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(musique) - Bonjour, ici Greg Bonnell. Bienvenue à Parlons Argent en direct, une émission de Placements directs TD. Aujourd'hui, Robert Pemberton, chef des titres à revenu fixe chez (...) nous donne le point de vue entre la balance et l'inflation. (...) Nous donne son avis sur l'existence d'un marché baissier. Nous poursuivons la découverte de CourtierWeb. On nous explique comment utiliser les autres stops. Tout d'abord, une mise à jour sur les marchés. L'indice TSX composite est actuellement en recul à 20119; soit en baisse de 145 points. À la clôture de la science bière, la semaine dans l'ensemble semblait positive, mais ce résultat est à présent compromis. Les mesures de la Fed à l'approche de l'automne semblent susciter des doutes chez les participants du marché quant à l'évolution des marchés après la remontée de l'été. Air Canada est à 18,64 actions, soit en baisse de presque 4 %. Dans le secteur de la technologie, un recul également. Shopify est à 45,20 $ l'action, en baisse depuis plus de 5 %. L'indice S&P 500 instantané des marchés américains ne va sans doute pas parvenir à cinq sessions productives consécutives aux plus tôt cinq semaines productives consécutives. Or, ce record compromis aujourd'hui. L'indice est à 4232, en baisse de 51; c'est-à-dire de plus de 1 %. L'indice Nasdaq était en baisse de quelque 2 % dans la matinée. Il a remonté légèrement, mais c'est toujours un recul de 252; soit presque 2 %. Foot Locker, même si l'ensemble du marché plombé, affiche une santé insolente, en hausse de plus de 22 % grâce à l'annonce de bénéfices supérieurs aux prévisions et l'arrivée d'un nouveau chef de la direction. Voilà pour les marchés. Les données sur l'inflation aux États-Unis moins élevés que prévus ont amené certains observateurs à penser que la Fed pourrait changer de cap et renoncer à ses énormes augmentations des taux. Est-ce vraiment le cas? Robert Pemberton, chef des titres à revenu fixe chez Gestion d'actifs TD, sont avec moi ce sujet. Une statistique n'équivaut pas à une tendance. D'après les statistiques canadiennes, l'indice vedette de l'inflation est en baisse, mais l'inflation de base continue d'augmenter. La Fed, la banque du Canada, la banque d'Angleterre, la BCE, sont obnubilés par l'inflation et cible une réduction de l'inflation. À mon avis, à l'heure actuelle, s'il y a un changement de cap dans la dernière annonce de la Fed, ce serait un changement depuis la fin du début au début de la fin des augmentations de taux de la Fed. Ce processus est toujours en cours est loin d'être achevé. Le début de la fin laisse entendre qu'il nous reste beaucoup de chemin à parcourir. Nous sommes habitués aux réactions rapides des banques centrales qui font effet rapidement, nous semblons renouer avec un problème d'inflation. Les banques centrales ont lutté contre celle-ci quoiqu'il en coûte afin, notamment, de reconquérir une crédibilité peut-être perdue pendant la pandémie. Au point de la politique budgétaire pendant la pandémie, les mesures qui ont été prises ont engendré une croissance économique que les banques centrales n'ont pas su prévoir au moins en ce qui concerne leurs conséquences en matière d'inflation. Lorsque les historiens de l'économie feront la chronique de cette période, ils affirmeront que les banques centrales ont été trop lentes à réagir. Depuis lors, les banques ont su regagner une bonne partie de cette crédibilité grâce aux mesures qu'elles ont su prendre aussi bien au niveau des taux terminaux, c'est-à-dire des taux que les marchés escomptent que les banques centrales ciblent, ainsi que des effets que nous commençons à avoir au niveau de l'inflation. Je pense que l'inflation devrait baisser relativement rapidement, sans doute entre quatre et demis et 5 %. Mais pour descendre de 5 % à 2 %, ça pourrait prendre