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(musique) - Bonjour! Ici Greg Bonnell.
Bienvenue à parlant argent direct, inhibition de placement direct TD.
Aujourd'hui, Anthony Okolie commente les dernières statistiques canadiennes de l'emploi qui dépasse largement les attentes.
Francis Fong nous explique son avis le pire est passé pour le marché canadien du logement et Greg Barnes nous donne ses perspectives pour le secteur minier.
Nous poursuivons la découverte de courtiers ouais.
Hiren Amin nous montrera comment se renseigner sur les fonds du marché monétaire.
Tout d'abord, une mise à jour sur le marché: dernier jour de bourse de la semaine. Il n'y a guère de dynamique ni de conviction.
L'indice TSX composite légèrement en baisse de 30; soit un peu plus de dixièmes de pour cent, le brut de référence américain est en hausse aujourd'hui de plus de 2 %, ce qui est un temps avantageux pour certains titres d'énergie.
Ces novices énergies à 26,88 $ l'action est en hausse de plus de 3 %.
Le secteur de la technologie étend recule.
Shopify, 63,59 $ l'action, en baisse de presque 5 %.
Aux États-Unis, l'indice S&P 500, après une semaine marchée marquée par de nombreuses annonces de bénéfices, ainsi qu'une allocution de Jérôme Powell qui a alimenté les spéculations au sujet du taux terminal de la Fed, à l'heure actuelle, l'indice CP est en baisse d'un cinquième de pour cent.
L'indice Nasdaq est spécialisé dans la technologie et de son côté en baisse de près de 1 %.
En revanche que le secteur de l'énergie est en progression, Exxon à 118,35 $ l'action.
Trois et demis pour cent.
Mais le secteur de l'énergie quoique bien portant ne peut pas relever les indices ni au Canada et aux États-Unis.
- Au Canada, 150 000 emplois ont été créés en janvier, ce qui dépasse très largement les attentes. Anthony Okolie commente.
- Comme vous l'avez dit, il s'agit d'un chiffre extrêmement élevé, 10 fois les estimations du marché. Qui prolonge les 165 000 emplois ajoutés au quatrième trimestre.
Il s'agit des statistiques les plus fortes depuis le rebond en février dernier, poursuit une tendance à la hausse de puis le mois de septembre. Quand on considère le taux de chômage, il s'est maintenu à 5 % en janvier, mais le taux de participation a augmenté à 65, presque 66 %.
Jetons un coup d'œil aux secteurs industriels.
Les salaires se portent bien à quatre et demis pour cent.
Un peu de recul par rapport aux 4,7 % de décembre.
Les gains auraient horaire moyen pour les employés à temps pleins ont augmenté. Par secteur, la croissance de l'emploi été généralisé avec des gains nordistes sur six industries dans les 10 provinces.
Les services ont alimenté la plus grande partie de la création d'emplois. Notamment dans le secteur du commerce de détail et de gros. De la santé, l'éducation, les services alimentaires.
Il y a en revanche un recul dans les secteurs producteurs de biens, notamment la construction, sans doute à cause du climat plus clément.
Ce rapport de l'emploi est difficile à ignorer pour la banque du Canada.
Justement, la banque du Canada, dans sa dernière décision relative auto, a déclaré qu'elle marquerait une pause afin de voir quel aura été l'effet des hausses de taux sur l'économie.
Les banques centrales Canada comme aux États-Unis se pose la question: il y a une semaine paraissait des statistiques de l'emploi très supérieur aux attentes aux États-Unis.
La banque du Canada a décidé de marquer une pause et êtes encore des statistiques de l'emploi très favorable sont publiés.
Vous l'avez dit, la banque du Canada a annoncé qu'elle allait marquer une pause, mais compte tenu de ce rapport, il est très difficile à la banque Canada d'ignorer cette tendance. Valeurs mobilières TD sous tes imprévisions que le monde Canada maintiendra le tout à 4,5 %.
Au cours de 2023.
Mais ici les donnés persistants février en mars, la banque du Canada pourrait abandonner sa pause conditionnelle.
Hier après-midi, nous avons évoqué les tendances du marché. C'est peut-être l'expression de l'année.
Une désinflation immaculée.
Ce serait le scénario magique pour l'inflation et maîtriser sans trop endommager le marché du travail, sans trop endommager l'économie. Pourrons-nous y parvenir?
Certains de nos invités on dit que ce n'était pas impossible. Mais pour parvenir à maîtriser l'inflation, il faut qu'il se produise des dégâts sur le marché du travail.
Mais nous ne les voyons pas.
Je ne sais pas si nous allons utiliser ce terme, mais il faut que la croissance des salaires est à 4,5 %, en légère baisse par rapport décembre. Mais demeure très forte.
La banque du Canada, pour maîtriser l'inflation, doit constater une réduction de la croissance des salaires avant de renoncer à ses hausses de taux.
Il a fait de demain. Ce sera la priorité dans l'avenir. Est-ce que l'inflation peut être maîtrisé? Or, l'inflation demeure persistante.
- Merci. Vous venez d'entendre Anthony Okolie.
Anthony Okolie va nous donner tout à l'heure une avant-première des grands événements économiques de la semaine prochaine.
La banque du Canada a annoncé une hausse des taux mais certains s'inquiètent quant au marché du logement ou le pire resterait à venir avec l'endettement des ménages.
Francis Fong, économiste est-allemande TD commande.
- L'augmentation spectaculaire des taux d'intérêt depuis un an va vraiment considérablement augmenter le ratio, jusqu'à un point que nous n'avons pas vu depuis des dizaines d'années.
Et cela inquiète un certain nombre de gens.
Si on voit la question depuis: vie différent, il faut qu'il y ait des ingrédients clés qui soient présents avant que l'on ne puisse conclure un déclin systémique des prix le des logements.
Dans le monde historiquement, les effondrements hybride logement toujours été précédé par une accumulation de mauvaises créances.
Prenez la hausse des prix des logements de 2000 2006, il y a beaucoup de prêt hypothécaire douteux.
Leur père démontage a augmenté.
Lorsqu'il y a eu des problèmes, c'est là où tout s'est effondré. Au Canada, nous ne voyons pas ce phénomène.
En fait, c'est plutôt le contraire. La qualité du crédit s'améliore.
Les toutes dernières données dont nous disposons pour le deuxième trimestre de 2023, elle date un peu, mais le ratio des nouveaux prêts hypothécaires qui ont un score de six ans et moins était de 0,6 %.
0,6 %!
Alors que inversement, la proportion des prêts hypothécaires consentis à des emprunteurs de très grande qualité détecta 89, presque 90 %.
Si vous avez ce genre de coussins emprunteurs de grande qualité, ce qu'ils font monter les prix, théoriquement, même si nous subissions un tel choc, il y a au moins ce coussin. Ce n'est pas une garantie qui n'aura pas un problème systémique, qui remonte à cinq ou 10 ans en arrière, pour l'économiste, question étrangère engendrerait le problème systémique sur le marché du logement? On dirait: augmentation du clou du taux de chômage.
C'est l'emploi. Tant que vous avez un emploi, vous allez conserver votre logement, si le chômage augmente, il y a des parties de problème du logement.
Oui surtout avec une bande de taux historiques. Après 2014, les prix du pétrole sont effondrant Alberta, augmentation des taux d'intérêt, au point beaucoup de gens disaient qu'il n'avait peut-être pas les moyens.
Il y a eu une stagnation des prix du logement pendant une longue période. Dans ces provinces et partout ailleursbien, mais l'Alberta a reconnu cette période de stagnation, une mini crise. Mais le prix du logement n'ont pas vraiment diminué beaucoup. Aujourd'hui, les prix du logement ont beaucoup reculé, mais nous n'avons même pas encore débouclé le gain de prix de 50 % depuis 2020. Avec la hausse marquée par le monde Canada, marché du travail demeure porteur, la qualité du crédit est bonne, il est difficile d'envisager une situation dans laquelle nous aurions problème systémique.
- Dans quelle mesure cette pause, selon vous, la banque du Canada était attribuable aux fins que nous avons ce dynamisme marché canadien?
Les prêts hypothécaires, notamment.
La banque nous a dit pendant la pandémie: allez-y!
Empruntez!
Ne vous inquiétez pas!
La situation a changé rapidement.
- Je dirais que oui, c'est une préoccupation, mais, également une question de calendrier. Comme vous le savez, il faut 12 à 18 mois pour que l'impact des augmentations de taux d'intérêt se répercute sur l'économie. Il y a un an que la série d'augmentation commencée.
