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Bonjour, bienvenue à notre émission d'aujourd'hui présentée par investissements directs cédés. Nouvelle émission diffusée sur notre réseau. Certains de nos invités, vous ne les verrez qu'ici même. Aujourd'hui, le marché canadien qui a eu le coup que ce répondant américain. Nous allons entendre encore ovarienne, gestionnaire de portefeuille et dans la section éducation, nous allons vous indiquer comment mieux utiliser courtier Web. Voici comment communiquer avec nous. Envoyez-nous un courriel à l'adresse qui figure fin août directement dans la fenêtre ici. Avant d'entendre nos invités, voyons ce qui se passe dans les marchés. (...) a témoigné à Washington aujourd'hui. Il a répété ce qu'il dit depuis longtemps: il se concentre sur l'information. Il veut la maîtriser. (...) recule de 244. Sur le TSX composé. Il y a des pressions sur le marché du pétrole brut. (. ..), 135 $ le baril. Voilà le secteur de l'énergie. (...) a baissé de huit et demis pour cent. C'est une action qui est transigée à l'heure actuelle. Voyons ce qui se passe pour le SP500. C'est intéressant, on a entendu (...). Ça pense positif ou négatif, association constante. Pour l'instant, c'est négatif, mais beaucoup de rebondissements. Voyons maintenant au Nasdaq où il y a beaucoup de ces technologiques se renforce aujourd'hui. Le Nasdaq sans grimper, presque (...). Amazone qui avance très modestement. La devise américaine, beaucoup de questions pour ce qui est de rapatrier aux États-Unis les bénéfices remportés à l'étranger un peu d'affaiblissement de ce côté. Une réduction d'environ encore de 1 %. Voilà donc la mise à jour des marchés pour (. ..) avait tenu le coup en comparaison de ce qui se passe aux États-Unis. Est-ce que ça va se maintenir? Peut-être que la croissance ralentit. Notre invité, Michael O'Brien, gestionnaire de portefeuille, nous sommes ravis de vous accueillir. Évidemment, c'est négatif pour les TSX pour l'instant, mais il tient le coup que son homologue américain. Qu'est-ce que vous pouvez me dire pour l'instant? – Il y a de plus en plus d'informations, de hausse des prix des matières premières, des problèmes dans les chaînes d'approvisionnement. Ça a surtout frappé certains marchés, certaines économies. Le Canada n'a éprouvé, mais en comparaison de la plupart des autres pays, le Canada sentit plutôt bien. D'abord, nous n'avons pas les mêmes liens à l'Europe de l'Ouest et à la Russie. Et deuxièmement, une grande partie des matières premières, on voit que les courant grimper. Or, le Canada est un grand exportateur de ces produits. Nous avons bénéficié de ces perturbations, alors que d'autres pays ont été plus durement frappés. Si on pense à la composition du marché canadien, c'est le secteur qui a le mieux performer, pas simplement ici, mais ailleurs. Nous avons plus d'énergie que d'autres pays. Si on voit la composition du TSX, le marché canadien, alors qu'aux États-Unis, peut-être une (.. .) de 10 % dans le secteur financier, il sentit le mieux car les taux d'intérêt crainte. Au Canada, c'est plutôt 30 %. L'énergie, par ailleurs, au Canada, c'est 20 % de la valeur du marché. C'est trois fois et demie ce qu'on trouve aux États-Unis. C'est la nature même des marchés canadiens. Nous sommes mieux positionnés pour les réalités actuelles. Voilà ce qui fait qu'on réussit plutôt mieux. C'est clair, temporairement des acteurs, notamment de l'énergie, c'est plus intéressant pour la deuxième moitié de l'année. Est-ce que ça correspondait directement pour le pétrole brut, que dire? On voit qu'il y a une réduction des prix du brut, des prix du pétrole brut. C'est une assez bonne réduction. Mais c'est plutôt une bonne nouvelle, étant donné les pressions inflationnistes. Il y a des journées plus dures que d'autres. Quand je vois le marché pétrolier plus précisément, le pétrole et le gaz naturel, pour les fondamentaux, ça a l'air bien solide. Ce qu'on voit, c'est qu'après des années de sous investissement, pour une sorte de