beaucoup plus longtemps que les marchés ne le prédisent actuellement. Parlons justement de ce qui va se produire sur le long terme. Beaucoup d'observateurs semblent penser non seulement que la Fed allait changer de cap, même qu'elle allait mettre fin bientôt à la série d'augmentation de taux et même pratiquer des coupures de taux afin de faire réagir la faiblesse de l'économie. Il semble que cela ne se reproduira pas si rapidement. Il n'est pas possible de revenir une politique monétaire accommodante. Nous n'allons pas voir les banque centrale réagir aussi rapidement d'ici quelques jours quelques semaines. - C'est cela. ceux qui s'attendent à ce que la Fed stimule les marchés seront déçus d'ici deux à trois ans. Nous croyons que les marchés se tournent quant à la probabilité de coupure de taux en 2023 et 2024. Pour que l'inflation soit bel et bien jugulée, il faudra prendre des mesures prolongées. Certes, les éléments cycliques de l'inflation vont reculer avec une facilité apparent, mais certaines tendances lourdes, l'inflation des salaires, des logements, des loyers, et ainsi de suite, ces tendances sont rémanentes et vont continuer de se faire sentir plus longtemps. l'idée que la Fed va réduire les taux et quelque peu prématuré. Je pense que les marchés cherchent à arbitrer entre deux possibilités. Est-ce que la Fed va adopter la conduite de l'ancien gouverneur au milieu des années 70 ou celle des années 80? Burns hésiter à relever les taux, tandis que l'autre a acquis beaucoup de crédibilité en relevant brutalement les taux et en administrant un traitement de choc afin de parvenir à un meilleur résultat pour l'économie à long terme. - Oui, effectivement. Il y a des points de vue très divergents. Qu'est-ce que ça signifie pour le secteur des titres à revenu fixe. Gardons-nous en tant qu'investisseurs? - Il se produit des événements très importants. Il y a eu une augmentation considérable des taux dès le début dyslexique et nous pensons qu'il y aura d'autre augmentation de 50 ou 75 points de base. Les banques centrales en Amérique du Nord veulent parvenir un taux du jour au lendemain de trois à 8 %. Il manque encore 100 points de base pour y parvenir. Mais au niveau des titres à revenu fixe, il y aura probablement davantage de volatilité sur le marché. Obligataire. Sans doute parce que les statistiques de l'inflation sont plus volatiles. La valeur des actifs, généralement parlant, et aussi les statistiques seront plus volatiles à cause du fait que la Fed a cessé d'émettre des pronostics. Les statistiques d'aujourd'hui sur les ventes de détail, celles sur l'IPC, les statistiques sur l'emploi, logement, toutes ces statistiques vont influencer les marchés au jour le jour(...) surtout à l'extrémité plus courte de la cote de rendement, ce qui les avait savants se demandaient si la banque a augmenté de 75 ou 60 points de base. Selon ce que les données nous disent. Mais la volatilité sera plus élevée. Toutefois, les obligations à plus longue échéance pour connaître moins de volatilité puisque les marchés escomptent déjà les coupures de taux pratiqués par les banques centrales. Les rendements court terme, en fait, il s'agit d'une série de rendements court terme, avec l'idée que les seuils de rentabilité sur le marché, par exemple des obligations indexées sur l'inflation, continue de laisser entendre que l'inflation sera maîtrise à long terme. Nous pensons que l'extrémité plus longue de la courbe de rendement se comportera mieux que l'extrémité à court terme. C'est pourquoi il une inversion de la courbe de rendement. Les rendements court termes sont plus élevés que les rendements à long terme. Cela découle du fait que les banques centrales vont devoir prendre des mesures énergiques initiales, à plus long terme, il y aura sans doute retour vers les deux et demis pour cent pour le taux du jour au lendemain. Mais