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(musique) - Bonjour! Ici Greg Bonnell.
Bienvenue à Parlons Argent en direct, une émission de Placements directs TD. Nos invités commentent l'actualité des marchés et répondent à vos questions sur les placements.
Aujourd'hui, le rapport sur l'inflation américaine paru aujourd'hui est plus élevé que prévu. Quels sont les conséquences pour la décision de la Fed de la semaine prochaine? Scott Colbourne, de Gestion de Placements TD, commente. Anthony Okolie examine les résultats de l'indice Placements directs TD, et les conclusions qu'on peut en tirer sur l'attitude des investisseurs autonomes. Nous poursuivons la découverte de CourtierWeb. Jason Natyk nous présente différents types de graphiques sur la plate-forme avancée.
Posez-nous vos questions par courriel à moneytalklive@td.com ou dans la boîte de questions au bas de votre écran.
Mais d'abord, un coup d'œil sur les marchés. L'indice TSX composite est en légère hausse, 58 points, soit un bon 0,25 %, presque 0,33 %. Donc, il y a du vert à l'écran parmi les titres les plus activement négociées.
Air Canada, ce n'est pas en hausse. L'action diminue de quelque 2 %. L'industrie du transport aérien, surtout aux États-Unis, évoque la hausse du carburant, à la hausse des coûts. Tout cela semble faire reculer le transport aérien, y compris Air Canada. B2Gold est en hausse, un peu moins qu'en début de séance. 4,21 $ l'action, progresse toujours de 0,5 %.
Aux États-Unis, les statistiques sur l'inflation parue aujourd'hui sont plus élevées que prévues, mais les marchés ne semblent pas perturbés.
L'indice S&P 500 instantanée des marchés américains de 0,25 %. L'indice Nasdaq spécialisé dans la technologie progresse encore plus, de 0,5 %.
American Airlines est l'un des titres qui a émis une mise en garde sur les coûts de main-d'œuvre et de carburant. L'action a 13,55 $, reculede 4 %.
L'inflation aux États-Unis a augmenté au mois d'août à cause de la hausse des prix de l'essence, et ceux une semaine avant la prochaine décision de la Réserve fédéralesur les taux d'intérêt. Scott Colbourne de Gestion de Placements TD nous rejoint pour en discuter.
Bonjour, Scott.
- Bonjour, Greg.
- Alors intéressant que ce soit le marché boursier, le marché obligataire, le marché des changes n'a pas tellement réagi à la hausse de l'inflation. Que tirez vos conclusions à partir de ces chiffres?
- Les chiffres présentent une légère surprise à la hausse, mais comme vous l'avez noté, les marchés ont réagi de façon très stable. La Fed a déjà essentiellement annoncé qu'elle allait maintenir les taux inchangés et n'allait pas annoncer de hausse la semaine prochaine.
Les grandes tendances de l'inflation évoluent systématiquement dans la bonne direction, par exemple l'inflation annualisée de base sur trois mois et en baisse à 2,4 %.
Six mois, 3,7, un peu plus élevé.
Donc, les banques centrales et ce qu'ils ont annoncé au niveau de leur politique, nous avons fait beaucoup de chemin dans la lutte contre l'inflation et nous avons fait beaucoup de chemin dans la politique monétaire.
Le dernier kilomètre à franchir entre le niveau qu'a atteint l'inflation aujourd'hui et le milieu de l'an prochain, c'est un chemin plus long, plus ardu, mais la direction est la bonne. Au niveau des surprises, que détestent les marchés, il n'y en avait pas vraiment dans les chiffres parus aujourd'hui.
De légères interprétations d'une d'un côté ou de l'autre on peut être fait, mais est conforme aux grandes orientations des décideurs.
- Bon, la banque n'a jamais dit qu'il y aurait une descente directe de huit à 9 % à 2 %. La banque du Canada a émit la même mise en garde.
Nous savons qu'il n'est pas nécessaire d'être économiste pour voir que ça coûte plus cher de faire le plein à la station-service.
Cela pourrait faire augmenter l'inflation encore plus au Canada qu'aux États-Unis, d'ici quelques mois.
- Oui, il y a quelque risque, mais les banques centrales savent faire preuve de patience et laisser apaiser les fluctuations dans les prix de l'énergie, par exemple.
Les banques centrales vont surveiller l'évolution des salaires et du marché du travail.
Il y a potentiellement des grèves aux États-Unis qui s'annoncent. Les banques centrales vont faire preuve de patience, scruter les données. Il n'est pas nécessaire de donner un coup d'accélérateur à la politique monétaire, puisqu'il y a eu beaucoup de hausses de taux d'emblée.
Ce cycle de resserrement a été très rapide.
Il s'agit d'attendre le temps que l'effet décalé se fasse sentir et voir comment les choses évolueront ici trois à six mois.
- Même si les banques centrales sont en pause, elles nous en mise en garde, et plutôt deux fois plus qu'une, que les taux vont rester élevés pendant quelque temps.
À votre avis, est-ce que c'est le plat à long terme? On ne peut pas lire dans leurs pensées, mais est-ce qu'il faut dire cela au marché afin de continuer à faire baisser l'inflation?
- Il y a beaucoup d'incertitudes à l'heure actuelle.
Tout le monde scrute les données qui paraissent.
Globalement, quand vous considérez les marchés des titres à revenu fixe, il y a trois facteurs importants: La croissance, l'inflation et la liquidité.
L'inflation évolue dans la bonne direction.
La réaction des marchés aujourd'hui montre bien finalement ils réagisse plus à l'inflation.
Les marchés savent que les banques centrales nous ont dit de faire preuve de patience, jusqu'à ce que la trajectoire de l'inflation se poursuive.
Donc, c'est la croissance, le marché du travail et les salaires qui sont plutôt scrutés.
Il y a eu beaucoup de surprises cet égard cet été, entre la mi-juillet et le mois d'août, il y a eu un recul des taux de 50 points de base. Je pense que cela a représenté un choc de croissance aux États-Unis. Et bien sûr, il y a beaucoup plus d'offres sur le marché, obligations d'État et d'entreprise.
Donc, les banques centrales se satisfont d'annoncer qu'ils vont rester envahis, surtout à l'égard du marché du travail et de l'emploi, la croissance d'ici quelques temps resteront dans l'expectative aussi longtemps que possible. Certes, la Fed a préfiguré une réduction de taux l'an prochain. Nous verrons comment les choses se passeront la semaine prochaine. La Fed va annoncer ses prévisions économiques.
La Fed a également dit qu'elle réservait la possibilité de procéder à une nouvelle augmentation, mais le tout étant fondé sur les statistiques, sur les données.
Essentiellement, la Fed navigue en se repérant sur les étoiles, mais le temps est nuageux.
Donc, les décisions seront fondées sur les données. La tendance est bonne, mais l'inflation est plus persistante que prévu.
- Quand on considère que la Fed essaye de faire depuis le début, c'est-à-dire refroidir l'économie, elle avait bien dit qu'il y aurait des dégâts, mais vous dites que le marché se porte bien. Le consommateur ralentit peut-être un peu, mais dépensent encore toujours.
Peut-être parviendrons-nous à un atterrissage en douceur.
Peut-être sera-t-il possible de maîtriser l'inflation et de s'en tirer sans trop de dégâts, sans trop de plaies à panser.
- Je suis toujours un peu sceptique.
Ça fait longtemps que j'étudie les marchés. Il n'y a pas eu beaucoup d'atterrissage en douceur.
C'est très difficile à réussir.
Remémorez-vou Penser que la politique monétaire va réussir l'atterrissage d'un paquebot, moi, je suis un peu sceptique, avec toutes ces mesures de politique monétaire qui ont été prises. Je ne pense pas qu'on va y parvenir. Je pense personnellement qu'il y aura une légère récession, mais je voudrais avoir tort.
C'est une façon très, très difficile de naviguer à vue.
Si la politique monétaire demeure inchangée, je pense qu'il y aura les conséquences décalées qui se feront sentir 2024.
Moi, je pense qu'il y a une récession légère, si récession il y a, parce que les ménages et les entreprises ont abordé la pandémie en bien meilleure situation que dans le passé.
Ce sera donc une récession légère, mais les politiques monétaires auront leurs effets et les politiques budgétaires cesseront d'être facteurs positifs.
- Bon, pour le marché des titres à revenu fixe, il y a des rendements qu'on n'a pas vus depuis très longtemps, mais le marché pense peut-être qu'il y aurait eu des réductions de taux à l'heure qu'il est.