raison, les entreprises ont cessé d'investir dans de nouveaux projets et les approvisionnements qui auraient dû nous venir il y a quatre ans, ne sont pas venus parce que les pétrolières et gazières ont cessé d'investir. Quant aux perceptions de marché, les investisseurs sont nerveux. On le comprend. C'est une phase pendant laquelle les investisseurs commencent à décider de vendre ce qui est profitable pour l'instant. On a l'impression que les prix du brut risque de baisser. Les investisseurs sont disposés à vendre facilement. Comme je l'ai dit, les fondamentaux sont plutôt solides. Je pense que le grand facteur, c'est qu'il n'y a pas de mécanismes d'offres qui suffiraient à la tâche. Pensez-vous que les compagnies vont vouloir investir pour créer plus d'approvisionnement? Oui, c'est ça le problème. Après sept années difficiles, beaucoup d'équipes de directions ont eu peur du long terme et ils se sont concentrés sur le court terme. Je ne dis pas ça de façon négative. Mais comme l'avenir du pétrole et du gaz, c'est moins évident qu'il y a 10 ans, à cause de la transition vers d'autres formes d'énergie, ces réalités ont changé, n'est-ce pas? – On verra ce qu'il en sera dans cette ou 10 an. Mais tout à la fois, les cours du secteur énergétique ont plutôt grimpé pendant un certain temps, alors qu'auparavant c'était très difficile pour ce secteur. Pendant cette période, les investisseurs ont dit que ce qu'il voulait, c'était un bon rendement sur le capital. Ils votaient avec leur portefeuille, comme on dit. Les sociétés qui ont continué investir pour augmenter la production, on les a évités. Le cours de leur action abaissée. Ça été terrible. Alors que ce qui ont tenu compte du nouveau paradigme en matière d'énergie et qui ont commencé à retourner les liquidités vers les actionnaires sous forme de dividendes ou rachat d'actions, cela sans sont bien tirés. Les équipes de directions ont compris ces réalités. C'est la raison pour laquelle les équipes de directions n'investissent pas comme on aurait pu croire. L'industrie il y a 10 ans, ça aurait été très différent. Aujourd'hui, on est beaucoup plus prudent. Ce qui est récompensé, c'est le fait de ne pas investir dans des projets à très long terme. On veut rendre des liquidités aux investisseurs. Cette leçon a été apprise. C'est la raison pour laquelle il n'y a pas eu beaucoup de dépenses d'immobilisation. Ce qui compte beaucoup dans l'indice TSX composé. Qu'est-ce qui arrive à ses poids-lourds? Sinon par se réalise, qu'il y a de plus en plus de taux d'intérêt élevé, que ça déclenche une récitation, quoi alors? – En comparaison d'autres serveurs (...) peuvent tenir le coup assez bien dans un contexte inflationniste jusqu'à un certain point c'est de voir jusqu'à quel point si les taux de, que la croissance est trop vigoureuse,ce sont eux qui vont plutôt bien s'en tirer. Les marchés maintenant sont aux prises avec ce que vous avez mentionné: l'économie est en sursaut, il y a trop d'inflation. Si les banques centrales de revenir trop durement, qu'il n'y avait pas d'atterrissage en douceur, ce sont des actions de type cyclique. Comment dire? Tout ce qui est ressources, énergie, du secteur financier, ce sont de bons véhicules en comparaison de ce qui se passe ailleurs dans le marché, jusqu'à ce qu'on ait des indices clairs que les marchés vont s'en prendre à des résultats plus négatives. À ce moment-là, ce sont des actions tricycliques et on verra les conséquences dans leurs bénéfices. Rien n'est gratuit, comme on dit. C'est un atterrissage dur, aussi vont le prouver cette réalité. Vos questions pour Michael O'Brien, vous pouvez nous les envoyer et je vous rappelle que vous pouvez communiquer avec nous à tout moment en nous envoyant un courriel à l'adresse qui figure à l'écran. Ou alors en cliquant dans la fenêtre au bas de l'écran. Maintenant, mise à jour de ce qui se passe dans le domaine des affaires et du côté des marchés. Le coût de la vie n'a pas été aussi élevé depuis janvier 1983. Statistiques Canada indique