être mieux protégée contre récession et nous avons vu cela confirmé par la performance du titre. Voilà encore un titre qui s'est rebaptisé alphabet. Google à d'autres activités que des recherches en ligne. Google a beaucoup investi dans l'intelligence artificielle. Il y a également des laboratoires. Qu'est-ce qui se passe dans ce laboratoire? Il y a les voitures autonomes, mais ce n'est toujours pas l'activité principale de l'entreprise. C'est une façon intéressante d'attirer des talents, de rechercher la tendance de demain. La grande majorité de la rentabilité de Google est attribuable à la publicité. Concentrons-nous sur certaines des petits joueurs de médias sociaux. Snap, Twitter, Pinterest. Peuvent-ils rivaliser? Snapchat a réalisé une percée extraordinaire chez les jeunes. Il y a d'autres plates-formes qui occupent des créneaux. Par exemple, Pinterest. Ce qui est intéressant, sur ces petites plates-formes, c'est qu'elle se concentre davantage sur la publicité de marque. Google, Facebook ont une réaction plus directe. Vous voyez publicité, vous cliquez dessus, vous achetez un produit. Les petits joueurs ici de la publicité de marque. Par exemple, Rafael Nadal vous incite à en apprendre davantage sur une marque! J'en de publicité est très sensible à la conjoncture. En cas de réception, c'est le premier secteur dans lequel les enfants pratiquent des coupes. Snapchat, la semaine dernière, a réduit ses pronostics de bénéfices. Le cours de l'action a dégringolé. Ils ont été pris par surprise. La guerre russe ou ukrainienne, l'inflation, cela s'est produit en un instant. Peuvent-ils rivaliser? Dans certains créneaux, mais le modèle d'affaires était plus risqué en cas de récession. C'est très intéressant et je comprends pourquoi il est pertinent d'inclure Twitter dans le groupe des petits joueurs. Peut-être parce que je suis aussi journaliste, je suis de très près ce que les gens disent sur Twitter. Mais tout est très petit par rapport aux mastodontes du secteur. C de Twitter que j'utilise (...). À l'heure actuelle, Twitter est dans une situation difficile avec l'offre d'achat dès le masque. Ou bien il sera resté ou bien il sera parachuté. Dans le second cas, le titre risque de dégringoler de 40 %. Si musc décide de ne pas rester présent, je pense qu'il cherche à faire baisser le prix en exprimant ses inquiétudes à répétition. Pour répondre à votre question, pourquoi Twitter se trouve-t-il dans un entre-deux? Les publicités que je reçois et vous aussi ne sont plus aussi pertinentes. Twitter, je constate qu'il ne me connaît pas aussi bien. C'est peut-être à cause de mes réglages pour la protection des renseignements personnels le ciblage de la publicité. Ça représente un problème pour la plate-forme. S'agissant de la situation, de Twitter, dans laquelle se trouve la plate-forme, encore une fois, Phèdre propre recherche avant de prendre des décisions de placement. Nous reviendrons à vos questions dans quelques instants. Envoyer un courriel. Tout d'abord, la séquence de formation. Si vous cherchez à trouver des informations sur les performances d'un secteur ou d'une industrie, CourtierWeb vous propose des outils. Voici (...), spécialiste chez TD. Bonjour Caitlin. Si nous voulons approfondir le prof (. ..) comment faire? – Bonjour, Greg. Nous pouvons trouver des renseignements plus spécifiques sur un secteur en particulier. Pour ce faire, nous allons cliquer sur l'onglet de recherche dans CourtierWeb. Il existe une rubrique secteurs et industries. En cliquant dessus, nous parvenons à une page d'accueil qui comporte des informations. Un moment, je vous prie. Nous arrivons comme je le disais sur une base accueil qui nous donne un survol des différents secteurs. Voici une comparaison de certains des différents secteurs on peut voir les performances de chaque secteur. Avec un survol qui montre certains des indicateurs comme le