ça, ça plusieurs années. - Certaines personnes considèrent que l'inversion de la coupe de rendement n'est pas un présage positif. Chaque fois, on veut croire que c'est différent cette fois-ci. Est différent cette fois-ci ou s'agit-il de présage de malheur? - Je ne dirais pas de malheur, mais l'inversion de la courbe de rendement signifie généralement que l'économie sans difficulté dans l'avenir. La courbe de deux ans à 10 ans est inversée. Celle qui m'intéresse plus, c'est celle de trois mois et 10 ans. Elle demeure toujours positive, tout juste. Cette courbe n'est pas encore inversée. Je pense qu'elle s'inversera d'ici la fin de l'année, ce qui laisse présager un ralentissement de l'économie en 2023 et 2024. - Je rappelle à nos spectateurs que les banques centrales manient des instruments qui sont très brutaux. La banque centrale veut réduire la demande globale de l'économie pour y parvenir, il faudra provoquer un ralentissement. Ce s'agira-t-il de ralentissement douloureux ou plus modéré? - Il y a plusieurs définitions. Il faudra que le chômage augmente quelque peu afin de soulager la pression qui s'exerce sur le marché du travail. Il faudra que la demande finale diminue dans plusieurs secteurs de services. C'est à cela que les banques centrales veulent parvenir. Je songe à une analogie que j'ai utilisée dans un entretien il y a quelque temps. C'est comme si la banque centrale… ce sera difficile de parvenir à un atterrissage en douceur, mais les banques centrales vont essayer. Nous pensons que la probabilité d'une récession est supérieure (. ..) au cours des 12 à 18 mois. - Je m'entretenais avec Robert Pemberton. à présent, une mise à jour sur l'actualité du marché. Les statistiques parues aujourd'hui montrent que la consommation baisse au Canada à cause de l'augmentation des prix. Après être remonté pendant le printemps, les dépenses reculent et un nouveau rapport des services économiques et des sur les opérations sur cartes de débit et de crédit signale un recul des achats de biens, tandis que les dépens sur les services se maintiennent, services économiques TD suggèrent que ce n'est qu'une question de temps avant que l'inflation n'oblige les Canadiens à réduire leurs dépenses de divertissement et de déplacement. Constructeur d'engins lourds, déclare que les difficultés de chaîne d'approvisionnement mondial plombent son activité. Les bénéfices de l'entreprise sont inférieurs aux prévisions du marché financier. Les actionnaires de General Motors vont commencer à recevoir des dividendes nouveaux. Le constructeur de T3 annonce qu'il va rétablir les versements trimestriels(.. .) les dividendes rétablis seront de neuf cents actions, soit 75 % de moins que les dividendes pré pandémie. Les marchés à présent. Les marchés sont en recul. Les inquiétudes qui ont plombé les marchés tout au long de la remontée pendant l'été continu de planer. La banque du Canada va s'exprimer le 7 septembre, la fête le 27 septembre, les talons augmentation du taux sont encore quelque peu distante, même si l'inflation au Canada et aux États-Unis est moins élevé que prévu selon les statistiques parues depuis quelques jours. 20 117; l'indice CP est en baisse de 148 points. L'indice CP 500 est généralement recule en ces derniers jours de négociation de la semaine. L'indice S&P 500 est en recul de 1,2 %. Bien sûr, à part les pressions de la vente s'exercent aujourd'hui, il y a eu depuis le mois de juin une nette augmentation des marchés boursiers. Les investisseurs parient de plus en plus et la réserve fédérale pourrait changer de cap à cause de la baisse de l'inflation. Toutefois, Michael Craig, chef chez répartition d'activité, affirme qu'il pourrait s'agir d'une remontée classique dans un marché baissier. Les gens sont en vacances, c'est l'été, ladite liquidité est clairsemée. C'est la dynamique classique du marché baissier