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(musique) - Bonjour! nous serons aujourd'hui avec Robert Bothe stratèges macro-économique pour placement TD, puis dans le segment découverte, nous verrons les outils de tableaux disponibles sur la plate-forme. Voici comment vous pouvez nous rejoindre. Vous pouvez nous ecrire@moneytalklivetd.comou nous laisser commenter ici sur la boîte de questions. Dans votre écran. Parlons des marchés, d'abord et avant tout. C'est un peu un décisif au sud de la frontière aujourd'hui. Et les prévisions sont un peu décevantes, cependant c'était assez saignant à Toronto. Comme on l'a vu. Nous avons vu une faiblesse dans le segment alimentaire aujourd'hui. Donc très peu de changement sur l'indice composite SCP TSX. Shopify est un peu à la hausse aujourd'hui, donc, par la suite à la baisse de presque 4 %. Stelco est à la hausse de 5,5 %, donc suite au bénéfice qui ont été révélés, et puis le nom Stargate au S&P 500 nuit à l'indice. Target a réduit ses prévisions pour le quatrième trimestre. Nasdaq qui est très lourd du côté technologique est à la baisse d'un écart pour cent. Et il ose cependant suite à la publication de bénéfices montre un certain regain. À presque 5 %. Et ça, c'est la mise à jour sur vos marchés. - Le dernier rapport canadien était sur la consommation montre que si l'inflation demeure à élever, c'est maintenant le tabac 6,9 %. Selon notre invité du jour, on donne de diminution. (...) La santé qui se joignent à nous, formidable aide-nous à accueillir. Voyons un peu ce dont nous avons parlé aujourd'hui. Quand pensez-vous? Des données sur l'inflation? - Merci beaucoup. Je suis heureux d'être ici. Le consensus du marché. Donc, les prix ont plus ou moins staliniens. D'abord, il faut dire qu'avec une inflation de 6,9 % en octobre, on se trouve un peu sous les prévisions de la banque du Canada pour cette période. Donc, lors de leurs dernières prévisions en octobre, on atteignait 7,1. Cela pourrait donc jouer favorablement. C'est très élevé, évidemment, mais ça veut dire que les choses vont dans la bonne direction. Ensuite, l'inflation est toujours bien trop élevée pour notre zone de confort. Avec les mesures d'inflation qui ont donc été mises à l'avant par la banque du Canada. Donc les choses évidemment se dirigea la bonne direction, mais peut-être pas aussi rapidement qu'on aimerait le voir. Les taux d'inflation suggère que l'inflation pourrait dévorer un peu plus collante. Il se pourrait prendre un certain temps pour revoir les taux à la baisse. Il y a des éléments prometteurs, l'inflation quant au service c'est vraiment resté pas mal stable. - C'est intéressant, il y a eu des éléments relatifs comme l'énergie, le secteur alimentaire. Mais les services par contre, c'est assez stable. - Oui. Dans les services, ce que l'on voit, ça compense un peu les autres pressions. Par exemple que l'on voit dans le logement. Il y a les prix du logement, les prix résidentiels par rapport au prix de remplacement pour les propriétaires sur les mises en chantier au Canada par exemple, les coûts hypothécaires pour un nouvel achat, mais cela, la stabilité des services compense dans ce secteur. Et pointe vers le taux de changement moins rapide, et des mesures pour le secteur de l'énergie. Afficher les plus petites augmentations. Donc quant à leur taux, depuis longtemps. Dans ce rapport, il y a des choses pour les Colombie pour les faucons, comme vous l'avez dit. Alors, ça fait à peu près un an qu'on a vu des hausses constantes. Alors, le marché maintenant se situe pour la prochaine hausse entre 25 et 50 points de base. Cela ne change pas en effet. On verra donc ici des éléments faucons qui prévoient une hausse plus importante. Lorsque l'on voit la stabilité des services, c'est compensé par la volatilité de l'énergie. On pense que nous pensons que une hausse de 25 points de base serait plus prudent pour la réunion