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(musique) - Bonjour, ici Greg Bonnell.
Bienvenue à Parlons Argent en direct, une émission de Placements directs TD. À l'occasion de l'émission d'aujourd'hui, Brad Simpson nous explique pourquoi les investisseurs pourraient manquer de quelque chose en investissant dans les liquidités. Colin Lynch discute des investissements alternatifs. Anthony Okolie examine le sentiment des investisseurs. Dans le segment de formation d'aujourd'hui, Caitlin Cormier répondra à une question des spectateurs concernant les documents fiscaux sur la plate-forme.
Le cours du pétrole se modère aujourd'hui après des hausses remarquables. À la baisse de huit points pour l'indice composite TSX.
B2GOLD aujourd'hui a connu une légère baisse, mais rien de dramatique.
C'est suite à la fin de semaine et aux événements que l'on connaît.
Athabasca Oil, un des grands producteurs, a connu une légère baisse, rien de dramatique.
L'indice S&P 500, très fort, une hausse de 17,5. 34 %.
C'est une assez bonne réflexion du marché.
Et le Nasdaq à la hausse de quatre points et Goldman Sachs à la hausse de 14 points et demi, 3,75 %.
Et voilà votre mise à jour du marché.
Résilience est un mot qu'on utilise depuis un certain temps quant à l'économie américaine.
Les donnés économiques sont solides aujourd'hui. Les ventes au détail sont à la hausse, et encore une fois, nous accueillons Anthony Okolie qui va nous en parler.
- Oui, le premier trimestre a connu une hausse intéressante, à la hausse de 0,7 % d'un mois sur l'autre.
La dernière hausse de [---] par exemple les stations d'essence, donc ça reflète le prix du cours pétrolier à la hausse.
D'autres domaines, des gains modestes dans la catégorie du service hospitalier, restauration.
Et le marché a pris cela comme étant de bonnes nouvelles, mais il y a probablement des applications, la force du marché du travail, inflation persistante, le consommateur qui continue à vouloir dépenser.
Encore une fois, je pense qu'il y a une hypothèse, un impact de l'inflation sur les quelques dernières années qui mènent à des gains salariaux et on ne voit pas un ralentissement de la consommation, contrairement à ce que les experts prévoyaient.
Cela hausse la barre pour procéder à une baisse en juillet, c'est ce que l'on pense, mais l'inflation persistante, comme on l'a vu le mois passé, pose un risque à ce point de vue.
L'obligation souveraine américaine a connu une petite hausse suite à cela.
- Merci beaucoup Anthony Okolie.
Anthony nous reviendra un peu plus tard pour parler de l'état du sentiment des investisseurs.
Parlons maintenant des actualités du monde des affaires.
Les actions de Tesla sont sous le feu des projecteurs.
Les fabricants de véhicules électriques envisagent de 10 % de sa main-d'œuvre mondiale. La concurrence accrue des constructeurs chinois ont pesé sur les axes de Tesla cette année.
(...) En procédant à des suppressions d'emplois. Les actions de Goldman Sachs sont en mouvement aujourd'hui. Le géant bancaire a dépassé les attentes en termes de chiffre d'affaires et de résultat net pour son dernier trimestre. Ces résultats ont été menés par des gains considérables de négociation et de banque d'investissement de Goldman Sachs.
Comme Anthony vient de nous en parler, il y a eu une inflation persistante qui ne semble pas freiner le consommateur américain. Aux États-Unis, les ventes au détail ont bondi 2,7 % le mois dernier. Un résultat bien meilleur que prévu.
La plus forte croissance a été observée dans les ventes en ligne, tandis que les articles de sport figuraient parmi les catégories qui ont reculé. On a vu l'indice composite un peu à la baisse, 0,3 %, six points, presque sept.
À la hausse d'un tiers de pour cent, 17 points.
Malgré la vigueur de l'économie américaine et le fait que les marchés atteignent des sommets historiques, de nombreux investisseurs ont importantes liquidités.
Notre invité aujourd'hui estime que ce n'est pas toujours une bonne idée.
Il appelle ça vibrocession. Brad Simpson.
- On commence à parler de cette vibrocession depuis l'été 2023. C'est une récession menée par les vibrations.
Les sentiments et non pas les faits.
L'impression que cela dégage.
Oublions les faits.
Que ressentez-vous?
C'est la réalité actuelle, c'est les pressions qui semblent compter davantage que les faits. Le problème évidemment c'est qu'en termes de placement, les marchés financiers, marchés des actions dépendent de bénéfices futurs.
L'économie compte pour beaucoup.
Conséquemment, si on voit les choses sous cet angle, je crois qu'une chose qui a un impact important sur les investisseurs, c'est que l'économie en particulier aux États-Unis est très vigoureuse.
Elle se porte beaucoup mieux que ce qu'on ne croyait.
Nous avons publié il y a quelques semaines, on publie beaucoup de choses, mais parfois on aime beaucoup ce qu'on publie et ça nous a plu en effet.
On a publié un article qui expliquait cette idée de vibrocession, tel qu'on l'a appelé. Il y a deux problèmes, qui se décline ainsi. Le premier problème, c'est que dès le départ, on prend un téléphoné on dit: on veut les faits. Mais en fait, la vérité c'est que le téléphone, pensons aux réseaux sociaux, pousse les investisseurs à agir parfois sur le plan financier. Il y a eu des conséquences sociales, il y en a financière. D'où viennent ces mauvaises impressions?
Ces données sont publiées constamment.
On sait où se trouve le marché boursier, pourquoi les gens ont une impression si négatif? Je pense qu'il y a beaucoup de raisons pour cela.
Cela s'explique en particulier peut-être par cet élément, les élections à venir aux États-Unis.
C'est le centre médiatique du monde et c'est une superpuissance et nous savons tous que ce sont les bouleversements, l'anxiété politique aux États-Unis, cette angoisse, commence à se répercuter sur les placements.
C'est la raison pour laquelle nous avons tenu compte de l'indice de consommation du Michigan. Il s'agit d'une enquête faite par l'université du Michigan tous les ans depuis 1942.
Chaque fois, de manière cohérente, chaque fois que l'université étudie les questions et les réponses, on remarque dès le début de 2019 que lorsqu'on faisait cette enquête, lorsque la déployer, le ton change. Il devenait de plus en plus négatif entre 2019 et 2022. Ce n'est pas une question d'emploi.