que inflation globale atteint 7,7 % alors que les Canadiens épluchant pour tout, y compris l'essence, les hôtels, les voitures, l'énergie. C'est dur pour les ménages, sans crainte de 35 % sur une base annuelle. On ne s'attend pas à ce qu'il y a une relance d'ici peu. Et ça renforce le (. ..) de la banque du Canada qui va augmenter son taux de base de 75. Il y a toujours des problèmes du côté (. ..). La compagnie mère de Sobeys. Deux et demis de réduction chez empire, au son dividende 10 %. Négocier avec les fournisseurs alors que les coûts sont élevés pour rester concurrentiels. Il semble que les (... ) winnebago sont disposés à payer plus cher pour leur véhicule. Winnebago dit qu'ils ont tiré parti de la saison des ventes au printemps pour vendre plus cher et obtenir plus de parts de marché. Winnebago s'attend à ce que les défis persistent l'année prochaine. Voyons comment les indices sentirent ici, AB Street, le TSX composé. Une baisse de 0,25 %. Au sud de la frontière, on veut suivre le SP500 qui a baissé modestement depuis que Jérôme Powell a témoigné devant les législateurs américains. Ils veulent maîtriser l'inflation. On passe maintenant à autre chose. Vos questions, notamment, qui nous arrive sur la plate-forme. Je commence par le secteur des matériaux. Michael, qu'est-ce que vous diriez de Franco Nevada? – D'abord, ce titre, c'est une aurifère pétrolière. Pour ce qui est des aurifères, ça tient bien le coup pendant cette période. C'est le rôle conventionnel de l'or, bien sûr. Pour ce qui est de l'or, ç'a été inégal, mais ça a bien tenu le coup. Franco Nevada, c'est une façon de s'exposer aux aurifères. C'est une compagnie qui est moins coincée s'il y a des difficultés dans le secteur minier. Le secteur minier, aurifères, c'est très difficile de réussir si c'est une situation où les pressions inflationnistes font en sorte que tout est plus cher pour séminaire. Les producteurs doivent endurer ça, mais une compagnie comme Franco Nevada, non. Si on (.. .), ça entraîne des conséquences pour les producteurs, mais pas pour les sociétés comme Franco Nevada, qui est mieux protégé. On peut s'exposer au secteur aurifère avec moins de risques. Il y a de bons avantages pour ce genre de société. Quels sont les risques pour les sociétés comme Franco? – C'est un risque relatif, c'est que dans les moments où le cours de l'or grimpe de manière marquée, prononcée, qu'est-ce qui se passe? Comme ils n'assument pas les risques à la base pour les dépassements de coûts, ils n'ont pas non plus le (. ..) à la hausse. Si les cours de l'or grimpaient, les producteurs verraient que la valeur de cours grimperait plus rapidement que ceux de Franco Nevada. On veut équilibrer les risques, on assure moins de risque à la baisse, mais on perd dans les cas de hausse. – Très bien, autre question. En nombre de la sécurité alimentaire dans le domaine géopolitique, c'est important. Comment intervenir? Prenons Nutrien dans le domaine des engrais. C'est la grande société d'engrais de par le monde. C'est bien équilibré. Qu'il s'agisse d'azote, de phosphate ou de potasse, ils sont aussi présents dans le secteur de la vente au détail. Les offres d'apiculteur des semences et des engrais dont ils ont besoin. Ça a tendance à être plus stable. C'est le tiers de la valeur de ce qu'ils font. C'est très bien équilibré comme société dans le secteur agricole. Et l'agriculture, c'est très cyclique. Il y a des hausses, des baisses. Il y a diversification de produits, c'est très bien. Si vous cherchez un véhicule dans le domaine agricole, les engrais, c'est un domaine intéressant. Il Nutrien est une bonne société. Nous savons qu'il y a d'autres producteurs de potasse, notamment en Russie. (. ..). Quels sont les risques en matière de sécurité alimentaire? Est-ce que ça risquerait de tout changeait? – Évidemment, la situation est tragique. Ce qui se passe du côté de l'invasion de l'Ukraine et ça, ça entraîne de graves conséquences sur l'exportation de céréales des deux pays. Il y a beaucoup de