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(musique) Bonjour ici Anthony Okolie, je remplace Greg Bonnell.
Bienvenue à Parlons Argent en direct, une émission de Placements directs TD. Nos invités commentent l'actualité des marchés et répondent à vos questions sur les placements.
Aujourd'hui, nous aborderons la question de la perception par rapport à la réalité des marchés avec Brad Simpson de Gestion de Patrimoine TD. Nous poursuivons la découverte de CourtierWeb. Hiren Amin montre comment utiliser la liste de surveillance sur la plate-forme avancée. Posez vos questions par courriel à moneytalklive@td.com ou dans la boîte de questions au bas de votre écran.
Mais d'abord, un coup d'œil sur les marchés.
À la bourse de Toronto, le marché est en légère hausse à l'ouverture, tirée par les valeurs industrielles. Le TSX se sort d'un gain solide de 1,4 % lundi, lorsqu'il a clôturé à son plus haut niveau depuis plus de trois semaines enregistrées sa meilleure journée depuis plus de trois mois. L'indice TSX composite se négociait en hausse de 85 points, soit 0,4 %. Parmi les titres les plus activement négociées, Cameco est en hausse aujourd'hui, la société d'uranium basé en Saskatchewan a reçu des commentaires favorables à la part des analystes. L'action progresse de plus de deux dollars, soit plus de 3 %.
Les actions de Pet Valu Holdings sont en baisse. Le détaillant d'aliments d'animaux pour compagnie, est en baisse de près de 19 000 001 an plus tôt. L'action recule légèrement à 31,28 $, en baisse de presque 2,5 %.
À présent aux États-Unis, la bourse de New York a ouvert en hausse en partie à cause de la baisse des rendements des obligations d'État. Les négociateurs étant à l'affût d'indices sur la date à laquelle la fête pourrait commencer à raidir les taux d'intérêt.
Indice S&P 500 progresse modestement de 13. Soit 0,25 %. L'indice Nasdaq à forte composante technologique est également à la hausse. À la suite de la parution des statistiques sur l'emploi, moins élevée que prévu, ce qui a suscité l'espoir que la fête pourrait réduire les taux plus tard cette année, l'indice recule de plus de 30 points, soit 0,2 %. Parmi les titres les plus activement négociées, les actions de Simon Property font l'objet d'une attention particulière à la suite d'une annonce des résultats du premier trimestre. La société américaine qui investit dans les centres commerciaux annonce des bénéfices qui ont dépassé les prévisions de huit cents, tandis que le chiffre d'affaires a dépassé les estimations. Simon Property est en hausse de 3,9 %.
Parmi les titres les plus activement négociées, les actions de NVIDIA sont en baisse suite à l'annonce que Apple serait en train de mettre au point ses propres plus pour alimenter les logicielle intelligence artificielle dans les centres de données dans le but de rivaliser avec NVIDIA. L'action recule modestement de 1,2 %. Voilà pour la mise à jour sur les marchés.
Bien que les marchés boursiers et enregistrer des performances positifs depuis le début de l'année, la morosité règne toujours et les investisseurs continuent de se tourner vers les CPG les fonds du marché monétaire.
Brad Simpson de Gestion de Patrimoine TD nous rejoint pour discuter du problème de perception par rapport à la réalité. Bonjour, Brad.
-, Anthony.
- Vous avez publié un nouveau rapport intitulé le meilleur de tous les temps et le pire de tous les temps.
Que constatez-vous?
- Nous en sommes au deuxième mois de ce phénomène qui nous fascine.
Il y a différentes périodes qui manifestent des situations extrêmes sur les marchés.
Vous en avez parlé dans votre introduction, vous avez évoqué les événements sur les marchés boursiers.
Remonter deux en arrière, combien de fois a-t-on dit : la Fed pense une chose, NVIDIA en fait une autre, à quel point il y a eu un tel clivage, une telle césure entre la perception et la réalité et c'est cela qui alimente une bonne partie de nos discussions. Quand on considère les investisseurs individuels, investisseurs de patrimoine, d'une part il fait remonter les marchés boursiers accompagnés par certains investisseurs institutionnels, et par ailleurs il accumule des liquidités.
J'en ai déjà beaucoup parlé, mais il ne s'agit pas uniquement des investisseurs de base. On le voit également chez les professionnels et même sur les marchés privés.
C'est le genre d'extrêmes où il y a un aspect positif et un aspect négatif. Ce graphique illustrant mon propos. Il s'agit du nombre d'opérations de capital investissement et de la valeur de ces opérations par année civile. Quand on voit une ligne qui montre qui baisse à ce point, cela montre que le nombre d'opérations et la valeur de celle-ci depuis quelques années sont en baisse.
Il y a donc moins d'argent qui est investi et c'est parce que la même crainte règne sur les marchés du capital investissement que sur les marchés boursiers.
Ce qui indique compte tenu de tout ce que nous avons vu, des préoccupations géopolitiques, la crainte de l'inflation, cela représente un élément très important pour nous il faut prendre du recul.
Et nous accommoder de cette dualité sur les marchés.
Si vous considérez ce que font les grands investisseurs dans le capital investissement, ils commencent à mettre leurs capitaux à l'œuvre, c'est très intéressant. Les opérations qu'ils réalisent sont de moins grande envergure mais leur activité s'intensifie et s'intensifie considérablement. Il y a un autre secteur où l'activité s'intensifie, c'est sur le marché secondaire. Le marché secondaire de capital investissement consiste à acheter des opérations réalisées par un premier groupe d'investisseurs. L'un de mes menteurs m'a appris en cours de carrière que l'on peut avoir d'excellents actifs qui peuvent être pris en main aux dépens d'investisseurs soient qui ne peuvent pas déployer leurs capitaux, ou qui se retrouvent en cabinet sur le marché. Il s'agit donc d'un phénomène très intéressant que nous constatons.
Il y a un autre élément, si on se tourne vers le passé, au mois de janvier, je me rappelle que je signalais que le marché des options ne manifestait aucune crainte de la part des investisseurs. Il n'y avait guère de couverture. À présent ça commence à remonter. Si on considère l'étendue des opérations de couverture aujourd'hui, la couverture est beaucoup plus coûteuse qu'autrefois. Qu'est-ce que ça signifie? Cela signifie qu'à cause de l'évolution des marchés boursiers, d'abord, les valorisations ont augmenté, et deuxièmement si l'on remonte à quelques mois en arrière, on parlait de l'inflation, l'inflation affichait une tendance plus positive, surtout aux États-Unis. Or les statistiques de l'IPC paru en avril ont évolué, le discours relatif à l'inflation. Au fur et à mesure que ce discours s'en fléchissait, les marchés boursiers ont commencé à manifester une plus grande volatilité dans une certaine mesure, les taux d'intérêt également sans devenir un peu plus volatile, considérez le mois d'avril par exemple, l'obligation du Trésor à 30 ans a vu son rendement progressé de 48 points de base, obligations du Trésor à 10 ans de 25 à 30 points de base. Or, sur les marchés obligataires, ce sont des évolutions de grande amplitude.
C'est ce qui s'est produit pendant la première partie du premier trimestre. Conclusion, en tirer, le discours que l'on tenait auparavant qui était marqué par une absence de crainte sur les marchés, a beaucoup évolué.
Présent les investisseurs mettent en note des stratégies de couverture, pas pour se protéger, les options ne sont toujours pas très coûteuses, nous en sommes à un stade assez précoce, mais c'est une façon d'envisager la répartition des portefeuilles aujourd'hui. Il est important de continuer de tenir compte des deux extrêmes et de la nécessité de s'en accommoder.
- Vous avez dit que la Chine est un bon exemple de ces différences entre la perception de la réalité.
- Oui.
Il y a une chose dans notre rapport trimestriel sur la stratégie de portefeuille que nous avons abondamment traité. C'est la situation de la Chine.
En Amérique du Nord, surtout aujourd'hui, nous sommes saturés de médias américains. Allumez un appareil, je le fais le soir, je regarde mis à jour de la BBC, un rapport de Fox, rapporte CNN, un rapport de MSNBC , et c'est extraordinaire quand on entend le rapport de la BBC de voir que cette chaîne parle surtout d'Israël et de Gaza. C'est surtout de ça qu'il s'agit. Alors que les médias américains et CNBC également, il y a une vignette sur Gaza, et puis le reste du rapport est consacré à 30 et à ce qui va se produire. Le paysage politique. C'est vraiment ordinaire, c'est frappant.