de décembre. Après la hausse de 50 points de base du mois passé. C'était moins que ceux à quoi on s'attendait. Ça a quand même réussi à ralentir un peu, refroidira de l'économie. On s'attend à ce que 25 points de base soient raisonnables, une approche donc axée sur la gestion du risque qui mène un parcours plus prudent. On s'attend à 25 points de base en décembre. Et en janvier d'eux-mêmes. Pour atteindre 2,45 %. - Est-ce que vous croyez que la banque du Canada et peut-être les autres, la Fed également se rendre compte qu'ils ont été un peu trop loin et que ça été un peu trop dur? - Dans 68 mois, on va plus pouvoir revoir une économie florissante, évidemment. Qu'en pensez-vous? Est-ce qu'on prévoit cela de votre côté? - Oui. C'est un bon point. La banque du Canada parle donc de commencer le cycle on tremble. On a vu ça en juin. De juin, et hausse de 50 points de base. Maintenant, on a atteint quand même une fourchette assez raisonnable, il est préférable de se tourner vers l'avenir pour voir les indicateurs précoces. Même au deuxième trimestre, il semble que ça fait bien longtemps que les taux d'intérêt étaient pas mal moindre que ce qu'on voit aujourd'hui. Habituellement ça prend un ou deux ans pour voir un peu le changement dans l'économie. Je crois que la banque doit avoir une approche un peu plus équilibrée. - Oui. Tout à fait. Que l'on parle de notre banque centrale ou de la banque générale, lorsqu'ils arrivent au point où ils peuvent s'arrêter, comment vont-ils arrive à y rester? C'est cela la question. Il y a bien le milieu de l'emprunt et de la dette se ressent dans tout cela, évidemment. Évidemment, ça dépend de quelques facteurs. Premièrement, il y a la perspective fractionnée. La banque va voir des signes très clairs quant aux attentes à l'égard de l'inflation. Vers le bas. Donc sur un parcours à la baisse avant de lever le pied. Et cela dépend des développements dans l'économie mondiale, des perturbations de chaînes approvisionnement qu'on a connues, si tout cela revient à la normalité, et comment l'économie canadienne répond à la hausse des taux qui a été mis en branle jusqu'ici. On comment savoir que ces hausses de taux ont des effets de refroidissement du marché est certainement du marché du logement. Nous pensons que lorsque l'IPC revient à 2 % à peu près, si les attentes inflationnistes demeurent donc à la baisse, nous croyons que la banque centrale au Canada pourra lever le pied un peu. Nous croyons que cela ne se produira probablement pas avant le premier trimestre de 2024. Nous croyons qu'il y aura un taux de 4,25 % jusque-là. - Merci beaucoup! Vous pouvez nous envoyer vos questions entoutcas@moneytalklivetd.com ou dans la boîte de question pas de votre écran. - Mais d'abord, un coup d'œil sur les marchés pour voir comment ça se passe. - Les ports de terre guettent, (...) à l'approche des fêtes de fin d'année, changement des habitudes de consommation peints sur l'inflation élevée, une préoccupation des familles remet à plus tard les achats discrétionnaires, que les produits alimentaires et les énergétiques creusent davantage leur budget. L'oblat, on connaît une baisse de 12 %. Par ailleurs, l'oblat fait un bond de près de 30 % sur le bénéfice net pour son plus récent trimestre par rapport à la même période en dernier, les bons de produits alimentaires dans les magasins, mesures clés du commerce de détail. Les ventes de pharmacie ont bondi de 7,7 %. La flambée de l'inflation inventaire est très élevée pour le bénéfice au troisième trimestre. Quant à la construction de logements Canada, ça ralentir notamment raison d'une baisse de la construction de condos dans les grandes villes. La société canadienne de relogement recherche une baisse de 11 % de mes enfants en sont sorties de Boileau. Morissette aura été le meilleur mois de l'année pour la construction de logements tout de même. Alors, voilà maintenant où en sont