Print Transcript
(musique) - Bonjour, ici Greg Bonnell. Bienvenue à Parlons Argent en direct, une émission de Placements directs TD. Nos invités commentent l'actualité des marchés et répondent à vos questions sur les placements.
Aujourd'hui, Brad Simpson, stratège en chef à Gestion de Patrimoine TD, évoque les trois questions qui le préoccupent au sujet de l'économie mondiale. Anthony Okolie commente les dernières statistiques de l'inflation au Canada. Nous poursuivons la découverte de CourtierWeb. Caitlin Cormier nous montre comment faire des recherches sur les fonds du marché monétaire.
Posez-nous vos questions en tout temps, MoneyTalkLive@TD.com, ou dans la boîte de questions au bas de votre écran.
Mais d'abord, un coup d'œil sur les marchés.
L'indice TSX composite est légèrement en recul, de 217 points, soit plus de 1 %.
La faiblesse s'étend à tous les secteurs. Jetons un coup d'œil à l'énergie. Suncor est sous pression à 100.
Le titre que de plus de 2 %. Centerra Gold, après avoir baissé hier à la suite de la publication de résultats trimestriels décevants, remonte quelque peu.
Sans regagner le terrain perdu.
À 17,67 $ l'action.
L'action remonte un peu plus de 4 %. Difficile de trouver des secteurs positifs sur le marché, mais la remontée de Centerra Gold constitue un exemple.
Il y a les négociations sur le plafond de la dette, la consommation aux États-Unis, des nouvelles préoccupantes à l'égard de Home Depot Nous reviendrons.
Bref une journée un peu morose.
(...) L'indice Nasdaq remonte légèrement depuis le début de la séance. Sept points, c'est mieux que rien.
AMD, l'une des entreprises qui progressent dans le secteur de la technologie.
Les gestionnaires de fonds superstar prennent position dans AMD, y compris le fonds new-yorkais. AMD progresse de 5 %.
Notre invité d'aujourd'hui déclare qu'il y a trois grandes questions qui le préoccupent lorsqu'il s'agit de l'économie mondiale.
Brad Simpson est stratège en chef à Gestion de Patrimoine TD.
- Ça me fait toujours plaisir de passer à votre émission.
- Trois grandes questions.
Jamais deux sans trois, dit-on.
Les banques centrales ont pris beaucoup de mesures de resserrement. C'est le premier point, je crois.
Le marché est morose aujourd'hui.
Un lundi sur deux, j'organise une téléconférence mondiale. Est-ce que ce sont les marchés financiers ou si c'est moi?
Il y a un sentiment de morosité. Quand on songe à tout ce qui se produit, les marchés sont vraiment très tranquilles.
L'été dernier, je me suis habitué aux fluctuations extrêmes de 1, 2, 3 % à la fois.
- Oui. Il y a une chose dont on part toujours quand il s'agit de s'adapter, d'évoluer.
C'est presque comme si nous étions parvenus au point où nous sommes tellement habitués à ce qu'il se passe des choses extrêmement mouvementées.
C'est étonnant de voir que les marchés manifestent un certain calme.
L'inflation est toujours au premier plan.
On en a entendu parler plusieurs fois.
Passons.
La machine à actualité doit être alimentée. Mais fondamentalement, l'économie est plus résiliente que la plupart des gens l'auraient pensé. Y compris nous, au début.
Je crois qu'il nous incombe donc de persévérer et d'approfondir notre examen.
La situation s'améliore effectivement.
Les chiffres de l'indice des prix à la consommation et de l'indice des prix des producteurs, publié la semaine dernière, montre que les efforts des banques centrales commencent à déclencher un certain resserrement.
L'inflation continue de refluer.
La réserve fédérale américaine a procédé à des augmentations de taux qui totalisent 500 ou 525 points de base. La dernière fois, la banque a semblé annoncer qu'elle allait rester dans l'attentisme. La banque d'Angleterre a sans doute encore d'autres augmentations en attente, mais ces propos laissent à croire qu'elle estime que la situation commence à être maîtrisée.
La BNC a annoncé que les augmentations de 50 points de base à la fin étaient terminées, peut-être même 25 points de base.
Tout cela laisse envisager une tendance plus positive pour l'inflation.
La banque centrale a commencé à changer d'approche.
Il nous reste du chemin à faire, mais sans aucun doute, nous pouvons considérer qu'il subsiste certes une certaine crainte, j'en entends parler dans les (...
) mais cette crainte commence à s'atténuer et c'est justifié car à partir d'ici, les marchés financiers ont presque tourné la page et envisagent l'avenir.
- Est-ce que c'est la croissance économique et la clé du problème?
Les hausses de taux visent à ralentir l'économie, justement.
Est-ce que des signes apparaissent montrant que cela se produit? Les données sont plutôt surprenantes.
- Justement, quand on commence à analyser l'état de l'économie, parfois, il me semble que ce que l'on recherche, c'est plutôt étonnant.
Pour ralentir l'inflation, il faut chercher à ralentir la croissance économique.
Si vous analysez l'économie mondiale, le chômage est à trois et demi pour cent.
Il n'a jamais été aussi bas depuis 1969.
J'étais né en 1969, c'était même il y a assez longtemps.
malgré le fait que des chiffres compatibles avec une récession sont parus la semaine dernière, les chiffres relatifs au marché du travail commencent à ralentir, mais trois et demi pour cent de chômage, c'est pratiquement le plein emploi. Donc les deux facteurs dont il faut tenir compte quand on réfléchit à l'évolution de l'économie mondiale sont tout d'abord l'emploi. Personne ne pourrait soutenir que le marché du travail mollit, mais en revanche il y a aussi la consommation. Ces deux facteurs vont de pair.
Tandis que nous commençons à analyser ce qui se passe dans l'économie, nous savons ce qui s'est passé avec la Silicon Valley Bank et toutes les conséquences de cet accident. Ce qui se passe en Amérique du Nord, ce qui se passe en Europe, c'est qu'il y a un resserrement du crédit. Or, c'est le crédit qui fait tout tourner dans le monde.
Nous mesurons par exemple les conditions financières.
Si on remonte dans le temps, j'étais ici au mois d'août il y a plus d'un an. La banque centrale envisageait d'assouplir la situation financière.
Je me rappelle le discours de Jackson Hole de Jerome Powell. Les conditions financières se sont resserrées sans cesse depuis lors.
Les responsables des prêts dans les banques se font dire par leurs patrons qu'il ne faut plus consentir de prêt.
Les PME commencent à en ressentir les effets.
En général, quand ce phénomène apparaît dans le passé, quand on atteint un resserrement à ce point, ceci est un indice très clair que l'économie est en phase tardive et qu'une récession s'en vient. Il y aura une évolution du marché du travail.
Quand on analyse la consommation, en Amérique du Nord, qu'est-ce que les gens dépensent au restaurant, dans les magasins d'habillement.
Chaque fois que je m'achète une chemise, je suis étonné de voir combien d'articles il y a sur les tablettes et combien sont en solde.
Quand on commence à réunir tous ces éléments, nous nous trouvons dans une économie qui, même si elle a bonne apparence, les gens commencent à s'inquiéter pour leur emploi.
1 000 000 000 000 1/2 de dollars de capital excédentaire figure sur les bilans des consommateurs américains. Il ne reste plus qu'un demi billion.
Ça fait beaucoup d'argent dépensé rapidement. Le portefeuille des consommateurs s'aplatit. En Europe, la situation ralentit également.