Je pense qu'en définitive, il y aura peut-être une ou deux coupures de taux an prochain aux États-Unis. C'est mon scénario de base.
Au minimum, l'inflation a continué de baisser.
Les marchés s'attendent à ce que l'inflation se situe à environ 2,5 % en juin de l'an prochain.
Si la Fed ne modifient pas les taux d'intérêt, ce qui va se produire, c'est que les taux réels vont continuer d'augmenter.
C'est-à-dire que le resserrement, le processus de resserrement se poursuivra avec la structure à la baisse. Alors je pense que la Fed pourra recalibrer modestement les taux d'intérêt en faisant preuve de discipline, mais au net, c'est un niveau très intéressant pour acheter des titres à revenu fixe dans un portefeuille. Les rendements absolus sont très intéressants sur une base historique.
C'est toujours positif à mon avis.
- Scott Colbourne répondra à vos questions sur les titres à revenu fixe dans quelques minutes. Vous pouvez me les poser en tout temps à moneytalklive@td.com, ou dans la boîte de questions au bas de votre écran.
À présent, l'actualité du monde des affaires et un coup d'œil sur les marchés.
Les ménages à court d'argenten quête de bonnes affaires ont fait grimper les ventes et les bénéfices de Dollarama.
Le détaillant a dit que la demande de produits alimentaires et d'entretien contribue à une augmentation de plus de 15 % des ventes de magasins comparables. Indicateurs clés pour l'industrie: Dollarama a revu à la hausse ses prévisions de ventes pour l'année. Le titre progresse de 4 %.
American Airlines, comme beaucoup d'autres transporteurs américains, avertit que l'augmentation des coûts auront un impact sur ses résultats. La hausse du prix du kérosène, un nouvel accord avec les pilotes, réduiront considérablement le bénéfice par action pour le trimestre.
Les compagnies Southwest Airlines et Alaska Airlines ont revu leurs prévisions de bénéfices à la baisse au début du mois. American Airlines recul de 4 %.
Les actions de Moderna sont en hausse aujourd'hui. Le fabricant de médicaments annonce résultats positifs pour un vaccin antigrippal en phase finale dc. L'action progresse de 3,5 %.
Par ailleurs, les autorités sanitaires américaines recommandent aux Américains âgés de six ans et plus de se faire vacciner contre la grippe aviaire.
À présent, les grands indices. L'indice TSX composite est dans le verre.
36 points, un peu moins de 0,20 %. Et aux États-Unis,les investisseurs assimilent les dernières statistiques sur l'inflation aux États-Unis. Un peu plus élevé que prévu, mais les marchés ne semblent pas réagir jusqu'ici. L'indice S&P 500 progresse de 0,25 %.
Les marchés obligataires sont calmes aujourd'hui.
Scott Colbourne répondent à vos questions sur les titres à revenu fixe.
Quand les banques centrales vont commencer à réduire les taux?
Commençons par la Banque du Canada.
Tout d'abord, voici ce que les marchés supposent comme point de départ de la discussion. Essentiellement, les marchés supposent qu'il n'y aura plus de hausses de taux au Canada, ni aux États-Unis.
À mon avis, la probabilité est plutôt de 50–50 ici la fin de l'année aux États-Unis, et rien au Canada.
À moment donné, au deuxième semestre de l'an prochain, il y a la possibilité de réduction de taux aux États-Unis, peut-être une, peut-être deux, et rien au Canada.
Alors en prenant cela comme point de départ, je dirais qu'il est plus probable que le Canada réduira les taux avant les États-Unis. Pourquoi?
Vu l'ensemble des choses à l'heure actuelle, et les conséquences de la politique monétaire, les États-Unis ont fait preuve de résilience économique exceptionnelle.
Mais hors des États-Unis, au Canada, en Europe, au Royaume-Uni, en Chine, toutes ces économies ralentissent et ont ralenti beaucoup. Il est difficile aux États-Unis d'éluder cette tendance indéfiniment. La tendance au Canada est à la croissance plus lente. Les taux d'intérêt ont un effet sur les consommateurs, sur les ménages. Il est donc davantage probable que la Banque du Canada doivent réduire les taux au deuxième semestre de l'an prochain.
- Effectivement. Nous savons que l'endettement des ménages est plus élevé au Canada.
Nous sommes une nation plus endettée. Cela devrait commencer à exercer une pression, puisque nous devrons payer plus cher pour servir la dette existante, plutôt que pour la réinvestir dans l'économie.
Est-ce que cela a pris plus longtemps?
- Oui, tout a pris plus longtemps pendant ce cycle. Je suis étonné.
Quand vous revenez aux décisions prises par les autorités, les erreurs qui ont été commises, la réaction budgétaire et monétaire était tout à fait exceptionnelle. Ce cycle-ci est donc différent. Le calendrier a été décalé, mais la politique monétaire finit par avoir un décalage.
Peut-être nous n'aurons pas le même cycle de taux que nous avons historiquement pour plusieurs raisons: Taux d'endettement plus élevé, peut-être la mondialisation a reflué.
Toute de raisons qui feront que l'inflation est structurellement plus élevée.
Mais globalement, je pense qu'il y aura une réduction, un cycle de réduction de taux, qui sera entamée au deuxième semestre de l'an prochain.
- Il y a qui espère une réduction considérable de taux.
Personne ne pense que nous allons réduire auto que nous avions auparavant, mais une réduction considérable dans une période très courte.
- Il faut prendre garde à ce que l'on souhaite.
Il faudrait qu'il y liait de gros problèmes dans l'économie.
Oui, il faut pondérer les probabilités. J'ai annoncé mon scénario, qui est une récession légère, qui amène la Fed, compte tenu de l'inflation, à réduire les taux.
Mais il faut pondérer cette probabilité. Peut-être que la réalité sera beaucoup plus dure à supporter en 2024.
Il pourrait y avoir des mouvements plus prononcés dans les taux d'intérêt, surtout à l'extrémité longue de la courbe.
- À présent, si les taux sont élevés, et bien, les banques centrales le disent constamment, quels sont les secteurs du marché qui peuvent en bénéficier?
- Vous êtes payé pour attendre. Donc, il y a beaucoup d'opportunités qui sont offertes à l'extrémité courte de la courbe des rendements.
La décision à prendre pour les investisseurs est la suivante: Est-ce que vous voulez ou non la Duration? Si vous vous inquiétez des taux à long terme, et bien, vous êtes payé, que ce soit sur le marché monétaire ou dans les obligations d'entreprise, ou même d'État à court terme. Vous êtes payé pour investir.
Si vous songez à cinq ou 6 % des obligations de sociétés de première qualité à court terme, c'est extrêmement attrayant.
Et cela pourrait constituer un élément important des portefeuilles des investisseurs. Donc oui, c'est très intéressant, mais si vous envisagez un portefeuille de titres à revenu fixe, ils jouent un rôle de diversification de couverture.
Pronostiquer un atterrissage brutal, eh bien, cela vous amènerait, puisque les rendements baisseraient, à avoir peut-être structure en altèrent des obligations de sociétés à court terme des obligations d'État à long terme.
Les risques dont les investisseurs doivent tenir compte quand ils envisagent une telle stratégie?
- Si vous allez procéder ainsi, soyez patient.
Si vous êtes payé pour attendre, c'est la patience?
Oui, comment obtenir un rendement dans les trains revenus fixe?
Eh bien, c'est à cause du revenu, comme son nom l'indique. Et puis nous avons un revenu. C'est-à-dire que vous êtes payé pour attendre à l'heure actuelle. Et puis les gains au niveau au niveau des prix pourront être au rendez-vous ou non selon la manière dont l'économie évoluera.
Mais je ne vois pas beaucoup de potentiel de hausse en ce qui concerne les rendements. Mais je ne vois pas accélération à rapide de la croissance aux États-Unis ou au Canada à l'heure actuelle.
Globalement, nous pensons que la croissance mondiale continuera de ralentir. La croissance du marché du travail ralentira, se modèrera . L'inflation ralentira, se modèrera .
Donc les grandes tendances dit qu'il sera payant d'attendre.
À présent, qui sont sur les marchés émergents.
Comment se présente-t-il?
Les marchés émergents ont été les premiers à relever les taux, maintenant plusieurs d'entre eux ont commencé à les réduire déjà.
- Nous avons été informé depuis plusieurs années que la situation est très spécifique à chaque pays.
