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(musique) Bonjour, Ici Greg Bonnell. Bienvenue à Parlons Argent en direct une émission de Placements directs TD. Nos invités commentent l'actualité des marchés répondent à vos questions sur les placements.
Aujourd'hui, nous discutons avec Robert Both de valeurs mobilières TD pour savoir si la Banque du Canada en a terminé avec son cycle de hausse après le rapport sur l'inflation parue aujourd'hui. Anthony Okolie comment un nouveau rapport de service économique TD sur la saison des achats pour les fêtes de fin d'année. Nous poursuivons la découverte de CourtierWeb, et Hudbay Minerals nous explique comment fonctionnent les obligations à haut rendement et où le trouver sur les plates-formes. Poser une vocation par plate-forme par courriel@moneytalklive@td.com ou dans la boîte à questions bas de votre écran. Mais d'abord un coup d'œil sur les marchés.
Indice TSX composite est légèrement en baisse. Rien de trop grave. 88 ; soit presque 1/2 % pour l'indice TSX. Parmi les titres les plus activement négociés, certaines des sociétés de mines d'or, le cours de leur progresse dans l'attente de la parution du procès-verbal de la Fed qui paraît cet après-midi à cause de la longue fin de semaine aux États-Unis. Kinross progresse légèrement à 7,53 $ l'action, de 3 %.
Transalta évolue dans l'autre direction après la journée des investisseurs et la mise à jour stratégique, TD Cowen déclare que le flux de trésorerie disponible sera légèrement inférieur aux attentes, ce qui plombe le titre à 10,73 $ l'action.
Celle-ci recule de plus de 7 %. L'indice S&P 500, en cette semaine abrégée aux États-Unis, dans l'attente de la parution du procès-verbal de la fête, lundi CCP TSX recule de 12 ; soit 0,2 % pour l'indice Nasdaq reculent un peu plus que l'ensemble du marché 217. Soit presque 1 %. Après la clôture aujourd'hui, on attend les résultats de NVIDIA, bénéficiaire cette année, bien sûr de l'engouement pour l'intelligence artificielle. Les unités de traitement graphique temporisé pour le traitement des données. Hier l'action a atteint un nouveau record. Aujourd'hui l'action recule de 1,5 %.
Nous verrons quelles sont les annonces.
L'inflation globale au Canada a ralenti à 3,1 % en octobre, juste au-dessus de la fourchette cible de la Banque du Canada.
Peut-on dire que le cycle de hausse de la banque centrale est terminé? Robert Both de valeurs mobilières TD nous rejoint pour en discuter. Bonjour, Robert. Commençons par les statistiques sur l'inflation. 3,1 %, sa façon globale. Qu'est-ce qui vous intéresse?
Comme vous l'avez dit, nous sommes légèrement au-dessus de la fourchette cible, une baisse de 0,7 %, c'est une bonne nouvelle pour les Canadiens qui sont aux prises avec la hausse du coût de la vie ainsi que pour la Banque du Canada puisque l'inflation est d'autant plus proche de son objectif. Comme pour tout rapport sur l'indice des prix à la consommation, il y a un certain nombre de facteurs, en l'occurrence, nous assistons à une divergence très nette entre les prix de l'énergie se du logement. Les prix de l'énergie sont la principale force à la baisse au mois d'octobre, le prix de l'essence a reculé de 6,4 % sur le mois précédent. Il y a également eu l'électricité et le carburant de chauffage. Quand on élimine ces éléments, les chiffres globaux semblent un peu moins positifs.
Il y avait également davantage de pression au niveau du logement mois d'octobre. Ce sera un peu plus difficile à assimiler pour les ménages qui sont en difficulté financière. En effet, le loyer est un facteur clé de la hausse de l'IPC depuis plusieurs mois. Cette tendance est encore accélérée en octobre. Les loyers affichent la plus forte augmentation sur un mois depuis plusieurs décennies. Ceci témoigne de la pénurie de logement. Il y a également eu davantage de pression au niveau des coûts d'intérêt hypothécaire, ainsi que des taxes foncières qui ont beaucoup plus augmenté que l'an dernier.
Il y a donc un écart qui se creuse entre le prix du logement et l'ensemble de la corbeille de l'IPC. Ce qui m'a le plus frappé aujourd'hui, c'est l'amélioration dans les mesures d'inflation de base que scrute la Banque du Canada qui s'établissait à 3,8 % en septembre, en octobre elle se situe autour de 3,5 %. La Banque du Canada s'intéressent de très près au taux d'inflation de base sur trois mois, lequel depuis 12 mois s'est maintenu dans une fourchette très serrée, mais il est descendu en deçà de cette fourchette au mois d'octobre alors qu'il était précédemment de 3,7 % en septembre, et à présent de 3,0 %, ce qui est le haut de la cible de la Banque du Canada, de la fourchette cible. Il faudra que cela se prolonge pendant encore deux mois pour qu'une tendance se dessine, mais cela devrait abonner donner davantage confiance à la banque quant à l'impact de sa politique de taux élevés sur la lutte contre les pressions relatives au prix, et que l'inflation est sur la bonne voie pour parvenir à 2 %. En décembre, décembre et tout proche, on va avoir une nouvelle décision sur les taux de la Banque du Canada. Notre banque centrale est celle des États-Unis n'ont rien fait depuis l'été, mais nous sommes dans l'expectative après ce qui s'est produit depuis lors.
D'abord, que pensez-vous que la banque va faire au niveau des taux?
Nous ne prévoyons pas que la Banque du Canada réduisent les taux avant le milieu de l'an prochain.
Pour le mois de décembre, je pense qu'il faudrait franchir un seuil très élevé pour que la banque annonce que des coupures de taux sont plus proches. Depuis le mois de juillet, la Banque du Canada n'est pas intervenue, mais elle a maintenu la menace de hausse de taux sur la table, ce qui a contribué à faire reculer l'inflation pour une prévoyons que ce message demeurera inchangé en décembre. La banque attendra de voir que davantage de progrès ont été accomplis dans la lutte contre l'inflation avant de rengainer la menace 12 de taux, mais après quelques mois de plus de recul de l'inflation, notamment au niveau de l'inflation de base ainsi que de l'inflation globale dont on se rapproche du moment où on peut attendre un changement de cap de la banque.
Est-ce que le problème pour la Banque du Canada ne se situe pas tellement au niveau des données, lesquels évoluent essentiellement dans la bonne direction, mais de la réaction du public. Je me rappelle au printemps, quand la banque avait annoncé qu'elle allait en rester là et voir quel effet elle avait eu sur l'économie, le marché du logement à Bondy.
Et puis la banque dans l'été la banque a dû pratiquer de nouvelles hausses qui ont refroidi le marché. Est-ce que la banque se préoccupe de nos réactions à de petits changements de messages?
La banque sait pertinemment que ces communications sont interprétées par les marchés, par les milieux financiers.
financiers. serrées en gardant présente la menace de nouvelles hausses de taux jusqu'à ce que la banque soit certaine qu'il ne s'agit pas d'un phénomène ponctuel comme au printemps dernier, mais d'une tendance plus nette et plus durable vers 2 % d'inflation et une économie équilibrée. La plus grosse différence se situe entre ce que nous avons vu en janvier est-ce que nous avons aujourd'hui, c'est l'état de l'économie en général. En effet, au début de cette année, le marché du travail était encore très serré. On se situait toujours dans une situation de demande excédentaire. L'économie canadienne affiche une contraction au deuxième trimestre, la croissance est demeurée plus ou moins à zéro pendant le troisième trimestre, et on commence à assister à un retour de l'offre excédentaire dans l'économie. La banque ne veut pas changer de cap avant qu'elle ne soit certaine que les coupures de taux sont effectivement à l'horizon, mais avec encore quelques statistiques semblables et s'il y a davantage de progrès dans les mesures d'inflation de base, nous pourrions nous rapprocher de ce. Après la nouvelle année.
Comment la nouvelle année se présente au niveau de l'économie et de l'emploi?
Le cycle de hausse de taux que nous avons vécu a été extrêmement énergie, peut-être que certaines hausses ont pris plus longtemps à se répercuter sur l'économie, ressentirons-nous le plein impact de l'an prochain?
La conjoncture demeurera très sensible pour la croissance en 2024. La principale source d'incertitude, c'est ce qui se produira dans l'économie au troisième et quatrième trimestre cette année. Nous pensons que la situation se stabilisera au quatrième trimestre et que nous revenons avec une croissance faible mais positive.
Courant 2024 nous devrions nous rapprocher d'une croissance du PIB semblable à la tendance à long terme. C'est-à-dire que l'offre excédentaire va continuer de s'accumuler pendant le courant de l'an prochain et nous verrons également un facteur positif lorsque la Banque du Canada commencera à inverser sa politique monétaire restrictive pendant le premier semestre de l'an prochain.
