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(musique) - Bonjour, ici Greg Bonnell. Bienvenue à Parlons Argent en direct, une émission de Placements directs TD. Nos invités vont commenter l'actualité. Nous allons aborder vos questions, évidemment, en matière de placement.
Aujourd'hui donc, nous allons aborder le secteur énergétique canadien.
Michael O'Brien va nous en parler.
C'est un gestionnaire de portefeuille chez nous. Et Anthony Okolie va parler de nouveaux sondages et de la santé de l'économie.
Et puis dans le secteur éducation, Bryan Rogers va nous montrer comment vous pouvez trouver certains types de FNB sur la plate-forme.
Voici donc comment communiquer avec nous.
Envoyez-nous un courriel à l'adresse que vous voyez à l'écran ou alors vous pouvez utiliser la case prévue à cet effet sur notre plate-forme.
Alors le TSX d'abord.
Perte de 113 points, un peu plus d'un demi pour cent.
Le pétrole un peu à la baisse, mais nous avons quand même des nouvelles du côté de Nutrien.
Une baisse de son chiffre d'affaires au dernier trimestre, mais qui s'attend à une hausse de la demande, donc il est à 80, presque 80 $ l'action.
Linamar a été au-delà des prévisions. Une hausse de six et demis pour cent à 69,40 $ l'action. Bien sûr, c'est dans le secteur de la fabrication des pièces automobiles. Le S&P 500, le marché américain, résultats décevants de dessiner pour ce qui est du nombre d'abonnés. Ça a été un peu dur pour eux.
Au S&P 500, une baisse d'un quart de pour cent. Ce n'est pas attribuable qu'aux actions de dessiner, il y a des nouvelles en matière d'inflation, la Fed, maintenant le Nasdaq.
Modérément à la hausse, 13 points de hausse.
Les actions de dessiner, comme je l'ai dit, sont à la baisse à cause de déception de ce côté.
8 % à la baisse en fait, à 92 $, 96 l'action.
Énergie maintenant, c'est important dans l'indice TSX et plusieurs des poids-lourds viennent indiquer quels sont leurs revenus.
Notre invité nous dit que ça a été un trimestre un peu trouble mais qu'il y a une bonne nouvelle quand même.
Michael O'Brien, gestionnaire de portefeuille, merci d'être des nôtres.
De ce côté de la frontière, qu'est-ce qui se passe?
Les poids-lourds de l'énergie, vous dîtes que ça a été un peu trop?
- En fait, ces compagnies vivent dans un contexte passablement hostile quand on pense à ce qui se passe du côté du nord de l'Alberta, il y a des problèmes opérationnels, bien souvent c'est lié au temps qu'il fait, au mauvais temps, donc par ailleurs aussi les données sont un peu malades sonnent, comme on dit.
Du point de vue des joueurs intégrés comme Cenovus et Suncor, ils ont dû fermer un certain temps la raffinerie, donc c'est un des trimestres, comment dire, où tous les cylindres ne fonctionnent pas à plein.
Malgré tout sont quand même rentables, ils ont généré un bon flux de trésorerie et ses revenus dans les poches des actionnaires en bonne partie.
Donc c'est encore rentable évidemment, c'est intéressant car le prix du pétrole brut en moyenne pour un premier trimestre de l'an dernier était beaucoup plus élevé que pour ce trimestre six.
Premier trimestre de l'année, je me tais.
Ça reste rentable, tout à fait, surtout après cinq ou six ans. On a vécu une période où les cours du pétrole étaient plutôt bas pendant assez longtemps, on a tendance à oublier qu'au premier trimestre, le trimestre combien déterminé, s'étaler de 70 à 80 $, le cours du baril de pétrole, ça paraît moins emballant que l'an dernier alors que c'était plus de 100 $ le baril.
Mais en comparaison de ce que c'était, vers la fin de cette dernière décennie, c'est quand même intéressant.
On a un peu perdu ça de vue. 70,80 $ le baril pour les producteurs canadiens de pétrole, c'est quand même très sain.
Nous avons vu toutes ces compagnies continuent d'améliorer leur bilan, continue aussi d'envoyer de l'argent aux actionnaires.
Si le pétrole reste à 70,80 $, ça peut paraître pas très emballant, mais c'est quand même intéressant.
- À quoi s'attendre de la part d'actionnaires de ce côté?
- Il y a eu les mois d'hiver avec des problèmes opérationnels, mais le reste de l'année, ça devrait aller mieux quand même pour Cenovus, un des grands producteurs canadiens, ils étaient en quelque sorte entraînent fonctionnent avec une main attachée derrière le dos alors que quatre de leurs cinq raffineries fonctionnaient très peu, à des nouveaux sous optimaux.
La direction là-bas nous dit qu'on espère que d'ici juin ou juillet toutes ces raffineries devraient tourner à 100 %, donc il devrait avoir une bonne amélioration.
Quand on passe au temps perdu lié au climat, ça devrait être une chose du passé.
Les trimestres quatre et premier de cette année, donc les investisseurs maintenant se concentrent sur le fait, et c'est juste d'ailleurs, c'est que ces compagnies au début après la pandémie dans la période de récupération voulaient aussi utiliser les flux de trésorerie pour réduire leur niveau d'endettement.
C'était bien.
Pour les détenteurs d'actions, grosso modo toutes ces compagnies sont en train d'approcher du seuil magique où les niveaux d'endettement leur conviennent.
Au-delà de ses limites, tous les flux de trésorerie nouveaux vont nous revenir comme actionnaires.
Il y a des dividendes, des rachats, des dividendes spéciaux par exemple, Canadian Natural Resources Resources, leur chef magique, ces 10 milliards de dollars d'endettement. Il ne leur manque pas grand-chose. D'ici le début de l'année prochaine, il devrait atteindre ce plateau, et après cela, 100 % des flux de trésorerie disponible reviendront actionnaires.
Cenovus, leur chef magique et 4 milliards de dollars.
Ils sont assistés demis aujourd'hui pour l'endettement.
D'ici la fin de l'année, ça devrait se régler et les investisseurs devraient se dire que parfois il y a des imprévus, bien sûr, des réductions des cours du pétrole, mais grosso modo ces grands intervenants devraient continuer de verser de plus en plus d'argent aux actionnaires.
- Comme investisseur qui regarde ce qui se passe dans le domaine énergétique, que penser des facteurs énergétiques?
Un ralentissement mondial qui réduirait la demande, ce que ferait l'OPEP?
- Oui évidemment.
Le pétrole est une matière première à l'échelle planétaire fait tourner le monde. Les cours du pétrole vont connaître les grands écarts.
Selon l'état d'esprit, vous lisez récession dans les journaux, le mot horaire, probablement que les cours du pétrole vont réagir de façon négative. Par ailleurs, si les gens deviennent plus optimistes pour le contexte économique où se concentrent sur la relance en Chine, c'est bon pour le pétrole.
Ce sont des facteurs macro-économiques qui sont fondés sur les perceptions, pour ne pas dire les sentiments.
C'est important dans le domaine du pétrole. Mais en fin de compte, il s'agit surtout de savoir ce qu'est l'offre et ce qu'elle a demande.
Nous essayons de nous écarter du bruit de fond, ignorer le bruit de fond, les cours vont de 60 à 80 $ le baril, comme je l'ai dit, mais en fin de compte, si on prend notre attention sur les facteurs fondamentaux, c'est-à-dire que l'offre, est-ce que ça va au-delà de la demande? Ce sont les facteurs qui vont véritablement jouer pour nous indiquer où on lancera dans plusieurs mois.
- Le marché canadien évidemment est en grande partie constituée du secteur énergétique, puis du secteur financier.
Mais on entend dire de la part des compagnies minières, si on pense à l'or, que si vous diriez?
- Ce qui a été retiré au pétrole à cause des perceptions négative quant à l'économie, ça a tendance à favoriser les aurifères.
Les aurifères attirent les liquidités.
Quand les gens ont peur, on se tourne vers l'or aussi.
Les gens sont craintifs par rapport aux banques régionales américaines, une crise bancaire, donc défavorable à l'or.
Au cours de l'or.
L'or, ça a été le grand bénéficiaire des difficultés des pétrolières.
Au-delà de 2000 $ l'once, c'est très intéressant pour les aurifères.