Acheter une vaste corbeille de titres de créance des marchés émergents, ça a été un défi.
Des pays comme la Turquie, la Russie, l'Argentine, sont des cas spéciaux. Et catastrophiques pour les détenteurs de titres à revenu fixe. Il faut donc être très spécifique.
Il y a une poignée de marchés qui nous plaisent. Nous avons investi au Brésil cette année, en Afrique du Sud.
Il y a des occasions spécifiques qui se présentent.
C'est vraiment une question de sélectionner.
C'est donc plus difficile pour l'investisseur autonome, car quand je songe à ce qui est offert à un investisseur autonome, ce sont des FNB avec un vaste éventail d'obligations, y compris celle des marchés que vous venez d'évoquer.
- Oui, il est très difficile pour les investisseurs individuels.
Il y a quelques FNB, mais ce sont des Fourtou.
Faites toujours vos propres recherches avant de prendre des décisions de placement.
Scott Colbourne répond à d'autres questions sur les titres à revenu fixe dans quelques instants.
Vous pouvez nous imposer en tout temps par courriel à moneytalklive@td.
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À présent, poursuivons la découverte de CourtierWeb.
Jetons un nouveau coup d'œil sur la plate-forme avancée, conçu pour les négociateurs actifs, et proposée par Placements directs TD. Jason Natyk, formateur à Placements directs TD, nous rejoint.
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Merci beaucoup, Jason.
Je vous en prie, Greg.
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À présent, je vous rappelle comment nous poser vos questions.
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Nos invités pourraient vous répondre en direct.
Scott Colbourne répond à vos questions sur les titres à revenu fixe.
Devrions-nous envisager les actions privilégiées dans un portefeuille de titres à revenu fixe, ou nous contenter des obligations?
- Je ne suis pas expert en actions privilégiées.
Mais je ferai l'observation qui suit. C'est un marché qui va en se rétrécissant au Canada.
Les banques canadiennes sont parmi les plus grands émetteurs et les autorités de réglementation les ont encouragés à faire passer les actions privilégiées actuelles, qui sont orientées par les investisseurs individuels, pour les orienter vers des valeurs qui intéressent plus les institutions.
C'est un marché qui va en se rétrécissant et les investisseurs devraient y songer lorsqu'ils comparent à d'autres formes de placement.
Les investisseurs canadiens sont toujours beaucoup intéressés aux actions privilégiées, mais ce marché qui était jadis augmenté vers les investisseurs de détail représente un risque pour les autorités de réglementation, qui encourage les émetteurs à se détourner de ce marché, lequel se rétrécit au fil du temps, ce qui aura un impact sur la liquidité et le bassin d'investisseurs. C'est l'unique mise en garde que j'émettrais.
Je me concentre exclusivement sur les titres revenus fixe. Nous participons à présent dans le marché des actions privilégiées institutionnelles, mais il s'agit essentiellement de marchés de titres à revenu fixe.
Mais un peu plus bas dans la structure de capital.
- Voilà une question qui est tout à fait pertinent, puisqu'elle m'a permis d'apprendre quelque chose.
Est-ce que la dette de 33 billions des États-Unis, et le coût du service de sa dette, aura un impact sur la politique de la Fed allait garder tout intérêt à court et moyen terme?
Est-ce qu'il aura un impact sur les émissions de bons du trésor et sur le marché obligataire?
- Je l'ai évoqué tout à l'heure. Le mouvement des rendements obligataires aux États-Uni du mois de juillet au mois d'août a été largement réajusté à la hausse. 50 points de base pour les taux à 10 ans.
Et un élément important,c'est l'émission des obligations. Il y a eu une vague engendrée par l'annonce par le trésor de la manière dont elle allait financer cet important déficit.
Donc oui, cela va certainement plomber les marchés.
Les grandes quantités d'obligations émises seront un facteur. Il y a trois facteurs qui entrent en compte dans la valorisation des titres à revenu fixe: L'inflation, nous en connaissons la trajectoire. La croissance, il y a eu des surprises à la hausse, mais nous pensons que c'est appelé à diminuer.
Et puis l'offre d'obligations, c'est un facteur important. Les États-Unis en ont beaucoup émis pour financer leur énorme déficit. Alors oui, cela va avoir un impact sur les taux et cela continuera d'avoir un impact à la hausse sur les taux.
Est-ce que les marchés seront accueillants pour ses émissions? Il s'agit toujours des États-Unis d'Amérique, même certaines agences de notation… il a toujours un prix.
C'est le marché des titres à revenu fixe le plus liquide qui soit. Et tous les entreprises sur celui-là.
Est-ce qu'il y aura des investisseurs pour acheter les obligations?
Oui. Est-ce que la dynamique évolue?
Il y a tellement d'investisseurs qui ont acheté des bons du trésor américain: des gouvernements étrangers, des banques, des fonds communs de placement, des fonds de couverture.
Il y a toutes sortes de facteurs qui sont en jeu dans la demande, mais il y a plus d'émissions, il y aura un rendement plus élevé. À présent, les obligations de sociétés.
Quelles sont les perspectives?
- Les titres de créance des entreprises offrent d'excellentes données fondamentales. Quand vous songez à la trajectoire du marché, il y a eu beaucoup de revalorisation de titres à revenu élevé au titre de première qualité, ce que l'on appelle les étoiles montantes, donc il y a eu rétrécissement du marché de titre rendement élevé américain à cause de la revalorisation d'un nombre aussi important de valeur.
Les données fondamentales générales sont favorables.
Les valorisations à l'heure actuelle sont médiocres pour les titres de créance, je crois que la demande globale, compte tenu du fait que les rendements sont attrayants, l'écart entre le rendement des obligations de sociétés et celui des obligations d'État n'est pas aussi attrayant qu'il a été, mais il est tout de même attrayant.
Mais les émissions en prochain vont commencer à augmenter. C'est un problème plutôt sur le marché des titres à rendement élevé que dans les titres de première qualité. Il y a le mur du refinancement.
Ce mur, nous allons le heurter sur le marché des titres à rendement élevé d'abord. Donc il y a des tendances en jeu.
Les émetteurs qui ne peuvent pas miser sur le marché des capitaux, il y a un nombre croissant de faillites aux États-Unis. La confiance des petites entreprises se détériore il y a donc des inquiétudes sous-jacentes dans les perspectives des entreprises, mais globalement, les titres de créance de première qualité vont bien se porter d'ici la fin de l'année.
Quand je songe à la dette à l'entreprise, je songe à la conjoncture économique.
Si on parle de l'as héritage plutôt brutal, ce que beaucoup de gens, y compris vous, pronostique, oui, un atterrissage brutal sera défavorable pour tout type de créance. Même une augmentation légère entraînera un risque. À mon avis, rien de trop inquiétant.
- Scott Colbourne répond à vos questions sur les titres à revenu fixe dans quelques minutes. Faites toujours vos propres recherches avant de prendre des décisions de placement.
Je vous rappelle comment nous poser vos questions.
Avez-vous une question sur les placements ou encore sur les marchés?
Vous pouvez nous la poser soit par courriel à moneytalklive@td.com, soit dans la boîte de questions au bas de votre écran.
Il suffit de cliquer sur envoyer. Nos invités pourraient vous répondre en direct . L'indice de Placements directs TD pour le mois d'août a paru.
Anthony Okolie l'a analysé. Le voici.
- Merci, Greg. L'indice Placements directs TD a paru pour le mois d'août.
Conclusion globale: Le degré de confiance des investisseurs autonomes est à la baisse. Nous sommes en territoire baissier.
Tout d'abord, l'indice de Placements directs TD globale, qui mesure la confiance sur une gamme de un portrait baissier à son portrait aussi.
Nous en sommes à -23, soit en baisse de 23 points sur le mois dernier, en baisse de neuf mois par rapport au mois d'août de l'an dernier, c'est-à-dire que les investisseurs autonomes se sentent moins optimistes qu'il y a un an.
Les éléments de l'indice montrent une poussée de pessimisme dans les quatre indicateurs.
L'indicateur de la tendance, c'est-à-dire les investisseurs qui ont acheté des actions sur le marché en hausse, est passé à -9 au mois d'août, en baisse de 14 points sur un mois.
Quelques éléments clés qui en ressortent. Tout d'abord, les titres financiers inspirent le moins confiance par rapport à tous les secteurs, tandis que la technologie continue de se classer en première place pour le sixième mois consécutif.