les marchés. Commençons ici, 21 %, un peu moins, un peu plus d'un 10e de pour cent. Voyons où en est l'indice composite. Une légère baisse. C'est assez stable. Donc vraiment un peu moins d'un demi pour cent. Nous sommes de retour avec Robert Bowth, nous allons créer vos questions sur l'économie. Donc nous voyons toujours quelles sont les questions des spectateurs. Nous entendons parler donc du licenciement massif dans les entreprises, est-ce que le marché du travail ton âge? - Oui. Le marché du travail Canada ces volatiles, on le sait. Mais à plus long terme que nous avons commencé à voir un peu de changement. Depuis six mois, la croissance de l'emploi atteint donc en moyenne 9000, et on comment savoir cependant une baisse. En général, il faut ajouter 20 à 25 000 emplois, par mois, pour avoir une stabilité du à la croissance de la population. Nous avons toujours 950 000 postes à combler. Nous avons commencé avoir un ralentissement là, seront de certain temps avant qu'il y ait un équilibre sain. Dans l'ensemble, marché du travail montre les signes d'un environnement de demandes excessives. Les postes à combler mettent la pression à la hausse sur les salaires et. . . les hausses de salaires atteignent presque 6 %, cinq et demis pour cent. C'est plus que ce qu'on a vu depuis bien longtemps. Évidemment, la banque du Canada veut éviter une spirale des salaires à la hausse. Est-ce que la banque y pense? Lorsqu'on constate le marché du travail et à quel point c'est serré, est-ce que la banque va continuer à hausser les taux? À ce point? Est-ce que l'inflation sera aussi collante? - Oui. C'est une rigidité. Qui arrive lorsque les salaires sont à la hausse. C'est difficile à refaire baisser, les salaires. La banque du Canada estime que sa croissance salariale est plus élevée que l'inflation baisse, il serait heureux de voir si ce scénario. Ce qu'ils ne veulent pas voir, ce sont des salaires et des conventions collectives soient signées pour 5 % de plus par année à partir de maintenant. Cela renforcera les attentes que l'inflation est là pour rester. Et cela pourrait mettre de la pression du côté de la demande. Au moment où on essaie activement de réduire la demande pour avoir un équilibre du côté de l'emploi. Nous ne sommes pas trop préoccupés en ce moment quant aux salaires, mais on suit la chose de très près. Nous espérons que peut-être l'emploi commence à montrer un certain ralentissement, le marché du travail qu'il y aura donc un peu moins de pression. Et qu'on atteindra l'équilibre. Slice qu'en est-il donc de vos perspectives de croissance? La récession prévue aura-t-elle lieu l'année prochaine, qu'en pensez-vous? - Nous estimons qu'il y aura une récession. L'économie canadienne résilience jusqu'ici, et dans la première partie de la moitié de l'année, on avait une croissance de prix de près de 3 %, mais on avait une baisse importante déjà. Et on voit cela davantage encore dans les fréquences mensuelles. Depuis mai, et on s'attend à ce que ça continue. Et on croit qu'il y aura une contraction pendant la première moitié de l'année prochaine. Notre prévision ces deux trimestres de croissance négative au début 2023, c'est une récession technique, mais nous croyons que ça se fera assez atténué. Lorsqu'on les autres secteurs qui sont sous pression, année prochaine, l'économie canadienne est en bonne position pour sous performer. Donc un facteur important. C'est le tampon qu'offre la croissance de la population. La population canadienne croit par 1,8 % d'année après année. Et c'est plus élevé que ce n'est ils ne l'étaient avant la COVID. L'avantage est une marge assez considérable. On ajoute 1,8 % de plus de gens chaque année et cela lisse donc la barre un peu pour le PIB. L'inflation est un propulseur important de cette croissance. De la population. Donc on statistique Canada suggère que la migration internationale contribue à la croissance