Les producteurs d'or, mais leurs difficultés, ce n'est pas tellement du côté des recettes mais des coûts. De maintenir des opérations efficaces. Il y a beaucoup de coups qui grimpent à cause de l'inflation.
Ça a joué pour eux.
Et donc même si l'idée du 2000 $ l'once d'or, on pense que c'est très intéressant pour les aurifères, il y a quand même de graves pressions du côté de la production. Les coûts de production.
- Toujours intéressant notre Michael O'Brien. On reviendra à vos questions qui s'adressent à lui dans quelques instants. Je vous rappelle que vous pouvez communiquer avec nous à l'adresse que vous voyez à l'écran ou sur la case au bas de l'écran.
Maintenant, mise à jour de ce qui se passe dans le monde des affaires.
Les actions de CI Financial, la compagnie de Toronto, se vend 20 % de ce qu'elle fait en matière de gestion du patrimoine aux États-Unis. Ça inclut Bain Capital et Abu Dhabi Investment Authority.
On a changé d'idée, on pensait privatiser, donc c'est environ 26 % la hausse aujourd'hui.
Un incendie du côté de Canadian Tire d'un de leurs entrepôts a été coûteux.
Ça leur a coûté quelque 68 millions de dollars.
Les ventes étaient à la baisse en comparaison de la même période l'an dernier. Canadian Tire dit que l'année, que ce printemps les choses vont plus lentement. Maple Leaf Foods maintenant.
Un peu plus solide que ce qui avait été prévu.
Il semble que le marché, on pensait que ce serait très dur pour le transformateur alimentaire, mais finalement, ça s'est plutôt bien passé.
Une hausse. On l'a vu il y a quelques jours. Qui a réussi à tenir le coup malgré tout. Maple Leaf Foods qui grimpent aujourd'hui après avoir connu des pertes.
Ici à Toronto, le SIP Toronto, 115 points à la baisse, prévoit que 0,5 %. Le S&P 500 pèse 11 points, un peu plus d'un quart de pour cent.
Michael O'Brien pour répondre à vos questions. Beaucoup de questions me sont envoyées. Commençons par celle-ci.
Vos perspectives pour Shopify?
- Shopify, ça a très bien démarré pour Shopify cette année.
en partie, attribuable au fait que les inverseurs sont moins inquiets en matière d'inflation. Les cours des obligations ont baissé, mais côté fondamental, ça a bien démarré pour Shopify.
Ils ont indiqué leur bilan la semaine dernière, des hausses importantes de recettes.
Chose plus importante encore, et ça beaucoup de gens l'attende depuis longtemps, ce qu'ils ont semblé modifier leurs perspectives afin de se concentrer sur les coûts.
Évidemment, les investisseurs avaient hâte que ça se fasse depuis longtemps maintenant.
Des compagnies technologiques sont soviétiques au début de la pandémie ont connu une année plus difficile année passée. Cette année, il faut voir comment ils vont réagir au niveau contexte.
Côté de Shopify, malheureusement pour les gens qui travaillent là-bas, écoutez, il y aura encore beaucoup de mise à pied.
Les investisseurs ont tendance à applaudir dans ces cas-là. Mais les employés peut-être pas. Évidemment.
Une autre mesure importante qu'ils ont annoncée, ce qu'il y a quelques années, ils ont commencé à créer un réseau Shopify un peu comme Amazon pour envoyer vos colis plus rapidement.
les investisseurs se demandaient si c'était seulement un rêve, combien de temps ça prendrait pour le mettre en œuvre. La direction a examiné les choses de plus près et a décidé que ça ne leur convenait pas. Ils ont vendu sa à une compagnie de distribution, établir un partenariat, je dirais, ce qui veut dire que l'on retourna leurs racines, c'est-à-dire une entreprise qui a peu d'immobilisation. Ce qui leur offrent une voie plus claire, plus net pour avoir des bons flux de trésorerie.
Ça reste quand même contexte macro-économique difficile. L'économie ralentit, qu'est-ce qui arrive au commerce électronique?
Shopify, qu'est-ce qu'ils font?
Qui sont leurs clients? Essentiellement, leurs clients, ce sont des PME. Qui vendent des articles de consommation discrétionnaire des consommateurs. Si un vrai ralentissement à l'heure actuelle de chômage à des niveaux plus bas que depuis 30 ou 50 ans, il y a des pressions de ce côté. Si les consommateurs subissent des pressions, ces articles de consommation discrétionnaire, surtout pour les PME qui ne peuvent pas tenir le coup aussi bien chez Walmart où Home Depot, leur clientèle pourrait subir les effets de tout ça. Mais si on passe de façon stratégique à l'avenir de façon plus poussée, ça se produit autrement. Il faut avoir d'autres perspectives dans ces cas-là.
- Aritzia, qu'est-ce qu'on s'attend?
- Est-ce que les gens aiment leurs vêtements? Ça reste évidemment un facteur solide. Aritzia reste quand même.
Il continue de frapper fort pour que les gens qui les importunent de les aimer.
Une hausse de 40 5 % je pense de leur chiffre d'affaires au dernier trimestre. Il ne s'agit pas de savoir s'ils peuvent attirer des nouveaux clients.
Est-ce qu'ils ont des vêtements que les clients aiment?
Le problème n'est pas là.
Par ailleurs, c'est un peu l'inverse de Shopify.
Shopify, les investisseurs ont applaudi quand il y a eu un resserrement en matière de coûts de fonctionnement, réduction des dépenses d'infrastructures, mais chez Aritzia c'est tout le contraire. Ils ont décidé qu'ils veulent investir pour l'avenir et qu'ils vont beaucoup dépenser, plus que ce à quoi ce qu'attendent les investisseurs en matière d'infrastructures, centres de distribution.
Ils doivent travailler aussi à des problèmes d'inventaire. Ils un peu trop de choses en stock.
L'équipe de directions d'Aritzia physiques qu'ils allaient construire pour l'avenir dans deux ou trois ans.
Parfois, les marchés soutiennent cette perspective.
Dans ce contexte où les gens sont inquiets, du contexte économique, les investisseurs ont tendance à récompenser les compagnies comme Shopify ou Meta qui resserrent leur ceinture, comme on dit. Aritzia, même s'ils ont une bonne croissance de leur chiffre d'affaires, ça a été très dur pour le cours de leur action. Peut-être que la direction n'avait pas bien compris quel était l'état d'esprit des actionnaires.
- Une autre question maintenant.
L'offre de la part de Glencore de racheter Teck Resources, est-ce bon pour les investisseurs?
il y a eu beaucoup d'encre qui a coulé là-dessus récemment.
- D'abord, ça semble bien pour les actionnaires, pas simplement parce que ça rehausse le cours de l'action, mais de plus, ça nous permet d'éclairer la valeur stratégique des actifs en cuivre. Une nouvelle mine se trouve aux premières étapes de sa production à l'accélérer, donc ça devrait doubler leur production de cuivre alors que tous les grands intervenants du secteur minier cherchent du côté du cuivre.
- ce n'est pas la veille de disparaître. Mais si on réfléchit, quant à savoir s'il y aura une guerre pour ce qui est de savoir qui va acheter, soyons plus prudents à mon avis.
En fait, il y a un actionnaire majoritaire, une famille qui a créé Teck Resources et qui ne semble pas, le fondateur ne semble pas pressé devant. Teck Resources a indiqué très clairement que Glencore n'est pas le bon partenaire à leurs yeux.
Donc on à une situation des investisseurs qui comprennent maintenant la valeur stratégique des actifs en cuivre, mais je n'irai pas conclure que ça veux dire qu'il y aurait un achat de cette compagnie.
Dans ce même dossier, vous aurez remarqué que depuis quelques semaines, on a commencé à parler politique.
Les tendances protectionnistes, et donc Teck Resources a été le vaisseau amiral en matière de mine au Canada.
Repensant au dernier grand cycle, 2000 2010, on a perdu beaucoup de nos grandes compagnies minières qui ont été vendues à des acheteurs étrangers, que ce soit Alcan, Falcon Bridge.
Les conservateurs dans l'opposition et les ministres du cabinet, et finalement le premier ministre ont donné à entendre qu'on allait suivre de très près une telle transaction.
Encore une fois, un peu de prudence à court terme.
Pour dire les choses autrement je ne pense pas qu'on doive nécessairement conclure qu'il y aura un achat très court terme mais je pense qu'un bon soutien fondamental pour ce qui est de la valeur de Teck Resources.