rapport coût bénéfice, le rendement en dividende. On peut cliquer sur performances et afficher différentes périodes pour chaque secteur. Ensuite, il y a des stratégies. Nous pouvons voir les secteurs qui offrent un rendement plus élevé en dividende ou une croissance de bénéfice par action plus élevée. Il y a les meilleurs secteurs, les pires. Cette page recèle toutes sortes d'informations relatives aux industries dans leur ensemble. Nous pouvons également réaliser cette recherche pour les actions canadiennes ou américaines. Vous voyez le petit drapeau canadien. Il suffit de cliquer sur le drapeau américain pour faire basculer la page vers les États-Unis. Vous verrez donc un drapeau sur chaque section. Vous pouvez faire basculer chaque section ou l'ensemble. Vous verrez donc les informations sur le marché américain plutôt que canadien. C'est intéressant de voir à quel point il est possible de basculer rapidement d'un pays à l'autre. Si je veux me renseigner sur un secteur? Si vous voulez approfondir un secteur en particulier, vous pouvez cliquer sur le nom de ce secteur. Par exemple, les télécommunications dont nous parlons aujourd'hui, cliquez sur le nom du secteur… Et vous parvenez à une page qui montre les performances au sein de ce secteur. Encore une fois, il y a les titres spécifiques qui sont en tête du marché et celles qui se comportent le moins bien. Voilà pour les États-Unis. Vers le bas, il y a des sous secteurs. Typiquement, il est possible d'afficher des rapports portant sur une industrie. Cliquant sur technologie par exemple. Nous pouvons afficher les… Les rapports ne sont que pour les actions canadiennes. Mais il existe un rapport qui fournit des informations sur les opérations d'initiés et le niveau d'optimisme des investisseurs. – Merci, Caitlin. C'était Caitlin Cormier, spécialiste chez placement direct TD. Ne manquez pas de visiter le centre de formation sur CourtierWeb. Vous trouverez toutes sortes de ressources supplémentaires. Un rappel de la manière dont vous pouvez communiquer avec nous. Si vous avez une question sur les placements ou les facteurs qui affectent le marché, nos invités attendent vos questions. Vous pouvez soit nous envoyés un courriel ou encore saisir votre question dans la case située sous votre écran. Saisissez votre question et cliquez sur envoyer. Un de nos invités pourra peut-être répondre en direct à parlons argent en direct. Revoici avec Monica Yeung. Nous parlons des entreprises de télécommunications mondiales, Netflix, une compagnie gagnant avant la pandémie. J'ai passé tellement de temps sur le canapé que j'ai fini par y faire un truc permanent. Que pensez-vous de la compagnie dans l'avenir? – En baisse de 70 % à ce jour, depuis le début de l'année. L'indicateur le plus important pour les investisseurs, c'est la croissance des abonnements. La réponse est simple: Netflix a déçu profondément à ce chapitre. 220 millions d'abonnés avant la COVID. (. ..). Avec 2020, vous étiez sur votre canapé, moi sur le mien. On est passé de 25 millions à 35 millions d'abonnés en plus chaque année. Il y a eu un amenuisement avec la relance économique. Les gens passent davantage de temps en dehors de leur domicile. Personne n'aurait jamais rêvé que le nombre d'abonnés serait en perte de vitesse. Au premier trimestre, le nombre d'abonnés a chuté de 200 000. Au deuxième trimestre, de 25 millions. Le comportement de l'action n'est pas étonnant. Qu'est-ce qui recèle l'avenir de la compagnie? (.. .) 