potentielle de la population court des deux prochaines années, ce qui va aider à compenser pour la baisse que l'on prévoit. Nous croyons que la perspective de croissance est plus préoccupante, probablement cinq ou six trimestres avec des croissances de moins de 1 1/2 %. Quant aux contractions, ce sera atténué dans la première partie de l'année prochaine. Qu'est-ce que cela va déclencher cela? Quels sont les effets? - Il y aura plusieurs des faits, mais d'abord et avant tout, la persistance de l'inflation et l'ampleur. Ça pourrait être du à la perturbation des chaînes approvisionnement ou les attentes inflation qui prennent racine. Un ou l'autre de ces scénarios voudra dire une hausse supplémentaire de la banque Canada a davantage que ce qu'on prévoit également. Et accroîtrait la probabilité de ralentissement sévère en 2023. Mais en ce moment, avec un taux de 4,25 %, économie canadienne va vivre quelques trimestres de contraction, mais si on va beaucoup plus loin que cela, nous avons un secteur du logement très vulnérable. Il y a bien des familles canadiennes qui ont de la difficulté déjà à payer l'hypothèque. Et cela affecte les services quotidiens et les services (...) dans l'ensemble, je crois que c'est le scénario qui me préoccupe le plus. Donc, un atterrissage dur ou la banque du Canada hausse les taux davantage que ce que l'on prévoit. Où il y a une perturbation accrue des chaînes approvisionnement. Slice l'état de l'économie est donc intéressant, mais le risque de stagflation est toujours d'actualité? La stagflation est toujours à l'écran radar? C'est ça la question. - La stagflation est un terme à la mode en ce moment. Lorsqu'on discute d'un environnement où la croissance ralentit, et il y a contraction, tandis que l'inflation est pas mal plus élevé que la cible de la banque du Canada. C'est un environnement de stagflation. Ça diffère beaucoup du type de stagflation qu'on associe au début des années 80. Nous avons vécu à ce moment-là une chute beaucoup plus sévère et au ralentissement beaucoup plus sévère une inflation beaucoup plus importante. Dès la première le moitié de l'année prochaine, inflation va probablement atteindre quatre à cinq ou 6 % peut-être, selon ce qui se passe. Et nous estimons que la chute, ralentissement de l'économie soit pas mal atténué. D'autres participants font face à des difficultés beaucoup plus importantes, en Europe par exemple, rien une exposition beaucoup plus importante à la perturbation des chaînes approvisionnement. Et aux retombées de la guerre en Ukraine. Il y aura davantage d'inflation et une réflexion plus profonde au Canada, je ne crois pas qu'on va vivre ce genre de choses, un environnement ressemble au début des années 80, mais si vous voulez appeler ça une stagflation, il est plus difficile de nier le fait que la banque du Canada est limitée dans ce qu'elle peut faire pour cette perspective de ralentissement que l'on prévoit. Il y aura davantage de progrès, la déflation avant que le monde du Canada n'aboutisse. Il faut toujours faire ses propres recherches avant de prendre des décisions économiques revient vocation dans un instant. Avant tout, vous pouvez nous joindre@moneytalklivetd.com. Maintenant, passons au segment découverte. La performance historique des ports, c'est quelque chose que vous pouvez vouloir considérer dans vos investissements. De quoi avez-vous besoin pour vous aider à analyser votre portefeuille? Maintenant, nous allons parler à notre formatrice Nugwa Haruna qui va nous donner de l'information. Alors sur les tableaux, évidemment, nous voulons voir les mouvements historiques pour les titres. Pour les investisseurs qui font de l'analyse technique, c'est très important. Ceci croit que toute information est importante pour cette c'était déjà factorisée dans le prix. Donc, plutôt que quelqu'un qui est en analyse fondamentale et qui crois qu'il y a peut-être des titres