- Très intéressant de vous entendre.
Faites vos recherches avant de prendre vos décisions de placement. On reviendra pour vos questions. Je vous rappelle que vous pouvez communiquer avec nous par courriel.
Maintenant, en matière d'éducation et de formation, si vous cherchiez un certain type de FNB, CourtierWeb a des outils. Bryan Rogers va nous parler de la façon de procéder.
Ravi de vous accueillir.
Parlons maintenant de FNB et de comment les trouver sur la plate-forme.
- Oui d'accord. Notre plate-forme a vraiment beaucoup de renseignements pour déplacement très diversifié, y compris les FNB. Ça fait un peu écraser au début, surtout pour les nouveaux investisseurs, d'arriver à trouver une liste plus restreinte, plus limité pour examiner les perspectives dans une catégorie précise.
Il y a beaucoup de fonctions de tri qui nous permet de trouver ce qu'on cherche.
On passe maintenant CourtierWeb.
Vous voulez cliquer sur recherche, cet onglet, puis FNB.Vous pouvez l'utiliser aussi pour les fonds communs de placement. À gauche de l'écran maintenant, pour les FNB, je vais vous montrer comment on peut procéder.
D'abord, en haut, vous voyez toutes les catégories de FNB. Vous pouvez passer du côté des actions américaines, ou alors internationale et lassitude.
Ça va vous donner de grandes catégories. Il y a un graphique ici qui nous montre, qui permet de sélectionner, et sur une base annuelle, vous voyez les résultats de certaines catégories sur un an.
Vous pouvez modifier ça si vous voulez passer à trois ans. Pour les FNB, en Europe, au Japon, les actions en matière d'énergie, vous pouvez cliquer et approfondir et vous verrez les FNB disponibles. Je voudrais cliquer ici sur d'autres caractéristiques. Quand on voit plus bas, il y a des écrans ici. Qu'on peut atteinte.
FNB TD, il y en a 46, ou des FNB d'action canadienne.
Vous avez délice.
Titres à revenus fixes nationaux, canadiens, les gens parfois cherchent des produits évidemment de titres à revenu fixe.
Et alors qu'on continue, on peut comparer ici en ajoutant un symbole, si vous voulez comparer quelques grands noms, vous avez ce qui se passe aujourd'hui, par catégorie, mais j'aime beaucoup ici au bas à droite, c'est ça que je veux vous montrer surtout, vous avez un outil de tri rapide pour les FNB. Si je veux par exemple, les gens souvent me posent des questions, des options en matière aux indices boursiers.
Vous avez ici sur les FNB, indices boursiers, par pays, si vous l'américain plutôt que canadien, 6229 FNB qui répondent à ses critères de tri. Ensuite, on peut cibler plus précisément pour vous trouver par exemple le ratio des frais de gestion le plus bas, disons 173, les volumes de transactions, la cote Morningstar ou les volumes de transactions, mettons 10.
Vous pouvez sélectionner supérieur à la moyenne ou la cote Morningstar 4 étoiles par exemple. J'écris pour vous une liste, et on voit ici la liste. J 12 FNB indicielles populaires intéressant pour ce qui est du volume de transactions. Et voilà.
Vous pouvez partir de là et voir ce qui vous intéresse.
- Très bien, donc ça nous permet de trouver ce qui nous intéresse vraiment. Merci beaucoup.
- C'est un plaisir.
- Bryan Rogers, formateur. Assurez-vous de vérifier notre plate-forme pour trouver des vidéos, des classes de maître et des webinaire. Avant de retourner à vos questions sur les actions canadiennes, je vous rappelle comment vous pouvez communiquer avec nous.
Si vous avez une question matière de placement ou que vous voulez savoir ce que cependant les marchés, nos invités peuvent répondre aux questions.
De façon de procéder.
Par courriel à tout moment, à l'adresse envoyée, ou encore en cliquant sur la case, la boîte prévue au bas de l'écran. Tapez votre question et envoyez-la nous. On verra si un de nos invités peut vous répondre dès maintenant. Michael O'Brien répond à vos questions. Les perspectives pour les producteurs de gaz naturel, d'après vous?
- Eh bien, le gaz naturel, ça a été très volatile de ce côté. Manifestement, il y a six mois, (...) il y avait un peu trop de gaz naturel dans les sacs à la fin de la fin de l'hiver donc les cours ont baissé récemment.
C'est un peu une surprise. Évidemment, ce exerce des pressions sur les producteurs.
Tout spécialement pour les producteurs de loisirs maternels ça dépend beaucoup de la marketing quant à savoir où il va encore produit.
S'ils sont coincés du côté (...) c'est un peu difficile à l'heure actuelle. Par ailleurs, il y a des gens plus sophistiqués qui ont des contrats pour vendre en Californie, qui est un marché isolé.
Les cours là-bas ont tenu le coup.
Il y a de grands écarts, de grandes divergences de producteurs à l'autre en fonction de l'endroit où ils vendent leurs produits.
Les plus sophistiqués comme Tourmaline Oil obtiennent de très bons prix.
C'est un premier facteur.
Et si on pense à l'été, je pense que ce sera une période un peu trouble.
Beaucoup des infrastructures en matière de gaz naturel en Alberta, en Colombie Britannique, ce qui se passe, c'est que TCP et Enbridge dans une moindre mesure continue d'accroître leur capacité pour la croissance de gaz naturel liquéfié vers 2024, 2025.
Mais quand ils font de l'entretien pendant l'été, le marché peut être perturbé, il peut y avoir de mauvaise surprise.
Portez attention à ce qui va se passer cet été.
À plus long terme, c'est quand même très positif. Si on peut tenir le coup jusqu'au moment en 2025, grosso modo, ou le gaz naturel liquéfié va changer toute la donne, va changer les facteurs fondamentaux dans l'Ouest du pays. À long terme, il y a des raisons d'être très optimiste en fonction du temps qu'il fera.
- Une autre question toujours liée au secteur de l'énergie. On a parlé rapidement de Suncor. Qu'est-ce que vous en dites?
- Suncor, c'est intéressant. Ce retourné il y a quelques quelques années, c'était (...) certaines de leurs mines ont de l'âge, comme on dit, sont moins efficaces. Il y a des problèmes opérationnels, des accidents, des décès, parmi les employés.
Au fond, ce que je dis,C'est qu'on les perçoit moins comme étant la grande vedette.
Leur étoile à pâli.
C'est intéressant, parce que et ce n'est pas étonnant, étant donné les difficultés en matière opérationnelle, il y a eu un changement à la haute direction. Un nouveau PDG, vous vous rappelez peut-être de lui, il a été chez Imperial Oil assez longtemps. Il a quitté sa retraite.
c'est un projet de revirement et dès le départ ils ont des actifs très intéressants. Il faut modifier la culture, se concentre sur le côté opérationnel de la sécurité, et si on peut le faire de façon compétent, ça va très bien. Il faut y mettre le temps, évidemment.
Donc au premier appel avec les spécialistes, avec les analystes, le nouveau PDG à indiquer ce qui s'annonce.
Il va faire beaucoup de marketing pour faire passer son message directement aux investisseurs, à mon avis, et je pense que bien des gens feront preuve d'ouverture d'esprit pour voir qu'il y a là de belles occasions, pas simplement des défis.
- Une autre question maintenant au sujet des fonds de placement en immobilier.
Qu'est-ce qu'on peut dire de ce secteur d'activité?
- bien, je pense que dans ce domaine-là, on va parler de façon générale.
Il ne faut pas généraliser. Une grande partie de sexe pendant l'immobilier de nos jours à des conséquences forcément sur les compagnies particulières.
Un FPI qui est très exposé au secteur immobilier des bureaux, qui est problématique par les temps qui courent, ce serait très différent.
FPI qui serait du côté dont les activités seraient plutôt des appartements. Les immeubles multi appartements.
Il faut savoir de compas. Il y a eu des périodes du cœlacanthe contrôle des loyers alors que les sources de revenus ont été limitées, alors que les coûts grimpés.
Mais il y aura un renversement et ça devient plus intéressant, notamment grâce à l'immigration et au retour des étudiants étrangers. Les loyers évidemment, le marché de la location immobilière, tout s'est resserré donc ça peut devenir plus rentable.
Du côté des choses plus cycliques comme les bureaux, évidemment, tout FPI présent surtout dans ce domaine va subir des pressions.