Ensuite, la génération du baby-boom, nés entre 1946 et 1964, est encore une fois la plus pessimiste.
Encore une fois, quand nous vendions la confiance des investisseurs autonomes a baissé de 11 points sur un mois, à -7.
On a affiché des titres moins élevés que prévu pour le mois d'août. La confiance à l'égard du secteur de la technologie demeure positif, à plus quatre, malgré un recul: 3 points. Le secteur de la technologie à remonter le mois dernier, notamment à cause des bénéfices tunnels annoncés par NVIDIA, le géant des puces, ainsi que par l'engouement pour l'intelligence artificielle, qui ne semble pas apaisé. Le titre de technologie, les titres financiers les plus vendus le mois dernier, Banque TD, Banque Scotia, banque CIBC, Banque Royale et Banque de Montréal.
La technologie les plus achetés: Apple, Microsoft, Shopify, et NVIDIA, le fabricant de puces, lequel, notablement, était détenu par toutes les catégories démographiques mois dernier.
Enfin, l'activité de négociation par l'âge. Encore une fois, la génération du baby-boom et la plus pessimiste.
Le degré de confiance diminuant de 10 points, à -14.
Voilà un coup d'œil à l'indice de Placements directs TD pour le mois d'août 2023. Greg, à vous.
- Merci, Anthony.
Vous venez d'entendre Anthony Okolie.
À présent, une mise à jour sur les marchés.
Nous revoici sur la plate-forme avancée.
La carte thermique vous permet d'embrasser le marché du regard. Voici l'indice TSX 60 en fonction du cours et du volume.
Il y a du verre à l'écran.
Dollarama annonce des bénéfices trimestriels supérieurs aux prévisions et double ses pronostiques de vente. Les Canadiens qui sont à l'appel à cause de la haute des prix à la consommation se tournent vers des détaillants comme Dollarama. L'action progresse de 4,5 %.
Dans le secteur de l'énergie, la situation est mitigée.
Le secteur financier affiche du vert à l'écran.
À présent, un coup d'œil sur l'indice S&P 100.
À l'heure actuelle, les constructeurs automobiles classiques comme Ford , même s'ils fabriquent également des véhicules électriques, sont en hausse de 2,8 %.
Tesla, 1,5 %.
Et les fabricants de puces sont pour la plupart en mode de hausse.
Je vois que Netflix progresse de 4 %.
Je vais voir tout à l'heure s'il y a des actualités qu'il explique.
Pour vous renseigner sur la plate-forme avancée, visitez le site Web de Placements directs TD.
Scott Colbourne de Gestion de Placements TD répond à vos questions sur les titres à revenu fixe.
À moyen terme, sur un à trois ans, Jeff nous demande… bonjour, Jeff! Jeff nous pose régulièrement des questions, nous les apprécions. Il demande à moyen terme, sur un à trois ans, quand et à quel niveau les taux d'intérêt vont se stabiliser?
- Après 10 ans de taux d'intérêt très faible, qui ont suivi la crise financière, quelle sera la nouvelle normalité?
Question judicieuse, et il est difficile d'y répondre.
Il y a différents scénarios.
L'atterrissage en douceur, atterrissage brutal, une récession légère. On peut également pondérer les probabilités d'évolution de l'inflation ou les taux d'intérêt. Une autre façon de voir les choses d'ici un an consisterait à dire: Bon, que pensent les marchés de l'inflation d'ici un an?
J'ai dit tout à l'heure que nous nous dirigeons vers 2,5 % environ.
Si vous prenez cette orientation pour l'inflation globale au deuxième semestre de l'an prochain, où en sera la politique de la Fed?
À l'heure actuelle, et tout intérêt réel sur 10 ans sont autour de 2 %.
Sans poser d'hypothèses quant à l'évolution de l'économie, inflation de 2,5 %, plus des taux réels de 2 %, ça vous donne 4,5 %, ce qui vous permet d'estimer le niveau auquel les taux directeurs et le tout sur 10 ans pourrait s'établir d'ici un an ou: c'est une façon de réfléchir à la question, mais la question était vraiment difficile à analyser en fonction du scénario qui se réalise.
Il y aura peut-être une autre hausse de taux. Cela pourrait être plus proche de 4,5 à 4,75 %.
Mais c'est une façon d'envisager les choses quant à la stabilisation des taux.
Les politiques économiques, les taux à long terme seront à 2,5 %, et nous sommes loin de 2,5 %.
Nous sommes en situation restrictive.
La trajectoire ultime sera à la baisse, mais c'est la trajectoire.
Il y a des questions de persistance de l'inflation, persistance des coûts du marché du travail.
C'est difficile à pronostiquer et il n'y aura pas une trajectoire linéaire, comme vous l'avez dit tout à l'heure.
- Merci, Jeff, pour cette question qui nous a donné matière à réflexion.
Ensuite, le dollar américain et le dollar canadien.
Le dollar américain, j'ai vu sur les médias sociaux qui présentaient en disant: Je ne voudrais pas être sur la voie lorsque passe le train dollar américain.
- Oui, le dollar américain est extrêmement fort par rapport au reste du monde et il se maintient.
Il y a parfois de léger recul, quand les marchés s'emballent un peu, mais pour l'instant, le puissant dollar américain continue d'être soutenu par des facteurs favorables extraordinaires au niveau de la politique budgétaire et monétaire, et cela continuera de se produire.
Le billet vert continuera de briller par rapport au reste du monde.
Dans le reste du monde, on envisage déjà des coupures de taux.
Dans les marchés émergents, sommes déjà à la fin du cycle de hausses de taux.
Dans beaucoup d'autres pays, comme le Canada et l'Australie, il se pourrait qu'il y ait encore une hausse pratiquée par la BCE demain, mais je pense que nous sommes en fin de cycle.
Donc le dollar américain, dans cet environnement, continuera d'avoir le vent en poupe.
Il est difficile de ne pas entendre parler de la dédollarisation pendant l'été.
À présent, on n'en parle plus tellement.
Ce serait un projet extrêmement difficile à réaliser.
Mon avis, c'est du complotiste.
À mon avis, pour détrôner le dollar américain, l'euro représente un élément énorme des marchés internationaux.
À la marge, oui, certains participants sur le marché souhaitent se passer du dollar, mais cela ne se produirait qu'à très, très, très long terme.
- Une ultime question avant de nous séparer.
Est-ce que les taux des CPG ont atteint un maximum?
- Si le taux de politique monétaire à cessé d'augmenter, eh bien, les CPG ont cessé d'augmenter aussi.
C'est simple, les banques ne vont pas payer plus que ce que la direction des taux d'intérêt ne le justifie.
Si vous pensez comme moi que la politique monétaire achève son cycle de hausse, les taux de CPG sont à leur sommet.
C'est une façon coûteuse pour les banques de réunir des fonds. Donc en fait définitive, ils sont appelés à baisser.
- Scott Colbourne, merci pour cet excellent entretien!
Scott Colbourne est responsable des titres à revenu fixe à Gestion de Placements TD.
Faites toujours vos propres recherches avant de prendre une décision de placement.
Et restez à l'écoute. Demain, Haining Zha, Gestion de Placements TD, répondra à vos questions sur l'économie et les marchés chinois.
Vous pouvez nous les poser en tout temps par courriel à moneytalklive@td.
com.
Merci et à demain.
Bienvenue à Parlons Argent en direct, une émission de Placements directs TD. Nos invités commentent l'actualité des marchés et répondent à vos questions sur les placements.
Aujourd'hui, le rapport sur l'inflation américaine paru aujourd'hui est plus élevé que prévu. Quels sont les conséquences pour la décision de la Fed de la semaine prochaine? Scott Colbourne, de Gestion de Placements TD, commente. Anthony Okolie examine les résultats de l'indice Placements directs TD, et les conclusions qu'on peut en tirer sur l'attitude des investisseurs autonomes. Nous poursuivons la découverte de CourtierWeb. Jason Natyk nous présente différents types de graphiques sur la plate-forme avancée.
Posez-nous vos questions par courriel à moneytalklive@td.com ou dans la boîte de questions au bas de votre écran.
Mais d'abord, un coup d'œil sur les marchés. L'indice TSX composite est en légère hausse, 58 points, soit un bon 0,25 %, presque 0,33 %. Donc, il y a du vert à l'écran parmi les titres les plus activement négociées.