sous-évalués, un technicien croit que c'est déjà imbriqué dans les prix. Voyons de quoi il s'agit. Un exécuteur peut aller cliquer sur recherche, et sur tableaux. Hélas, on peut regarder ici par exemple le titre. Voyons le tableau que l'on peut regarder. Un investisseur peut regarder des tableaux simplifiés comme ce que l'on voit ici à l'écran et qui montre les hauts et les bas du cours du titre. Et on peut changer cela en changeant le style par exemple (. ..) qui montre de l'information supplémentaire quand était l'ouverture, la fermeture, les hauts et les bas pendant la journée. L'investisseur peut rechercher des points d'entrée potentielle pour leur position. Et on peut donc utiliser la ligne de tendance pour voir ici où on n'en est. Ça peut être une tendance à la hausse, à la baisse, ça peut aider l'investisseur à identifier les points d'entrée ou de sortie. Alors, lorsqu'il s'agit de faire ce type d'analyse, les investisseurs doivent pouvoir faire leur propre recherche avant de décider de leurs investissements. - Oui, tout à fait. Les lignes de tendance temps d'être subjective. Je pourrais en placer une pour définir une position d'entrée, et la vôtre pourrait être différente. Donc, les investisseurs qui commencent ne pourraient ne pas être à l'aise avec ça et peuvent utiliser les éléments techniques d'un courtier Web. Et nous pouvons donc utiliser l'onglet technique. Où on peut voir des lignes de tendances ainsi que d'autres indicateurs plus les analyses techniques utilisent pour identifier par exemple les événements aussi prévus par exemple dans le cours de l'action ou des événements baissiers et ça permet donc aux investisseurs d'avoir un bon regard là-dessus. Et d'avoir les tendances les plus populaires, dont la puis la résistance. Et cette information est déjà là dans courtier Web. Il faut que ça corresponde à l'horizon temporel d'un placement. Ça permet à l'investisseur d'avoir un éducateur. Et on peut trouver davantage d'informations sur l'onglet éducation ici qui est représenté par cet onglet. Et ici, on voit une ventilation de divers indicateurs et des tendances, et (... ) et cela donne davantage d'informations aux investisseurs pour ajouter à la trousse à outils. Alors, nous avons eu beaucoup de techniciens qui sont venus ici au cours des années. J'ai été heureux qu'il s'en occupe et pas moi! Merci beaucoup! C'était formidable d'être avec vous. Slice merci beaucoup! Nous allons donc revenir à notre invité, mais ordre que je voulais vous dire d'aller voir les informations techniques sur courtier Web et toute la formation qui vous est disponible. Revenons maintenant à Robert Bowth dans un instant. Est-ce que une question sur les investissements ou source qui propulse les marchés? Nous inviter veut accueillir vos questions. Vous pouvez nous les envoyer de manière par courriel à moneytalklivetd.com où vous n'avez qu'à utiliser la case de questions va de votre écran. Vous n'avez qu'à écrire votre question et appuyer sur envoyer. Peut-être que notre invité pourra vous répondre en direct ici. Nous sommes de retour avec Robert Bowth haute pour accueillir vos questions. Plusieurs personnes indiquent que les taux à la hausse n'ont aucun sens parce que cette vague d'inflation n'est pas naturelle. Est-ce qu'il y a une bonne façon de penser à cela? - Oui. C'est une question difficile. Parce que c'est une situation qui impacte beaucoup de familles canadiennes. Donc, élément-clé à comprendre, c'est que l'alternative est encore plus difficile comme perspective. Si la banque du Canada rabaisse les taux et que l'inflation n'est pas contrôlée, ce sera beaucoup plus fine difficile dans ce scénario. Nous verrons en fait finalement des hausses par la suite à plus de quatre écarts pour cent. Et donc pour les familles canadiennes très endettées, cela sera probablement difficile avec une chute de l'économie encore plus importante. Parlons aussi, les gens