L'inflation reflue, comme vous l'avez noté, aux États-Unis comme au Canada, le moment est donc parfaitement bien choisi pour marquer une pause puisque nous avons une vulnérabilité au niveau de l'endettement des ménages est beaucoup plus avis que dans beaucoup d'autre pays évolué. Nous avons constaté une forte hausse des taux d'intérêt, plus haute depuis des décennies.
Peut-être que le moment choisi de marquer une pause comment voir tout ça commence répercute. Dans notre scénario de base, comme beaucoup de pronostiqueurs, nous prévoyons des réductions de taux d'intérêt et pas des augmentations.
Mais c'est une question de calendrier.
- Dans quelle mesure leur grossesse resserrement des critères d'emprunt joue un rôle dans cette résilience?
Même si le nombre de ventes beaucoup diminuées, l'idée qu'il n'y aura pas de vente forcée.
- Je rappelle que ces critères ont été adoptés, ces spécialistes disaient de pour cent, aucun scénario les taux d'intérêt bon diraient une de 2 %?
Or ils ont augmenté de plus de 400 points de base.
Une anecdote personnelle: j'ai participé à la production de ces scénarios. Avec des fortes augmentations de taux d'intérêt.
Et nous avons envisagé toutes sortes d'idées de variantes scénario avec les hausses de taux d'intérêt.
Est-ce que nous avions prévu à l'époque qu'ils augmenteraient autant? Et que l'inflation serait aussi élevée?
Je pense que c'est beaucoup plus que ce qu'on aurait pu prédire, même dans un scénario catastrophe. Ceci dit, le résultat de ces exercices de nos régulateurs et aux banques centrales une certaine confiance.
Quant à la capacité d'absorber cet impact.
Nous ne produisons pas l'effondrement en toute autre catégorie d'actifs.
Ces coussins ne seront jamais mis à l'épreuve.
Même si le scénario catastrophe se produira, les régulateurs ont des raisons d'être confiants.
Le marché canadien du logement s'il ne subira pas de conséquences plus graves à cause de notre niveau d'émigration élevée.
Selon certains.
Est-ce que vous pensez que ce facteur est surestimé?
- Il y a un grain de vérité.
C'est en fait le double impact de la pandémie que nous n'avons pas encore vue 100 % des gens retournent au travail.
Le travail à domicile et maintenant la norme.
Dans tous les milieux de travail, dans le monde évolué, mais cela crée une dynamique intéressante.
Au niveau de l'augmentation des prix des logements, pas seulement dans les grandes agglomérations, ce qui est habituel, mais ailleurs.
Les augmentations sont plus élevées à l'extérieur des grandes agglomérations que dans celle-ci.
Et quand on analyse cela, émigration élevée que nous accueillons, oui, il se pourrait qu'il y a des facteurs qui empêchent les prix du logement de descendre de sa de certains niveaux. Le logement est un actif très unique à cet égard.
C'est le seul actif qui se comporte comme un actif financier mais que l'on consomme également.
On consomme des services de logement quand on habite chez soi. Un actif du logement pour jouer le rôle de préservation du capital est peut-être loué dans un marché du travail qui se desserre un peu mais qui est encore extrêmement serré.
On le voit dans les données sur les mises en vente.
Beaucoup de gens peuvent conserver cet actif à des fins de préservation du capital.
Le logement se comporte différemment des actifs financiers traditionnels.
- Vous venez d'entendre Francis Ford économiste principal à la bonne TDA présent, l'actualité du monde des affaires et un coup d'œil sur le marché.
Les actions de Magna International sont en vedette.
Après que le fabricant de pièces auto d'automobile est avancé des bénéfices inférieurs aux attentes au dernier trimestre.
Magna déclare que c'était une année difficile pour l'industrie de miracle de l'inflation et de l'instabilité géopolitique.
Magna est en baisse de plus de 15 %.
Un bridge annonce une perte de 1 milliard de dollars pour le dernier trimestre.
Ainsi qu'une charge de dépréciation de l'écart d'acquisition de 2,5 milliards de dollars relient son activité de transmission de grâce.
Un bridge maintient ses orientations financières pour l'année. L'action progresse de 2 %.
Les actions de la compagnie de voiturage avec chauffeur listent sont sous pression.
Les prévisions de chiffre d'affaires est inférieur aux attentes des analystes.
La compagnie cite la saisonnalité la baisse des prix pour expliquer cette faiblesse.
Sa rivale Uber en revanche à a eu d'excellents résultats cette semaine.
La compagnie dévisse de 36 %.
À présent, les grands indices. L'indice TSX composite est en baisse de 35 points, soit -2/5 2 %.
L'indice S&P 500, les investisseurs s'interrogent sur les bénéfices des entreprises et des pronostics quant à l'économie et l'action de la Fed.
Il y a beaucoup de facteurs à analyser.
L'indice S&P 500 est en baisse de 13; soit moins d'un tiers de pour cent.
L'une des tendances pendant cette saison d'annonce des bénéfices, ce sont les mises à pied, les avertissements à l'égard de la croissance des grandes compagnies technologiques, les investisseurs devraient être inquiétés quant à la trajectoire de l'ensemble des marchés?
Damian Fernandes baisse commande.
- La dernière fois que j'étais sur le plateau, c'est avec l'annonce des bénéfices du troisième trimestre on se demandait alors: est-ce que ça va mal se passer?
Les bénéfices du quatrième trimestre sont également négatifs.
70 % des entreprises américaines par capitalisation boursière ont annoncé leur bénéfice. Le chiffre d'affaires augmente de cinq et demis pour cent, c'est à peu près l'inflation.
Mais le bénéfice par action diminue de 6 %. Il y a un écart énorme entre cinq et -6. Il s'agit d'une dégradation des marges généralisées.
Nous avons entendu suffisamment d'annonce bénéfices pour en tirer quelques conclusions.
Les plus grands secteurs du marché américain, service de communication, Google, Facebook, les biens de consommation discrétionnaire, Amazon, tesla, les technologies de l'information, Microsoft, Apple, ces titres vedette affichent des baisses de bénéfices .
10 %. Certaine encore pire.
La raison pour laquelle les bénéfices sont négatifs, ce qui va sans doute se poursuivre pour le reste de l'année, cinq les titres qui contribuaient antérieurement à relever la moyenne bénéfice sont en difficulté.
Alors, dans la technologie, c'est presque une routine.
Dès le coût des emplois, toutes les compagnies comme des emplois.
Qu'est-ce que cela nous dit?
- Certains pense que ce sont des dégâts pour l'ensemble de l'économie, mais le rapport est excellent.
Dell a annoncé hier qu'elle allait réduire son effectif de 5 %.
Il y a eu toutes sortes d'annonce semblable.
Je dirais deux choses.
Parlons d'abord de l'économie, et ensuite, les entreprises individuelles pour niveau de l'économie, j'ai fait le total des annonces publiques jusqu'ici il y a environ 12 000 emplois.
Pardon, 91 000 emplois.
Google Google c'était 12 000 moyens mis 91 000 emplois.
Lorsque vendredi dernier, rapport sur l'emploi annonçait que plus de 500 000 avaient été créés.
Donc, c'est perte d'emploi ne sont pas immédiats.
Il y a des indemnités de licenciement, s'est étalée sur plusieurs trimestres.
Mais on vient d'annoncer vendredi que 2 millions d'offres d'emploi est écrit.
Je pense que l'économie est structurellement solide.
Il y a quelques faiblesses localisées.
Mais rien ne montre que les pertes d'emploi dans le secteur de la technologie affecte d'autres secteurs.
Les statistiques de l'emploi vendredi affichent une croissance généralisée.
La santé, l'éducation et les services.
Quand on passe aux entreprises individuelles, je pense qu'il s'agit sans doute d'une bonne chose.
Beaucoup de ces compagnies de technologie dépensaient et embauchaient à volonté, parce qu'elle pensait que ce qui se déroule pendant la pandémie allait se poursuivre.
Ces compagnies pariaient que les changements qui étaient intervenus dans notre vie n'allaient jamais subir de revirement.
Ce sont des compagnies qui sont toujours très rentables.
Microsoft a remonté avec l'annonce des coupures d'emploi.
Microsoft est en hausse depuis l'annonce bénéfices, les bénéfices étaient négatifs.
Les investisseurs constatent les changements que la compagnie réalise pour réduire sa base de coûts et revenir un trajectoire positive.
- Contenu de ce que nous avons vécu, qu'est-ce que les investisseurs devraient envisager quant aux bénéfices à plus long terme?
- Cette année, il est très probable qu'il y ait une récession des bénéfices.
Est-ce qu'il y aura une récession à proprement dit?
Une récession économique? Un atterrissage en douceur?
