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(musique) Bonjour, ici Greg Bonnell. Bienvenue à Parlons Argent en direct, une nouvelle émission quotidienne Placements directs TD sur CourtierWeb. Chaque jour, nos invités commentent l'actualité du marché et répondre à vos questions sur les placements. À l'émission d'aujourd'hui, la combinaison de la flambée des coûts d'emprunt et de l'augmentation des coûts de construction pourraient-elles entraîner un recul important du secteur de l'immobilier? Colin Lynch, de Gestion d'actifs TD, nous répond. Dans notre séquence de formation, nous allons étudier la manière d'utiliser CourtierWeb pour faire des recherches sur les fiducies placements. Pour nous rejoindre, envoyer un courriel, MoneyTalkLive@TD.com ou saisissez votre question dans la quantité sous l'écran. Tout d'abord, une mise à jour sur les marchés. Nombres d'événements sont attendus cette semaine. En ce début de semaine, les indicateurs sont au vert. L'indice TSX composite est en hausse de quelque 122 points. Les titres de l'énergie sont en hausse. Cenovus Energy a augmenté de 5 %, jusqu'à 22,90 $ l'action. Certaines compagnies de mines d'or sont sous pression en revanche. La compagnie Barrick est à 19,18 $ l'action, en baisse de 3 %. Aux États-Unis, l'indice S&P 500 instantané des marchés américains est modestement positif, en hausse de un cinquième de pour cent. Il s'agit d'une semaine importante, non seulement entrons nous dans le vif de la saison des annonces de bénéfices, mais bien entendu, la banque fédérale de réserve mercredi va annoncer selon les attentes du marché une hausse de 75 points de son taux directeur. Indice Nasdaq, spécialisée dans la technologie, affiche un certain affaiblissement. Malgré le redressement léger de l'ensemble du marché. En baisse de près d'un demi pour cent, soit 55 points de base. Parmi les titres qui plombent l'indice de la technologie, les fabricants de puces et en particulier NVIDIA, sont en baisse. les augmentations de taux directeurs des banques centrales visant à juguler l'inflation (... ) les secteurs les plus vulnérables et peut-être immobiliers. Ce secteur est-il appelé à vive des péripéties? Nous interrogeons Colin Lynch, chef des placements mondiaux chez placements TD. Avec les mesures énergiques prises par les banques centrales, nous vivons une époque mouvementée. Qu'est-ce qui s'annonce pour l'immobilier? - Tout d'abord, ça me fait plaisir de de nouveau sur votre plateau. Je vous remercie de m'avoir invité. Ces deux facteurs sont pertinents pour l'immobilier. Il y a les coûts de construction, main-d'œuvre, matériaux, acier, ciment. Il s'agit autant d'intrants dans le coût de la construction d'un immeuble neuf. Avec l'inflation, le coût de la construction augmente. À l'achèvement de l'immeuble, dans un environnement l'inflation est élevée, théoriquement, la valeur des immeubles augmente en partie parce que le coût de la construction des immeubles neufs augmente également. Il y a d'autres facteurs sont reliés aux revenus. Quand on songe à la valeur d'un bien, si le revenu colon entier augmente au fil du temps, la valeur du bien devrait également augmenter. Quelle forme prenne les revenus de l'immobilier? Les loyers. Dans un environnement de forte inflation, les loyers augmentent sous l'effet de l'inflation, théoriquement encore, revenus des biens immobiliers devraient augmenter et la valeur de ceux-ci. Une mise en garde, comme dans tout autre entreprise, il y a non seulement les revenus et les dépenses. Les loyers constituent les revenus. En quoi consistent les dépenses? Les coûts d'entretien, de nettoyage des immeubles et les coûts d'immobilisation. Ceux-ci peuvent également augmenter. Théoriquement, les revenus des immeubles devraient augmenter et donc leur valeur. - C'est intéressant. L'inflation nous amène à nous inquiéter d'un certain nombre de choses en tant qu'investisseur, mais ce n'est peut-être pas négatif pour l'immobilier. ça peut être positif? - Tout à fait. en général, cela ne lèse pas l'immobilier. C'est là que des difficultés surgissent car c'est la croissance de l'économie qui influence la croissance des revenus. Si vos dépenses