Le secteur industriel, ça a été évidemment l'enfant gâté, mais si l'économie ralentit il y aura peut-être un petit problème de ce côté-là. Mais c'est quand même intéressant.
De façon générale, on ne peut pas généraliser. Voilà.
- Bien dit. On reviendra vos questions dans quelques instants. Assurez-vous de faire vos propres recherches avant de prendre des décisions de placement. Je vous rappelle que vous communiquez avec nous à tout moment.
Vous avez une question matière de placement? Nos invités veulent y répondre. Envoyez-nous vos questions.
De façon de procéder, soit par courriel à l'adresse voyait à l'écran, ou encore utiliser la provocation au bas de votre écran.
Tapez votre question, envoyez-la nous. On verra si un de nos invités peut vous répondre immédiatement.
Moins d'optimisme du côté des petites entreprises aux États-Unis.
On aura plus de renseignements grâce Anthony Okolie.
- Merci beaucoup. Comme vous l'avez dit, l'optimisme est à la baisse. Au mois d'avril, à son niveau le plus bas depuis le début de 2013.
L'indice a baissé de plusieurs points, pour atteindre 89 en avril, ce qui indique, c'est le 16e mois de suite aussi en dessous de la moyenne générale.
Quand on examine les données de façon plus précise, les baisses les plus prononcés étaient du côté du fait que les stocks étaient trop faibles.
Les tendances en matière de recettes, l'optimisme a baissé.
Un autre domaine important, c'est que c'est difficile de trouver des travailleurs compétents et des petites entreprises ont de la difficulté à attirer les travailleurs compétents. Par contre, pour les entreprises qui veulent payer plus cher leurs employés, on voit l'écart de deux points en avril.
le nombre d'entreprises qui ont baissé leurs prix ont baissé. Évidemment, ce matin,on a été donné en matière d'inflation plus faible que prévu, 0,2 % pour avril, et on prévoit que ça va continuer de baisser.
Et enfin, les actions entreprises qui doivent emprunter, voyez qu'il y a un écart là aussi.
Celle qui paient des hauts taux d'intérêt, ça reste stable.
les propriétaires d'entreprise n'étaient pas très optimistes en avril.
Il y a toutefois deux raisons pour lesquelles s'inquiéter quand on est propriétaire des PME. Côté bancaire maintenant, réaction du côté de l'espace dans les banques. Le rapport indique qu'on est plutôt optimiste en un sens, jusqu'à présent, la crise bancaire ne semble pas avoir réduit de beaucoup la confiance.
Par ailleurs, la qualité de la main-d'œuvre, c'est un grave problème.
Inflation évidemment, ça reste aussi un grand sujet de préoccupation.
24 % des propriétaires d'entreprises ont indiqué que c'est la leur plus grand problème.
En matière d'inflation, ça devient plus conforme à sera constatant, c'est-à-dire une inflation réduite.
- Anthony Okolie vous a parlé de ces facteurs.
Le S&P TSX, 98 points à la baisse. CI Financial avant d'une partie de ses activités en investissant dans une compagnie américaine. Une hausse de 27 %. Maple Leaf Foods maintenant, ils ont indiqué que les actionnaires s'attendaient à ce qu'il n'arrive pas à atteindre leur cible, mais ils ont un peu battu. Ils ont été au-delà de leur cible. Une hausse de 10, presque 11 % du cours de leur action. S&P 500, alors que les investisseurs analysent ce qui se passe du côté des Disney, une hausse plutôt modeste. Le Nasdaq c'était en début de notre émission, ça reste à la hausse.
Ces points à la hausse.
Alphabet, anciennement Google, une hausse de 5 % du cours de leur action.
Ils ont montre aux investisseurs ce qu'il peut faire.
L'intelligence artificielle, pour l'ensemble de leurs produits, ça semble mobiliser les investisseurs.
De nouveau, Michael O'Brien qui va nous parler des qualités, de choses fiables.
Est-ce que c'est important pour acheter des actions de Nutrien?
Ils viennent d'indiquer leurs résultats du dernier trimestre, les investissements pas trop aimés.
- Les investisseurs attendaient effectivement ce que le trimestre soit difficile pour Nutrien et qui n'atteignent pas leur cible. Ça a été pire que prévu.
Donc les gens sont déçus et le cours de l'action est à la baisse.
Je pense que c'est une action qui subit des pressions de placer longtemps.
Perception négative.
C'est peut-être l'événement clic se produit maintenant.
Ce qu'il faut garder en tête, ce que c'est quand même une entreprise très solide.
Ils ont de bons flux de trésorerie, leur bilan est excellent, ils ont des actifs de catégorie mondiale, c'est très équilibré, ce qu'ils ont.
Et donc, quand on se demande où en est Nutrien, évidemment, tous les intrants en matière d'engrais ont coûté plus cher l'an dernier à la suite de l'invasion russe de l'Ukraine.
La Russie et son allié le Bélarus sont des grands fournisseurs de potasse. On est inquiet aussi pour ce qui du coup de l'azote.
Il y avait des préoccupations en Europe à cet égard.
Par conséquent, les prix étaient anormalement élevés proches certains des ingrédients des engrais. Les fermiers, les agriculteurs sont intéressants. Ils peuvent être très entêtés.
Ils vont attendre avant d'acheter quand les prix grimpent.
Même si les prix agricoles seront très chers à l'heure actuelle, c'est attractif pour les agriculteurs, il reste quand même assez entêté quand il s'agit de ne pas payer trop cher pour les engrais, notamment pour la potasse. Les bonnes nouvelles quand même, ça semble robuste, ce secteur d'activité. Vu ce qui se passe du côté du prix des produits agricoles et tôt ou tard, les agriculteurs devront acheter ses nutriments.
Il s'agit de voir comment ça se fera.
Probablement qu'on en est à un point aussi peut-être le moment le plus sombre pour Nutrien et les valorisations ne sont pas très exigeant.
Quand on pense à ce qu'on trouve normalement à mi-cycle, ça semble être 1, Cours intéressant.
-Les Canadiens s'en sont bien tirés pendant très longtemps, pensez-vous que ça va continuer à la hausse?
- Évidemment, ça a été une année difficile pour le les actions des banques canadiennes (.
..) quand les gens sont inquiets en matière de récession, sont inquiets du fait de faillite d'entreprise, et des gens perdent leur emploi, les gens commencent à ce moment-là à se demander quelles seraient les contrecoups pour les banques qui ont allongé des prêts.
Les banques régionales américaines, situation très différente au Canada mais les investisseurs ont quand même été inquiets. Ce que je dis au fond, ce que ce n'est pas vraiment étonnant que les actions des banques canadiennes et subit les pressions à la baisse.
Si on retourne maintenant au message plus important à retenir, c'est qu'il y a une raison pour laquelle les banques canadiennes tiennent bien le coup au fil du temps. Et ce que c'est un petit groupe de très grandes banques très bien équilibrées, bien géré.
on assiste grandement qu'au Canada.
J'hésite à utiliser le mot oligopole, mais si j'utilise le mot, a toujours très bien traité ses actionnaires.
Quand on pense aux dividendes Anvers au fil des ans.
Une bonne façon de s'enrichir à long terme, c'est de placer son argent là.
Les conditions qui ont créé cet oligopole qui cherche à bien traiter ses actionnaires, ça se maintient, comment dire?
Les faiblesses du côté des banques régionales américaines, au fond, mettre en valeur les avantages du système bancaire canadien.
Donc au-delà des vents négatifs en matière de macroéconomie, à court terme, à long terme, si on vit une période difficile, une récession, un atterrissage difficile, plus de remous du côté des banques américaines, évidemment, ça va être difficile à court terme ou à moyen terme pour les banques canadiennes, mais à plus long terme, ça reste quand même des entreprises très intéressantes, bien structurées, et les investisseurs vont continuer d'y mettre de l'argent.
- C'est toujours un plaisir de vous accueillir. À la prochaine.
- Merci beaucoup.
- Merci à Michael O'Brien. Comme toujours, assurez-vous de faire vos propres recherches avant d'investir. Mise à jour pour ce qui est des marchés demain.
Lundi, Vitali Mossounov, qui est un analyste, va nous parler des actions des sociétés en matière de technologie, ce qui a été très intéressant depuis le début de l'année. Vous pouvez nous envoyer d'avance aux questions par courriel. C'est tout pour aujourd'hui.