70 % des foyers américains ont un abonnement Netflix. Concurrence plus vive avec les joies traditionnelles qui ont 1000 (.. .). Partage généralisé des mots de passe, des centaines de millions de foyers pratiqueraient cette tricherie. Et puis l'environnement économique général. Les gens sont plus regardants aux dépenses avec l'inflation. Que recèle l'avenir de la compagnie avec une multiplicité de facteurs négatifs, il n'y a pas de mesures uniques à prendre. La compagnie peut s'en prendre au partage des mots de passe, opposé à un abonnement moins cher, remanié sa stratégie d'établissement des prix, refondre sa gamme de contenus, mais il faudra pas mal de temps pour cela. Dans l'avenir, cette transition pourrait susciter un certain optimisme. Mais il s'agit d'une échéance relativement éloignée. Cette transition pourrait donc, grâce à certaines nouvelles émissions, comme (... ), c'est ce qui attire les abonnés. Mais il faut encore les retenir avec des émissions de cuisine, par exemple. Ou des séries. Mais le contenu est très coûteux. Chaque année, les entreprises de diffusion directe dépensent 100 milliards de dollars en contenu. Netflix est tenu de produire toujours de nouveaux contenus. Je crois que les émissions de remplissage sont sous contrôle, mais il s'agit de chercher constamment la nouvelle émission vedette. Une nouvelle question nous est posée sur dyspnée. Dyspnée plus, est en concurrence avec Netflix. Je viens de finir la série de hobby Walken hobby. Disney avait donc (...). Dîner est une action très intéressante. (. ..) dîner a fait beaucoup de produits créés aujourd'hui. Elle a 140 millions d'abonnés, alors que Netflix en a 220 millions beaucoup de gays depuis quelques années, mais beaucoup de progrès possibles. Dyspnée n'a pas été épargnée par la transition au monde réel. Prévoyait que dîner afficherait une croissance de 45 millions d'abonnés par an. La réalité tourne autour de 30 millions cette année. Voici qui explique la faiblesse de la dîner à des facteurs plus positifs. (... ) est parc à thème dîner se comportent extrêmement bien. La dépense moyenne par client dans les dîner est en hausse de 40 % sur 2019. Les gens dépensent pour l'alimentation en hausse sur 2019. Il est trop facile de faire des comparaisons avec la pandémie. Personne ne va dans un parc à thème pendant un confinement. Les gens dépensent 40 % de plus qu'avant la pandémie. Acheter des jouets de Mickey Mouse, descendre dans les hôtels, acheter des bases pour les attractions. Cela a compensé la faiblesse sur la diffusion directe. Beaucoup de concurrence. Nous avons parlé d'autres intervenants dans le secteur. Est-ce que situation dans laquelle il y aura un gagnant ou toute une série de diffuseurs? Quand j'étais ado, dans les années 80, il y avait une sorte de station de télévision. C'est un secteur très compétitif. On parle Netflix, il y a apporté oui, il y a les compagnies traditionnelles comme HBO, Discovery plus. Aux États-Unis, en moyenne, chaque foyer reçoit cinq services de diffusion en direct. Le degré de pénétration donc très élevée. Qui tira son épingle du jeu? Il s'agit de déterminer qui va pouvoir proposer le meilleur contenu. Il y a un effet d'échelle. Plus gros vous êtes, plus vous avez d'usagers, plus vous pouvez dépenser pour trouver la prochaine émission vedette. Qui va se démarquer. Netflix, Prim, dîner plus. Récemment, il y a eu une fusion de Warner et Discovery, on aura peut-être le plus petit joueur qui vont répondre à des besoins spécialisés, par exemple dans les actualités. Mais il s'agit d'un secteur qui est très concurrentiel. Vous parlez de certains titres aux États-Unis. Mais chez nous, nous avons une compagnie de télécommunication qui va se lancer. Est-ce que le marché canadien est suffisamment important pour les placer dans la même catégorie que les joueurs américains? – Le défi de nous compagnies doive relever, ce sont les règles relatives au contenu canadien. OK les joueurs internationaux ne sont pas encore soumis. Ce qui les place dans une situation très différente au niveau des dépenses de contenu en particulier. La compagnie chorus est cotée en Bourse. Traditionnellement, il s'agit d'une compagnie de médias, mais qui a commencé à graviter vers la diffusion directe dans laquelle elle a fait des progrès. Mais