Air Canada, ce n'est pas en hausse. L'action diminue de quelque 2 %. L'industrie du transport aérien, surtout aux États-Unis, évoque la hausse du carburant, à la hausse des coûts. Tout cela semble faire reculer le transport aérien, y compris Air Canada. B2Gold est en hausse, un peu moins qu'en début de séance. 4,21 $ l'action, progresse toujours de 0,5 %.
Aux États-Unis, les statistiques sur l'inflation parue aujourd'hui sont plus élevées que prévues, mais les marchés ne semblent pas perturbés.
L'indice S&P 500 instantanée des marchés américains de 0,25 %. L'indice Nasdaq spécialisé dans la technologie progresse encore plus, de 0,5 %.
American Airlines est l'un des titres qui a émis une mise en garde sur les coûts de main-d'œuvre et de carburant. L'action a 13,55 $, reculede 4 %.
L'inflation aux États-Unis a augmenté au mois d'août à cause de la hausse des prix de l'essence, et ceux une semaine avant la prochaine décision de la Réserve fédéralesur les taux d'intérêt. Scott Colbourne de Gestion de Placements TD nous rejoint pour en discuter.
Bonjour, Scott.
- Bonjour, Greg.
- Alors intéressant que ce soit le marché boursier, le marché obligataire, le marché des changes n'a pas tellement réagi à la hausse de l'inflation. Que tirez vos conclusions à partir de ces chiffres?
- Les chiffres présentent une légère surprise à la hausse, mais comme vous l'avez noté, les marchés ont réagi de façon très stable. La Fed a déjà essentiellement annoncé qu'elle allait maintenir les taux inchangés et n'allait pas annoncer de hausse la semaine prochaine.
Les grandes tendances de l'inflation évoluent systématiquement dans la bonne direction, par exemple l'inflation annualisée de base sur trois mois et en baisse à 2,4 %.
Six mois, 3,7, un peu plus élevé.
Donc, les banques centrales et ce qu'ils ont annoncé au niveau de leur politique, nous avons fait beaucoup de chemin dans la lutte contre l'inflation et nous avons fait beaucoup de chemin dans la politique monétaire.
Le dernier kilomètre à franchir entre le niveau qu'a atteint l'inflation aujourd'hui et le milieu de l'an prochain, c'est un chemin plus long, plus ardu, mais la direction est la bonne. Au niveau des surprises, que détestent les marchés, il n'y en avait pas vraiment dans les chiffres parus aujourd'hui.
De légères interprétations d'une d'un côté ou de l'autre on peut être fait, mais est conforme aux grandes orientations des décideurs.
- Bon, la banque n'a jamais dit qu'il y aurait une descente directe de huit à 9 % à 2 %. La banque du Canada a émit la même mise en garde.
Nous savons qu'il n'est pas nécessaire d'être économiste pour voir que ça coûte plus cher de faire le plein à la station-service.
Cela pourrait faire augmenter l'inflation encore plus au Canada qu'aux États-Unis, d'ici quelques mois.
- Oui, il y a quelque risque, mais les banques centrales savent faire preuve de patience et laisser apaiser les fluctuations dans les prix de l'énergie, par exemple.
Les banques centrales vont surveiller l'évolution des salaires et du marché du travail.
Il y a potentiellement des grèves aux États-Unis qui s'annoncent. Les banques centrales vont faire preuve de patience, scruter les données. Il n'est pas nécessaire de donner un coup d'accélérateur à la politique monétaire, puisqu'il y a eu beaucoup de hausses de taux d'emblée.
Ce cycle de resserrement a été très rapide.
Il s'agit d'attendre le temps que l'effet décalé se fasse sentir et voir comment les choses évolueront ici trois à six mois.
- Même si les banques centrales sont en pause, elles nous en mise en garde, et plutôt deux fois plus qu'une, que les taux vont rester élevés pendant quelque temps.
À votre avis, est-ce que c'est le plat à long terme? On ne peut pas lire dans leurs pensées, mais est-ce qu'il faut dire cela au marché afin de continuer à faire baisser l'inflation?
- Il y a beaucoup d'incertitudes à l'heure actuelle.
Tout le monde scrute les données qui paraissent.
Globalement, quand vous considérez les marchés des titres à revenu fixe, il y a trois facteurs importants: La croissance, l'inflation et la liquidité.
L'inflation évolue dans la bonne direction.
La réaction des marchés aujourd'hui montre bien finalement ils réagisse plus à l'inflation.
Les marchés savent que les banques centrales nous ont dit de faire preuve de patience, jusqu'à ce que la trajectoire de l'inflation se poursuive.
Donc, c'est la croissance, le marché du travail et les salaires qui sont plutôt scrutés.
Il y a eu beaucoup de surprises cet égard cet été, entre la mi-juillet et le mois d'août, il y a eu un recul des taux de 50 points de base. Je pense que cela a représenté un choc de croissance aux États-Unis. Et bien sûr, il y a beaucoup plus d'offres sur le marché, obligations d'État et d'entreprise.
Donc, les banques centrales se satisfont d'annoncer qu'ils vont rester envahis, surtout à l'égard du marché du travail et de l'emploi, la croissance d'ici quelques temps resteront dans l'expectative aussi longtemps que possible. Certes, la Fed a préfiguré une réduction de taux l'an prochain. Nous verrons comment les choses se passeront la semaine prochaine. La Fed va annoncer ses prévisions économiques.
La Fed a également dit qu'elle réservait la possibilité de procéder à une nouvelle augmentation, mais le tout étant fondé sur les statistiques, sur les données.
Essentiellement, la Fed navigue en se repérant sur les étoiles, mais le temps est nuageux.
Donc, les décisions seront fondées sur les données. La tendance est bonne, mais l'inflation est plus persistante que prévu.
- Quand on considère que la Fed essaye de faire depuis le début, c'est-à-dire refroidir l'économie, elle avait bien dit qu'il y aurait des dégâts, mais vous dites que le marché se porte bien. Le consommateur ralentit peut-être un peu, mais dépensent encore toujours.
Peut-être parviendrons-nous à un atterrissage en douceur.
Peut-être sera-t-il possible de maîtriser l'inflation et de s'en tirer sans trop de dégâts, sans trop de plaies à panser.
- Je suis toujours un peu sceptique.
Ça fait longtemps que j'étudie les marchés. Il n'y a pas eu beaucoup d'atterrissage en douceur.
C'est très difficile à réussir.
Remémorez-vou Penser que la politique monétaire va réussir l'atterrissage d'un paquebot, moi, je suis un peu sceptique, avec toutes ces mesures de politique monétaire qui ont été prises. Je ne pense pas qu'on va y parvenir. Je pense personnellement qu'il y aura une légère récession, mais je voudrais avoir tort.
C'est une façon très, très difficile de naviguer à vue.
Si la politique monétaire demeure inchangée, je pense qu'il y aura les conséquences décalées qui se feront sentir 2024.
Moi, je pense qu'il y a une récession légère, si récession il y a, parce que les ménages et les entreprises ont abordé la pandémie en bien meilleure situation que dans le passé.
Ce sera donc une récession légère, mais les politiques monétaires auront leurs effets et les politiques budgétaires cesseront d'être facteurs positifs.
- Bon, pour le marché des titres à revenu fixe, il y a des rendements qu'on n'a pas vus depuis très longtemps, mais le marché pense peut-être qu'il y aurait eu des réductions de taux à l'heure qu'il est.
Je pense qu'en définitive, il y aura peut-être une ou deux coupures de taux an prochain aux États-Unis. C'est mon scénario de base.
Au minimum, l'inflation a continué de baisser.
Les marchés s'attendent à ce que l'inflation se situe à environ 2,5 % en juin de l'an prochain.
Si la Fed ne modifient pas les taux d'intérêt, ce qui va se produire, c'est que les taux réels vont continuer d'augmenter.
C'est-à-dire que le resserrement, le processus de resserrement se poursuivra avec la structure à la baisse. Alors je pense que la Fed pourra recalibrer modestement les taux d'intérêt en faisant preuve de discipline, mais au net, c'est un niveau très intéressant pour acheter des titres à revenu fixe dans un portefeuille. Les rendements absolus sont très intéressants sur une base historique.
C'est toujours positif à mon avis.
- Scott Colbourne répondra à vos questions sur les titres à revenu fixe dans quelques minutes. Vous pouvez me les poser en tout temps à moneytalklive@td.com, ou dans la boîte de questions au bas de votre écran.
