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Commençons. Chez nous, indice TSX composite 1/2 %, presque 300. À la hausse. Crescent Point Energy est l'un des types qui réalisent des titres importants aujourd'hui. Les secteurs de l'énergie dans son ensemble progressent, mais Crescent Point Energy récompensés actionnaires. 9,42 $ l'action, en hausse de 13 %. Les titres miniers subissent des pressions, ainsi que ceux des produits de base, mais (...) passons à l'indice S&P 500. Instantané du marché américain. 3890 en hausse de plus de 1 %, presque 45 points. Il y a beaucoup de volatilité quant aux perspectives des banques centrales, mais les marchés commencent à envisager que les augmentations de taux seront moins importantes que prévu. Certes, il y en aura, mais où cela se stabilisera-t-il, peut-être moins élevée que l'on ne le redoutait il y a encore deux semaines. L'indice Nasdaq, donc, en hausse de 1/2 %. Un peu plus fort que l'ensemble du marché. Freeport, une des actions qui ont récemment pâti de la volatilité, est en hausse aujourd'hui de 6,2 %. la valeur d'un grand nombre de métaux de bas atteint des sommets au printemps, mais les investisseurs redoutant de plus en plus une récession, le prix du cuivre, du nickel et d'autres mettons dégringoler et avec eux les actions des sociétés minières. Certaines firmes seront mieux positionnées que d'autres dans le recul du marché qui s'annonce. Voici Greg Barnes, analyste de valeurs mobilières TD. Commençons par la flambée des quelques derniers mois. Est-ce que votre confiance a été ébranlée depuis quelque temps? - On parle beaucoup de récession. La volatilité est extraordinaire. C'est ce que l'on constate normalement lorsque les investisseurs s'inquiètent de la croissance mondiale, qu'il y ait une récession ou non, selon ce que fera la fête. Il n'est pas inhabituel que ces actions se comportent ainsi. Les produits de base eux aussi ont été très volatiles, cuivre les nickels sont en nette baisse. À long terme, fondamentalement, le secteur demeure très porteur en raison de la demande entraînée par la faible consommation de carbone. Pour l'instant, la volatilité règne et c'est un scénario normal dans un secteur cyclique comme celui des mines. Malheureusement, nous habitions à la volatilité. Même si l'objectif demeure bien en vue. Que peuvent faire les entreprises minières dans une conjecture comme celle-là? Une récession n'est pas garantie, et même ceux qui la pronostiquent affirment qu'elle pourrait être courte ou bénigne. Que doit faire les entreprises à une époque comme celle-ci? - Je pense que depuis quelques années des sociétés minières sont placés dans une bonne position. Elles ont renforcé leurs bilan. au sein des entreprises canadiennes, je ne vois personne qui éprouve une véritable difficulté au niveau de l'île du bilan ou de la liquidité. Toutefois, si nous allons plus loin dans un ralentissement, mais tant qu'il y a un atterrissage brutal, les entreprises minières vont réduire les immobilisations, retarde des projets. Beaucoup mise en place des dividendes axés sur le rendement, un dividende de base puis un super dividende en cas de résultats financiers favorables. Le super dividende sera vraisemblablement réduit. Sinon le dividende de base. Les entreprises minières sont bien placées, elles peuvent actionner différents leviers pour compenser la baisse des cours. Personne ne semble en discuter au niveau du bilan. Ce qui est très différent de la situation qui régnait par exemple en 2008 et 2009. Il y a eu des entreprises qui étaient en très mauvaises situations financières qui ont dû faire le maximum pour éviter la faillite. Nous ne sommes pas dans ce genre de situation. - Je suis heureux de l'entendre. mais vous avez dit que ces entreprises pourraient devoir réduire les immobilisations. Quels sont les considérables conséquences à long long terme si elles investissent moins? Est-ce que cela crée un déséquilibre plus tard? - Bien sûr. Si les projets sont reportés que les équipes de directions décident de ne pas donner le feu vert à tel ou tel projet, en deux mil 22 août 2023, cela prolonge automatiquement un an ou deux le délai de construction de la mine et cela prolonge la période de réduction de l'offre que nous prévoyons déjà après 2024. Si vous