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(musique) Bonjour Ici Greg Bonnell, bienvenue à Parlons d'argent en direct qui vous est présentée par Placements direct TD. Nous recevons des invités dont certains que vous ne verrez qu'ici. Alors nous adhérons répondre à vos questions sujet déplacement. Aujourd'hui je vais m'entretenir avec Anna Castro qui va nous indiquer ce que sont les occasions au milieu de toute cette volatilité dans les marchés et dans le même secteur apprentissage Caitlin Cormier va nous aider à établir des objectifs. Voici comment communiquer avec nous. Écrivez à cette adresse courriel ou alors cliquer sur la case au bas de l'écran et envoyez-nous vos questions. Alors mise à jour de ce qui se passe sur les marchés sévères aujourd'hui des deux côtés de la frontière d'abord chez-nous le TSX composite 19 074 un bon gain 165. Point. Un peu moins de 1 % d'avancée. Une remontée d'un peu plus d'un demi pour cent du côté des pétrolières et ça semble bon pour les titres pour les cours des deux côtés de la frontière. Côté technologie s'annonce positif. Shopify aujourd'hui une hausse de 2,5 % pour atteindre 40,55 cinquante-septièmes l'action. Les bonnes nouvelles de ce côté. Télégramme de presque 16 % aujourd'hui. Au sud de la frontière le S&P 500 vous voyez là que les choses se sont un peu calmées monter à partir du ralliement ces dernières journées. 2,3 % de hausse de ce côté. Le Nasdaq maintenant alors il y a des bilans aujourd'hui de société important on atteint 11 169. Une hausse de presque 2 %. Qui nous donne son bilan 1,2 % de hausse presque 104 $ l'action. Voilà pour les mises à jour des marchés. Alors ce qui est peut-être le marché obligataire le plus difficile depuis I siècle fait en sorte que les investisseurs conservateurs se posent des questions notre invité va nous dire que ça devient plus intéressant pour ce qui est des titres à revenu fixe. Anna Castro gestionnaire principale de portefeuille. Merci de m'avoir invité Greg. - Abordons ce qui préoccupe beaucoup d'investisseurs: quels sont les occasions de ce marché? Ça été difficile même pour les plus conservateurs il n'y a pas beaucoup d'endroits où aller se cacher comme on dit. - La plupart des investisseurs conservateurs sont un peu déstabilisés à l'heure actuelle, c'est ce qu'il y a de pire que marché obligataire depuis I siècle. Cette année, le marché obligataire a baissé bon pour l'indice canadien de 15 % ce qu'il y avait de pire auparavant c'était avant cette année, c'était environ 7 % de baisse. Et même des titres de créance de haute qualité bon du trésor aux États-Unis c'est à la baisse aussi donc voilà le contexte général alors actuel. Par ailleurs aussi, c'est un défi, il n'y a pas eu de diversification. Qu'est-ce que ça veut dire? - Est bien dans le passé il n'y a eu quand il y avait un chocolat aussi que les le cours des titres baissaient, c'était bon pour les titres à revenu fixe notamment les obligations des états et cette fois-ci comédien de l'inflation, les gens ont beaucoup vendu ses titres quand la Fed a commencé à hausser les taux de placement l'inflation intéresse pour cent des gens. Ce qu'on a connu de plus haut le plus élevé depuis 1988 au moment du dernier cycle de hausse des taux d'intérêt. On est parti presque de zéro comme ton intérêt six mois plus tard on était à 3 % pour les taux d'intérêt. Il y a à cause de cela évidemment les titres à revenu fixe en empathie. C'est vrai aussi des actions. Les actions canadiennes sentirent un peu mieux que les américaines probablement par ce que il y a beaucoup de titres qui sont liés au secteur de l'énergie et qui a tiré parti de l'inflation. Qu'est-ce qu'il faudra pour que ça devienne moins douloureux et que peut-être on trouve des occasions? Eh bien d'abord à court terme, nous prévoyons que la volatilité dans les titres obligataires demeure les croissances, les perspectives de croissance et des perspectives d'inflation pour se maintenir. Ce qu'il y a de positif, c'est que le cycle de hausse des taux d'intérêt et je pars de la Fed et des autres banques, on sait aussi les intérêts on a fait peut-être les deux tiers du chemin donc on ne parle plus d'une situation ou qui feront une pause l'année prochaine et on va commencer à constater des indicateurs