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(musique) Bonjour, ici Greg Bonnell. Bienvenue à Parlons Argent en direct, une émission de Placements directs TD. Chaque jour je reçois des invités de toute la TD. Donc nous expliquons ce qui fait bouger les marchés et nous allons répondre à vos questions. Dans le cas de l'émission d'aujourd'hui, nous discuterons des opportunités de potentiel pour les investissements avec Colin Lynch de TD.
Anthony Okolie va nous parler du marché immobilier canadien.
Et Caitlin Cormier va nous montrer comment atteindre nos objectifs d'investissement.
Bienvenue donc à Parlons Argent en direct.
Et donc allons-y. Commençons par faire le point sur les marchés. Indice composite TSX, en tient bien, à la hausse, on n'en est à 41,58, et BlackBerry a des nouvelles, une hausse de 8,31 %. Barrick Gold tient bon à 24 48, une hausse de 1,9 %.
C'est à la hausse.
Le S&P 500, tant qu'on va avoir des chiffres de l'inflation américaine demain.
À la baisse, de 0,31 %. Le Nasdaq la même chose à peu près.
0,3 % de baisse. Une faiblesse dans les fabricants de puces électronique aujourd'hui. NVIDIA et 3 % la baisse pratiquement.
Ça, c'est votre mise à jour sur les marchés.
Au-delà des obligations et qu'il existe une classe d'actifs connus sous le terme d'alternative, qui peut retenir tout jusqu'à [---]. Colin Lynch se joint à nous maintenant pour discuter des opportunités potentielles. Bienvenue.
- Merci, Greg de m'accueillir. C'est la première fois que je vous invite depuis votre nouveau titre. Parlez-nous un peu de ce domaine alternatif. - oui, c'est un domaine enthousiasmant.
Donc nous pouvons investir dans cette classe d'actifs, nous avons donc l'immobilier canadien, international, les hypothèques commerciales, la dette privée qui offre donc des compagnies privées, d'investissement, et l'infrastructure également.
C'est une catégorie d'actifs énormes, de l'énergie renouvelable, des transports, les infrastructures sociales, transport etc. avec les routes. Quand on prend du recul, cette catégorie d'actifs, en plus d'être publiquement négocié font parti des thèmes centraux et partout dans le monde, participe à la politique énergétique pointant par exemple logement. En- , un rappel, la possibilité d'aller plus loin avec cela, et c'est tout à fait mon domaine en ce moment.
C'est un espace incroyable, car non seulement peut-on offrir les solutions du côté donc de la politique aussi, mais les investisseurs comprennent que cet espace joue un rôle très intéressante de diversification et donc un objectif vraiment attrayant quand on rendement également. Vous avez mentionné des infrastructures, ce qui est intéressant, nous le savons en Amérique du Nord, nous avons donc une infrastructure qui peut parfois donc devoir être remise à niveau et des gouvernements qui ont besoin d'espèces.
Sous tués, et la transition. Nous avons toutes sortes de transition énergétique, et de nouvelles formes. Certaines formes existent depuis un moment.
Ça, en fait ça a l'échelle, à grande échelle.
Donc les investisseurs en infrastructures peuvent y participer et ça permet par exemple de miser sur des actifs existants et aussi les nouveaux actifs et que les nouveaux sites à développer et les rendements sur les nouveaux sites tendent à être très attirante. Et le solaire, c'est un élément de l'équation de l'énergie renouvelable. En parle des éoliennes également, des biocarburants, et du captage et de l'entreposage de cette énergie, toute la technologie des batteries par exemple, les investisseurs dans cet espace en l'occasion d'aider les gouvernements à miser là-dessus.
Et à assurer donc la viabilité de la réseau d'électricité.
Par exemple, certains de ces systèmes réseaux batteries peuvent fournir de l'électricité à des moments de panne du réseau par exemple il y a les transports.
Parlant d'installations portuaires, aéroportuaires, autoroutières et les installations que l'on fréquente lorsqu'on se déplace dans ses réseaux de transport, et là, il s'agit d'éléments de besoins de bases qui sont associées à la vie quotidienne, mais avant que ses besoins de base soient satisfaits, on ne peut pas vivre notre vie quotidienne, notre infrastructure représente la possibilité d'offrir donc un mode de vie de haute qualité, que ce soit le transport, l'énergie, donc l'agriculture même.
- Oui, la personne habituelle, quitte à me normal pas comprendre ce qu'elle infrastructures. Parlez-nous des éléments plus obscurs. Nous connaissons par exemple marcher du revenu fixe où l'on offre donc une dette négocie publiquement des compagnies, de même des compagnies privées qui ne sont pas publiquement négociées en besoin également d'emprunt il pourrait s'agir de plus petites entreprises qui ne sont pas négociées à la bourse qui souhaite donc obtenir un prêt de différentes bailleur de fonds, c'est un univers où nous investissons, c'est beaucoup plus vaste en général. Il s'agit d'entreprises qui fonctionnent à grande échelle et qui pourrait donc avoir des chiffres d'affaires à neufs ou 10 chiffres et nous avons l'occasion donc de fournir donc une dette des bailleur de fonds pour ces compagnies.
Mais du côté des actions, il y a des investisseurs qui investissent dans les énergies renouvelables par exemple, certains de ces investisseurs utilisent la dette également. Alors plutôt que de mettre l'argent, toutes les sommes de l'avant, on utilise une certaine partie comme emprunt et ça permet d'amplifier donc la chose, plutôt que d'investir dans un portefeuille, on peut investir dans trois ou quatre. Et cela permet une diversification des rendements plus élevés. Mais du côté de la dette, cela permet un autre investisseur également de participer à certains de ces montages vers les énergies renouvelables sans avoir donc une dette plus élevée du côté de l'emprunteur.
Cela permet d'avoir une exposition accrue à certains de ces systèmes important du point de vue de la propriété directe, par exemple en infrastructures ou du côté de la dette. Peut-être un peu plus faible du côté du risque et du rendement, mais peut-être que ça pourrait convenir à certains investisseurs. Donc la dette privée, c'est intéressant parce que ça peut jouer sur plusieurs fronts, que ce soit du côté de l'immobilier, de l'infrastructure, et des compagnies qui offrent des dettes assez compagnies ou des compagnies détenues de manière privée qui permette d'avoir un portefeuille pas mal diversifié d'exposition et donc de limiter le risque tout en recherchant des occasions donc décotées de la dette également.
- Vous avez mentionné l'immobilier également, c'est comme ça qu'on reconnaît depuis longtemps. Vous étiez dans l'immobilier. Qu'en est-il de l'investissement hypothécaire?
- Oui, cette catégorie d'actifs a vraiment vécu une renaissance, peut-être pas un terme très examen parce que ça fait longtemps que ça existe les hypothèques commerciales, éléphants hypothèquent commerciales au Canada en particulier ont connu une croissance importante depuis 10 ans et plus précisément depuis cinq ans.