pays émergents qui sont en difficulté à cause de ça. Ça signifie qu'il y a beaucoup de pression pour trouver une solution. Une des raisons pour lesquelles la potasse, notamment, de tous les nutriments, de tous les engrais, ça a beaucoup grimpé, c'est que vous avez doucement d'approvisionnement de la Russie et de l'Ukraine et de la Biélorussie, qui sont de très grands producteurs de potasse, d'azote. Donc le plus grand facteur de risque dans ce domaine, c'est s'il y avait une espèce de résolution de problèmes qui permettraient à ces trois pays que j'avais évoqués, leurs engrais et les grands qui produisent retombent dans les marchés. Dans ce cas là, les prix élevés qu'on voit aujourd'hui devrait se modérer. Le prix des terrains eux-mêmes, de potasse, etc., ça ferait en sorte que ce serait moins intéressant pour les résultats d'une société comme Nutrien. Toujours dans le domaine des matières premières, parlons des métaux de base. La société Tech. C'est intéressant aussi, cette société. Dans le dernier grand cycle mini, dans les années 2000, Tech a été une des sociétés minières canadiennes qui avaient réussi à tenir le coup et ne pas se faire acquérir par des étrangers. Son très présent dans le domaine minier canadien depuis très longtemps. Tech, ce que les gens veulent voir glisser leur exposition au cuivre. Mais on devrait plutôt se concentrer sur leur exposition à deux acteurs qui n'ont pas forcément les mêmes perspectives positives à long terme. D'une part, le charbon métallurgique. C'est une énergie qui est méprisée. On trouve que ce n'est pas de l'énergie propre. Mais étant donné les cours actuels, essentiellement, il génère des flux de trésorerie qui permette de creuser les prochaines mines de cuivre. Et un autre aspect de ce qu'ils font maintenant, qui n'est pas lié spectacle voudrait faire, ils ont environ 20 % d'intérêt dans Ford (. .. ), pour les sables bitumineux. Il y a des investisseurs activistes qui suivent sont de près. On se demande s'il ne faudrait pas retirer de chez Tech ce qui a fait dans le domaine du charbon ou des sables bitumineux, les envoyer dans un autre véhicule, une autre compagnie, et se retrouver avec simplement une société de cuivre de croissance. Ça paraîtrait intéressant. Mais est-ce que ça peut se réaliser? C'est difficile à exécuter. Il faut aussi remarquer qu'il y a moins de gens pour acheter ses actifs aujourd'hui. S'ils veulent vendre, ce qu'ils font, côté charbon, c'est difficile d'obtenir un bon prix. Est-ce qu'ils peuvent obtenir un bon prix ou s'il devrait quand même conserver ça chez eux? Il y a beaucoup de risques au moment de l'exécution de ce genre de plan. On voit les risques. Il faut rester un peu sceptique. C'étaient les questions adressées à Michael O'Brien. On vous rappelle de femmes aux propres recherches avant de faire des décisions de placement. Maintenant, éducation pour aujourd'hui. Alors, les marchés sont difficiles. Vous vous demandez peut-être qu'elle devrait être votre composition d'actifs. Nous avons surtout courtier Web des outils pour vous aider. C'est toujours un plaisir de vous accueillir. Les investisseurs se demandent comment répartir leurs actifs dans leur portefeuille. Qu'est-ce que courtier pour les aider? – On a parlé beaucoup de l'importance d'avoir des plans de placement. Les investisseurs peuvent utiliser leur plan pour les aider à atteindre leurs objectifs financiers. Et pour élaborer un bon plan, il faut se pencher sur des choses comme leur profil, ce qui inclut leurs divers types de tolérance au risque. Ils peuvent donc courtier Web aller à leur compte examiner la composition de leurs actifs. Il clique sur (...), c'est en anglais à l'écran, et ça leur donne une répartition qui pourrait les intéresser. À la base, pour ces catégories actives, on peut penser aux actions canadiennes ou américaines ou internationales. Ils peuvent intéresser aux titres à revenu fixe au Canada ou ailleurs dans le monde. Et finalement, ils peuvent utiliser ou avoir dans des espèces des quasi actifs