augmentent avec l'inflation et que vos loyers sont à la traîne, vous avez des problèmes. Ça c'est pour l'inflation. Et puis, il y a les banques centrales. Que signifie une augmentation des taux? En définitive, cela signifie que le coût des affaires augmente. S'agissant de l'immobilier, c'est le coût de l'emprunt. Emprunt pour exploiter l'entreprise ou pour construire un nouvel immeuble. Ce qui accroît encore les dépenses, que vous construisiez ou que vous exploitez, selon que vous avez un levier ou pas. Cela augmente le profil de risque pour l'immobilier mais cela devient très important de comprendre s'il y a un endettement, en vue de construire ou d'exploiter l'immeuble, et le cas échéant, quelle somme ce levier prend-il. C'est de plus en plus difficile au fur et à mesure que l'inflation augmente. Il y a un an, 18 mois, on aurait pensé que les banques centrales auraient commencé à augmenter les taux à un moment donné en 2023. Et puis, ce serait très lent, très progressif. Or, l'ampleur des augmentations de taux que nous avons vue ont anticipé sur bon nombre de ces augmentations. Est-ce qu'il y a d'autres secteurs où les coûts augmentent aussi rapidement. Que les projets risquent de ne pas être réalisés? - Oui, il y a des projets qu'ils aiment pas être réalisés. Avons-nous encore vu cette constatation? Pas encore, parce que nous sommes non pas au niveau absolu, mais temporel. Lorsque nous nous songeons même pas à augmenter les taux, jusqu'à aujourd'hui, ce serait différent des siècles précédents. Ça prend un certain temps pour que les conséquences des augmentations des taux se répercutent dans le système. Dans le cas des promoteurs immobiliers, il faut un certain temps pour procéder à ces ajustements. Aujourd'hui, il y a beaucoup de pose des éléments qui allaient être mis en marché, par exemple la construction d'immeubles en copropriété. À présent, les gens se disent que ce n'est peut-être pas le moment, qu'on va voir comment les choses progressent plus tard. Cela n'a pas entraîné un grand nombre d'annulations de projets, je pense qu'il y en aura quelques-unes au fur et à mesure que les calculs ont changées. Si nous réalisions devant un public en direct, quand on parle d'immobilier, quelqu'un va prononcer le mot effondrement. quelles sont les chances que nous assistions un effondrement de l'immobilier résidentiel? Est-ce trop alarmiste? - Il y a eu des effondrements dans le passé et ses effondrements étaient déclenchés par diverses raisons. Aujourd'hui, le risque d'un véritable effondrement est relativement faible. Le risque d'un déclin est relativement considérable. Quelle est la différence entre les déclins l'effondrement? Au Canada, il y a toujours un certain nombre de facteurs sont à l'œuvre. D'abord une forte croissance démographique, attribuable à l'immigration. Le Canada est considéré comme un pays où il est intéressant de s'installer. Une forte croissance démographique augmente les chances d'une prolongation de la croissance économique. Ce n'est pas une certitude, mais c'est plus probable. Compte tenu du fait que l'immobilier est au service de la société, au service de l'économie, l'immobilier propose des lieux où s'installer, ou vivre, ou encore fabriquer et distribuer des biens et des services. S'il y a un plus grand nombre de gens qui arrivaient un pays, davantage de gens qui occupent des emplois, cela signifie à long terme et l'immobilier est placé sur une base solide à long terme. À court terme, la base est également solide puisque le gouvernement fédéral augmente les cibles d'immigration. Cela aide de toute évidence, il y a des facteurs défavorables. Augmentation des coûts d'emprunt, inquiétudes quant à la croissance économique à long terme,. Dans l'ouest, une crise de l'énergie a sans doute empiré, ce qui a suscité l'optimiste, et donc le risque d'un déclin à court terme existe mais un effondrement pur et simple semble peu probable. On pourrait tirer des conclusions semblables, sinon identiques, ailleurs dans le monde. Les États-Unis ont subi la grande crise financière en 2008. Le Royaume-Uni également. La proportion d'endettement dans le système est nettement plus basse aujourd'hui