ou, après avoir touché le fond, le marché remonte de plus de 10 %. La question est celle de savoir si cela peut durer. Les deux mois à venir sont normalement très difficiles. J'aborderai le mois de septembre avec beaucoup de prudence. (...) L'inflation est le thème de l'année. Son augmentation propage des ondes de choc sur les marchés. Les chiffres de l'inflation Canada parue aujourd'hui commencent à baisser, mais c'est toujours très très élevé. Les chiffres de l'inflation aux États-Unis ont été annoncés récemment. Les marchés vont pavoiser (. ..) on pense que la Fed va changer de cap. Est-ce que ces attentes sont justifiées? - Non, je pense que c'est faire preuve de trop d'optimisme. C'est comme quand on se met au régime. Perdre les cinq premières clés, c'est facile, c'est de l'eau, puis c'est là qu'il faut faire un vrai fond. Les chefs de l'inflation baissaient parce que le prix de l'essence des voitures d'occasion reste reculé. Encore une fois, c'est une dynamique d'été. il y a beaucoup de gens qui sont en vacances, il a de bonnes nouvelles. il y a certains indicateurs qui ont tendance à être infléchis par l'augmentation du taux de chômage. Ce sont des facteurs plus cycliques. Il faudra davantage de temps pour les influencer. On n'en parlera encore d'inflation l'an prochain. La fête ne va pas changer ta tant qu'elle n'aura pas jugulé l'inflation, ce qui va prendre plus de temps que les gens ne le croient. - Autour de la table de la réserve fédérale ou de la banque du Canada, ce que vous pensez quelle crédibilité est à l'ordre du jour. (...) Tout à coup, l'inflation a augmenté de façon inattendue. - Je pense que dans les médias les (...) les attentes à l'égard de l'inflation long terme sont maîtrisées. Par exemple, les données de l'université du Michigan sur les attentes à l'égard de l'inflation sur cinq comparaissaient amener la tendance continue de baisser. À court terme, d'ici la fin de l'année, ou dans un an, les attentes sont plus élevées, mais je pense que les attentes à l'égard de l'inflation long terme pour commencer à reculer. Tous les gouverneurs de la Fed, quels que soit leurs attitudes plus ou moins énergiques, ont unanimement déclaré que la politique monétaire doit être resserré jusqu'à l'inflation sont maîtrisées. C'est alors que les gouverneurs de la Fed parlent à l'unisson. Six qui passera. Il faut les prendre au mot. Ils vont continuer de rester il la politique monétaire jusqu'à ce que l'inflation soit maîtrisée. Si on les prend mot, faire le nécessaire pour maîtriser l'inflation, est-ce qu'il pourrait s'agir d'une récession? Toute idée d'augmenter les taux et de ralentir notre demande insatiable d'actifs. N'importe quels actifs. Tandis que nous nageons l'argent Bon Marché. Bien sûr, les banques centrales ne veulent pas(.. .) cinq tours vont demeurer élever. Le marché obligataire envisage des coupures de taux dès le milieu de l'an prochain. Je ne suis pas certain que cela se produira. Nous allons connaître une période où l'argent sera rare. L'argent sera cher. C'est ça qui va nuire. On va s'habituer au taux plus élevé. Si cette période prolongée d'une politique monétaire très in restrictive, c'est là où le risque de récession augmente. Le coût de l'argent beaucoup plus élevé qu'il ne l'a été depuis plusieurs années. Alors que nous devons faire en tant qu'investisseurs? (...)Une dégringolade de 10 % n'est pas amusant, mais cela fait plusieurs années que nous bénéficions de . . .plus positifs. Quel est le problème que les (...) d'ici 12 mois(.. .) les investisseurs du marché obligataire sont sous pression depuis longtemps parce que les rendements n'étaient pas intéressants. Aujourd'hui, sur le marché obligataire, on peut constater qu'elle remonte beaucoup plus élever qu'ils ne l'ont été depuis quelque temps. On avait en obligataire de 4 %, 5 % sur des obligations de première qualité. C'est