Nous allons ainsi éviter de basculer dans un ralentissement plus abrupt. Nous prévoyons une croissance du PIB de 0,9 % l'an prochain. Nous pensons qu'avec la croissance démographique est un facteur très important, il continuera d'y avoir une croissance des emplois, mais qui sera dépassé par la croissance de la population active. Le taux de chômage augmentera alors que l'économie avance de plus en plus dans une situation d'offre excédentaire mais nous ne prévoyons pas de fortes pertes d'emploi auquel on pourrait s'attendre en situation de croissance faible. Suite excellent début d'émission avec Robert Both répond à vos questions sur l'économie de taux d'intérêt. Vous pouvez nous les poser par courriel à moneytalklive@td.com dans la boîte à questions au bas de votre écran. À présent l'actualité du monde des affaires et un coup d'œil sur les marchés.
De nouveaux éléments montrent que les consommateurs hésitent à faire de gros achats discrétionnaires.
Le détaillant de produits électroniques Best Buy et la chaîne de bricolage lots en revues à la baisse en prévision de banque.
Les ménages à court d'argent étant à la recherche de bonnes affaires. C'est une évolution dans l'ensemble du secteur du détail car les produits de première nécessité telle que l'épicerie représente une part plus importante des budgets familiaux. Le marché adopte une démarche prudente à l'égard des bénéfices de certains grands détaillants de vêtements.
Abercrombie et Fitch revoit ses prévisions à la hausse après avoir enregistré un bond de 20 % de ses ventes, or l'action recul de 10 %. Tandis que les actions de l'American Eagle sont sous pression et sont toujours à la baisse de 15 %. Les investisseurs évaluent les prévisions de ventes décevantes pour les fêtes de fin d'année. Les attentes sont élevées pour les résultats trimestriels de NVIDIA attendu aujourd'hui après la clôture. Le marché s'attend à une croissance des ventes de plus de 170 %. L'intelligence artificielle étend à l'origine d'une explosion de la demande d'unité de traitement graphique de NVIDIA qui sont favorisées par l'industrie pour la création de réseaux d'intelligence artificielle qui imite nos cerveaux.
L'action recul très modestement de 1,7 %.
À présent les grands indices.
L'indice TSX composite recul de 95. Soit presque 0,5 % et aux États-Unis, en cette semaine de cours abrégé, nous attendons le compte rendu de la Fed à 14 heures, l'indice recul de 13 points, soit moins de 3 % par Robert Both répond à vos questions sur l'économie et les taux d'intérêt.
Qu'attendez-vous dans la mise à jour budgétaire d'automne?
Suite à la mise à jour budgétaire d'automne sera faite par le gouvernement du Canada 16 heures aujourd'hui. Quelle sera le changement apporté aux prévisions budgétaires pour cette année les années à venir?
Le bureau budgétaire du Parlement a mis à jour ses pronostics et envisage des déficits plus importants l'horizon, même si les recettes seront plus importantes que ça n'a été le cas dans le budget du printemps. Depuis six mois, il y a eu des annonces de dépenses périodiques. La mise à jour budgétaire va incorporer toutes les annonces de dépenses et les présenter sous forme de synthèse. Nous allons recevoir davantage d'informations sur ces annonces comme les usines de production de véhicules électriques, les crédits d'impôt sur les nouveaux immeubles à vocation de location. Tous ces éléments vont figurer dans la mise à jour. Le gouvernement va travailler à alléger les préoccupations relatives au logement. Il y a eu beaucoup de spéculations quant à un nouveau financement pour la construction d'immeubles locatifs. Nous devrions avoir davantage de détails dans ce mini budget et nous aurons également une mise à jour sur le programme d'emprunt du gouvernement. Celui-ci est à augmenter depuis un trimestre l'ampleur des enchères d'obligations du Canada. Nous verrons quels serons les conséquences pour les programmes fins 2023 et en 2024.
Compte tenu de l'évolution des programmes d'obligations et des annonces budgétaires, la politique monétaire cherche à lutter contre l'inflation et pour être à contre-courant de la politique budgétaire dont nous aurons des détails cet après-midi et qui comporte une augmentation des dépenses. Depuis plusieurs mois cette question fait l'objet d'une attention de plus en plus soutenue.
Je pense que l'idée que la politique monétaire et budgétaire pourrait être à contre-courant vont entraîner de la part du gouvernement une attitude de retenue dans sa mise à jour budgétaire, même s'il y a eu des suppositions quant à des promesses d'améliorer l'offre de logements. Il s'est plutôt agi de discussion quant au financement sous forme de prêt, plutôt que selon des subventions qui auraient alourdi le déficit budgétaire. La mise à jour budgétaire va comptabiliser toutes les annonces de dépenses depuis six mois, c'est-à-dire depuis la date du budget. Nous pensons qu'il y aura moins de nouvelles annonces dépend cet après-midi.
Ceci devrait donner l'impression que le gouvernement fédéral est conscient de la nécessité de ne pas aggraver la pression inflationniste. Nous pensons que le gouvernement fera preuve de retenue. Nous avons également constaté qu'il cherche à réduire les dépenses pour plusieurs autres ministères. Dans le budget, le gouvernement a promis de réduire les dépenses de 15 milliards sur cinq ans. La première ministre adjointe et ministre des finances, Christian free-lance, a récemment fait une annonce à ce sujet. Le gouvernement fédéral est conscient de la perception voulant que les hausses de dépenses du gouvernement fédéral et des autres paliers de gouvernement pourraient alimenter l'inflation, mais nous prévoyons que les nouvelles annonces dépend cet après-midi seront modestes et que les initiatives relatives au logement prendront la forme de prêts plutôt que de subventions qui alourdiraient les bénéfices que les déficits. Excellente analyse de ce qui nous attend dans quelques heures, lorsque le gouvernement fédéral fera sans annonce.
Comment pensez-vous que le marché du logement évoluera lorsque les taux commencent enfin à baisser?
Le marché du logement et la confiance à l'égard de celui-ci sont très sensibles aux communications de la Banque du Canada.
On l'a vu au printemps, lorsque la banque a annoncé qu'elle allait pratiquer une pose conditionnelle des hausses de taux, cela a déclenché une nouvelle série, plutôt nouvelle période d'effervescence sur le marché du logement. Des villes comme Toronto et Vancouver qui avaient été durement touchés dans les 12 mois précédents ont connu un rebond. Je pense qu'il y aura un changement de cap dans la confiance sur le marché du logement lorsque la Banque du Canada ce rapprochement de coupure de taux.
Ce ne sera pas nécessairement l'aubaine pour l'abordabilité des logements que certains auraient appelés de leurs vœux.
La Banque du Canada va réduire les taux progressivement par comparaison au rythme des hausses de taux. La banque procédait à des augmentations de 50,75, voire sans points de base à la fois, nous prévoyons que les coupures de taux seront plus progressives et ordonnées. Ce qui devrait limiter la rotation en faveur du marché du travail. Nous prévoyons que les prix du logement se stabiliseront premier trimestre l'an prochain. Nos collègues de service économie TD prévoient que les ventes de logements 2024 augmenteront de 5,2 %, puis 15 % 2025 et se stabiliseront, les prix restant essentiellement échangeaient l'an prochain mais augmentant de 5 % 2025. Depuis quelques mois, lorsque nous recevons les statistiques de l'inflation comme ce matin, nous essayons de voir où se situent encore les pressions. Comme on l'a dit au début de l'émission, les près de hypothécaires et les loyers, puisque les propriétaires relèvent les loyers, leurs coûts ayant augmenté, représente un facteur clé dans l'inflation. On a posé la question à la banque pour lutter contre l'inflation, on relève les taux, hors des mensualités des prêts hypothécaires représentent un élément clé de l'inflation parce que ces critiques justifiées?
On a beaucoup posé la question à la banque depuis six à 12 mois et on la posera de nouveau dans l'avenir.
Si l'écart entre les coûts du logement et le reste de la corbeille de l'IPC continue de grandir. La Banque du Canada a maintenu une politique de taux à 0,5 % depuis 2015 jusqu'au début des hausses de taux en 2017, 2018. Pendant cette période de faible taux d'intérêt, les prix du logement ont beaucoup augmenté, ce qui a exercé une pression là-haut sur l'inflation. La Banque du Canada tient compte de ce fait lorsque la politique monétaire entraîne une augmentation des prix de logements et réduits l'abordabilité. La Banque du Canada considère les prix du logement pendant tout le cycle d'affaires, pas seulement lorsqu'elle relève les taux, mais la banque a également des mesures d'inflation de base qui exclut ces changements d'un mois sur l'autre plus volatil. Le gouvernement Macklem a déclaré dans une de ses interventions récentes que la mesure moyenne corrigeait de l'IPC exclut les prix du logement depuis un an. Dans l'avenir, les loyers seront également exclus de ce calcul.
La Banque du Canada exclut d'ores et déjà dans une certaine mesure les coûts du logement de ses calculs, mais nous prévoyons que la question continuera d'être posée.
À présent, une question sur les États-Unis. Que faudrait-il pour que la Fed recommence à relever ses taux ou est vraiment terminée?
Nous pensons que la Fed en a terminé, mais nous prévoyons qu'elle va commencer à réduire les taux au deuxième trimestre de l'an prochain. Mais si vous remontez au mois de septembre, la fête avait encore une hausse de taux dans son graphique A., Comme la Banque du Canada, nous ne prévoyons pas que la Fed cesse de faire planer la menace de hausses de taux tant qu'elle ne sera pas absolument convaincue qu'il y a eu un revirement et que nous sommes sur la voie de revenir à 2 % d'inflation.