C'était au milieu de la pandémie. On était à la maison. Ce qu'on observait d'un côté, c'était qu'il y avait la pandémie, et de l'autre, la source qui augmentait de nouvelles qui ne venaient plus de la télé, des journaux, mais des réseaux sociaux.
Évidemment, plus on est jeune, plus c'est le cas.
Conséquemment, aujourd'hui, quand on regarde les résultats de cette enquête, en moyenne, le type de climat économique dans lequel on se trouve maintenant, préalable à la pandémie, si on posait le même type de questions, le score aurait été environ 30 à 35 % plus élevés que c'est le cas aujourd'hui.
On reçoit constamment des informations sur notre téléphone, aux États-Unis, vous connaissez la politique. Le chef de campagne de Bill Clinton disait: c'est l'économie qui compte. Les républicains parlent toujours des débords de l'économie et les démocrates essaient de se faire élire.
Ils doivent présenter un bilan sous une lampe défavorable tout en étant compatissants pour l'américain moyen.
Il y a ce concours de négativité en cours.
Il se dit pour finir: pensez à tous les événements sociaux, les activités sociales auxquelles vous participaient. On parle de Donald Trump dans les cinq premières minutes et ensuite par des élections aux États-Unis.
Je pense qu'au bout du compte, il y a d'autres évidemment d'autres éléments également, mais je pense que ça joue énormément.
Lorsqu'on examine les faits, par exemple chômage, 3,9%, la croissance du PIB 3,2 %.
Les marchés boursiers, vous le disiez aujourd'hui, les marchés ont un peu reculé, oui, mais le S&P a atteint 5200!
Personne n'a de patience de nos jours. Un petit repli et c'est assez pour que tout le monde s'inquiète.
(...) C'est une création de richesse.
Tout cela, lorsqu'on considère tout cela, le négativisme qui nous entoure signifie que si on laisse le négativisme dicter nos décisions, vous allez conserver des masses de liquidités.
Les investisseurs ne savent plus sur quel pied danser.
Il participe au mouvement boursier, mais quand on regarde les marchés monétaires aux États-Unis, au Canada, quand on examine les comptes de courtage, les comptes de placements, les comptes bancaires, les liquidités que les gens conservent en gros pourcentage, cela envoie un signal clair.
Le deuxième élément que je voudrais ici, c'est que ce négativisme met en lumière le fait que nous ayons accès à ces nouvelles émotives.
Je mets des guillemets sur nouvelles.
Nous pensons que c'est axé sur les faits.
Ce n'est pas forcément le cas.
Cela se répercute maintenant sur les marchés financiers. Comment contrer ce mouvement?
Une chose que je trouve vraiment formidable dans mon emploi, ce que je peux par exemple surveiller les mouvements de quatre grandes plates-formes d'investissement. Le capital, qui m'indique que les gens pensent ce qu'ils font. Et juste avant de venir en studio, j'ai rencontré un de mes collègues et nous discutions du déterminant.
Depuis cinq ans. Qui était le meilleur facteur de prédiction pour les clients sur d'autres plates-formes financières, dans notre espace financier, quant au conseil, et ensuite quelle est cette loi qui est absolument constant? C'est la répartition d'actifs.
Je l'ai dit mille fois.
C'est la répartition d'actifs qui compte le plus pour les gens sont encore assez quand on a un repli d'un jour, il faut se rappeler que la vie est longue.
- Tout à fait. Deux choses, notre horizon temporel doit être long, merci lorsque les gens (...) leur comme lorsque les parents nous disaient de manger les légumes lorsqu'on était petit. À un moment on arrête d'écouter et on mange que de la malbouffe pendant une décennie et on n'en paie le prix.
Il faut commencer par rallonger notre horizon temporel de nouveau.
Lorsque je présentais une communication sur les placements il y a une dizaine d'années, je présentais des données, des faits, des idées qui remontaient à un ou deux mois et c'était toujours pertinent.
Maintenant, lorsque je fais quoi que ce soit aujourd'hui, je dois avoir une équipe derrière moi qui met à jour à la minute des statistiques sur chaque valeur.
Au bout du compte, c'est la nouvelle réalité. La deuxième chose, c'est que ça n'a pas besoin d'être seulement un horizon très long.
Nous en avons parlé auparavant vous et moi, mais je dois insister. L'argent qu'on a à investir et à répartir doit l'être en différents volets.
Le volet a, c'est que plutôt que de dire il faut que j'ai 20 % des liquidités, vous avez un volet réservé à l'argent dont on aurait besoin pendant l'année à venir.
Par exemple, si ce produit une catastrophe. Peu importe. Que ce soit un décès, la perte d'emploi, quelque chose de vraiment fondamental.
Ensuite, l'autre volet, dans les trois prochaines années, quels seront les fonds dont j'aurais besoin? Et un autre volet pour les cinq prochaines années.
Cette répartition doit être davantage concentrée sur la croissance au cours des cinq prochaines années, sans m'attarder à tous les bruits.
Ensuite, un autre volet pour le très long terme, où on n'a pas besoin d'avoir accès à ces fonds. De quoi ça a l'air? On fait la répartition en conséquence.
Je dois vous dire que constamment, encore et encore, si on voit les choses sous cette optique, on met notre téléphone de côté et on ne suit pas les gens sur Instagram qui raconte n'importe quoi, des gens qui font une chose un jour et des experts en marchés le lendemain. Si vous ne suivez pas ces gens-là et que vous faites ce que je vous dis, ça fera toute la différence au monde.
- C'était Brad Simpson.
Le segment éducatif aujourd'hui, nous allons répondre à certaines questions qu'on a reçues.
Est-ce que tous les formulaires que l'on retrouve dans CourtierWeb sont envoyés à l'ARC? Caitlin Cormier nous donne la réponse.
- Très bonne question.
À un moment où la technologie est si prévalente, on pense que l'ARC a absolument tout, reçoit absolument tout.
En tant qu'investisseur, vous êtes responsables pour savoir quel type de reçues vous devez recevoir pour vos investissements selon le type d'investissement, que ce soient des dividendes ou des gains en capital, peu importe ou les intérêts ou le type d'investissement que vous recevez, vous devez savoir quel feuillet vous devez recevoir et veiller à les recevoir et les envoyer à l'ARC. Ça peut donc être un peu délicat.
Il s'agit de comprendre les évitements que vous détenez et quel rendement vous recevez pour cela et quels sont les feuillets. À utiliser.