Il y a la Chine, on comptait beaucoup sur sa réouverture comme facteur favorable, or les chiffres ne sont pas aussi positifs qu'on le pensait.
Notre économie se porte bien aujourd'hui, mais c'est une économie qui ralentit, ce qui va contribuer à réduire l'inflation et va également changer la dynamique du marché.
- C'est ce que les banques centrales recherchent. Les banques centrales obtiennent ce qu'elles voulaient, mais la situation échappera-t-elle à leur contrôle?
- C'est une question qu'on doit se poser.
voilà ce que nous savons, voilà les tendances que nous pouvons suivre.
Commençons par nous demander si nous estimons avoir pu endiguer la crise bancaire jusqu'ici. je souligne les mots jusqu'ici. Le risque demeure.
il y a de nombreux risques apparentés. Nous avons publié un article il y a quelques jours sur l'économie (...) nous en parlons beaucoup dans notre rapport trimestriel de stratégie de portefeuille. L'un des effets de la crise bancaire pourrait être la propagation des difficultés dans le secteur de l'immobilier commercial, où la situation est déjà difficile.
Ceci pourrait, puisqu'une bonne part de ces prêts se situent au niveau des banques régionales, beaucoup des prêts contractés par les PME se situent dans le secteur des banques régionales, des banques d'importance moyenne.
Il y a donc un véritable resserrement de la situation de crédit pour les PME. Je ne dis pas qu'il y aura une crise inévitable, mais la situation pourrait échapper au contrôle des banques centrales.
Une dynamique pourrait se dessiner que les banques centrales ne pourraient pas enrayer.
Et puis, il y a un autre sujet que nous allons sans doute approfondir: la crise de la dette est bien réelle.
Une banque centrale ne peut pas la résoudre seule. Ceci pourrait engendrer beaucoup d'impact en aval.
il y a beaucoup d'élus aux États-Unis qui n'ont pas la culture financière suffisante pour comprendre à quel point cela pourrait être grave.
- Beaucoup d'idées fort intéressantes que nous allons développer. Brad Simpson répond à vos questions dans quelques instants. Vous pouvez nous lui poser en tout temps, MoneyTalkLive@TD.com, dans la boîte de questions au bas de votre écran.
Mais d'abord, l'actualité du monde des affaires et un coup d'œil sur les marchés.
Home Depot avertit que les ventes vont baisser cette année, puisque les clients diffèrent les gros achats et les projets de rénovation.
Et ce alors que les détaillants annoncent des revenus inférieurs aux prévisions.
Dans une mesure plus importante que depuis 20 ans.
Home dépôt prévoyait des ventes inchangées cette année mais prévoit un recul à chaque 5 % dans les ventes comparables. L'agence internationale de l'énergie déclare que le pessimisme relatif au pétrole brut contraste avec un marché qui va se resserrant. Le cours du brut abaissé à cause des inquiétudes à l'égard d'une récession, mais là y pense que l'approvisionnement réduit dans le deuxième semestre et que la Chine présentera presque 60 % de la demande croissante. Les actions de Power Corporation of Canada sont sous pression. La société de portefeuille qui détient le contrôle de Great West et (...) affiche des bénéfices inférieurs aux attentes pour le dernier trimestre.
L'action recul de 2 %. L'indice SIP instantané des marchés américains est en baisse de 10 points, soit un quart de pour cent. Brad Simpson répond à vos questions sur la stratégie de marché. Les gens y songent beaucoup. Parlons-en donc. Que pensez-vous du plafond de la dette?
- Quel plafond de la dette?
Dans mon bureau chez moi, j'ai une couverture de The Economist de 2007 portant sur la dette à l'époque sous l'administration Obama. C'est une reproduction artistique et cet artiste m'a envoyé un fichier que j'ai pu agrandir. C'est l'oncle Sam et la Statue de la Liberté qui sont dans la voiture de Thelma et Louise avec le drapeau américain qui se dirige vers la falaise.
Et l'argent s'envole du coffre de la voiture.
Je songe à la crise de la dette presque tous les jours quand j'entre dans mon bureau chez moi parce que je vois cette œuvre d'art.
J'en parle parce qu'il y a beaucoup de leçons à tirer de 2011.
Nous ne sommes pas en 2011, mais si on compare 2013 et 2021, qui sont les crises les plus récentes, la crise de 2011 ressemble beaucoup plus facile d'aujourd'hui.
Tout d'abord, c'est l'année qui précède une échéance électorale, il y a deux partis politiques qui veulent pouvoir créer une dynamique électorale.
La différence entre aujourd'hui et alors, ce que nous vivons dans un monde d'extrémisme beaucoup plus qu'en 2011.
Les deux partis sont en pleine phase d'élections primaires, aussi bien les démocrates et les républicains.
Il faut se rendre compte que le système politique aux États-Unis est bien différent du nôtre.
Les primaires attirent des personnes qui se consacrent exclusivement à la politique.
C'est donc un concours d'extrémisme.
L'une des différences entre aujourd'hui et 2011, c'est que ces élections primaires de parent et d'autres, à la droite et à la gauche de la gamme de la politique américaine, ce sont vraiment les extrémistes qui déterminent la dynamique. Il est très difficile de négocier au centre.
Cet environnement extrémiste que l'on voit tous les jours à la télévision, c'est cela qui se révèle.
Qu'est-ce qui s'est passé en 2011? Jusqu'au jour X, on se demande qu'est-ce que j'ai dans mon compte en banque et qu'est-ce que je peux financer. À l'heure actuelle, aux États-Unis, il y a entre 800 milliards et 1 billion de dollars. Certains affirment qu'il s'agit uniquement de 500 milliards, qui couvre toutes les dépenses au mois de juin. Le mois de juin, ce n'est pas loin. Que se passe-t-il alors? Eh bien, un accord a été conclu.
Qu'est-ce que les marchés ont fait avant cela? C'était assez tranquille au début de la crise. Morose, comme je l'ai dit au début. La volatilité était faible. Les marchés boursiers étaient calmes. Mais bien sûr, au fur et à mesure que la crise s'est déroulée, il y a eu une rétrogradation de la dette américaine. Cela a eu un impact négatif. Les marchés boursiers ont dégringolé, les bons du trésor aussi. Pendant une courte période, nous allons sans doute vivre le même phénomène cette fois-ci. En définitive, une entente a été trouvée, la situation redevient la normale.
à bien des égards, c'est la même dynamique aujourd'hui.
- Nous pensons que nous allons parvenir à un accord, mais si ce n'est pas le cas, la situation sera difficile.
- oui, c'est-à-dire qu'il y a une entente qui ressemble à celle de 2011.
Il y a quelques incertitudes toutefois à l'égard de ce scénario de base. Il y a un deuxième scénario dans lequel le problème sera différé jusqu'à 2025. Il y aura peut-être 25 % de chances que cela se produise.
La difficulté, c'est le scénario catastrophe.
Le scénario catastrophe représente malheureusement 40 % de probabilité. C'est là où se situe le risque.
Comme j'ai dit au début, en parlant de la montée des extrémismes, le problème c'est que ces extrémistes doivent parvenir à un accord et qu'il ne reste qu'un nombre limité de jours raideur pendant lesquelles la chambre des représentants est en séance et ces deux extrêmes ne sont pas disposés à parvenir à un compromis.
Il est très probable qu'un compromis sera trouvé, mais si si ce n'est pas le cas, je pense qu'il est important de parler des conséquences.
Ces conséquences seraient catastrophiques.