La différence entre les États-Unis et le Canada, c'est que la dynamique a été plus forte depuis deux trimestres États-Unis.
La croissance du PIB américain était de 4,9 % au troisième trimestre. La dynamique a beaucoup ralenti à l'abord du quatrième trimestre. Nous prévoyons que la croissance du PIB américain au quatrième trimestre sera de 1,2 %. L'indicateur de la Fed d'Atlanta la place à 1,9 %, mais si les conditions s'amélioraient, et que la demande excédentaire augmentée aux États-Unis à l'orée de l'an prochain, cela maintiendrait la possibilité de hausses de taux. En outre si le rythme de croissance des emplois recommence à accélérer, exerçant une pression sur les hausses salariales, cela pourrait entraîner de nouvelles hausses par la fête, mais nous pensons que le cap a été franchi, et que la Fed en a bien terminé.
Faites vos propres recherches avant de prendre des décisions de placement. Robert Both répond à d'autres questions sur l'économie les taux d'intérêt dans quelques instants. Puis nous les pauses en tout temps par courriel à moneytalklive@td.com. À présent, poursuivons la découverte de CourtierWeb.
Si vous vous intéressez au titre à revenu fixe, peut envisager les obligations à haut rendement. Hudbay Minerals, formateur principal à Placements directs TD commente leurs fonctionnements et notions pour les trouver.
Bonjour y règne. Beaucoup de gens qui connaissent les obligations ne sont peut-être pas familiers des obligations à rendement élevé. Pouvez-vous nous expliquer ce qu'elles sont et on les trouve.
Bonjour, grec. Alors, quelques mots sur la nature des obligations à rendement élevé. Quand une entreprise cherche à réunir des capitaux pour un projet d'expansion, par exemple, elle peut procéder de deux façons.
Elle peut vendre des parts de la société aux investisseurs sous forme d'actions, ou bien elle peut émettre des titres de créance et c'est là où le marché obligataire en tranches.
Les obligations représentent une promesse de rembourser le montant emprunté et de verser pendant la durée pendant laquelle l'obligation est en vigueur, de verser des paiements, c'est-à-dire ce qu'on appelle des coupons. Alors cliquons sur l'onglet recherche, et sous la rubrique placement à revenu fixe. Les obligations rendement élevées, comme leur nom l'indique sans celle qui procure justement un rendement élevé. Alors on clique sur les catégories, ce qui ouvre une feuille de taux. Alors nous allons passer tout de suite à notre page. Alors parlons des titres à rendement élevé. Première chose à vérifier, au niveau des produits à rendement élevé, c'est qu'elles sont classées en fonction de la note de crédit. La note de crédit, vous le remarquerez, se trouve sur les notes des PRS et STP. Ces obligations sont de catégorie BB ou plus basses.
Autrement dit, il s'agit des catégories autres que de première qualité, c'est-à-dire que des risques plus importants y sont associés. À cause de ce risque plus élevé, les investisseurs exigent des rabais plus importants pour ces produits par rapport aux obligations de première qualité.
Donc le prix actualisé, les obligations sont généralement vendues au prix de 100 $, c'est-à-dire le cours nominal, et toutes ces obligations sont vendues à moins de 100 $ ou presque, ce qui représente le rabais qui est corrélé directement avec le rendement. Vous voyez que le rendement jusqu'à maturité est en général élevé.
C'est à cause du caractère risqué, puisqu'il y a un risque de défaillance associée à ces produits à rendement élevé.
Certains investisseurs sont disposés à y investir parce qu'il y aurait des gains en capital potentiel, puisque le produit devrait être remboursé à la valeur nominale et qui procure rendement élevé entre-temps.
Voici une explication des obligations rendement élevées de leurs risques. Un investisseur qui est néanmoins intéressé, comment peut-il se procurer ce produit?
Ce qui est directement relié à la façon d'acheter ces produits, il y a le risque de liquidité. Par comparaison aux obligations de première qualité, ces produits présentent un risque de liquidité plus important, c'est-à-dire qu'ils ne sont pas aussi accessibles aux investisseurs projetés sur les plates-formes en ligne. Il est nécessaire de téléphoner au bureau de négociation des produits à revenu fixe à Placements directs TD.
Le bureau s'assurera que le client est au courant des risques spécifiques reliés à l'émission. Dont il est question.
Un investisseur qui se sent mal à l'aise lorsqu'il s'agit d'investir directement dans ces produits peut choisir plutôt un fonds. Parlons des fonds communs de placement dans quelques instants. Allons à recherche encore une fois, et sous la rubrique placement, nous cliquons sur FNB.
Il existe une catégorie de fonds qui permet d'envisager uniquement les obligations rendement élevées.
Alors nous devrions trouver revenu fixe à rendement élevé. élevé. gestionnaires de fonds pour acheter et vendre des moments commodes et vous avez toute une série de FNB qui vous permettent d'avoir une exposition des obligations rendement élevées. Suite alors des recherches à faire pour le spectateur qui s'intéresse au produit rendement élevé.
Hudbay Minerals et formateur principal à Placements directs TD. Ne manquez pas de visiter le centre d'apprentissage de CourtierWeb où vous trouverez encore plus de ressources.
Robert Both répond à vos questions sur l'économie et les taux d'intérêt.
Quels sont vos perspectives pour le taux de change du dollar américain par rapport au dollar canadien?
La clé pour le dollar américain à l'approche de 2024, sera ce qui arrive à l'économie américaine. Le dollar américain va suivre la direction de l'économie américaine, tandis que la situation de l'économie américaine s'infléchir à, que la croissance réduit, que le chômage augmente, le dollar devrait commencer à rétrograder par rapport au sommet qu'il a atteint tandis que les marchés commencent à envisager un programme de réduction de taux plus énergique de la part de la fête, surtout par comparaison d'autres banques centrales. On a déjà vu des signes avec les annonces de données, les chiffres sur l'emploi en octobre, et sur l'inflation, sont tout un peu plus faibles que prévu et il y a un recul considérable du dollar américain après la parution de ces statistiques. Le dollar américain tourne autour de 1,37 $ canadien aujourd'hui, nous prévoyons qu'elle sera redescendue à 1,30 $ d'ici la fin de l'année, et 1,25 $ d'ici la fin de 2025, donc nous pensons que le dollar américain va reculer par rapport au dollar canadien, mais dans mon dossier.
Est-ce qu'il y a des facteurs au Canada qui pourrait renforcer le dollar canadien par rapport au dollar américain?
Le Canada peut obtenir des résultats supérieurs à ceux d'autres pays du jet 10.
Nous avons la croissance démographique est un excellent facteur de croissance macro-économique qui va limiter le ralentissement de l'économie et devrait permettre à la Banque du Canada de réduire les taux plus progressivement que la Fed.
Mais nous prévoyons que le dollar canadien prenne de la valeur par rapport au dollar américain d'ici deux ans.
Alors quelle est la nouvelle norme pour les taux d'intérêt?
On entend beaucoup parler de la nouvelle norme, les taux plus élevés plus longtemps de la part des banques centrales.
Cela a été affecté par certaines des tendances mondiales qui se sont quelque peu inversées pendant les 20 dernières années jusqu'à la pandémie, il y avait un effet traîna de la mondialisation de la numérisation, toutes ses forces qui faisaient baisser les taux d'intérêt.
Certaines de ces forces commencent à s'inverser, les chaînes d'approvisionnement se complexifient, au fur et à mesure que la relocalisation ou le rapatriement se généralise. Les investissements dans le secteur vert, à des carbones nidation déclenche des forces qui seront favorables au taux neutre dans l'avenir. Avec la crise financière et la pandémie de Covid, il y a eu une période de taux d'intérêt extrêmement faible. Nous ne pensons pas y revenir. Ne pensant que la Banque du Canada va cesser de réduire les taux aux alentours de 3 %. Ce nouveau niveau neutre est un peu plus élevé que le taux neutre estimatif antérieur avant la pandémie, mais nous ne sommes jamais parvenus à l'objectif fixé par la banque.
Pendant la pandémie, le problème c'est qu'il y avait trop peu d'inflation, pas trop. L'environnement prendra une allure différent dans l'avenir, quiconque renouvelle un prêt hypothécaire devra peut-être espérer en vain un retour au prêt à taux fixe inférieur à 2 %. Si la Banque du Canada s'arrête à 3 %, les coûts d'emprunt seront plus élevés à cela que nous étions habitués avant la pandémie.
Une réalité nouvelle à laquelle il faut s'habituer. Je me rappelle de ce que je payais lorsque j'ai acheté mon premier logement 2000 : alors quelles sont vos perspectives sur le pétrole et le secteur de l'énergie? Est-ce que vous pensez que le bruit de référence américain pour un projet de 100 $ le baril?
Nous ne pensons pas que le bruit de référence reviendra aux 100 $, mais nous pensons que les cours vont augmenter en 2024. Notre pronostic publié dans nos perspectives mondiales pour 2024 la semaine dernière prévoit que le brut de référence américain se situe entre 90 et 95 dollars au début de l'an prochain.