Dans CourtierWeb, aller à comptes, et sous gains et pertes, voici un endroit de la plate-forme où vous pouvez voir quel type de rendement vous avez selon votre compte.
On parle des feuillets moins communs, par exemple les comptes non enregistrés. Si vous avez des activités là-dedans, vous allez recevoir ce type de feuillet pour les dividendes, intérêts, ce genre de choses.
Vous pouvez choisir votre horizon temporel. Par exemple, tout pour 2023, vous aurez une liste ici de tous les types d'intérêts selon les types d'investissement, les dividendes, les prêts, les gains, les pertes, tout ce qui concerne cela. Une fois que j'ai fait cela, je peux aller dans mes services électroniques et rechercher des reçus.
Allez passer à comptes, information fiscale. C'est toute une ressource pour les investisseurs directs afin de savoir ce dont on a besoin et c'est à quoi on peut s'attendre.
Ici, vous verrez les dates clés également qui indiquent comment on doit s'attendre aux documents importants à recevoir, les documents importants, ça vous donne le long du document, la description et la date prévue. Par exemple, si vous avez REEE, régime d'épargne études, vous pouvez vous attendre à recevoir tels types de relevés à telle date.
C'est vraiment une page formidable de savoir ce que vous devez recevoir quand.
Tous les documents n'ont pas nécessairement aussi à être envoyés.
À l'ARC.
- Avec l'échéance fiscale qui via la fin du mois, c'est fort utile. Merci beaucoup.
- Lorsqu'on parle envoie sa déclaration d'impôts, c'est important, mais il y a d'autres éléments ici. La planification fiscale. Un instant, je vais ressortir d'ici et rentrer dans l'autre onglet.
On peut planifier l'année prochaine. Il y a différentes ressources de planification dans la plate-forme. Par exemple, je m'excuse, mon écran m'amène au mauvais endroit. Voilà.
Nous revenons à CourtierWeb.
Dans CourtierWeb, si je vais en haut et je recherche ici par exemple impôts, je peux trouver une tonne d'informations sur la question fiscale, pas seulement mes propres impôts cette année, mais l'année prochaine.
Comment faire baisser l'impôt redevable?
Les mythes sur les stratégies fiscales.
Il y a des vidéos également, des articles que vous pouvez lire, et nous sommes évidemment toujours sur les médias sociaux, sur YouTube, TD-directinvesting.
Vous pouvez nous suivre sur YouTube. C'est là où on offre du contenu constamment, que ce soient des nouveautés quant à la fiscalité, les marchés, et tout ce qu'il y a à savoir en matière de fiscalité.
Beaucoup de ressources qui peuvent vous être utiles.
On ne peut pas tout faire pour vous, mais on peut vous aider à prendre les bonnes décisions, c'est certain.
- Merci beaucoup.
On vous remercie et on vous félicite pour votre titre de formatrice principale en éducation client.
Vous pouvez certainement aller voir CourtierWeb pour des vidéos éducatives et toutes sortes d'informations et de ressources. Au-delà du monde des actions et des communications, il existe des actions alternatives qui peuvent tout exclure depuis l'investissement, hypothèques et dettes privées. Colin Lynch de Gestion d'actifs TD se joint à nous pour cette discussion.
- Oui, c'est vraiment un mandat enthousiasmant.
Je suis heureux de mener une équipe pour investir dans cette catégorie d'actifs.
Comme vous l'avez mentionné, nous allons plus loin que l'immobilier. Nous avons l'immobilier canadien, international, mais aussi des hypothèques commerciales, la dette privée, qui offre des prêts à des sociétés privées, des prêts d'investissement, et près d'infrastructures également, et une infrastructure mondiale qui est absolument fascinante.
C'est une catégorie énorme, énergies renouvelables, transports, infrastructures sociales, les routes, etc.
Lorsqu'on prend du recul, ces catégories d'actifs, en plus d'être publiquement négociées, font partie des thèmes centraux partout dans le monde, la politique énergétique, par exemple, le logement.
Et également, la possibilité d'obtenir du capital est limitée, donc c'est là où on a besoin d'autres participants pour aider à créer des solutions qui soutiennent la société. C'est un espace incroyable, car non seulement peut-on offrir des solutions du côté sociétal mais aussi, les investisseurs comprennent que cet espace alternatif joue un rôle très intéressant de diversification et donc un objectif vraiment attrayant quant au rendement également.
- Vous avez mentionné des infrastructures, ce qui est intéressant, nous savons particulièrement en Amérique du Nord, une infrastructure vieillissante qui doit parfois être remise à niveau et des gouvernements qui ont besoin (...) il y a la transition et les occasions à saisir.
- Oui, parlons de cette transition, une occasion très importante.
Il y a toutes sortes de transition énergétique.
J'allais dire les formes plus nouvelles, elles sont là depuis un certain temps, tout à fait. Maintenant, on fait ça à grande échelle.
Les investisseurs en infrastructures, ça permet par exemple d'avoir des rendements financiers à cette échelle.
Il y a aussi des actifs existants, par exemple, qui génère peu d'énergie, et il y a aussi des nouveaux actifs. Ces nouveaux sites à développer, ces nouvelles alternatives peuvent être très attrayants.
Le solaire n'est qu'un élément de l'équation de l'énergie renouvelable.
On parle d'éoliennes également, de biocarburants, et il y a aussi le captage et l'entreposage de cette énergie, toute la technologie des batteries, par exemple, les investisseurs dans cet espace ont l'occasion d'aider les gouvernements, par exemple, à miser là-dessus.
Lorsqu'il y a une difficulté, par exemple un événement climatique grave qu'on a vu dans l'ouest du Canada récemment, la viabilité des réseaux électriques (...) parlant des installations portuaires, aéroportuaires, autoroutières, et les installations que l'on fréquente lorsqu'on se déplace dans ce réseau de transport.
Tous ces éléments de service également, ces infrastructures de services, il s'agit donc d'éléments de besoins de bases qui sont associées à la vie quotidienne.
Mais pour que ses besoins de base soient satisfaits, il faut absolument avoir ses infrastructures en place qui représente la possibilité d'offrir un mode de vie de haute qualité, que ce soit le transport, l'énergie, l'agriculture, l'infrastructure sociale, pour satisfaire les besoins de la vie quotidienne.