économiques à l'effet que leurs efforts pour ralentir l'inflation et maîtriser semble fonctionner, donc il y a un ralentissement du côté de la fabrication et du côté des prix des matières premières, mais il y a quand même des hausses des salaires et les marchés du travail restent vigoureux il faudrait constater que l'inflation revienne au niveau qui les rassure donc la cible de 2 % et de savoir que Sabatier maintenir et ce qu'il y a de difficile, c'est que nous sommes habitués lorsque les banques centrales font quelque chose pour relever un défi dans les conditions de marché, il y a des conséquences, mais il y a des millions de gens et d'accompagner qui sont à l'œuvre et… pour ce qui est du marché de l'emploi, du marché du travail, il y a un certain ralentissement dans les hausses des salaires. Et du prix des loyers. Une fois qu'on a retrouvé ça, il y aura une plus grande stabilité et les banques centrales vont aborder l'inflation autrement. Donc est-ce qu'il faudrait vous poser la question pour les investisseurs qui s'intéressent aux actions, il faudrait que les prévisions de bénéfices baissent et même soient négatives. Écoutait-t-il titres à revenu fixe c'est intéressant, car cette volatilité du titre obligataire des conséquences. Les taux d'intérêt ont augmenté, donc les investisseurs dans les titres à revenu fixe comme peuvent être entretenir maintenant plus de revenus. Donc ça devrait faire en sorte que les obligations soient plus intéressants. - Oui tout à fait. On ne revient aux facteurs fondamentaux. Il y a en quelque sorte un contrat un emprunteur et un prêteur, ce sont les obligations donc il faut offrir un certain taux d'intérêt pour que ça rembourse le prêt. Donc comme investisseurs, vous obtenez plus, vu les taux d'intérêt plus élevé, il y a peut-être de la volatilité sur papier, mais vous obtenez quand même revenu et si vous faites preuve de diligence raisonnable, vous retrouvez vos fonds à un certain moment à l'avenir. Donc la diligence raisonnable quand on parle d'obligations c'est bien, mais quand on part les obligations soit des terres ou des obligations de société, obligations à rendement élevé, qu'est-ce qui paraît plus intéressant alors actuel? - D'abord et avant tout il faut faire devoir convie de le dire, peu importe le type d'obligations. Et dans ce cas, je vais vous indiquer ce que nous faisons dans nos portefeuilles. Donc nous avons une bonne équipe de répartitions des actifs qui nous aident à faire la diligence raisonnable il y a des occasions dans deux catégories. D'une part, ce qui est arrivé au taux d'intérêt, à la hausse font en sorte que les obligations sur l'échéance de deux ans pour la banque du Canada par exemple aux États-Unis, 4 % le gouvernement américain, et les obligations des sociétés de qualité élevée, des bons titres de créances, de bons émetteurs atteignent cinq ou 6 %. Et ce sont des titres de créance qui permet de rembourser le prêt en deux ans. Donc on s'assure nous que ce soient des sociétés solides et que peu importe ce qui se passera même s'il y avait un ralentissement économique, que vous obtiendrez… vous ferez vos frais. Donc c'est un domaine d'occasion à court terme. Par ailleurs, deuxième situation, deuxième titre intéressant, il y a une augmentation du rendement aussi à long terme. Donc pour les obligations à long terme au Canada et aux États-Unis, Pendant qu'on attend un renversement de la situation des combinaisons que je donne comme exemple de gérer de manière active nos portefeuilles en étant sélectif pour protéger nos capitaux et puis il y a une souplesse. On peut les vendre? - Oui on peut les vendre ses obligations tout à fait. Par exemple, il y a des indicateurs qui font qui nous font croire que les prévisions de croissance ont changé et on peut en tenir compte en se tournant vers l'avenir. On peut vendre ses obligations. Ce sont des instruments qui donnent une bonne liquidité et ça permettra à ce moment-là d'acheter des titres des actions qui sont prometteuses. - Quel est le plus grand risque? J'écoute ce que vous dîtes. Ça peut être très avantageux quel est le plus grand risque? C'est d'attendre les bonnes conditions? Et pour le plus grand risque, j'en signale deux en fait. Les taux d'intérêt ça serait un autre choc qui ferait