Le terme d'atterrissage en douceur me déplaît.
D'ailleurs, douceur, ce n'est pas un terme approprié pour décrire des pertes d'emploi, baisse de la consommation.
Compte tenu de l'ampleur des hausses de tournure déjà été annoncée, on escompte encore deux, la croissance va ralentir, les bénéfices sont en baisse, et ça va se poursuivre.
Quand on songe au bénéfice dans l'avenir, quelle est la tendance?
Pas pour les bénéfices en 2023, mais pour ce qui se profile en 2024?
Est-ce que les bénéfices vont être plus élevé que celui de 1022?
Admettons que cette année sera transition.
À l'heure actuelle, le multiple sur le marché sont élevés.
Et par rapport au bénéfice de cette année, pour le bénéfice de l'an dernier, il y a autant de facteurs positifs que le facteur négatif.
Je ne peux pas en tirer des conclusions très nets.
- Les marchés ensuite prospectifs et ne pas se baser sur ce que nous vivons aujourd'hui, mais sur ce que nous attendons.
- Historiquement, quand on scrute les données, je n'aime pas scruter les données par année, puisque c'est une distinction artificielle pour le marché, mais historiquement, les années où les bénéfices baissaient, les marchés sont le plus souvent en hausse.
Il y a eu quelques années où ce principe ne s'est pas confirmé.
4990 2001 à 2008.
C'était des années charnières, 2001, effondrement du secteur de la technologie, 2008, le trauma social la crise financière.
990 pour ceux qui ont la mémoire longue, c'était la crise des caisses d'épargne aux États-Unis.
Mais chaque fois qu'il y a une baisse des bénéfices, marchés ont été en hausse.
Quand on entend parler de bénéfices en baisse, on s'inquiète, mais l'an dernier, il y a eu des bénéfices en hausse les marchés ont baissé.
Donc c'est marché pour son prospectif.
- Parlons un peu, je ne veux pas utiliser un terme qui vous déplaît, mais si l'inflation reflue, dans la mesure souhaitée par la banque centrale, il y aura pas trop de dégâts sur l'économie, enregistrement, scénario boucle d'or.
Il serait marché, secteur qui serait en?
- Oui.
Elle atterrissage qui ne soit pas brutale.
Donc les secteurs du marché qui nous intéresse le plus continu d'être, selon un processus qui consiste à identifier les dislocations de production de flux de trésorerie.
Quand on a dit que parole va intervenir, s'agira de ce que parole demande à la géopolitique.
La manière dont nous pouvons créer de la valeur en trouvant les entreprises dont les flux de trésorerie sont mal compris.
Les domaines où la production de trésorerie est la plus rapide sur le marché continu d'être la technologie, nous espérons que ces réductions de dépenses oraux pourront entraîner une génération de flux de trésorerie disponible plus rapide, et légalement le secteur du pétrole et du gaz, secteur financier, qui ne figure pas dans notre scénario de l'atterrissage brutal.
Mais si vous n'êtes pas dans un atterrissage brutal, afin de nos rapports et réduire les taux, considérablement.
Donc les banques seront très bien placées, puisque les revenus ne seront plus élevés.
Les banques américaines sont toujours à racheter des actions, et verser des dividendes de 3 % pour. Pour moi, s'agit d'un ensemble de possibilités favorables, si vous n'avez pas de résultats économiques traumatisants.
- Damian Fernandes baisse gestionnaire de portefeuille Gestion d'actifs TD.
Poursuivons la découverte de courtier Web.
Si vous vous intéressez aux titres à revenu fixe que les fonds du marché monétaire sont une catégorie d'actifs que vous pouvez envisager.
Comment fonctionne-t-il et comment pouvez-vous vous renseigner sur eux?
Hiren Amin informateur emplacement direct Ltd. Bonjour, Irène.
Commençons par une explication des fonds du marché monétaire.
- Bonjour. Ça me fait plaisir de vous reparler.
Parlons de l'argent liquide.
Quand on entend parler d'argent liquide, en général, on pense à l'argent de votre portefeuille.
Qui appartiendra peut-être bientôt passer.
Mais dans d'autres cas, il s'agit d'argent qui dans un compte d'épargne ou un compte chèque. Quand il s'agit du monde de l'investissement, le mot liquidité décrit une catégorie d'actifs.
Mais de quoi s'agit-il?
Typiquement, le mot liquidité détient des fonds détenus sur le marché monétaire.
Il s'agit de titres de créances liquides à court terme qui vise ce désintérêt.
On les considère souvent comme des équivalents de trésoreries qui peuvent être rapidement converties à courte échéance.
Les fonds canadiens du marché monétaire sont des titres investit surtout dans les créances à court terme payées par le gouvernement du Canada, gouvernements provinciaux, les banques canadiennes.
Ou du papier commercial à cote élevée.
Les fonds du marché monétaire sont utilisés par les investisseurs lorsqu'ils veulent mettre de côté des liquidités.
Les marchés monétaires sont caractérisés par un faible risque à cause de la note de crédit très favorable des émetteurs, des gouvernements et des banques, il s'agit d'actifs très liquides.
Vous pouvez facilement reconvertir liquidité avec très peu de préavis en hausse de la majorité très courte qui peut être aussi courte que 60 jours au moins.
L'objectif des fonds du marché monétaire dans un portefeuille de maximiser les revenus d'intérêts en préservant le capital et en maintenant la liquidité.
Les paiements d'intérêts sur un marché monétaire sont un peu plus élevés qu'un compte d'épargne ordinaire.
Une dernière note: ces investissements sont exposés aux mêmes risques que les investissements obligataires.
L'évolution des taux d'intérêt.
Ils ne sont pas assurés par la société d'assurance dépôts du Canada.
Ils procureront inférieur aux autres catégories d'actifs.
Il ne suit pas le rythme de l'inflation.
- Merci pour ces explications du paysage des liquidités!
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Canadiens, marché monétaire.
Nous allons exclure les FNB.
Fin de discussion.
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- Merci Irène et à bientôt.
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Les inquiétudes à l'égard du ralentissement de la croissance de la demande soulèvent des questions quant à la trajectoire future de plusieurs secteurs du marché.
Y compris le secteur minier.
Valeur mobilière TD vient de conclure cette dernière conférence sur les miennes.
Greg Barnes recommande ses perspectives et notamment son optimisme à l'égard du cuivre.
- Nous surveillons la réouverture de la Chine.
Des perturbations en Amérique du Sud.
On se préoccupe de l'approvisionnement en cuivre.
Les inventaires sont très faibles.
Après la première vague d'ouverture de mines de cuivre, qui entre en production aujourd'hui, au-delà de cela, il n'y a pas grand-chose.
Comment allons-nous répondre à la demande de cuivre pour les véhicules électriques et la D carbonisation du réseau que nous ne produisons pas suffisamment de cuivre?
On prévoit que le cours du cuivre raccordement continu d'augmenter.
Pas en ligne droite, il y aura de la volatilité mais en général la tendance est à la hausse.
C'est un secteur passionnant quand on parle prix.
Vous avez parlé de la demande véhicules électriques, l'électricité, nous savons, toute question de véhicules électriques n'est pas apparue du jour au lendemain, on s'inquiète que les mines sues produit subitement dans l'avenir.
Pourquoi la volonté n'était pas là?
L'extraire davantage de cuivre?
- Il s'agit des cours pour justifier la construction des biens de son implantation.
De plus en plus, les miennes sont à désole l'altitude plus élevée, un coin de l'infrastructure, loin des sources d'eau.
Il faut que le prix soit plus élevé pour les clés que les compagnies puis prennent le risque d'investir dans ses grandes mines de 5,6 ou 7 millions de dollars pour justifier le rendement de 15 % après impôts.
On ne peut pas justifier cet investissement avec du cuivre à 3,50 $.
Il faudrait du cuivre à 4,50 $.
C'est un ajustement important.
- Voilà pour le cuivre.
Ce qui a été intéressant depuis plusieurs semaines, c'est que lors également poursuit son malin avec leurs dollars américains.
Que se passe-t-il?
Certains investisseurs s'intéressent plus?
- Oui.
Nous sommes plus optimistes comptent alors.
Je ne dirais pas que c'est une d'un optimisme délirant, mais avec le changement de cap de la Fed, nous n'y sommes pas encore, milite les taux d'intérêt n'ont augmenté que le record de pour cent, mais d'ici la fin de l'année, il y a une réduction des cours qui va entraîner un recul du dollar américain, ce qui est positif pour l'or.
Si les taux d'intérêt réel augmentent en revanche avec la base de l'inflation et que ce n'est pas nécessairement bon pour l'or.