qu'elle ne l'était en 2008. À une époque comme aujourd'hui, lorsque les coûts d'emprunt augmentent, c'est positif. On pourrait donc procéder à une analyse marchée par marché et constater qu'il existe un risque, c'est certain, mais qu'un effondrement plein et entier ne semble pas probable. - Nous allons revenir à vos questions dans quelques instants l'intention de Colin Lynch, des services immobiliers de Gestion d'actifs TD. Pour nous poser une question, envoyez-nous un courriel MoneyTalkLive@TD.com ou saisissez la dans la constitution écran. À présent, actualité du monde des affaires. L'inflation galopante la morosité du cours de leur affecter les bénéfices Newmont. Avec l'augmentation du coût de main-d'œuvre, de matériaux et d'énergie, les prix de l'or sont sous pression à cause de l'augmentation vertigineuse du dollar américain et des augmentations de taux. Newmont est en baisse de quelque 12 %. globalement, il s'agira d'une semaine importante pour les investisseurs dans la technologie puisque alphabet et Microsoft ont publié leurs résultats après la clôture de la bourse demain. Meta, Apple et Amazon à la fin de la semaine. Les bénéfices d'entreprises vont partager l'actualité(...) ce sera la trajectoire future des augmentations que la Fed indiquera qui intéresse particulièrement les investisseurs. Sur le marché, on se demande même si nous avons déjà atteint les pics d'inflation. À présent, les actualités du marché. Aux États-Unis, l'indice SIP TSX en hausse 226. À 19 120 points. Aux États-Unis, l'indice S&P 500 est affecté par la baisse de certains grands titres de technologie, quoi qu'il demeure à un niveau très modestement positif.nous revoici en compagnie de Colin Lynch. Voici la première question. Je travaille dans une tour au centre-ville qui demeure relativement vite même avec le retour au travail. Le travail hybride va-t-il plafonner définitivement la demande de bureau? - C'est trop tôt pour le dire. Nous vivons toujours dans un environnement dans lequel la COVID est endémique. Une partie importante de la population s'inquiète toujours de contracter le virus. beaucoup d'entre nous sommes revenus à un mode de vie pré pandémie, mais beaucoup de gens c'est que toujours, il faut le reconnaître. Lorsque les entreprises locataires déterminent la manière dont elles utilisent leurs locaux, c'est une question que beaucoup se posent encore. Voilà pourquoi j'ai dit qu'il est trop tôt pour l'affirmer. Ceci étend dit, suis-je convaincu que tous les occupants vont réintégrer un environnement de bureau cinq jours par semaine? Non. En revanche, et inversement, je pense qu'il y a des changements fondamentaux dont l'heure est venue dans notre société quant à la manière dont nous travaillons, lieu où nous travaillons, le nombre de jours par semaine nous travaillons au bureau, cela varie d'une région à l'autre et d'un secteur à l'autre. La géographie, par exemple, il y a des lieux au monde comme Hong Kong, Tokyo, Séoul, où la plupart des gens vivent dans des logements 200 ou 400 pieds carrés. Parfois, on veut faire un tour dehors. La notion de vivre et de travailler dans cet environnement est un peu plus difficile. Dans ces villas. Je pense qu'il y aura beaucoup plus de gens qui travailleront dans les bureaux qu'il y en aura dans des villes comme Toronto ou aux États-Unis, comme Chicago ou même Houston. Je pense que c'est un facteur important. Est-ce que cela plafonne à la demande d'immobilier de bureau? Si vous avez des bureaux bien situé où il est intéressant de travailler, ça ça comportera bien. Si vous avez des immeubles vétustes, mal desservies, éloigné, il sera dit assez difficile d'y attirer des locataires. Nous pensons que ces bureaux là éprouveront des difficultés dans cet environnement. Avant la pandémie, à Toronto, des investissements considérables étaient consacrés à la transformation de ces immeubles un peu plus anciens afin d'améliorer leur attrait pour les locataires. La pandémie a mis un terme à un certain nombre d'éléments. Cela continu aujourd'hui. La course à l'achèvement de l'environnement de bureau attractif se poursuit. Ici même à Toronto, nous l'avons vu, mais partout au Canada ou