Le problème c'est que pour les marchés financiers, il y a tout le reste de la planète dont on ne s'occupe pas.
En particulier, il y a Chine. La Chine est la deuxième économie du monde.
Même si la répartition, en tant qu'organisation, en termes économiques et en termes géopolitiques, c'est extraordinairement important et ça a un impact sur les marchés financiers et sur leur évolution.
Donc nous nous sommes dits qu'il vaudrait mieux prendre du recul par rapport à ce bien en faveur de l'Amérique du Nord et approfondir ce qui se passe en Chine.
L'objet de nos rapports est le suivant : nous pensons que la Chine est en proie à ce que je pourrais appeler sinon un demi-tour, du -1 évolution considérable par rapport à ce qui s'y passe depuis 30 ans, et une ère nouvelle s'ouvre pour les 30 prochaines années, au moins pour les cinq prochaines années de toute façon.
Selon nous, il s'agit d'un phénomène très important, et si nous considérons l'impact à court terme, si vous considérez les États-Unis et la Chine côte à côte, cette dualité saute aux yeux. Tout d'abord les dépenses publiques, en dépit de ce qu'on entend dire dans les médias et les émissions d'actualité, il y a eu d'énormes dépenses budgétaires aux États-Unis, la loi de chips, rapatriement de la fabrication, la relocalisation, alors qu'en Chine, typiquement, en situation de ralentissement comme celle qui s'y produit là-bas, le gouvernement ouvre les vannes budgétaires et intervient. Or ce n'est pas ce qui se produit. Le gouvernement intervient modestement, mais ce n'est pas du tout ce qui se serait produit pendant la période très Covid. Deuxièmement, la consommation. L'activité du consommateur est incroyable. Aux États-Unis. Et on considère la consommation en Chine, 26 % du bilan personnel aux États-Unis se résument au portefeuille immobilier, alors qu'en Chine, ces 41 %.
Nous savons tous qu'elle est la situation du secteur de l'immobilier là-bas. Le propriétaire moyen a subi une baisse de 20 à 40 % de sa valeur nette. Quand vous songez à l'impact que ça peut avoir sur le consommateur et sa capacité de dépenser, quand on considère l'économie américaine et sa situation aujourd'hui, on peut se dire : bon, le consommateur se porte encore très bien, les consommateurs dépensent toujours activement, ce qui alimente l'économie, alors qu'en Chine il y a une extrême réticence à dépenser de la part des consommateurs. On le constate également dans le milieu des affaires. Les entreprises chinoises se demandent : mais les gens resserrent les cordons de la bourse, moi, je ne vais pas dépenser dans mon entreprise puisque les consommateurs ne dépensent pas.
Alors bien entendu, quand vous considérez les sociétés ouvertes aux États-Unis et les dépenses qu'elle s'engage pour leur activité, c'est extraordinaire. Si vous considérez ce qui s'est produit même depuis 10 jours, les annonces deux Apple, de Microsoft, de Meta, des annonces de rachat d'actions, c'est effarant. Donc il y a une ambiance très différente qui y règne. Et pour conclure tout ceci, la crise de l'immobilier qui est en cours, il y a un environnement très différent en Chine. Le dernier volet auquel nous avons consacré d'assez longs développements dans nos rapports, je pense que les gestionnaires de portefeuille, les analyses collectivement et le grand public ne se sont pas encore rendus compte du fait qu'il y a au pouvoir un gouvernement différent là-bas aujourd'hui qui a des politiques budgétaires différentes, des politiques monétaires différentes et que nous devons ajuster notre attitude sur cette base. La raison pour laquelle je pense qu'il faut demeurer concentrer sur cela, c'est que comme nous l'avons dit depuis deux ans à présent, c'est l'un de nos thèmes au long cours, c'est la démondialisation. Nous continuons de nous concentrer sur cela. Il est essentiel de nous dire : bon, voyons ce qui se passe dans le monde entier et à quoi cela ressemble, et même si vous considérez, si vous demandez un investisseur : caler une tendance à long terme aux États-Unis, immédiatement dirait l'intelligence artificielle, la technologie, ça, c'est fantastique.
Considérez les politiques gouvernementales en Chine, en faveur de la communauté technologique, c'est une communauté, c'est une politique qui est censée être favorable au milieu technologique mais qui en fait en étouffent le développement. Si on considère les politiques sont adoptés là-bas et la différence par rapport à ce qui se passe aux États-Unis, elle est considérable. Tout cela va finir par avoir un impact sur votre portefeuille, sa répartition, mais bien entendu, ceci a également un impact potentiellement sur l'aspect que prendra l'inflation, et le dernier élément, puisque nous écrivions ce rapport en avril, alors même que nous écrivions, les marchés boursiers chinois ont commencé à prendre leur essor. Nous samedi : d'abord, c'est une tendance structurelle lourde à long terme. Et deuxièmement, ce qu'il faut signaler, c'est qu'on entend beaucoup les spécialistes vieilles école du marché boursier, ce que j'ai côtoyé au début de ma carrière dévalorisations sont très basses, il y a un petit peu de mesures de relances politiques budgétaires et monétaires qui ont été prises depuis quelques semaines et nous ne pensons pas que ce soubresaut durera, nous pensons donc que notre répartition neutre est très faible et continue d'avoir du bon sens.
- Excellent début d'émission. Brad Simpson répond à vos questions dans quelques instants. Je vous rappelle que vous pouvez poser en tout temps par courriel à moneytalklive@td.com ou dans la boîte de questions au bas de votre écran.
À présent l'actualité du monde des affaires et un coup d'œil sur les marchés.
L'activité de diffusion continue de Disney, Disney plus est devenu bénéficiaire pour la première fois depuis son lancement fin 2019 atteignant cette étape des mois plus tôt que prévu. Si l'on exclut que ESPN plus, Disney plus et Hulu, l'unité de diffusion continue à réaliser 47 milliards de dollars au deuxième trimestre, suite à une réduction agressif du coup, des hausses de prix et des programmes plus populaires, notamment shogun.
Toutefois les résultats meilleurs que prévus ont été éclipsés par une baisse du chiffre d'affaires de l'exploitation de télévision traditionnelle.
L'action recul de 10 % après cette annonce. Les actions de Tesla sont en vedette aujourd'hui.
Alors que les livraisons de son usine de Shanghai ont chuté d'une année sur l'autre en avril même si le marché mondial des voitures à énergies renouvelables à progresser. Les données préliminaires de l'association chinoise des voitures de tourisme montrent que les livraisons de la Vienne se sentaient à plus de 62 000 véhicules électriques construits en Chine, soit une baisse de 10 % par rapport avril 2023. Cette nouvelle met en évidence la pression que subit l'entreprise et Elon dans Musk le secteur des automobiles hyper concurrentielles de la Chine. L'action de Tesla recul de plus de 2,6 %. Enfin, les actions de Peloton Interactive se négocient à la hausse, suite à des rapports selon lesquelles un certain nombre de capital investissement regarde la société.
Les intervenants explosés après que des milliers de personnes se sont précipités pour acheter des exercices à domicile, est tombé en disgrâce après la baisse de l'achat de vélos exercices.
400 personnes et licenciés, soit 4 % des effectifs afin de les coûts. L'action est en légère, ou plutôt nettement en hausse de 12,7 %. À présent les grands indices.
L'indice TSX composite progresse de 83 points, soit 0,4 %.
Indice S&P 500 est également en légère hausse à 5197 ; soit en hausse de plus de 16 points, ou 0,3 %.
Brad Simpson Gestion de Patrimoine TD répond à vos questions sur la stratégie de marché.
Grade, quels sont vos perspectives concernant les actions leur actuelle et pensez-vous que le marché haussier va se poursuivre?
- Tout d'abord, je commencerai par dire que je sais que cette émission porte sur les placements, mais pour en revenir à l'action de Disney, je recommande beaucoup les émissions shogun en particulier, c'est peut-être la meilleure émission dramatique à la télévision depuis soprano. C'est vraiment superbe. Je recommande chaleureusement l'émission.
Je sais que c'est une digression, mais je tenais à exprimer mon opinion au sujet de cette question divertissement. Incendie divertissement investissement.
Il y a comme nous disons tout à l'heure ce clivage, c'est le thème de notre propos aujourd'hui. Les marchés boursiers doivent être considérés sous cet éclairage et notre point de départ bien sûr, est le suivant.