encore grimper l'inflation et l'inflation qui risquerait de se maintenir et puis les banques centrales devrait être plus agressive plus ambitieuse pour les hausses de taux d'intérêt. Par ailleurs protéger donner une explication pour les obligations canadiennes et américaines à long terme. Si on n'a pas de ralentissement économique bientôt, on va peut-être attendre plus longtemps. Nous croyons que la récession c'est une question de temps, que ça va se produire on se trouvera attendre attendre jusqu'à ce qu'il y ait plus de mauvaises nouvelles pour que ce soit plus intéressant pour ce genre de position. - Bon début d'émission. Nous allons revenir à vos émissions à vos questions ce pour la les actifs. Vous pouvez communiquer avec nous par courriel à l'écran ou sur la case au bas de l'écran. Donc mise à jour de ce qui se passe dans le monde des affaires. Coca-Cola vient de hausser ses prévisions annuelles car il y a beaucoup de demandes en dépit pour le plus élevé de ces produits. Le géant doit payait plus cher ces produits et ces matières premières, mais il réussit à faire passer ses cours au consommateur. Donc hausse de presque 12 % du prix de vente de ces produits. Et hausse des volumes de vente. Alors les nouveaux véhicules aussi ses prévisions il dit que l'inflation n'a pas de conséquences sur la demande pour ces produits. Sa rivale Ford va nous livrer son bilan demain. Alors les chaînes d'approvisionnement difficile et l'inflation des conséquences pour Xerox et ses bénéfices pour le trimestre sont bien inférieurs à ce qui était prévu et qui Xerox prévoit que pour le reste de l'année ce sera difficile à cause de la rigueur du dollar américain. Alors les indices principaux sur (mot en anglais) une hausse de 148. Point. Au sud de la frontière et les grands noms de la technologie une hausse de 49 pour le STP cinq +1 de rose. Ce qui va répondre à vos questions sur la répartition des actifs. Qu'est-ce qu'on peut attendre la banque du Canada qui va intervenir demain? Il y a eu des rapports élevés en matière d'inflation la semaine dernière dont nous pensons que la banque du Canada va continuer de hausser ses taux d'intérêt peut-être de 75 point de base. Et puis, il se concentre de maîtriser l'inflation et il veut intervenir vigoureusement. Par ailleurs, il y a des préoccupations donc il faut évidemment défendre le dollar canadien donc que ce soit 50 60 15 point de base, mais tout n'est pas réglé encore. Nous pensons que ça va continuer de grimper. Mais la banque du Canada a parlé de la vigueur du dollar américain la faiblesse du dollar canadien. Donc nous importons beaucoup de choses des États-Unis. Ces inflationnistes, donc ce sera difficile pour la banque centrale de décider quoi faire, comment réduire la demande maintenant conduite qu'on achète beaucoup de choses du sud de la frontière. - Effectivement c'est là le défi pour toutes les banques centrales. Comment réussir à faire ça? Et comment aurait la crédibilité pour gérer ces problèmes d'inflation et il y a les loyers et les salaires et trouver un point d'équilibre en fonction aussi de ce que les consommateurs achètent. Donc, il y aura certains écarts, mais ils tiennent compte de tous ces facteurs. On est préoccupé évidemment de la dette des ménages et de ce qui se passe du côté du marché immobilier, surtout depuis la pandémie alors que les gens payent à peu près 0 % pour emprunter, maintenant ça a beaucoup changé. Alors qu'est-ce qui va se passer d'après vous? - La banque du Canada, les consommateurs canadiens sont présentés des surtout pour l'immobilier. Donc ils vont tenir compte pour voir à quel point ils sont ambitieux. Et c'est pourquoi nous prévoyons qu'ils font la fête au bout d'un certain temps mais pas pour l'instant. Il croit que le marché de l'emploi et le marché de la main-d'œuvre était vigoureux, il y a des problèmes d'approvisionnement et de la main-d'œuvre et des salaires élevés. Donc au fond, de leur compte quand même du fait que beaucoup de Canadiens sont très endettés. - Très bien! Quelque va se passer? La banque du Canada va intervenir demain sur ces questions. Une autre question. Quelles sont les grandes conséquences pour ce qui est de la Chine après le congrès du parti communiste? Ça été dur pour les technos technologie. - D'abord