Il faut en parler franchement.
L'un des éléments qui sont risqués, c'est le statut du dollar américain de devise de réserve.
Qu'est-ce qui fait du dollar américain une devise tellement sûre?
C'est que vous croyez que vous allez être remboursé si vous détenez une dette des États-Unis. Je crois qu'il ne s'agit pas de jouer avec le 14e amendement en disant constitutionnellement, on ne va pas frapper une monnaie d'un billion de dollars.
le principe consistant à rembourser la dette, quel que soit, quoiqu'il se passe en politique intérieur, en définitive, nous pensons qu'il y aura une solution, mais nous veillons tous les jours à répartir les capitaux en fonction de certains de ces risques.
- Faites toujours vos propres recherches avant de conditions de placement. Brad Simpson répond à d'autres questions sur la stratégie des marchés dans quelques instants. Je vous rappelle que vous pouvez nous les poser en tout temps, par courriel, MoneyTalkLive@TD.com. À présent, poursuivons la découverte de CourtierWeb.
Les fonds du marché monétaire vous intéressent?
CourtierWeb vous vous repose des outils. Caitlin Cormier est formatrice à Placements directs TD.
Bonjour.
Parlons de fonds du marché monétaire.
- Les fonds du marché monétaire sont une forme de fonds communs de placement conçu pour la mise de côté d'argent à court terme. Ce sont des fonds à faible risque est faibles rendements bien sûrs. C'est l'équation classique. Il s'agit d'un endroit où vous pouvez garer votre argent à court terme tout en touchant malgré tout un certain rendement. Voici comment trouver ses fonctions CourtierWeb.
cliquez sur recherche, puis sous la rubrique outils, sur filtre. À partir d'ici, vous pouvez choisir le filtre de fonds communs de placement.
Je vais créer un filtre personnalisé. Tout d'abord, catégorie de fonds.
Pour trouver le type de fond que nous recherchons.
Vous pouvez choisir des fonds canadiens ou américains.
Aujourd'hui, je me contenterai de choisir les fonds canadiens du marché monétaire.
Excluons les FNB. Afin d'afficher uniquement les fonds communs de placement. On peut donc visionner les 31 occurrences. On peut également désélectionner l'option d'affichage des fonds et des d'abord pour voir une liste alphabétique de tous les fonds du marché monétaire. À l'extrême droite, tous ces fonds peuvent être utilisés pour placements directs.
C'est la petite pastille DI à l'extrême droite.
la raison pour laquelle les épaisseurs s'intéressent aux investissements du marché monétaire, c'est que le roman est beaucoup plus élevé que depuis très longtemps.
- Comment peut-on se renseigner sur le rendement me font?
- une façon de le faire consiste à cliquer sur le code du fonds, ce qui fait s'afficher cette petite case. On peut cliquer sur achats.
C'est alors que l'on peut voir le rendement du fonds.
En l'occurrence, 4,80 %. Il y a un autre moyen. Je vais vous préciser que certains font sont assortis de la mention Premium. Il faut alors investir une somme minimum. Par exemple, 100000 $.
Choisissant ce fonds si, BMO marché monétaire. On peut ajuster à une liste de veille.
liste: ensuite on passe au coin supérieur gauche à la liste de contrôle.
Voyez que la liste de comporte trois fonds du marché monétaire, et l'extrême droite envoie le rendement de distribution. C'est une façon rapide, si vous avez quelque fonds monétaire que vous voulez surveiller, en voyant la distribution de rendement, plutôt que d'expliquer ce rachat, vous devez créer une liste de vins des différents fonds que vous surveillez pour voir le rendement de distribution sous la rubrique d'enseignements fondamentaux.
- Merci.
Caitlin Cormier est formatrice à Placements directs TD.
Ne manquez pas de visiter le centre d'apprentissage de CourtierWeb, où vous trouverez encore plus de ressources.
Brad Simpson, stratège en chef à Gestion de Patrimoine TD, répond à vos questions.
Que faire au niveau du volet de revenus fixes?
80 ans, plus d'un million de dollars à placer.
- Nous ne pouvons pas donner de conseils spécifiques nous pouvons parler de la construction de portefeuilles à différents stades de la vie.
Il faut consulter un conseiller professionnel, un gestionnaire de portefeuille. Je peux répondre du volet de titres à revenu fixe un portefeuille de placement.
Pour résumer la première partie de notre discussion, quel est l'objectif des banques centrales à l'heure actuelle et pourquoi parlons-nous?
Lorsqu'il s'agit des titres à revenu fixe, il y a deux éléments qui sont les plus importantes: les taux d'intérêt, la duration, autrement dit qu'est-ce que je reçois, et deuxièmement, le crédit.
Du point de vue d'un gestionnaire de placement, du point de vue d'un client, c'est de savoir quel rendement reçoit je et qu'elle risque ce que je prends?
Dans notre univers aujourd'hui, si vous dîtes que les taux d'intérêt à court terme augmentent jusqu'à 5 % ou cinq et quart pour cent, +- 50 points de base, dans le reste des grands pays industrialisés, n'oubliez pas qu'il y a trois ans, nous parlions des bons du trésor à 10 ans à zéro et qu'il y avait des billions de dollars avec des taux d'intérêt négatif, ce qui signifiait que vous deviez payer quelqu'un pour garder votre argent.
Aujourd'hui, les bons américains trésor attisant and 3 % aujourd'hui.
quel est l'objectif des banques centrales?
Elle vise à ralentir la situation en relevant les taux une fois que la situation est ralentie à l'excès. Parce qu'aujourd'hui, il ne s'agit pas de mécanismes de précision. Intuitivement, quand je scrute les statistiques, je dirais que les efforts des banques centrales et ce qui a été fait depuis 18 mois nous ont mené à mi-chemin.
C'est-à-dire qu'il y aura davantage de choses qui vont ralentir.
L'emploi, il y aura un deuxième et troisième trimestre les sociétés ouvertes qui vont dire: nous ne gagnons pas autant d'argent que dans le passé. Cela signifie que les banques centrales, en 18 mois, dans 12 mois, vont songer à la façon de commencer à réduire les taux d'intérêt pour relancer. Par conséquent, les investisseurs dans les titres à revenu fixe comme nous sur pondère les titres à revenu fixe au maximum. Les titres garantis par les gouvernements qui de 3 % à 10 ans.
Il y aura une volatilité des taux d'intérêt, c'est certain.
Je dirais tout de même qu'il faut s'assurer de constituer un portefeuille d'investissement à titre à revenu fixe qui vous permet d'acheter des titres garantis par le gouvernement.
À l'heure actuelle, vous pourriez sans doute avoir une certaine duration, cinq à six ans, en gérant la situation globalement. Cela nous paraît plein de bon sens.
Les obligations de première qualité qui procure un rendement plus élevé, un revenu très intéressant, nous pensons que cela a beaucoup de bon sens également.
Avec les obligations rendement élevées, attention à ne pas tout miser sur le rendement.
Il y a environ 500. Points de base d'écart, ce qui commence à exercer davantage de pression.
les faillites sont toujours très gérables, mais elle commence à augmenter.
Je ne miserais pas sur le rendement à l'exclusion de tout autre facteur. Dans ce secteur de mon portefeuille, je répartira des capitaux dans les titres qui ne représentent pas un risque de crédit trop élevé.
À bien des égards, pour un investisseur comme l'auteur de la question, l'environnement est formidable.