- Oui, la personne habituelle peut comprendre l'infrastructure. Parlez-nous des éléments plus obscurs, la dette, par exemple, privée.
- Oui, nous connaissons le marché du revenu fixe qui offre une dette à des sociétés négociées publiquement, de même, les sociétés privées qui ne sont pas publiquement négociées ont besoin également d'emprunt. Il s'agit donc de marcher des dettes à des sociétés plus petites, des sociétés qui ne sont pas négociées à la bourse qui sont plus petites, qui souhaitent obtenir un prêt de différents bailleurs de fonds.
C'est un univers où nous investissons, mais c'est beaucoup plus vaste pour nous en général. Les sociétés qui fonctionnent à grande échelle et qui pourrait donc avoir des chiffres d'affaires à neufs ou 10 chiffres, nous avons l'occasion de fournir une dette à ces sociétés, mais du côté des actions, il y a des investisseurs qui investissent par exemple dans l'énergie renouvelable, par exemple certains de ces investisseurs visent la dette également.
Plutôt que de mettre l'ensemble de la somme, toutes les sommes de l'avant, on utilise une certaine partie à titre d'emprunt et cela permet d'amplifier la choseé plutôt que d'investir dans un seul portefeuille, on peut donc investir dans trois ou quatre et ça permet une diversification des rendements plus élevés.
Mais du côté de la dette, cela permet à un autre investisseur également de participer.
Sans avoir une dette plus élevée du côté de l'emprunteur, ça permet d'avoir une exposition accrue, une diversification accrue.
Ce sont des thèmes importants du point de vue de la propriété directe, des actions, par exemple en infrastructure, ou du côté de la dette avec un risque un peu plus faible, peut-être, et un rendement peut-être un peu plus fait, mais cela pourrait convenir à certains investisseurs, selon ce qu'il recherche.
Donc la dette privée, c'est intéressant parce que ça peut jouer sur plusieurs fronts, que ce soit du côté de l'immobilier, de l'infrastructure, des avoirs privés, des sociétés qui offrent des dettes assez sociétés ou des sociétés détenues de manière privée qui permette d'avoir un portefeuille pas mal diversifié d'exposition et donc de limiter le risque tout en recherchant des occasions de côté de la dette également.
- C'est très intéressant. Vous avez mentionné l'immobilier également. C'est comme ça qu'on connaît depuis longtemps, vous étiez dans l'immobilier. Qu'en est-il de l'abaissement hypothécaire?
- Oui, cette catégorie d'actifs a vraiment vécu une renaissance.
Ce n'est peut-être pas un terme très exact, parce que ça fait longtemps que ça existe, les hypothèques commerciales, les fonds d'hypothèque commerciale au Canada en particulier ont connu une croissance importante depuis 10 ans, mais plus précisément depuis cinq ans. Pourquoi?
D'abord parce que les rendements ont été absolument incroyables, et parti de cela, les taux d'intérêt plus élevé, il y a beaucoup de développement pays, nouveaux condos, les promoteurs ont besoin d'être financés.
L'hypothèque est certainement une partie à des taux variables, parfois à des termes illimités, cela attire des taux d'intérêt plus élevé car cela suit les taux variables. Évidemment.
Les fonds hypothécaires en général ont profité de cet environnement de taux d'intérêt plus élevé et ça a été très attrayant quant à l'augmentation des rendements et des revenus pour les investisseurs.
Avec l'évolution qui se passe, ça ne veut pas dire que les fonds hypothécaires n'ont pas participé à d'autres espaces, par exemple des hypothèques pour les centres commerciaux, il y a beaucoup de types de détails, pas seulement les centres commerciaux fermés. Il y a aussi les détails essentiels. Par exemple, les pharmacies, les épiceries, et les fonds hypothécaires participent à offrir des prêts à cet espace également.
Puis, il y a l'industriel, les entrepôts.
On a vu la croissance du commerce électronique et l'accélération importante du besoin en cet espace.
Pour les entrepôts, par exemple, cela permet aux promoteurs d'avoir accès à des fonds et à du financement à terme mais aussi d'ajouter des taux variables à cela.
Il y a bien sûr les espaces de bureaux, en ce moment il n'y a pas beaucoup de prêteurs hypothécaires se porte volontaire dans le domaine, mais dans le passé, c'était certainement important comme espace.
Lorsqu'on prend du recul, le taux de défauts au Canada était très contenu.
Les rendements ont été vraiment élevés.
Maintenant, les fonds hypothécaires veulent capter et cristallisés ce rendement élevé qui ont été engendrés par les taux variables car la banque du Canada augmentait les taux d'intérêt, mais au fur et à mesure qu'il y a un plateau, l'occasion maintenant se présente et d'immobiliser ces taux et de participer à des taux fixes.
Dans trois ou 4-5 ans, si les taux baissent, les choses ne sont pas aussi attrayant de ce côté-là.
- Colin Lynch, directeur général chez Gestion d'actifs TD. Voyons maintenant notre plate-forme disponible pour l'investissement actif.
Nous examinons ici la fonction de carte thermique, qui nous donne une vue des évolutions du marché par prix et volumes.
Il y a la finance, et du côté aussi des matériaux, Barrick Gold à la baisse.
Cenovus, Suncor, modeste baisse de chacun.
Il y a du vert à l'écran.
[---] Un petit peu à la hausse aujourd'hui. Du côté du sud de la frontière, une inflation persistante mais un marché du travail résilient. Ce que ça donne, c'est assez mélangé. S&P 500 stable, Tesla légèrement à la baisse en raison de ses mises à pied prévu de main-d'œuvre. Du côté des financières, y compris Goldman Sachs, on est en territoire positif.
On a fait un rapport ce matin.
C'est un départ un peu branlant vendredi matin, mais il y a pas mal de résultats mitigés du côté du S&P 500, 1/10 de pour cent de recul en ce moment.
Pour plus d'informations sur la plate-forme avancée, vous pouvez certainement aller à CourtierWeb, plate-forme avancée.
Anthony Okolie va nous parler du sentiment des investisseurs, maintenant, et de comment ça se décline.
- L'indice a été publié. Les investisseurs autonomes ont maintenu leur sentiment haussier. Voici les détails.
Commençons par l'indice global d'investissement direct.
- C'était un document non monté provenant d'Anthony. On va vous montrer un enregistrement monté. Demain, nous parlerons du budget fédéral avec notre expert en la matière. C'est tout le temps dont nous disposons. Passez une très bonne fin de journée.