ou d'autres secteurs. Si vous voulez une idée ou plus d'informations sur ces catégories et des différences entre ces catégories, vous pouvez cliquer au bon endroit à l'écran. Ça dépend des cycles de marché. Vous pourrez en apprendre plus en cliquant sur apprenez en plus. Et voir comment suivre les divers types de répartition d'actifs dans le portefeuille. Il s'y devrait oui ou non effectuer un rééquilibrage. Très intéressante. – J'aimerais bien voir les romans historiques d'un portefeuille avec ce genre de répartition d'actifs. Ces dernières années. Les investisseurs devraient être au courant de la divertisse (...). S'assurer de ne pas mettre tous leurs œufs dans le même panier. C'est une façon pour eux d'atteindre leurs objectifs. Il peut utiliser l'outil dans courtier Web pour voir les diverses catégories d'actifs et la (...) offre différemment depuis 15 ans. Il faut garder l'esprit que ces romans historiques n'annoncent pas forcément l'avenir. Mais quand même, on peut modifier la répartition pour voir quelle aurait été le résultat. Si vous voulez des actions canadiennes à 30 %, c'est 15 dernières années, ils auraient eu 25 % dans les meilleures années. Un rendement négatif de presque 22 % dans la tyrannie et en moyenne 6,2 %. S'ils avaient opté pour 40 % d'actions canadiennes dans leur portefeuille, les romans historiques auraient donné ce qui suit: plus d'écart. Plus de 29 % la même année, plus de 22 % de perte dans la tyrannie, et un rendement moyen d'environ 6 %. Enfin, maintenant, un autre exemple, si c'était 60 % d'actions canadiennes dans le portefeuille, les rendements auraient été… Il y aurait eu encore plus d'écart. Vous pouvez mesurer ce que vous pourriez gagner quelles serez les risques pour avoir divers types d'actifs. – C'est notre spécialiste de l'éducation et de la formation. Vérifier sur courtier Web pour trouver les (...) et ainsi de suite. Avant de retourner à vos questions, je vous indique comment nous envoyer vos questions. Si vous avez une question sur les placements ce qui se passe dans les marchés, nous voulons vous entendre. Envoyez-nous vos questions. Les façons de communiquer avec nous: soit un courriel à tout moment ou alors vous pouvez utiliser la case au bas de l'écran. Notez votre question est cliqué pour l'envoyer. On verra si de nos invités ne peut pas vous répondre dès maintenant à notre émission. Nous abordons maintenant les actions canadiennes. Dans le domaine de l'énergie, on a un peu parlé déjà à l'émission, ressources naturelles canadiennes. Si vous cherchez une façon d'être présents dans le secteur énergétique, évidemment (... ), comme on l'appelle, ce serait en tête de liste. Le grand producteur, surtout du pétrole. Le cas de sa production, c'est du gaz naturel. C'est quand même équilibré pour l'ensemble du portefeuille. Une façon dont ces différents (... ). Ils ne font pas de raffinage. Alors que (...), fondu raffinage. ça dépend de ce que vous cherchez. D'autres sociétés offrent une composante en aval qu'on a pas chez (...). Est-ce que ça veut dire qu'ils ont des désavantages quand on les compare aux autres titres, aux autres sociétés? – À mon avis, non. À plus long terme, raffinage, ç'a été ardu dans des périodes où le raffinage (.. .). Les gens ont tendance à se concentrer. Mais si on voit l'ensemble du cycle, est-ce que ça été vraiment avantageux sur 20 ans? Je voudrais que les rendements ne sont pas si bons. Il y a des périodes pendant lesquelles (.. .), les gens vont dire: jamais autre chose car ils ne sont pas en raffinage. Mais à plus long terme, c'est peut-être une très bonne idée. Une meilleure façon de faire on a parlé plutôt à l'émission du pétrole brut. Ça été inégal, chaotique. Grandes variations dans les cours. Les cours du brut. Comment réfléchir à tout ça? Comment se dire que si on atteint un certain seuil, ça va être encore plus difficile pour les producteurs? Qu'est-ce que ça fera pour les actions et qu'est-ce que ça va pour les opérations sur le terrain? Quand les cours du pétrole