êtes haussiers sur les métaux de base, ce phénomène est favorable à votre position parce que les retards seront prolongés. Nous avons besoin de plus de cuivre, de plus de nickel. Un ralentissement sévère en 2023 2024 ne fera que reporter l'arrivée d'une nouvelle production. Les produits de base hétéroclite, si nous avons une période de croissance économique lente ou même une contraction, est-ce que certains secteurs du marché mini sont mieux placés que d'autres? - Je pense qu'ils se situent plus ou moins tous dans le même secteur. Ils baissent tous en même temps. Le cuivre, le nickel, le zinc. L'or dans certaines prestations baisse dans d'autres mondes. Cela dépend de ce que fait l'inflation, de ce que fait la fête, les taux d'intérêt, et toutes charges. C'est un peu difficile à prévoir, le comportement de l'or. L'or pourrait se comporter mieux dans une prochaine récession, mais c'est à pile ou face. À un moment donné, j'ai cru comprendre l'or de façon très générale. je pensais que c'était un refuge pendant les périodes difficiles, et dans d'autres cas, plutôt le contraire. En termes de pourcentage, l'or est essentiellement inchangé. L'or a servi de refuge en 2022. le bitcoina dégringolé de 70 % depuis le pic. L'or a fait exactement ce qu'il était censé faire. (...) - il est très difficile à prédire. que dire des sociétés minières? Tellement d'entreprises et de chefs d'entreprise affirment que l'environnement est difficile avec la perturbation des chaînes d'approvisionnement. L'inflation est un véritable problème. L'inflation du prix de revient s'établit à 12 % sur 12 mois. Au début de l'exercice, les entreprises attendent à cinq ou 6 %. L'inflation a été exacerbée par la guerre en Ukraine et les problèmes d'approvisionnement. Les coûts d'exploitation ont sans doute augmenté de 10 %. Les coûts d'immobilisation, les coûts de la construction de nouvelles mines, augmente encore plus, de 15 à 20 % fautent de personnel, faute de matériel. À cause de l'augmentation des redevances et des impôts. Toutes sortes de pression s'exercent sur les coûts. On comprend donc pourquoi les actions des sociétés minières sont en baisse. Le coût des produits de basse baisse et les coûts augmente. ce n'est pas rare, mais pas favorable non plus dans le cycle actuel. - Récemment, un de vos collègues évoquait un point de bascule dans le secteur de l'énergie lorsque le prix brut ne correspond pas à ce qui se passe dans le secteur financier. Est-ce que le secteur minier souffre de ce phénomène, le fait que certains contrats ne reflètent pas vraiment la demande du métal? - C'est une question pertinente aujourd'hui. Nous tâchons de déterminer où se situe la demande. Allons-nous éviter une récession où aurons-nous dressé sur les gens? Les marchés actuels prévoient qu'il n'aura pas d'atterrissage brutal. La demande se maintient. Je parlais ce matin une société minière qui n'a pas vu de réduction de la demande du cuivre qu'elle produit et les stocks sont très faibles, donc le marché serré. La demande se maintient, mais où évoluera-t-elle si six ou 12 mois? Telle est la question. Selon les marchés, la demande va baisser, mais le marché a peut-être tort. Cela s'est vu. Il s'agit d'un moment délicat pour prendre ses décisions. - Excellent départ. Nous reviendrons à vos questions sur le secteur minier à l'intention de Greg Barnes de valeurs mobilières TD dans quelques instants. Vous pouvez communiquer avec moi tout en envoyant un courriel ou en saisissant votre question dans le cadre sous l'écran. À présent, les actualités du monde des affaires. Un coup d'œil sur les marchés. Voilà donc l'actualité d'aujourd'hui. le Canada enregistre un excellent le plus élevé depuis 2008 avec empreinte les exportations de pétrole d'aéronefs. Au mois de mai, l'excédent commercial du Canada augmente jusqu'à ce (...). Les importations. . . Crescent Point Energy augmente son dividende pour la deuxième fois en deux mois. Le versement aux investisseurs augmente plus de 20 % jusqu'à huit cents l'action. Crescent Point prévoir restituer aux actionnaires pendant le deuxième trimestre à cause des coûts du pétrole à 100 $ le baril. GameStop se joint à toute une série d'entreprises annonçant des fractionnements d'action. Le détaillant du jeu vidéo qui a fait l'objet d'une