Bienvenue à Parlons Argent en direct, une émission de Placements directs TD. À l'occasion de l'émission d'aujourd'hui, Brad Simpson nous explique pourquoi les investisseurs pourraient manquer de quelque chose en investissant dans les liquidités. Colin Lynch discute des investissements alternatifs. Anthony Okolie examine le sentiment des investisseurs. Dans le segment de formation d'aujourd'hui, Caitlin Cormier répondra à une question des spectateurs concernant les documents fiscaux sur la plate-forme.
Le cours du pétrole se modère aujourd'hui après des hausses remarquables. À la baisse de huit points pour l'indice composite TSX.
B2GOLD aujourd'hui a connu une légère baisse, mais rien de dramatique.
C'est suite à la fin de semaine et aux événements que l'on connaît.
Athabasca Oil, un des grands producteurs, a connu une légère baisse, rien de dramatique.
L'indice S&P 500, très fort, une hausse de 17,5. 34 %.
C'est une assez bonne réflexion du marché.
Et le Nasdaq à la hausse de quatre points et Goldman Sachs à la hausse de 14 points et demi, 3,75 %.
Et voilà votre mise à jour du marché.
Résilience est un mot qu'on utilise depuis un certain temps quant à l'économie américaine.
Les donnés économiques sont solides aujourd'hui. Les ventes au détail sont à la hausse, et encore une fois, nous accueillons Anthony Okolie qui va nous en parler.
- Oui, le premier trimestre a connu une hausse intéressante, à la hausse de 0,7 % d'un mois sur l'autre.
La dernière hausse de [---] par exemple les stations d'essence, donc ça reflète le prix du cours pétrolier à la hausse.
D'autres domaines, des gains modestes dans la catégorie du service hospitalier, restauration.
Et le marché a pris cela comme étant de bonnes nouvelles, mais il y a probablement des applications, la force du marché du travail, inflation persistante, le consommateur qui continue à vouloir dépenser.
Encore une fois, je pense qu'il y a une hypothèse, un impact de l'inflation sur les quelques dernières années qui mènent à des gains salariaux et on ne voit pas un ralentissement de la consommation, contrairement à ce que les experts prévoyaient.
Cela hausse la barre pour procéder à une baisse en juillet, c'est ce que l'on pense, mais l'inflation persistante, comme on l'a vu le mois passé, pose un risque à ce point de vue.
L'obligation souveraine américaine a connu une petite hausse suite à cela.
- Merci beaucoup Anthony Okolie.
Anthony nous reviendra un peu plus tard pour parler de l'état du sentiment des investisseurs.
Parlons maintenant des actualités du monde des affaires.
Les actions de Tesla sont sous le feu des projecteurs.
Les fabricants de véhicules électriques envisagent de 10 % de sa main-d'œuvre mondiale. La concurrence accrue des constructeurs chinois ont pesé sur les axes de Tesla cette année.
(...) En procédant à des suppressions d'emplois. Les actions de Goldman Sachs sont en mouvement aujourd'hui. Le géant bancaire a dépassé les attentes en termes de chiffre d'affaires et de résultat net pour son dernier trimestre. Ces résultats ont été menés par des gains considérables de négociation et de banque d'investissement de Goldman Sachs.
Comme Anthony vient de nous en parler, il y a eu une inflation persistante qui ne semble pas freiner le consommateur américain. Aux États-Unis, les ventes au détail ont bondi 2,7 % le mois dernier. Un résultat bien meilleur que prévu.
La plus forte croissance a été observée dans les ventes en ligne, tandis que les articles de sport figuraient parmi les catégories qui ont reculé. On a vu l'indice composite un peu à la baisse, 0,3 %, six points, presque sept.
À la hausse d'un tiers de pour cent, 17 points.
Malgré la vigueur de l'économie américaine et le fait que les marchés atteignent des sommets historiques, de nombreux investisseurs ont importantes liquidités.
Notre invité aujourd'hui estime que ce n'est pas toujours une bonne idée.
Il appelle ça vibrocession. Brad Simpson.
- On commence à parler de cette vibrocession depuis l'été 2023. C'est une récession menée par les vibrations.
Les sentiments et non pas les faits.
L'impression que cela dégage.
Oublions les faits.
Que ressentez-vous?
C'est la réalité actuelle, c'est les pressions qui semblent compter davantage que les faits. Le problème évidemment c'est qu'en termes de placement, les marchés financiers, marchés des actions dépendent de bénéfices futurs.
L'économie compte pour beaucoup.
Conséquemment, si on voit les choses sous cet angle, je crois qu'une chose qui a un impact important sur les investisseurs, c'est que l'économie en particulier aux États-Unis est très vigoureuse.
Elle se porte beaucoup mieux que ce qu'on ne croyait.
Nous avons publié il y a quelques semaines, on publie beaucoup de choses, mais parfois on aime beaucoup ce qu'on publie et ça nous a plu en effet.
On a publié un article qui expliquait cette idée de vibrocession, tel qu'on l'a appelé. Il y a deux problèmes, qui se décline ainsi. Le premier problème, c'est que dès le départ, on prend un téléphoné on dit: on veut les faits. Mais en fait, la vérité c'est que le téléphone, pensons aux réseaux sociaux, pousse les investisseurs à agir parfois sur le plan financier. Il y a eu des conséquences sociales, il y en a financière. D'où viennent ces mauvaises impressions?
Ces données sont publiées constamment.
On sait où se trouve le marché boursier, pourquoi les gens ont une impression si négatif? Je pense qu'il y a beaucoup de raisons pour cela.
Cela s'explique en particulier peut-être par cet élément, les élections à venir aux États-Unis.
C'est le centre médiatique du monde et c'est une superpuissance et nous savons tous que ce sont les bouleversements, l'anxiété politique aux États-Unis, cette angoisse, commence à se répercuter sur les placements.
C'est la raison pour laquelle nous avons tenu compte de l'indice de consommation du Michigan. Il s'agit d'une enquête faite par l'université du Michigan tous les ans depuis 1942.
Chaque fois, de manière cohérente, chaque fois que l'université étudie les questions et les réponses, on remarque dès le début de 2019 que lorsqu'on faisait cette enquête, lorsque la déployer, le ton change. Il devenait de plus en plus négatif entre 2019 et 2022. Ce n'est pas une question d'emploi.