Quand on considère les coupures de taux par la Fed dans l'histoire, l'aura tendance à surclasser?
Phase réduction des taux.
Lors historiquement monter de 34 %.
Mais seulement de 6 % pendant une période haussent de taux.
Donc le rapport risque récompense en apport une période réduction de tous les favorables.
Davantage d'optimisme à l'égard de l'or.
Pour des raisons.
Aujourd'hui, on a annoncé une opération de New monde qui offre 17 milliards de dollars pour New Christ.
- Ce que les investisseurs recherchent depuis quelque temps, c'est une consolidation plus poussée.
Il existe plusieurs compagnies de mines d'or.
Et nous assistons à une consolidation depuis 10 ans.
Nous pensons que ce cours suivra.
Comme on le voit aujourd'hui.
Ceci est partiellement attribuable la nécessité de grossir, les compagnies de mines d'or ne sont pas très importantes relativement parlants.
Pour attirer l'attention des gros investisseurs, faut être plus gros. C'est l'une des raisons pour l'offre conditionnelle de New monde pour New Christ.
- Parlons de l'inflation.
Beaucoup de secteurs du marché, beaucoup de secteurs de la société ont ressenti les pressions de l'inflation, mais que dire dans le secteur minier?
- Le secteur minier n'y a pas échappé.
Ça été difficile depuis un an, les coûts d'exploitation ont augmenté de 12 à 15 % sur 12 mois.
Les coûts d'immobilisation augmentée de 20 à 30 % dans certains cas.
Hausse des prix de l'énergie, hausse du cours de l'acier, hausse notable coûts de main-d'œuvre.
La hausse des coûts a commencé à diminuer, peut-être à l'exception de la main-d'œuvre.
On ne prévoit pas une augmentation si forte découvre 2023. Le 05 % peut-être.
La baisse des prix de l'énergie partiellement compensée par les coûts de main-d'œuvre.
Mon inflation des comptes 2023 n'est toujours pas excellente au niveau des coûts.
- Quand je pense aux sociétés minières, admettons les mines d'or, il y a toujours le coût global.
Cela coûte tant globalement pour extraire une once d'or, si l'on se dort ne seront plus sur le marche, position favorable.
Est-ce que les compagnies minières sont toujours relativement bien placées?
-.
Oui.
Les cours de l'or sont à (..
.) les coûts sont d'environ 1200.
Il y a une assez bonne marge ces prix-là.
Si je marche toujours des flux de trésorerie disponible.
Il s'agit d'un secteur pour le marché prometteur pour l'industrie des mines d'or.
- L'uranium, c'est une autre ressource très important qui a été évoquée à la conférence.
Un changement de l'attitude à l'égard du nucléaire?
- Oui.
Quel doit être la trajectoire pour réduire lesdits les émissions de carbone,?
La production d'électricité représente une catégorie important.
La capacité de production ligne nucléaire est à zéro émission de carbone.
Les gouvernements se rendent compte qu'on ne peut pas soutenir un réseau mondial ou national avec l'éolien ou le solaire.
En outre, la sécurité d'approvisionnement.
L'Europe comptait sur le gaz naturel russe, ce que ne peut plus faire.
Le nucléaire va sans doute jouer un rôle beaucoup plus important dans les deux cas.
Baisse des émissions de carbone et sécurisation de l'approvisionnement.
- Comment le Canada se positionne-t-il par rapport à d'autres producteurs d'uranium?
- Nous en avons beaucoup.
Nous sommes bien positionnés.
Nous avons l'un des plus gros producteurs d'uranium au monde, Cameco, qui a des mines à forte teneur en Saskatchewan.
Des faibles coûts.
Qui détient 20 % du marché.
C'est que le Canada peut produire en général, c'est une très bonne position.
En plus, nous sommes au Canada, le risque politique est faible.
L'argument de sécurité d'approvisionnement est très favorable.
Nous sommes extrêmement bien positionnés.
- Nous avons un certain optimiste dans certains secteurs, un optimisme relatif dont d'autres.
Quel est le plus gros risque pour le secteur cette année à court terme ou à moyen terme?
- C'est la réouverture de la Chine la croissance mondiale dans son ensemble.
L'atterrissage en douceur et le plus souvent évoqué.
Si c'est le cas, cela sera de bon augure pour la demande dans le monde.
La réouverture de la Chine a fait remonter les cours des métaux.
Si cela s'accélère, cela continuera d'être très favorable pour les cours des métaux.
Mais si la relance de la Chine commence à s'estomper, cela va plomber l'évolution des cours des métaux.
- Vous venez d'entendre Greg Barnes de valeurs mobilières TD.
Un coup d'œil sur les marchés.
Le dernier jour de bourse de la semaine.
Il semble que la séance sera perdante.
En fait, il nous reste deux heures, la semaine semble devoir être perdante, au moins au sud de la frontière.
L'indice précipité fixé légèrement en baisse d'un 10e de pour cent.
Les actions pétrolières sont en hausse mais le reste du marché est en baisse.
Magna, après ces annonces décevantes, et notablement en baisse à 73 ou 64 l'action.
En baisse de 15 %.
Kinross Gold à 5,57 $ l'action recul de presque 3 %.
L'indice S&P 500, les États-Unis sont toujours en pleine saison d'annonces de bénéfices. Les banques centrales prennent des mesures pour réduire l'inflation.
Il y a de nombreux facteurs en jeu.
L'indice est en recul d'un quart de pour cent.
L'indice Nasdaq et plus durement touché, en baisse d'un 1/3 %, une baisse plus rapide que depuis le début de l'émission.
Comme l'avait dit, certains titres d'énergie remontent avec la hausse des cours du brut: chevron est en hausse de plus de 2 %.
Mais pas suffisamment pour faire progresser indice dans son ensemble.
- Avant de vous dire au revoir, Anthony Okolie va évoquer les conditions économiques de la semaine prochaine.
- Avec les taux d'intérêt et l'inflation au premier plan, les investisseurs vont surveiller les statistiques dans l'inflation américaine pour février qui paresse mardi.
Salaire selon valeurs mobilières TD, l'indice aura augmenté de 0,4 % sur un mois, ce qui correspond au gain de décembre.
Valeurs mobilières TD prévoient que la tendance œuvre de l'inflation des biens récemment enregistrés ne soit plus au rendez-vous.
Valeurs mobilières TD prévoient une inflation de base de 0,4 %, une inflation générale de 1,4 %.
6,2 % sur 12 mois.
5,5 % pour l'inflation de base.
Mercredi 15 février, les dernières statistiques pour les ventes de détail aux États-Unis en janvier, valeurs mobilières TD prévoient un fort rebond après la nette baisse en décembre.
Avec la flambée des ventes, automobile contribuant au gain après quelques déclins au cours du mois précédent, décembre et novembre, certains constructeurs automobiles comme tesla, limitée par Ford, ont réduit leur prix afin d'augmenter la demande de leurs produits.
Il y a également une stabilisation de la demande, l'amélioration des inventaires, tandis que les problèmes de chaînes approvisionnement disparaissent lentement.
Le prix des voitures d'occasion ont également baissé.
Valeurs mobilières TD prévoient un rebond des ventes détails sur l'impulsion des ventes automobiles.
Au niveau de bénéfices, nous avons dépassé le point médian de la saison d'annonces de bénéfices.
Il y a eu une ou deux annonces importantes la semaine prochaine.
Les entreprises de biens de consommation, Coca-Cola, Nestlé, Cisco trouve système, appelé aide matérielle et dire et compagnie.
La grande question qui se pose est la suivante: tandis que les économies ralentissent, comment ces économies vont Algérie ces entreprises ont-elles géré la hausse de l'inflation et se comporter dans l'avenir?
Les actionnaires vont les surveiller.
- Même en temps normal, les énoncés prospectifs d'une entreprise peuvent faire progresser l'action.
C'est une époque où les investisseurs veulent entendre l'avis des dirigeants d'entreprise quant à ce qu'ils font pour se préparer au ralentissement économique.
Quand on ajoute inflation, élément ou détail, ce sont des indicateurs clés, les statistiques de l'emploi.
Essayez de découvrir où se dirigeaient économies.
Est-ce que la Fed pourrait devoir prendre comme mesure?
- La politique de la Fed sont un facteur de distraction par rapport aux résultats des entreprises pour les investisseurs.
Il faut comprendre ce que la Fed va faire: c'est le rapport de la semaine prochaine pour donner au moins une une indication de l'évolution de l'économie.
Et donner une idée de la direction que pourraient prendre les taux d'intérêt pas encore une grande semaine pour les investisseurs!
- Restait à l'écoute.