Une forte proportion de la hausse depuis novembre avril était attribuable au titre de la technologie. Je ne vais pas approfondir parce que je sais que vous les avez longuement évoqués sur ce plateau.
Mais au point où nous en sommes, si vous considérez les bénéfices que les entreprises annoncent en cas de légère déception, des résultats légèrement inférieurs aux prévisions, quand vous vous trouvez aux valorisations que l'on trouve dans le S&P 500, 21,22 fois les bénéfices, là je parle de l'indice en général, c'est très difficile de dire : ce marché n'est pas coûteux. Il faut également se rappeler qu'il y a les entreprises à très fortes croissances qui ont tiré lundi vers le haut. En tant qu'investisseur, si vous les négociez, moi, ce n'est pas cela que je m'intéresse. Pour moi, il y a une grande différence entre l'investissement et la négociation.
L'investissement ça consiste à répartir des capitaux.
Quand on songe à la création de trésorerie au sein de ces entreprises et leur capacité de poursuivre la croissance de réinvestir dans leurs activités, pour moi, il s'agit d'un secteur dans lequel on va continuer de répartir des capitaux.
Mais si l'on cherche à profiter d'une dynamique, à mon avis, il s'agit d'un marché qui commence à infléchir sa trajectoire. La dynamique perdant son importance et valorisation en prenant davantage par rapport à d'autres secteurs du marché. Je me suis muni d'un certain nombre de graphiques, je ne sais pas si celui auquel je pense peut-être afficher, mais quand on considère la dynamique intérieure des marchés boursiers, envoie tout d'abord qu'il y a un élargissement, une dispersion plus importante, parce qu'en termes simples, cela signifie que l'argent n'est pas monopolisé, les investisseurs ne voient pas leurs capitaux monopolisés par quelque titre.
Voilà le graphique dont je parlais.
Si vous commencez à assister à une augmentation de la dispersion, je faisais allusion à la ligne verte, c'est un très bon signe. En général, c'est le signe qu'un marché boursier s'assainit notablement. Il y a des valorisations plus élevées, mais le marché s'élargit et commence à attraper la valorisation. Ça, c'est un facteur très intéressant. Quand on songe à la corrélation implicite, envoie qu'à l'intérieur de l'indicé des sous indices, on commence à voir une ventilation des corrélations entre les titres individuels. Ça, c'est le marché de restaurant gestionnaire actif. C'est là on commence à se dire : bon, les bénéfices vont être importants, la façon dont ils sont annoncés sont importantes, et la trajectoire qui s'ensuivra est importante. Donc nous avons une stratégie en haltères.
Il y a les titres qui nous permettent de profiter de la dynamique, et à l'autre extrême, nous allons investir dans les actifs qui selon nous vont bénéficier de cette dispersion accrue. Pour moi, je dirais que si vous recherchez une correction fondée sur les valorisation, si vous pronostiquez une correction de ce genre, il est très difficile pour moi de l'envisager. La grande correction que l'on attend, que l'on recherche aura-t-elle lieu? Je pense qu'il ne s'agira plutôt d'un événement beaucoup moins probable et s'ils surviennent sur imprévu. Quand on considère les attentes à l'égard des bénéfices, surtout sur le S&P 500, à titre d'exemple, je dirais que si vous envisagez le prochain trimestre, les analystes collectivement s'enthousiasment peut-être s'emballent , peut-être à leurs attentes, on parle de 14 à 17 % de croissance des bénéfices, c'est le consensus, et à mon avis c'est un emballement.
Mais nous continuons de surprendre gérer les actions américaines. Nous sommes très à l'aise en ce qui concerne ce marché. Le marché boursier en général, nous sommes nôtres, autrement dit nous somme prudent et nous pensons que cela a du bon sens, si vous considérez la situation sous cet angle, la clé, c'est qu'à mon avis, il y a un exercice auquel il faut se plier une nouvelle fois. Il faut prolonger un peu son horizon temporel, et se rappeler que quand on répartit des capitaux, on investit dans une entreprise qui est appelée à une certaine croissance.
Quand je considère certain au portefeuille d'actions, nous avions pris des positions dans Facebook.
Bien sûr, l'entreprise a publié des bénéfices modestement décevants. L'action a dégringolé, mais si vous considérez la solidité de cette entreprise, je crois qu'elle s'inscrit dans une trajectoire de croissance.
On peut avoir des attentes de croissance trop ambitieuse, mais à mon avis il faut prolonger son horizon temporel au-delà de la semaine qui vient. Si l'on procède ainsi, les marchands beaucoup de bon sens, mais il faut penser comme un investisseur et non pas comme un spéculateur dans un environnement comme celui-ci.
- Comme toujours fêtent vos propres recherches avant de prendre une décision de placement. Brad Simpson répond à d'autres questions sur la stratégie de marché en quelques instants. Je vous rappelle que vous pouvez nous poser vos questions en tout temps par courriel à moneytalklive@td.com. À présent poursuivons la découverte d'un patente avancée.
Aujourd'hui, nous examinons la plate-forme avancée conçue pour le négociateur actif et proposé par Placements directs TD. Hiren Amin et formateur principal à Placements directs TD et se joint à nous pour nous montrer comment créer une liste de surveillance à patente avancée. Bonjour Hiren pouvez-vous nous expliquer comment créer une liste de surveillance sur la plateforme avancé?
- Bonjour, Anthony. Ça fait très plaisir de passer à votre émission.
Voici comment on peut créer une liste de surveillance sur la plate-forme avancée. Il ne vous étonnera pas d'apprendre que la liste de surveillance est un outil connu des investisseurs. C'est comme un carnet d'adresse qui permet de suivre l'évolution des actions et de les analyser en fonction de certains repères.
Comment créer sa propre liste surveillance? Allons sur la plate-forme avancée. La plupart des investisseurs ont peut-être déjà créé un volet distinct. C'est mon cas. J'ai déjà créé une liste de surveillance.
Vous pouvez afficher les listes que vous auriez déjà créées, mais si vous voulez entrer une nouvelle, vous allez tout à la droite cliquez sur nouvelle liste de surveillance, saisissez le nom. J'en ai déjà créé une qui s'appelle échantillon et j'ai ajouté quelques codes boursiers. Comment ajouter une action? Il y a deux façons de faire. Vous pouvez saisir le symbole dans la case appropriée. Costco est une entreprise qui me plaît beaucoup. Je rentre les magasins en fin de semaine.
Et puis pronom Dollarama, dans notre époque inflationniste, c'est un magasin qui attire l'achalandage, et puis nous allons ajouter Loblaws , pourquoi pas.
Pourquoi ai-je choisi cette liste, c'est que une fois vous vous trouvez dans votre liste de surveillance, vous pouvez la segmenter selon les critères que vous choisissez. En l'occurrence, je l'ai segmentée par secteur. Comment procéder? Vous cliquez sur le symbole par lequel vous voulez commencer la segmentation, mettant Costco, en cliquant sur le menu, la puce de droite, il y a un menu qui vous permet de déplacer l'action vers un groupe. Voilà les groupes existants.
Mais moi je veux en créer un nouveau que j'appellerai bien de consommation courante. Ce sont les grands magasins, les supermarchés. Je clique sur sauvegarder.
Vous voyez qu'il s'agit d'une nouvelle section.
Je peux simplement glisser et déposer Costco, Dollarama, ou bien je peux encore une fois cliquais sur le menu et déplacer l'action vers la catégorie.
J'ajoute donc Loblaws , c'est la dernière. Voilà une façon d'ajouter des actions votre sa surveillance.
- Très bien. À présent pouvez-vous nous dire ces investisseurs peuvent personnaliser les informations affichées sur la liste de surveillance?
- Bien sûr.
La liste de surveillance présente un grand nombre de points de données.
C'est assez chargé, en fait. Vous pouvez accéder à ces champs de données, et personnaliser en cliquant sur le modèle. Il y a un menu déroulant qui propose un certain nombre de visualisations standard, voici la visualisation de base qui contient des informations élémentaires. Mais si vous voulez créer votre propre visualisation, cliquez sur le menu hamburger, c'est-à-dire le menu aux trois lignes, et cliquez sur gérer les modèles. Ensuite, juste en dessous de la zone personnalisait, cliquez sur nouveau. Je vais baptiser mon modèle 7 mai, et une fois que vous l'avez ajouté, vous voyez que le code de bourse et le pays sont indiqués, mais vous pouvez choisir les autres colonnes sur la gauche. Mettons que je veux afficher le nom, le cours maximum et minimum pour la journée, et puis la date ex dividendes.