intéressant. Au niveau du marché boursier, à court terme, je ferai preuve de prudence. À l'approche de l'automne. D'ici 12 mois, il y aura d'excellentes occasions d'accumulation de capital à long terme. Troisième point. Ce qu'on oublie, c'est que l'an dernier, tout le monde était expert emplacement. Or, les modes qui étaient très en vogue l'an dernier ont entraîné des pertes permanente cette année. Le retour à la réalité, ça fait toujours mal. La perte permanente de capital, c'est ça qui laisse vraiment les épaisseurs. Au cours des 10 prochaines années, c'est ce qu'il faut éviter. Départ permanente. C'est pour cela qu'il faut se méfier des investissements plus tangents. Répond en fait à long terme, ce modèle a fait ses preuves. Les investisseurs sont ébranlés. Le premier semestre était catastrophique sur le marché obligataire sur le marché boursier. Autrefois, les investisseurs se disaient: bon j'ai un portefeuille 50 ans, mes obligations se portent bien, tandis que mes actions s'effondrent ou inversement. Cela faisait très longtemps(...) je ne suis pas si jeune. C'est une anomalie. Je pense qu'il y a des leçons en tirer. Pendant le premier semestre, à part l'énergie et les produits de base, les seuls secteurs où il y a eu des rendements intéressants, rappelons-nous que d'ici 10 ans, des périodes de stagflation que nous n'avons pas vue d'ici depuis 10 ans. Ces périodes vont sans doute se produire. C'est plus que probable. Il y a des secteurs où l'on peut affiner un portefeuille équilibré par exemple en a utilisant les produits de base. À abandonner cette stratégie ne serait pas sage. Il y a des périodes difficiles, qui préparent des remontées. À présent, poursuivons la découverte de CourtierWeb. Dans les marchés volatiles, les investisseurs peuvent envisager des ordres stop afin de limiter les risques passés aujourd'hui, nous allons examiner les ordres stop suiveurs. Bonjour Brian. Expliquez-nous comment ils diffèrent des stocks ordinaires. - Bonjour Greg. Passons rapidement revu les ordres stop en généraux. Ce sont des ordres qu'on peut donner à des valeurs inférieures au marché afin d'éliminer le risque de baisse. C'est un ordre de vente avec l'incertitude et la volatilité. C'est un ordre qui devrait intéresser beaucoup plus de gens. Un ordre stop normal et ponctuel. Vous saisissez un certain prix de vente qui reste fixe jusqu'à ce que vous les modifiez. Si le titre évolue dans la mauvaise action, vous êtes bloqués avec ses prix de vente. Le stop suiveur (...) si le titre remonte, le seuil peut monter.j'ai préparé une petite vidéo pour expliquer. Vous fixez l'ordre de vente à un seuil de neuf dollars. Dès que l'action touche neuf dollars, l'ordre de vente sur le marché(...) si le titre chute de un dollar, mettons que vous l'avez acheté Matisse et qu'il (.. .) vous voyait que l'ordre suit la remontée de l'action. Mais toujours sur une plage de un dollar. Mettons que nous sommes à 12 $ et demi. Dès que l'action commence à baisser de plus que la plage de un dollar, voilà le moment où l'ordre est exécuté. Vous voyez que l'action fluctue une fois qu'elle diminue en deçà de la plage qui établit votre nouveau seuil, le titre est vendu avec un bénéfice beaucoup plus important. - Excellente illustration qui montre exactement comment fonctionne un autre stop suiveur. Mais comment donner un autre stop suiveur sur CourtierWeb? - J'ai un exemple, justement. Jouvre CourtierWeb. Mettons l'action Apple. dans le menu déroulant pour le type de prix, c'est là où se trouve l'ordre stop suiveur. Au prix du marché pour simplifier. mettons que je saisis une plage de 10 $. Si j'achète Apple à 140. Je veux réaliser un bénéfice quand même décent mais sans essuyer des pertes. À l'origine, le soleil sera de 160: si Apple monte à 190,182 100, cette plage va emboîter le pas. Si Apple le montant de 100 $, nouveau seuil de