C'est un bon considérable par rapport au niveau d'aujourd'hui et cela va faciliter ou plutôt rendre la tâche des banques centrales plus difficiles alors qu'elle cherche à ramener l'inflation à 2 %. Mais nous pensons qu'il est un peu trop de pessimisme qui est intégré dans les marchés de l'énergie à leur actuel.
L'économie mondiale semble un peu plus fragile à la bande 2024, mais nous sommes toujours dans un environnement où il y a des risques considérables relatifs au cours de l'énergie. Le conflit russo-ukrainien s'éternise, il y a davantage de tensions Moyen-Orient. Tous ces facteurs peuvent maintenir les cours du pétrole à un niveau élevé, même si l'économie mondiale affiche une trajectoire plus basse l'an prochain.
Robert Both répond à vos questions sur l'économie les taux d'intérêt dans quelques instants. Faites toujours vos propres recherches avant de prendre des décisions de placement. Vous pouvez nous poser vos questions en tout temps.
Avez-vous une question au sujet des placements ou encore des marchés? Vous pouvaient nous la poser soient par courriel à moneytalklive@td.com, ou dans la boîte de questions au bas de votre écran. Il suffit de cliquer sur envoyer.
Nos invités pourraient vous répondre en direct.
À l'approche des fêtes de fin d'année, les acheteurs américains sont d'humeur à dépenser, mais les pressions inflationnistes qui pèsent sur leur portefeuille mortel mettre un frein aux achats liés aux fêtes? Anthony Okolie comment un nouveau rapport de service économie TD sur les tendances de dépenses aux États-Unis les conséquences pour les détaillants. Service économie TD ne prévoit pas que les ventes de fin d'année aux États-Unis vont être semblables au vent exceptionnel des trois dernières années tandis que l'économie s'était ajustée au choc des dépenses engendrées par la pandémie.
Malgré tout, les dépenses, pendant les fêtes que devraient augmenter de 4,5 % sur 12 mois au quatrième trimestre. C'est moins élevé que les 6 % en 2022, mais cela dépasse la moyenne pré-pandémie comme le montre le graphique. La raison principale pour la solide croissance des ventes prévues par service économie TD aux États-Unis est essentiellement attribuable au coussin d'épargne datant de la pandémie qui, on l'espère, va doper les ventes des fêtes de fin d'année.
Le marché du travail aux États-Unis est suffisamment bien portant également pour justifier des ventes plus élevées. Selon service économie TD, les Américains ont 800 milliards de dollars d'épargne excédentaire au troisième trimestre, ce qui est le nouveau presque de l'estimation précédente de service économie TD, soit 470 milliards. Quand on tient compte de l'épargne excédentaire dans les dépôts bancaires, le montant est d'environ 1,3 billions de dollars d'actifs liquides, comme le montre le graphique. Le marché du logement aux États-Unis demeure tendu, le chômage reste faible, ce qui devrait encourager les consommateurs à dépenser pendant la saison des fêtes. Le marché du travail américain favorable à la croissance des revenus qui est le facteur le plus important dans les dépenses.
Jusqu'ici, nous constatons que les gains horaires moyens et que l'indice du coût de l'emploi montre que les travailleurs américains reçoit toujours des augmentations de salaire. Il y a des facteurs défavorables pour les défaillances américains toutefois. Les dépenses des consommateurs augmentent plus rapidement que le revenu discrétionnaire personnel comme le montre le graphique. La disponibilité de crédit allant diminuant, les consommateurs devront réduire leurs dépenses en fonction de leurs revenus.
Deuxième facteur important, on n'en parle plus début d'année, c'est l'inflation.
L'inflation a reflué par rapport au pic atteint en juin de l'an dernier mais elle demeure assez élever, ce qui pourrait détourner les dépenses des Américains en faveur de produits alimentaires et d'autres produits de première nécessité et aux dépens d'achat de fin d'année, comme les jeux électroniques les téléphones intelligents. Il y a également un transfert des dépenses en faveur d'expériences comme les restaurants.
Enfin, davantage de consommateurs commencent leurs emplettes de fêtes de fin d'année dès le mois d'octobre même plutôt tandis que les détaillants rivalisent pour leur part de portefeuille. Les ventes d'octobre 2 novembre augmentent tandis que celle de décembre diminue.
Malgré tout, service économie TD prévoit que le marché du travail tendu ainsi que l'épargne excédentaire devrait contribuer à maintenir le niveau des dépenses de consommation aux États-Unis pendant la saison.
Autrefois tous les cadeaux qui arrivaient pendant la part des faits étaient achetés en ligne. Bien sûrs nous vivons dans un monde différent. Vous allez au magasin.
Clôture de cette tension entre les ventes en ligne et en personne?
Il est étonnant que les ventes en ligne se portent très bien cette année.
Les dollars de consommation américain continue d'être attiré par les ventes en ligne. Les détaillants en magasin, c'est la ligne jaune, surtout des vents de commerce électronique, représente 28 % des ventes dans la catégorie des dépenses de fête. Ceci dépasse l'ancien pic de 27,7 % au plus fort de la pandémie en avril 2020.
Et c'est le pourcentage plus élevé de toutes les catégories avec les supermarchés, magasins d'alimentation, c'est-à-dire la ligne verte, après de 20 % seulement. Nous sommes de plus en plus contributeurs de la technologie, les appareils connectés, les acheteurs veuillent avoir la commodité d'acheter sur leurs appareils intelligents, mais gagne également une croissance des abonnements sur les plates-formes, ainsi que les appuis mobiles comme Séphora ou Amazon qui améliore encore l'expérience pour le consommateur, permettant une experte de magasinage plus personnalisé, 1, Passage facile à la caisse, il n'est pas étonnant que les ventes en ligne se portent bien cette saison.
Et on n'est pas obligé de se lever sans canapé. Merci, Anthony Okolie.
À présent mis à jour sur les marchés.
Voici la plate-forme avancée conçue pour les négociateurs actifs et proposés par Placements directs TD. Voici la fonction de carte thermique qui permet de visualiser l'évolution de l'indice TSX 60 en fonction du cours et du volume. Le cours de l'or se raffermissant à la nuance des annonces de la fête, certaines compagnies de mines d'or, y compris barriques, Kinross progresse de 3 %.
C'est essentiellement dans ce secteur contredit vers l'écran. Le secteur de la technologie, légère pression à la baisse que le secteur financier la technologie également. Aux États-Unis, indice S&P 500, après un bon début du mois de novembre affiche des résultats mitigés. AMD et Intel dans le secteur des semi-conducteurs, et en légère baisse, NVIDIA annonce des résultats après la clôture. Les attentes sont élevées à l'égard des ventes pour NVIDIA. Le titre recule de 1,3 %. Du vers l'écran, il y en a. Tesla qui progresse de 2,3%.
Pour obtenir davantage d'informations sur le plafond avancé, visitez le site Web de Placements directs TD. Robert Both de valeur mobilière TD répond à vos questions. Que prévoyez-vous au niveau des ventes au détail au Canada?
Les statistiques paraissent vendredi, je crois.
Il est sans doute un peu tôt pour voir où en sont les dépenses des fêtes puisque nous en sommes seulement donnés de septembre, mais nous prévoyons que les statistiques soient un peu plus prometteuses que statistique Canada l'avait prévu. L'institut de statistiques propose une estimation préliminaire chaque mois, et il a même envisagé que la progression serait que deux heures, 3 % septembre. Nous prévoyons que cela sera plus élevé, mais les facteurs sous-jacents demeurent faibles. Les véhicules à moteur seront sans doute le principal facteur de la croissance des reventes en septembre, au bon nombre de ces véhicules aurait été acheté à l'avance compte tenu des problèmes de chaîne d'approvisionnement, les délais de livraison demeurant très long.
Or auto, il y aurait une augmentation plus ou moins nu. Quand on tient compte de la rapidité avec laquelle les prix des biens augmentent et de la croissance démographique, la situation du commerce de détail paraît considérablement moins reluisante lorsqu'on l'ajuste par habitant. Les ménages canadiens sont donc sous pression et nous pensons que ce phénomène se poursuivra en septembre.
Une ultime question avant de vous quitter.
Nous gardons la plus facile pour la fin.
Est-ce que nous abordons une période de stagflation?
M'avait dit qu'on vous pose beaucoup cette question.
Oui on nous la pose effectivement. Ce que nous constatons, c'est une version de la stagflation, mais la stagnation n'est pas tout à fait aussi extrême que pendant des périodes précédentes. Mais aussi, le contexte de l'inflation n'est pas aussi alarmant qu'elle était il y a six ans.
Donc nous sommes dans une période d'inflation plus élevée de croissance plus faible. Je ne veux pas… stagflation, mini stagflation. Nous prévoyons que la croissance stabilise pendant le quatrième trimestre. Je ne prévois pas que nous soyons dans un scénario d'atterrissage brutal, même s'il y a deux trimestres croissance nuls.
Robert, merci pour cet entretien.
Ça m'a fait plaisir.
Merci Robert Both de valeur mobilière TD. Comme toujours fêtent vos propres recherches avant de prendre une décision de placement. Restez à l'écoute demain, Ben Gossack, gestionnaire de portefeuille à gestion de placements TD va répondre à vos questions sur les actions mondiales.