À présent, l'actualité du monde des affaires et un coup d'œil sur les marchés.
Les ménages à court d'argenten quête de bonnes affaires ont fait grimper les ventes et les bénéfices de Dollarama.
Le détaillant a dit que la demande de produits alimentaires et d'entretien contribue à une augmentation de plus de 15 % des ventes de magasins comparables. Indicateurs clés pour l'industrie: Dollarama a revu à la hausse ses prévisions de ventes pour l'année. Le titre progresse de 4 %.
American Airlines, comme beaucoup d'autres transporteurs américains, avertit que l'augmentation des coûts auront un impact sur ses résultats. La hausse du prix du kérosène, un nouvel accord avec les pilotes, réduiront considérablement le bénéfice par action pour le trimestre.
Les compagnies Southwest Airlines et Alaska Airlines ont revu leurs prévisions de bénéfices à la baisse au début du mois. American Airlines recul de 4 %.
Les actions de Moderna sont en hausse aujourd'hui. Le fabricant de médicaments annonce résultats positifs pour un vaccin antigrippal en phase finale dc. L'action progresse de 3,5 %.
Par ailleurs, les autorités sanitaires américaines recommandent aux Américains âgés de six ans et plus de se faire vacciner contre la grippe aviaire.
À présent, les grands indices. L'indice TSX composite est dans le verre.
36 points, un peu moins de 0,20 %. Et aux États-Unis,les investisseurs assimilent les dernières statistiques sur l'inflation aux États-Unis. Un peu plus élevé que prévu, mais les marchés ne semblent pas réagir jusqu'ici. L'indice S&P 500 progresse de 0,25 %.
Les marchés obligataires sont calmes aujourd'hui.
Scott Colbourne répondent à vos questions sur les titres à revenu fixe.
Quand les banques centrales vont commencer à réduire les taux?
Commençons par la Banque du Canada.
Tout d'abord, voici ce que les marchés supposent comme point de départ de la discussion. Essentiellement, les marchés supposent qu'il n'y aura plus de hausses de taux au Canada, ni aux États-Unis.
À mon avis, la probabilité est plutôt de 50–50 ici la fin de l'année aux États-Unis, et rien au Canada.
À moment donné, au deuxième semestre de l'an prochain, il y a la possibilité de réduction de taux aux États-Unis, peut-être une, peut-être deux, et rien au Canada.
Alors en prenant cela comme point de départ, je dirais qu'il est plus probable que le Canada réduira les taux avant les États-Unis. Pourquoi?
Vu l'ensemble des choses à l'heure actuelle, et les conséquences de la politique monétaire, les États-Unis ont fait preuve de résilience économique exceptionnelle.
Mais hors des États-Unis, au Canada, en Europe, au Royaume-Uni, en Chine, toutes ces économies ralentissent et ont ralenti beaucoup. Il est difficile aux États-Unis d'éluder cette tendance indéfiniment. La tendance au Canada est à la croissance plus lente. Les taux d'intérêt ont un effet sur les consommateurs, sur les ménages. Il est donc davantage probable que la Banque du Canada doivent réduire les taux au deuxième semestre de l'an prochain.
- Effectivement. Nous savons que l'endettement des ménages est plus élevé au Canada.
Nous sommes une nation plus endettée. Cela devrait commencer à exercer une pression, puisque nous devrons payer plus cher pour servir la dette existante, plutôt que pour la réinvestir dans l'économie.
Est-ce que cela a pris plus longtemps?
- Oui, tout a pris plus longtemps pendant ce cycle. Je suis étonné.
Quand vous revenez aux décisions prises par les autorités, les erreurs qui ont été commises, la réaction budgétaire et monétaire était tout à fait exceptionnelle. Ce cycle-ci est donc différent. Le calendrier a été décalé, mais la politique monétaire finit par avoir un décalage.
Peut-être nous n'aurons pas le même cycle de taux que nous avons historiquement pour plusieurs raisons: Taux d'endettement plus élevé, peut-être la mondialisation a reflué.
Toute de raisons qui feront que l'inflation est structurellement plus élevée.
Mais globalement, je pense qu'il y aura une réduction, un cycle de réduction de taux, qui sera entamée au deuxième semestre de l'an prochain.
- Il y a qui espère une réduction considérable de taux.
Personne ne pense que nous allons réduire auto que nous avions auparavant, mais une réduction considérable dans une période très courte.
- Il faut prendre garde à ce que l'on souhaite.
Il faudrait qu'il y liait de gros problèmes dans l'économie.
Oui, il faut pondérer les probabilités. J'ai annoncé mon scénario, qui est une récession légère, qui amène la Fed, compte tenu de l'inflation, à réduire les taux.
Mais il faut pondérer cette probabilité. Peut-être que la réalité sera beaucoup plus dure à supporter en 2024.
Il pourrait y avoir des mouvements plus prononcés dans les taux d'intérêt, surtout à l'extrémité longue de la courbe.
- À présent, si les taux sont élevés, et bien, les banques centrales le disent constamment, quels sont les secteurs du marché qui peuvent en bénéficier?
- Vous êtes payé pour attendre. Donc, il y a beaucoup d'opportunités qui sont offertes à l'extrémité courte de la courbe des rendements.
La décision à prendre pour les investisseurs est la suivante: Est-ce que vous voulez ou non la Duration? Si vous vous inquiétez des taux à long terme, et bien, vous êtes payé, que ce soit sur le marché monétaire ou dans les obligations d'entreprise, ou même d'État à court terme. Vous êtes payé pour investir.
Si vous songez à cinq ou 6 % des obligations de sociétés de première qualité à court terme, c'est extrêmement attrayant.
Et cela pourrait constituer un élément important des portefeuilles des investisseurs. Donc oui, c'est très intéressant, mais si vous envisagez un portefeuille de titres à revenu fixe, ils jouent un rôle de diversification de couverture.
Pronostiquer un atterrissage brutal, eh bien, cela vous amènerait, puisque les rendements baisseraient, à avoir peut-être structure en altèrent des obligations de sociétés à court terme des obligations d'État à long terme.
Les risques dont les investisseurs doivent tenir compte quand ils envisagent une telle stratégie?
- Si vous allez procéder ainsi, soyez patient.
Si vous êtes payé pour attendre, c'est la patience?
Oui, comment obtenir un rendement dans les trains revenus fixe?
Eh bien, c'est à cause du revenu, comme son nom l'indique. Et puis nous avons un revenu. C'est-à-dire que vous êtes payé pour attendre à l'heure actuelle. Et puis les gains au niveau au niveau des prix pourront être au rendez-vous ou non selon la manière dont l'économie évoluera.
Mais je ne vois pas beaucoup de potentiel de hausse en ce qui concerne les rendements. Mais je ne vois pas accélération à rapide de la croissance aux États-Unis ou au Canada à l'heure actuelle.
Globalement, nous pensons que la croissance mondiale continuera de ralentir. La croissance du marché du travail ralentira, se modèrera . L'inflation ralentira, se modèrera .
Donc les grandes tendances dit qu'il sera payant d'attendre.
À présent, qui sont sur les marchés émergents.
Comment se présente-t-il?
Les marchés émergents ont été les premiers à relever les taux, maintenant plusieurs d'entre eux ont commencé à les réduire déjà.
- Nous avons été informé depuis plusieurs années que la situation est très spécifique à chaque pays.
Acheter une vaste corbeille de titres de créance des marchés émergents, ça a été un défi.
Des pays comme la Turquie, la Russie, l'Argentine, sont des cas spéciaux. Et catastrophiques pour les détenteurs de titres à revenu fixe. Il faut donc être très spécifique.
Il y a une poignée de marchés qui nous plaisent. Nous avons investi au Brésil cette année, en Afrique du Sud.
Il y a des occasions spécifiques qui se présentent.
C'est vraiment une question de sélectionner.
C'est donc plus difficile pour l'investisseur autonome, car quand je songe à ce qui est offert à un investisseur autonome, ce sont des FNB avec un vaste éventail d'obligations, y compris celle des marchés que vous venez d'évoquer.
- Oui, il est très difficile pour les investisseurs individuels.
Il y a quelques FNB, mais ce sont des Fourtou.
Faites toujours vos propres recherches avant de prendre des décisions de placement.
Scott Colbourne répond à d'autres questions sur les titres à revenu fixe dans quelques instants.
Vous pouvez nous imposer en tout temps par courriel à moneytalklive@td.
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À présent, poursuivons la découverte de CourtierWeb.