Pour que ça reste simple, je n'ai que quelques colonnes. Vous n'avez pas besoin de cliquer sur sauvegarder, simplement fermer la boîte et à présent pour afficher cette nouvelle visualisation, vous cliquez sur le menu modèle, et vous sélectionnez la liste que vous venez de personnaliser.
- Merci Hiren pour cette présentation très informatif.
- Je vous en prie, Anthony.
- Hiren Amin formateur principal à Placements directs TD. Ne manquez pas de visiter le centre d'apprentissage de CourtierWeb ou de balayer ce code QR pour vous rendre à la page Instagram de Placements directs TD vous trouverez encore plus de vidéos informatifs.
Brad Simpson répond à vos questions sur la stratégie de marché.
À votre avis, qu'est-ce qui fait évoluer le déficit de la balance commerciale?
- Eh bien nous avons commencé tout à l'heure pour parler justement du fait qu'il y a un environnement géopolitique, lequel depuis deux ans a été bouleversé et continu de l'être.
Il y a d'une part la fuite vers la qualité, c'est le facteur fondamental de l'évolution du dollar américain.
C'est pourquoi nous sommes favorables à une répartition confortable en dollars américains pour cette raison, et puis l'autre versant, il y a la deuxième économie du monde qui souhaite se tirer de sa situation précaire par l'exportation, et l'amener là-bas et plus faible.
Et puis, on parlait de Tesla et de certains de ses problèmes. Quand on considère ce qui se produit en Europe, la crise existentielle que connaît le secteur de l'automobile, et quand on commence à conjuguer tous ces éléments, cela commence à influencer les dynamiques d'échanges commerciaux entre pays. Voilà comment vous pouvez calculer essentiellement le déficit.
- Brad Simpson répond à d'autres questions sa stratégie de marché dans quelques instants. C'est toujours vos propres recherches avant de prendre une décision de placement.
À présent un coup d'œil sur les marchés.
Voici la carte thermique de la plate-forme avancée qui vous permet de visualiser les actions qui évoluent sur l'indice TSX 60 en fonction du cours et du volume.
Il y a du vert à l'écran pour certains titres du secteur de l'énergie.
Avec une hausse des cours. CNQ est en hausse, ainsi que Enbridge. À la droite, il y a des activités d'achat dans le secteur financier.
Ensuite, plus à droite, secteur de la technologie, Shopify, BCE Telus progresse, à présent l'indice S&P 500. Voyons clients il évolue. Tout en haut, dans le secteur de la technologie, certains des grands titres, Google, NVIDIA sent légèrement sous pression dans le cas de NVIDIA, à métaux. C'est propre plus pour alimenter des logiciels d'intelligence artificielle et les centres de données afin de rivaliser avec NVIDIA.
Il y a donc une certaine faiblesse de ce côté-là.
Quant aux biens et services cycliques, que cela est également en recul après l'annonce que des expéditions de son usine de Shanghai ont diminuée en avril. Disney est également en baisse après que les bénéfices de son activité de diffusion continuent et étaient éclipsés par la baisse de son activité de télévision traditionnelle. Brad Simpson de Gestion de Patrimoine TD répond à vos questions sur la stratégie de marché.
Selon vous, quel est le secteur le plus sous-évalué sur ce marché?
- Je n'allais pas le dire, mais c'est vraiment une question de dispersion. Quand on a passé en revu lundi CCP TSX, le secteur financier est fortement os aujourd'hui. Et si vous considérez les six grandes banques qui ont eu sept trimestres de croissance négative, de croissance de leurs actions et dévalorisation ne reflète, il s'agit, au niveau dévalorisation de l'un de nos thèmes permanents.
Cela, pour moi, l'effet sur les marchés boursiers qui sont tellement en défaveur, les marchés boursiers canadiens, on commence avoir un retour des flux, et je crois que si l'on a un horizon temporel, encore une fois, quand on considère le monde comme un investisseur, cela a du bon sens. Un deuxième élément, bien sûr, c'est que il y a certains éléments qui sont en défaveur, les services publics par exemple, un moment vont commencer à remonter. Et puis, nous avons étudié le moyen terme. Il y a une chose, quand on considère la situation, s'économisant sur l'exposition factorielle en tant qu'entreprise. Donc nous demandons quel est l'ADN d'un investissement.
Quand vous songez… bon, la dynamique, la croissance très forte, lorsque la qualité est un facteur, on n'en tient compte dans la répartition. Mais ce ne sont pas des mécanismes pour synchroniser le marché, il fonctionne très mal en ce sens. Mais exposition factorielle nous permette de déterminer si dévalorisations dans un secteur sont en rendez-vous, et si vous commencez à assister à une dynamique alliée à ces facteurs, c'est une idée de Halter. Nous en avons beaucoup parlé. Nous pensons qu'il est nécessaire de s'assurer que la répartition est basée sur un secteur de qualité et sur la nécessité d'avoir une exposition au secteur valeur du marché, lequel, typiquement commence à évoluer lorsque que l'on aborde un stade précoce. On a beaucoup parlé.
C'est la limite qui s'estompe entre l'économie de fin de cycle et l'économie de début de cycle et la ligne continue de s'estomper. Mais nous pensons, et je dirais qu'il s'agit des points d'entrée, des occasions à cause dévalorisation faible.
- Alors que pensez-vous du secteur des matières premières?
- Le point de départ… il y a deux façons de considérer les produits de base.
Il y a tout un milieu de négociation, de spéculation ce matin première, ce n'est pas notre spécialité. Nous avons une répartition d'actifs stratégiques et une répartition d'actifs dynamiques dans les produits de base, c'est-à-dire que des produits de base nous plaisent beaucoup en tant qu'investissement, et quand nous avons rédigé notre rapport de perspective, prospective annuelle plutôt, nous avons préconisé la sur pondération des produits de base. Pourquoi? D'abord à cause de la géopolitique, des problèmes géopolitiques dans le monde. Par ailleurs, si l'on remonte un en arrière, rappelez-vous qu'on a faits, qu'on agite un en avant, se demandant combien, où nous entrons plutôt un an après. Nous pensons que les États-Unis seraient en récession, ce n'est pas le cas. Donc la demande de cuivre par exemple à beaucoup de bon sens, si vous considérez la volatilité du cours du pétrole avec la guerre au Moyen-Orient cela fait subir une pression court du pétrole. Ça fluctue bien sûr, mais nous pensons que cela va continuer de présenter une occasion. Donc dès le départ, je crois que le portefeuille de beaucoup d'investisseurs ne comporte pas d'exposition dynamique aux produits de base à des fins de diversification et nous croyons vraiment que c'est une mesure très sage.
Donc nous tapons du poing sur la table sur ce sujet. À long terme, cela a eu beaucoup de bon sens. Et quand nous considérons le court terme, mettons les trois à six mois à venir, entre l'élection américaine qui s'en vient, la guerre au Moyen-Orient qui semble devoir se poursuivre, et ce que l'on perd de vue en cours de route, c'est la guerre en Ukraine, et puis il y a l'activité entre la Chine et la Russie, et les achats massifs d'or par les banques centrales de ces deux pays et les efforts continus, nous allons assister à cela pendant très longtemps en vue d'exercer une pression sur le dollar américain comme monnaie de réserve. Tous ces éléments, au plan de la diversification, au plan du calendrier, au plan de la pertinence des couvertures, couverture à l'égard de l'actualité géopolitique, des portefeuilles d'actions long courent au niveau de la Duration, au niveau des titres de créance, ce sont d'excellentes façons de couvrir des portefeuilles. La meilleure façon de couvrir les risques géopolitiques, c'est d'avoir un portefeuille à gestion dynamique de produits de base. Tous ces éléments beaucoup bon sens mis ensemble.
- Brad, merci beaucoup pour ces aperçus.
- Je vous en prie.
- Merci à Brad Simpson de Gestion de Patrimoine TD.
Comme toujours fêtent vos propres recherches avant de prendre des décisions de placement.
Si nous n'avons pas répondu à votre question aujourd'hui, nous allons tâcher d'y répondre dans une émission future. Restez à l'écoute. Demain, David Sekera de MorningStar Research répond à vos questions sur les actions américaines.
Je vous rappelle que vous pouvez nous les poser en tout temps par courriel à moneytalklive@td.com. Merci et à demain.