Vous pouvez nous les poser d'ores et déjà par courriel à moneytalklive@td.com. Merci et à demain.
Aujourd'hui, nous discutons avec Robert Both de valeurs mobilières TD pour savoir si la Banque du Canada en a terminé avec son cycle de hausse après le rapport sur l'inflation parue aujourd'hui. Anthony Okolie comment un nouveau rapport de service économique TD sur la saison des achats pour les fêtes de fin d'année. Nous poursuivons la découverte de CourtierWeb, et Hudbay Minerals nous explique comment fonctionnent les obligations à haut rendement et où le trouver sur les plates-formes. Poser une vocation par plate-forme par courriel@moneytalklive@td.com ou dans la boîte à questions bas de votre écran. Mais d'abord un coup d'œil sur les marchés.
Indice TSX composite est légèrement en baisse. Rien de trop grave. 88 ; soit presque 1/2 % pour l'indice TSX. Parmi les titres les plus activement négociés, certaines des sociétés de mines d'or, le cours de leur progresse dans l'attente de la parution du procès-verbal de la Fed qui paraît cet après-midi à cause de la longue fin de semaine aux États-Unis. Kinross progresse légèrement à 7,53 $ l'action, de 3 %.
Transalta évolue dans l'autre direction après la journée des investisseurs et la mise à jour stratégique, TD Cowen déclare que le flux de trésorerie disponible sera légèrement inférieur aux attentes, ce qui plombe le titre à 10,73 $ l'action.
Celle-ci recule de plus de 7 %. L'indice S&P 500, en cette semaine abrégée aux États-Unis, dans l'attente de la parution du procès-verbal de la fête, lundi CCP TSX recule de 12 ; soit 0,2 % pour l'indice Nasdaq reculent un peu plus que l'ensemble du marché 217. Soit presque 1 %. Après la clôture aujourd'hui, on attend les résultats de NVIDIA, bénéficiaire cette année, bien sûr de l'engouement pour l'intelligence artificielle. Les unités de traitement graphique temporisé pour le traitement des données. Hier l'action a atteint un nouveau record. Aujourd'hui l'action recule de 1,5 %.
Nous verrons quelles sont les annonces.
L'inflation globale au Canada a ralenti à 3,1 % en octobre, juste au-dessus de la fourchette cible de la Banque du Canada.
Peut-on dire que le cycle de hausse de la banque centrale est terminé? Robert Both de valeurs mobilières TD nous rejoint pour en discuter. Bonjour, Robert. Commençons par les statistiques sur l'inflation. 3,1 %, sa façon globale. Qu'est-ce qui vous intéresse?
Comme vous l'avez dit, nous sommes légèrement au-dessus de la fourchette cible, une baisse de 0,7 %, c'est une bonne nouvelle pour les Canadiens qui sont aux prises avec la hausse du coût de la vie ainsi que pour la Banque du Canada puisque l'inflation est d'autant plus proche de son objectif. Comme pour tout rapport sur l'indice des prix à la consommation, il y a un certain nombre de facteurs, en l'occurrence, nous assistons à une divergence très nette entre les prix de l'énergie se du logement. Les prix de l'énergie sont la principale force à la baisse au mois d'octobre, le prix de l'essence a reculé de 6,4 % sur le mois précédent. Il y a également eu l'électricité et le carburant de chauffage. Quand on élimine ces éléments, les chiffres globaux semblent un peu moins positifs.
Il y avait également davantage de pression au niveau du logement mois d'octobre. Ce sera un peu plus difficile à assimiler pour les ménages qui sont en difficulté financière. En effet, le loyer est un facteur clé de la hausse de l'IPC depuis plusieurs mois. Cette tendance est encore accélérée en octobre. Les loyers affichent la plus forte augmentation sur un mois depuis plusieurs décennies. Ceci témoigne de la pénurie de logement. Il y a également eu davantage de pression au niveau des coûts d'intérêt hypothécaire, ainsi que des taxes foncières qui ont beaucoup plus augmenté que l'an dernier.
Il y a donc un écart qui se creuse entre le prix du logement et l'ensemble de la corbeille de l'IPC. Ce qui m'a le plus frappé aujourd'hui, c'est l'amélioration dans les mesures d'inflation de base que scrute la Banque du Canada qui s'établissait à 3,8 % en septembre, en octobre elle se situe autour de 3,5 %. La Banque du Canada s'intéressent de très près au taux d'inflation de base sur trois mois, lequel depuis 12 mois s'est maintenu dans une fourchette très serrée, mais il est descendu en deçà de cette fourchette au mois d'octobre alors qu'il était précédemment de 3,7 % en septembre, et à présent de 3,0 %, ce qui est le haut de la cible de la Banque du Canada, de la fourchette cible. Il faudra que cela se prolonge pendant encore deux mois pour qu'une tendance se dessine, mais cela devrait abonner donner davantage confiance à la banque quant à l'impact de sa politique de taux élevés sur la lutte contre les pressions relatives au prix, et que l'inflation est sur la bonne voie pour parvenir à 2 %. En décembre, décembre et tout proche, on va avoir une nouvelle décision sur les taux de la Banque du Canada. Notre banque centrale est celle des États-Unis n'ont rien fait depuis l'été, mais nous sommes dans l'expectative après ce qui s'est produit depuis lors.
D'abord, que pensez-vous que la banque va faire au niveau des taux?
Nous ne prévoyons pas que la Banque du Canada réduisent les taux avant le milieu de l'an prochain.
Pour le mois de décembre, je pense qu'il faudrait franchir un seuil très élevé pour que la banque annonce que des coupures de taux sont plus proches. Depuis le mois de juillet, la Banque du Canada n'est pas intervenue, mais elle a maintenu la menace de hausse de taux sur la table, ce qui a contribué à faire reculer l'inflation pour une prévoyons que ce message demeurera inchangé en décembre. La banque attendra de voir que davantage de progrès ont été accomplis dans la lutte contre l'inflation avant de rengainer la menace 12 de taux, mais après quelques mois de plus de recul de l'inflation, notamment au niveau de l'inflation de base ainsi que de l'inflation globale dont on se rapproche du moment où on peut attendre un changement de cap de la banque.
Est-ce que le problème pour la Banque du Canada ne se situe pas tellement au niveau des données, lesquels évoluent essentiellement dans la bonne direction, mais de la réaction du public. Je me rappelle au printemps, quand la banque avait annoncé qu'elle allait en rester là et voir quel effet elle avait eu sur l'économie, le marché du logement à Bondy.
Et puis la banque dans l'été la banque a dû pratiquer de nouvelles hausses qui ont refroidi le marché. Est-ce que la banque se préoccupe de nos réactions à de petits changements de messages?
La banque sait pertinemment que ces communications sont interprétées par les marchés, par les milieux financiers.
financiers. serrées en gardant présente la menace de nouvelles hausses de taux jusqu'à ce que la banque soit certaine qu'il ne s'agit pas d'un phénomène ponctuel comme au printemps dernier, mais d'une tendance plus nette et plus durable vers 2 % d'inflation et une économie équilibrée. La plus grosse différence se situe entre ce que nous avons vu en janvier est-ce que nous avons aujourd'hui, c'est l'état de l'économie en général. En effet, au début de cette année, le marché du travail était encore très serré. On se situait toujours dans une situation de demande excédentaire. L'économie canadienne affiche une contraction au deuxième trimestre, la croissance est demeurée plus ou moins à zéro pendant le troisième trimestre, et on commence à assister à un retour de l'offre excédentaire dans l'économie. La banque ne veut pas changer de cap avant qu'elle ne soit certaine que les coupures de taux sont effectivement à l'horizon, mais avec encore quelques statistiques semblables et s'il y a davantage de progrès dans les mesures d'inflation de base, nous pourrions nous rapprocher de ce. Après la nouvelle année.
Comment la nouvelle année se présente au niveau de l'économie et de l'emploi?
Le cycle de hausse de taux que nous avons vécu a été extrêmement énergie, peut-être que certaines hausses ont pris plus longtemps à se répercuter sur l'économie, ressentirons-nous le plein impact de l'an prochain?
La conjoncture demeurera très sensible pour la croissance en 2024. La principale source d'incertitude, c'est ce qui se produira dans l'économie au troisième et quatrième trimestre cette année. Nous pensons que la situation se stabilisera au quatrième trimestre et que nous revenons avec une croissance faible mais positive.
Courant 2024 nous devrions nous rapprocher d'une croissance du PIB semblable à la tendance à long terme. C'est-à-dire que l'offre excédentaire va continuer de s'accumuler pendant le courant de l'an prochain et nous verrons également un facteur positif lorsque la Banque du Canada commencera à inverser sa politique monétaire restrictive pendant le premier semestre de l'an prochain.
Nous allons ainsi éviter de basculer dans un ralentissement plus abrupt. Nous prévoyons une croissance du PIB de 0,9 % l'an prochain. Nous pensons qu'avec la croissance démographique est un facteur très important, il continuera d'y avoir une croissance des emplois, mais qui sera dépassé par la croissance de la population active. Le taux de chômage augmentera alors que l'économie avance de plus en plus dans une situation d'offre excédentaire mais nous ne prévoyons pas de fortes pertes d'emploi auquel on pourrait s'attendre en situation de croissance faible. Suite excellent début d'émission avec Robert Both répond à vos questions sur l'économie de taux d'intérêt. Vous pouvez nous les poser par courriel à moneytalklive@td.com dans la boîte à questions au bas de votre écran. À présent l'actualité du monde des affaires et un coup d'œil sur les marchés.