dans le monde entier, des investissements continus d'être engagé. À Londres, bon nombre (...) il est évident que le bailleur doit créer un environnement attractif. Aujourd'hui, on a le choix entre travailler au bureau ou encore dans un café ou à domicile ou dans un autre lieu géographique. Qu'est-ce qui va convaincre un salarié de se rendre au bureau? C'est parce que l'environnement de celui-là sera intéressant, agréable. Il y aura des options par exemple d'alimentations qui sont proches. Il faut que les bureaux soient invitant, accueillant au niveau du décor et au niveau de leur disposition. Il n'y a pas que nous, beaucoup d'autres gens sur le marché se sont rendus compte qu'il faut continue de réaliser ces investissements afin d'accroître l'attrait des bureaux. La semaine dernière, c'est tout à fait anecdotique, je me suis rendu compte que le métro était bondé mais je pense que c'était pour la climatisation tant il faisait chaud. Qu'est-ce que la fin du boom du commerce électronique, avec l'effacement de la pandémie, signifie pour l'immobilier industriel? - Le secteur industriel, c'est le secteur dans lequel bon nombres des entrepôts sont situés. Il s'agit donc de l'immobilier industriel, qui inclut une trajectoire à long terme de croissance du commerce électronique. On le voit dans le monde entier. À l'heure actuelle, une partie des dépenses vise à permettre aux consommateurs de se défouler après avoir été empêchée d'acheter en personne. Inversement, les dépenses sont faites sur Amazon et les autres plates-formes sont en diminution, c'est-à-dire qu'il y a moins de colis qui transitent par les entrepôts. Vous avez vu que certaines entreprises de technologie ont émis des mises en garde quant à leur croissance. Cela a un impact sur l'immobilier industriel à court terme, mais quand quel en sera l'impact à long terme? - pour nous, il y aura une baisse provisoire du nombre de colis qui transitent par l'immobilier industriel. la tendance avec s'inversera un jour. Également aux mesures que le commerce électronique augmente au fil du temps. - Une belle transition vers une question qui nous vient de la plate-forme. est-ce que l'immobilier physique à son retour? Est-ce que ces deux secteurs peuvent coexister? - Oui. Le secteur de détail rebondit quelque peu. C'est tout particulièrement prononcé dans les centres commerciaux grands et enclos qui représentent des destinations, qui réussissent beaucoup mieux que les petits centres commerciaux régionaux et communautaires. Il réussit mieux avant la pandémie, aujourd'hui ils obtiennent des résultats encore meilleurs. Les gens veulent se rendre dans un endroit qui constitue une destination en soi et qui est doté d'un cinéma, restaurant, où l'on peut se retrouver dans un lieu central. Vous pouvez organiser une séance de photos sur Instagram avec vos amis puis vous rendre chez Séphora au magasin Apple. Nous en sommes au niveau de 2019 au niveau du volume et les tendances en matière de dépenses largement dépassées celle de 2019. Combien de temps cela va-t-il durer? Je crois que le commerce électronique continu d'augmenter et que les formes de détection des destinations obtiendront de bien meilleurs résultats que les formats de détails qui ne sont pas des destinations. Les petits centres commerciaux, les centres communautaires, ceux-là éprouveront davantage de difficultés. Et puis, il y a les épiciers. Ces secteurs tirent bien leurs épingles du jeu pendant la pandémie et nous pensons qu'ils continueront de faire parce qu'il y a beaucoup de gens, aussi bien les gens qui magazine au jour le jour, qui ont commencé à magasiner pendant la pandémie qui continueront, il y a des produits propriétaires institutionnels et des investisseurs se rendent compte que le magasin d'alimentation qui réalisait un revenu de six ennemis ou 7 % représentent un investissement intéressant après tout. Il y a beaucoup d'investissement dans ce secteur, ce qui va continuer de susciter un intérêt à l'égard des commerces de nécessité, alimentation, pharmacie. Tout le monde doit manger, comme toujours. - Comme d'habitude, faites vos propres recherches de prendre des décisions de placement. Nous