Merci d'avoir été des nôtres. À demain!
Aujourd'hui donc, nous allons aborder le secteur énergétique canadien.
Michael O'Brien va nous en parler.
C'est un gestionnaire de portefeuille chez nous. Et Anthony Okolie va parler de nouveaux sondages et de la santé de l'économie.
Et puis dans le secteur éducation, Bryan Rogers va nous montrer comment vous pouvez trouver certains types de FNB sur la plate-forme.
Voici donc comment communiquer avec nous.
Envoyez-nous un courriel à l'adresse que vous voyez à l'écran ou alors vous pouvez utiliser la case prévue à cet effet sur notre plate-forme.
Alors le TSX d'abord.
Perte de 113 points, un peu plus d'un demi pour cent.
Le pétrole un peu à la baisse, mais nous avons quand même des nouvelles du côté de Nutrien.
Une baisse de son chiffre d'affaires au dernier trimestre, mais qui s'attend à une hausse de la demande, donc il est à 80, presque 80 $ l'action.
Linamar a été au-delà des prévisions. Une hausse de six et demis pour cent à 69,40 $ l'action. Bien sûr, c'est dans le secteur de la fabrication des pièces automobiles. Le S&P 500, le marché américain, résultats décevants de dessiner pour ce qui est du nombre d'abonnés. Ça a été un peu dur pour eux.
Au S&P 500, une baisse d'un quart de pour cent. Ce n'est pas attribuable qu'aux actions de dessiner, il y a des nouvelles en matière d'inflation, la Fed, maintenant le Nasdaq.
Modérément à la hausse, 13 points de hausse.
Les actions de dessiner, comme je l'ai dit, sont à la baisse à cause de déception de ce côté.
8 % à la baisse en fait, à 92 $, 96 l'action.
Énergie maintenant, c'est important dans l'indice TSX et plusieurs des poids-lourds viennent indiquer quels sont leurs revenus.
Notre invité nous dit que ça a été un trimestre un peu trouble mais qu'il y a une bonne nouvelle quand même.
Michael O'Brien, gestionnaire de portefeuille, merci d'être des nôtres.
De ce côté de la frontière, qu'est-ce qui se passe?
Les poids-lourds de l'énergie, vous dîtes que ça a été un peu trop?
- En fait, ces compagnies vivent dans un contexte passablement hostile quand on pense à ce qui se passe du côté du nord de l'Alberta, il y a des problèmes opérationnels, bien souvent c'est lié au temps qu'il fait, au mauvais temps, donc par ailleurs aussi les données sont un peu malades sonnent, comme on dit.
Du point de vue des joueurs intégrés comme Cenovus et Suncor, ils ont dû fermer un certain temps la raffinerie, donc c'est un des trimestres, comment dire, où tous les cylindres ne fonctionnent pas à plein.
Malgré tout sont quand même rentables, ils ont généré un bon flux de trésorerie et ses revenus dans les poches des actionnaires en bonne partie.
Donc c'est encore rentable évidemment, c'est intéressant car le prix du pétrole brut en moyenne pour un premier trimestre de l'an dernier était beaucoup plus élevé que pour ce trimestre six.
Premier trimestre de l'année, je me tais.
Ça reste rentable, tout à fait, surtout après cinq ou six ans. On a vécu une période où les cours du pétrole étaient plutôt bas pendant assez longtemps, on a tendance à oublier qu'au premier trimestre, le trimestre combien déterminé, s'étaler de 70 à 80 $, le cours du baril de pétrole, ça paraît moins emballant que l'an dernier alors que c'était plus de 100 $ le baril.
Mais en comparaison de ce que c'était, vers la fin de cette dernière décennie, c'est quand même intéressant.
On a un peu perdu ça de vue. 70,80 $ le baril pour les producteurs canadiens de pétrole, c'est quand même très sain.
Nous avons vu toutes ces compagnies continuent d'améliorer leur bilan, continue aussi d'envoyer de l'argent aux actionnaires.
Si le pétrole reste à 70,80 $, ça peut paraître pas très emballant, mais c'est quand même intéressant.
- À quoi s'attendre de la part d'actionnaires de ce côté?
- Il y a eu les mois d'hiver avec des problèmes opérationnels, mais le reste de l'année, ça devrait aller mieux quand même pour Cenovus, un des grands producteurs canadiens, ils étaient en quelque sorte entraînent fonctionnent avec une main attachée derrière le dos alors que quatre de leurs cinq raffineries fonctionnaient très peu, à des nouveaux sous optimaux.
La direction là-bas nous dit qu'on espère que d'ici juin ou juillet toutes ces raffineries devraient tourner à 100 %, donc il devrait avoir une bonne amélioration.
Quand on passe au temps perdu lié au climat, ça devrait être une chose du passé.
Les trimestres quatre et premier de cette année, donc les investisseurs maintenant se concentrent sur le fait, et c'est juste d'ailleurs, c'est que ces compagnies au début après la pandémie dans la période de récupération voulaient aussi utiliser les flux de trésorerie pour réduire leur niveau d'endettement.
C'était bien.
Pour les détenteurs d'actions, grosso modo toutes ces compagnies sont en train d'approcher du seuil magique où les niveaux d'endettement leur conviennent.
Au-delà de ses limites, tous les flux de trésorerie nouveaux vont nous revenir comme actionnaires.
Il y a des dividendes, des rachats, des dividendes spéciaux par exemple, Canadian Natural Resources Resources, leur chef magique, ces 10 milliards de dollars d'endettement. Il ne leur manque pas grand-chose. D'ici le début de l'année prochaine, il devrait atteindre ce plateau, et après cela, 100 % des flux de trésorerie disponible reviendront actionnaires.
Cenovus, leur chef magique et 4 milliards de dollars.
Ils sont assistés demis aujourd'hui pour l'endettement.
D'ici la fin de l'année, ça devrait se régler et les investisseurs devraient se dire que parfois il y a des imprévus, bien sûr, des réductions des cours du pétrole, mais grosso modo ces grands intervenants devraient continuer de verser de plus en plus d'argent aux actionnaires.
- Comme investisseur qui regarde ce qui se passe dans le domaine énergétique, que penser des facteurs énergétiques?
Un ralentissement mondial qui réduirait la demande, ce que ferait l'OPEP?
- Oui évidemment.
Le pétrole est une matière première à l'échelle planétaire fait tourner le monde. Les cours du pétrole vont connaître les grands écarts.
Selon l'état d'esprit, vous lisez récession dans les journaux, le mot horaire, probablement que les cours du pétrole vont réagir de façon négative. Par ailleurs, si les gens deviennent plus optimistes pour le contexte économique où se concentrent sur la relance en Chine, c'est bon pour le pétrole.
Ce sont des facteurs macro-économiques qui sont fondés sur les perceptions, pour ne pas dire les sentiments.
C'est important dans le domaine du pétrole. Mais en fin de compte, il s'agit surtout de savoir ce qu'est l'offre et ce qu'elle a demande.
Nous essayons de nous écarter du bruit de fond, ignorer le bruit de fond, les cours vont de 60 à 80 $ le baril, comme je l'ai dit, mais en fin de compte, si on prend notre attention sur les facteurs fondamentaux, c'est-à-dire que l'offre, est-ce que ça va au-delà de la demande? Ce sont les facteurs qui vont véritablement jouer pour nous indiquer où on lancera dans plusieurs mois.
- Le marché canadien évidemment est en grande partie constituée du secteur énergétique, puis du secteur financier.
Mais on entend dire de la part des compagnies minières, si on pense à l'or, que si vous diriez?
- Ce qui a été retiré au pétrole à cause des perceptions négative quant à l'économie, ça a tendance à favoriser les aurifères.
Les aurifères attirent les liquidités.
Quand les gens ont peur, on se tourne vers l'or aussi.
Les gens sont craintifs par rapport aux banques régionales américaines, une crise bancaire, donc défavorable à l'or.
Au cours de l'or.
L'or, ça a été le grand bénéficiaire des difficultés des pétrolières.
Au-delà de 2000 $ l'once, c'est très intéressant pour les aurifères.
Les producteurs d'or, mais leurs difficultés, ce n'est pas tellement du côté des recettes mais des coûts. De maintenir des opérations efficaces. Il y a beaucoup de coups qui grimpent à cause de l'inflation.