De nouveaux éléments montrent que les consommateurs hésitent à faire de gros achats discrétionnaires.
Le détaillant de produits électroniques Best Buy et la chaîne de bricolage lots en revues à la baisse en prévision de banque.
Les ménages à court d'argent étant à la recherche de bonnes affaires. C'est une évolution dans l'ensemble du secteur du détail car les produits de première nécessité telle que l'épicerie représente une part plus importante des budgets familiaux. Le marché adopte une démarche prudente à l'égard des bénéfices de certains grands détaillants de vêtements.
Abercrombie et Fitch revoit ses prévisions à la hausse après avoir enregistré un bond de 20 % de ses ventes, or l'action recul de 10 %. Tandis que les actions de l'American Eagle sont sous pression et sont toujours à la baisse de 15 %. Les investisseurs évaluent les prévisions de ventes décevantes pour les fêtes de fin d'année. Les attentes sont élevées pour les résultats trimestriels de NVIDIA attendu aujourd'hui après la clôture. Le marché s'attend à une croissance des ventes de plus de 170 %. L'intelligence artificielle étend à l'origine d'une explosion de la demande d'unité de traitement graphique de NVIDIA qui sont favorisées par l'industrie pour la création de réseaux d'intelligence artificielle qui imite nos cerveaux.
L'action recul très modestement de 1,7 %.
À présent les grands indices.
L'indice TSX composite recul de 95. Soit presque 0,5 % et aux États-Unis, en cette semaine de cours abrégé, nous attendons le compte rendu de la Fed à 14 heures, l'indice recul de 13 points, soit moins de 3 % par Robert Both répond à vos questions sur l'économie et les taux d'intérêt.
Qu'attendez-vous dans la mise à jour budgétaire d'automne?
Suite à la mise à jour budgétaire d'automne sera faite par le gouvernement du Canada 16 heures aujourd'hui. Quelle sera le changement apporté aux prévisions budgétaires pour cette année les années à venir?
Le bureau budgétaire du Parlement a mis à jour ses pronostics et envisage des déficits plus importants l'horizon, même si les recettes seront plus importantes que ça n'a été le cas dans le budget du printemps. Depuis six mois, il y a eu des annonces de dépenses périodiques. La mise à jour budgétaire va incorporer toutes les annonces de dépenses et les présenter sous forme de synthèse. Nous allons recevoir davantage d'informations sur ces annonces comme les usines de production de véhicules électriques, les crédits d'impôt sur les nouveaux immeubles à vocation de location. Tous ces éléments vont figurer dans la mise à jour. Le gouvernement va travailler à alléger les préoccupations relatives au logement. Il y a eu beaucoup de spéculations quant à un nouveau financement pour la construction d'immeubles locatifs. Nous devrions avoir davantage de détails dans ce mini budget et nous aurons également une mise à jour sur le programme d'emprunt du gouvernement. Celui-ci est à augmenter depuis un trimestre l'ampleur des enchères d'obligations du Canada. Nous verrons quels serons les conséquences pour les programmes fins 2023 et en 2024.
Compte tenu de l'évolution des programmes d'obligations et des annonces budgétaires, la politique monétaire cherche à lutter contre l'inflation et pour être à contre-courant de la politique budgétaire dont nous aurons des détails cet après-midi et qui comporte une augmentation des dépenses. Depuis plusieurs mois cette question fait l'objet d'une attention de plus en plus soutenue.
Je pense que l'idée que la politique monétaire et budgétaire pourrait être à contre-courant vont entraîner de la part du gouvernement une attitude de retenue dans sa mise à jour budgétaire, même s'il y a eu des suppositions quant à des promesses d'améliorer l'offre de logements. Il s'est plutôt agi de discussion quant au financement sous forme de prêt, plutôt que selon des subventions qui auraient alourdi le déficit budgétaire. La mise à jour budgétaire va comptabiliser toutes les annonces de dépenses depuis six mois, c'est-à-dire depuis la date du budget. Nous pensons qu'il y aura moins de nouvelles annonces dépend cet après-midi.
Ceci devrait donner l'impression que le gouvernement fédéral est conscient de la nécessité de ne pas aggraver la pression inflationniste. Nous pensons que le gouvernement fera preuve de retenue. Nous avons également constaté qu'il cherche à réduire les dépenses pour plusieurs autres ministères. Dans le budget, le gouvernement a promis de réduire les dépenses de 15 milliards sur cinq ans. La première ministre adjointe et ministre des finances, Christian free-lance, a récemment fait une annonce à ce sujet. Le gouvernement fédéral est conscient de la perception voulant que les hausses de dépenses du gouvernement fédéral et des autres paliers de gouvernement pourraient alimenter l'inflation, mais nous prévoyons que les nouvelles annonces dépend cet après-midi seront modestes et que les initiatives relatives au logement prendront la forme de prêts plutôt que de subventions qui alourdiraient les bénéfices que les déficits. Excellente analyse de ce qui nous attend dans quelques heures, lorsque le gouvernement fédéral fera sans annonce.
Comment pensez-vous que le marché du logement évoluera lorsque les taux commencent enfin à baisser?
Le marché du logement et la confiance à l'égard de celui-ci sont très sensibles aux communications de la Banque du Canada.
On l'a vu au printemps, lorsque la banque a annoncé qu'elle allait pratiquer une pose conditionnelle des hausses de taux, cela a déclenché une nouvelle série, plutôt nouvelle période d'effervescence sur le marché du logement. Des villes comme Toronto et Vancouver qui avaient été durement touchés dans les 12 mois précédents ont connu un rebond. Je pense qu'il y aura un changement de cap dans la confiance sur le marché du logement lorsque la Banque du Canada ce rapprochement de coupure de taux.
Ce ne sera pas nécessairement l'aubaine pour l'abordabilité des logements que certains auraient appelés de leurs vœux.
La Banque du Canada va réduire les taux progressivement par comparaison au rythme des hausses de taux. La banque procédait à des augmentations de 50,75, voire sans points de base à la fois, nous prévoyons que les coupures de taux seront plus progressives et ordonnées. Ce qui devrait limiter la rotation en faveur du marché du travail. Nous prévoyons que les prix du logement se stabiliseront premier trimestre l'an prochain. Nos collègues de service économie TD prévoient que les ventes de logements 2024 augmenteront de 5,2 %, puis 15 % 2025 et se stabiliseront, les prix restant essentiellement échangeaient l'an prochain mais augmentant de 5 % 2025. Depuis quelques mois, lorsque nous recevons les statistiques de l'inflation comme ce matin, nous essayons de voir où se situent encore les pressions. Comme on l'a dit au début de l'émission, les près de hypothécaires et les loyers, puisque les propriétaires relèvent les loyers, leurs coûts ayant augmenté, représente un facteur clé dans l'inflation. On a posé la question à la banque pour lutter contre l'inflation, on relève les taux, hors des mensualités des prêts hypothécaires représentent un élément clé de l'inflation parce que ces critiques justifiées?
On a beaucoup posé la question à la banque depuis six à 12 mois et on la posera de nouveau dans l'avenir.
Si l'écart entre les coûts du logement et le reste de la corbeille de l'IPC continue de grandir. La Banque du Canada a maintenu une politique de taux à 0,5 % depuis 2015 jusqu'au début des hausses de taux en 2017, 2018. Pendant cette période de faible taux d'intérêt, les prix du logement ont beaucoup augmenté, ce qui a exercé une pression là-haut sur l'inflation. La Banque du Canada tient compte de ce fait lorsque la politique monétaire entraîne une augmentation des prix de logements et réduits l'abordabilité. La Banque du Canada considère les prix du logement pendant tout le cycle d'affaires, pas seulement lorsqu'elle relève les taux, mais la banque a également des mesures d'inflation de base qui exclut ces changements d'un mois sur l'autre plus volatil. Le gouvernement Macklem a déclaré dans une de ses interventions récentes que la mesure moyenne corrigeait de l'IPC exclut les prix du logement depuis un an. Dans l'avenir, les loyers seront également exclus de ce calcul.
La Banque du Canada exclut d'ores et déjà dans une certaine mesure les coûts du logement de ses calculs, mais nous prévoyons que la question continuera d'être posée.
À présent, une question sur les États-Unis. Que faudrait-il pour que la Fed recommence à relever ses taux ou est vraiment terminée?
Nous pensons que la Fed en a terminé, mais nous prévoyons qu'elle va commencer à réduire les taux au deuxième trimestre de l'an prochain. Mais si vous remontez au mois de septembre, la fête avait encore une hausse de taux dans son graphique A., Comme la Banque du Canada, nous ne prévoyons pas que la Fed cesse de faire planer la menace de hausses de taux tant qu'elle ne sera pas absolument convaincue qu'il y a eu un revirement et que nous sommes sur la voie de revenir à 2 % d'inflation.