reviendrons à vos questions à Colette Finch de Gestion d'actifs TD dans quelques instants. Vous pouvez nous poser vos questions en tout temps en envoyant un courriel MoneyTalkLive@TD.com. Si vous souhaitez vous intéresser au marché immobilier, les fiducies pourraient une option. CourtierWeb vous propose un outil. Nugwa Haruna, la manière la plus aisée de trouver des fiducies immobilières. - Bonjour, ça me fait plaisir des parmi vous. Colin a beaucoup parlé du mobilier aujourd'hui. Les fiducies placement dans le secteur immobilier donnent aux investisseurs la possibilité d'obtenir une part de revenus de l'immobilier commercial au lieu d'acheter des biens immobiliers. Les fiducies et les compagnes sont admissibles comme fiducies doivent investir au moins 75 % de leurs actifs dans l'immobilier et doivent payer au moins 90 % de son revenu imposable dans le cadre d'une distribution aux actionnaires. Les investisseurs s'attendent à des revenus réguliers pourraient envisager d'investir dans des fiducies immobilières. À volonté de CourtierWeb, une mise en garde. Même si les fiducies pourraient offrir un revenu régulier, les investisseurs pourraient constater une légère plus-value sur le capital. une fois dans CourtierWeb, l'investisseur peut retrouver les fiducies en cliquant sur l'onglet de recherche. Nous allons utiliser l'un de nous utiliser plus populaire, les filtres. Ce filtre permet de manière très polyvalente aux investisseurs de rétrécir la recherche pour l'inclure que les investissements qui les intéressent. Je clique sur filtrage. L'outil de filtrage est pré-rempli en fonction de critères établis d'avance. Je vais tout effacer pour recommencer à zéro. Nous allons parler d'immobilier canadien, donc il s'agirait uniquement de la bourse canadienne. Sous la rubrique détail sur la compagnie, je vais cliquer sur secteur et industrie. Ensuite, j'élimine secteur préréglé que nous avons puisque nous nous concentrons sur l'immobilier. Ensuite, je clique sur les fiducies. Quelques critères de plus. Si vous investisseurs envisagent des fiducies, c'est peut-être à cause du rendement qu'elles produisent. On peut filtrer en fonction du rendement et dividendes. Pour cet exemple, nous allons nous concentrer sur les (...) au moins 5 %. Vous peut voir que la recherche (... ) je voudrais qu'on se concentre sur les bénéfices de ces fiducies. Croissance du bénéfice par action depuis cinq ans. Pour ce cas, on veut retrouver les entreprises qui, même s'il est bénéfice par action n'ont pas augmenté depuis un an, ceux-ci n'ont pas diminué. Ce qui réduit ma recherche à 12 entreprises. On fait ensuite explorer un peu plus chacune de ces 12 entreprises. Ces compagnies sont cotées de un à 12. Si les investisseurs veulent savoir pourquoi ces entreprises sont classées comme elles le sont, il vous suffit de cliquer sur chacune. Vous allez assister à une ventilation. Vous pouvez visiter le site Web de ces entreprises et ensuite décider pourquoi cette entreprise a été géré ainsi par rapport aux autres qui figurent sur la liste. - Les investisseurs peuvent faire la recherche, dresse une liste de titres qui les intéressent. Comment peut-on utiliser CourtierWeb pour voir comment les titres se seraient comportés si on les avait achetés? - S'agissant des fiducies,les investisseurs qui veulent faire leur devoir pour un (...) il est possible de le faire dans l'outil de filtre. Nous allons donc pendant que nous sommes à la page de filtrage déroulé vers le bas et nous verrons qu'il y a la possibilité de comparer le roman historique des 10 premiers résultats à un indice spécifique. Dans ce cas, nous allons le comparer à l'indice TSX S&P 500. ça va donner une idée du comportement de ces entreprises depuis 10 ans. Procurer un rendement de 40 % quand on considère le cours de l'action par rapport à 29 % quand on considère l'ensemble des compagnies sur la bourse de Toronto. Ceci pourrait donner aux investisseurs une idée du comportement de ces entreprises ils peuvent explorer davantage pour voir s'ils veulent ajouter ses compagnons et leur portefeuille. Le graphique montre également, même s'il y a une plus-value en capital, les fiducies ont déjà