frénésie d'achat il y a quelque temps va fractionner ses actions à quatre pour une. Les actionnaires recevront un dividende pour chaque action détenue à la fin de la journée le 18 avril. Amazon, tesla et Apple ont actionné de fractionnement d'actions depuis deux ans. Voici l'instantané des marchés. L'indice TSX composite est en nette hausse. Un gain de 1,8 %. Aux États-Unis, instantané des marchés américains, SCP 500, progressent également aujourd'hui. 1/4 % jusqu'à 3892. Nous revoici avec Greg Barnes, de Valeurs mobilières TD. La première question, le cuivre et notamment le titre de la compagnie (... ) est-ce que ce titre sur le point de reprendre sa hausse? - Il va reprendre sa hausse à un moment donné. Pour l'instant, les cours de ces titres supposent qu'il n'aura pas d'atterrissage brutal. L'action est en baisse de 40 % à cause de certains problèmes notamment reliés à l'incertitude politique au Pérou. Ainsi que des problèmes qui semblent en cours de résolution en Arizona. Mais la compagnie se porte bien financièrement. Elle est très présent dans le secteur du cuivre avec un important projet en préparation peut-être. La compagnie se tirera d'affaires, mais il faut voir comment les marchés se comporteront surtout au niveau des cours du cuivre, avant d'adopter une attitude trop haussière. Les perspectives à long terme du cuivre sont très positives, puisque si le monde plus électrifié, ce qui est la politique de nombreux gouvernements, cuivre, il y a longtemps que je n'ai suivi 1, Cours de sciences, jouent un rôle clé dans l'électrification. C'est la clé de l'électrification. Le réseau électrique, les véhicules électriques, transport d'électricité, les bornes de chargement, tout cela exige du cuivre. C'est un élément clé. On pourrait le remplacer en partie par l'aluminium, mais essentiellement, il faut beaucoup de cuivre, puisque nous n'en pourrons potentiellement fournir d'ici 10 ans. Si vous songez au pronostic d'offre et de demande par des tiers, on envisage un déficit de 5 millions de tonnes d'ici 2030. Il manquera 5 millions de tonnes de cuivre ici 2030, à moins que la construction domine suivre le mouvement. Avons-nous les réserves? Existe-t-il une telle quantité de cuivre? Quand on parle de l'électrification de véhicules, on s'inquiète du réseau électrique, mais y en a-t-il suffisamment sur la planète Terre? - Oui il y en a, mais à quel prix peut-on l'expert? Beaucoup de pronostic affirme que les cours du cuivre doivent augmenter beaucoup à ce qu'ils ont été récemment, c'est-à-dire quatre dollars Laly, pour justifier encore des investissements dans l'extraction de cuivre. Je ne dis pas qu'il nous faut du cuivre à cinq dollars, mais il nous faut du cuivre pour que la prochaine génération de mines de cuivre mis en production. au plan de la logistique, de l'alimentation en électricité, de l'infrastructure, c'est difficile avec ça, c'est coûteux. - Un autre spectateur nous interroge sur Tech Resources. ils augmentent la production de cuivre. Sur le point d'achever un produit, un projet de cuivre très important Chili qui devra entrer en production d'ici la fin de l'année qui doublera sa production de cuivre. - Oui. La production de cuivre est en expansion. une société métallurgique peut se transformer en producteur de cuivre nous travaillons que d'ici 2024, l'entreprise sera plus axée sur le cuivre que sur le charbon. À mon avis, c'est positif. Tech était refuge dans cet environnement. Pas d'échange de dette à court terme, beaucoup de liquidités, le projet touche à sa fin, les immobilisations seront moindres l'an prochain et l'accompagner bien placé pour bénéficier de la relance. Voilà un argument haussier en faveur donnée, écrit pour allumer des bâtons dans les roues? - Comme toutes les entreprises, une baisse importante des cours des métaux représenterait un vent contraire. Non pas un obstacle fatal, mais elles exerceraient des pressions sur le cours de l'action. La conjoncture de baisse significative des métaux que nous voyons aujourd'hui. Et que dire de l'extraction de cuivre? Vous avait parlé d'obstacles géographiques. Les difficultés attribuables à l'éloignement des gisements. Que dire des considérations politiques? - Certaines régions du monde sont moins propices politiquement, c'est vrai. Il faut