et avant tout, on avait prévu que le président de la Chine demeure au pouvoir, elle demeure en selle. Mais ce qui a étonné les gens, c'est que certains des grands dirigeants politiques ont changé. Maintenant ce sont tous des alliés du président chinois. Est-ce qu'il y aura des voies de la modération et de la dissension qui se feront entendre? Ce n'est pas évident, quand on pense aux gens qui ont été choisis pour éviter le pays et ce qui fait peur, c'est que le président renforce son emprise et vend peut-être de plus en plus insister sur des politiques ou idéologiques au lieu de s'assurer qu'il y ait une croissance économique à long terme. Donc ça pourrait signifier plus de tensions avec les États-Unis en matière de technologie de commerce et de disputes territoriales. C'est une préoccupation parmi les jeunes choses que les gens espéraient, ils allaient laisser tomber la politique de Covid-19. Qui est mauvaise évidemment pour l'économie, et puis un ralentissement dans le marché immobilier, donc c'est un catalyseur qu'on espère obtenir donc enfin ce ne sera plus la même politique en matière de Covid-19 et que la croissance économique prendrait, mais ce n'était pas clair qu'il le ferait à la suite du congrès du parti communiste de la Chine. Ça risque d'être reporté il n'y a pas non plus de mécanismes par rapport aux vaccins, il n'y a pas de plan. On dépassera au milieu de l'année prochaine vers la fin de l'année prochaine. Donc ce sont les grands facteurs et ça revient à ce qu'on disait quand on réfléchit au contexte général les gens que le président chinois a choisis pour l'entourer, ce sont des gens qui lui sont fidèles. Il y a un homme qui a été responsable du confinement pendant la Covid-19 et qui est toujours bien en selle lui aussi. Il suit les indications du président chinois, mais il est peut-être moins solide en matière d'économie, donc quand on voit de facto comme ça, on a un peu l'impression que le président renforce son emprise et que ça pourrait signifier une certaine instabilité ou une pratique préoccupation en matière de connaissances économiques et de tensions géopolitiques. - Et renforce son emprise il y a certains des grands noms des médias sociaux qui en subiront peut-être les conséquences il ne semble pas que le président chinois avait la même vision que ces compagnies leur pour renforcer ce secteur d'activité. Ça été dur pour les cours des actions. Quel a été les tensions entre ces compagnies semble bien s'en tirer le président de la chaîne? - Alors qu'est-ce qui compte pour la sécurité nationale et pour l'identité nationale chinoise et pour une économie plus inclusive, plus de concurrence? Il s'agit moins d'une petit antre du parti entrepreneurial. Et les chefs de file du secteur technologique sont un peu malmenés. S'il y a plus de tensions avec les Américains, il y aura toutes sortes de bras de fer et d'examen très serré de ces activités et ces compagnies technologiques ont des ambitions mondiales et ses tensions géopolitiques avec les États-Unis le reste du monde peuvent être négatives en matière de stabilité. - Très intéressant comme toujours. Assurez-vous de faire votre propre recherche avant d'investir. Nous reviendrons à vos questions tout à l'heure. Je vous rappelle que vous pouvez communiquer avec nous à tout moment à nous envoyer un courriel alors parlons maintenant formation. Apprentissage. Alors si vous voulez atteindre courtier Web a des outils pour vous aider. Caitlin Cormier qui est instructrice va nous donner des renseignements là-dessus avant la parole. - Bonjour Greg. C'est toujours un plaisir de vous retrouver. Alors un des fondements déplacements, c'est de fixer les objectifs avant de plonger il faut savoir évidemment pourquoi on économise, ce qu'on veut obtenir d'avoir un portrait très clair de nos objectifs. Plusieurs d'entre nous ne prenons pas toujours le temps requis pour le faire. Alors ça reste important de fixer des objectifs et heureusement courtier Web peut nous aider à cet égard. Donc annoncer directement dans courtier Web ce que nous allons faire c'est de cliquer sur l'onglet objectif en anglais, ça nous permet d'avancer de demeurer, donc il y a une option on peut choisir des objectifs en matière de retraite, des grands achats ou