Bienvenue à Parlons Argent en direct, une émission de Placements directs TD. Nos invités commentent l'actualité des marchés et répondent à vos questions sur les placements.
Aujourd'hui, nous aborderons la question de la perception par rapport à la réalité des marchés avec Brad Simpson de Gestion de Patrimoine TD. Nous poursuivons la découverte de CourtierWeb. Hiren Amin montre comment utiliser la liste de surveillance sur la plate-forme avancée. Posez vos questions par courriel à moneytalklive@td.com ou dans la boîte de questions au bas de votre écran.
Mais d'abord, un coup d'œil sur les marchés.
À la bourse de Toronto, le marché est en légère hausse à l'ouverture, tirée par les valeurs industrielles. Le TSX se sort d'un gain solide de 1,4 % lundi, lorsqu'il a clôturé à son plus haut niveau depuis plus de trois semaines enregistrées sa meilleure journée depuis plus de trois mois. L'indice TSX composite se négociait en hausse de 85 points, soit 0,4 %. Parmi les titres les plus activement négociées, Cameco est en hausse aujourd'hui, la société d'uranium basé en Saskatchewan a reçu des commentaires favorables à la part des analystes. L'action progresse de plus de deux dollars, soit plus de 3 %.
Les actions de Pet Valu Holdings sont en baisse. Le détaillant d'aliments d'animaux pour compagnie, est en baisse de près de 19 000 001 an plus tôt. L'action recule légèrement à 31,28 $, en baisse de presque 2,5 %.
À présent aux États-Unis, la bourse de New York a ouvert en hausse en partie à cause de la baisse des rendements des obligations d'État. Les négociateurs étant à l'affût d'indices sur la date à laquelle la fête pourrait commencer à raidir les taux d'intérêt.
Indice S&P 500 progresse modestement de 13. Soit 0,25 %. L'indice Nasdaq à forte composante technologique est également à la hausse. À la suite de la parution des statistiques sur l'emploi, moins élevée que prévu, ce qui a suscité l'espoir que la fête pourrait réduire les taux plus tard cette année, l'indice recule de plus de 30 points, soit 0,2 %. Parmi les titres les plus activement négociées, les actions de Simon Property font l'objet d'une attention particulière à la suite d'une annonce des résultats du premier trimestre. La société américaine qui investit dans les centres commerciaux annonce des bénéfices qui ont dépassé les prévisions de huit cents, tandis que le chiffre d'affaires a dépassé les estimations. Simon Property est en hausse de 3,9 %.
Parmi les titres les plus activement négociées, les actions de NVIDIA sont en baisse suite à l'annonce que Apple serait en train de mettre au point ses propres plus pour alimenter les logicielle intelligence artificielle dans les centres de données dans le but de rivaliser avec NVIDIA. L'action recule modestement de 1,2 %. Voilà pour la mise à jour sur les marchés.
Bien que les marchés boursiers et enregistrer des performances positifs depuis le début de l'année, la morosité règne toujours et les investisseurs continuent de se tourner vers les CPG les fonds du marché monétaire.
Brad Simpson de Gestion de Patrimoine TD nous rejoint pour discuter du problème de perception par rapport à la réalité. Bonjour, Brad.
-, Anthony.
- Vous avez publié un nouveau rapport intitulé le meilleur de tous les temps et le pire de tous les temps.
Que constatez-vous?
- Nous en sommes au deuxième mois de ce phénomène qui nous fascine.
Il y a différentes périodes qui manifestent des situations extrêmes sur les marchés.
Vous en avez parlé dans votre introduction, vous avez évoqué les événements sur les marchés boursiers.
Remonter deux en arrière, combien de fois a-t-on dit : la Fed pense une chose, NVIDIA en fait une autre, à quel point il y a eu un tel clivage, une telle césure entre la perception et la réalité et c'est cela qui alimente une bonne partie de nos discussions. Quand on considère les investisseurs individuels, investisseurs de patrimoine, d'une part il fait remonter les marchés boursiers accompagnés par certains investisseurs institutionnels, et par ailleurs il accumule des liquidités.
J'en ai déjà beaucoup parlé, mais il ne s'agit pas uniquement des investisseurs de base. On le voit également chez les professionnels et même sur les marchés privés.
C'est le genre d'extrêmes où il y a un aspect positif et un aspect négatif. Ce graphique illustrant mon propos. Il s'agit du nombre d'opérations de capital investissement et de la valeur de ces opérations par année civile. Quand on voit une ligne qui montre qui baisse à ce point, cela montre que le nombre d'opérations et la valeur de celle-ci depuis quelques années sont en baisse.
Il y a donc moins d'argent qui est investi et c'est parce que la même crainte règne sur les marchés du capital investissement que sur les marchés boursiers.
Ce qui indique compte tenu de tout ce que nous avons vu, des préoccupations géopolitiques, la crainte de l'inflation, cela représente un élément très important pour nous il faut prendre du recul.
Et nous accommoder de cette dualité sur les marchés.
Si vous considérez ce que font les grands investisseurs dans le capital investissement, ils commencent à mettre leurs capitaux à l'œuvre, c'est très intéressant. Les opérations qu'ils réalisent sont de moins grande envergure mais leur activité s'intensifie et s'intensifie considérablement. Il y a un autre secteur où l'activité s'intensifie, c'est sur le marché secondaire. Le marché secondaire de capital investissement consiste à acheter des opérations réalisées par un premier groupe d'investisseurs. L'un de mes menteurs m'a appris en cours de carrière que l'on peut avoir d'excellents actifs qui peuvent être pris en main aux dépens d'investisseurs soient qui ne peuvent pas déployer leurs capitaux, ou qui se retrouvent en cabinet sur le marché. Il s'agit donc d'un phénomène très intéressant que nous constatons.
Il y a un autre élément, si on se tourne vers le passé, au mois de janvier, je me rappelle que je signalais que le marché des options ne manifestait aucune crainte de la part des investisseurs. Il n'y avait guère de couverture. À présent ça commence à remonter. Si on considère l'étendue des opérations de couverture aujourd'hui, la couverture est beaucoup plus coûteuse qu'autrefois. Qu'est-ce que ça signifie? Cela signifie qu'à cause de l'évolution des marchés boursiers, d'abord, les valorisations ont augmenté, et deuxièmement si l'on remonte à quelques mois en arrière, on parlait de l'inflation, l'inflation affichait une tendance plus positive, surtout aux États-Unis. Or les statistiques de l'IPC paru en avril ont évolué, le discours relatif à l'inflation. Au fur et à mesure que ce discours s'en fléchissait, les marchés boursiers ont commencé à manifester une plus grande volatilité dans une certaine mesure, les taux d'intérêt également sans devenir un peu plus volatile, considérez le mois d'avril par exemple, l'obligation du Trésor à 30 ans a vu son rendement progressé de 48 points de base, obligations du Trésor à 10 ans de 25 à 30 points de base. Or, sur les marchés obligataires, ce sont des évolutions de grande amplitude.
C'est ce qui s'est produit pendant la première partie du premier trimestre. Conclusion, en tirer, le discours que l'on tenait auparavant qui était marqué par une absence de crainte sur les marchés, a beaucoup évolué.
Présent les investisseurs mettent en note des stratégies de couverture, pas pour se protéger, les options ne sont toujours pas très coûteuses, nous en sommes à un stade assez précoce, mais c'est une façon d'envisager la répartition des portefeuilles aujourd'hui. Il est important de continuer de tenir compte des deux extrêmes et de la nécessité de s'en accommoder.
- Vous avez dit que la Chine est un bon exemple de ces différences entre la perception de la réalité.
- Oui.
Il y a une chose dans notre rapport trimestriel sur la stratégie de portefeuille que nous avons abondamment traité. C'est la situation de la Chine.
En Amérique du Nord, surtout aujourd'hui, nous sommes saturés de médias américains. Allumez un appareil, je le fais le soir, je regarde mis à jour de la BBC, un rapport de Fox, rapporte CNN, un rapport de MSNBC , et c'est extraordinaire quand on entend le rapport de la BBC de voir que cette chaîne parle surtout d'Israël et de Gaza. C'est surtout de ça qu'il s'agit. Alors que les médias américains et CNBC également, il y a une vignette sur Gaza, et puis le reste du rapport est consacré à 30 et à ce qui va se produire. Le paysage politique. C'est vraiment ordinaire, c'est frappant.