enregistré des pertes. Vérifier le centre d'apprentissage de WebBroker où vous trouverez toutes sortes de ressources, y compris avenir, un webinaires ça (...) avant de revenir à nos questions à Colin Lynch au sujet de l'immobilier, un rappel de la manière dont vous pouvez communiquer avec nous. Avez-vous une question sur l'actualité des marchés? Envoyez-nous vos questions. Par courriel en tout temps MoneyTalkLive@TD.com ou en utilisant la boîte de questions au bas de votre écran. Saisissez votre question et cliquez sur envoyer. L'un de nos invités pourra peut-être vous répondre en direct. Nous voici de retour en compagnie ne Colin Lynch, analyste de l'immobilier chez Gestion d'actifs TD. On a beaucoup parlé de la crise de l'abordabilité de l'immobilier résidentiel. Qu'en pensez-vous? - Nous sommes face effectivement à une augmentation de la crise de l'abordabilité. Qu'est-ce qui a créé cette crise? Eh bien, en définitive, il y a eu une croissance des valeurs des logements en général qui a rendu les logements beaucoup moins abordables. Avant la pandémie, on parlait d'une pénurie du logement, d'une crise du logement. Puis il y a eu la pandémie, qui a aggravé la crise du logement. Aujourd'hui, par rapport aux revenus, nous constatons les ratios d'abordabilité parmi les plus (...) en outre, les banques centrales commencent à augmenter les taux d'intérêt. Les personnes qui veulent acheter une maison, non seulement doivent l'acheter plus cher, mais doit financer le prix d'achat avec une dette encore plus importante et qui coûte encore plus cher. C'est donc un problème d'abordabilité. - Est-ce n'est pas un phénomène compétitif au fur et à mesure que les banques centrales augmentent le coût des emprunts, les gens constatent que la valeur des biens diminue. est-ce qu'il y a simplement un déphasage en ce qui concerne l'abordabilité? - Le déclin que nous avons constaté depuis trois à quatre mois, mais cela ne dure que depuis trois ou quatre mois. Il existe donc une possibilité qu'il y ait davantage de baisse. - Le logement diminuera-t-il jusqu'à revenir au point où il était au début la pandémie? - au lieu d'acheter, qu'est-ce que les gens font? Parce qu'en définitive, les gens doivent habiter quelque part. Et bien, ils envisagent de louer un appartement. Nous assistons à une augmentation de la demande d'appartement. Un recul du taux d'inoccupation. Et nous assistons à un retour au centre-ville. Certains sont rentrés afin d'anticiper sur un retour possible au bureau. D'autres en raison des liens sociaux qui existent au centre-ville. Les restaurants ont rouvert, les événements sportifs ont repris. Beaucoup de gens sont donc revenus dans le centre-ville pour participations expériences. Qu'est-ce que ça signifie? Cela signifie qu'on centre-ville, le taux d'inoccupation a notablement diminué aux appartements et les loyers ont augmenté. La question de l'abordabilité donc, les loyers demeurent relativement abordables par rapport aux pommes étaient avant la pandémie, c'est-à-dire que nous revenons à peine au point où nous étions en 2019. Toutefois, la situation continuera de se compliquer. Au fur et à mesure que l'achat des maisons devient de plus en plus inabordable, les gens doivent se loger quelque part, ce qui crée davantage de demandes de logements de location. Dans un univers comme celui-ci, il y a deux éléments du marché qu'il faut surveiller. Il y a le secteur des appartements en copropriété. Les immeubles construits en vue d'être Louis ne sont pas suffisamment nombreux. Vous avez parlé de légumes l'immigration, augmentation de la demande. Est-ce que les appartements copropriétés vont assurer l'offre appartements locatif ou des immeubles conçus dans ce but sont-ils mis en chantier? Ce depuis 25 ans, dans beaucoup de régions du pays, la Colombie Britannique notamment, c'est le marché des appartements copropriétés sur lequel on compte pour offrir de nouveaux appartements en location. C'est-à-dire des propriétaires individuels qui font de leur mieux pour augmenter les loyers dans toute la mesure du possible. C'est très différent des propriétaires industriels qui relèvent du marché ou des investisseurs, par exemple