C'était au milieu de la pandémie. On était à la maison. Ce qu'on observait d'un côté, c'était qu'il y avait la pandémie, et de l'autre, la source qui augmentait de nouvelles qui ne venaient plus de la télé, des journaux, mais des réseaux sociaux.
Évidemment, plus on est jeune, plus c'est le cas.
Conséquemment, aujourd'hui, quand on regarde les résultats de cette enquête, en moyenne, le type de climat économique dans lequel on se trouve maintenant, préalable à la pandémie, si on posait le même type de questions, le score aurait été environ 30 à 35 % plus élevés que c'est le cas aujourd'hui.
On reçoit constamment des informations sur notre téléphone, aux États-Unis, vous connaissez la politique. Le chef de campagne de Bill Clinton disait: c'est l'économie qui compte. Les républicains parlent toujours des débords de l'économie et les démocrates essaient de se faire élire.
Ils doivent présenter un bilan sous une lampe défavorable tout en étant compatissants pour l'américain moyen.
Il y a ce concours de négativité en cours.
Il se dit pour finir: pensez à tous les événements sociaux, les activités sociales auxquelles vous participaient. On parle de Donald Trump dans les cinq premières minutes et ensuite par des élections aux États-Unis.
Je pense qu'au bout du compte, il y a d'autres évidemment d'autres éléments également, mais je pense que ça joue énormément.
Lorsqu'on examine les faits, par exemple chômage, 3,9%, la croissance du PIB 3,2 %.
Les marchés boursiers, vous le disiez aujourd'hui, les marchés ont un peu reculé, oui, mais le S&P a atteint 5200!
Personne n'a de patience de nos jours. Un petit repli et c'est assez pour que tout le monde s'inquiète.
(...) C'est une création de richesse.
Tout cela, lorsqu'on considère tout cela, le négativisme qui nous entoure signifie que si on laisse le négativisme dicter nos décisions, vous allez conserver des masses de liquidités.
Les investisseurs ne savent plus sur quel pied danser.
Il participe au mouvement boursier, mais quand on regarde les marchés monétaires aux États-Unis, au Canada, quand on examine les comptes de courtage, les comptes de placements, les comptes bancaires, les liquidités que les gens conservent en gros pourcentage, cela envoie un signal clair.
Le deuxième élément que je voudrais ici, c'est que ce négativisme met en lumière le fait que nous ayons accès à ces nouvelles émotives.
Je mets des guillemets sur nouvelles.
Nous pensons que c'est axé sur les faits.
Ce n'est pas forcément le cas.
Cela se répercute maintenant sur les marchés financiers. Comment contrer ce mouvement?
Une chose que je trouve vraiment formidable dans mon emploi, ce que je peux par exemple surveiller les mouvements de quatre grandes plates-formes d'investissement. Le capital, qui m'indique que les gens pensent ce qu'ils font. Et juste avant de venir en studio, j'ai rencontré un de mes collègues et nous discutions du déterminant.
Depuis cinq ans. Qui était le meilleur facteur de prédiction pour les clients sur d'autres plates-formes financières, dans notre espace financier, quant au conseil, et ensuite quelle est cette loi qui est absolument constant? C'est la répartition d'actifs.
Je l'ai dit mille fois.
C'est la répartition d'actifs qui compte le plus pour les gens sont encore assez quand on a un repli d'un jour, il faut se rappeler que la vie est longue.
- Tout à fait. Deux choses, notre horizon temporel doit être long, merci lorsque les gens (...) leur comme lorsque les parents nous disaient de manger les légumes lorsqu'on était petit. À un moment on arrête d'écouter et on mange que de la malbouffe pendant une décennie et on n'en paie le prix.
Il faut commencer par rallonger notre horizon temporel de nouveau.
Lorsque je présentais une communication sur les placements il y a une dizaine d'années, je présentais des données, des faits, des idées qui remontaient à un ou deux mois et c'était toujours pertinent.
Maintenant, lorsque je fais quoi que ce soit aujourd'hui, je dois avoir une équipe derrière moi qui met à jour à la minute des statistiques sur chaque valeur.
Au bout du compte, c'est la nouvelle réalité. La deuxième chose, c'est que ça n'a pas besoin d'être seulement un horizon très long.
Nous en avons parlé auparavant vous et moi, mais je dois insister. L'argent qu'on a à investir et à répartir doit l'être en différents volets.
Le volet a, c'est que plutôt que de dire il faut que j'ai 20 % des liquidités, vous avez un volet réservé à l'argent dont on aurait besoin pendant l'année à venir.
Par exemple, si ce produit une catastrophe. Peu importe. Que ce soit un décès, la perte d'emploi, quelque chose de vraiment fondamental.
Ensuite, l'autre volet, dans les trois prochaines années, quels seront les fonds dont j'aurais besoin? Et un autre volet pour les cinq prochaines années.
Cette répartition doit être davantage concentrée sur la croissance au cours des cinq prochaines années, sans m'attarder à tous les bruits.
Ensuite, un autre volet pour le très long terme, où on n'a pas besoin d'avoir accès à ces fonds. De quoi ça a l'air? On fait la répartition en conséquence.
Je dois vous dire que constamment, encore et encore, si on voit les choses sous cette optique, on met notre téléphone de côté et on ne suit pas les gens sur Instagram qui raconte n'importe quoi, des gens qui font une chose un jour et des experts en marchés le lendemain. Si vous ne suivez pas ces gens-là et que vous faites ce que je vous dis, ça fera toute la différence au monde.
- C'était Brad Simpson.
Le segment éducatif aujourd'hui, nous allons répondre à certaines questions qu'on a reçues.
Est-ce que tous les formulaires que l'on retrouve dans CourtierWeb sont envoyés à l'ARC? Caitlin Cormier nous donne la réponse.
- Très bonne question.
À un moment où la technologie est si prévalente, on pense que l'ARC a absolument tout, reçoit absolument tout.
En tant qu'investisseur, vous êtes responsables pour savoir quel type de reçues vous devez recevoir pour vos investissements selon le type d'investissement, que ce soient des dividendes ou des gains en capital, peu importe ou les intérêts ou le type d'investissement que vous recevez, vous devez savoir quel feuillet vous devez recevoir et veiller à les recevoir et les envoyer à l'ARC. Ça peut donc être un peu délicat.
Il s'agit de comprendre les évitements que vous détenez et quel rendement vous recevez pour cela et quels sont les feuillets. À utiliser.