Et même si vous envisagez le volet de titres à risques, les dividendes, les titres dont les flux de trésorerie augmentent, il y a une recommandation pour home dépôt, 17 fois les bénéfices, il y a beaucoup de dégâts dont les marchés ont déjà tenu compte, il y a beaucoup d'entreprises de qualité qui ressemble à cela et qui méritent d'être pris en compte.
- Brad Simpson répond à vos questions sur la stratégie de marche à quelque moment. Faites toujours vos propres recherches avant de prendre des décisions de placement.
Je vous rappelle comment nous poser vos questions.
Avez-vous une question sur les placements ou encore sur les marchés?
Vous pouvez nous la poser, soit par courriel, MoneyTalkLive@TD.com, soit dans la boîte de questions au bas de votre écran.
Il suffit de cliquer sur envoyer.
Nos invités pourraient vous répondre en direct.
En parlant d'inflation, les prix à la consommation ont augmenté de façon inattendue au mois d'avril.
Anthony Okolie analyse les statistiques et leurs conséquences pour l'économie.
- Selon Statistique Canada, l'inflation au Canada a augmenté au mois d'avril, à raison de 4,4 % sur 12 mois après une hausse en mars. C'était la première augmentation dans l'inflation globale depuis mardi du mois dernier. L'IPC et l'inflation globale affichait une tendance à la baisse, mais demeure élevée au mois d'avril. L'inflation de base des biens a augmenté de trois inus pour cent sur 12 mois en avril, contre 3,3 % au mois de mars. Toutefois, il y a de bonnes nouvelles.
l'inflation des services de base recul au monument se globalise de 3 %. Quand on ventile les chiffres par catégorie, les prix ont augmenté dans plusieurs secteurs au mois d'avril.
Le facteur le plus important à la hausse de l'IPC sur un mois était relié à la flambée des prix de l'essence et des activités de loisirs. Les prix de l'essence ont augmenté de plus de 6 % en avril, Statistique Canada blâme l'OPEP et ses alliés qui ont décidé de réduire la production pétrolière.
Les Canadiens ont bénéficié d'une baisse de l'inflation sur les produits alimentaires, légumes, café, thé et autres.
Enfin, l'inflation du logement continue. Les Canadiens paient davantage pour les frais hypothécaires, comme le graphique le monde, la hausse du coût d'intérêt hypothécaire s'est accélérée au mois d'avril, tandis que le coût de remplacement des propriétaires a ralenti jusqu'à 2 % sur un an.
Le ralentissement du marché est un facteur clé pour faire baisser les prix de remplacement des propriétaires.
Même si l'inflation marque une pause à la baisse, surtout attribuable à la flambée des prix de l'essence, cela renforce les défis que doit relever la Banque du Canada pour ramener l'inflation sensible de 2 %. Quand l'inflation est plus élevée que prévue, certains s'interrogent sur la trajectoire. Qu'en pense Services économiques TD? Services économiques TD pense que la Banque du Canada va maintenir son taux d'intérêt à quatre et demis pour cent pour le reste de l'année 2023.
On croit également que la Banque du Canada doit demeurer vigilante afin de maîtriser les pressions inflationnistes et peut devoir pratiquer de nouvelles hausses si la dynamique de l'économie n'évolue pas comme prévu.
- Merci.
Ce sont des statistiques qui intéressent beaucoup les investisseurs.
Vous venez d'entendre Anthony Okolie. Un rapide coup d'œil sur les marchés. Indice TSX composite est en recul de 22 points,; soit plus de 1 %. Power Corporation annonce des bénéfices inférieurs aux prévisions. L'action est sous pression.
l'action recule de plus de 2 %. Certains titres d'énergie sont sous pression.
Enbridge, les oléoducs, en baisse de 3 %. L'indice S&P 500, plafond de la dette intellectualité.
Les résultats de Home Depot ont déçu. Les titres que d'un quart de pour cent. Indistinctement en hausse d'un quart de pour cent. Les formulaires 13 F montre l'investissement des grands fonds depuis un trimestre.
Alphabet prend une position, progresse de 2 3/4 %. Brad Simpson répond à vos questions.
On parle des risques sur le marché.
Les marchés risqués.
Qu'est-ce qui arrive au cours de l'or au risque d'une défaillance avec les États-Unis?
- Revenez à 2011. l'or a progressé de 2 %.
Fondamentalement, si vous songez à une crise de la dette et aux risques qu'elle entraîne, en définitive, la monnaie de confiance, c'est une situation où on n'a pas un lingot d'or qui compense un dollar. On a une situation dans laquelle il y a une dette et il y aura un remboursement.
faites-moi confiance, c'est donc la monnaie de confiance. la monnaie est basée sur cette confiance.
à mon avis l'or est une excellente (...
) pour moi, les couvertures dont je peux trier tirer un flux de trésorerie des dividendes me plaise, mais je dirais qu'il y a deux éléments dans cette réponse.
L'or est un facteur de diversification qui a du bon sens dans certains portefeuilles.
L'idée de pouvoir se défaire de certains secteurs où on n'est pas à l'aise. Le rendement au contente est beaucoup plus élevé à l'heure actuelle, donc on peut avoir des refuges semblables à l'or mais qui procure un rendement au comptant qui protège contre les baisses.
Donc dans nos modélisations, c'est une méthode que nous préférons utiliser plutôt que d'acheter de l'or. Mais l'or effectivement du bon sens dans cet environnement.
- Une toute dernière question qui nous est parvenue pendant l'émission.
Des grands-parents qui parlent de créer un REEE pour leurs petits-enfants.
La question est spécifiquement: dans quoi dois-je investir?
Nous ne pouvons pas donner des conseils de placement, mais le petit enfant vient de naître. Dans 18 ans, qu'est-ce qui est préférable d'investir?
- Notre organisation prend du recul et se pose la question suivante: quand nous gérons pour un client, beaucoup des questions aujourd'hui portent sur les besoins immédiats, les besoins des flux de trésorerie immédiat.
Alors de quoi aurai-je besoin d'ici trois à cinq ans?
Quant aux réparties des capitaux, on se dit: voilà mon capital aujourd'hui.
Quand aurai-je besoin de flux de trésorerie?
Il y a le court terme, moyen terme, et comment est-ce qu'on finance cela avec l'imposition, le financement, et puis ensuite, quels sont les actifs à léguer.
Créer des REEE, c'est de l'argent à léguer, durables.
15 à 20 ans, c'est une raison à long terme et un excellent rappel de bon nombre des éléments de discussion que nous avons aujourd'hui. Depuis une dizaine d'années, on a oublié le fait qu'il s'agit d'investir dans des choses qui produisent une croissance du capital et des bénéfices qui s'accumulent.
Se baser sur la croissance des bénéfices des entreprises, produits et services dont les gens besoin dans l'avenir, attirer davantage de capitaux parce que les gens veulent en bénéficier, ce qui permet de financer des études dans l'avenir, c'est vraiment je pense avoir de l'avenir. On a le temps de son côté.
Et l'ambition de base des investissements c'est justement structuré d'une façon qui correspond au REEE.
C'est 18 ans passe très vite. Mon plus jeune a 18 ans.
- Ça me fait toujours plaisir de vous inviter. Cher de vous reparler.
La prochaine fois, ce sera demain soir aux ondes de BNN où vous et moi allons parler à 19 heures demain. Merci à Brad Simpson. Restez à l'écoute. Demain Scott Colbourne de Gestion d'actifs TD répond à vos questions sur les titres à revenu fixe.