une caisse de retraite, et qui gère un ensemble uniforme d'immeuble en fonction d'un code, d'une éthique, d'un cadre. Il y a donc eu beaucoup d'appartements en copropriété, de propriétaires individuels qui leurs appartements. Ce n'est que récemment que nous avons constaté la création de nouveaux immeubles d'appartements dont la propriété réside dans des investisseurs institutionnels. Avec tous les aménagements voulus. La qualité de ses appartements est plus récente par rapport à ce que nous avons au Canada, où beaucoup de nos appartements sont sont plus anciens, certainement pas la climatisation. il faut qu'on soit davantage appartement. Il y a plus de gens qui viennent dans ce pays nous devons proposer une meilleure expérience locataire. Les appartements en copropriété, c'est très bien, mais il nous faut davantage appartement financé par d'autres institutions pour répondre à la demande. La question suivante arrive à point. Le contrôle des loyers, qu'en pensez-vous? À une époque où la demande de loyer augmente, est-ce que le contrôle des loyers va s'inscrire dans la conversation? Quel est l'effet du contrôle des loyers sur la construction d'immeubles locatifs? - Le contrôle des loyers tout autour évidence une donnée du problème. S'exerçait à différents niveaux avant la pandémie. Pendant la pandémie, il y a des mesures qui sont toujours, qui existe toujours pour nous. Que fait le contrôle des loyers? Mécaniquement,si personne déménage, on ne peut augmenter les loyers de quai d'un pourcentage maximum. En Ontario, 2,5 %. Est-ce que ça signifie? Le chiffre d'affaires est plafonné. Quant aux revenus que l'on peut tirer à moins qu'il y ait beaucoup de roulement. (. ..) la clé réside dans les dépenses. Sont-elles en augmentation, cette augmentation était plus rapide que celle des revenus? Si votre revenu plafonné, il faut que vous penchez sur l'exploitation. Est-ce que l'entretien, la main-d'œuvre, par l'entretien je ne veux pas de simplement le balayage, mais les pannes qui surviennent, quelle est la qualité de la construction des limites, quel est l'âge de l'immeuble institué? Il faut étudier cela du point de vue d'un propriétaire de logement résidentiel. La gestion est plus complexe parce que les revenus sont plafonnés. On pourrait également dire que du point de vue de la société, ceci offre un avantage à court terme surtout pour les personnes qui sont en situation de détresse économique. La question qui se pose, c'est le long terme. Si vos dépenses dépassent toujours revenu, copropriétaire sera moins enclin à consacrer davantage d'argent aux réparations et sur une période plus longue cela comment ça représentait un défi pour le propriétaire, mais encore plus pour les locataires parce que cela entraîne une dégradation de la qualité de l'immeuble fil du temps. R au Canada et dans le monde entier, il y a de nombreux exemples de cas où des biens vétustes, essentiellement faute d'investissement, dans les réparations clés et par conséquent la qualité de l'expérience diminue au fil du temps. La question est de savoir qu'est-ce que le gouvernement va faire à court terme si nous vivons une période de détresse économique. C'est un élément. Par rapport au long terme, en définitive, l'immeuble doit faire l'objet de réinvestissement, d'un entretien et il faut que les revenus augmentent pour régler tout cela. - Merci beaucoup. Nous allons revenir à vos questions à l'adresse de Colin Lynch dans quelques instants. C'est toujours vos propres recherches avant de prendre une décision de placement. Rappelez-vous que vous faites communiquer avec en tout temps. Avez-vous une question sur l'actualité du marché ou des investissements? Posaient-la nous. Vous pouvez nous envoyer un courriel en tout temps, MoneyTalkLive@TD.com, ou bien saisir votre questionnement la constitue sous l'écran. Il vous suffit ensuite de cliquer sur envoyer. L'un de nos invités pourra peut-être vous répondre. L'économie chinoise sous pression à cause des confinements du à la COVID. Maintenant, valeurs mobilières TD averties que le marché du logement semble difficulté. Le marché du logement chinois subit une incertitude qui inquiète de plus en plus les consommateurs. De nombreux propriétaires cessent de verser leurs mensualités de prêts hypothécaires. Un certain nombre de projets mis en chantier ne seront peut-être jamais achevés ou du moins plus lentement. 