Dans CourtierWeb, aller à comptes, et sous gains et pertes, voici un endroit de la plate-forme où vous pouvez voir quel type de rendement vous avez selon votre compte.
On parle des feuillets moins communs, par exemple les comptes non enregistrés. Si vous avez des activités là-dedans, vous allez recevoir ce type de feuillet pour les dividendes, intérêts, ce genre de choses.
Vous pouvez choisir votre horizon temporel. Par exemple, tout pour 2023, vous aurez une liste ici de tous les types d'intérêts selon les types d'investissement, les dividendes, les prêts, les gains, les pertes, tout ce qui concerne cela. Une fois que j'ai fait cela, je peux aller dans mes services électroniques et rechercher des reçus.
Allez passer à comptes, information fiscale. C'est toute une ressource pour les investisseurs directs afin de savoir ce dont on a besoin et c'est à quoi on peut s'attendre.
Ici, vous verrez les dates clés également qui indiquent comment on doit s'attendre aux documents importants à recevoir, les documents importants, ça vous donne le long du document, la description et la date prévue. Par exemple, si vous avez REEE, régime d'épargne études, vous pouvez vous attendre à recevoir tels types de relevés à telle date.
C'est vraiment une page formidable de savoir ce que vous devez recevoir quand.
Tous les documents n'ont pas nécessairement aussi à être envoyés.
À l'ARC.
- Avec l'échéance fiscale qui via la fin du mois, c'est fort utile. Merci beaucoup.
- Lorsqu'on parle envoie sa déclaration d'impôts, c'est important, mais il y a d'autres éléments ici. La planification fiscale. Un instant, je vais ressortir d'ici et rentrer dans l'autre onglet.
On peut planifier l'année prochaine. Il y a différentes ressources de planification dans la plate-forme. Par exemple, je m'excuse, mon écran m'amène au mauvais endroit. Voilà.
Nous revenons à CourtierWeb.
Dans CourtierWeb, si je vais en haut et je recherche ici par exemple impôts, je peux trouver une tonne d'informations sur la question fiscale, pas seulement mes propres impôts cette année, mais l'année prochaine.
Comment faire baisser l'impôt redevable?
Les mythes sur les stratégies fiscales.
Il y a des vidéos également, des articles que vous pouvez lire, et nous sommes évidemment toujours sur les médias sociaux, sur YouTube, TD-directinvesting.
Vous pouvez nous suivre sur YouTube. C'est là où on offre du contenu constamment, que ce soient des nouveautés quant à la fiscalité, les marchés, et tout ce qu'il y a à savoir en matière de fiscalité.
Beaucoup de ressources qui peuvent vous être utiles.
On ne peut pas tout faire pour vous, mais on peut vous aider à prendre les bonnes décisions, c'est certain.
- Merci beaucoup.
On vous remercie et on vous félicite pour votre titre de formatrice principale en éducation client.
Vous pouvez certainement aller voir CourtierWeb pour des vidéos éducatives et toutes sortes d'informations et de ressources. Au-delà du monde des actions et des communications, il existe des actions alternatives qui peuvent tout exclure depuis l'investissement, hypothèques et dettes privées. Colin Lynch de Gestion d'actifs TD se joint à nous pour cette discussion.
- Oui, c'est vraiment un mandat enthousiasmant.
Je suis heureux de mener une équipe pour investir dans cette catégorie d'actifs.
Comme vous l'avez mentionné, nous allons plus loin que l'immobilier. Nous avons l'immobilier canadien, international, mais aussi des hypothèques commerciales, la dette privée, qui offre des prêts à des sociétés privées, des prêts d'investissement, et près d'infrastructures également, et une infrastructure mondiale qui est absolument fascinante.
C'est une catégorie énorme, énergies renouvelables, transports, infrastructures sociales, les routes, etc.
Lorsqu'on prend du recul, ces catégories d'actifs, en plus d'être publiquement négociées, font partie des thèmes centraux partout dans le monde, la politique énergétique, par exemple, le logement.
Et également, la possibilité d'obtenir du capital est limitée, donc c'est là où on a besoin d'autres participants pour aider à créer des solutions qui soutiennent la société. C'est un espace incroyable, car non seulement peut-on offrir des solutions du côté sociétal mais aussi, les investisseurs comprennent que cet espace alternatif joue un rôle très intéressant de diversification et donc un objectif vraiment attrayant quant au rendement également.
- Vous avez mentionné des infrastructures, ce qui est intéressant, nous savons particulièrement en Amérique du Nord, une infrastructure vieillissante qui doit parfois être remise à niveau et des gouvernements qui ont besoin (...) il y a la transition et les occasions à saisir.
- Oui, parlons de cette transition, une occasion très importante.
Il y a toutes sortes de transition énergétique.
J'allais dire les formes plus nouvelles, elles sont là depuis un certain temps, tout à fait. Maintenant, on fait ça à grande échelle.
Les investisseurs en infrastructures, ça permet par exemple d'avoir des rendements financiers à cette échelle.
Il y a aussi des actifs existants, par exemple, qui génère peu d'énergie, et il y a aussi des nouveaux actifs. Ces nouveaux sites à développer, ces nouvelles alternatives peuvent être très attrayants.
Le solaire n'est qu'un élément de l'équation de l'énergie renouvelable.
On parle d'éoliennes également, de biocarburants, et il y a aussi le captage et l'entreposage de cette énergie, toute la technologie des batteries, par exemple, les investisseurs dans cet espace ont l'occasion d'aider les gouvernements, par exemple, à miser là-dessus.
Lorsqu'il y a une difficulté, par exemple un événement climatique grave qu'on a vu dans l'ouest du Canada récemment, la viabilité des réseaux électriques (...) parlant des installations portuaires, aéroportuaires, autoroutières, et les installations que l'on fréquente lorsqu'on se déplace dans ce réseau de transport.
Tous ces éléments de service également, ces infrastructures de services, il s'agit donc d'éléments de besoins de bases qui sont associées à la vie quotidienne.
Mais pour que ses besoins de base soient satisfaits, il faut absolument avoir ses infrastructures en place qui représente la possibilité d'offrir un mode de vie de haute qualité, que ce soit le transport, l'énergie, l'agriculture, l'infrastructure sociale, pour satisfaire les besoins de la vie quotidienne.
- Oui, la personne habituelle peut comprendre l'infrastructure. Parlez-nous des éléments plus obscurs, la dette, par exemple, privée.