Le problème c'est que pour les marchés financiers, il y a tout le reste de la planète dont on ne s'occupe pas.
En particulier, il y a Chine. La Chine est la deuxième économie du monde.
Même si la répartition, en tant qu'organisation, en termes économiques et en termes géopolitiques, c'est extraordinairement important et ça a un impact sur les marchés financiers et sur leur évolution.
Donc nous nous sommes dits qu'il vaudrait mieux prendre du recul par rapport à ce bien en faveur de l'Amérique du Nord et approfondir ce qui se passe en Chine.
L'objet de nos rapports est le suivant : nous pensons que la Chine est en proie à ce que je pourrais appeler sinon un demi-tour, du -1 évolution considérable par rapport à ce qui s'y passe depuis 30 ans, et une ère nouvelle s'ouvre pour les 30 prochaines années, au moins pour les cinq prochaines années de toute façon.
Selon nous, il s'agit d'un phénomène très important, et si nous considérons l'impact à court terme, si vous considérez les États-Unis et la Chine côte à côte, cette dualité saute aux yeux. Tout d'abord les dépenses publiques, en dépit de ce qu'on entend dire dans les médias et les émissions d'actualité, il y a eu d'énormes dépenses budgétaires aux États-Unis, la loi de chips, rapatriement de la fabrication, la relocalisation, alors qu'en Chine, typiquement, en situation de ralentissement comme celle qui s'y produit là-bas, le gouvernement ouvre les vannes budgétaires et intervient. Or ce n'est pas ce qui se produit. Le gouvernement intervient modestement, mais ce n'est pas du tout ce qui se serait produit pendant la période très Covid. Deuxièmement, la consommation. L'activité du consommateur est incroyable. Aux États-Unis. Et on considère la consommation en Chine, 26 % du bilan personnel aux États-Unis se résument au portefeuille immobilier, alors qu'en Chine, ces 41 %.
Nous savons tous qu'elle est la situation du secteur de l'immobilier là-bas. Le propriétaire moyen a subi une baisse de 20 à 40 % de sa valeur nette. Quand vous songez à l'impact que ça peut avoir sur le consommateur et sa capacité de dépenser, quand on considère l'économie américaine et sa situation aujourd'hui, on peut se dire : bon, le consommateur se porte encore très bien, les consommateurs dépensent toujours activement, ce qui alimente l'économie, alors qu'en Chine il y a une extrême réticence à dépenser de la part des consommateurs. On le constate également dans le milieu des affaires. Les entreprises chinoises se demandent : mais les gens resserrent les cordons de la bourse, moi, je ne vais pas dépenser dans mon entreprise puisque les consommateurs ne dépensent pas.
Alors bien entendu, quand vous considérez les sociétés ouvertes aux États-Unis et les dépenses qu'elle s'engage pour leur activité, c'est extraordinaire. Si vous considérez ce qui s'est produit même depuis 10 jours, les annonces deux Apple, de Microsoft, de Meta, des annonces de rachat d'actions, c'est effarant. Donc il y a une ambiance très différente qui y règne. Et pour conclure tout ceci, la crise de l'immobilier qui est en cours, il y a un environnement très différent en Chine. Le dernier volet auquel nous avons consacré d'assez longs développements dans nos rapports, je pense que les gestionnaires de portefeuille, les analyses collectivement et le grand public ne se sont pas encore rendus compte du fait qu'il y a au pouvoir un gouvernement différent là-bas aujourd'hui qui a des politiques budgétaires différentes, des politiques monétaires différentes et que nous devons ajuster notre attitude sur cette base. La raison pour laquelle je pense qu'il faut demeurer concentrer sur cela, c'est que comme nous l'avons dit depuis deux ans à présent, c'est l'un de nos thèmes au long cours, c'est la démondialisation. Nous continuons de nous concentrer sur cela. Il est essentiel de nous dire : bon, voyons ce qui se passe dans le monde entier et à quoi cela ressemble, et même si vous considérez, si vous demandez un investisseur : caler une tendance à long terme aux États-Unis, immédiatement dirait l'intelligence artificielle, la technologie, ça, c'est fantastique.
Considérez les politiques gouvernementales en Chine, en faveur de la communauté technologique, c'est une communauté, c'est une politique qui est censée être favorable au milieu technologique mais qui en fait en étouffent le développement. Si on considère les politiques sont adoptés là-bas et la différence par rapport à ce qui se passe aux États-Unis, elle est considérable. Tout cela va finir par avoir un impact sur votre portefeuille, sa répartition, mais bien entendu, ceci a également un impact potentiellement sur l'aspect que prendra l'inflation, et le dernier élément, puisque nous écrivions ce rapport en avril, alors même que nous écrivions, les marchés boursiers chinois ont commencé à prendre leur essor. Nous samedi : d'abord, c'est une tendance structurelle lourde à long terme. Et deuxièmement, ce qu'il faut signaler, c'est qu'on entend beaucoup les spécialistes vieilles école du marché boursier, ce que j'ai côtoyé au début de ma carrière dévalorisations sont très basses, il y a un petit peu de mesures de relances politiques budgétaires et monétaires qui ont été prises depuis quelques semaines et nous ne pensons pas que ce soubresaut durera, nous pensons donc que notre répartition neutre est très faible et continue d'avoir du bon sens.
- Excellent début d'émission. Brad Simpson répond à vos questions dans quelques instants. Je vous rappelle que vous pouvez poser en tout temps par courriel à moneytalklive@td.com ou dans la boîte de questions au bas de votre écran.
À présent l'actualité du monde des affaires et un coup d'œil sur les marchés.
L'activité de diffusion continue de Disney, Disney plus est devenu bénéficiaire pour la première fois depuis son lancement fin 2019 atteignant cette étape des mois plus tôt que prévu. Si l'on exclut que ESPN plus, Disney plus et Hulu, l'unité de diffusion continue à réaliser 47 milliards de dollars au deuxième trimestre, suite à une réduction agressif du coup, des hausses de prix et des programmes plus populaires, notamment shogun.
Toutefois les résultats meilleurs que prévus ont été éclipsés par une baisse du chiffre d'affaires de l'exploitation de télévision traditionnelle.
L'action recul de 10 % après cette annonce. Les actions de Tesla sont en vedette aujourd'hui.
Alors que les livraisons de son usine de Shanghai ont chuté d'une année sur l'autre en avril même si le marché mondial des voitures à énergies renouvelables à progresser. Les données préliminaires de l'association chinoise des voitures de tourisme montrent que les livraisons de la Vienne se sentaient à plus de 62 000 véhicules électriques construits en Chine, soit une baisse de 10 % par rapport avril 2023. Cette nouvelle met en évidence la pression que subit l'entreprise et Elon dans Musk le secteur des automobiles hyper concurrentielles de la Chine. L'action de Tesla recul de plus de 2,6 %. Enfin, les actions de Peloton Interactive se négocient à la hausse, suite à des rapports selon lesquelles un certain nombre de capital investissement regarde la société.
Les intervenants explosés après que des milliers de personnes se sont précipités pour acheter des exercices à domicile, est tombé en disgrâce après la baisse de l'achat de vélos exercices.
400 personnes et licenciés, soit 4 % des effectifs afin de les coûts. L'action est en légère, ou plutôt nettement en hausse de 12,7 %. À présent les grands indices.
L'indice TSX composite progresse de 83 points, soit 0,4 %.
Indice S&P 500 est également en légère hausse à 5197 ; soit en hausse de plus de 16 points, ou 0,3 %.
Brad Simpson Gestion de Patrimoine TD répond à vos questions sur la stratégie de marché.
Grade, quels sont vos perspectives concernant les actions leur actuelle et pensez-vous que le marché haussier va se poursuivre?
- Tout d'abord, je commencerai par dire que je sais que cette émission porte sur les placements, mais pour en revenir à l'action de Disney, je recommande beaucoup les émissions shogun en particulier, c'est peut-être la meilleure émission dramatique à la télévision depuis soprano. C'est vraiment superbe. Je recommande chaleureusement l'émission.
Je sais que c'est une digression, mais je tenais à exprimer mon opinion au sujet de cette question divertissement. Incendie divertissement investissement.
Il y a comme nous disons tout à l'heure ce clivage, c'est le thème de notre propos aujourd'hui. Les marchés boursiers doivent être considérés sous cet éclairage et notre point de départ bien sûr, est le suivant.