Pourquoi? D'abord parce que les rendements ont été absolument incroyables et ça, évidemment, vous êtes emportés par l'intérêt plus élevé, et aussi parce qu'il y a beaucoup de développement au pays, que ce soit la mise en chantier de nouveaux appartements locatifs, de condos, les promoteurs ont besoin de financement hypothécaire, et certainement de taux variable parfois à des termes limités, cela attire donc des taux d'intérêt plus élevé, car cela suit des taux variable évidemment. Donc les fonds hypothécaires en général en profitaient de cet environnement à taux plus élevé et cela été très attrayant. Quant à la présentation en tant que de l'augmentation des rendements et des revenus, dans tous pour les investisseurs. Cela ne veut pas dire que les fonds hypothécaires n'ont pas participé dans d'autres espaces. Par exemple, les hypothèques pour des centres commerciaux, il y a beaucoup de types de centres commerciaux, il n'y a pas seulement des centres commerciaux fermés, il y a aussi donc le détail essentiel pour les pharmacies, les épiceries, donc le fonds hypothécaire peut participer à offrir donc des prêts à cet espace, et puis il y a l'industriel, les entrepôts et on a vu la croissance du commerce électronique et l'accélération importante du besoin donc d'entrepôt, et ça, ça permet aussi donc au promoteur d'avoir accès à des dons d'avoir accès aussi à du financement interne avec des taux plus fixes, mais aussi d'ajouter donc à des taux variables, il y a aussi des espaces bureaux. En ce moment il n'y a pas beaucoup de prêteurs hypothécaires qui se portent volontaires, mais dans le passé, c'était certainement important comme espace. Et le taux de défaut Canada a été très contenu, les rendements ont été vraiment élevés et maintenant les fonds hypothécaires espèrent capter et cristalliser ces rendements élevés qui ont été donc engendrés par les taux variables mais au fur et à mesure qu'il y a un plateau quand l' occasion maintenant se présente donc d'immobiliser et de participer à des taux fixes parce que dans trois ou cinq ans, lorsque les taux baissent, les choses ne sont pas aussi attrayantes de ce côté-là.
- Donc il y a beaucoup à dire ici et nous allons accueillir vos questions pour Colin dans quelques instants. Et vous pouvez poser des questions en tout temps.
Et vous n'avez pas à vous gêner.
MoneyTalkLive@TD.com ou dans la boîte à questions bas de votre écran. Maintenant un coup d'œil sur les marchés.
Dans l'espoir de [---] le champ de la recherche annoncée de nouveaux serveurs lors de sa conférence à Las Vegas.
[---] Amazon et Microsoft à réaliser des gains considérables. La compagnie Alphabet, la compagnie mère de Google est à l'écran par les actions de BlackBerry sont en mouvement aujourd'hui. La société basée à Waterloo en Ontario à collaborer avec AMD sur la technologie robotique. Les entreprises à terme, veulent améliorer les performances et la fiabilité en temps réel des systèmes robotiques et tout ça ensemble, le marché semble aimer ça, elle n'avait que 5 % de rose. Une nouvelle enquête suggère que l'optimisme des petites entreprises [---]. Les entreprises interrogées par la fédération tant sur les entreprises indépendantes ont subi des pressions inflationnistes, notamment le coût de la main-d'œuvre parmi leur principale préoccupation.
Alors voyons comment les marchés se comportent.
Le TSX composite, continue à bien se portait et au sud de la frontière, S&P 500 à la baisse de 14 points, c'est pas trop dramatique, mais on attend les chiffres de demain. Maintenant, nous allons passer aux questions.
Quelles sont les options des catégories B et C pour attirer les locataires?
- Ça dépend. Parlons des catégories et d'infrastructures. Il y a peu d'options.
Si cet immeuble de catégorie C est vacant, s'il y a des locataires, si c'est occupé, si les gens paient le loyer, c'est formidable.
Il y a des immeubles de classe B, de bureaux, de classe B dans les plus petits centraux envoient une présence au bureau dans ces environnements la. On pourrait créer en fait une proposition assez attrayante. Je dirais que c'est l'exception à la généralité. Si on a un immeuble de bureaux de classer aujourd'hui, on peut avoir quelques options. D'abord vous investissez pas mal de capital pour passer de classer à classe B. Vous essayez d'encourager les locataires en leur donnant donc des locations très peu chères.
Peut-être deux ou trois dollars le pied carré, mais tous les coûts associés à la location de l'immeuble, vous en tant que propriétaire, vous êtes payés rien.
Non que l'autre option, c'est d'essayer de convertir l'immeuble de classe C. Parfois ça pourrait ne pas convenir et ça peut coûter de l'argent et ça prend du temps.
Alors tandis que l'on convertit et compare l'argent, on ne reçoit rien. Mais ce qu'on espère, c'est qu'après une conversion, après une rénovation, cela est lucratif.
Et la quatrième possibilité, c'est de détruire et de recommencer. Ces options ne sont pas vraiment agréables ni l'une ni l'autre.
- C'est vrai. Pour la classer, libre de classer, c'est un peu dur. Pour les bureaux de classe B, c'est un peu mieux mais cela dépend de quelques autres.
. D'abord l'endroit, la géographie. Dans un marché qui est plus serré, il y a beaucoup plus de possibilités d'attirer des locataires, selon la situation, emplacement, c'est allé formidable, c'est juste métaphorique, ou à la station de tramway, c'est formidable et ça attire les locataires davantage. Cela ne veut pas dire que vous n'allez pas devoir mettre de l'argent dans les mains pour le rendre plus attrayant. Ça ne veut pas dire non plus que vous allez louer l'ensemble des locaux.
Vous pourriez donc rechercher d'autres possibilités de conversion, bureaux, sciences de la vie ou sciences de la santé, des espaces de travail collaboratif, dans diverses possibilités commerciales. Mais vous avez davantage d'occasions avec une classe B qu'une classer.. En résumé, la meilleure chose, c'est avoir des bureaux de classe à. Si vous êtes en classe B ou C, c'est plus dur.
Et plus vous descendez dans des catégories de bureaux plus c'est dur.
- J'ai une autre question ici. Quel est l'impact des restrictions à l'immigration étudiante sur l'immobilier?
- Man, certainement ce n'est pas négligeable.
Donc il y a un certain impact, ça, c'est vrai. Mais je prendrai du recul aussi.
Et je vous dirai que nous avons eu dans toute l'immigration des étudiants, que ce soient des réfugiés dans des hauts niveaux de migration, à des niveaux récents que nous n'avions pas vus depuis des dizaines d'années. Je crois qu'on a dépassé la capacité du pays d'absorber 1 million de nouvelles personnes par année.
Du point de vue de la demande, de l'offre de la demande pour le logement. On n'en est pas là. On ne peut pas année après année accueillir 1 million de personnes de plus. Donc il fallait faire quelque chose et je crois que le gouvernement a pris certaines des mesures déjà. Du point de vue des étudiants.
Ce que le gouvernement a fait, c'est tenté de nous faire revenir au nous en étions avant la pandémie. Et déjà avant la pandémie, c'est à des niveaux d'immigration assez robuste.
L'autre chose que je noterais, c'est que du point de vue des étudiants internationaux qui étudient dans les universités, dans des collèges, ils étudient aussi dans d'autres établissements privés qui se présentent comme des établissements d'enseignement, par exemple des établissements d'apprentissage des langues.
Les universités ont-elles souffert du manque d'inscription d'étudiants internationaux? Oui, mais pas autant que les collèges certainement pas autant que les autres établissements. Alors lorsqu'on voit où les étudiants vont étudier et où le gouvernement met l'accent, le gouvernement met l'accent sur cette troisième catégorie, ces écoles de langue, ces établissements qui se vendent comme étant des établissements d'enseignement, et où ces étudiants, la question devient : où les étudiants vivent-ils étudient-ils vraiment? Les étudiants internationaux étudient à l'université, ils vivent à Toronto, dans le centre-ville, ou est-ce que les étudiants qui étudient dans des écoles de langue, les écoles de troisième niveau, où vivent-ils? Et je dirais qu'il y aura un impact, mais moins prononcée que ce qu'on pourrait penser. La raison c'est que les étudiants vont toujours être à des niveaux assez robustes quant aux étudiants internationaux, elles sont très peu nombreuses, et lorsque les étudiants viennent d'ailleurs pour étudier dans des établissements de troisième catégorie, ils ne vivent pas aux mêmes endroits que les résidences étudiantes pour les universités autant que les endroits près des gros établissements d'enseignement.