simplement de faire fructifier son argent. Garder l'esprit que peu importe pourquoi vous économisez, il faut toujours un plan. Donc par exemple, disons qu'on veut comme on aujourd'hui 30 ans, on veut disposer de 50 000 on veut économiser et investir 50 000 $ d'ici 45 ans afin d'acheter un chalet, et donc, on appelle l'objectif: chalet. On clique et on poursuit. Ensuite, la plate-forme demande quel genre d'investisseurs nous somme. C'est difficile de répondre, il faut réfléchir à plusieurs facteurs. Il faut bien se comprendre sur le plan des émotions et et voir ce qu'on cherche à obtenir comme rendement. Il y a ici quelques profils et on peut regarder une vidéo sur ces profils comparés dont je peux indiquer conservateur, modéré ou ambitieux et les comparer ils sont là côte à côte on voit les rendements historiques disque les niveaux de risques la répartition des actifs pour les divers profils ayant la possibilité d'avoir des renseignements plus détaillés pour en quoi ressemble-t-il répartition. Si je pense que modéré ça me décrit comme investisseur prudent alors voyons un peu c'est encore ressemblerait ce portefeuille. Donc les actions canadiennes et américaines internationales le type de placement pour le portefeuille et je vais maintenant… allez-y je vous interrompu, allez-y. - Je vais cliquer maintenant sur le choix de profil disons que ici, on peut choisir le compte dont on dispose pour atteindre l'objectif. On peut dire qu'on a déjà économisé par exemple 5000 $, qu'on pourrait investir et qu'on dit qu'on veut verser 100 $ aux deux semaines et on voit un peu ce qu'on économise au fil du temps. Ainsi, nous voyons les projections donc, le résultat est bon. On obtenir 50 minutes obtient 70 000. C'est très encourageant. On peut modifier l'âge cible, on peut décider ce qu'on veut atteindre l'objectif un peu plus tôt ou un peu plus tard si on était trop ambitieux, on modifie évidemment les cibles, les versements bihebdomadaires par exemple, c'est une façon rapide en répondant quelques questions, nous pensions atteindre l'objectif. Un grand musicien dit: la vie, c'est ce qui se passe quand on a bien établi les plans et qui se passe autre chose que n'avait pas prévue. Évidemment ce qu'on peut modifier nos plans alors? - Oui bien sûr. Donc on peut décider d'économiser plus ou moins aux deux semaines pour toutes sortes de raisons. Donc on s'assure que le plan est sauvegardé et on peut toujours y revenir, et revoir ce tableau de bord pour le modifier. Tout ce qu'il faut faire, c'est de cliquer sur nouveau détail, nouveau nouveau renseignements et modifier des ajustements. L'âge cible par exemple, on peut dire: 45. On peut dire que je ne vais verser que 75 $ aux deux semaines et on refait le calcul, un calcul plus réaliste. Je sauvegarde et je peux toujours y revenir. Et le modifier avec mes objectifs et ainsi de suite. Je revoir tous les types de renseignements que j'ai inscrits, les changer au fur et à mesure. Donc, c'est l'endroit où trouver tous les renseignements pouvoir vous en êtes, faire le suivi et voir si vous réussissez mieux que prévu et effectuer les modifications qui vous conviendraient en cours de route quand il y aura du changement. - Très bien c'est toujours intéressant de vous entendre Caitlin Cormier. Merci à Caitlin Cormier qui est instructrice et chez placement TD. Alors vous pouvez trouver toutes sortes de vidéos sur notre plate-forme et avant de revenir à vos questions sur la répartition des actifs je vous rappelle comment communiquer avec nous. Si vous avez une question matière de placement ou sur l'actualité des marchés, nous voulons vous entendre. Envoyez-nous vos questions. Il y a deux façons faire facile de procéder. Par courriel à tout moment, vous voyez l'adresse à l'écran. Ou utiliser la case pour les questions au bas de l'écran. Envoyez vos questions et on verra si un de nos invités peut vous répondre immédiatement. - De nouveau Anas Castro, vos questions sujet de la répartition des actifs. Quelque demande s'il est trop tard pour investir le secteur de l'énergie. - Ça dépend de votre horizon d'attente. Parce qu'au fond quand on réfléchit aux cycles en matière d'énergie à l'heure actuelle, pour ce secteur d'activité, il y a une offre limite. Donc ça devrait soutenir les