chutent rapidement, les actions (. ..) très rapidement. Quant aux facteurs fondamentaux, qu'est-ce qui arrivait à ces compagnies? Je dirais qu'on a eu un exemple concret au printemps 2020. Il y a eu un bref moment où les cours du pétrole ont été négatifs. Les prix étaient négatifs. Personne ne faisait dans un an pétrole. Mais pendant cette période, beaucoup de ces sociétés qui avaient dépensé beaucoup d'années à devenir plus efficaces, à se concentrer sur leurs meilleurs actifs, si on leur demandait quel est leur seuil de rentabilité aujourd'hui pour maintenir le programme d'immobilisation, (. ..) à un peu plus que 30 $ le baril. Pour d'autres hypothèques 40 $. Mais si on parle du prix du pétrole, que ce soient 105 ou 125, on est loin du seuil auquel il y aurait beaucoup de stress pour ces compagnies. Ce groupe de compagnies canadiennes, le prix du pétrole ascendant pendant plusieurs années, il générerait beaucoup de flux de trésorerie quand même. On est dans une période où il y a des profits exceptionnels. Personne ne prévoit que les (... ) à 125 $ pendant très longtemps. Mais même si c'était réduit à un niveau plus soutenable, ce serait quand même 10 compagnies très stables pour un avenir très vite (.. .). – Pour être dans une position défensive. Les pipelines ont toujours été perçus comme l'approche la plus défensive si on peut dire. Malheureusement, l'interprète perd parfois le signal. Moins de volatilité que les producteurs les raffineurs. C'est parce que ils ont tendance à avoir des sources de revenus plus limités. Prenons un bridge. Ils ont l'oléoduc qui permette d'envoyer le Canadien aux États-Unis. C'est réglementé, il n'y a pas beaucoup de concurrents. Il y a des contrats à plus long terme. On pourrait dire la même chose de (.. .), si on parle de gaz naturel. C'est très stable. Il y a un peu de risque en matière de volume pour ces pipelines, ou gazoducs, mais quand c'est difficile d'en construire de nouveaux, il marche à plein régime. Dans le domaine de l'énergie, on estime que c'est une façon défensive d'être présent dans marché. Mais si on voit le reste des marchés canadiens, prenons (...), je pense qu'ils ont été aux prises avec plus de difficultés. Ils n'aura pas la même possibilité côté défensif. Parmi les choses qui se produisent, c'est que les investisseurs s'intéressent plus à long terme à la (... ). Là, il y a une valeur différente selon les types de société. Pendant combien de temps ces pipelines vont-elles fonctionner? Si on parle d'énergie électrique, c'est autre chose. Il y a moins de risque existentiel quant à savoir si la compagnie va exister dans 15 ou 20 ans. C'est difficile de consulter pipelines. Il y a des considérations d'ordre politique ici, au sud de la frontière aussi. J'ai entendu des intervenir pour dire que c'est plus attrayant parce qu'ils ont des pipelines. Par ailleurs, d'autres disques les partis politiques n'aiment pas ce qu'on fait. Il y a des gens qui parlent de la rareté. Moi, je ne compte pas trop là-dessus. Je comprends la logique des orchidées ça, mais la question plus existentielle est important. Dans 15 ans, dans 20 ans, dans 30 ans, est-ce que les gens vont continuer de consommer du pétrole autant qu'aujourd'hui? À quelle vitesse est-ce que la demande de pétrole va commencer à chuter? En bout de piste, ces sociétés transportent des hydrocarbures. Et si les gens n'en utilises-tu, il n'y a plus rien pour eux à transporter. Pour moi, c'est un problème plus pertinent. Ça a des répercussions à l'avenir. Les investisseurs et pense déjà quand même. – Une question qui porte sur le gaz naturel. Parlez-nous de (. ..). On a une question là-dessus. Malheureusement, le signal Internet est très inégal. Ce sont des sociétés à grande capitalisation. Pour le gaz naturel, c'est le plus important Canada. Je reviens à une de nos questions antérieures. Quand vous avez parlé des rendements pour les actionnaires par opposition à la croissance de production, (...), c'est un bon exemple d'une société qui fait les deux et