il était facile de rivaliser lorsqu'il n'est pas (.. .). J'ai moi-même fais l'essai du produit de télévision en direct de chorus. C'est toujours vos propres recherches avant de prendre vos décisions de placement. Vous pouvez communiquer avec Laurent Touton. Si vous voulez nous poser une question sur les placements ou les facteurs qui affectent les marchés, nos invités sont à votre écoute. Envoyez-nous vos questions soient par courriel en tout temps ou en saisissant votre question dans la case située sous votre écran. Il suffit de cliquer sur envoyer. Peut-être un de nous éviter pourra vous répondre en direct sur parlons argent en direct. Les poussées des prix du logement au Canada et aux États-Unis ont fait augmenter le cours du bois d'œuvre. (... ) estime que les titres de produits forestiers sont de plus en plus sous pression à cause des perspectives macro-économiques de plus en plus négatifs. Selon valeurs mobilières TD, le secteur âge chuté de près de 27 %. Pourquoi le prix du bois devra-t-il chuter? À cause de l'inflation de la hausse rapide des taux d'intérêt affectent les taux hypothécaires élaborent débiliter des maisons. De plus en plus, les investisseurs supposent que l'Amérique du Nord va connaître une récession. Les économistes de la banque TD ne prévoient pas pour l'instant une récession, mais une contraction. La croissance du PIB devrait passer à 3,2 % cette année puis redescendre à 1,6 %. En 2023. Mais on ne prévoit pas de contraction importante pour l'instant. Toutefois, selon valeurs mobilières TD, un atterrissage brutal des cours des bois devrait être prévu et on modifie légèrement la prévision pour le prix du bois de feuillus. Cette année et en 2023. On change également le pronostic de prix pour le contreplaqué. C'est un peu plus important quand on prévoit que les coûts de gestion des usines et des stocks augmentent et prévoient une chute de 4 % dans le (. ..) ainsi qu'une baisse moyenne dans les estimations pour 2023. La situation a changé. Dans une certaine mesure. Quels sont les pronostics de valeurs mobilières TD quant aux actions de ce secteur? On surprend d'air malgré tout le secteur car les bilans de ces entreprises sont encore très fort, plus fort que préalablement. En revanche, les valorisations actuelles sont basées sur des pronostics trop négatifs. Personnellement, je suis heureux d'apprendre que si je dois réparer ma terrasse, cela me coûterait bien moins que cela m'aurait coûté pendant la pandémie. Parce que les prix ont baissé. Le coût pour les bricoleurs sont bien inférieurs. Je n'ai plus d'excuses! Je rappelle à Madame à notre public (...)Nous sommes à mi-chemin de l'heure de la pause du déjeuner. L'indice TSX se comporte bien. 282. En hausse, 18999 en hausse de un. 5 %. Il s'agit d'une hausse générale. Vérifions ce qui se passe chez (...). En hausse de plus que huit ni pour cent. Au sud de la frontière, une bonne reprise pour achever la semaine de négociations. Si la tendance se maintient jusqu'à la clôture. Presque: 5 % le marché repense à ses attentes à l'égard de la Fed. Nous prévoyons toujours des augmentations de taux à court terme, mais peut-être à plus long terme, le marché (...) l'économie va atteindre un pic au cours des mois à venir car il s'agit d'une tendance qui affiche beaucoup de hauts et de bas de l'Ille-et-Vilaine. L'indice Nasdaq,: 2.25 % en hausse. nous avons parlé de (...), qui voit son activité augmentée depuis début d'année. (...) est en hausse de près de 13 %. Nous voici de retour avec Monica Yeung. Un grand nombre de questions. La transaction (...) est toujours en évolution. Nous avons annoncé récemment que radius vendrait (...) à Quebecor. Cette opération se rapproche de celle de la ligne de fin? Si c'était un match de base-ball, on offrait à la septième manche. Nous sommes plus près de la fin que du début. La route jusqu'ici a été riche en rebondissements. Il