parlent des développements mondiaux comme étant le moteur de l'inflation. Du côté de l'approvisionnement, c'est peut-être vrai. Peu de chose de la vente Canada peut faire à court terme. À long terme, et peut accroître le provisionnement avec la main-d'œuvre active, faire venir des travailleurs au pays des mesures pour accroître la productivité. L'investissement du PIB qui est peut-être un peu plus faible que ce que l'on voudrait au cours des cinq dernières années, mais au bout du compte, ce sont des éléments que le monde du Canada ne contrôle pas. Il n'y a rien là que l'on peut hausser très rapidement. La banque a très peu de leviers. À part des taux d'intérêt accru, car il faut que l'offre et la demande revienne en équilibre nous avons pas vu de progrès suffisant du côté de la perturbation mondiale de l'approvisionnement pour voir l'équilibre. Il faut donc refroidir la demande et je crois que la banque du Canada a été très claire quant au moteur de leur prise de décision politique et ça va continuer de l'être. Il n'y a pas beaucoup de décision facile à prendre, et c'est probablement la meilleure, la meilleure solution, par ce que de laisser l'inflation aller de l'avant sans juguler les taux d'intérêt, ce serait encore pire. Avec toutes ces hausses, nous voulons avoir votre point de vue sur le marché du logement. Donc quels seraient vos perspectives pour le logement cette année? - On ne peut jamais discuter de l'économie canadienne sont touchés au logement. Bien. Comme le gouverneur de la banque la dit, les taux d'intérêt plus élevé refroidissent donc les taux hypothécaires. Les ventes hypothécaires. Les ventes sont à la baisse de 50 à 60 % par rapport à l'an passé. Les prix du logement sont à la baisse entre 15 et 20 pour cent en février. Nous croyons que cela va atteindre 25 à 25 % encore. Donc c'est une correction importante du marché résidentiel au Canada. 25 % historiquement, on n'a pas vu ça souvent. Si on prend du recul que l'on regarde la performance depuis 2020, étant donné les gains de la COVID, ces à peu près la moitié de ses gains. C'est une correction modérée et qui atteindra 10 ou 15 %. Nous croyons que les ventes et les prix vont continuer à baisser après l'hiver, mais les tests, on le verra au printemps. Avec les taux hypothécaires que l'on connaît. Et la demande saisonnière élevée tous les ans. Donc un élément qui atténue tout cela, c'est cette importante croissance de la population, y compris l'immigration qui soutient l'immobilier, à un moment où le sentiment général contour vente et au prix de l'immobilier ont été très négative. Et cela limite le scénario négatif. Tout marché du logement qui est sous bâti et où on a une population de 500 000 personnes de plus par année, cela ne peut qu'être un élément de comparaison pour tous ces gens qui chercheront à se loger. Au cours des cinq à six mois, va peut-être revenir à des taux de pré COVID. Des prix pré COVID quant au logement, et puis on verra par la suite. Le marché du logement appris évidemment un coup dur au cours des derniers mois. Ce n'est pas assez pour changer fondamentalement la psychologie du logement. Je crois qu'il est trop tôt pour le dire. - C'est un retrait un peu ordonné finalement. Et je regarde la chose, ne semble pas avoir de cible de vente nécessaire. Deux gens qui ont du vendre absolument. Là où on n'en a pas vu beaucoup de ses ventes forcées. Plusieurs vendeurs potentiels sont donc hypothéqués pour trois ou quatre ans encore. On a vu encore le nombre de résidences en vente qui était à la baisse également. Et ça permet de réduire le scénario de baisse des coûts du résidentiel. Et on va évidemment continuer à surveiller cela. - Merci. C'est toujours très intéressant pour le marché du logement et les questions qui arrivent là-dessus, parlons de la force de leur américain maintenant. Était en train finalement de s'estomper et quelles sont les conséquences