cours du secteur énergétique cependant l'heure actuelle il s'agit de croissance économique et de risques de récession. Cela dit, cela établit un espèce de plafond plafond au courant matière de l'énergie. Les sociétés de ce secteur et leurs actions seraient sensibles à un risque de réduction de leurs multiples encore de récession. Par contre, si vous voulez placer de l'argent plus long terme, si vous réfléchissez au prix de l'énergie à très long terme, au fait qu'il y a une offre limitée, et le fait que la plupart des sociétés d'énergie au Canada ont une bonne capitalisation, un bon bilan, de bon flux de trésorerie, ça peut être très attrayant. Ça dépend au point où on est concentré sur le ralentissement économique les facteurs macro-économiques. - Très bien ça dépend évidemment de l'horizon oui tout à fait. Je pense qu'au Canada, c'est la raison pour laquelle les sociétés du secteur de l'énergie sans son bien – en dépit des chocs économiques au début de l'année ils ont eu de bons rendements sur les cours de l'énergie ont été un moteur inflationniste. Ces différents maintenant car on a maintenant moins d'argent qui est offert aux diverses compagnies l'offre limitée pour les immobilisations. Donc ça devient intéressant pour le plus long terme. Merci beaucoup et une autre question méthode. Les CPG évidemment. - Il reste qu'ils sont intéressants dans le secteur actuel. Encore une fois, ça dépend de la vente de la nature de vos besoins en matière de placement. Les CPG sur deux ans ou cinq ans sont à quatre ou 5 % l'heure actuelle et donc pour un investisseur, vous avez quand même la certitude malheur actuelle, vous perdez une certaine souplesse vous pensez de ce côté. Si vous voulez participer à la reprise du marché, plus tard, vous obtiendrez plus de échanges plus intéressants donc les CPG par contre, vous enferme pendant un certain temps et dans un contexte économique très variable, si l'on arrive à maîtriser l'inflation et si on pouvait mieux entrevoir une bonne croissance, on aurait une belle occasion évidemment d'acheter d'autres actifs que les CPG. Donc peut-être que vous perdez cette occasion d'obtenir de meilleurs rendements. --vous un parlé plutôt du marché obligataire. On peut évidemment vendre ses obligations alors que pour les CPG, c'est moins évident évidemment. Il faut vous demander ce qu'on essaie de réaliser. Et quel est le coût bénéfice, car vous n'avez pas des fonds à n'en plus finir. - Non, je n'ai pas des fonds illimités. Alors il faut penser à ce qu'on veut faire de ses dollars. Et penser à ses besoins comme investisseur. De façon générale, je pense qu'il faut vous concentrer sur vos plans maintenir vos placements en pension long terme. Ça vous permet d'envisager tous les scénarios possibles. Une autre qui est qui porte maintenant sur les reprises et les titres boursiers ont grimpé cette semaine, espérant peut-être des petits reprises comme ça avant qu'on atteint le creux? - Alors écoutait, si la question porte sur la possibilité d'avoir une reprise qui ne soit pas vraiment une reprise solide, la réponse est oui surtout à l'heure actuelle. Pourquoi est-ce que je réponds ici? Le positionnement des titres boursiers si difficiles, parce qu'il y a beaucoup de sentiments négatifs comme on dit. Donc… si vous avez un certain espoir ou moins de risque, ça peut intéressant. Mais il y a beaucoup de la part des banques centrales et de la Fed, d'examen très suivi. Où en faites plus tôt, les investisseurs se tournent beaucoup vers ce que font les banques centrales, notamment la fête. Et s'il pense que les banques centrales vont cesser les roses de notre intérêt, ça va procurer aux investisseurs beaucoup d'optimisme et ça pourrait changer la donne. Et pour ce qui est maintenant des bénéfices, il est trop tôt maintenant. C'est-à-dire que les attentes en matière de bénéfices, c'est trop tôt de savoir exactement ce qui va se passer. Alors il y a ce fameux mur de la peur de l'inflation de la Fed. Il y a peut-être des élections donc tôt ou tard il y aura peut-être une reprise à court terme. Mais pensez-vous que ça va perdurer? - Ça, c'est autre chose est-ce que ça vint une reprise permanente? Ça revient toujours à ce que va faire la fête. Il faudra que la Fed 16 de courir dans la même voix. Il