surajouter le fait que les pays qui a éprouvent des difficultés à gérer les restrictions liées à la COVID qui ont un impact sur leur bilan sont avides de revenus. Nous assistons à une vague de nationalisation, surtout en Amérique latine. Le Chili par exemple annonçait un nouveau régime de redevances plus élevées pour les mines de cuivre. Il s'agit de défis supplémentaires que les entreprises doivent relever. cela entraînera selon un équilibre qui ne sera rétabli avec un coût plus élevé pour le cuivre. C'est un cercle vicieux, si vous voulez. Au niveau de l'augmentation des coûts et des prix. On nous demande si vous avez des inquiétudes quant à la demande d'uranium qui pourrait baisser de façon permanente en cas de récession. - L'uranium n'est pas vraiment exposé au cycle économique. Énergie nucléaire c'est une énergie qui tourne constamment, qui ne fluctue pas avec la demande. C'est cela qui assure la stabilité du réseau électrique d'un pays. Si celui-ci est doté de centrales nucléaires. Je pense que nous n'assisterons pas une réduction considérable de la demande d'uranium ou de l'énergie nucléaire en cas de récession. Atterrissage brutal ou non, récession ou non. - Et que dire des attitudes à l'égard de l'énergie nucléaire? Remontons à 2011. Je crois que c'est en 2011 qui a eu lieu l'accident de Fukushima. Il y a eu un changement d'attitude dans des pays comme l'Allemagne, qui ont décidé de se retirer du nucléaire. Pensez-vous que cette attitude antinucléaire évolue? - Bien sûr. L'énergie nucléaire est une électricité sans carbone. Si vous voulez sérieusement parvenir vos objectifs de réduction des émissions de carbone, je pense que l'énergie nucléaire peut jouer un rôle important au niveau du pays. Il y a eu une évolution des attitudes, aussi bien au niveau du public au niveau des gouvernements. En faveur de l'énergie nucléaire. C'est-à-dire que c'est un retour en vogue de l'énergie nucléaire. Nous assistons à ce phénomène au Japon, en Europe, sauf en Allemagne, en Amérique du Nord, le gouvernement Biden annonce de grands programmes à l'appui de l'énergie nucléaire. Il y a une nouvelle vague de technologies nucléaires s'en vienne, de petits réacteurs modulaires que différents pays envisagent de façon très positive. À risque moindre, exigeant moins d'immobilisation et proposant une production d'énergie à un niveau plus régional. Je pense que c'est l'avenir du nucléaire d'ici 20 à 30 ans. Ces petits réacteurs, on ne peut pas le garer dans son entrée de garage. - Non, maisc'est suffisant. - comme toujours, faites vos propres recherches. Nous reviendrons avec Greg Barnes. Je vous rappelle que vous pouvez nous poser vos questions en tout temps. Envoyer un courriel. À présent, notre séquence éducative. Nous nous intéressons à l'Istrie minière. CourtierWeb vous propose des outils. Caitlin Cormier, spécialiste de la formation chez Placements directs TD, expliquez-nous cela. - Volontiers. Sur Web broker, il existe d'excellents outils pour permettre son investissement dans différents secteurs et différentes industries. Dans le menu de CourtierWeb, nous appliquons sur recherche et puis sur survol. Nous arrivons une page très importante, c'est la page vous pouvait également trouver Parlons Argent en direct, mais beaucoup d'autres contenus fort intéressants. Déroulons en surveillant la gauche de la page. On voit apparaître des secteurs et des industries. Sous la rubrique des secteurs et industries, tous les différents secteurs sont inscrits avec leur comportement actuel, l'évolution en pourcentage, il nous faut également constater s'il y a une baisse ou une hausse. La couleur claire représentée baisse, la couleur plus foncée représente une progression. Il y a beaucoup de mouvements positifs récemment dans certains de ces secteurs, ce qui est généralement un signe favorable. Si vous vous intéressez un secteur en particulier, cliquons sur les produits de base. on trouve un complément d'information sur ce produit en particulier. Sous la rubrique de chaque sou secteur, ainsi que le comportement des sous secteurs sur différentes périodes. Beaucoup d'informations différentes que l'on retrouve sur cette page. - Merci beaucoup Caitlin. Mettons que vous nous voulions choisir un secteur spécifique pour obtenir davantage