La semaine prochaine, lundi, Michael Craig chef de la répartition d'actifs Gestion d'actifs TD va répondre aux questions sur la répartition d'actifs.
Vous pouvez nous les poser d'ores et déjà par courriel, moneytalklivetd.com.
Au nom de toute notre équipe, de parlons argent en direct, merci et à lundi!
Bienvenue à parlant argent direct, inhibition de placement direct TD.
Aujourd'hui, Anthony Okolie commente les dernières statistiques canadiennes de l'emploi qui dépasse largement les attentes.
Francis Fong nous explique son avis le pire est passé pour le marché canadien du logement et Greg Barnes nous donne ses perspectives pour le secteur minier.
Nous poursuivons la découverte de courtiers ouais.
Hiren Amin nous montrera comment se renseigner sur les fonds du marché monétaire.
Tout d'abord, une mise à jour sur le marché: dernier jour de bourse de la semaine. Il n'y a guère de dynamique ni de conviction.
L'indice TSX composite légèrement en baisse de 30; soit un peu plus de dixièmes de pour cent, le brut de référence américain est en hausse aujourd'hui de plus de 2 %, ce qui est un temps avantageux pour certains titres d'énergie.
Ces novices énergies à 26,88 $ l'action est en hausse de plus de 3 %.
Le secteur de la technologie étend recule.
Shopify, 63,59 $ l'action, en baisse de presque 5 %.
Aux États-Unis, l'indice S&P 500, après une semaine marchée marquée par de nombreuses annonces de bénéfices, ainsi qu'une allocution de Jérôme Powell qui a alimenté les spéculations au sujet du taux terminal de la Fed, à l'heure actuelle, l'indice CP est en baisse d'un cinquième de pour cent.
L'indice Nasdaq est spécialisé dans la technologie et de son côté en baisse de près de 1 %.
En revanche que le secteur de l'énergie est en progression, Exxon à 118,35 $ l'action.
Trois et demis pour cent.
Mais le secteur de l'énergie quoique bien portant ne peut pas relever les indices ni au Canada et aux États-Unis.
- Au Canada, 150 000 emplois ont été créés en janvier, ce qui dépasse très largement les attentes. Anthony Okolie commente.
- Comme vous l'avez dit, il s'agit d'un chiffre extrêmement élevé, 10 fois les estimations du marché. Qui prolonge les 165 000 emplois ajoutés au quatrième trimestre.
Il s'agit des statistiques les plus fortes depuis le rebond en février dernier, poursuit une tendance à la hausse de puis le mois de septembre. Quand on considère le taux de chômage, il s'est maintenu à 5 % en janvier, mais le taux de participation a augmenté à 65, presque 66 %.
Jetons un coup d'œil aux secteurs industriels.
Les salaires se portent bien à quatre et demis pour cent.
Un peu de recul par rapport aux 4,7 % de décembre.
Les gains auraient horaire moyen pour les employés à temps pleins ont augmenté. Par secteur, la croissance de l'emploi été généralisé avec des gains nordistes sur six industries dans les 10 provinces.
Les services ont alimenté la plus grande partie de la création d'emplois. Notamment dans le secteur du commerce de détail et de gros. De la santé, l'éducation, les services alimentaires.
Il y a en revanche un recul dans les secteurs producteurs de biens, notamment la construction, sans doute à cause du climat plus clément.
Ce rapport de l'emploi est difficile à ignorer pour la banque du Canada.
Justement, la banque du Canada, dans sa dernière décision relative auto, a déclaré qu'elle marquerait une pause afin de voir quel aura été l'effet des hausses de taux sur l'économie.
Les banques centrales Canada comme aux États-Unis se pose la question: il y a une semaine paraissait des statistiques de l'emploi très supérieur aux attentes aux États-Unis.
La banque du Canada a décidé de marquer une pause et êtes encore des statistiques de l'emploi très favorable sont publiés.
Vous l'avez dit, la banque du Canada a annoncé qu'elle allait marquer une pause, mais compte tenu de ce rapport, il est très difficile à la banque Canada d'ignorer cette tendance. Valeurs mobilières TD sous tes imprévisions que le monde Canada maintiendra le tout à 4,5 %.
Au cours de 2023.
Mais ici les donnés persistants février en mars, la banque du Canada pourrait abandonner sa pause conditionnelle.
Hier après-midi, nous avons évoqué les tendances du marché. C'est peut-être l'expression de l'année.
Une désinflation immaculée.
Ce serait le scénario magique pour l'inflation et maîtriser sans trop endommager le marché du travail, sans trop endommager l'économie. Pourrons-nous y parvenir?
Certains de nos invités on dit que ce n'était pas impossible. Mais pour parvenir à maîtriser l'inflation, il faut qu'il se produise des dégâts sur le marché du travail.
Mais nous ne les voyons pas.
Je ne sais pas si nous allons utiliser ce terme, mais il faut que la croissance des salaires est à 4,5 %, en légère baisse par rapport décembre. Mais demeure très forte.
La banque du Canada, pour maîtriser l'inflation, doit constater une réduction de la croissance des salaires avant de renoncer à ses hausses de taux.
Il a fait de demain. Ce sera la priorité dans l'avenir. Est-ce que l'inflation peut être maîtrisé? Or, l'inflation demeure persistante.
- Merci. Vous venez d'entendre Anthony Okolie.
Anthony Okolie va nous donner tout à l'heure une avant-première des grands événements économiques de la semaine prochaine.
La banque du Canada a annoncé une hausse des taux mais certains s'inquiètent quant au marché du logement ou le pire resterait à venir avec l'endettement des ménages.
Francis Fong, économiste est-allemande TD commande.
- L'augmentation spectaculaire des taux d'intérêt depuis un an va vraiment considérablement augmenter le ratio, jusqu'à un point que nous n'avons pas vu depuis des dizaines d'années.
Et cela inquiète un certain nombre de gens.
Si on voit la question depuis: vie différent, il faut qu'il y ait des ingrédients clés qui soient présents avant que l'on ne puisse conclure un déclin systémique des prix le des logements.
Dans le monde historiquement, les effondrements hybride logement toujours été précédé par une accumulation de mauvaises créances.
Prenez la hausse des prix des logements de 2000 2006, il y a beaucoup de prêt hypothécaire douteux.
Leur père démontage a augmenté.
Lorsqu'il y a eu des problèmes, c'est là où tout s'est effondré. Au Canada, nous ne voyons pas ce phénomène.
En fait, c'est plutôt le contraire. La qualité du crédit s'améliore.
Les toutes dernières données dont nous disposons pour le deuxième trimestre de 2023, elle date un peu, mais le ratio des nouveaux prêts hypothécaires qui ont un score de six ans et moins était de 0,6 %.
0,6 %!
Alors que inversement, la proportion des prêts hypothécaires consentis à des emprunteurs de très grande qualité détecta 89, presque 90 %.
Si vous avez ce genre de coussins emprunteurs de grande qualité, ce qu'ils font monter les prix, théoriquement, même si nous subissions un tel choc, il y a au moins ce coussin. Ce n'est pas une garantie qui n'aura pas un problème systémique, qui remonte à cinq ou 10 ans en arrière, pour l'économiste, question étrangère engendrerait le problème systémique sur le marché du logement? On dirait: augmentation du clou du taux de chômage.
C'est l'emploi. Tant que vous avez un emploi, vous allez conserver votre logement, si le chômage augmente, il y a des parties de problème du logement.
Oui surtout avec une bande de taux historiques. Après 2014, les prix du pétrole sont effondrant Alberta, augmentation des taux d'intérêt, au point beaucoup de gens disaient qu'il n'avait peut-être pas les moyens.
Il y a eu une stagnation des prix du logement pendant une longue période. Dans ces provinces et partout ailleursbien, mais l'Alberta a reconnu cette période de stagnation, une mini crise. Mais le prix du logement n'ont pas vraiment diminué beaucoup. Aujourd'hui, les prix du logement ont beaucoup reculé, mais nous n'avons même pas encore débouclé le gain de prix de 50 % depuis 2020. Avec la hausse marquée par le monde Canada, marché du travail demeure porteur, la qualité du crédit est bonne, il est difficile d'envisager une situation dans laquelle nous aurions problème systémique.
- Dans quelle mesure cette pause, selon vous, la banque du Canada était attribuable aux fins que nous avons ce dynamisme marché canadien?
Les prêts hypothécaires, notamment.
La banque nous a dit pendant la pandémie: allez-y!
Empruntez!
Ne vous inquiétez pas!
La situation a changé rapidement.