Jetons un nouveau coup d'œil sur la plate-forme avancée, conçu pour les négociateurs actifs, et proposée par Placements directs TD. Jason Natyk, formateur à Placements directs TD, nous rejoint.
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Alors commençons par des personnalisations de base et par parlé des styles de graphiques et des séries temporelles.
Sur la plate-forme, si vous voulez personnaliser des fonctions, c'est le cas aussi pour les graphiques, vous recherchez les petits symboles que vous voyez dans le coin supérieur droit, les petits rouages, ainsi que dans le coin inférieur droit.
Alors cliquons sur le rouage en haut à droite. Vous pouvez personnaliser l'aspect, les couleurs, même, l'apparence de l'arrière-plan.
Même le quadrillage.
Il est donc possible de personnaliser l'expérience.
Ensuite, le rouage du bas, je vais m'intéresser aux étiquettes, car elles offrent la possibilité d'ajouter des notifications visuelles.
Alors donc, moi, j'aime bien les cours supérieurs et inférieurs sur la droite. Sans devoir faire de recherches supplémentaires.
À présent, jetons un coup d'œil rapide sur l'ajustement du style de graphiques.
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Ensuite, comment ajuster et déchiffrer les fréquences temporelles?
Que vous vous intéressiez aux opérations au jour le jour ou à détenir des valeurs à plus long terme, vous remarquez en bas à gauche il y a des périodes chronologiques qui sont couramment utilisées, mais si vous voulez entrer dans les détails, à côté du symbole en haut à gauche, il est possible de choisir toute une série de plages temporelles.
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Je vais en ajouter deux pour voir à quel point il est facile de l'ajouter.
Il y a une ligne bleue qui s'est ajoutée.
Cela signifie que les deux moyenne mobile sont sur la même période.
Adaptons-en une.
On peut adapter n'importe quelle moyenne en cliquant sur les comptes de rouage.
À partir de là, il y a différentes façons de modifier le format. Vous pouvez ajouter d'autres fourchettes, comme les fourchettes de bolide gèrent, afin d'avoir les éléments dont vous de vais tenir compte.
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Merci beaucoup, Jason.
Je vous en prie, Greg.
- Jason Hnatyk est formateur principal à Placements directs TD. Ne manquez pas de visiter le centre d'apprentissage de CourtierWeb, où vous trouverez encore plus de ressources.
À présent, je vous rappelle comment nous poser vos questions.
Avez-vous une question sur les placements ou encore sur les marchés? Vous pouvez nous la poser soit par courriel à moneytalklive@td.com, soit dans la boîte de questions au bas de votre écran.
Il suffit de cliquer sur: Envoyer.
Nos invités pourraient vous répondre en direct.
Scott Colbourne répond à vos questions sur les titres à revenu fixe.
Devrions-nous envisager les actions privilégiées dans un portefeuille de titres à revenu fixe, ou nous contenter des obligations?
- Je ne suis pas expert en actions privilégiées.
Mais je ferai l'observation qui suit. C'est un marché qui va en se rétrécissant au Canada.
Les banques canadiennes sont parmi les plus grands émetteurs et les autorités de réglementation les ont encouragés à faire passer les actions privilégiées actuelles, qui sont orientées par les investisseurs individuels, pour les orienter vers des valeurs qui intéressent plus les institutions.
C'est un marché qui va en se rétrécissant et les investisseurs devraient y songer lorsqu'ils comparent à d'autres formes de placement.
Les investisseurs canadiens sont toujours beaucoup intéressés aux actions privilégiées, mais ce marché qui était jadis augmenté vers les investisseurs de détail représente un risque pour les autorités de réglementation, qui encourage les émetteurs à se détourner de ce marché, lequel se rétrécit au fil du temps, ce qui aura un impact sur la liquidité et le bassin d'investisseurs. C'est l'unique mise en garde que j'émettrais.
Je me concentre exclusivement sur les titres revenus fixe. Nous participons à présent dans le marché des actions privilégiées institutionnelles, mais il s'agit essentiellement de marchés de titres à revenu fixe.
Mais un peu plus bas dans la structure de capital.
- Voilà une question qui est tout à fait pertinent, puisqu'elle m'a permis d'apprendre quelque chose.
Est-ce que la dette de 33 billions des États-Unis, et le coût du service de sa dette, aura un impact sur la politique de la Fed allait garder tout intérêt à court et moyen terme?
Est-ce qu'il aura un impact sur les émissions de bons du trésor et sur le marché obligataire?
- Je l'ai évoqué tout à l'heure. Le mouvement des rendements obligataires aux États-Uni du mois de juillet au mois d'août a été largement réajusté à la hausse. 50 points de base pour les taux à 10 ans.
Et un élément important,c'est l'émission des obligations. Il y a eu une vague engendrée par l'annonce par le trésor de la manière dont elle allait financer cet important déficit.
Donc oui, cela va certainement plomber les marchés.
Les grandes quantités d'obligations émises seront un facteur. Il y a trois facteurs qui entrent en compte dans la valorisation des titres à revenu fixe: L'inflation, nous en connaissons la trajectoire. La croissance, il y a eu des surprises à la hausse, mais nous pensons que c'est appelé à diminuer.
Et puis l'offre d'obligations, c'est un facteur important. Les États-Unis en ont beaucoup émis pour financer leur énorme déficit. Alors oui, cela va avoir un impact sur les taux et cela continuera d'avoir un impact à la hausse sur les taux.
Est-ce que les marchés seront accueillants pour ses émissions? Il s'agit toujours des États-Unis d'Amérique, même certaines agences de notation… il a toujours un prix.
C'est le marché des titres à revenu fixe le plus liquide qui soit. Et tous les entreprises sur celui-là.
Est-ce qu'il y aura des investisseurs pour acheter les obligations?
Oui. Est-ce que la dynamique évolue?
Il y a tellement d'investisseurs qui ont acheté des bons du trésor américain: des gouvernements étrangers, des banques, des fonds communs de placement, des fonds de couverture.
Il y a toutes sortes de facteurs qui sont en jeu dans la demande, mais il y a plus d'émissions, il y aura un rendement plus élevé. À présent, les obligations de sociétés.
Quelles sont les perspectives?
- Les titres de créance des entreprises offrent d'excellentes données fondamentales. Quand vous songez à la trajectoire du marché, il y a eu beaucoup de revalorisation de titres à revenu élevé au titre de première qualité, ce que l'on appelle les étoiles montantes, donc il y a eu rétrécissement du marché de titre rendement élevé américain à cause de la revalorisation d'un nombre aussi important de valeur.
Les données fondamentales générales sont favorables.
Les valorisations à l'heure actuelle sont médiocres pour les titres de créance, je crois que la demande globale, compte tenu du fait que les rendements sont attrayants, l'écart entre le rendement des obligations de sociétés et celui des obligations d'État n'est pas aussi attrayant qu'il a été, mais il est tout de même attrayant.
Mais les émissions en prochain vont commencer à augmenter. C'est un problème plutôt sur le marché des titres à rendement élevé que dans les titres de première qualité. Il y a le mur du refinancement.
Ce mur, nous allons le heurter sur le marché des titres à rendement élevé d'abord. Donc il y a des tendances en jeu.
Les émetteurs qui ne peuvent pas miser sur le marché des capitaux, il y a un nombre croissant de faillites aux États-Unis. La confiance des petites entreprises se détériore il y a donc des inquiétudes sous-jacentes dans les perspectives des entreprises, mais globalement, les titres de créance de première qualité vont bien se porter d'ici la fin de l'année.
Quand je songe à la dette à l'entreprise, je songe à la conjoncture économique.
Si on parle de l'as héritage plutôt brutal, ce que beaucoup de gens, y compris vous, pronostique, oui, un atterrissage brutal sera défavorable pour tout type de créance. Même une augmentation légère entraînera un risque. À mon avis, rien de trop inquiétant.
- Scott Colbourne répond à vos questions sur les titres à revenu fixe dans quelques minutes. Faites toujours vos propres recherches avant de prendre des décisions de placement.
Je vous rappelle comment nous poser vos questions.
Avez-vous une question sur les placements ou encore sur les marchés?
Vous pouvez nous la poser soit par courriel à moneytalklive@td.com, soit dans la boîte de questions au bas de votre écran.
Il suffit de cliquer sur envoyer. Nos invités pourraient vous répondre en direct . L'indice de Placements directs TD pour le mois d'août a paru.