Une forte proportion de la hausse depuis novembre avril était attribuable au titre de la technologie. Je ne vais pas approfondir parce que je sais que vous les avez longuement évoqués sur ce plateau.
Mais au point où nous en sommes, si vous considérez les bénéfices que les entreprises annoncent en cas de légère déception, des résultats légèrement inférieurs aux prévisions, quand vous vous trouvez aux valorisations que l'on trouve dans le S&P 500, 21,22 fois les bénéfices, là je parle de l'indice en général, c'est très difficile de dire : ce marché n'est pas coûteux. Il faut également se rappeler qu'il y a les entreprises à très fortes croissances qui ont tiré lundi vers le haut. En tant qu'investisseur, si vous les négociez, moi, ce n'est pas cela que je m'intéresse. Pour moi, il y a une grande différence entre l'investissement et la négociation.
L'investissement ça consiste à répartir des capitaux.
Quand on songe à la création de trésorerie au sein de ces entreprises et leur capacité de poursuivre la croissance de réinvestir dans leurs activités, pour moi, il s'agit d'un secteur dans lequel on va continuer de répartir des capitaux.
Mais si l'on cherche à profiter d'une dynamique, à mon avis, il s'agit d'un marché qui commence à infléchir sa trajectoire. La dynamique perdant son importance et valorisation en prenant davantage par rapport à d'autres secteurs du marché. Je me suis muni d'un certain nombre de graphiques, je ne sais pas si celui auquel je pense peut-être afficher, mais quand on considère la dynamique intérieure des marchés boursiers, envoie tout d'abord qu'il y a un élargissement, une dispersion plus importante, parce qu'en termes simples, cela signifie que l'argent n'est pas monopolisé, les investisseurs ne voient pas leurs capitaux monopolisés par quelque titre.
Voilà le graphique dont je parlais.
Si vous commencez à assister à une augmentation de la dispersion, je faisais allusion à la ligne verte, c'est un très bon signe. En général, c'est le signe qu'un marché boursier s'assainit notablement. Il y a des valorisations plus élevées, mais le marché s'élargit et commence à attraper la valorisation. Ça, c'est un facteur très intéressant. Quand on songe à la corrélation implicite, envoie qu'à l'intérieur de l'indicé des sous indices, on commence à voir une ventilation des corrélations entre les titres individuels. Ça, c'est le marché de restaurant gestionnaire actif. C'est là on commence à se dire : bon, les bénéfices vont être importants, la façon dont ils sont annoncés sont importantes, et la trajectoire qui s'ensuivra est importante. Donc nous avons une stratégie en haltères.
Il y a les titres qui nous permettent de profiter de la dynamique, et à l'autre extrême, nous allons investir dans les actifs qui selon nous vont bénéficier de cette dispersion accrue. Pour moi, je dirais que si vous recherchez une correction fondée sur les valorisation, si vous pronostiquez une correction de ce genre, il est très difficile pour moi de l'envisager. La grande correction que l'on attend, que l'on recherche aura-t-elle lieu? Je pense qu'il ne s'agira plutôt d'un événement beaucoup moins probable et s'ils surviennent sur imprévu. Quand on considère les attentes à l'égard des bénéfices, surtout sur le S&P 500, à titre d'exemple, je dirais que si vous envisagez le prochain trimestre, les analystes collectivement s'enthousiasment peut-être s'emballent , peut-être à leurs attentes, on parle de 14 à 17 % de croissance des bénéfices, c'est le consensus, et à mon avis c'est un emballement.
Mais nous continuons de surprendre gérer les actions américaines. Nous sommes très à l'aise en ce qui concerne ce marché. Le marché boursier en général, nous sommes nôtres, autrement dit nous somme prudent et nous pensons que cela a du bon sens, si vous considérez la situation sous cet angle, la clé, c'est qu'à mon avis, il y a un exercice auquel il faut se plier une nouvelle fois. Il faut prolonger un peu son horizon temporel, et se rappeler que quand on répartit des capitaux, on investit dans une entreprise qui est appelée à une certaine croissance.
Quand je considère certain au portefeuille d'actions, nous avions pris des positions dans Facebook.
Bien sûr, l'entreprise a publié des bénéfices modestement décevants. L'action a dégringolé, mais si vous considérez la solidité de cette entreprise, je crois qu'elle s'inscrit dans une trajectoire de croissance.
On peut avoir des attentes de croissance trop ambitieuse, mais à mon avis il faut prolonger son horizon temporel au-delà de la semaine qui vient. Si l'on procède ainsi, les marchands beaucoup de bon sens, mais il faut penser comme un investisseur et non pas comme un spéculateur dans un environnement comme celui-ci.
- Comme toujours fêtent vos propres recherches avant de prendre une décision de placement. Brad Simpson répond à d'autres questions sur la stratégie de marché en quelques instants. Je vous rappelle que vous pouvez nous poser vos questions en tout temps par courriel à moneytalklive@td.com. À présent poursuivons la découverte d'un patente avancée.
Aujourd'hui, nous examinons la plate-forme avancée conçue pour le négociateur actif et proposé par Placements directs TD. Hiren Amin et formateur principal à Placements directs TD et se joint à nous pour nous montrer comment créer une liste de surveillance à patente avancée. Bonjour Hiren pouvez-vous nous expliquer comment créer une liste de surveillance sur la plateforme avancé?
- Bonjour, Anthony. Ça fait très plaisir de passer à votre émission.
Voici comment on peut créer une liste de surveillance sur la plate-forme avancée. Il ne vous étonnera pas d'apprendre que la liste de surveillance est un outil connu des investisseurs. C'est comme un carnet d'adresse qui permet de suivre l'évolution des actions et de les analyser en fonction de certains repères.
Comment créer sa propre liste surveillance? Allons sur la plate-forme avancée. La plupart des investisseurs ont peut-être déjà créé un volet distinct. C'est mon cas. J'ai déjà créé une liste de surveillance.
Vous pouvez afficher les listes que vous auriez déjà créées, mais si vous voulez entrer une nouvelle, vous allez tout à la droite cliquez sur nouvelle liste de surveillance, saisissez le nom. J'en ai déjà créé une qui s'appelle échantillon et j'ai ajouté quelques codes boursiers. Comment ajouter une action? Il y a deux façons de faire. Vous pouvez saisir le symbole dans la case appropriée. Costco est une entreprise qui me plaît beaucoup. Je rentre les magasins en fin de semaine.
Et puis pronom Dollarama, dans notre époque inflationniste, c'est un magasin qui attire l'achalandage, et puis nous allons ajouter Loblaws , pourquoi pas.
Pourquoi ai-je choisi cette liste, c'est que une fois vous vous trouvez dans votre liste de surveillance, vous pouvez la segmenter selon les critères que vous choisissez. En l'occurrence, je l'ai segmentée par secteur. Comment procéder? Vous cliquez sur le symbole par lequel vous voulez commencer la segmentation, mettant Costco, en cliquant sur le menu, la puce de droite, il y a un menu qui vous permet de déplacer l'action vers un groupe. Voilà les groupes existants.
Mais moi je veux en créer un nouveau que j'appellerai bien de consommation courante. Ce sont les grands magasins, les supermarchés. Je clique sur sauvegarder.
Vous voyez qu'il s'agit d'une nouvelle section.
Je peux simplement glisser et déposer Costco, Dollarama, ou bien je peux encore une fois cliquais sur le menu et déplacer l'action vers la catégorie.
J'ajoute donc Loblaws , c'est la dernière. Voilà une façon d'ajouter des actions votre sa surveillance.
- Très bien. À présent pouvez-vous nous dire ces investisseurs peuvent personnaliser les informations affichées sur la liste de surveillance?
- Bien sûr.
La liste de surveillance présente un grand nombre de points de données.
C'est assez chargé, en fait. Vous pouvez accéder à ces champs de données, et personnaliser en cliquant sur le modèle. Il y a un menu déroulant qui propose un certain nombre de visualisations standard, voici la visualisation de base qui contient des informations élémentaires. Mais si vous voulez créer votre propre visualisation, cliquez sur le menu hamburger, c'est-à-dire le menu aux trois lignes, et cliquez sur gérer les modèles. Ensuite, juste en dessous de la zone personnalisait, cliquez sur nouveau. Je vais baptiser mon modèle 7 mai, et une fois que vous l'avez ajouté, vous voyez que le code de bourse et le pays sont indiqués, mais vous pouvez choisir les autres colonnes sur la gauche. Mettons que je veux afficher le nom, le cours maximum et minimum pour la journée, et puis la date ex dividendes.