Alors ce sera un impact peu prononcé par rapport à la crise du logement très sévère causé par le manque d'offres.
- C'est vraiment très intéressant, merci à reviendra à vos questions dans un instant.
Comme toujours assurez-vous de faire vos propres recherches avant de prendre des décisions d'investissement.
On peut nous envoyer un message à moneytalklive@td.com. Pas son secteur éducatif d'aujourd'hui. Si vous souhaitez rester sur la bonne voie pour atteindre vos objectifs, CourtierWeb dispose d'outils qui peuvent vous aider. Caitlin Cormier formatrice à l'éducation clientèle nous donne des conseils. - en tant qu'investisseur direct, vous devenez votre propre gestionnaire de portefeuille mais ça CourtierWeb on a des outils qui peuvent vous aider. Allons-y.
Nous allons étudier l'onglet objectif aujourd'hui. Et nous allons cliquer sur commencer pour en arriver à un objectif.
Alors vous pouvez nommer votre objectif.
Moi, je vais choisir retraite pour aujourd'hui, les pivots mettaient donc le revenu que vous faites maintenant, l'âge de votre retraite prévue. Et ici, ça va vous demander ce qu'on aimerait gagner comme revenus à la retraite. Ça nous donne des idées. Alors peut-être 80%, comme revenus, donc je vais donc nommer mon objectif.
Là, il faut définir son profil d'investissement. Il faut savoir quelle est sa tolérance au risque, son horizon temporel, et là vous pouvez voir quel portefeuille pourrait être les plus appropriés. Vous pouvez les comparer en les mettant l'un à côté de l'autre pour voir ce qui aurait le plus de sens pour vous.
Ça donne pas mal d'informations sort l'historique, niveau de risque que la répartition d'actifs et la bourgeoisie c'est le profil qui vous convie le mieux et vous cliquez sur continuer. Puis, vous notez combien d'argent vous avait déjà accumulé pour épargner pour cet objectif.
30 000, disons, on met le montant de contribution que l'on place dans ce compte chaque deux semaine par exemple.
On va cliquer sur sauvegarder, on continue, et voilà la projection pour le plan. Ça nous dit quand même faut avoir pour la retraite et quel est le montant prévu. Il y a évidemment un manque entre les deux, une lacune entre les deux, faut contribuer peut-être davantage alors on peut ajuster et puis on peut passer sur un aperçu des hypothèses. Cela montre le montant moyen de RRQ et de sécurité de la vieillesse, et puis d'autres revenus. Par exemple si vous avez un régime de retraite, vous savez combien vous allez recevoir par année, peut ajuster cela. Si vous avez des propriétés locatives, si vous avez travaillé un peu à la retraite, vous ajoutez. Vous pouvez aussi changer votre espérance de vie ici.
Et puis si vous savez quel est le montant de votre RRQ ou de sécurité vieillesse, vous pouvez l'ajouter.
Là l'objectif est réajusté selon donc ses revenus de retraite. Peut-être que là vous pouvez jouer un peu avec les chiffres, travailler une couple d'années de plus, prendre un peu moins la retraite. Vous voyez là on arrive pratiquement ce qu'il faut et la contribution est un petit peu plus élevé, ça nous permet de comprendre ici comment peut ajuster plus facilement le plan et comment arriver à son objectif.
Ici, on commence avec cela.
On peut aller au tableau de bord, et puis voir avec le temps si on est sur la bonne voie pour atteindre l'objectif, et puis on peut aller voir les détails. Et faire des ajustements avec le temps, et les changements dans la vie, on peut faire des changements de tout élément qui pourrait avoir été modifié. Peut-être que vous êtes un peu plus prudents, peut-être que vous voulez donc dire que vous aurez un peu plus de temps. Alors cet outil formidable pour les investisseurs afin d'atteindre les objectifs prévus.
- Merci beaucoup, Caitlin Cormier, formatrice à l'éducation client chez Placements directs TD. Pour en savoir plus pouvez consulter le centre d'apprentissage de CourtierWeb ou utiliser ce code QR pour accéder à la page YouTube de placements directs pour trouver plus de vidéos éducatives et de ressources d'investissement. Maintenant nous revenons avec Colin Lynch et en accord évocation sur les investissements.
J'aimerais savoir ce que votre invité pense des centres intelligents.
-, Dans l'espace de détail, comme je l'ai dit, c'est très dynamique, très diversifié, on a les centres d'achat avec les centres commerciaux fermés puis des formats de détails essentiels, les pharmacies etc., les épiceries. Vous pourriez avoir également et Dollarama, les pharmacies donc comme je l'ai dit, succursale bancaire. Ces formats ont eu de très bons résultats, mais le format de détail central s'est très bien comporté, même pendant la pandémie, et continue de le faire. La vérité c'est que les détaillants dans ces centres ont très bien fonctionné. PouRRQuoi, le volume et le prix. Les prix ont été à la hausse, à une inflation ces détaillants captaient une certaine partie du volume. Il est à la hausse dans tous les centres de détail.
Donc ce secteur s'est très bien débrouillé.
On le voit nécessairement dans la valeur?
Pas nécessairement. PouRRQuoi, parce que les revenus générés par ces centres à la hausse de manière substantielle, ainsi les tendons d'immobilisations qui sont à la hausse, les taux de capital.
Parce qu'en fait les taux d'intérêt sont à la hausse. Donc le renaît à la hausse, les taux d'intérêt sont à la hausse et puis la valeur finalement reste la même. Ce que ça veut dire à l'avenir, qu'on a la même niveau de force, de robustesse, de vente et de dépenses de consommateurs, envoie un aperçu donc des perspectives assez positives pour les centres de détail.
- Merci beaucoup.
Alors on pense aussi au centre de détail intelligent.
- Quand se présente donc le secteur immobilier, est-ce que le secteur immobilier va rester aussi élevé qu'il est en ce moment?
- Ça change tout le temps, vous savez. Il y a une permutation constante. C'est une très bonne question mais la question la plus pertinente pour les bureaux en tout cas, ce qui se trouve dans les bureaux?
Par exemple vous pourriez avoir… revenons en arrière, trois en arrière. On a vu des taux qui étaient à des niveaux relativement bas comme vous savez mais on était en plein milieu d'une pandémie.
Et ce qui s'est produit, c'est que la valeur des bureaux a commencé à se négocier à la baisse, et ce qui était plus important en fait, c'est au bout du compte qui était dans ce bureau. Qu'est-ce qui était important dans cet emplacement, dans cette ville. Et ça, ça a un effet sur le caractère attrayant de l'immeuble pour les locataires qui ont tendance à louer davantage et structurer hausse valeur de cet actif. Le facteur le plus important bout du compte, évidemment c'est les taux s'il baisse sera très positif, mais s'il y a un taux d'occupation élevée, c'est encore plus important.
- merci beaucoup. Une autre question.
Est-ce qu'on s'attend à davantage de fusions-acquisitions dans le secteur immobilier?