pour le huard? - C'est très difficile de discuter du dollar canadien sans reconnaître le dollar américain. Les devises, on n'en discute souvent, du dollar canadien, évidemment de l'économie canadienne, mais il y a des développements États-Unis qui propulsent souvent notre huard. On avise le dollar américain baisser un peu au cours des quelques dernières semaines, je crois que cela reflète le fait que les marchés s'attendaient peut-être à un niveau par la Fed, des hausses plus légères, mais ce qu'il rate peut-être éthique le gouverneur paroi en novembre à 10 qu'il s'attend à ce que le taux terminal soit plus élevé que ceux à quoi il s'attendait auparavant. Alors je crois que l'affaiblissement du dollar américain et surfait. Je crois qu'à court terme, on va pouvoir arriver à peut-être qu'on avait auparavant, par rapport au dollar américain. En 2023 et 2024, je crois qu'on va avoir le dollar canadien revenir à cette fourchette qui a diminué la première moitié de ces années, 78 et 80 sou au dollar. Est-ce que ça va nous aider à lutter contre l'inflation? Parce qu'il était aussi préoccupé de la force dollar américain. Et qui donc pouvait influencer l'inflation ici. - Oui. Ça rend les choses un peu plus difficiles pour le monde Canada en a parlé. L'impact d'un dollar canadien puisse plus faible. La banque ne discute pas généralement de la devise, mais lorsque elle bouge rapidement, cela peut avoir donc un effet sur les perspectives inflationnistes avec la stabilité récente cependant, ou la reprise du dollar canadien, je crois que ça enlève un peu de cette préoccupation au Canada dans la mesure où la banque canadienne ne tiendra pas compte de cela pour hausser davantage les taux. Ils sont plus préoccupés de la volatilité et de la rapidité du déclin de la valeur de la devise. Le dollar canadien est une préoccupation secondaire ou même tertiaire. - D'accord. On revient à vos questions dans un instant. On vous demande toujours faire vos propres recherches avant de prendre les décisions de placement et vous pouvez vos questions en tout temps si vous avez une question, nos invités veulent bien y répondre. Envoyez-nous vos questions de deux manières: par courriel moneytalklivetd.com ou la case des questions sous votre plate-forme courtiers ouais. Voyons si on peut répondre à vos questions ici à MoneyTalk live. Nous arrivons à la fin de saison des bénéfices, ce seront les grandes banques termineront. Voyons ce qui se passe ici Anthony. - On s'attend à ce que les grandes banques rapportent un ratio CB à la baisse de 2 % par rapport à l'an passé. C'est que on s'attend à ce que les grandes banques mettent de l'avant davantage de réserve pour des mauvaises créances. Étant donné donc l'environnement économique un peu moins favorable. Donc le risque de crédit les préoccupe. On a vu les hauts niveaux d'endettement au Canada. Par exemple les coûts hypothécaires également, et les taux d'intérêt plus élevé pourraient affecter cela. Alors, évidemment il y avait donc des faibles niveaux de perte de crédit ou de défauts, mais on s'attend tout de même avoir cela à la hausse. On pense que les revenus mon cœur seront à la baisse de 35 % sur 12 mois. Et que les investissements et les revenus de négociation seront stables. C'est ce qu'on a vu aux banques américaines. On s'attend aussi à ce que le point de mire sera sur les revenus d'intérêts honnêtes et les marges d'intérêt ne pour les grandes banques canadiennes et on prévoit ce revenu net d'intérêt à la hausse de 18,9 % année surannés. Au quatrième trimestre. Est la raison pour laquelle c'est important, c'est que ce sera l'année la plus forte d'amélioration quant au revenu d'intérêts honnêtes pour les grandes banques depuis 10 ans. Quant aux banques régionales, nous allons suivre des thèmes clés, les marges. On pense que le cours de l'action des banques régionales est vraiment lié à la performance de la marche. Et