Pour que ça reste simple, je n'ai que quelques colonnes. Vous n'avez pas besoin de cliquer sur sauvegarder, simplement fermer la boîte et à présent pour afficher cette nouvelle visualisation, vous cliquez sur le menu modèle, et vous sélectionnez la liste que vous venez de personnaliser.
- Merci Hiren pour cette présentation très informatif.
- Je vous en prie, Anthony.
- Hiren Amin formateur principal à Placements directs TD. Ne manquez pas de visiter le centre d'apprentissage de CourtierWeb ou de balayer ce code QR pour vous rendre à la page Instagram de Placements directs TD vous trouverez encore plus de vidéos informatifs.
Brad Simpson répond à vos questions sur la stratégie de marché.
À votre avis, qu'est-ce qui fait évoluer le déficit de la balance commerciale?
- Eh bien nous avons commencé tout à l'heure pour parler justement du fait qu'il y a un environnement géopolitique, lequel depuis deux ans a été bouleversé et continu de l'être.
Il y a d'une part la fuite vers la qualité, c'est le facteur fondamental de l'évolution du dollar américain.
C'est pourquoi nous sommes favorables à une répartition confortable en dollars américains pour cette raison, et puis l'autre versant, il y a la deuxième économie du monde qui souhaite se tirer de sa situation précaire par l'exportation, et l'amener là-bas et plus faible.
Et puis, on parlait de Tesla et de certains de ses problèmes. Quand on considère ce qui se produit en Europe, la crise existentielle que connaît le secteur de l'automobile, et quand on commence à conjuguer tous ces éléments, cela commence à influencer les dynamiques d'échanges commerciaux entre pays. Voilà comment vous pouvez calculer essentiellement le déficit.
- Brad Simpson répond à d'autres questions sa stratégie de marché dans quelques instants. C'est toujours vos propres recherches avant de prendre une décision de placement.
À présent un coup d'œil sur les marchés.
Voici la carte thermique de la plate-forme avancée qui vous permet de visualiser les actions qui évoluent sur l'indice TSX 60 en fonction du cours et du volume.
Il y a du vert à l'écran pour certains titres du secteur de l'énergie.
Avec une hausse des cours. CNQ est en hausse, ainsi que Enbridge. À la droite, il y a des activités d'achat dans le secteur financier.
Ensuite, plus à droite, secteur de la technologie, Shopify, BCE Telus progresse, à présent l'indice S&P 500. Voyons clients il évolue. Tout en haut, dans le secteur de la technologie, certains des grands titres, Google, NVIDIA sent légèrement sous pression dans le cas de NVIDIA, à métaux. C'est propre plus pour alimenter des logiciels d'intelligence artificielle et les centres de données afin de rivaliser avec NVIDIA.
Il y a donc une certaine faiblesse de ce côté-là.
Quant aux biens et services cycliques, que cela est également en recul après l'annonce que des expéditions de son usine de Shanghai ont diminuée en avril. Disney est également en baisse après que les bénéfices de son activité de diffusion continuent et étaient éclipsés par la baisse de son activité de télévision traditionnelle. Brad Simpson de Gestion de Patrimoine TD répond à vos questions sur la stratégie de marché.
Selon vous, quel est le secteur le plus sous-évalué sur ce marché?
- Je n'allais pas le dire, mais c'est vraiment une question de dispersion. Quand on a passé en revu lundi CCP TSX, le secteur financier est fortement os aujourd'hui. Et si vous considérez les six grandes banques qui ont eu sept trimestres de croissance négative, de croissance de leurs actions et dévalorisation ne reflète, il s'agit, au niveau dévalorisation de l'un de nos thèmes permanents.
Cela, pour moi, l'effet sur les marchés boursiers qui sont tellement en défaveur, les marchés boursiers canadiens, on commence avoir un retour des flux, et je crois que si l'on a un horizon temporel, encore une fois, quand on considère le monde comme un investisseur, cela a du bon sens. Un deuxième élément, bien sûr, c'est que il y a certains éléments qui sont en défaveur, les services publics par exemple, un moment vont commencer à remonter. Et puis, nous avons étudié le moyen terme. Il y a une chose, quand on considère la situation, s'économisant sur l'exposition factorielle en tant qu'entreprise. Donc nous demandons quel est l'ADN d'un investissement.
Quand vous songez… bon, la dynamique, la croissance très forte, lorsque la qualité est un facteur, on n'en tient compte dans la répartition. Mais ce ne sont pas des mécanismes pour synchroniser le marché, il fonctionne très mal en ce sens. Mais exposition factorielle nous permette de déterminer si dévalorisations dans un secteur sont en rendez-vous, et si vous commencez à assister à une dynamique alliée à ces facteurs, c'est une idée de Halter. Nous en avons beaucoup parlé. Nous pensons qu'il est nécessaire de s'assurer que la répartition est basée sur un secteur de qualité et sur la nécessité d'avoir une exposition au secteur valeur du marché, lequel, typiquement commence à évoluer lorsque que l'on aborde un stade précoce. On a beaucoup parlé.
C'est la limite qui s'estompe entre l'économie de fin de cycle et l'économie de début de cycle et la ligne continue de s'estomper. Mais nous pensons, et je dirais qu'il s'agit des points d'entrée, des occasions à cause dévalorisation faible.
- Alors que pensez-vous du secteur des matières premières?
- Le point de départ… il y a deux façons de considérer les produits de base.
Il y a tout un milieu de négociation, de spéculation ce matin première, ce n'est pas notre spécialité. Nous avons une répartition d'actifs stratégiques et une répartition d'actifs dynamiques dans les produits de base, c'est-à-dire que des produits de base nous plaisent beaucoup en tant qu'investissement, et quand nous avons rédigé notre rapport de perspective, prospective annuelle plutôt, nous avons préconisé la sur pondération des produits de base. Pourquoi? D'abord à cause de la géopolitique, des problèmes géopolitiques dans le monde. Par ailleurs, si l'on remonte un en arrière, rappelez-vous qu'on a faits, qu'on agite un en avant, se demandant combien, où nous entrons plutôt un an après. Nous pensons que les États-Unis seraient en récession, ce n'est pas le cas. Donc la demande de cuivre par exemple à beaucoup de bon sens, si vous considérez la volatilité du cours du pétrole avec la guerre au Moyen-Orient cela fait subir une pression court du pétrole. Ça fluctue bien sûr, mais nous pensons que cela va continuer de présenter une occasion. Donc dès le départ, je crois que le portefeuille de beaucoup d'investisseurs ne comporte pas d'exposition dynamique aux produits de base à des fins de diversification et nous croyons vraiment que c'est une mesure très sage.
Donc nous tapons du poing sur la table sur ce sujet. À long terme, cela a eu beaucoup de bon sens. Et quand nous considérons le court terme, mettons les trois à six mois à venir, entre l'élection américaine qui s'en vient, la guerre au Moyen-Orient qui semble devoir se poursuivre, et ce que l'on perd de vue en cours de route, c'est la guerre en Ukraine, et puis il y a l'activité entre la Chine et la Russie, et les achats massifs d'or par les banques centrales de ces deux pays et les efforts continus, nous allons assister à cela pendant très longtemps en vue d'exercer une pression sur le dollar américain comme monnaie de réserve. Tous ces éléments, au plan de la diversification, au plan du calendrier, au plan de la pertinence des couvertures, couverture à l'égard de l'actualité géopolitique, des portefeuilles d'actions long courent au niveau de la Duration, au niveau des titres de créance, ce sont d'excellentes façons de couvrir des portefeuilles. La meilleure façon de couvrir les risques géopolitiques, c'est d'avoir un portefeuille à gestion dynamique de produits de base. Tous ces éléments beaucoup bon sens mis ensemble.
- Brad, merci beaucoup pour ces aperçus.
- Je vous en prie.
- Merci à Brad Simpson de Gestion de Patrimoine TD.
Comme toujours fêtent vos propres recherches avant de prendre des décisions de placement.
Si nous n'avons pas répondu à votre question aujourd'hui, nous allons tâcher d'y répondre dans une émission future. Restez à l'écoute. Demain, David Sekera de MorningStar Research répond à vos questions sur les actions américaines.
Je vous rappelle que vous pouvez nous les poser en tout temps par courriel à moneytalklive@td.com. Merci et à demain.