Anthony Okolie l'a analysé. Le voici.
- Merci, Greg. L'indice Placements directs TD a paru pour le mois d'août.
Conclusion globale: Le degré de confiance des investisseurs autonomes est à la baisse. Nous sommes en territoire baissier.
Tout d'abord, l'indice de Placements directs TD globale, qui mesure la confiance sur une gamme de un portrait baissier à son portrait aussi.
Nous en sommes à -23, soit en baisse de 23 points sur le mois dernier, en baisse de neuf mois par rapport au mois d'août de l'an dernier, c'est-à-dire que les investisseurs autonomes se sentent moins optimistes qu'il y a un an.
Les éléments de l'indice montrent une poussée de pessimisme dans les quatre indicateurs.
L'indicateur de la tendance, c'est-à-dire les investisseurs qui ont acheté des actions sur le marché en hausse, est passé à -9 au mois d'août, en baisse de 14 points sur un mois.
Quelques éléments clés qui en ressortent. Tout d'abord, les titres financiers inspirent le moins confiance par rapport à tous les secteurs, tandis que la technologie continue de se classer en première place pour le sixième mois consécutif.
Ensuite, la génération du baby-boom, nés entre 1946 et 1964, est encore une fois la plus pessimiste.
Encore une fois, quand nous vendions la confiance des investisseurs autonomes a baissé de 11 points sur un mois, à -7.
On a affiché des titres moins élevés que prévu pour le mois d'août. La confiance à l'égard du secteur de la technologie demeure positif, à plus quatre, malgré un recul: 3 points. Le secteur de la technologie à remonter le mois dernier, notamment à cause des bénéfices tunnels annoncés par NVIDIA, le géant des puces, ainsi que par l'engouement pour l'intelligence artificielle, qui ne semble pas apaisé. Le titre de technologie, les titres financiers les plus vendus le mois dernier, Banque TD, Banque Scotia, banque CIBC, Banque Royale et Banque de Montréal.
La technologie les plus achetés: Apple, Microsoft, Shopify, et NVIDIA, le fabricant de puces, lequel, notablement, était détenu par toutes les catégories démographiques mois dernier.
Enfin, l'activité de négociation par l'âge. Encore une fois, la génération du baby-boom et la plus pessimiste.
Le degré de confiance diminuant de 10 points, à -14.
Voilà un coup d'œil à l'indice de Placements directs TD pour le mois d'août 2023. Greg, à vous.
- Merci, Anthony.
Vous venez d'entendre Anthony Okolie.
À présent, une mise à jour sur les marchés.
Nous revoici sur la plate-forme avancée.
La carte thermique vous permet d'embrasser le marché du regard. Voici l'indice TSX 60 en fonction du cours et du volume.
Il y a du verre à l'écran.
Dollarama annonce des bénéfices trimestriels supérieurs aux prévisions et double ses pronostiques de vente. Les Canadiens qui sont à l'appel à cause de la haute des prix à la consommation se tournent vers des détaillants comme Dollarama. L'action progresse de 4,5 %.
Dans le secteur de l'énergie, la situation est mitigée.
Le secteur financier affiche du vert à l'écran.
À présent, un coup d'œil sur l'indice S&P 100.
À l'heure actuelle, les constructeurs automobiles classiques comme Ford , même s'ils fabriquent également des véhicules électriques, sont en hausse de 2,8 %.
Tesla, 1,5 %.
Et les fabricants de puces sont pour la plupart en mode de hausse.
Je vois que Netflix progresse de 4 %.
Je vais voir tout à l'heure s'il y a des actualités qu'il explique.
Pour vous renseigner sur la plate-forme avancée, visitez le site Web de Placements directs TD.
Scott Colbourne de Gestion de Placements TD répond à vos questions sur les titres à revenu fixe.
À moyen terme, sur un à trois ans, Jeff nous demande… bonjour, Jeff! Jeff nous pose régulièrement des questions, nous les apprécions. Il demande à moyen terme, sur un à trois ans, quand et à quel niveau les taux d'intérêt vont se stabiliser?
- Après 10 ans de taux d'intérêt très faible, qui ont suivi la crise financière, quelle sera la nouvelle normalité?
Question judicieuse, et il est difficile d'y répondre.
Il y a différents scénarios.
L'atterrissage en douceur, atterrissage brutal, une récession légère. On peut également pondérer les probabilités d'évolution de l'inflation ou les taux d'intérêt. Une autre façon de voir les choses d'ici un an consisterait à dire: Bon, que pensent les marchés de l'inflation d'ici un an?
J'ai dit tout à l'heure que nous nous dirigeons vers 2,5 % environ.
Si vous prenez cette orientation pour l'inflation globale au deuxième semestre de l'an prochain, où en sera la politique de la Fed?
À l'heure actuelle, et tout intérêt réel sur 10 ans sont autour de 2 %.
Sans poser d'hypothèses quant à l'évolution de l'économie, inflation de 2,5 %, plus des taux réels de 2 %, ça vous donne 4,5 %, ce qui vous permet d'estimer le niveau auquel les taux directeurs et le tout sur 10 ans pourrait s'établir d'ici un an ou: c'est une façon de réfléchir à la question, mais la question était vraiment difficile à analyser en fonction du scénario qui se réalise.
Il y aura peut-être une autre hausse de taux. Cela pourrait être plus proche de 4,5 à 4,75 %.
Mais c'est une façon d'envisager les choses quant à la stabilisation des taux.
Les politiques économiques, les taux à long terme seront à 2,5 %, et nous sommes loin de 2,5 %.
Nous sommes en situation restrictive.
La trajectoire ultime sera à la baisse, mais c'est la trajectoire.
Il y a des questions de persistance de l'inflation, persistance des coûts du marché du travail.
C'est difficile à pronostiquer et il n'y aura pas une trajectoire linéaire, comme vous l'avez dit tout à l'heure.
- Merci, Jeff, pour cette question qui nous a donné matière à réflexion.
Ensuite, le dollar américain et le dollar canadien.
Le dollar américain, j'ai vu sur les médias sociaux qui présentaient en disant: Je ne voudrais pas être sur la voie lorsque passe le train dollar américain.
- Oui, le dollar américain est extrêmement fort par rapport au reste du monde et il se maintient.
Il y a parfois de léger recul, quand les marchés s'emballent un peu, mais pour l'instant, le puissant dollar américain continue d'être soutenu par des facteurs favorables extraordinaires au niveau de la politique budgétaire et monétaire, et cela continuera de se produire.
Le billet vert continuera de briller par rapport au reste du monde.
Dans le reste du monde, on envisage déjà des coupures de taux.
Dans les marchés émergents, sommes déjà à la fin du cycle de hausses de taux.
Dans beaucoup d'autres pays, comme le Canada et l'Australie, il se pourrait qu'il y ait encore une hausse pratiquée par la BCE demain, mais je pense que nous sommes en fin de cycle.
Donc le dollar américain, dans cet environnement, continuera d'avoir le vent en poupe.
Il est difficile de ne pas entendre parler de la dédollarisation pendant l'été.
À présent, on n'en parle plus tellement.
Ce serait un projet extrêmement difficile à réaliser.
Mon avis, c'est du complotiste.
À mon avis, pour détrôner le dollar américain, l'euro représente un élément énorme des marchés internationaux.
À la marge, oui, certains participants sur le marché souhaitent se passer du dollar, mais cela ne se produirait qu'à très, très, très long terme.
- Une ultime question avant de nous séparer.
Est-ce que les taux des CPG ont atteint un maximum?
- Si le taux de politique monétaire à cessé d'augmenter, eh bien, les CPG ont cessé d'augmenter aussi.
C'est simple, les banques ne vont pas payer plus que ce que la direction des taux d'intérêt ne le justifie.
Si vous pensez comme moi que la politique monétaire achève son cycle de hausse, les taux de CPG sont à leur sommet.
C'est une façon coûteuse pour les banques de réunir des fonds. Donc en fait définitive, ils sont appelés à baisser.
- Scott Colbourne, merci pour cet excellent entretien!
Scott Colbourne est responsable des titres à revenu fixe à Gestion de Placements TD.
Faites toujours vos propres recherches avant de prendre une décision de placement.
Et restez à l'écoute. Demain, Haining Zha, Gestion de Placements TD, répondra à vos questions sur l'économie et les marchés chinois.
Vous pouvez nous les poser en tout temps par courriel à moneytalklive@td.
com.
Merci et à demain.