312 projets seraient affectés. Les promoteurs sont sous pression au fur et à mesure que les flux de trésorerie diminuent à cause des faibles ventes de prêts hypothécaires, ce qui a beaucoup nui au flux de financement. Il y a eu une pause de 4 % de la construction des logements individuels très vendus. Il y a également des défauts de paiement de plus en plus d'emprunteur sont en défaut, les compagnies de gestion d'actifs sont également stressées à cause de leur exposition au titre chinois. l'économie chinoise ne devrait pas atteindre le pronostic de croissance, quoiqu'il y ait un risque à la baisse. Il s'agit d'une longue liste de défis pour le marché de l'immobilier en Chine. Le marché obligataire, ce marché est toujours sous pression. Le rendement des obligations diminue. la courbe du gouvernement chinois est plus abrupte puisque les étrangers sont des vendeurs nets. (...) Valeurs mobilières TD ne prévoient pas que les échanges reprendront prochainement. C'était Anthony Okolie. Jetons un coup d'œil rapide sur les marchés. Voici l'indice composite TSX, en hausse de 110; un bon départ pour la semaine. 19 093 avec un coup de pouce de titres d'énergie, 0,95 %. C'est un des titres en technologie. Suppression quelque peu. Shopify, 47 80, obèse de plus de 2 %. Cette semaine, les bénéfices de nombreuses grandes entreprises américaines sont annoncés. La Fed annonce également la hausse de ses taux d'intérêt. L'indice S&P 500 est en hausse modestement. L'indice Nasdaq 100 se ressent également les légères difficultés du secteur de la technologie. Jetons un coup d'œil sur Newmont. Les investisseurs ont été affectés par la hausse du pronostic des coupons prochains. Voici en compagnie de Colin Lynch, Gestion d'actifs TD. Ça l'entendit l'immobilier d'inflation, au cœur du problème. Est-ce que l'immobilier est une bonne protection contre l'inflation? - Cela dépend s'il y a une excellente croissance économique, si une croissance économique modeste ou défavorable. En général, nous pensons que nous aurons une récession relativement modeste dans l'avenir, et dans le contexte d'inflation élevée, l'immobilier demeure une bonne couverture. S'il y a une augmentation de la croissance économique, il y a une augmentation des loyers, une augmentation de l'occupation, et cela c'est positif pour l'immobilier. Là où immobilier se débrouille moins bien, c'est s'il y a une contraction économique. Car en définitive, les dépenses augmentent, l'inoccupation augmente, les locataires éprouvent davantage de difficultés à payer leur loyer donc les revenus sont inchangés ou en déclin les dépenses ont augmenté en augmentation. C'est là où il est plus difficile pour les fiducies immobilières de s'en tirer. La question est de savoir, pas tellement ce comment se comporte l'inflation mais comment se comporte économie. - Excellente émission comme toujours. Colin, c'est un plaisir de vous accueillir. Quelques dernières observations? - Je vous encourage à réfléchir sur le long terme plutôt que sur le court terme. il est difficile d'avoir une boule de cristal. Nous avons vu des propriétaires de banques centrales qui ont eu une légère difficulté à prédire cela avec exactitude. S'il n'avait pas de boule de cristal, faciliter vous l'haver demandé voit quoi ressemblera le monde en trois ans, quatre ans, cinq ans. Est-ce nous aurons davantage de commerce électronique? Est-ce qu'il aura davantage de personnes au pays? Est-ce une sono organisait des événements de commerce électronique ou autre chose? Si vous pouviez faire en sorte que l'investissement dans l'immobilier soit encore plus vite, parce que vous ne pouvez pas prédire ce qui se passe ici 3,4, cinq ans. Vous pourriez alors orienter la manière dont vous investissez avoir beaucoup plus, vous pourrez dormir la nuit. - merci à Colin Lynch, restez à l'écoute demain,(...) vous pouvez nous envoyer vos questions en tout temps à MoneyTalkLive@TD.com. Merci d'avoir été à l'écoute et à très bientôt.