déclenchement serait de 190, ce qui permet de tirer son épingle du jeu à un meilleur prix. Voilà comment on donne un ordre stop suiveur. - Ces fascinants. Merci. Souligne ça me fait toujours plaisir. - Merci à Bryan Rogers. Spécialiste de la formation chez Placements directs TD. Ne manquez pas de visiter le centre d'apprentissage de CourtierWeb où vous trouverez encore plus de ressources. les marchés sont en recul. Nous sommes presque à mi-chemin de l'ordre du repas du midi et de l'indice TSX ne bouge pas. Trois quarts de pour cent en baisse. les secteurs de l'énergie de l'autre côté de la frontière sont plombés. Light speed en recul (...) l'indice S&P 500 est affecté par le pessimisme. En baisse de plus de 1 %. Rappelez-vous bien sûr que l'indice S&P 500 tout au long de cette remontée délitée affichait quatre semaines productives de suite. Ce record est compromis à moins que la tendance s'inverse la clôture d'aujourd'hui. Les 17 à 4000 235 000 global de 48 (...) intestat à 15 sous pression en baisse de presque 2 % en début de séance le Nasdaq avait reculé de plus de 2 %. Il se maintient même à ce niveau. Un titre intéressant, même si le marché tombait dans son ensemble: Madison Square Garden est en vogue aujourd'hui. La compagnie annonce qu'elle explore un dessaisissement de ses activités de divertissement. 64,88 $. L'action progresse de 3,5 %. les dernières statistiques aux États-Unis montrent l'économie américaine se portent bien. Cela préparait une nouvelle pour les investisseurs, (. ..) pourrait plafonner la hausse des actions contemporains depuis quelques semaines, les bonnes nouvelles c'était des bonnes nouvelles, les mauvaises nouvelles et de bonnes nouvelles. Les marchés(...) beaucoup de titres de technologie axée sur la croissance, depuis trois à quatre semaines, avait beaucoup grimpé. Je crois que les raisons pour lesquelles nous nous sommes retrouvés dans cette situation c'était en partie au niveau des attentes qui étaient plutôt pessimistes et aussi du fait que les marchés en étaient venus à croire que la Fed approchait de la fin de cette série de mesures, il ne se sentirait pas obligé de relever les taux de manière aussi énergique qu'on le pensait. Si on pense que la Fed va changer de cap, ralentir ces mesures, prendre des mesures moins énergiques, c'est très positif pour les valorisations. Boursière. C'est cela qui alimentait cette remontée. La raison pour laquelle je disais que le rapport sur l'emploi aux États-Unis la semaine dernière était très intéressant, puisqu'il montre que l'économie se porte très bien et qu'il ne faut pas trop anticiper sur le changement de cap. Beaucoup d'investisseurs qui se payent deux mots en se disant: c'est presque terminé, puis tout à coup, on annonce que l'on le marché de l'emploi se porte très bien. Cela va sans doute changer d'avis quelques investisseurs quant aux perspectives de la fête. Cela a fait changer d'avis quelques investisseurs, mais cela a certainement conforté la Fed dans son avis précédent. Depuis quelques temps, la Fed a laissé savoir qu'elle peut augmenter les taux de façon considérable puisque l'économie se porte très bien lorsque ce cycle d'augmentation de toit commencé et les statistiques de vendredi ont prouvé. Le marché du travail toujours très serré. Il y aura davantage augmentation de taux, peut-être même de 75 points de base en septembre. Nous n'avons pas encore opéré un virage. Je crois que les marchés se sont un peu emballés depuis quelques semaines. Que dire de l'argument selon lequel les marchés sont des instruments prospectifs? Ils anticipent que l'économie américaine continue lui exporte, que les augmentations de taux vont se poursuit, mais que tout cela est pris en compte dans les cours du marché. C'est le point de vue optimiste. Parfois, je me demande les marchés boursiers prédise vraiment l'avenir. - Vous avez tout à