faut qu'ils démontrent qu'ils sont capables de maintenir leur crédibilité. Ils ont été en retard dans le passé. Et le risque serait qu'il fasse une pause trop tôt. Ils ne sont pas obligés de réduire les taux d'intérêt, mais il faut qu'il maîtrise inflation. Nous nous concentrons sur la gestion content de l'inflation, mais la Fed doit s'assurer qu'il y a stabilité des prix sur une décennie. Donc c'est un autre mandat très important. Donc on viendra vos questions sur la répartition des actifs sur quelques instants. Assurez-vous de bien faire vos propres analyses avant de décider de placer vos fonds. Vous avez des questions matière de placement de l'actualité des marchés, nous inviter, vous entendre. Envoyez-nous vos questions. Les deux façons de procéder soient par courriel, vous voyez l'adresse à l'écran, ou en cliquant sur la boîte, la case des questions bas de votre écran. Alors tapez votre question, et envoyez-la nous. On verra si l'un de nos invités peut vous répondre sur notre plate-forme. Alors le prix du bois devrait à la baisse depuis le début de l'année, les taux d'intérêt bête pèsent lourd sur le marché immobilier et les prix se sont stabilisés dans certaines régions. Est-ce qu'on atteint le creux? Anthony Okolie von donnait des renseignements sur ces questions. - Quand il s'agit de ces questions, nous pensons que les prix des matières premières même s'ils sont un peu stabilisés, il y a eu des bonnes réductions du prix du bois d'œuvre et quand on voit le cours moyen, c'était à la baisse de 2,6 % pour la semaine du 17 octobre par opposition à un gain pour le TSX. Et 4 % pour le S&P 500. Quand on voit la baisse pour ce secteur d'activité, cet insecte baisse de 31,6 % alors que pour l'ensemble du marché en moyenne, c'est une baisse plutôt de 18,6 %. Alors la crise en Ukraine et puis ce qui se passe du côté de la Russie et de la Biélorussie et, ils sont responsables de responsables d'une grande partie d'exportation du bois d'œuvre et les sanctions resserraient les marchés. Quand on voit les prix sont en baisse de 70 % depuis le pic le sommet. Donc il y a un certain ralentissement. De plus, nous avons vu que la Fed est intervenue pour ce qui est des taux d'intérêt, ça a eu des conséquences sur les prix hypothécaires. Ce qui a ralenti le marché immobilier. Cependant,, pour ce qui est du marché du bois d'œuvre, les prix commencent à se stabiliser. Quand on voit certains types de produits, même une hausse de 7 %. Et pour les contrats à terme, il y a eu une hausse depuis la fin septembre. Et alors, on pense que cette résilience se maintient. Il y a eu la question évidemment des conflits avec la main-d'œuvre dans ce secteur. Alors voilà. Donc, il y a beaucoup d'incertitudes quant à ses perspectives, mais au prix actuel, qu'est-ce qu'on pense des perspectives de bénéfice pour ces compagnies? - On pense qu'en moyenne, (mot en anglais) sera d'environ 12 % ce qui est moins auparavant qui est à 61 %. Mais étant donné les facteurs négatifs quand même ça se tient bien. - Merci beaucoup Anthony. C'est Anthony Okolie convie d'entendre. Donc le TSX maintenant 165 point à la hausse pour atteindre 19 000. Une hausse de presque 1 %. Il y a aussi une hausse dans le secteur technologique limpide de 3/4 % la hausse pour atteindre l'action le groupe (mot en anglais) un peu à la baisse. Une baisse de 7 % en faites. Le S&P 500 c'est la saison des bilans on le sait. Donc c'est important comme saison. Cette saison des bilans le S&P 500 a augmenté de 1,3 % un gain de 50 point. Le Nasdaq secteur technologique c'est encore plus vigoureux 224 point à la hausse générale moteurs en en dépit de l'inflation en hausse de presque 5 %. Nous revenons maintenant à Anna Castro gestion de placements TD on parle de répartition des actifs. Pourquoi est-ce que beaucoup d'actions se vendent se transigent en fin de journée si fascinant comme question la raison principale, c'est que il y a des fonds qui cherchent à équilibrer leur portefeuille. Et vers la fin des du moi ou la fin des trimestres, il y a beaucoup de transactions à cause des options pour ces titres. Pour les (mot en anglais), parce qu'il faut rééquilibrer évidemment et s'il y a un effet de levier, c'est encore plus prononcé. C'est une des raisons qui expliquent ce