- Je dirais que oui, c'est une préoccupation, mais, également une question de calendrier. Comme vous le savez, il faut 12 à 18 mois pour que l'impact des augmentations de taux d'intérêt se répercute sur l'économie. Il y a un an que la série d'augmentation commencée.
L'inflation reflue, comme vous l'avez noté, aux États-Unis comme au Canada, le moment est donc parfaitement bien choisi pour marquer une pause puisque nous avons une vulnérabilité au niveau de l'endettement des ménages est beaucoup plus avis que dans beaucoup d'autre pays évolué. Nous avons constaté une forte hausse des taux d'intérêt, plus haute depuis des décennies.
Peut-être que le moment choisi de marquer une pause comment voir tout ça commence répercute. Dans notre scénario de base, comme beaucoup de pronostiqueurs, nous prévoyons des réductions de taux d'intérêt et pas des augmentations.
Mais c'est une question de calendrier.
- Dans quelle mesure leur grossesse resserrement des critères d'emprunt joue un rôle dans cette résilience?
Même si le nombre de ventes beaucoup diminuées, l'idée qu'il n'y aura pas de vente forcée.
- Je rappelle que ces critères ont été adoptés, ces spécialistes disaient de pour cent, aucun scénario les taux d'intérêt bon diraient une de 2 %?
Or ils ont augmenté de plus de 400 points de base.
Une anecdote personnelle: j'ai participé à la production de ces scénarios. Avec des fortes augmentations de taux d'intérêt.
Et nous avons envisagé toutes sortes d'idées de variantes scénario avec les hausses de taux d'intérêt.
Est-ce que nous avions prévu à l'époque qu'ils augmenteraient autant? Et que l'inflation serait aussi élevée?
Je pense que c'est beaucoup plus que ce qu'on aurait pu prédire, même dans un scénario catastrophe. Ceci dit, le résultat de ces exercices de nos régulateurs et aux banques centrales une certaine confiance.
Quant à la capacité d'absorber cet impact.
Nous ne produisons pas l'effondrement en toute autre catégorie d'actifs.
Ces coussins ne seront jamais mis à l'épreuve.
Même si le scénario catastrophe se produira, les régulateurs ont des raisons d'être confiants.
Le marché canadien du logement s'il ne subira pas de conséquences plus graves à cause de notre niveau d'émigration élevée.
Selon certains.
Est-ce que vous pensez que ce facteur est surestimé?
- Il y a un grain de vérité.
C'est en fait le double impact de la pandémie que nous n'avons pas encore vue 100 % des gens retournent au travail.
Le travail à domicile et maintenant la norme.
Dans tous les milieux de travail, dans le monde évolué, mais cela crée une dynamique intéressante.
Au niveau de l'augmentation des prix des logements, pas seulement dans les grandes agglomérations, ce qui est habituel, mais ailleurs.
Les augmentations sont plus élevées à l'extérieur des grandes agglomérations que dans celle-ci.
Et quand on analyse cela, émigration élevée que nous accueillons, oui, il se pourrait qu'il y a des facteurs qui empêchent les prix du logement de descendre de sa de certains niveaux. Le logement est un actif très unique à cet égard.
C'est le seul actif qui se comporte comme un actif financier mais que l'on consomme également.
On consomme des services de logement quand on habite chez soi. Un actif du logement pour jouer le rôle de préservation du capital est peut-être loué dans un marché du travail qui se desserre un peu mais qui est encore extrêmement serré.
On le voit dans les données sur les mises en vente.
Beaucoup de gens peuvent conserver cet actif à des fins de préservation du capital.
Le logement se comporte différemment des actifs financiers traditionnels.
- Vous venez d'entendre Francis Ford économiste principal à la bonne TDA présent, l'actualité du monde des affaires et un coup d'œil sur le marché.
Les actions de Magna International sont en vedette.
Après que le fabricant de pièces auto d'automobile est avancé des bénéfices inférieurs aux attentes au dernier trimestre.
Magna déclare que c'était une année difficile pour l'industrie de miracle de l'inflation et de l'instabilité géopolitique.
Magna est en baisse de plus de 15 %.
Un bridge annonce une perte de 1 milliard de dollars pour le dernier trimestre.
Ainsi qu'une charge de dépréciation de l'écart d'acquisition de 2,5 milliards de dollars relient son activité de transmission de grâce.
Un bridge maintient ses orientations financières pour l'année. L'action progresse de 2 %.
Les actions de la compagnie de voiturage avec chauffeur listent sont sous pression.
Les prévisions de chiffre d'affaires est inférieur aux attentes des analystes.
La compagnie cite la saisonnalité la baisse des prix pour expliquer cette faiblesse.
Sa rivale Uber en revanche à a eu d'excellents résultats cette semaine.
La compagnie dévisse de 36 %.
À présent, les grands indices. L'indice TSX composite est en baisse de 35 points, soit -2/5 2 %.
L'indice S&P 500, les investisseurs s'interrogent sur les bénéfices des entreprises et des pronostics quant à l'économie et l'action de la Fed.
Il y a beaucoup de facteurs à analyser.
L'indice S&P 500 est en baisse de 13; soit moins d'un tiers de pour cent.
L'une des tendances pendant cette saison d'annonce des bénéfices, ce sont les mises à pied, les avertissements à l'égard de la croissance des grandes compagnies technologiques, les investisseurs devraient être inquiétés quant à la trajectoire de l'ensemble des marchés?
Damian Fernandes baisse commande.
- La dernière fois que j'étais sur le plateau, c'est avec l'annonce des bénéfices du troisième trimestre on se demandait alors: est-ce que ça va mal se passer?
Les bénéfices du quatrième trimestre sont également négatifs.
70 % des entreprises américaines par capitalisation boursière ont annoncé leur bénéfice. Le chiffre d'affaires augmente de cinq et demis pour cent, c'est à peu près l'inflation.
Mais le bénéfice par action diminue de 6 %. Il y a un écart énorme entre cinq et -6. Il s'agit d'une dégradation des marges généralisées.
Nous avons entendu suffisamment d'annonce bénéfices pour en tirer quelques conclusions.
Les plus grands secteurs du marché américain, service de communication, Google, Facebook, les biens de consommation discrétionnaire, Amazon, tesla, les technologies de l'information, Microsoft, Apple, ces titres vedette affichent des baisses de bénéfices .
10 %. Certaine encore pire.
La raison pour laquelle les bénéfices sont négatifs, ce qui va sans doute se poursuivre pour le reste de l'année, cinq les titres qui contribuaient antérieurement à relever la moyenne bénéfice sont en difficulté.
Alors, dans la technologie, c'est presque une routine.
Dès le coût des emplois, toutes les compagnies comme des emplois.
Qu'est-ce que cela nous dit?
- Certains pense que ce sont des dégâts pour l'ensemble de l'économie, mais le rapport est excellent.
Dell a annoncé hier qu'elle allait réduire son effectif de 5 %.
Il y a eu toutes sortes d'annonce semblable.
Je dirais deux choses.
Parlons d'abord de l'économie, et ensuite, les entreprises individuelles pour niveau de l'économie, j'ai fait le total des annonces publiques jusqu'ici il y a environ 12 000 emplois.
Pardon, 91 000 emplois.
Google Google c'était 12 000 moyens mis 91 000 emplois.
Lorsque vendredi dernier, rapport sur l'emploi annonçait que plus de 500 000 avaient été créés.
Donc, c'est perte d'emploi ne sont pas immédiats.
Il y a des indemnités de licenciement, s'est étalée sur plusieurs trimestres.
Mais on vient d'annoncer vendredi que 2 millions d'offres d'emploi est écrit.
Je pense que l'économie est structurellement solide.
Il y a quelques faiblesses localisées.
Mais rien ne montre que les pertes d'emploi dans le secteur de la technologie affecte d'autres secteurs.
Les statistiques de l'emploi vendredi affichent une croissance généralisée.
La santé, l'éducation et les services.
Quand on passe aux entreprises individuelles, je pense qu'il s'agit sans doute d'une bonne chose.
Beaucoup de ces compagnies de technologie dépensaient et embauchaient à volonté, parce qu'elle pensait que ce qui se déroule pendant la pandémie allait se poursuivre.
Ces compagnies pariaient que les changements qui étaient intervenus dans notre vie n'allaient jamais subir de revirement.
Ce sont des compagnies qui sont toujours très rentables.
Microsoft a remonté avec l'annonce des coupures d'emploi.
Microsoft est en hausse depuis l'annonce bénéfices, les bénéfices étaient négatifs.
Les investisseurs constatent les changements que la compagnie réalise pour réduire sa base de coûts et revenir un trajectoire positive.
- Contenu de ce que nous avons vécu, qu'est-ce que les investisseurs devraient envisager quant aux bénéfices à plus long terme?