d'informations, comment pouvons-nous procéder? - Là où nous cliquant sur secteur, il est possible d'approfondir encore davantage. Si vous voulez voir quelles sont les entreprises les plus cotées, vous voyez les noms des cinq premiers titres dans ce secteur, ainsi que les cinq moins cotées. Vous pouvez fractionner les entreprises entre celles qui versent des dividendes élevés dans le bénéfice par action est en croissance ou dans le ratio entre le taux d'actualisation et la valeur aux livres est favorables. Il y a également une série de rapports que vous pouvez afficher. Voilà. Il s'agit d'un rapport circonstancié qui comporte des informations sur les indicateurs de confiance ainsi que sur les entreprises où il y a des achats nets d'initier et des ventes nettes d'initier afin de donner un instantané du degré de confiance au sein de l'industrie. - Comme d'habitude, merci beaucoup Caitlin. Caitlin Cormier est spécialiste en formation chez Placements directs TD. Ne manquez pas de visiter le centre d'apprentissage sur CourtierWeb. Avez-vous une question sujet déplacement ou des facteurs qui affectent le marché? Envoyez-nous votre question en nous envoyant un courriel en tout temps ou en saisissant votre question dans le cadre situé sur l'écran. Il suffit de cliquer sur envoyer. L'un de nos invités pourra peut-être vous répondre en direct. Nous revoici avec Greg Barnes, de valeurs mobilières TD, qui répond à vos questions sur le secteur minier. Tout le monde veut savoir comment la société Franco Nevada est positionnée. Parmi les actions de métaux précieux, est exposé au cours des produits de base. C'est essentiellement le facteur essentiel dans son chiffre d'affaires. Elle prélève une redevance sur la production d'or à très peu d'exposition aux pressions inflationnistes qui affectent les sociétés productrices, donc ce sont des compagnies qui sont bien mieux positionnées dans cet environnement ou le cours des produits de base diminue et les coûts augmentent. Il y a une compression des marges. Les compagnies perceptibles de redevance sont affectées par la baisse des cours, mais pas par la hausse des prix et ne sont donc pas affectés par cette compression des marges que les compagnies de production. Il est sans doute plus intéressant d'y investir dans un environnement inflationniste. Une société prête perceptible de redevance court effectivement moins de risques, mais qui pourrait leur nuire? - Il s'agit vraiment du cours du produit, du cours du métal. C'est à cela que ces compagnies sont exposées. Si le cours de l'or dégringole, elles vont s'en ressentir. Et puis là également certains risques politiques. Si les mines ont-elles tous des redevances sont nationalisés par le pays où la mine se trouve, cela ne se produit pas souvent, cela se produit. Nous recevons de nombreuses questions à l'intention de Greg sur le secteur minier. Qu'est-ce qui est plus important pour le cuivre, l'investissement ESG ou le risque de récession est l'élément négatif? Quel est l'arbitrage entre ces deux facteurs? - En définitive, c'est la demande qui détermine les cours. De loin, l'impact le plus important est le risque de récession. S'il y a un atterrissage brutal, la demande cuivre cesse d'augmenter ou diminuer. Il y aura une dégringolade des cours du cuivre. Nous l'avons déjà vu. le facteur ESG ajoute des coûts supplémentaires,(...) il faut attirer l'approbation du gouvernement, il faut une formation, il faut gérer les déchets de mines. Gérer les eaux usées. Ce sont des coûts supplémentaires mais ce n'est pas nouveau. Par ailleurs, c'est la demande qui détermine les cours des produits de base. Est-ce que les sociétés minières sont uniques à cet égard? On ajoute un cadre ESG qui paraît assez nouveau, mais vous dites que les sociétés minières s'y conforment déjà presque si spécifique au secteur minier? - Je ne compatis spécifique. Peut-être que le secteur énergétique présente les mêmes caractéristiques que le secteur minier, mais je crois que les sociétés minières gèrent ce problème depuis longtemps. Elles savent comment les gérer, et en général je pense qu'elle les gère bien. - Nous sommes à mi-chemin de la pause déjeuner. Jetons un coup d'œil sur les marchés financiers. L'indice composite TSX est en hausse. il y a divers à l'écran. 