- Avec une réserve importante et que je n'ai pas de boule de cristal, mais je peux vous dire que si vous étudiez ou l'étau se négocie en ce moment et la valeur de l'actif, et le fonds immobilier et leur valeur nette actif. Il y a une disjonction. Et cette disjonction n'est pas la première fois qu'on la voit.
Donc chaque fois qu'il y a des périodes d'incertitude économique qui se produise, c'est donc une forme d'investissements immobiliers qui sont à la baisse. Donc ce qui se passe par la - , c'est que plusieurs [---] regards les entités publiques et voit cette disjonction et passe à l'achat. Donc sous toutes réserves évidemment, ce que je dirais, c'est que ça ne me surprendrait pas s'il y avait plus de fusions-acquisitions dans le secteur de l'immobilier parce qu'il y a des entités pas seulement des fonds d'obligations, mais de gros investisseurs qui ont du capital à mettre en marche et il y a des entités négociées publiquement qui ont une valeur beaucoup moindre considérablement moindre qu'il y a de trois ans réglés dans le passé on a toujours vu les marchés publics avoir bien davantage de correction plus importante et donc des valeurs par la - beaucoup plus importante également. Et donc on anticipe cela.
- D'accord. Et d'autres questions pour Colin Lynch ou l'immobilier?
Fait vos propres recherches avant de prendre des décisions d'investissement.
On vous rappelle que vous pouvez nous joindre en tout temps.
Si vous avez des questions avec nos invités veulent vous répondre. Donc envoyez-nous vos questions de deux manières. D'abord vous pour nous envoyer un courriel en tout temps à moneytalklive@td.com ou dans la boîte de questions au bas de votre écran.
Vous n'avez qu'à écrire vos questions et tapez sur envoyer. On verra si notre invité peut y répondre.
Alors la vente de résidence semble bien aller en ce moment.
Y a-t-il une reprise?
- Ne regardons avec Colin Lynch immobilier investissement, et bien les cours de l'immobilier sont beaucoup plus solides que cela qu'on s'attendait. Donc nous avons connu donc un printemps très chaud, donc beaucoup plus anticipée, plus précoce que prévu, ça stimulait la demande publique en Ontario d'abord. En premier trimestre est pris à la hausse, au Québec et dans une partie des provinces atlantiques, on avait une plus grande robustesse et cela compensait les faiblesses qu'on a vues en Ontario du côté des prix. Donc on s'attend à des gains modestes pendant la saison typique du printemps et ça s'aligne sur les données préliminaires étant donné la demande refoulée qu'on a vue en Colombie Britannique et en Ontario. Cependant, les données économiques conseillent la prudence en attendant, donc la prochaine décision de la banque centrale, car cela pourrait avoir un impact négatif à court terme.
Et économique pense que la Banque du Canada a commencé à baisser le temps juillet cela pourrait donner de l'élan à l'immobilier canadien. On parle aussi des conditions de difficultés atroces sur plusieurs marchés qui pourraient nuire aucun en matière de l'immobilier au Canada.
Il y a aussi des disparités régionales qui vont persister. Les prix connaissent une bonne performance dans les prairies, en Alberta. La province continue à bénéficier la croissance de la population la plus importante au pays, la plus rapide et cela contribue donc aux activités immobilières.
Donc une demande importante et une offre limitée va continuer à pousser le Québec mais c'est la question de l'accessibilité qui peut nuire par contraste, alors qu'en Ontario l'offre et la demande s'équilibre avec des conditions difficiles qui mèneront à un rythme moins important au Canada, moins rapide. On s'attend donc en Colombie Britannique en Ontario des difficultés que les gouvernements provinciaux vont tenter de contrôler l'achat par les étrangers, et cela va avoir un impact ça pourrait aussi avoir un impact sur les marchés locatifs.
- Merci. - régulateur des perspectives dans ce monde.
- Oui, il y a des risques, mais c'est tout de même assez politique. Nous croyons qu'il y a des risques qui sont donc vraiment mitigés par les taux d'intérêt à la baisse et une demande vraiment refoulée. Les marchés ne sont pas toujours positifs aux demandes. Par exemple la Banque du Canada qui a mis de l'avant des conditions positives au printemps passé, et pourrait donc il y avoir une autre surprise à la hausse, particulièrement s'il y a des taux coupés par la Banque du Canada au printemps. - merci beaucoup Anthony. Maintenant une mise à jour des marchés.
Nous avons une pression à la baisse. Donc 56.
, Qui est à la hausse aujourd'hui, les matériaux de base, First Quantum,… le prix de l'or continu à atteindre des sommets, le prix des métaux également se ralliait à cela.
Au-dessus de la frontière, voyant scanner du S&P 500.
Il y a un autre rapport sur les créations aux États-Unis, donc un rapport… un des grands fabricants depuis sept à la baisse.
C'est l'inflation en fait qui a peut-être joué ici sur les investisseurs quelque peu.
Pour plus d'informations, allez voir événement sur le tableau de bord.
Il y a une question ici. L'accessibilité, est-ce que c'est un enjeu? Est-ce qu'on peut faire quelque chose pour régler cette question?
- Oui, il y a des choses qu'on peut faire, bien sûr.
Ça ne va pas hélas donner des résultats demain, ça va prendre plusieurs années pour régler la question de l'abordabilité.
L'an passé nous avons des recommandations pour le rapport fédéral, pour le gouvernement fédéral, il y en a 15, on a vu une de ces recommandations, une partie d'une autre qui est mise en œuvre je pense que les 15 devraient être mis en œuvre pour qu'on voit des changements considérables. Nous avons vu la GST, la taxe de vente harmonisée, et la question de la GST qui a été enlevée, éliminé, il y a aussi l'approvisionnement en matériaux de construction et la main-d'œuvre en construction. Et l'importation de main-d'œuvre pays qui pourrait nous aider à accélérer la chose. Le gouvernement commence à parler de construction modulaire, mais on a besoin que les gouvernements accélèrent le processus de permis parce qu'il y a des éléments de la municipalité découd donc dans la démarche d'obtention de permis qui sont importantes, temps qui sont imposés par les municipalités. Il faut se plonger là-dessus, les 15 recommandations doivent être actionnées. PouRRQuoi? Parce que pendant des années des années, nous avons mis l'accent sur la demande.
Nous avons dit qu'il fallait rendre l'achat des propriétés plus faciles. Puis par la - on a dit qu'il faut que ce soit plus difficile accédé à la propriété.
Selon le gouvernement qu'on avait.
Maintenant reconnaît qu'il faut que ce soit plus facilement facile, ça ne résout pas le problème. Nous n'avons pas entre-temps bâti assez et il faut maintenant faire des mises en chantier. Le problème c'est qu'on ne peut pas simplement claquer des doigts et voilà avoir 2 millions de nouveaux logements. Ça prend du temps. Mais un, ça prend du temps, de ça va prendre plus de temps si on ne dispose pas de tous ces outils qui permettent d'accélérer donc la mise en chantier de nouveaux logements.
- c'est un plaisir de nous avoir avec vous, merci beaucoup de nous parler de l'immobilier, infrastructures exactes et privées.
J'aurais plaisir à vous accueillir à nouveau.
- Merci ça m'a fait plaisir d'être avec vous.
- Donc potentiellement Colin Lynch,.
Assurez-vous de faire vos propres recherches avant de prendre toute décision de placement. Reste à l'écoute demain pas Andrew Kelvin de placement direct TD sera notre invité et nous parlera de sa réaction à la suite du communiqué la Banque du Canada en matière de taux.