- Cette année, il est très probable qu'il y ait une récession des bénéfices.
Est-ce qu'il y aura une récession à proprement dit?
Une récession économique? Un atterrissage en douceur?
Le terme d'atterrissage en douceur me déplaît.
D'ailleurs, douceur, ce n'est pas un terme approprié pour décrire des pertes d'emploi, baisse de la consommation.
Compte tenu de l'ampleur des hausses de tournure déjà été annoncée, on escompte encore deux, la croissance va ralentir, les bénéfices sont en baisse, et ça va se poursuivre.
Quand on songe au bénéfice dans l'avenir, quelle est la tendance?
Pas pour les bénéfices en 2023, mais pour ce qui se profile en 2024?
Est-ce que les bénéfices vont être plus élevé que celui de 1022?
Admettons que cette année sera transition.
À l'heure actuelle, le multiple sur le marché sont élevés.
Et par rapport au bénéfice de cette année, pour le bénéfice de l'an dernier, il y a autant de facteurs positifs que le facteur négatif.
Je ne peux pas en tirer des conclusions très nets.
- Les marchés ensuite prospectifs et ne pas se baser sur ce que nous vivons aujourd'hui, mais sur ce que nous attendons.
- Historiquement, quand on scrute les données, je n'aime pas scruter les données par année, puisque c'est une distinction artificielle pour le marché, mais historiquement, les années où les bénéfices baissaient, les marchés sont le plus souvent en hausse.
Il y a eu quelques années où ce principe ne s'est pas confirmé.
4990 2001 à 2008.
C'était des années charnières, 2001, effondrement du secteur de la technologie, 2008, le trauma social la crise financière.
990 pour ceux qui ont la mémoire longue, c'était la crise des caisses d'épargne aux États-Unis.
Mais chaque fois qu'il y a une baisse des bénéfices, marchés ont été en hausse.
Quand on entend parler de bénéfices en baisse, on s'inquiète, mais l'an dernier, il y a eu des bénéfices en hausse les marchés ont baissé.
Donc c'est marché pour son prospectif.
- Parlons un peu, je ne veux pas utiliser un terme qui vous déplaît, mais si l'inflation reflue, dans la mesure souhaitée par la banque centrale, il y aura pas trop de dégâts sur l'économie, enregistrement, scénario boucle d'or.
Il serait marché, secteur qui serait en?
- Oui.
Elle atterrissage qui ne soit pas brutale.
Donc les secteurs du marché qui nous intéresse le plus continu d'être, selon un processus qui consiste à identifier les dislocations de production de flux de trésorerie.
Quand on a dit que parole va intervenir, s'agira de ce que parole demande à la géopolitique.
La manière dont nous pouvons créer de la valeur en trouvant les entreprises dont les flux de trésorerie sont mal compris.
Les domaines où la production de trésorerie est la plus rapide sur le marché continu d'être la technologie, nous espérons que ces réductions de dépenses oraux pourront entraîner une génération de flux de trésorerie disponible plus rapide, et légalement le secteur du pétrole et du gaz, secteur financier, qui ne figure pas dans notre scénario de l'atterrissage brutal.
Mais si vous n'êtes pas dans un atterrissage brutal, afin de nos rapports et réduire les taux, considérablement.
Donc les banques seront très bien placées, puisque les revenus ne seront plus élevés.
Les banques américaines sont toujours à racheter des actions, et verser des dividendes de 3 % pour. Pour moi, s'agit d'un ensemble de possibilités favorables, si vous n'avez pas de résultats économiques traumatisants.
- Damian Fernandes baisse gestionnaire de portefeuille Gestion d'actifs TD.
Poursuivons la découverte de courtier Web.
Si vous vous intéressez aux titres à revenu fixe que les fonds du marché monétaire sont une catégorie d'actifs que vous pouvez envisager.
Comment fonctionne-t-il et comment pouvez-vous vous renseigner sur eux?
Hiren Amin informateur emplacement direct Ltd. Bonjour, Irène.
Commençons par une explication des fonds du marché monétaire.
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Parlons de l'argent liquide.
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Qui appartiendra peut-être bientôt passer.
Mais dans d'autres cas, il s'agit d'argent qui dans un compte d'épargne ou un compte chèque. Quand il s'agit du monde de l'investissement, le mot liquidité décrit une catégorie d'actifs.
Mais de quoi s'agit-il?
Typiquement, le mot liquidité détient des fonds détenus sur le marché monétaire.
Il s'agit de titres de créances liquides à court terme qui vise ce désintérêt.
On les considère souvent comme des équivalents de trésoreries qui peuvent être rapidement converties à courte échéance.
Les fonds canadiens du marché monétaire sont des titres investit surtout dans les créances à court terme payées par le gouvernement du Canada, gouvernements provinciaux, les banques canadiennes.
Ou du papier commercial à cote élevée.
Les fonds du marché monétaire sont utilisés par les investisseurs lorsqu'ils veulent mettre de côté des liquidités.
Les marchés monétaires sont caractérisés par un faible risque à cause de la note de crédit très favorable des émetteurs, des gouvernements et des banques, il s'agit d'actifs très liquides.
Vous pouvez facilement reconvertir liquidité avec très peu de préavis en hausse de la majorité très courte qui peut être aussi courte que 60 jours au moins.
L'objectif des fonds du marché monétaire dans un portefeuille de maximiser les revenus d'intérêts en préservant le capital et en maintenant la liquidité.
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Une dernière note: ces investissements sont exposés aux mêmes risques que les investissements obligataires.
L'évolution des taux d'intérêt.
Ils ne sont pas assurés par la société d'assurance dépôts du Canada.
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Les inquiétudes à l'égard du ralentissement de la croissance de la demande soulèvent des questions quant à la trajectoire future de plusieurs secteurs du marché.
Y compris le secteur minier.
Valeur mobilière TD vient de conclure cette dernière conférence sur les miennes.
Greg Barnes recommande ses perspectives et notamment son optimisme à l'égard du cuivre.
- Nous surveillons la réouverture de la Chine.
Des perturbations en Amérique du Sud.
On se préoccupe de l'approvisionnement en cuivre.
Les inventaires sont très faibles.
Après la première vague d'ouverture de mines de cuivre, qui entre en production aujourd'hui, au-delà de cela, il n'y a pas grand-chose.
Comment allons-nous répondre à la demande de cuivre pour les véhicules électriques et la D carbonisation du réseau que nous ne produisons pas suffisamment de cuivre?
On prévoit que le cours du cuivre raccordement continu d'augmenter.
Pas en ligne droite, il y aura de la volatilité mais en général la tendance est à la hausse.
C'est un secteur passionnant quand on parle prix.
Vous avez parlé de la demande véhicules électriques, l'électricité, nous savons, toute question de véhicules électriques n'est pas apparue du jour au lendemain, on s'inquiète que les mines sues produit subitement dans l'avenir.
Pourquoi la volonté n'était pas là?
L'extraire davantage de cuivre?
- Il s'agit des cours pour justifier la construction des biens de son implantation.
De plus en plus, les miennes sont à désole l'altitude plus élevée, un coin de l'infrastructure, loin des sources d'eau.
Il faut que le prix soit plus élevé pour les clés que les compagnies puis prennent le risque d'investir dans ses grandes mines de 5,6 ou 7 millions de dollars pour justifier le rendement de 15 % après impôts.
On ne peut pas justifier cet investissement avec du cuivre à 3,50 $.
Il faudrait du cuivre à 4,50 $.
C'est un ajustement important.
- Voilà pour le cuivre.
Ce qui a été intéressant depuis plusieurs semaines, c'est que lors également poursuit son malin avec leurs dollars américains.
Que se passe-t-il?
Certains investisseurs s'intéressent plus?
- Oui.
Nous sommes plus optimistes comptent alors.
Je ne dirais pas que c'est une d'un optimisme délirant, mais avec le changement de cap de la Fed, nous n'y sommes pas encore, milite les taux d'intérêt n'ont augmenté que le record de pour cent, mais d'ici la fin de l'année, il y a une réduction des cours qui va entraîner un recul du dollar américain, ce qui est positif pour l'or.
Si les taux d'intérêt réel augmentent en revanche avec la base de l'inflation et que ce n'est pas nécessairement bon pour l'or.
Quand on considère les coupures de taux par la Fed dans l'histoire, l'aura tendance à surclasser?
Phase réduction des taux.
Lors historiquement monter de 34 %.
Mais seulement de 6 % pendant une période haussent de taux.
Donc le rapport risque récompense en apport une période réduction de tous les favorables.