19 042 pour l'indice composite TSX, soit un bond de plus de 300. Aux 6 %. L'indice S&P 500 est également en cause un et quart comme nous le disions en début d'émission.. Les investisseurs se positionnent aujourd'hui(... ) revenons à vos questions l'intention de quoique bonne. Il s'agit du secteur minier. Que pensez-vous de Barrick Gold? - Avec les autres producteurs d'or, promet à ses investisseurs un rendement sur leur capital investi. Vient de mettre en œuvre une politique sur les dividendes comme beaucoup d'autres sociétés minières, dont les bilans sont solides et qui peuvent restituer des capitaux actionnaires. Je crois, en ce qui concerne les grandes compagnies aurifères, elles ont un profil inchangé depuis 10 ans. Il n'y a pas de croissance. Le secteur s'affranchit de la croissance. Mais l'idée d'investir dans un titre relié aux produits de base, ce que vous voulez davantage d'exposition aux produits sous-jacents. Les grandes compagnies comme Barrick cherche à établir un bon équilibre entre une modeste croissance par rapport à une production inchangée ou obèse. Leur production était en baisse il y a peut-être quatre ou cinq ans. Le problème est réglé mais doive-t-elle à présent afficher une croissance de la production? Je crois qu'elle doive potentiellement, ce qui susciterait de nouveau l'enthousiasme des investisseurs. Lesquels sont plutôt apathiques cette année. Le cours de l'or n'a pas fait grand-chose, il n'a pas baissé mais n'a pas augmenté non plus. Ce qui déçoit certaines personnes. Les entreprises sont en bonne posture, mais c'est un secteur qui ne suscite pas beaucoup d'intérêt. La question ne ramène à notre discussion antérieure sur les sociétés minières par rapport aux sociétés perceptibles de redevance. Précisément. C'est un choix stratégique. Encore une fois ce sont les pressions qui s'exercent sur les coûts qui favorisent l'exposition société préceptrice de redevance. - L'autre question du posé, véhicule électrique dans le contexte du cuivre. Notre spectateur demande quels sont les meilleurs métaux pour les batteries des véhicules électriques? Le nickel le cobalt et les lithiums sont les principales métaux qui entrent dans la fabrication d'une batterie de voiture. Quels sont les meilleurs? Les lithiums. A connu une augmentation spectaculaire du prix. Mais il a augmenté jusqu'à 70 $ le kilo. le cobalt, c'est plus difficile. L'essentiel de la production de cobalt dans le monde vie provient de la république démocratique du Congo. Le nickel, un élément clé de la fabrication des batteries, à long terme, il y aura suffisamment de nickel, mais les nickels produits surtout en Indonésie comportent une empreinte carbone très élevée. Vous produisez des véhicules électriques, mais avec un métal qui a une empreinte carbone très élevée. C'est donc un équilibre à établir. Il m'est difficile de dire que l'un des mytho est plus prometteur que l'autre. - Vous avez parler de l'approvisionnement de ces matériaux. Pour la première fois. Est-ce que les recyclages entrent en jeu? dans le passé, nous n'utilisions peut-être plus de nickel et les autres métaux de base. Pouvons-nous les récupérer? - Vous entrez dans un domaine que je connais moins bien. nous en sommes à un stade très précoce. - je vous rappelle que vous faites communiquer avec en tout temps. Si vous avez des questions. Vous pouvez nous envoyer vos questions soit par courriel en tout temps ou en saisissant votre question dans la case sous l'écran. Un de nos invités pourra peut-être vous répondre en direct. Approfondissons le comportement du marché. Commençons par l'indice composite TSX. Très positif pour la séance d'aujourd'hui. En hausse de 306; 1,6 %. Il y a eu des hauts et des bas récemment et un recul considérable par rapport au sommet atteint ce printemps. Il s'agit d'un marché qui évolue dans une direction favorable. Intéressons-nous à certains titres miniers. Un secteur qui a subi des pressions depuis quelque temps à cause de l'inquiétude à l'égard de la récession. Aujourd'hui, il y a un rebond, 7,93 $, soit en hausse de plus de 5 %. Après des mesures spectaculaires cette année, le cours du pétrole WTI a diminue en une session. Arthabaska Oil, en hausse. L'indice S&P 500, nous disions tout alors que le marché semble prévoir que la réserve fédérale et