Ça a joué pour eux.
Et donc même si l'idée du 2000 $ l'once d'or, on pense que c'est très intéressant pour les aurifères, il y a quand même de graves pressions du côté de la production. Les coûts de production.
- Toujours intéressant notre Michael O'Brien. On reviendra à vos questions qui s'adressent à lui dans quelques instants. Je vous rappelle que vous pouvez communiquer avec nous à l'adresse que vous voyez à l'écran ou sur la case au bas de l'écran.
Maintenant, mise à jour de ce qui se passe dans le monde des affaires.
Les actions de CI Financial, la compagnie de Toronto, se vend 20 % de ce qu'elle fait en matière de gestion du patrimoine aux États-Unis. Ça inclut Bain Capital et Abu Dhabi Investment Authority.
On a changé d'idée, on pensait privatiser, donc c'est environ 26 % la hausse aujourd'hui.
Un incendie du côté de Canadian Tire d'un de leurs entrepôts a été coûteux.
Ça leur a coûté quelque 68 millions de dollars.
Les ventes étaient à la baisse en comparaison de la même période l'an dernier. Canadian Tire dit que l'année, que ce printemps les choses vont plus lentement. Maple Leaf Foods maintenant.
Un peu plus solide que ce qui avait été prévu.
Il semble que le marché, on pensait que ce serait très dur pour le transformateur alimentaire, mais finalement, ça s'est plutôt bien passé.
Une hausse. On l'a vu il y a quelques jours. Qui a réussi à tenir le coup malgré tout. Maple Leaf Foods qui grimpent aujourd'hui après avoir connu des pertes.
Ici à Toronto, le SIP Toronto, 115 points à la baisse, prévoit que 0,5 %. Le S&P 500 pèse 11 points, un peu plus d'un quart de pour cent.
Michael O'Brien pour répondre à vos questions. Beaucoup de questions me sont envoyées. Commençons par celle-ci.
Vos perspectives pour Shopify?
- Shopify, ça a très bien démarré pour Shopify cette année.
en partie, attribuable au fait que les inverseurs sont moins inquiets en matière d'inflation. Les cours des obligations ont baissé, mais côté fondamental, ça a bien démarré pour Shopify.
Ils ont indiqué leur bilan la semaine dernière, des hausses importantes de recettes.
Chose plus importante encore, et ça beaucoup de gens l'attende depuis longtemps, ce qu'ils ont semblé modifier leurs perspectives afin de se concentrer sur les coûts.
Évidemment, les investisseurs avaient hâte que ça se fasse depuis longtemps maintenant.
Des compagnies technologiques sont soviétiques au début de la pandémie ont connu une année plus difficile année passée. Cette année, il faut voir comment ils vont réagir au niveau contexte.
Côté de Shopify, malheureusement pour les gens qui travaillent là-bas, écoutez, il y aura encore beaucoup de mise à pied.
Les investisseurs ont tendance à applaudir dans ces cas-là. Mais les employés peut-être pas. Évidemment.
Une autre mesure importante qu'ils ont annoncée, ce qu'il y a quelques années, ils ont commencé à créer un réseau Shopify un peu comme Amazon pour envoyer vos colis plus rapidement.
les investisseurs se demandaient si c'était seulement un rêve, combien de temps ça prendrait pour le mettre en œuvre. La direction a examiné les choses de plus près et a décidé que ça ne leur convenait pas. Ils ont vendu sa à une compagnie de distribution, établir un partenariat, je dirais, ce qui veut dire que l'on retourna leurs racines, c'est-à-dire une entreprise qui a peu d'immobilisation. Ce qui leur offrent une voie plus claire, plus net pour avoir des bons flux de trésorerie.
Ça reste quand même contexte macro-économique difficile. L'économie ralentit, qu'est-ce qui arrive au commerce électronique?
Shopify, qu'est-ce qu'ils font?
Qui sont leurs clients? Essentiellement, leurs clients, ce sont des PME. Qui vendent des articles de consommation discrétionnaire des consommateurs. Si un vrai ralentissement à l'heure actuelle de chômage à des niveaux plus bas que depuis 30 ou 50 ans, il y a des pressions de ce côté. Si les consommateurs subissent des pressions, ces articles de consommation discrétionnaire, surtout pour les PME qui ne peuvent pas tenir le coup aussi bien chez Walmart où Home Depot, leur clientèle pourrait subir les effets de tout ça. Mais si on passe de façon stratégique à l'avenir de façon plus poussée, ça se produit autrement. Il faut avoir d'autres perspectives dans ces cas-là.
- Aritzia, qu'est-ce qu'on s'attend?
- Est-ce que les gens aiment leurs vêtements? Ça reste évidemment un facteur solide. Aritzia reste quand même.
Il continue de frapper fort pour que les gens qui les importunent de les aimer.
Une hausse de 40 5 % je pense de leur chiffre d'affaires au dernier trimestre. Il ne s'agit pas de savoir s'ils peuvent attirer des nouveaux clients.
Est-ce qu'ils ont des vêtements que les clients aiment?
Le problème n'est pas là.
Par ailleurs, c'est un peu l'inverse de Shopify.
Shopify, les investisseurs ont applaudi quand il y a eu un resserrement en matière de coûts de fonctionnement, réduction des dépenses d'infrastructures, mais chez Aritzia c'est tout le contraire. Ils ont décidé qu'ils veulent investir pour l'avenir et qu'ils vont beaucoup dépenser, plus que ce à quoi ce qu'attendent les investisseurs en matière d'infrastructures, centres de distribution.
Ils doivent travailler aussi à des problèmes d'inventaire. Ils un peu trop de choses en stock.
L'équipe de directions d'Aritzia physiques qu'ils allaient construire pour l'avenir dans deux ou trois ans.
Parfois, les marchés soutiennent cette perspective.
Dans ce contexte où les gens sont inquiets, du contexte économique, les investisseurs ont tendance à récompenser les compagnies comme Shopify ou Meta qui resserrent leur ceinture, comme on dit. Aritzia, même s'ils ont une bonne croissance de leur chiffre d'affaires, ça a été très dur pour le cours de leur action. Peut-être que la direction n'avait pas bien compris quel était l'état d'esprit des actionnaires.
- Une autre question maintenant.
L'offre de la part de Glencore de racheter Teck Resources, est-ce bon pour les investisseurs?
il y a eu beaucoup d'encre qui a coulé là-dessus récemment.
- D'abord, ça semble bien pour les actionnaires, pas simplement parce que ça rehausse le cours de l'action, mais de plus, ça nous permet d'éclairer la valeur stratégique des actifs en cuivre. Une nouvelle mine se trouve aux premières étapes de sa production à l'accélérer, donc ça devrait doubler leur production de cuivre alors que tous les grands intervenants du secteur minier cherchent du côté du cuivre.
- ce n'est pas la veille de disparaître. Mais si on réfléchit, quant à savoir s'il y aura une guerre pour ce qui est de savoir qui va acheter, soyons plus prudents à mon avis.
En fait, il y a un actionnaire majoritaire, une famille qui a créé Teck Resources et qui ne semble pas, le fondateur ne semble pas pressé devant. Teck Resources a indiqué très clairement que Glencore n'est pas le bon partenaire à leurs yeux.
Donc on à une situation des investisseurs qui comprennent maintenant la valeur stratégique des actifs en cuivre, mais je n'irai pas conclure que ça veux dire qu'il y aurait un achat de cette compagnie.
Dans ce même dossier, vous aurez remarqué que depuis quelques semaines, on a commencé à parler politique.
Les tendances protectionnistes, et donc Teck Resources a été le vaisseau amiral en matière de mine au Canada.
Repensant au dernier grand cycle, 2000 2010, on a perdu beaucoup de nos grandes compagnies minières qui ont été vendues à des acheteurs étrangers, que ce soit Alcan, Falcon Bridge.
Les conservateurs dans l'opposition et les ministres du cabinet, et finalement le premier ministre ont donné à entendre qu'on allait suivre de très près une telle transaction.
Encore une fois, un peu de prudence à court terme.
Pour dire les choses autrement je ne pense pas qu'on doive nécessairement conclure qu'il y aura un achat très court terme mais je pense qu'un bon soutien fondamental pour ce qui est de la valeur de Teck Resources.
- Très intéressant de vous entendre.