Davantage d'optimisme à l'égard de l'or.
Pour des raisons.
Aujourd'hui, on a annoncé une opération de New monde qui offre 17 milliards de dollars pour New Christ.
- Ce que les investisseurs recherchent depuis quelque temps, c'est une consolidation plus poussée.
Il existe plusieurs compagnies de mines d'or.
Et nous assistons à une consolidation depuis 10 ans.
Nous pensons que ce cours suivra.
Comme on le voit aujourd'hui.
Ceci est partiellement attribuable la nécessité de grossir, les compagnies de mines d'or ne sont pas très importantes relativement parlants.
Pour attirer l'attention des gros investisseurs, faut être plus gros. C'est l'une des raisons pour l'offre conditionnelle de New monde pour New Christ.
- Parlons de l'inflation.
Beaucoup de secteurs du marché, beaucoup de secteurs de la société ont ressenti les pressions de l'inflation, mais que dire dans le secteur minier?
- Le secteur minier n'y a pas échappé.
Ça été difficile depuis un an, les coûts d'exploitation ont augmenté de 12 à 15 % sur 12 mois.
Les coûts d'immobilisation augmentée de 20 à 30 % dans certains cas.
Hausse des prix de l'énergie, hausse du cours de l'acier, hausse notable coûts de main-d'œuvre.
La hausse des coûts a commencé à diminuer, peut-être à l'exception de la main-d'œuvre.
On ne prévoit pas une augmentation si forte découvre 2023. Le 05 % peut-être.
La baisse des prix de l'énergie partiellement compensée par les coûts de main-d'œuvre.
Mon inflation des comptes 2023 n'est toujours pas excellente au niveau des coûts.
- Quand je pense aux sociétés minières, admettons les mines d'or, il y a toujours le coût global.
Cela coûte tant globalement pour extraire une once d'or, si l'on se dort ne seront plus sur le marche, position favorable.
Est-ce que les compagnies minières sont toujours relativement bien placées?
-.
Oui.
Les cours de l'or sont à (..
.) les coûts sont d'environ 1200.
Il y a une assez bonne marge ces prix-là.
Si je marche toujours des flux de trésorerie disponible.
Il s'agit d'un secteur pour le marché prometteur pour l'industrie des mines d'or.
- L'uranium, c'est une autre ressource très important qui a été évoquée à la conférence.
Un changement de l'attitude à l'égard du nucléaire?
- Oui.
Quel doit être la trajectoire pour réduire lesdits les émissions de carbone,?
La production d'électricité représente une catégorie important.
La capacité de production ligne nucléaire est à zéro émission de carbone.
Les gouvernements se rendent compte qu'on ne peut pas soutenir un réseau mondial ou national avec l'éolien ou le solaire.
En outre, la sécurité d'approvisionnement.
L'Europe comptait sur le gaz naturel russe, ce que ne peut plus faire.
Le nucléaire va sans doute jouer un rôle beaucoup plus important dans les deux cas.
Baisse des émissions de carbone et sécurisation de l'approvisionnement.
- Comment le Canada se positionne-t-il par rapport à d'autres producteurs d'uranium?
- Nous en avons beaucoup.
Nous sommes bien positionnés.
Nous avons l'un des plus gros producteurs d'uranium au monde, Cameco, qui a des mines à forte teneur en Saskatchewan.
Des faibles coûts.
Qui détient 20 % du marché.
C'est que le Canada peut produire en général, c'est une très bonne position.
En plus, nous sommes au Canada, le risque politique est faible.
L'argument de sécurité d'approvisionnement est très favorable.
Nous sommes extrêmement bien positionnés.
- Nous avons un certain optimiste dans certains secteurs, un optimisme relatif dont d'autres.
Quel est le plus gros risque pour le secteur cette année à court terme ou à moyen terme?
- C'est la réouverture de la Chine la croissance mondiale dans son ensemble.
L'atterrissage en douceur et le plus souvent évoqué.
Si c'est le cas, cela sera de bon augure pour la demande dans le monde.
La réouverture de la Chine a fait remonter les cours des métaux.
Si cela s'accélère, cela continuera d'être très favorable pour les cours des métaux.
Mais si la relance de la Chine commence à s'estomper, cela va plomber l'évolution des cours des métaux.
- Vous venez d'entendre Greg Barnes de valeurs mobilières TD.
Un coup d'œil sur les marchés.
Le dernier jour de bourse de la semaine.
Il semble que la séance sera perdante.
En fait, il nous reste deux heures, la semaine semble devoir être perdante, au moins au sud de la frontière.
L'indice précipité fixé légèrement en baisse d'un 10e de pour cent.
Les actions pétrolières sont en hausse mais le reste du marché est en baisse.
Magna, après ces annonces décevantes, et notablement en baisse à 73 ou 64 l'action.
En baisse de 15 %.
Kinross Gold à 5,57 $ l'action recul de presque 3 %.
L'indice S&P 500, les États-Unis sont toujours en pleine saison d'annonces de bénéfices. Les banques centrales prennent des mesures pour réduire l'inflation.
Il y a de nombreux facteurs en jeu.
L'indice est en recul d'un quart de pour cent.
L'indice Nasdaq et plus durement touché, en baisse d'un 1/3 %, une baisse plus rapide que depuis le début de l'émission.
Comme l'avait dit, certains titres d'énergie remontent avec la hausse des cours du brut: chevron est en hausse de plus de 2 %.
Mais pas suffisamment pour faire progresser indice dans son ensemble.
- Avant de vous dire au revoir, Anthony Okolie va évoquer les conditions économiques de la semaine prochaine.
- Avec les taux d'intérêt et l'inflation au premier plan, les investisseurs vont surveiller les statistiques dans l'inflation américaine pour février qui paresse mardi.
Salaire selon valeurs mobilières TD, l'indice aura augmenté de 0,4 % sur un mois, ce qui correspond au gain de décembre.
Valeurs mobilières TD prévoient que la tendance œuvre de l'inflation des biens récemment enregistrés ne soit plus au rendez-vous.
Valeurs mobilières TD prévoient une inflation de base de 0,4 %, une inflation générale de 1,4 %.
6,2 % sur 12 mois.
5,5 % pour l'inflation de base.
Mercredi 15 février, les dernières statistiques pour les ventes de détail aux États-Unis en janvier, valeurs mobilières TD prévoient un fort rebond après la nette baisse en décembre.
Avec la flambée des ventes, automobile contribuant au gain après quelques déclins au cours du mois précédent, décembre et novembre, certains constructeurs automobiles comme tesla, limitée par Ford, ont réduit leur prix afin d'augmenter la demande de leurs produits.
Il y a également une stabilisation de la demande, l'amélioration des inventaires, tandis que les problèmes de chaînes approvisionnement disparaissent lentement.
Le prix des voitures d'occasion ont également baissé.
Valeurs mobilières TD prévoient un rebond des ventes détails sur l'impulsion des ventes automobiles.
Au niveau de bénéfices, nous avons dépassé le point médian de la saison d'annonces de bénéfices.
Il y a eu une ou deux annonces importantes la semaine prochaine.
Les entreprises de biens de consommation, Coca-Cola, Nestlé, Cisco trouve système, appelé aide matérielle et dire et compagnie.
La grande question qui se pose est la suivante: tandis que les économies ralentissent, comment ces économies vont Algérie ces entreprises ont-elles géré la hausse de l'inflation et se comporter dans l'avenir?
Les actionnaires vont les surveiller.
- Même en temps normal, les énoncés prospectifs d'une entreprise peuvent faire progresser l'action.
C'est une époque où les investisseurs veulent entendre l'avis des dirigeants d'entreprise quant à ce qu'ils font pour se préparer au ralentissement économique.
Quand on ajoute inflation, élément ou détail, ce sont des indicateurs clés, les statistiques de l'emploi.
Essayez de découvrir où se dirigeaient économies.
Est-ce que la Fed pourrait devoir prendre comme mesure?
- La politique de la Fed sont un facteur de distraction par rapport aux résultats des entreprises pour les investisseurs.
Il faut comprendre ce que la Fed va faire: c'est le rapport de la semaine prochaine pour donner au moins une une indication de l'évolution de l'économie.
Et donner une idée de la direction que pourraient prendre les taux d'intérêt pas encore une grande semaine pour les investisseurs!
- Restait à l'écoute.
La semaine prochaine, lundi, Michael Craig chef de la répartition d'actifs Gestion d'actifs TD va répondre aux questions sur la répartition d'actifs.
Vous pouvez nous les poser d'ores et déjà par courriel, moneytalklivetd.com.
Au nom de toute notre équipe, de parlons argent en direct, merci et à lundi!