qui a trouvé un bel équilibre. Ils ont continué d'investir, ils ont accru leur production, mais en même temps, ils ont généré beaucoup de flux de trésorerie disponible. Ça a été pionnier en Amérique du Nord pour ce qui est de la façon de rendre l'argent aux investisseurs. Donc politique, c'est qu'il y a un dividende de base et ensuite il y a des dividendes spéciaux en fonction de la rentabilité. Ça a été très bien perçu par les investisseurs en général, qui le perçoivent comme un des meilleurs dans ce domaine du gaz naturel. En même temps, (...), ça n'a pas forcément le même accès à ce qui est très important dans les marchés gaziers aujourd'hui: l'invasion de l'Ukraine. Vladimir Poutine utilise les exportations de gaz naturel vers l'Europe de l'Ouest pour les menacer. C'est dur pour les Allemands, les Français, les Italiens. On leur sert la 10. Ça devient très important pour les producteurs nord-américains d'être en mesure de participer à cet arbitrage dans le gaz naturel liquéfié. On le liquéfie ici et on l'envoie en Europe pour que tout le monde soit alimenté. Mais il y a des obstacles à surmonter pour faire ça. C'était la raison pour laquelle j'ai dit (...). C'est un producteur canadien. Le Canada a été très (...) pour ce qui est de s'engager du côté du gaz naturel liquéfié. Il y a un grand projet qui est bien lancé, (...), sur la côte ouest. Ça va se réaliser d'ici quelques années. Mais les producteurs américains, eux, sont beaucoup plus avancés pour ce qui est de leur infrastructure dans le Golfe du Mexique, la Louisiane et le Texas, les infrastructures de gaz naturel liquéfié, ils ont la part du lion pour résoudre le problème européen. Ça va probablement passer du côté des producteurs américains qui disposent des installations qui fonctionnent déjà ou qui vont fonctionner bientôt. Ils seront les premiers à se présenter sur le marché. Le Canada va réussir un projet, mais ça été difficile de réaliser ces grands projets ici. Je ne pense pas qu'on soit en mesure d'y arriver avant les producteurs américains. Assurez-vous de faire votre propre recherche avant d'investir. – Michael O'Brien reste des nôtres. Je vous rappelle comment communiquer avec nous pour nous envoyer vos questions. Avez-vous une question sur les placements et ce qui se passe dans les marchés? Nos invités veulent vous entendre. Envoyez-nous vos questions. Il y a deux façons de procéder. Vous pouvez nous envoyer un courriel à tout moment où vous pouvez utiliser la fenêtre au bas de l'écran. Vous tapez votre question et vous nous l'envoyez. Voyons si un de nos invités ne veut pas répondre à vos questions dès maintenant. Comme Canadiens, nous vivons dans un contexte inflationniste. Je voudrais avoir des chiffres. Statistiques Canada nous diraient 7,7 % de l'inflation. Ce qu'on a de plus rapide depuis 1983. Et maintenant, (...) se joint à nous. Le dernier rapport de placement TD nous dit qu'il y a eu une hausse de l'inflation dans toutes les grandes catégories, notamment le transport. On pense que l'ampleur de l'inflation va être inquiétante pour la banque du Canada et on a répété dans ce rapport que l'arôme du Canada va hausser de trois quarts de points de base, 0,75, son taux d'intérêt. Et la banque du Canada nous indique cela. On ne pense pas que le (...), va devenir négatif. Mais on pense que la banque du Canada s'attend à ce qu'il y ait plus de risque d'inflation. Par ailleurs, immobilière TD ne pense pas qu'il y aura de mouvements importants en juillet à ces facteurs. On s'attend aussi à ce que ça rabaisse la barre. La suite, après l'automne, qu'est-ce qu'on peut entrevoir? On s'attend à ce que la banque du Canada cesse de hausser ses taux en octobre. On suppose que le ralentissement de l'économie sera perçu comme déflationniste de la part de la banque du Canadien. On ne pense pas que ça ira beaucoup plus que 3,75 %, parce que les Canadiens ne tiendraient pas le coup. – Merci beaucoup, Anthony. Je rappelle aux gens de faire leurs propres recherches. Voyons maintenant les marchés