Et donc ici même à Parlons Argent, merci d'avoir été avec nous et on se. voit demain
Anthony Okolie va nous parler du marché immobilier canadien.
Et Caitlin Cormier va nous montrer comment atteindre nos objectifs d'investissement.
Bienvenue donc à Parlons Argent en direct.
Et donc allons-y. Commençons par faire le point sur les marchés. Indice composite TSX, en tient bien, à la hausse, on n'en est à 41,58, et BlackBerry a des nouvelles, une hausse de 8,31 %. Barrick Gold tient bon à 24 48, une hausse de 1,9 %.
C'est à la hausse.
Le S&P 500, tant qu'on va avoir des chiffres de l'inflation américaine demain.
À la baisse, de 0,31 %. Le Nasdaq la même chose à peu près.
0,3 % de baisse. Une faiblesse dans les fabricants de puces électronique aujourd'hui. NVIDIA et 3 % la baisse pratiquement.
Ça, c'est votre mise à jour sur les marchés.
Au-delà des obligations et qu'il existe une classe d'actifs connus sous le terme d'alternative, qui peut retenir tout jusqu'à [---]. Colin Lynch se joint à nous maintenant pour discuter des opportunités potentielles. Bienvenue.
- Merci, Greg de m'accueillir. C'est la première fois que je vous invite depuis votre nouveau titre. Parlez-nous un peu de ce domaine alternatif. - oui, c'est un domaine enthousiasmant.
Donc nous pouvons investir dans cette classe d'actifs, nous avons donc l'immobilier canadien, international, les hypothèques commerciales, la dette privée qui offre donc des compagnies privées, d'investissement, et l'infrastructure également.
C'est une catégorie d'actifs énormes, de l'énergie renouvelable, des transports, les infrastructures sociales, transport etc. avec les routes. Quand on prend du recul, cette catégorie d'actifs, en plus d'être publiquement négocié font parti des thèmes centraux et partout dans le monde, participe à la politique énergétique pointant par exemple logement. En- , un rappel, la possibilité d'aller plus loin avec cela, et c'est tout à fait mon domaine en ce moment.
C'est un espace incroyable, car non seulement peut-on offrir les solutions du côté donc de la politique aussi, mais les investisseurs comprennent que cet espace joue un rôle très intéressante de diversification et donc un objectif vraiment attrayant quand on rendement également. Vous avez mentionné des infrastructures, ce qui est intéressant, nous le savons en Amérique du Nord, nous avons donc une infrastructure qui peut parfois donc devoir être remise à niveau et des gouvernements qui ont besoin d'espèces.
Sous tués, et la transition. Nous avons toutes sortes de transition énergétique, et de nouvelles formes. Certaines formes existent depuis un moment.
Ça, en fait ça a l'échelle, à grande échelle.
Donc les investisseurs en infrastructures peuvent y participer et ça permet par exemple de miser sur des actifs existants et aussi les nouveaux actifs et que les nouveaux sites à développer et les rendements sur les nouveaux sites tendent à être très attirante. Et le solaire, c'est un élément de l'équation de l'énergie renouvelable. En parle des éoliennes également, des biocarburants, et du captage et de l'entreposage de cette énergie, toute la technologie des batteries par exemple, les investisseurs dans cet espace en l'occasion d'aider les gouvernements à miser là-dessus.
Et à assurer donc la viabilité de la réseau d'électricité.
Par exemple, certains de ces systèmes réseaux batteries peuvent fournir de l'électricité à des moments de panne du réseau par exemple il y a les transports.
Parlant d'installations portuaires, aéroportuaires, autoroutières et les installations que l'on fréquente lorsqu'on se déplace dans ses réseaux de transport, et là, il s'agit d'éléments de besoins de bases qui sont associées à la vie quotidienne, mais avant que ses besoins de base soient satisfaits, on ne peut pas vivre notre vie quotidienne, notre infrastructure représente la possibilité d'offrir donc un mode de vie de haute qualité, que ce soit le transport, l'énergie, donc l'agriculture même.
- Oui, la personne habituelle, quitte à me normal pas comprendre ce qu'elle infrastructures. Parlez-nous des éléments plus obscurs. Nous connaissons par exemple marcher du revenu fixe où l'on offre donc une dette négocie publiquement des compagnies, de même des compagnies privées qui ne sont pas publiquement négociées en besoin également d'emprunt il pourrait s'agir de plus petites entreprises qui ne sont pas négociées à la bourse qui souhaite donc obtenir un prêt de différentes bailleur de fonds, c'est un univers où nous investissons, c'est beaucoup plus vaste en général. Il s'agit d'entreprises qui fonctionnent à grande échelle et qui pourrait donc avoir des chiffres d'affaires à neufs ou 10 chiffres et nous avons l'occasion donc de fournir donc une dette des bailleur de fonds pour ces compagnies.
Mais du côté des actions, il y a des investisseurs qui investissent dans les énergies renouvelables par exemple, certains de ces investisseurs utilisent la dette également. Alors plutôt que de mettre l'argent, toutes les sommes de l'avant, on utilise une certaine partie comme emprunt et ça permet d'amplifier donc la chose, plutôt que d'investir dans un portefeuille, on peut investir dans trois ou quatre. Et cela permet une diversification des rendements plus élevés. Mais du côté de la dette, cela permet un autre investisseur également de participer à certains de ces montages vers les énergies renouvelables sans avoir donc une dette plus élevée du côté de l'emprunteur.
Cela permet d'avoir une exposition accrue à certains de ces systèmes important du point de vue de la propriété directe, par exemple en infrastructures ou du côté de la dette. Peut-être un peu plus faible du côté du risque et du rendement, mais peut-être que ça pourrait convenir à certains investisseurs. Donc la dette privée, c'est intéressant parce que ça peut jouer sur plusieurs fronts, que ce soit du côté de l'immobilier, de l'infrastructure, et des compagnies qui offrent des dettes assez compagnies ou des compagnies détenues de manière privée qui permette d'avoir un portefeuille pas mal diversifié d'exposition et donc de limiter le risque tout en recherchant des occasions donc décotées de la dette également.
- Vous avez mentionné l'immobilier également, c'est comme ça qu'on reconnaît depuis longtemps. Vous étiez dans l'immobilier. Qu'en est-il de l'investissement hypothécaire?
- Oui, cette catégorie d'actifs a vraiment vécu une renaissance, peut-être pas un terme très examen parce que ça fait longtemps que ça existe les hypothèques commerciales, éléphants hypothèquent commerciales au Canada en particulier ont connu une croissance importante depuis 10 ans et plus précisément depuis cinq ans.