Je vous rappelle que vous pouvez nous les poser en tout temps, MoneyTalkLive@TD.com. Merci et à demain!
Aujourd'hui, Brad Simpson, stratège en chef à Gestion de Patrimoine TD, évoque les trois questions qui le préoccupent au sujet de l'économie mondiale. Anthony Okolie commente les dernières statistiques de l'inflation au Canada. Nous poursuivons la découverte de CourtierWeb. Caitlin Cormier nous montre comment faire des recherches sur les fonds du marché monétaire.
Posez-nous vos questions en tout temps, MoneyTalkLive@TD.com, ou dans la boîte de questions au bas de votre écran.
Mais d'abord, un coup d'œil sur les marchés.
L'indice TSX composite est légèrement en recul, de 217 points, soit plus de 1 %.
La faiblesse s'étend à tous les secteurs. Jetons un coup d'œil à l'énergie. Suncor est sous pression à 100.
Le titre que de plus de 2 %. Centerra Gold, après avoir baissé hier à la suite de la publication de résultats trimestriels décevants, remonte quelque peu.
Sans regagner le terrain perdu.
À 17,67 $ l'action.
L'action remonte un peu plus de 4 %. Difficile de trouver des secteurs positifs sur le marché, mais la remontée de Centerra Gold constitue un exemple.
Il y a les négociations sur le plafond de la dette, la consommation aux États-Unis, des nouvelles préoccupantes à l'égard de Home Depot Nous reviendrons.
Bref une journée un peu morose.
(...) L'indice Nasdaq remonte légèrement depuis le début de la séance. Sept points, c'est mieux que rien.
AMD, l'une des entreprises qui progressent dans le secteur de la technologie.
Les gestionnaires de fonds superstar prennent position dans AMD, y compris le fonds new-yorkais. AMD progresse de 5 %.
Notre invité d'aujourd'hui déclare qu'il y a trois grandes questions qui le préoccupent lorsqu'il s'agit de l'économie mondiale.
Brad Simpson est stratège en chef à Gestion de Patrimoine TD.
- Ça me fait toujours plaisir de passer à votre émission.
- Trois grandes questions.
Jamais deux sans trois, dit-on.
Les banques centrales ont pris beaucoup de mesures de resserrement. C'est le premier point, je crois.
Le marché est morose aujourd'hui.
Un lundi sur deux, j'organise une téléconférence mondiale. Est-ce que ce sont les marchés financiers ou si c'est moi?
Il y a un sentiment de morosité. Quand on songe à tout ce qui se produit, les marchés sont vraiment très tranquilles.
L'été dernier, je me suis habitué aux fluctuations extrêmes de 1, 2, 3 % à la fois.
- Oui. Il y a une chose dont on part toujours quand il s'agit de s'adapter, d'évoluer.
C'est presque comme si nous étions parvenus au point où nous sommes tellement habitués à ce qu'il se passe des choses extrêmement mouvementées.
C'est étonnant de voir que les marchés manifestent un certain calme.
L'inflation est toujours au premier plan.
On en a entendu parler plusieurs fois.
Passons.
La machine à actualité doit être alimentée. Mais fondamentalement, l'économie est plus résiliente que la plupart des gens l'auraient pensé. Y compris nous, au début.
Je crois qu'il nous incombe donc de persévérer et d'approfondir notre examen.
La situation s'améliore effectivement.
Les chiffres de l'indice des prix à la consommation et de l'indice des prix des producteurs, publié la semaine dernière, montre que les efforts des banques centrales commencent à déclencher un certain resserrement.
L'inflation continue de refluer.
La réserve fédérale américaine a procédé à des augmentations de taux qui totalisent 500 ou 525 points de base. La dernière fois, la banque a semblé annoncer qu'elle allait rester dans l'attentisme. La banque d'Angleterre a sans doute encore d'autres augmentations en attente, mais ces propos laissent à croire qu'elle estime que la situation commence à être maîtrisée.
La BNC a annoncé que les augmentations de 50 points de base à la fin étaient terminées, peut-être même 25 points de base.
Tout cela laisse envisager une tendance plus positive pour l'inflation.
La banque centrale a commencé à changer d'approche.
Il nous reste du chemin à faire, mais sans aucun doute, nous pouvons considérer qu'il subsiste certes une certaine crainte, j'en entends parler dans les (...
) mais cette crainte commence à s'atténuer et c'est justifié car à partir d'ici, les marchés financiers ont presque tourné la page et envisagent l'avenir.
- Est-ce que c'est la croissance économique et la clé du problème?
Les hausses de taux visent à ralentir l'économie, justement.
Est-ce que des signes apparaissent montrant que cela se produit? Les données sont plutôt surprenantes.
- Justement, quand on commence à analyser l'état de l'économie, parfois, il me semble que ce que l'on recherche, c'est plutôt étonnant.
Pour ralentir l'inflation, il faut chercher à ralentir la croissance économique.
Si vous analysez l'économie mondiale, le chômage est à trois et demi pour cent.
Il n'a jamais été aussi bas depuis 1969.
J'étais né en 1969, c'était même il y a assez longtemps.
malgré le fait que des chiffres compatibles avec une récession sont parus la semaine dernière, les chiffres relatifs au marché du travail commencent à ralentir, mais trois et demi pour cent de chômage, c'est pratiquement le plein emploi. Donc les deux facteurs dont il faut tenir compte quand on réfléchit à l'évolution de l'économie mondiale sont tout d'abord l'emploi. Personne ne pourrait soutenir que le marché du travail mollit, mais en revanche il y a aussi la consommation. Ces deux facteurs vont de pair.
Tandis que nous commençons à analyser ce qui se passe dans l'économie, nous savons ce qui s'est passé avec la Silicon Valley Bank et toutes les conséquences de cet accident. Ce qui se passe en Amérique du Nord, ce qui se passe en Europe, c'est qu'il y a un resserrement du crédit. Or, c'est le crédit qui fait tout tourner dans le monde.
Nous mesurons par exemple les conditions financières.
Si on remonte dans le temps, j'étais ici au mois d'août il y a plus d'un an. La banque centrale envisageait d'assouplir la situation financière.
Je me rappelle le discours de Jackson Hole de Jerome Powell. Les conditions financières se sont resserrées sans cesse depuis lors.
Les responsables des prêts dans les banques se font dire par leurs patrons qu'il ne faut plus consentir de prêt.
Les PME commencent à en ressentir les effets.
En général, quand ce phénomène apparaît dans le passé, quand on atteint un resserrement à ce point, ceci est un indice très clair que l'économie est en phase tardive et qu'une récession s'en vient. Il y aura une évolution du marché du travail.
Quand on analyse la consommation, en Amérique du Nord, qu'est-ce que les gens dépensent au restaurant, dans les magasins d'habillement.
Chaque fois que je m'achète une chemise, je suis étonné de voir combien d'articles il y a sur les tablettes et combien sont en solde.
Quand on commence à réunir tous ces éléments, nous nous trouvons dans une économie qui, même si elle a bonne apparence, les gens commencent à s'inquiéter pour leur emploi.
1 000 000 000 000 1/2 de dollars de capital excédentaire figure sur les bilans des consommateurs américains. Il ne reste plus qu'un demi billion.
Ça fait beaucoup d'argent dépensé rapidement. Le portefeuille des consommateurs s'aplatit. En Europe, la situation ralentit également.
Il y a la Chine, on comptait beaucoup sur sa réouverture comme facteur favorable, or les chiffres ne sont pas aussi positifs qu'on le pensait.