les autres banques centrales n'auront pas à être aussi énergiques dans leur haussement d'étau à plus long terme. Il y a certainement des augmentations de taux à court terme, y compris par notre banque centrale la semaine prochaine, mais le taux terminal ne sera peut-être pas aussi élevé que le client il y a 15 jours. Demain paraissent les chiffres de l'emploi, dans une quinzaine de chaussures de l'inflation. À surveiller pour les investisseurs stage déterministes comment faire les banques centrales. À présent, l'indice Nasdaq axé sur la technologie qui se comporte un peu mieux que les S&P 500, en hausse de 1,7 %. (... ) à présent, nous sommes de retour avec Greg Barnes. Nous avons parlé du secteur nucléaire, nous avons parlé de l'uranium. Avec l'intérêt actuel et garde nucléaire, que pensez-vous de titres comme Cameco? - Cameco est très bien positionné. Dans l'évolution que nous escomptons pour le secteur du combustible nucléaire. On prend ses distances avec l'approvisionnement en provenance de Russie. Jusqu'ici, tous les éléments de la chaîne d'approvisionnement en combustible nucléaire ainsi que dans l'enrichissement, la Russie joue un rôle très important. Puisque la Russie devenait un État paria pour l'Occident, les compagnies d'électricité nucléaire cherchaient des sources qui ne sont pas amies avec la Russie. Cameco est présent Canada, un des plus grands producteurs d'uranium, beaucoup de capacités de conversion et des nouvelles technologies pour le potentiel enrichissement. Extrêmement bien positionné pour bénéficier du retour nucléaire. Qui est en cours, croyons-nous. Et de la mise à l'écart de l'approvisionnement provenance de Russie. N'y a pas un risque pour Cameco? Vous avait dit que la Russie devenait un État paria pour l'Occident. Est-ce qu'il y a des facteurs qui sont négatifs pour Cameco à long terme? - le plus grand risque, c'est qu'il y ait un changement en profondeur dans les relations avec la Russie. que la Russie se retire de l'Ukraine et que la situation ne se normalise, je crois que ça va pas se produire mais ce serait un rite. Pour Cameco comme pour toutes les sociétés minières, il y a des risques techniques, que ce soit au niveau des minous des installations. Si quelque chose tourne mal, Cameco a eu des difficultés il y a 10 ou 15 ans. Les risques techniques et toujours(.. .) - nous avons évoqué un grand nombre d'éléments. Si nous devions conclure tout cela, que pensez-vous du secteur minier, que devons-nous savoir si quelques mots? - Ce que nous devons surtout savoir si quelques mois, c'est ce qui va se produire au niveau macro-économique. Une récession survient, les mentions ont déjà tenu compte dans les cours. S'il n'y a pas de récession, nous pourrions assister à une remontée très nette de ces titres. Les annonces par le premier ministre chinois d'un paquet de mesures de relance infra structurelle de 220 milliards, lorsque cela se répercutera sur la situation financière de la Chine, cela devra avoir un impact considérable sur la demande de métaux de base et ceux d'ici la fin de cette année ou le début 2023. Il n'y a pas que la récession dans l'accident, il y a également ce qui se passe en Chine. C'est un élément-clé fondamental pour l'avenir. - Bien sûr la Chine fluctue, il y a eu du confinement attribuable à la COVID, mais les investisseurs ne doivent pas oublier. J'aurais dû évoquer la Chine plutôt. La Chine consomme 50 % de la demande mondiale de ces métaux. Il s'agit du facteur qui affecte les prix. - Nous avons beaucoup apprécié votre participation. Greg Barnes, valeurs mobilières TD.de retour demain avec un palmarès des meilleurs commentaires la semaine. Je vous rappelle, s'agissant des marchés, un dernier coup d'œil car après la première, premier semaine de 2022, les hauts et les bas, c'est agréable de voir un peu de vert. Concluons en beauté en hausse de l'indice composite TSX, l'indice S&P 500, un bon de presque(. ..) beaucoup d'éléments de donnés importants qui attendent les investisseurs qui tentent de pronostiquer le deuxième semestre. Je vous rappelle que vous pouvez nous poser vos questions à l'avance. Vous n'êtes pas objets d'attendre que nous soyons en ondes. Envoyez-nous un courriel à MoneyTalkLive@TD.com. Voilà le temps dont nous disposions aujourd'hui. À demain!