y a tout d'abord eu un affrontement entre les membres de la famille radius le mois dernier, on a appris que le bureau de la concurrence avait demandé un blocage de l'opération pour des raisons de protection de la concurrence. La vente à Quebecor règle les problèmes de la concentration de son fils. Je pense que cette opération va satisfaire les régulateurs. Tout d'abord parce que Quebecor est un joueur très crédible, une société cotée en bourse, qui possède un spectre, un bilan très fort et qui jouera un rôle de quatrième joueur fort sur le marché. Il pourra rivaliser de façon crédible. Deuxième raison pour laquelle cette opération devrait satisfaire les régulateurs, c'est que radius s'est engagé à fournir un accès du réseau à domicile et d'itinérance ainsi qu'un accès aux services Internet de groupe. Ce qui permet à Quebecor d'être sur un pied d'égalité avec les trois opérateurs historiques en ce qui concerne la qualité, l'accès et les forfaits. La réponse courte: je pense que nous sommes plus près de la fin de l'opération. Dans le meilleur des cas, la transaction pourrait se conclure dans deux mois. Après une négociation. Dans le pire des cas, il faudrait six mois. Je me souviens que les trois titres ont remonté ce jour-là. Quels sont nos perspectives ces actions? Je crois que c'est une bonne nouvelle pour les trois joueurs, Rogers, (...) et Quebecor. Commençons par radius, c'est une bonne nouvelle pour l'entreprise car elle a pu vendre ses actifs et parvenir à un accord un prix raisonnable. Craignez, quand les bureaux de la concurrence avec son annonce, que radius soit obligé de vendre au rabais. À présent, les synergies, grâce à la combinaison des deux activités sans fil, ont toujours été l'objectif de la transaction, étant parvenu à une entente pour créer un quatrième joueur crédible. Nous pouvons donc passer aux choses sérieuses. S'agissant de (...), (... ) c'est positif pour le titre. Je crois que l'opération, si on parvient à la ligne d'arrivée. Pour Quebecor, une bonne nouvelle également, car la compagnie s'est cantonnée jusqu'ici à une activité au Québec. Cette opération lui donne droit à cinq ou 10 ans de perspectives d'expansion. Optimisme pour les trois titres, (.. .). Il existe toutefois un risque, car nous ne savons pas ce que fera le bureau. J'ai évoqué une gamme d'échéances. Il est possible que cette structure permette de parvenir à la ligne d'arrivée et qu'il sera possible de négocier un accord d'ici un à deux mois. Mais il est possible que le bureau de la concurrence ne soit pas d'accord et aille jusqu'à l'étape de l'appel. Il faudra une médiation, des audiences, la production de documents. C'est la prochaine étape. Il faudra parvenir jusqu'à la fin du processus d'appel, ce qui pourrait prendre six mois. – Merci à tous nos spectateurs pour leurs questions. Ultime réflexion sur le secteur des télécommunications. Les marchés se comportent bien aujourd'hui, mais il y a eu des hauts et des bas. Nous avons commencé par parler de gagnants et de perdants au début de l'émission. Il faut se rappeler qu'il ne s'agit pas d'un espace homogène. On a parlé des différents modèles d'entreprise, nous ne pourrons pas généraliser. S'agissant du risque que l'on prend dans un portefeuille d'ici que vous avez, si vous êtes plus défensifs et que vous vous inquiétez d'une récession, les titres télécommunications sont plus résistants une récession. Si vous êtes grossiers, optimiste, il y a beaucoup de valeur dans certains des titres à plus forte croissance. Merci, Monica. Monica Yeung est analyste (.. .) chez gestion d'actif Tedey. Je vous rappelle les invités qui vous attendent. Lundi, (. ..) va parler de l'investissement ESG. Mardi, (. ..), va commenter les titres à revenu fixe. Et mercredi, (...) va nous parler des produits de base. Merci pour votre participation. Aujourd'hui et toute cette semaine et à bientôt!