Notre économie se porte bien aujourd'hui, mais c'est une économie qui ralentit, ce qui va contribuer à réduire l'inflation et va également changer la dynamique du marché.
- C'est ce que les banques centrales recherchent. Les banques centrales obtiennent ce qu'elles voulaient, mais la situation échappera-t-elle à leur contrôle?
- C'est une question qu'on doit se poser.
voilà ce que nous savons, voilà les tendances que nous pouvons suivre.
Commençons par nous demander si nous estimons avoir pu endiguer la crise bancaire jusqu'ici. je souligne les mots jusqu'ici. Le risque demeure.
il y a de nombreux risques apparentés. Nous avons publié un article il y a quelques jours sur l'économie (...) nous en parlons beaucoup dans notre rapport trimestriel de stratégie de portefeuille. L'un des effets de la crise bancaire pourrait être la propagation des difficultés dans le secteur de l'immobilier commercial, où la situation est déjà difficile.
Ceci pourrait, puisqu'une bonne part de ces prêts se situent au niveau des banques régionales, beaucoup des prêts contractés par les PME se situent dans le secteur des banques régionales, des banques d'importance moyenne.
Il y a donc un véritable resserrement de la situation de crédit pour les PME. Je ne dis pas qu'il y aura une crise inévitable, mais la situation pourrait échapper au contrôle des banques centrales.
Une dynamique pourrait se dessiner que les banques centrales ne pourraient pas enrayer.
Et puis, il y a un autre sujet que nous allons sans doute approfondir: la crise de la dette est bien réelle.
Une banque centrale ne peut pas la résoudre seule. Ceci pourrait engendrer beaucoup d'impact en aval.
il y a beaucoup d'élus aux États-Unis qui n'ont pas la culture financière suffisante pour comprendre à quel point cela pourrait être grave.
- Beaucoup d'idées fort intéressantes que nous allons développer. Brad Simpson répond à vos questions dans quelques instants. Vous pouvez nous lui poser en tout temps, MoneyTalkLive@TD.com, dans la boîte de questions au bas de votre écran.
Mais d'abord, l'actualité du monde des affaires et un coup d'œil sur les marchés.
Home Depot avertit que les ventes vont baisser cette année, puisque les clients diffèrent les gros achats et les projets de rénovation.
Et ce alors que les détaillants annoncent des revenus inférieurs aux prévisions.
Dans une mesure plus importante que depuis 20 ans.
Home dépôt prévoyait des ventes inchangées cette année mais prévoit un recul à chaque 5 % dans les ventes comparables. L'agence internationale de l'énergie déclare que le pessimisme relatif au pétrole brut contraste avec un marché qui va se resserrant. Le cours du brut abaissé à cause des inquiétudes à l'égard d'une récession, mais là y pense que l'approvisionnement réduit dans le deuxième semestre et que la Chine présentera presque 60 % de la demande croissante. Les actions de Power Corporation of Canada sont sous pression. La société de portefeuille qui détient le contrôle de Great West et (...) affiche des bénéfices inférieurs aux attentes pour le dernier trimestre.
L'action recul de 2 %. L'indice SIP instantané des marchés américains est en baisse de 10 points, soit un quart de pour cent. Brad Simpson répond à vos questions sur la stratégie de marché. Les gens y songent beaucoup. Parlons-en donc. Que pensez-vous du plafond de la dette?
- Quel plafond de la dette?
Dans mon bureau chez moi, j'ai une couverture de The Economist de 2007 portant sur la dette à l'époque sous l'administration Obama. C'est une reproduction artistique et cet artiste m'a envoyé un fichier que j'ai pu agrandir. C'est l'oncle Sam et la Statue de la Liberté qui sont dans la voiture de Thelma et Louise avec le drapeau américain qui se dirige vers la falaise.
Et l'argent s'envole du coffre de la voiture.
Je songe à la crise de la dette presque tous les jours quand j'entre dans mon bureau chez moi parce que je vois cette œuvre d'art.
J'en parle parce qu'il y a beaucoup de leçons à tirer de 2011.
Nous ne sommes pas en 2011, mais si on compare 2013 et 2021, qui sont les crises les plus récentes, la crise de 2011 ressemble beaucoup plus facile d'aujourd'hui.
Tout d'abord, c'est l'année qui précède une échéance électorale, il y a deux partis politiques qui veulent pouvoir créer une dynamique électorale.
La différence entre aujourd'hui et alors, ce que nous vivons dans un monde d'extrémisme beaucoup plus qu'en 2011.
Les deux partis sont en pleine phase d'élections primaires, aussi bien les démocrates et les républicains.
Il faut se rendre compte que le système politique aux États-Unis est bien différent du nôtre.
Les primaires attirent des personnes qui se consacrent exclusivement à la politique.
C'est donc un concours d'extrémisme.
L'une des différences entre aujourd'hui et 2011, c'est que ces élections primaires de parent et d'autres, à la droite et à la gauche de la gamme de la politique américaine, ce sont vraiment les extrémistes qui déterminent la dynamique. Il est très difficile de négocier au centre.
Cet environnement extrémiste que l'on voit tous les jours à la télévision, c'est cela qui se révèle.
Qu'est-ce qui s'est passé en 2011? Jusqu'au jour X, on se demande qu'est-ce que j'ai dans mon compte en banque et qu'est-ce que je peux financer. À l'heure actuelle, aux États-Unis, il y a entre 800 milliards et 1 billion de dollars. Certains affirment qu'il s'agit uniquement de 500 milliards, qui couvre toutes les dépenses au mois de juin. Le mois de juin, ce n'est pas loin. Que se passe-t-il alors? Eh bien, un accord a été conclu.
Qu'est-ce que les marchés ont fait avant cela? C'était assez tranquille au début de la crise. Morose, comme je l'ai dit au début. La volatilité était faible. Les marchés boursiers étaient calmes. Mais bien sûr, au fur et à mesure que la crise s'est déroulée, il y a eu une rétrogradation de la dette américaine. Cela a eu un impact négatif. Les marchés boursiers ont dégringolé, les bons du trésor aussi. Pendant une courte période, nous allons sans doute vivre le même phénomène cette fois-ci. En définitive, une entente a été trouvée, la situation redevient la normale.
à bien des égards, c'est la même dynamique aujourd'hui.
- Nous pensons que nous allons parvenir à un accord, mais si ce n'est pas le cas, la situation sera difficile.
- oui, c'est-à-dire qu'il y a une entente qui ressemble à celle de 2011.
Il y a quelques incertitudes toutefois à l'égard de ce scénario de base. Il y a un deuxième scénario dans lequel le problème sera différé jusqu'à 2025. Il y aura peut-être 25 % de chances que cela se produise.
La difficulté, c'est le scénario catastrophe.
Le scénario catastrophe représente malheureusement 40 % de probabilité. C'est là où se situe le risque.
Comme j'ai dit au début, en parlant de la montée des extrémismes, le problème c'est que ces extrémistes doivent parvenir à un accord et qu'il ne reste qu'un nombre limité de jours raideur pendant lesquelles la chambre des représentants est en séance et ces deux extrêmes ne sont pas disposés à parvenir à un compromis.
Il est très probable qu'un compromis sera trouvé, mais si si ce n'est pas le cas, je pense qu'il est important de parler des conséquences.
Ces conséquences seraient catastrophiques.
Il faut en parler franchement.
L'un des éléments qui sont risqués, c'est le statut du dollar américain de devise de réserve.