Pourquoi? D'abord parce que les rendements ont été absolument incroyables et ça, évidemment, vous êtes emportés par l'intérêt plus élevé, et aussi parce qu'il y a beaucoup de développement au pays, que ce soit la mise en chantier de nouveaux appartements locatifs, de condos, les promoteurs ont besoin de financement hypothécaire, et certainement de taux variable parfois à des termes limités, cela attire donc des taux d'intérêt plus élevé, car cela suit des taux variable évidemment. Donc les fonds hypothécaires en général en profitaient de cet environnement à taux plus élevé et cela été très attrayant. Quant à la présentation en tant que de l'augmentation des rendements et des revenus, dans tous pour les investisseurs. Cela ne veut pas dire que les fonds hypothécaires n'ont pas participé dans d'autres espaces. Par exemple, les hypothèques pour des centres commerciaux, il y a beaucoup de types de centres commerciaux, il n'y a pas seulement des centres commerciaux fermés, il y a aussi donc le détail essentiel pour les pharmacies, les épiceries, donc le fonds hypothécaire peut participer à offrir donc des prêts à cet espace, et puis il y a l'industriel, les entrepôts et on a vu la croissance du commerce électronique et l'accélération importante du besoin donc d'entrepôt, et ça, ça permet aussi donc au promoteur d'avoir accès à des dons d'avoir accès aussi à du financement interne avec des taux plus fixes, mais aussi d'ajouter donc à des taux variables, il y a aussi des espaces bureaux. En ce moment il n'y a pas beaucoup de prêteurs hypothécaires qui se portent volontaires, mais dans le passé, c'était certainement important comme espace. Et le taux de défaut Canada a été très contenu, les rendements ont été vraiment élevés et maintenant les fonds hypothécaires espèrent capter et cristalliser ces rendements élevés qui ont été donc engendrés par les taux variables mais au fur et à mesure qu'il y a un plateau quand l' occasion maintenant se présente donc d'immobiliser et de participer à des taux fixes parce que dans trois ou cinq ans, lorsque les taux baissent, les choses ne sont pas aussi attrayantes de ce côté-là.
- Donc il y a beaucoup à dire ici et nous allons accueillir vos questions pour Colin dans quelques instants. Et vous pouvez poser des questions en tout temps.
Et vous n'avez pas à vous gêner.
MoneyTalkLive@TD.com ou dans la boîte à questions bas de votre écran. Maintenant un coup d'œil sur les marchés.
Dans l'espoir de [---] le champ de la recherche annoncée de nouveaux serveurs lors de sa conférence à Las Vegas.
[---] Amazon et Microsoft à réaliser des gains considérables. La compagnie Alphabet, la compagnie mère de Google est à l'écran par les actions de BlackBerry sont en mouvement aujourd'hui. La société basée à Waterloo en Ontario à collaborer avec AMD sur la technologie robotique. Les entreprises à terme, veulent améliorer les performances et la fiabilité en temps réel des systèmes robotiques et tout ça ensemble, le marché semble aimer ça, elle n'avait que 5 % de rose. Une nouvelle enquête suggère que l'optimisme des petites entreprises [---]. Les entreprises interrogées par la fédération tant sur les entreprises indépendantes ont subi des pressions inflationnistes, notamment le coût de la main-d'œuvre parmi leur principale préoccupation.
Alors voyons comment les marchés se comportent.
Le TSX composite, continue à bien se portait et au sud de la frontière, S&P 500 à la baisse de 14 points, c'est pas trop dramatique, mais on attend les chiffres de demain. Maintenant, nous allons passer aux questions.
Quelles sont les options des catégories B et C pour attirer les locataires?
- Ça dépend. Parlons des catégories et d'infrastructures. Il y a peu d'options.
Si cet immeuble de catégorie C est vacant, s'il y a des locataires, si c'est occupé, si les gens paient le loyer, c'est formidable.
Il y a des immeubles de classe B, de bureaux, de classe B dans les plus petits centraux envoient une présence au bureau dans ces environnements la. On pourrait créer en fait une proposition assez attrayante. Je dirais que c'est l'exception à la généralité. Si on a un immeuble de bureaux de classer aujourd'hui, on peut avoir quelques options. D'abord vous investissez pas mal de capital pour passer de classer à classe B. Vous essayez d'encourager les locataires en leur donnant donc des locations très peu chères.
Peut-être deux ou trois dollars le pied carré, mais tous les coûts associés à la location de l'immeuble, vous en tant que propriétaire, vous êtes payés rien.
Non que l'autre option, c'est d'essayer de convertir l'immeuble de classe C. Parfois ça pourrait ne pas convenir et ça peut coûter de l'argent et ça prend du temps.
Alors tandis que l'on convertit et compare l'argent, on ne reçoit rien. Mais ce qu'on espère, c'est qu'après une conversion, après une rénovation, cela est lucratif.
Et la quatrième possibilité, c'est de détruire et de recommencer. Ces options ne sont pas vraiment agréables ni l'une ni l'autre.
- C'est vrai. Pour la classer, libre de classer, c'est un peu dur. Pour les bureaux de classe B, c'est un peu mieux mais cela dépend de quelques autres.
. D'abord l'endroit, la géographie. Dans un marché qui est plus serré, il y a beaucoup plus de possibilités d'attirer des locataires, selon la situation, emplacement, c'est allé formidable, c'est juste métaphorique, ou à la station de tramway, c'est formidable et ça attire les locataires davantage. Cela ne veut pas dire que vous n'allez pas devoir mettre de l'argent dans les mains pour le rendre plus attrayant. Ça ne veut pas dire non plus que vous allez louer l'ensemble des locaux.
Vous pourriez donc rechercher d'autres possibilités de conversion, bureaux, sciences de la vie ou sciences de la santé, des espaces de travail collaboratif, dans diverses possibilités commerciales. Mais vous avez davantage d'occasions avec une classe B qu'une classer.. En résumé, la meilleure chose, c'est avoir des bureaux de classe à. Si vous êtes en classe B ou C, c'est plus dur.
Et plus vous descendez dans des catégories de bureaux plus c'est dur.
- J'ai une autre question ici. Quel est l'impact des restrictions à l'immigration étudiante sur l'immobilier?
- Man, certainement ce n'est pas négligeable.
Donc il y a un certain impact, ça, c'est vrai. Mais je prendrai du recul aussi.
Et je vous dirai que nous avons eu dans toute l'immigration des étudiants, que ce soient des réfugiés dans des hauts niveaux de migration, à des niveaux récents que nous n'avions pas vus depuis des dizaines d'années. Je crois qu'on a dépassé la capacité du pays d'absorber 1 million de nouvelles personnes par année.
Du point de vue de la demande, de l'offre de la demande pour le logement. On n'en est pas là. On ne peut pas année après année accueillir 1 million de personnes de plus. Donc il fallait faire quelque chose et je crois que le gouvernement a pris certaines des mesures déjà. Du point de vue des étudiants.
Ce que le gouvernement a fait, c'est tenté de nous faire revenir au nous en étions avant la pandémie. Et déjà avant la pandémie, c'est à des niveaux d'immigration assez robuste.
L'autre chose que je noterais, c'est que du point de vue des étudiants internationaux qui étudient dans les universités, dans des collèges, ils étudient aussi dans d'autres établissements privés qui se présentent comme des établissements d'enseignement, par exemple des établissements d'apprentissage des langues.
Les universités ont-elles souffert du manque d'inscription d'étudiants internationaux? Oui, mais pas autant que les collèges certainement pas autant que les autres établissements. Alors lorsqu'on voit où les étudiants vont étudier et où le gouvernement met l'accent, le gouvernement met l'accent sur cette troisième catégorie, ces écoles de langue, ces établissements qui se vendent comme étant des établissements d'enseignement, et où ces étudiants, la question devient : où les étudiants vivent-ils étudient-ils vraiment? Les étudiants internationaux étudient à l'université, ils vivent à Toronto, dans le centre-ville, ou est-ce que les étudiants qui étudient dans des écoles de langue, les écoles de troisième niveau, où vivent-ils? Et je dirais qu'il y aura un impact, mais moins prononcée que ce qu'on pourrait penser. La raison c'est que les étudiants vont toujours être à des niveaux assez robustes quant aux étudiants internationaux, elles sont très peu nombreuses, et lorsque les étudiants viennent d'ailleurs pour étudier dans des établissements de troisième catégorie, ils ne vivent pas aux mêmes endroits que les résidences étudiantes pour les universités autant que les endroits près des gros établissements d'enseignement.