fait raison. Oui, les marchés sont en principe prospectif. Le problème, c'est que le libellé marché non pas une boule de cristal. Parfois les marchés se trompent, parfois les marchés ont raison. (...) il n'était pas déraisonnable d'adopter une perspective plus optimiste. Si vous êtes convaincus que la situation est mitigée mais que les perspectives positives sont prometteuses, on peut se laisser entraîner. Il y a une chose dans le marché de plus en plus convaincu, c'est que la Fed, et la banque du Canada également, est toujours crédible lorsqu'il s'agit de lutter contre l'inflation. Si vous suivez l'évolution du marché obligataire, et aussi du marché boursier, je songe aux actions à plus longue Duration, (. ..) les bons sont en lutte contre l'inflation, vos palettes sont belles, ne vont pas laisser revenir la stipulation qui prévalait dans les années sont plus. Il ne sera pas nécessaire d'abandonner une mesure brutale comme l'avait fait Paul Broker Le problème c'est que cette prise crédibilité un coup. Le coup, c'est qu'afin de ramener(...) notamment, il faut assurer à l'assouplissement du marché du travail donc un ralentissement de la croissance. Pour reconquérir leur crédibilité dans la lutte contre l'inflation, les banques centrales vont devoir déclencher un ralentissement dans l'économie. Est-ce que les banques centrales peuvent parvenir à ce mythique atterrissage en douceur qui consiste à lutter avec succès contre l'inflation sans déclencher une baisse trop catastrophique de l'économie? - L'emploi n'a pas reculé aux États-Unis. Au Canada, les statistiques sont plus intrigantes. Est-ce que la banque du Canada… est-ce que la banque du Canada? - Eh bien, rapport sur l'emploi au Canada est notoirement(...) il faut tout de même tirer quelques conclusions. La banque du Canada vont en tirer des conclusions. L'économie réagit au cycle d'augmentation de taux énergique que nous avons déjà mis en place. Je suis sûr que cela leur donne matière à réflexion. En revanche, l'inflation demeure très élever, et comme vous l'avez dit, dans ce même rapport sur l'emploi, on constate que les salaires augmentent au rythme de 5 %, ce qui est assez élevé. Le taux de participation est encore une fois diminue. Le taux de participation, c'était de la mesure dans laquelle le marché du travail est souple. Le marche le d'une part, l'économie semble réagir assez rapidement taux d'intérêt. En revanche, les statistiques montrent qu'il faut faire encore plus, parce que le marché du travail malgré ses pertes d'emploi se porte toujours très bien. Trop bien. Si on parvenait au Canada au point où la banque du Canada avait des raisons d'adopter une voie différente de la Fed, ou est-ce qu'il est obligé d'emboîter le pas à la Fed? - chaque banque centrale peut choisir son propre cap. La banque du Canada est intervenue plus tôt et plus énergiquement pendant ce cycle d'augmentation des taux. Elle agit plus rapidement que la fête. La banque du Canada a depuis longtemps pour politique de cible taux d'inflation de un à 3 %. Cette politique remonte aux années début des années 90. Je pense que la banque du Canada est toujours très crédible lorsqu'il s'agit de la lutte contre l'inflation. Elle est intervenue rapidement et énergiquement et cela montre que la banque du Canada est à l'œuvre. La banque Canada pourrait éventuellement diverger du cap de la fête. Nous verrons ce qui se passera. Je consigneras pas beaucoup de surprises au niveau de la politique monétaire pour les deux prochaines annonces banque centrale. Peut-être vers la fin de l'année pour recommencer apparaître un écart. Si les tendances se poursuivent. Restez à l'écoute, dit Bart Melek, va répondre à vos questions au sujet des produits de base, naturellement. Je vous rappelle que vous pouvez communiquer avec nous en tout temps par courriel, MoneyTalkLive@TD.com. Merci et à bientôt.