Qu'est-ce qui fait du dollar américain une devise tellement sûre?
C'est que vous croyez que vous allez être remboursé si vous détenez une dette des États-Unis. Je crois qu'il ne s'agit pas de jouer avec le 14e amendement en disant constitutionnellement, on ne va pas frapper une monnaie d'un billion de dollars.
le principe consistant à rembourser la dette, quel que soit, quoiqu'il se passe en politique intérieur, en définitive, nous pensons qu'il y aura une solution, mais nous veillons tous les jours à répartir les capitaux en fonction de certains de ces risques.
- Faites toujours vos propres recherches avant de conditions de placement. Brad Simpson répond à d'autres questions sur la stratégie des marchés dans quelques instants. Je vous rappelle que vous pouvez nous les poser en tout temps, par courriel, MoneyTalkLive@TD.com. À présent, poursuivons la découverte de CourtierWeb.
Les fonds du marché monétaire vous intéressent?
CourtierWeb vous vous repose des outils. Caitlin Cormier est formatrice à Placements directs TD.
Bonjour.
Parlons de fonds du marché monétaire.
- Les fonds du marché monétaire sont une forme de fonds communs de placement conçu pour la mise de côté d'argent à court terme. Ce sont des fonds à faible risque est faibles rendements bien sûrs. C'est l'équation classique. Il s'agit d'un endroit où vous pouvez garer votre argent à court terme tout en touchant malgré tout un certain rendement. Voici comment trouver ses fonctions CourtierWeb.
cliquez sur recherche, puis sous la rubrique outils, sur filtre. À partir d'ici, vous pouvez choisir le filtre de fonds communs de placement.
Je vais créer un filtre personnalisé. Tout d'abord, catégorie de fonds.
Pour trouver le type de fond que nous recherchons.
Vous pouvez choisir des fonds canadiens ou américains.
Aujourd'hui, je me contenterai de choisir les fonds canadiens du marché monétaire.
Excluons les FNB. Afin d'afficher uniquement les fonds communs de placement. On peut donc visionner les 31 occurrences. On peut également désélectionner l'option d'affichage des fonds et des d'abord pour voir une liste alphabétique de tous les fonds du marché monétaire. À l'extrême droite, tous ces fonds peuvent être utilisés pour placements directs.
C'est la petite pastille DI à l'extrême droite.
la raison pour laquelle les épaisseurs s'intéressent aux investissements du marché monétaire, c'est que le roman est beaucoup plus élevé que depuis très longtemps.
- Comment peut-on se renseigner sur le rendement me font?
- une façon de le faire consiste à cliquer sur le code du fonds, ce qui fait s'afficher cette petite case. On peut cliquer sur achats.
C'est alors que l'on peut voir le rendement du fonds.
En l'occurrence, 4,80 %. Il y a un autre moyen. Je vais vous préciser que certains font sont assortis de la mention Premium. Il faut alors investir une somme minimum. Par exemple, 100000 $.
Choisissant ce fonds si, BMO marché monétaire. On peut ajuster à une liste de veille.
liste: ensuite on passe au coin supérieur gauche à la liste de contrôle.
Voyez que la liste de comporte trois fonds du marché monétaire, et l'extrême droite envoie le rendement de distribution. C'est une façon rapide, si vous avez quelque fonds monétaire que vous voulez surveiller, en voyant la distribution de rendement, plutôt que d'expliquer ce rachat, vous devez créer une liste de vins des différents fonds que vous surveillez pour voir le rendement de distribution sous la rubrique d'enseignements fondamentaux.
- Merci.
Caitlin Cormier est formatrice à Placements directs TD.
Ne manquez pas de visiter le centre d'apprentissage de CourtierWeb, où vous trouverez encore plus de ressources.
Brad Simpson, stratège en chef à Gestion de Patrimoine TD, répond à vos questions.
Que faire au niveau du volet de revenus fixes?
80 ans, plus d'un million de dollars à placer.
- Nous ne pouvons pas donner de conseils spécifiques nous pouvons parler de la construction de portefeuilles à différents stades de la vie.
Il faut consulter un conseiller professionnel, un gestionnaire de portefeuille. Je peux répondre du volet de titres à revenu fixe un portefeuille de placement.
Pour résumer la première partie de notre discussion, quel est l'objectif des banques centrales à l'heure actuelle et pourquoi parlons-nous?
Lorsqu'il s'agit des titres à revenu fixe, il y a deux éléments qui sont les plus importantes: les taux d'intérêt, la duration, autrement dit qu'est-ce que je reçois, et deuxièmement, le crédit.
Du point de vue d'un gestionnaire de placement, du point de vue d'un client, c'est de savoir quel rendement reçoit je et qu'elle risque ce que je prends?
Dans notre univers aujourd'hui, si vous dîtes que les taux d'intérêt à court terme augmentent jusqu'à 5 % ou cinq et quart pour cent, +- 50 points de base, dans le reste des grands pays industrialisés, n'oubliez pas qu'il y a trois ans, nous parlions des bons du trésor à 10 ans à zéro et qu'il y avait des billions de dollars avec des taux d'intérêt négatif, ce qui signifiait que vous deviez payer quelqu'un pour garder votre argent.
Aujourd'hui, les bons américains trésor attisant and 3 % aujourd'hui.
quel est l'objectif des banques centrales?
Elle vise à ralentir la situation en relevant les taux une fois que la situation est ralentie à l'excès. Parce qu'aujourd'hui, il ne s'agit pas de mécanismes de précision. Intuitivement, quand je scrute les statistiques, je dirais que les efforts des banques centrales et ce qui a été fait depuis 18 mois nous ont mené à mi-chemin.
C'est-à-dire qu'il y aura davantage de choses qui vont ralentir.
L'emploi, il y aura un deuxième et troisième trimestre les sociétés ouvertes qui vont dire: nous ne gagnons pas autant d'argent que dans le passé. Cela signifie que les banques centrales, en 18 mois, dans 12 mois, vont songer à la façon de commencer à réduire les taux d'intérêt pour relancer. Par conséquent, les investisseurs dans les titres à revenu fixe comme nous sur pondère les titres à revenu fixe au maximum. Les titres garantis par les gouvernements qui de 3 % à 10 ans.
Il y aura une volatilité des taux d'intérêt, c'est certain.
Je dirais tout de même qu'il faut s'assurer de constituer un portefeuille d'investissement à titre à revenu fixe qui vous permet d'acheter des titres garantis par le gouvernement.
À l'heure actuelle, vous pourriez sans doute avoir une certaine duration, cinq à six ans, en gérant la situation globalement. Cela nous paraît plein de bon sens.
Les obligations de première qualité qui procure un rendement plus élevé, un revenu très intéressant, nous pensons que cela a beaucoup de bon sens également.
Avec les obligations rendement élevées, attention à ne pas tout miser sur le rendement.
Il y a environ 500. Points de base d'écart, ce qui commence à exercer davantage de pression.
les faillites sont toujours très gérables, mais elle commence à augmenter.
Je ne miserais pas sur le rendement à l'exclusion de tout autre facteur. Dans ce secteur de mon portefeuille, je répartira des capitaux dans les titres qui ne représentent pas un risque de crédit trop élevé.
À bien des égards, pour un investisseur comme l'auteur de la question, l'environnement est formidable.