Alors ce sera un impact peu prononcé par rapport à la crise du logement très sévère causé par le manque d'offres.
- C'est vraiment très intéressant, merci à reviendra à vos questions dans un instant.
Comme toujours assurez-vous de faire vos propres recherches avant de prendre des décisions d'investissement.
On peut nous envoyer un message à moneytalklive@td.com. Pas son secteur éducatif d'aujourd'hui. Si vous souhaitez rester sur la bonne voie pour atteindre vos objectifs, CourtierWeb dispose d'outils qui peuvent vous aider. Caitlin Cormier formatrice à l'éducation clientèle nous donne des conseils. - en tant qu'investisseur direct, vous devenez votre propre gestionnaire de portefeuille mais ça CourtierWeb on a des outils qui peuvent vous aider. Allons-y.
Nous allons étudier l'onglet objectif aujourd'hui. Et nous allons cliquer sur commencer pour en arriver à un objectif.
Alors vous pouvez nommer votre objectif.
Moi, je vais choisir retraite pour aujourd'hui, les pivots mettaient donc le revenu que vous faites maintenant, l'âge de votre retraite prévue. Et ici, ça va vous demander ce qu'on aimerait gagner comme revenus à la retraite. Ça nous donne des idées. Alors peut-être 80%, comme revenus, donc je vais donc nommer mon objectif.
Là, il faut définir son profil d'investissement. Il faut savoir quelle est sa tolérance au risque, son horizon temporel, et là vous pouvez voir quel portefeuille pourrait être les plus appropriés. Vous pouvez les comparer en les mettant l'un à côté de l'autre pour voir ce qui aurait le plus de sens pour vous.
Ça donne pas mal d'informations sort l'historique, niveau de risque que la répartition d'actifs et la bourgeoisie c'est le profil qui vous convie le mieux et vous cliquez sur continuer. Puis, vous notez combien d'argent vous avait déjà accumulé pour épargner pour cet objectif.
30 000, disons, on met le montant de contribution que l'on place dans ce compte chaque deux semaine par exemple.
On va cliquer sur sauvegarder, on continue, et voilà la projection pour le plan. Ça nous dit quand même faut avoir pour la retraite et quel est le montant prévu. Il y a évidemment un manque entre les deux, une lacune entre les deux, faut contribuer peut-être davantage alors on peut ajuster et puis on peut passer sur un aperçu des hypothèses. Cela montre le montant moyen de RRQ et de sécurité de la vieillesse, et puis d'autres revenus. Par exemple si vous avez un régime de retraite, vous savez combien vous allez recevoir par année, peut ajuster cela. Si vous avez des propriétés locatives, si vous avez travaillé un peu à la retraite, vous ajoutez. Vous pouvez aussi changer votre espérance de vie ici.
Et puis si vous savez quel est le montant de votre RRQ ou de sécurité vieillesse, vous pouvez l'ajouter.
Là l'objectif est réajusté selon donc ses revenus de retraite. Peut-être que là vous pouvez jouer un peu avec les chiffres, travailler une couple d'années de plus, prendre un peu moins la retraite. Vous voyez là on arrive pratiquement ce qu'il faut et la contribution est un petit peu plus élevé, ça nous permet de comprendre ici comment peut ajuster plus facilement le plan et comment arriver à son objectif.
Ici, on commence avec cela.
On peut aller au tableau de bord, et puis voir avec le temps si on est sur la bonne voie pour atteindre l'objectif, et puis on peut aller voir les détails. Et faire des ajustements avec le temps, et les changements dans la vie, on peut faire des changements de tout élément qui pourrait avoir été modifié. Peut-être que vous êtes un peu plus prudents, peut-être que vous voulez donc dire que vous aurez un peu plus de temps. Alors cet outil formidable pour les investisseurs afin d'atteindre les objectifs prévus.
- Merci beaucoup, Caitlin Cormier, formatrice à l'éducation client chez Placements directs TD. Pour en savoir plus pouvez consulter le centre d'apprentissage de CourtierWeb ou utiliser ce code QR pour accéder à la page YouTube de placements directs pour trouver plus de vidéos éducatives et de ressources d'investissement. Maintenant nous revenons avec Colin Lynch et en accord évocation sur les investissements.
J'aimerais savoir ce que votre invité pense des centres intelligents.
-, Dans l'espace de détail, comme je l'ai dit, c'est très dynamique, très diversifié, on a les centres d'achat avec les centres commerciaux fermés puis des formats de détails essentiels, les pharmacies etc., les épiceries. Vous pourriez avoir également et Dollarama, les pharmacies donc comme je l'ai dit, succursale bancaire. Ces formats ont eu de très bons résultats, mais le format de détail central s'est très bien comporté, même pendant la pandémie, et continue de le faire. La vérité c'est que les détaillants dans ces centres ont très bien fonctionné. PouRRQuoi, le volume et le prix. Les prix ont été à la hausse, à une inflation ces détaillants captaient une certaine partie du volume. Il est à la hausse dans tous les centres de détail.
Donc ce secteur s'est très bien débrouillé.
On le voit nécessairement dans la valeur?
Pas nécessairement. PouRRQuoi, parce que les revenus générés par ces centres à la hausse de manière substantielle, ainsi les tendons d'immobilisations qui sont à la hausse, les taux de capital.
Parce qu'en fait les taux d'intérêt sont à la hausse. Donc le renaît à la hausse, les taux d'intérêt sont à la hausse et puis la valeur finalement reste la même. Ce que ça veut dire à l'avenir, qu'on a la même niveau de force, de robustesse, de vente et de dépenses de consommateurs, envoie un aperçu donc des perspectives assez positives pour les centres de détail.
- Merci beaucoup.
Alors on pense aussi au centre de détail intelligent.
- Quand se présente donc le secteur immobilier, est-ce que le secteur immobilier va rester aussi élevé qu'il est en ce moment?
- Ça change tout le temps, vous savez. Il y a une permutation constante. C'est une très bonne question mais la question la plus pertinente pour les bureaux en tout cas, ce qui se trouve dans les bureaux?
Par exemple vous pourriez avoir… revenons en arrière, trois en arrière. On a vu des taux qui étaient à des niveaux relativement bas comme vous savez mais on était en plein milieu d'une pandémie.
Et ce qui s'est produit, c'est que la valeur des bureaux a commencé à se négocier à la baisse, et ce qui était plus important en fait, c'est au bout du compte qui était dans ce bureau. Qu'est-ce qui était important dans cet emplacement, dans cette ville. Et ça, ça a un effet sur le caractère attrayant de l'immeuble pour les locataires qui ont tendance à louer davantage et structurer hausse valeur de cet actif. Le facteur le plus important bout du compte, évidemment c'est les taux s'il baisse sera très positif, mais s'il y a un taux d'occupation élevée, c'est encore plus important.
- merci beaucoup. Une autre question.
Est-ce qu'on s'attend à davantage de fusions-acquisitions dans le secteur immobilier?
- Avec une réserve importante et que je n'ai pas de boule de cristal, mais je peux vous dire que si vous étudiez ou l'étau se négocie en ce moment et la valeur de l'actif, et le fonds immobilier et leur valeur nette actif. Il y a une disjonction. Et cette disjonction n'est pas la première fois qu'on la voit.