phénomène. Alors qu'est-ce qui se passe dans les marchés? Et les risques au système financier. Il y a eu des préoccupations à l'effet que les hausses d'hôtel des taux d'intérêt de l'élève les banques centrales peuvent briser quelque chose dans le système financier. - Voilà une bonne question. À l'heure actuelle, nous constatons que les conditions financières sont resserrées mais pour ce qui est des prêts, ça semble bon. Contrairement ce qu'on a déjà vu dans le passé, on ne prévoit pas de crise financière mondiale. Du côté créance cependant à cause de ce qui se passe aux États-Unis, mais de la volatilité aussi qui provient d'ailleurs dans le monde, il y a un sujet qui a surgi à plusieurs reprises, c'est le manque de liquidités du côté des bons du trésor. La secrétaire a indiqué qu'elle suit la situation de près ça c'est positif le fait qu'il se rende compte qu'il y a quand même certains marchés ou y aurait moins de liquidités qu'auparavant. De façon plus large maintenant, plus englobante pour les risques de l'argent et les taux d'intérêt vont devoir grimperfinanciers, je suis plus préoccupé de ce qui se passe du côté des gouvernements, parce que ce qui est arrivé du côté Covid-1il y a des préoccupations en matière de marchés obligataires. Et si on veut stimuler l'économie de façon en utilisant des mesures fiscales, se faisant peut-être qu'on empire le problème de l'inflation. Ça ressemble à ce qu'on a vu récemment n'est-ce pas? - Tout à fait. On ne fixe ces dernières semaines. Et ce qui est inquiétant, et je suis tout ça de près, c'est que ça risque d'arriver de plus en plus pour certains types de marchés, y compris des marchés développés, pas simplement des marchés en développement et notre équipe suit ça de très près. Évidemment, on ne veut pas que les banques centrales soient politisées. Mais étant donné toute l'insécurité et l'inflation et le risque de soulèvement social, peut-être que ça rendra les choses plus volatiles. Alors votre invité avait raison de poser une question. À plus long terme, évidemment, il y a des risques en matière de politique fiscale, de politique monétaire, mais à plus long terme qui a d'autres risques? - À plus long terme, si je pense aux préoccupations plus long terme que je suis, je dirais un déplacement. Pendant des décennies maintenant, on a bénéficié de la mondialisation et de la paix. Étant donné évidemment la Covid-19 évidemment il y a eu des guerres commerciales, et on veut relocaliser les chaînes d'approvisionnement et donc, il y a plus de prudence pour ce qui est de l'activité entre les pays. Donc peut-être plus de protectionnisme et ça, ce sera un facteur inflationniste. Notre objectif est de sortir du contexte inflationniste, donc s'ajouteraient des frictions dans le système. - Avant de vous quitter j'ai juste une question au sujet de la question des bilans. On a des préoccupations et qu'est-ce que vous constatez? - Alors il n'y a eu que 20 à 25 % des compagnies qui ont émis leur bilan et ses 50 % des entreprises qui ont déposé leur bilan donc de façon générale, les recettes les chiffres d'affaires sont en hausse de presque 8 %. Donc ça dépend comment les compagnies ont géré leur marge bénéficiaire le secteur financier et bancaire il n'y a pas eu de préoccupations en matière de créance de crédit les consommateurs si solides, la main-d'œuvre s'est resserrée donc on ne voit pas de préoccupations pour ce qui est du passif des consommateurs. Chose importante pour cette saison des bilans, ce qui va compter, c'est ce qu'on annonce, pas pour ce trimestre ses légumes pour le trimestre à venir en vue de 2023. Comment s'annoncerait l'année 2023 aux yeux des compagnies qui vont nous faire part de leur bilan. Alors qu'est-ce que signifierait l'inflation pour la demande des consommateurs? - Toujours intéressant Anna c'est un plaisir de vous entendre. Merci beaucoup à Anna Castro. Gestionnaire principal de placement. Alors demain, James Orlando économiste principal sera notre invité, il va répondre à vos questions sur l'économie et ses réactions aux décisions de la banque du Canada et de la banque centrale en matière de taux d'intérêt. Donc envoyez-nous vos questions d'avance à cette adresse courriel et c'est tout pour aujourd'hui. Merci d'avoir été des nôtres et à demain!