La différence entre les États-Unis et le Canada, c'est que la dynamique a été plus forte depuis deux trimestres États-Unis.
La croissance du PIB américain était de 4,9 % au troisième trimestre. La dynamique a beaucoup ralenti à l'abord du quatrième trimestre. Nous prévoyons que la croissance du PIB américain au quatrième trimestre sera de 1,2 %. L'indicateur de la Fed d'Atlanta la place à 1,9 %, mais si les conditions s'amélioraient, et que la demande excédentaire augmentée aux États-Unis à l'orée de l'an prochain, cela maintiendrait la possibilité de hausses de taux. En outre si le rythme de croissance des emplois recommence à accélérer, exerçant une pression sur les hausses salariales, cela pourrait entraîner de nouvelles hausses par la fête, mais nous pensons que le cap a été franchi, et que la Fed en a bien terminé.
Faites vos propres recherches avant de prendre des décisions de placement. Robert Both répond à d'autres questions sur l'économie les taux d'intérêt dans quelques instants. Puis nous les pauses en tout temps par courriel à moneytalklive@td.com. À présent, poursuivons la découverte de CourtierWeb.
Si vous vous intéressez au titre à revenu fixe, peut envisager les obligations à haut rendement. Hudbay Minerals, formateur principal à Placements directs TD commente leurs fonctionnements et notions pour les trouver.
Bonjour y règne. Beaucoup de gens qui connaissent les obligations ne sont peut-être pas familiers des obligations à rendement élevé. Pouvez-vous nous expliquer ce qu'elles sont et on les trouve.
Bonjour, grec. Alors, quelques mots sur la nature des obligations à rendement élevé. Quand une entreprise cherche à réunir des capitaux pour un projet d'expansion, par exemple, elle peut procéder de deux façons.
Elle peut vendre des parts de la société aux investisseurs sous forme d'actions, ou bien elle peut émettre des titres de créance et c'est là où le marché obligataire en tranches.
Les obligations représentent une promesse de rembourser le montant emprunté et de verser pendant la durée pendant laquelle l'obligation est en vigueur, de verser des paiements, c'est-à-dire ce qu'on appelle des coupons. Alors cliquons sur l'onglet recherche, et sous la rubrique placement à revenu fixe. Les obligations rendement élevées, comme leur nom l'indique sans celle qui procure justement un rendement élevé. Alors on clique sur les catégories, ce qui ouvre une feuille de taux. Alors nous allons passer tout de suite à notre page. Alors parlons des titres à rendement élevé. Première chose à vérifier, au niveau des produits à rendement élevé, c'est qu'elles sont classées en fonction de la note de crédit. La note de crédit, vous le remarquerez, se trouve sur les notes des PRS et STP. Ces obligations sont de catégorie BB ou plus basses.
Autrement dit, il s'agit des catégories autres que de première qualité, c'est-à-dire que des risques plus importants y sont associés. À cause de ce risque plus élevé, les investisseurs exigent des rabais plus importants pour ces produits par rapport aux obligations de première qualité.
Donc le prix actualisé, les obligations sont généralement vendues au prix de 100 $, c'est-à-dire le cours nominal, et toutes ces obligations sont vendues à moins de 100 $ ou presque, ce qui représente le rabais qui est corrélé directement avec le rendement. Vous voyez que le rendement jusqu'à maturité est en général élevé.
C'est à cause du caractère risqué, puisqu'il y a un risque de défaillance associée à ces produits à rendement élevé.
Certains investisseurs sont disposés à y investir parce qu'il y aurait des gains en capital potentiel, puisque le produit devrait être remboursé à la valeur nominale et qui procure rendement élevé entre-temps.
Voici une explication des obligations rendement élevées de leurs risques. Un investisseur qui est néanmoins intéressé, comment peut-il se procurer ce produit?
Ce qui est directement relié à la façon d'acheter ces produits, il y a le risque de liquidité. Par comparaison aux obligations de première qualité, ces produits présentent un risque de liquidité plus important, c'est-à-dire qu'ils ne sont pas aussi accessibles aux investisseurs projetés sur les plates-formes en ligne. Il est nécessaire de téléphoner au bureau de négociation des produits à revenu fixe à Placements directs TD.
Le bureau s'assurera que le client est au courant des risques spécifiques reliés à l'émission. Dont il est question.
Un investisseur qui se sent mal à l'aise lorsqu'il s'agit d'investir directement dans ces produits peut choisir plutôt un fonds. Parlons des fonds communs de placement dans quelques instants. Allons à recherche encore une fois, et sous la rubrique placement, nous cliquons sur FNB.
Il existe une catégorie de fonds qui permet d'envisager uniquement les obligations rendement élevées.
Alors nous devrions trouver revenu fixe à rendement élevé. élevé. gestionnaires de fonds pour acheter et vendre des moments commodes et vous avez toute une série de FNB qui vous permettent d'avoir une exposition des obligations rendement élevées. Suite alors des recherches à faire pour le spectateur qui s'intéresse au produit rendement élevé.
Hudbay Minerals et formateur principal à Placements directs TD. Ne manquez pas de visiter le centre d'apprentissage de CourtierWeb où vous trouverez encore plus de ressources.
Robert Both répond à vos questions sur l'économie et les taux d'intérêt.
Quels sont vos perspectives pour le taux de change du dollar américain par rapport au dollar canadien?
La clé pour le dollar américain à l'approche de 2024, sera ce qui arrive à l'économie américaine. Le dollar américain va suivre la direction de l'économie américaine, tandis que la situation de l'économie américaine s'infléchir à, que la croissance réduit, que le chômage augmente, le dollar devrait commencer à rétrograder par rapport au sommet qu'il a atteint tandis que les marchés commencent à envisager un programme de réduction de taux plus énergique de la part de la fête, surtout par comparaison d'autres banques centrales. On a déjà vu des signes avec les annonces de données, les chiffres sur l'emploi en octobre, et sur l'inflation, sont tout un peu plus faibles que prévu et il y a un recul considérable du dollar américain après la parution de ces statistiques. Le dollar américain tourne autour de 1,37 $ canadien aujourd'hui, nous prévoyons qu'elle sera redescendue à 1,30 $ d'ici la fin de l'année, et 1,25 $ d'ici la fin de 2025, donc nous pensons que le dollar américain va reculer par rapport au dollar canadien, mais dans mon dossier.
Est-ce qu'il y a des facteurs au Canada qui pourrait renforcer le dollar canadien par rapport au dollar américain?
Le Canada peut obtenir des résultats supérieurs à ceux d'autres pays du jet 10.
Nous avons la croissance démographique est un excellent facteur de croissance macro-économique qui va limiter le ralentissement de l'économie et devrait permettre à la Banque du Canada de réduire les taux plus progressivement que la Fed.
Mais nous prévoyons que le dollar canadien prenne de la valeur par rapport au dollar américain d'ici deux ans.
Alors quelle est la nouvelle norme pour les taux d'intérêt?
On entend beaucoup parler de la nouvelle norme, les taux plus élevés plus longtemps de la part des banques centrales.
Cela a été affecté par certaines des tendances mondiales qui se sont quelque peu inversées pendant les 20 dernières années jusqu'à la pandémie, il y avait un effet traîna de la mondialisation de la numérisation, toutes ses forces qui faisaient baisser les taux d'intérêt.
Certaines de ces forces commencent à s'inverser, les chaînes d'approvisionnement se complexifient, au fur et à mesure que la relocalisation ou le rapatriement se généralise. Les investissements dans le secteur vert, à des carbones nidation déclenche des forces qui seront favorables au taux neutre dans l'avenir. Avec la crise financière et la pandémie de Covid, il y a eu une période de taux d'intérêt extrêmement faible. Nous ne pensons pas y revenir. Ne pensant que la Banque du Canada va cesser de réduire les taux aux alentours de 3 %. Ce nouveau niveau neutre est un peu plus élevé que le taux neutre estimatif antérieur avant la pandémie, mais nous ne sommes jamais parvenus à l'objectif fixé par la banque.
Pendant la pandémie, le problème c'est qu'il y avait trop peu d'inflation, pas trop. L'environnement prendra une allure différent dans l'avenir, quiconque renouvelle un prêt hypothécaire devra peut-être espérer en vain un retour au prêt à taux fixe inférieur à 2 %. Si la Banque du Canada s'arrête à 3 %, les coûts d'emprunt seront plus élevés à cela que nous étions habitués avant la pandémie.
Une réalité nouvelle à laquelle il faut s'habituer. Je me rappelle de ce que je payais lorsque j'ai acheté mon premier logement 2000 : alors quelles sont vos perspectives sur le pétrole et le secteur de l'énergie? Est-ce que vous pensez que le bruit de référence américain pour un projet de 100 $ le baril?
Nous ne pensons pas que le bruit de référence reviendra aux 100 $, mais nous pensons que les cours vont augmenter en 2024. Notre pronostic publié dans nos perspectives mondiales pour 2024 la semaine dernière prévoit que le brut de référence américain se situe entre 90 et 95 dollars au début de l'an prochain.
C'est un bon considérable par rapport au niveau d'aujourd'hui et cela va faciliter ou plutôt rendre la tâche des banques centrales plus difficiles alors qu'elle cherche à ramener l'inflation à 2 %. Mais nous pensons qu'il est un peu trop de pessimisme qui est intégré dans les marchés de l'énergie à leur actuel.