Et même si vous envisagez le volet de titres à risques, les dividendes, les titres dont les flux de trésorerie augmentent, il y a une recommandation pour home dépôt, 17 fois les bénéfices, il y a beaucoup de dégâts dont les marchés ont déjà tenu compte, il y a beaucoup d'entreprises de qualité qui ressemble à cela et qui méritent d'être pris en compte.
- Brad Simpson répond à vos questions sur la stratégie de marche à quelque moment. Faites toujours vos propres recherches avant de prendre des décisions de placement.
Je vous rappelle comment nous poser vos questions.
Avez-vous une question sur les placements ou encore sur les marchés?
Vous pouvez nous la poser, soit par courriel, MoneyTalkLive@TD.com, soit dans la boîte de questions au bas de votre écran.
Il suffit de cliquer sur envoyer.
Nos invités pourraient vous répondre en direct.
En parlant d'inflation, les prix à la consommation ont augmenté de façon inattendue au mois d'avril.
Anthony Okolie analyse les statistiques et leurs conséquences pour l'économie.
- Selon Statistique Canada, l'inflation au Canada a augmenté au mois d'avril, à raison de 4,4 % sur 12 mois après une hausse en mars. C'était la première augmentation dans l'inflation globale depuis mardi du mois dernier. L'IPC et l'inflation globale affichait une tendance à la baisse, mais demeure élevée au mois d'avril. L'inflation de base des biens a augmenté de trois inus pour cent sur 12 mois en avril, contre 3,3 % au mois de mars. Toutefois, il y a de bonnes nouvelles.
l'inflation des services de base recul au monument se globalise de 3 %. Quand on ventile les chiffres par catégorie, les prix ont augmenté dans plusieurs secteurs au mois d'avril.
Le facteur le plus important à la hausse de l'IPC sur un mois était relié à la flambée des prix de l'essence et des activités de loisirs. Les prix de l'essence ont augmenté de plus de 6 % en avril, Statistique Canada blâme l'OPEP et ses alliés qui ont décidé de réduire la production pétrolière.
Les Canadiens ont bénéficié d'une baisse de l'inflation sur les produits alimentaires, légumes, café, thé et autres.
Enfin, l'inflation du logement continue. Les Canadiens paient davantage pour les frais hypothécaires, comme le graphique le monde, la hausse du coût d'intérêt hypothécaire s'est accélérée au mois d'avril, tandis que le coût de remplacement des propriétaires a ralenti jusqu'à 2 % sur un an.
Le ralentissement du marché est un facteur clé pour faire baisser les prix de remplacement des propriétaires.
Même si l'inflation marque une pause à la baisse, surtout attribuable à la flambée des prix de l'essence, cela renforce les défis que doit relever la Banque du Canada pour ramener l'inflation sensible de 2 %. Quand l'inflation est plus élevée que prévue, certains s'interrogent sur la trajectoire. Qu'en pense Services économiques TD? Services économiques TD pense que la Banque du Canada va maintenir son taux d'intérêt à quatre et demis pour cent pour le reste de l'année 2023.
On croit également que la Banque du Canada doit demeurer vigilante afin de maîtriser les pressions inflationnistes et peut devoir pratiquer de nouvelles hausses si la dynamique de l'économie n'évolue pas comme prévu.
- Merci.
Ce sont des statistiques qui intéressent beaucoup les investisseurs.
Vous venez d'entendre Anthony Okolie. Un rapide coup d'œil sur les marchés. Indice TSX composite est en recul de 22 points,; soit plus de 1 %. Power Corporation annonce des bénéfices inférieurs aux prévisions. L'action est sous pression.
l'action recule de plus de 2 %. Certains titres d'énergie sont sous pression.
Enbridge, les oléoducs, en baisse de 3 %. L'indice S&P 500, plafond de la dette intellectualité.
Les résultats de Home Depot ont déçu. Les titres que d'un quart de pour cent. Indistinctement en hausse d'un quart de pour cent. Les formulaires 13 F montre l'investissement des grands fonds depuis un trimestre.
Alphabet prend une position, progresse de 2 3/4 %. Brad Simpson répond à vos questions.
On parle des risques sur le marché.
Les marchés risqués.
Qu'est-ce qui arrive au cours de l'or au risque d'une défaillance avec les États-Unis?
- Revenez à 2011. l'or a progressé de 2 %.
Fondamentalement, si vous songez à une crise de la dette et aux risques qu'elle entraîne, en définitive, la monnaie de confiance, c'est une situation où on n'a pas un lingot d'or qui compense un dollar. On a une situation dans laquelle il y a une dette et il y aura un remboursement.
faites-moi confiance, c'est donc la monnaie de confiance. la monnaie est basée sur cette confiance.
à mon avis l'or est une excellente (...
) pour moi, les couvertures dont je peux trier tirer un flux de trésorerie des dividendes me plaise, mais je dirais qu'il y a deux éléments dans cette réponse.
L'or est un facteur de diversification qui a du bon sens dans certains portefeuilles.
L'idée de pouvoir se défaire de certains secteurs où on n'est pas à l'aise. Le rendement au contente est beaucoup plus élevé à l'heure actuelle, donc on peut avoir des refuges semblables à l'or mais qui procure un rendement au comptant qui protège contre les baisses.
Donc dans nos modélisations, c'est une méthode que nous préférons utiliser plutôt que d'acheter de l'or. Mais l'or effectivement du bon sens dans cet environnement.
- Une toute dernière question qui nous est parvenue pendant l'émission.
Des grands-parents qui parlent de créer un REEE pour leurs petits-enfants.
La question est spécifiquement: dans quoi dois-je investir?
Nous ne pouvons pas donner des conseils de placement, mais le petit enfant vient de naître. Dans 18 ans, qu'est-ce qui est préférable d'investir?
- Notre organisation prend du recul et se pose la question suivante: quand nous gérons pour un client, beaucoup des questions aujourd'hui portent sur les besoins immédiats, les besoins des flux de trésorerie immédiat.
Alors de quoi aurai-je besoin d'ici trois à cinq ans?
Quant aux réparties des capitaux, on se dit: voilà mon capital aujourd'hui.
Quand aurai-je besoin de flux de trésorerie?
Il y a le court terme, moyen terme, et comment est-ce qu'on finance cela avec l'imposition, le financement, et puis ensuite, quels sont les actifs à léguer.
Créer des REEE, c'est de l'argent à léguer, durables.
15 à 20 ans, c'est une raison à long terme et un excellent rappel de bon nombre des éléments de discussion que nous avons aujourd'hui. Depuis une dizaine d'années, on a oublié le fait qu'il s'agit d'investir dans des choses qui produisent une croissance du capital et des bénéfices qui s'accumulent.
Se baser sur la croissance des bénéfices des entreprises, produits et services dont les gens besoin dans l'avenir, attirer davantage de capitaux parce que les gens veulent en bénéficier, ce qui permet de financer des études dans l'avenir, c'est vraiment je pense avoir de l'avenir. On a le temps de son côté.
Et l'ambition de base des investissements c'est justement structuré d'une façon qui correspond au REEE.
C'est 18 ans passe très vite. Mon plus jeune a 18 ans.
- Ça me fait toujours plaisir de vous inviter. Cher de vous reparler.
La prochaine fois, ce sera demain soir aux ondes de BNN où vous et moi allons parler à 19 heures demain. Merci à Brad Simpson. Restez à l'écoute. Demain Scott Colbourne de Gestion d'actifs TD répond à vos questions sur les titres à revenu fixe.
Je vous rappelle que vous pouvez nous les poser en tout temps, MoneyTalkLive@TD.com. Merci et à demain!