- Oui, nous connaissons le marché du revenu fixe qui offre une dette à des sociétés négociées publiquement, de même, les sociétés privées qui ne sont pas publiquement négociées ont besoin également d'emprunt. Il s'agit donc de marcher des dettes à des sociétés plus petites, des sociétés qui ne sont pas négociées à la bourse qui sont plus petites, qui souhaitent obtenir un prêt de différents bailleurs de fonds.
C'est un univers où nous investissons, mais c'est beaucoup plus vaste pour nous en général. Les sociétés qui fonctionnent à grande échelle et qui pourrait donc avoir des chiffres d'affaires à neufs ou 10 chiffres, nous avons l'occasion de fournir une dette à ces sociétés, mais du côté des actions, il y a des investisseurs qui investissent par exemple dans l'énergie renouvelable, par exemple certains de ces investisseurs visent la dette également.
Plutôt que de mettre l'ensemble de la somme, toutes les sommes de l'avant, on utilise une certaine partie à titre d'emprunt et cela permet d'amplifier la choseé plutôt que d'investir dans un seul portefeuille, on peut donc investir dans trois ou quatre et ça permet une diversification des rendements plus élevés.
Mais du côté de la dette, cela permet à un autre investisseur également de participer.
Sans avoir une dette plus élevée du côté de l'emprunteur, ça permet d'avoir une exposition accrue, une diversification accrue.
Ce sont des thèmes importants du point de vue de la propriété directe, des actions, par exemple en infrastructure, ou du côté de la dette avec un risque un peu plus faible, peut-être, et un rendement peut-être un peu plus fait, mais cela pourrait convenir à certains investisseurs, selon ce qu'il recherche.
Donc la dette privée, c'est intéressant parce que ça peut jouer sur plusieurs fronts, que ce soit du côté de l'immobilier, de l'infrastructure, des avoirs privés, des sociétés qui offrent des dettes assez sociétés ou des sociétés détenues de manière privée qui permette d'avoir un portefeuille pas mal diversifié d'exposition et donc de limiter le risque tout en recherchant des occasions de côté de la dette également.
- C'est très intéressant. Vous avez mentionné l'immobilier également. C'est comme ça qu'on connaît depuis longtemps, vous étiez dans l'immobilier. Qu'en est-il de l'abaissement hypothécaire?
- Oui, cette catégorie d'actifs a vraiment vécu une renaissance.
Ce n'est peut-être pas un terme très exact, parce que ça fait longtemps que ça existe, les hypothèques commerciales, les fonds d'hypothèque commerciale au Canada en particulier ont connu une croissance importante depuis 10 ans, mais plus précisément depuis cinq ans. Pourquoi?
D'abord parce que les rendements ont été absolument incroyables, et parti de cela, les taux d'intérêt plus élevé, il y a beaucoup de développement pays, nouveaux condos, les promoteurs ont besoin d'être financés.
L'hypothèque est certainement une partie à des taux variables, parfois à des termes illimités, cela attire des taux d'intérêt plus élevé car cela suit les taux variables. Évidemment.
Les fonds hypothécaires en général ont profité de cet environnement de taux d'intérêt plus élevé et ça a été très attrayant quant à l'augmentation des rendements et des revenus pour les investisseurs.
Avec l'évolution qui se passe, ça ne veut pas dire que les fonds hypothécaires n'ont pas participé à d'autres espaces, par exemple des hypothèques pour les centres commerciaux, il y a beaucoup de types de détails, pas seulement les centres commerciaux fermés. Il y a aussi les détails essentiels. Par exemple, les pharmacies, les épiceries, et les fonds hypothécaires participent à offrir des prêts à cet espace également.
Puis, il y a l'industriel, les entrepôts.
On a vu la croissance du commerce électronique et l'accélération importante du besoin en cet espace.
Pour les entrepôts, par exemple, cela permet aux promoteurs d'avoir accès à des fonds et à du financement à terme mais aussi d'ajouter des taux variables à cela.
Il y a bien sûr les espaces de bureaux, en ce moment il n'y a pas beaucoup de prêteurs hypothécaires se porte volontaire dans le domaine, mais dans le passé, c'était certainement important comme espace.
Lorsqu'on prend du recul, le taux de défauts au Canada était très contenu.
Les rendements ont été vraiment élevés.
Maintenant, les fonds hypothécaires veulent capter et cristallisés ce rendement élevé qui ont été engendrés par les taux variables car la banque du Canada augmentait les taux d'intérêt, mais au fur et à mesure qu'il y a un plateau, l'occasion maintenant se présente et d'immobiliser ces taux et de participer à des taux fixes.
Dans trois ou 4-5 ans, si les taux baissent, les choses ne sont pas aussi attrayant de ce côté-là.
- Colin Lynch, directeur général chez Gestion d'actifs TD. Voyons maintenant notre plate-forme disponible pour l'investissement actif.
Nous examinons ici la fonction de carte thermique, qui nous donne une vue des évolutions du marché par prix et volumes.
Il y a la finance, et du côté aussi des matériaux, Barrick Gold à la baisse.
Cenovus, Suncor, modeste baisse de chacun.
Il y a du vert à l'écran.
[---] Un petit peu à la hausse aujourd'hui. Du côté du sud de la frontière, une inflation persistante mais un marché du travail résilient. Ce que ça donne, c'est assez mélangé. S&P 500 stable, Tesla légèrement à la baisse en raison de ses mises à pied prévu de main-d'œuvre. Du côté des financières, y compris Goldman Sachs, on est en territoire positif.
On a fait un rapport ce matin.
C'est un départ un peu branlant vendredi matin, mais il y a pas mal de résultats mitigés du côté du S&P 500, 1/10 de pour cent de recul en ce moment.
Pour plus d'informations sur la plate-forme avancée, vous pouvez certainement aller à CourtierWeb, plate-forme avancée.
Anthony Okolie va nous parler du sentiment des investisseurs, maintenant, et de comment ça se décline.
- L'indice a été publié. Les investisseurs autonomes ont maintenu leur sentiment haussier. Voici les détails.
Commençons par l'indice global d'investissement direct.
- C'était un document non monté provenant d'Anthony. On va vous montrer un enregistrement monté. Demain, nous parlerons du budget fédéral avec notre expert en la matière. C'est tout le temps dont nous disposons. Passez une très bonne fin de journée.