L'économie mondiale semble un peu plus fragile à la bande 2024, mais nous sommes toujours dans un environnement où il y a des risques considérables relatifs au cours de l'énergie. Le conflit russo-ukrainien s'éternise, il y a davantage de tensions Moyen-Orient. Tous ces facteurs peuvent maintenir les cours du pétrole à un niveau élevé, même si l'économie mondiale affiche une trajectoire plus basse l'an prochain.
Robert Both répond à vos questions sur l'économie les taux d'intérêt dans quelques instants. Faites toujours vos propres recherches avant de prendre des décisions de placement. Vous pouvez nous poser vos questions en tout temps.
Avez-vous une question au sujet des placements ou encore des marchés? Vous pouvaient nous la poser soient par courriel à moneytalklive@td.com, ou dans la boîte de questions au bas de votre écran. Il suffit de cliquer sur envoyer.
Nos invités pourraient vous répondre en direct.
À l'approche des fêtes de fin d'année, les acheteurs américains sont d'humeur à dépenser, mais les pressions inflationnistes qui pèsent sur leur portefeuille mortel mettre un frein aux achats liés aux fêtes? Anthony Okolie comment un nouveau rapport de service économie TD sur les tendances de dépenses aux États-Unis les conséquences pour les détaillants. Service économie TD ne prévoit pas que les ventes de fin d'année aux États-Unis vont être semblables au vent exceptionnel des trois dernières années tandis que l'économie s'était ajustée au choc des dépenses engendrées par la pandémie.
Malgré tout, les dépenses, pendant les fêtes que devraient augmenter de 4,5 % sur 12 mois au quatrième trimestre. C'est moins élevé que les 6 % en 2022, mais cela dépasse la moyenne pré-pandémie comme le montre le graphique. La raison principale pour la solide croissance des ventes prévues par service économie TD aux États-Unis est essentiellement attribuable au coussin d'épargne datant de la pandémie qui, on l'espère, va doper les ventes des fêtes de fin d'année.
Le marché du travail aux États-Unis est suffisamment bien portant également pour justifier des ventes plus élevées. Selon service économie TD, les Américains ont 800 milliards de dollars d'épargne excédentaire au troisième trimestre, ce qui est le nouveau presque de l'estimation précédente de service économie TD, soit 470 milliards. Quand on tient compte de l'épargne excédentaire dans les dépôts bancaires, le montant est d'environ 1,3 billions de dollars d'actifs liquides, comme le montre le graphique. Le marché du logement aux États-Unis demeure tendu, le chômage reste faible, ce qui devrait encourager les consommateurs à dépenser pendant la saison des fêtes. Le marché du travail américain favorable à la croissance des revenus qui est le facteur le plus important dans les dépenses.
Jusqu'ici, nous constatons que les gains horaires moyens et que l'indice du coût de l'emploi montre que les travailleurs américains reçoit toujours des augmentations de salaire. Il y a des facteurs défavorables pour les défaillances américains toutefois. Les dépenses des consommateurs augmentent plus rapidement que le revenu discrétionnaire personnel comme le montre le graphique. La disponibilité de crédit allant diminuant, les consommateurs devront réduire leurs dépenses en fonction de leurs revenus.
Deuxième facteur important, on n'en parle plus début d'année, c'est l'inflation.
L'inflation a reflué par rapport au pic atteint en juin de l'an dernier mais elle demeure assez élever, ce qui pourrait détourner les dépenses des Américains en faveur de produits alimentaires et d'autres produits de première nécessité et aux dépens d'achat de fin d'année, comme les jeux électroniques les téléphones intelligents. Il y a également un transfert des dépenses en faveur d'expériences comme les restaurants.
Enfin, davantage de consommateurs commencent leurs emplettes de fêtes de fin d'année dès le mois d'octobre même plutôt tandis que les détaillants rivalisent pour leur part de portefeuille. Les ventes d'octobre 2 novembre augmentent tandis que celle de décembre diminue.
Malgré tout, service économie TD prévoit que le marché du travail tendu ainsi que l'épargne excédentaire devrait contribuer à maintenir le niveau des dépenses de consommation aux États-Unis pendant la saison.
Autrefois tous les cadeaux qui arrivaient pendant la part des faits étaient achetés en ligne. Bien sûrs nous vivons dans un monde différent. Vous allez au magasin.
Clôture de cette tension entre les ventes en ligne et en personne?
Il est étonnant que les ventes en ligne se portent très bien cette année.
Les dollars de consommation américain continue d'être attiré par les ventes en ligne. Les détaillants en magasin, c'est la ligne jaune, surtout des vents de commerce électronique, représente 28 % des ventes dans la catégorie des dépenses de fête. Ceci dépasse l'ancien pic de 27,7 % au plus fort de la pandémie en avril 2020.
Et c'est le pourcentage plus élevé de toutes les catégories avec les supermarchés, magasins d'alimentation, c'est-à-dire la ligne verte, après de 20 % seulement. Nous sommes de plus en plus contributeurs de la technologie, les appareils connectés, les acheteurs veuillent avoir la commodité d'acheter sur leurs appareils intelligents, mais gagne également une croissance des abonnements sur les plates-formes, ainsi que les appuis mobiles comme Séphora ou Amazon qui améliore encore l'expérience pour le consommateur, permettant une experte de magasinage plus personnalisé, 1, Passage facile à la caisse, il n'est pas étonnant que les ventes en ligne se portent bien cette saison.
Et on n'est pas obligé de se lever sans canapé. Merci, Anthony Okolie.
À présent mis à jour sur les marchés.
Voici la plate-forme avancée conçue pour les négociateurs actifs et proposés par Placements directs TD. Voici la fonction de carte thermique qui permet de visualiser l'évolution de l'indice TSX 60 en fonction du cours et du volume. Le cours de l'or se raffermissant à la nuance des annonces de la fête, certaines compagnies de mines d'or, y compris barriques, Kinross progresse de 3 %.
C'est essentiellement dans ce secteur contredit vers l'écran. Le secteur de la technologie, légère pression à la baisse que le secteur financier la technologie également. Aux États-Unis, indice S&P 500, après un bon début du mois de novembre affiche des résultats mitigés. AMD et Intel dans le secteur des semi-conducteurs, et en légère baisse, NVIDIA annonce des résultats après la clôture. Les attentes sont élevées à l'égard des ventes pour NVIDIA. Le titre recule de 1,3 %. Du vers l'écran, il y en a. Tesla qui progresse de 2,3%.
Pour obtenir davantage d'informations sur le plafond avancé, visitez le site Web de Placements directs TD. Robert Both de valeur mobilière TD répond à vos questions. Que prévoyez-vous au niveau des ventes au détail au Canada?
Les statistiques paraissent vendredi, je crois.
Il est sans doute un peu tôt pour voir où en sont les dépenses des fêtes puisque nous en sommes seulement donnés de septembre, mais nous prévoyons que les statistiques soient un peu plus prometteuses que statistique Canada l'avait prévu. L'institut de statistiques propose une estimation préliminaire chaque mois, et il a même envisagé que la progression serait que deux heures, 3 % septembre. Nous prévoyons que cela sera plus élevé, mais les facteurs sous-jacents demeurent faibles. Les véhicules à moteur seront sans doute le principal facteur de la croissance des reventes en septembre, au bon nombre de ces véhicules aurait été acheté à l'avance compte tenu des problèmes de chaîne d'approvisionnement, les délais de livraison demeurant très long.
Or auto, il y aurait une augmentation plus ou moins nu. Quand on tient compte de la rapidité avec laquelle les prix des biens augmentent et de la croissance démographique, la situation du commerce de détail paraît considérablement moins reluisante lorsqu'on l'ajuste par habitant. Les ménages canadiens sont donc sous pression et nous pensons que ce phénomène se poursuivra en septembre.
Une ultime question avant de vous quitter.
Nous gardons la plus facile pour la fin.
Est-ce que nous abordons une période de stagflation?
M'avait dit qu'on vous pose beaucoup cette question.
Oui on nous la pose effectivement. Ce que nous constatons, c'est une version de la stagflation, mais la stagnation n'est pas tout à fait aussi extrême que pendant des périodes précédentes. Mais aussi, le contexte de l'inflation n'est pas aussi alarmant qu'elle était il y a six ans.
Donc nous sommes dans une période d'inflation plus élevée de croissance plus faible. Je ne veux pas… stagflation, mini stagflation. Nous prévoyons que la croissance stabilise pendant le quatrième trimestre. Je ne prévois pas que nous soyons dans un scénario d'atterrissage brutal, même s'il y a deux trimestres croissance nuls.
Robert, merci pour cet entretien.
Ça m'a fait plaisir.
Merci Robert Both de valeur mobilière TD. Comme toujours fêtent vos propres recherches avant de prendre une décision de placement. Restez à l'écoute demain, Ben Gossack, gestionnaire de portefeuille à gestion de placements TD va répondre à vos questions sur les actions mondiales.
Vous pouvez nous les poser d'ores et déjà par courriel à moneytalklive@td.com. Merci et à demain.