Faites vos recherches avant de prendre vos décisions de placement. On reviendra pour vos questions. Je vous rappelle que vous pouvez communiquer avec nous par courriel.
Maintenant, en matière d'éducation et de formation, si vous cherchiez un certain type de FNB, CourtierWeb a des outils. Bryan Rogers va nous parler de la façon de procéder.
Ravi de vous accueillir.
Parlons maintenant de FNB et de comment les trouver sur la plate-forme.
- Oui d'accord. Notre plate-forme a vraiment beaucoup de renseignements pour déplacement très diversifié, y compris les FNB. Ça fait un peu écraser au début, surtout pour les nouveaux investisseurs, d'arriver à trouver une liste plus restreinte, plus limité pour examiner les perspectives dans une catégorie précise.
Il y a beaucoup de fonctions de tri qui nous permet de trouver ce qu'on cherche.
On passe maintenant CourtierWeb.
Vous voulez cliquer sur recherche, cet onglet, puis FNB.Vous pouvez l'utiliser aussi pour les fonds communs de placement. À gauche de l'écran maintenant, pour les FNB, je vais vous montrer comment on peut procéder.
D'abord, en haut, vous voyez toutes les catégories de FNB. Vous pouvez passer du côté des actions américaines, ou alors internationale et lassitude.
Ça va vous donner de grandes catégories. Il y a un graphique ici qui nous montre, qui permet de sélectionner, et sur une base annuelle, vous voyez les résultats de certaines catégories sur un an.
Vous pouvez modifier ça si vous voulez passer à trois ans. Pour les FNB, en Europe, au Japon, les actions en matière d'énergie, vous pouvez cliquer et approfondir et vous verrez les FNB disponibles. Je voudrais cliquer ici sur d'autres caractéristiques. Quand on voit plus bas, il y a des écrans ici. Qu'on peut atteinte.
FNB TD, il y en a 46, ou des FNB d'action canadienne.
Vous avez délice.
Titres à revenus fixes nationaux, canadiens, les gens parfois cherchent des produits évidemment de titres à revenu fixe.
Et alors qu'on continue, on peut comparer ici en ajoutant un symbole, si vous voulez comparer quelques grands noms, vous avez ce qui se passe aujourd'hui, par catégorie, mais j'aime beaucoup ici au bas à droite, c'est ça que je veux vous montrer surtout, vous avez un outil de tri rapide pour les FNB. Si je veux par exemple, les gens souvent me posent des questions, des options en matière aux indices boursiers.
Vous avez ici sur les FNB, indices boursiers, par pays, si vous l'américain plutôt que canadien, 6229 FNB qui répondent à ses critères de tri. Ensuite, on peut cibler plus précisément pour vous trouver par exemple le ratio des frais de gestion le plus bas, disons 173, les volumes de transactions, la cote Morningstar ou les volumes de transactions, mettons 10.
Vous pouvez sélectionner supérieur à la moyenne ou la cote Morningstar 4 étoiles par exemple. J'écris pour vous une liste, et on voit ici la liste. J 12 FNB indicielles populaires intéressant pour ce qui est du volume de transactions. Et voilà.
Vous pouvez partir de là et voir ce qui vous intéresse.
- Très bien, donc ça nous permet de trouver ce qui nous intéresse vraiment. Merci beaucoup.
- C'est un plaisir.
- Bryan Rogers, formateur. Assurez-vous de vérifier notre plate-forme pour trouver des vidéos, des classes de maître et des webinaire. Avant de retourner à vos questions sur les actions canadiennes, je vous rappelle comment vous pouvez communiquer avec nous.
Si vous avez une question matière de placement ou que vous voulez savoir ce que cependant les marchés, nos invités peuvent répondre aux questions.
De façon de procéder.
Par courriel à tout moment, à l'adresse envoyée, ou encore en cliquant sur la case, la boîte prévue au bas de l'écran. Tapez votre question et envoyez-la nous. On verra si un de nos invités peut vous répondre dès maintenant. Michael O'Brien répond à vos questions. Les perspectives pour les producteurs de gaz naturel, d'après vous?
- Eh bien, le gaz naturel, ça a été très volatile de ce côté. Manifestement, il y a six mois, (...) il y avait un peu trop de gaz naturel dans les sacs à la fin de la fin de l'hiver donc les cours ont baissé récemment.
C'est un peu une surprise. Évidemment, ce exerce des pressions sur les producteurs.
Tout spécialement pour les producteurs de loisirs maternels ça dépend beaucoup de la marketing quant à savoir où il va encore produit.
S'ils sont coincés du côté (...) c'est un peu difficile à l'heure actuelle. Par ailleurs, il y a des gens plus sophistiqués qui ont des contrats pour vendre en Californie, qui est un marché isolé.
Les cours là-bas ont tenu le coup.
Il y a de grands écarts, de grandes divergences de producteurs à l'autre en fonction de l'endroit où ils vendent leurs produits.
Les plus sophistiqués comme Tourmaline Oil obtiennent de très bons prix.
C'est un premier facteur.
Et si on pense à l'été, je pense que ce sera une période un peu trouble.
Beaucoup des infrastructures en matière de gaz naturel en Alberta, en Colombie Britannique, ce qui se passe, c'est que TCP et Enbridge dans une moindre mesure continue d'accroître leur capacité pour la croissance de gaz naturel liquéfié vers 2024, 2025.
Mais quand ils font de l'entretien pendant l'été, le marché peut être perturbé, il peut y avoir de mauvaise surprise.
Portez attention à ce qui va se passer cet été.
À plus long terme, c'est quand même très positif. Si on peut tenir le coup jusqu'au moment en 2025, grosso modo, ou le gaz naturel liquéfié va changer toute la donne, va changer les facteurs fondamentaux dans l'Ouest du pays. À long terme, il y a des raisons d'être très optimiste en fonction du temps qu'il fera.
- Une autre question toujours liée au secteur de l'énergie. On a parlé rapidement de Suncor. Qu'est-ce que vous en dites?
- Suncor, c'est intéressant. Ce retourné il y a quelques quelques années, c'était (...) certaines de leurs mines ont de l'âge, comme on dit, sont moins efficaces. Il y a des problèmes opérationnels, des accidents, des décès, parmi les employés.
Au fond, ce que je dis,C'est qu'on les perçoit moins comme étant la grande vedette.
Leur étoile à pâli.
C'est intéressant, parce que et ce n'est pas étonnant, étant donné les difficultés en matière opérationnelle, il y a eu un changement à la haute direction. Un nouveau PDG, vous vous rappelez peut-être de lui, il a été chez Imperial Oil assez longtemps. Il a quitté sa retraite.
c'est un projet de revirement et dès le départ ils ont des actifs très intéressants. Il faut modifier la culture, se concentre sur le côté opérationnel de la sécurité, et si on peut le faire de façon compétent, ça va très bien. Il faut y mettre le temps, évidemment.
Donc au premier appel avec les spécialistes, avec les analystes, le nouveau PDG à indiquer ce qui s'annonce.
Il va faire beaucoup de marketing pour faire passer son message directement aux investisseurs, à mon avis, et je pense que bien des gens feront preuve d'ouverture d'esprit pour voir qu'il y a là de belles occasions, pas simplement des défis.
- Une autre question maintenant au sujet des fonds de placement en immobilier.
Qu'est-ce qu'on peut dire de ce secteur d'activité?
- bien, je pense que dans ce domaine-là, on va parler de façon générale.
Il ne faut pas généraliser. Une grande partie de sexe pendant l'immobilier de nos jours à des conséquences forcément sur les compagnies particulières.
Un FPI qui est très exposé au secteur immobilier des bureaux, qui est problématique par les temps qui courent, ce serait très différent.
FPI qui serait du côté dont les activités seraient plutôt des appartements. Les immeubles multi appartements.
Il faut savoir de compas. Il y a eu des périodes du cœlacanthe contrôle des loyers alors que les sources de revenus ont été limitées, alors que les coûts grimpés.
Mais il y aura un renversement et ça devient plus intéressant, notamment grâce à l'immigration et au retour des étudiants étrangers. Les loyers évidemment, le marché de la location immobilière, tout s'est resserré donc ça peut devenir plus rentable.
Du côté des choses plus cycliques comme les bureaux, évidemment, tout FPI présent surtout dans ce domaine va subir des pressions.