Donc chaque fois qu'il y a des périodes d'incertitude économique qui se produise, c'est donc une forme d'investissements immobiliers qui sont à la baisse. Donc ce qui se passe par la - , c'est que plusieurs [---] regards les entités publiques et voit cette disjonction et passe à l'achat. Donc sous toutes réserves évidemment, ce que je dirais, c'est que ça ne me surprendrait pas s'il y avait plus de fusions-acquisitions dans le secteur de l'immobilier parce qu'il y a des entités pas seulement des fonds d'obligations, mais de gros investisseurs qui ont du capital à mettre en marche et il y a des entités négociées publiquement qui ont une valeur beaucoup moindre considérablement moindre qu'il y a de trois ans réglés dans le passé on a toujours vu les marchés publics avoir bien davantage de correction plus importante et donc des valeurs par la - beaucoup plus importante également. Et donc on anticipe cela.
- D'accord. Et d'autres questions pour Colin Lynch ou l'immobilier?
Fait vos propres recherches avant de prendre des décisions d'investissement.
On vous rappelle que vous pouvez nous joindre en tout temps.
Si vous avez des questions avec nos invités veulent vous répondre. Donc envoyez-nous vos questions de deux manières. D'abord vous pour nous envoyer un courriel en tout temps à moneytalklive@td.com ou dans la boîte de questions au bas de votre écran.
Vous n'avez qu'à écrire vos questions et tapez sur envoyer. On verra si notre invité peut y répondre.
Alors la vente de résidence semble bien aller en ce moment.
Y a-t-il une reprise?
- Ne regardons avec Colin Lynch immobilier investissement, et bien les cours de l'immobilier sont beaucoup plus solides que cela qu'on s'attendait. Donc nous avons connu donc un printemps très chaud, donc beaucoup plus anticipée, plus précoce que prévu, ça stimulait la demande publique en Ontario d'abord. En premier trimestre est pris à la hausse, au Québec et dans une partie des provinces atlantiques, on avait une plus grande robustesse et cela compensait les faiblesses qu'on a vues en Ontario du côté des prix. Donc on s'attend à des gains modestes pendant la saison typique du printemps et ça s'aligne sur les données préliminaires étant donné la demande refoulée qu'on a vue en Colombie Britannique et en Ontario. Cependant, les données économiques conseillent la prudence en attendant, donc la prochaine décision de la banque centrale, car cela pourrait avoir un impact négatif à court terme.
Et économique pense que la Banque du Canada a commencé à baisser le temps juillet cela pourrait donner de l'élan à l'immobilier canadien. On parle aussi des conditions de difficultés atroces sur plusieurs marchés qui pourraient nuire aucun en matière de l'immobilier au Canada.
Il y a aussi des disparités régionales qui vont persister. Les prix connaissent une bonne performance dans les prairies, en Alberta. La province continue à bénéficier la croissance de la population la plus importante au pays, la plus rapide et cela contribue donc aux activités immobilières.
Donc une demande importante et une offre limitée va continuer à pousser le Québec mais c'est la question de l'accessibilité qui peut nuire par contraste, alors qu'en Ontario l'offre et la demande s'équilibre avec des conditions difficiles qui mèneront à un rythme moins important au Canada, moins rapide. On s'attend donc en Colombie Britannique en Ontario des difficultés que les gouvernements provinciaux vont tenter de contrôler l'achat par les étrangers, et cela va avoir un impact ça pourrait aussi avoir un impact sur les marchés locatifs.
- Merci. - régulateur des perspectives dans ce monde.
- Oui, il y a des risques, mais c'est tout de même assez politique. Nous croyons qu'il y a des risques qui sont donc vraiment mitigés par les taux d'intérêt à la baisse et une demande vraiment refoulée. Les marchés ne sont pas toujours positifs aux demandes. Par exemple la Banque du Canada qui a mis de l'avant des conditions positives au printemps passé, et pourrait donc il y avoir une autre surprise à la hausse, particulièrement s'il y a des taux coupés par la Banque du Canada au printemps. - merci beaucoup Anthony. Maintenant une mise à jour des marchés.
Nous avons une pression à la baisse. Donc 56.
, Qui est à la hausse aujourd'hui, les matériaux de base, First Quantum,… le prix de l'or continu à atteindre des sommets, le prix des métaux également se ralliait à cela.
Au-dessus de la frontière, voyant scanner du S&P 500.
Il y a un autre rapport sur les créations aux États-Unis, donc un rapport… un des grands fabricants depuis sept à la baisse.
C'est l'inflation en fait qui a peut-être joué ici sur les investisseurs quelque peu.
Pour plus d'informations, allez voir événement sur le tableau de bord.
Il y a une question ici. L'accessibilité, est-ce que c'est un enjeu? Est-ce qu'on peut faire quelque chose pour régler cette question?
- Oui, il y a des choses qu'on peut faire, bien sûr.
Ça ne va pas hélas donner des résultats demain, ça va prendre plusieurs années pour régler la question de l'abordabilité.
L'an passé nous avons des recommandations pour le rapport fédéral, pour le gouvernement fédéral, il y en a 15, on a vu une de ces recommandations, une partie d'une autre qui est mise en œuvre je pense que les 15 devraient être mis en œuvre pour qu'on voit des changements considérables. Nous avons vu la GST, la taxe de vente harmonisée, et la question de la GST qui a été enlevée, éliminé, il y a aussi l'approvisionnement en matériaux de construction et la main-d'œuvre en construction. Et l'importation de main-d'œuvre pays qui pourrait nous aider à accélérer la chose. Le gouvernement commence à parler de construction modulaire, mais on a besoin que les gouvernements accélèrent le processus de permis parce qu'il y a des éléments de la municipalité découd donc dans la démarche d'obtention de permis qui sont importantes, temps qui sont imposés par les municipalités. Il faut se plonger là-dessus, les 15 recommandations doivent être actionnées. PouRRQuoi? Parce que pendant des années des années, nous avons mis l'accent sur la demande.
Nous avons dit qu'il fallait rendre l'achat des propriétés plus faciles. Puis par la - on a dit qu'il faut que ce soit plus difficile accédé à la propriété.
Selon le gouvernement qu'on avait.
Maintenant reconnaît qu'il faut que ce soit plus facilement facile, ça ne résout pas le problème. Nous n'avons pas entre-temps bâti assez et il faut maintenant faire des mises en chantier. Le problème c'est qu'on ne peut pas simplement claquer des doigts et voilà avoir 2 millions de nouveaux logements. Ça prend du temps. Mais un, ça prend du temps, de ça va prendre plus de temps si on ne dispose pas de tous ces outils qui permettent d'accélérer donc la mise en chantier de nouveaux logements.
- c'est un plaisir de nous avoir avec vous, merci beaucoup de nous parler de l'immobilier, infrastructures exactes et privées.
J'aurais plaisir à vous accueillir à nouveau.
- Merci ça m'a fait plaisir d'être avec vous.
- Donc potentiellement Colin Lynch,.
Assurez-vous de faire vos propres recherches avant de prendre toute décision de placement. Reste à l'écoute demain pas Andrew Kelvin de placement direct TD sera notre invité et nous parlera de sa réaction à la suite du communiqué la Banque du Canada en matière de taux.
Et donc ici même à Parlons Argent, merci d'avoir été avec nous et on se. voit demain