depuis que le monde Canada comme commenter la hausse, le cycle de hausse, les coûts de financement se sont accrus davantage que le coût de l'actif. Et cela affecte les banques moins riches en dépôt. On s'attend à ce que la marge nette d'intérêt s'accroisse d'un ou deux: que celle des grandes banques. Par ailleurs, il y a aussi la croissance de l'emprunt qui est à la baisse pour les blancs banques régionales comme on l'a vu aux États-Unis. Même si on s'attend à une croissance positive. Mais faibles. Au quatrième trimestre. - Merci! C'est intéressant de voir ce qui va se passer à la fin de cette saison des bénéfices lorsqu'il s'agit de provision plus élevée pour les banques, qu'est-ce que ça va vouloir dire pour le cours bénéfices? - Oui. Nous avons abaissé l'estimé du ratio CB. D'à peu près 10 points de base. Pour les volumes d'hypothèque résidentielle de chaque banque. Et aussi les prix ciblés sont à la baisse pour chaque grande bande. - Merci beaucoup. C'est toujours un plaisir. Voyons les marchés, où nous en sommes. L'indice composite TSX un peu à la baisse aujourd'hui, rien de dramatique. 1/10 de pour cent, un peu plus. C'est toujours la seront des bénéfiques, voyons ce que on a à nous dire. La hausse de 2,3 %. Accroissement des bénéfices de plus de 30 % par rapport à l'an passé. Donc nous avons des pressions à la baisse. Étant donné le pétrole, le coût pétrolier. Donc un peu à la baisse de 1,75 %, au sud de la frontière, il y a les bénéfices de Stargate qui ont un effet, mais il y a eu quand même de bons bénéfices de la part de Walmart qui compense également cela. Un tout petit peu à la baisse d'un demi pour cent. Nasdaq redonne certains des gains récentes, 1,37 % à la baisse. Nous voyons Target est une préoccupation aujourd'hui pour l'espace détail. Il se négocie à 158, à la baisse de presque 12 %. - On est de retour avec Robert botte de TD. Donc vos questions! Que se passe-t-il aussi de la frontière avec la fête? Quand est-ce que la Fed va réduire son cycle de hausse? - La Fed a vraiment fait du bruit en novembre. Le gouverneur pas au a indiqué peut-être des hausses avenir plus faibles, mais que le point terminal de ce cycle pourrait être un peu plus élevé que ce qui avait été prévu pendant les réunions précédentes. Je crois que les marchés ont trop misé sur la première partie de cela. C'est un développement plus faucon. Si la fête pensa aussi davantage que nous croyons que cela atteigne 5 % peut-être. Donc des hausses de 50 points de base en décembre. Et en février, à notre avis. Puis ça passera à 25 points de base en marche et en mai. L'économie américaine a été beaucoup plus résilience au taux d'intérêt élevé au Canada. Si on regarde le ratio endettement sur la masse salariale, 260 000 emplois. Et on n'a pas vu de ralentissement dans le marché du travail. Le rapport sur l'inflation fondée. Le pourcentage plus élevé au Canada. Donc la réserve faite à du pain sur la planche. Mais l'économie américaine résilience. Il s'agit en fait du secteur immobilier ou là-bas, ils sont hypothéqués pour beaucoup plus longtemps. Au Canada, on est endetté de manière bien plus prononcée. Et les Canadiens dépensaient 13 ou 14 % de leurs revenus sur le paiement de la dette avant les hausses et aux États-Unis, c'est de neuf à 10 %. Les Canadiens sont beaucoup plus sensibles aux politiques monétaires qui se réfèrent qu'aux États-Unis, nous croyons donc que la Fed va finir par avoir des hausses au bout du compte 225 points de base de plus qu'au Canada. Et cela sera donc prononcé. - Merci beaucoup, d'être avec nous. Merci de vous être joint à nous. Notre stratège en macroéconomie sera demain, Brian Rodgers sera avec nous. Notre formateur espère pour la clientèle. On jettera un coup d'œil sur la plate-forme. Et vous pouvez nous poser nos questions moneytalklivetd. com. C'est tout le temps que nous avons aujourd'hui. Merci d'avoir été là et à demain!