aux militants de la journée. Le TSX composé, c'est négatif. Environ 1 % de pertes. Voyant le marché américain maintenant. Pour le SP500, après les témoignages de Jérôme avoir devant les législateurs à Washington, voyons un peu… Approfondissons ce qui se passe du côté de l'énergie à Paris VIII. Athabasca Oil 9 % à la base. Alors que le prix du pétrole brut a beaucoup diminué. Maintenant, je vous montre le SP500, après le témoignage de Jérôme Hamon. Qui nous répète ce qu'il a dit depuis un certain temps. La Fed américaine se concentre sur la maîtrise de l'inflation. On revient maintenant en territoire positif. On est dans le verre comme on dit. Montrant les résultats. Je retourne à Michael O'Brien. – Nous recevons des questions dans le domaine du secteur industriel. Chaîne d'approvisionnement, coût de la main-d'œuvre, que dire? – Traditionnellement, dans ce secteur, c'est un peu plus stable que d'autres composantes, comme dans le secteur industriel. Assez cyclique. Et donc, si on examine… Et il y a une chose sur laquelle on se concentre. Période inflationniste, c'est de voir où sont les sociétés qui ont la capacité de refiler leur coût aux clients. (...) sont beaucoup en mesure de le faire. Ils ont tous les deux leur propre chemin de fer, mais c'est un (... ). Ils sont en mesure de protéger leurs marges, mais ils ont subi les conséquences depuis 18 mois, les conséquences de ses problèmes de chaîne d'approvisionnement, ses embouteillages, ses goulots d'étranglement. Ils en subissent les conséquences, qu'il s'agisse d'expédition de voitures parce qu'il n'y a pas assez de plus pour fabriquer des voitures. Il y a beaucoup de facteurs qui ont créé des problèmes pour ce qui est du volume de transport chez eux. Et puis la fluidité de réseaux a eu des conséquences négatives. Pour le CN, ils essaient de mieux cerner ses problèmes complexes. Il semble réussir. Mais en même temps, on doit se demander s'il y a un ralentissement côté volume. Si c'était le cas pour l'ensemble des marchés, et est-ce que ça va se refléter dans les volumes de choses à transporter? Mais ce sont quand même deux sociétés de grande qualité. – C'est presque toutes nos questions. On a parlé tout à l'heure d'un empire, la société de (...). Par exemple, l'oblat et métrosont très bons comme exploitant. Ce qu'il faut suivre dans le secteur alimentaire, ils ont aussi des chaînes pharmaceutiques (...) et Jean Coutu. C'est plutôt stable dans le système des consommateurs. On lui perçoit comme des Anthoine se réfugiaient. Donc ça se complique, c'est de voir où ils en sont dans deux ou trois ans. Il y a eu tellement de distorsions artificielles, des hausses et des crues, pour voir comment les consommateurs consomment et achètent. Moi, je suis devenu très bon pour utiliser Uber Eats. On est justifié à comprendre qu'il y a de l'incertitude et à se demander quelle sera la consommation normale dans le secteur alimentaire dans 12 mois, la pandémie. Si ce que vous cherchez du côté de ses actions, de ses titres, alors qu'il y a beaucoup d'infractions dans le secteur alimentaire, s'exerce des pressions sur les marges des détaillants, est-ce que ces détaillants vont faire preuve de discipline? Est-ce que c'est rationnel, le rétablissement des prix, ou s'ils vont perdre leur capacité de faire preuve de discipline. Dans ce cas-là, ce sera plus difficile. Traditionnellement, (.. .), les grands épiciers ont fait preuve de discipline. Je m'attendrais à ce que ce soit plutôt stable. Alors qu'on avancera dans un été plutôt chaotique. – Merci, on est toujours ravie de vous recevoir. Michael O'Brien, gestionnaire de portefeuille, merci de vous joindre à nous aujourd'hui. Nous avons beaucoup d'inviter pour (.. .). Ce sera (.. .) qui a va aborder les titres à revenu fixe. Et mercredi, (... ). Et de communication. On prendra conscience cette semaine Élodie, on va parler de CGI avec (. ..). Merci de vous être joint à nous aujourd'hui. Nous vous retrouverons dès demain. Notre émission parlons argent en direct. Merci.