Le secteur industriel, ça a été évidemment l'enfant gâté, mais si l'économie ralentit il y aura peut-être un petit problème de ce côté-là. Mais c'est quand même intéressant.
De façon générale, on ne peut pas généraliser. Voilà.
- Bien dit. On reviendra vos questions dans quelques instants. Assurez-vous de faire vos propres recherches avant de prendre des décisions de placement. Je vous rappelle que vous communiquez avec nous à tout moment.
Vous avez une question matière de placement? Nos invités veulent y répondre. Envoyez-nous vos questions.
De façon de procéder, soit par courriel à l'adresse voyait à l'écran, ou encore utiliser la provocation au bas de votre écran.
Tapez votre question, envoyez-la nous. On verra si un de nos invités peut vous répondre immédiatement.
Moins d'optimisme du côté des petites entreprises aux États-Unis.
On aura plus de renseignements grâce Anthony Okolie.
- Merci beaucoup. Comme vous l'avez dit, l'optimisme est à la baisse. Au mois d'avril, à son niveau le plus bas depuis le début de 2013.
L'indice a baissé de plusieurs points, pour atteindre 89 en avril, ce qui indique, c'est le 16e mois de suite aussi en dessous de la moyenne générale.
Quand on examine les données de façon plus précise, les baisses les plus prononcés étaient du côté du fait que les stocks étaient trop faibles.
Les tendances en matière de recettes, l'optimisme a baissé.
Un autre domaine important, c'est que c'est difficile de trouver des travailleurs compétents et des petites entreprises ont de la difficulté à attirer les travailleurs compétents. Par contre, pour les entreprises qui veulent payer plus cher leurs employés, on voit l'écart de deux points en avril.
le nombre d'entreprises qui ont baissé leurs prix ont baissé. Évidemment, ce matin,on a été donné en matière d'inflation plus faible que prévu, 0,2 % pour avril, et on prévoit que ça va continuer de baisser.
Et enfin, les actions entreprises qui doivent emprunter, voyez qu'il y a un écart là aussi.
Celle qui paient des hauts taux d'intérêt, ça reste stable.
les propriétaires d'entreprise n'étaient pas très optimistes en avril.
Il y a toutefois deux raisons pour lesquelles s'inquiéter quand on est propriétaire des PME. Côté bancaire maintenant, réaction du côté de l'espace dans les banques. Le rapport indique qu'on est plutôt optimiste en un sens, jusqu'à présent, la crise bancaire ne semble pas avoir réduit de beaucoup la confiance.
Par ailleurs, la qualité de la main-d'œuvre, c'est un grave problème.
Inflation évidemment, ça reste aussi un grand sujet de préoccupation.
24 % des propriétaires d'entreprises ont indiqué que c'est la leur plus grand problème.
En matière d'inflation, ça devient plus conforme à sera constatant, c'est-à-dire une inflation réduite.
- Anthony Okolie vous a parlé de ces facteurs.
Le S&P TSX, 98 points à la baisse. CI Financial avant d'une partie de ses activités en investissant dans une compagnie américaine. Une hausse de 27 %. Maple Leaf Foods maintenant, ils ont indiqué que les actionnaires s'attendaient à ce qu'il n'arrive pas à atteindre leur cible, mais ils ont un peu battu. Ils ont été au-delà de leur cible. Une hausse de 10, presque 11 % du cours de leur action. S&P 500, alors que les investisseurs analysent ce qui se passe du côté des Disney, une hausse plutôt modeste. Le Nasdaq c'était en début de notre émission, ça reste à la hausse.
Ces points à la hausse.
Alphabet, anciennement Google, une hausse de 5 % du cours de leur action.
Ils ont montre aux investisseurs ce qu'il peut faire.
L'intelligence artificielle, pour l'ensemble de leurs produits, ça semble mobiliser les investisseurs.
De nouveau, Michael O'Brien qui va nous parler des qualités, de choses fiables.
Est-ce que c'est important pour acheter des actions de Nutrien?
Ils viennent d'indiquer leurs résultats du dernier trimestre, les investissements pas trop aimés.
- Les investisseurs attendaient effectivement ce que le trimestre soit difficile pour Nutrien et qui n'atteignent pas leur cible. Ça a été pire que prévu.
Donc les gens sont déçus et le cours de l'action est à la baisse.
Je pense que c'est une action qui subit des pressions de placer longtemps.
Perception négative.
C'est peut-être l'événement clic se produit maintenant.
Ce qu'il faut garder en tête, ce que c'est quand même une entreprise très solide.
Ils ont de bons flux de trésorerie, leur bilan est excellent, ils ont des actifs de catégorie mondiale, c'est très équilibré, ce qu'ils ont.
Et donc, quand on se demande où en est Nutrien, évidemment, tous les intrants en matière d'engrais ont coûté plus cher l'an dernier à la suite de l'invasion russe de l'Ukraine.
La Russie et son allié le Bélarus sont des grands fournisseurs de potasse. On est inquiet aussi pour ce qui du coup de l'azote.
Il y avait des préoccupations en Europe à cet égard.
Par conséquent, les prix étaient anormalement élevés proches certains des ingrédients des engrais. Les fermiers, les agriculteurs sont intéressants. Ils peuvent être très entêtés.
Ils vont attendre avant d'acheter quand les prix grimpent.
Même si les prix agricoles seront très chers à l'heure actuelle, c'est attractif pour les agriculteurs, il reste quand même assez entêté quand il s'agit de ne pas payer trop cher pour les engrais, notamment pour la potasse. Les bonnes nouvelles quand même, ça semble robuste, ce secteur d'activité. Vu ce qui se passe du côté du prix des produits agricoles et tôt ou tard, les agriculteurs devront acheter ses nutriments.
Il s'agit de voir comment ça se fera.
Probablement qu'on en est à un point aussi peut-être le moment le plus sombre pour Nutrien et les valorisations ne sont pas très exigeant.
Quand on pense à ce qu'on trouve normalement à mi-cycle, ça semble être 1, Cours intéressant.
-Les Canadiens s'en sont bien tirés pendant très longtemps, pensez-vous que ça va continuer à la hausse?
- Évidemment, ça a été une année difficile pour le les actions des banques canadiennes (.
..) quand les gens sont inquiets en matière de récession, sont inquiets du fait de faillite d'entreprise, et des gens perdent leur emploi, les gens commencent à ce moment-là à se demander quelles seraient les contrecoups pour les banques qui ont allongé des prêts.
Les banques régionales américaines, situation très différente au Canada mais les investisseurs ont quand même été inquiets. Ce que je dis au fond, ce que ce n'est pas vraiment étonnant que les actions des banques canadiennes et subit les pressions à la baisse.
Si on retourne maintenant au message plus important à retenir, c'est qu'il y a une raison pour laquelle les banques canadiennes tiennent bien le coup au fil du temps. Et ce que c'est un petit groupe de très grandes banques très bien équilibrées, bien géré.
on assiste grandement qu'au Canada.
J'hésite à utiliser le mot oligopole, mais si j'utilise le mot, a toujours très bien traité ses actionnaires.
Quand on pense aux dividendes Anvers au fil des ans.
Une bonne façon de s'enrichir à long terme, c'est de placer son argent là.
Les conditions qui ont créé cet oligopole qui cherche à bien traiter ses actionnaires, ça se maintient, comment dire?
Les faiblesses du côté des banques régionales américaines, au fond, mettre en valeur les avantages du système bancaire canadien.
Donc au-delà des vents négatifs en matière de macroéconomie, à court terme, à long terme, si on vit une période difficile, une récession, un atterrissage difficile, plus de remous du côté des banques américaines, évidemment, ça va être difficile à court terme ou à moyen terme pour les banques canadiennes, mais à plus long terme, ça reste quand même des entreprises très intéressantes, bien structurées, et les investisseurs vont continuer d'y mettre de l'argent.
- C'est toujours un plaisir de vous accueillir. À la prochaine.
- Merci beaucoup.
- Merci à Michael O'Brien. Comme toujours, assurez-vous de faire vos propres recherches avant d'investir. Mise à jour pour ce qui est des marchés demain.
Lundi, Vitali Mossounov, qui est un analyste, va nous parler des actions des sociétés en matière de technologie, ce qui a été très intéressant depuis le début de l'année. Vous pouvez nous envoyer d'avance aux questions par courriel. C'est tout pour aujourd'hui.
Merci d'avoir été des nôtres. À demain!