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(musique) – Bonjour. Ici Greg Bonnell. Bienvenue à Parlons Argent en direct mission le placements directs et les. Tous les jours, je suis accompagné de nouveaux invités des télés qui vous expliquent le mouvement des marchés. Dans l'émission d'aujourd'hui, nous ferons des possibilités que la Fed renonce à des hauts de taux gigantesque et Chris Whelan ce rapport présent à nos questions. Suite, Hiren Amin nous parlera de CourtierWeb. Vous pouvez envoyer un courriel ou saisissez votre question au bas de l'écran dans la boîte à cet effet. Avant de rencontrer nous éviter de journée, les marchés. (...) le TSX en territoire négatif. Un peu plus de c. Un peu de difficulté hier pour l'énergie. Vous avez pour le moment les services financiers, l'énergie et les matériaux de base en territoire négatif. Difficile d'avoir un résultat positif en pareille situation. Un peu de faiblesse du côté du pétrole et du gaz. Vous avez 64 (...), c'est une évolution d'environ 2 %. Petit robot du côté de la technologie. J'aimerais regarder (...), qui est en territoire positif. Au sud de la frontière, le S&P 500 est en territoire positif, mais modérément. Augmentation de moins de 0,2 %. Ensuite, Nasdaq, de nouveaux, on est du côté positif, mais modérément. – Oui, qui vendent des produits pour animaux de compagnie, qui réduit ses perspectives de vente et déclare que la croissance de la clientèle ralentie. Il a perdu 8 % de son titre. Les marchés cherchent à retrouver leur équilibre après trois jours de (...), suite au discours très attendu de Jerome Powell. Aujourd'hui, pour discuter d'éventuelles augmentations, inférieure à ce qu'on a constaté, Chris Whelan, stagiaire (...). Commençons par la question de l'été et la théorie du changement de (...). Jerome powell nous a donné une douche froide. Quelle est la réaction des marchés? Comment interprète-t-il cela? – Les marchés obligataires avaient déjà anticipé le marché des actions digèrent toujours la nouvelle cependant. Le ton est assez dynamique. Le marché obligataire nous dit que les banques centrales sortent de ces augmentations. Cela nous laisse croire que la douleur devrait être passagère. Les bons du trésor américain sont à trois et demis pour cent. Nous sommes toujours dans une perspective positive, le marché obligataire estime que l'inflation ralentira, que la douleur que nous vivons, elle sera passagère. Même si le consommateur général voir l'annonce de Jérôme Powell comme une annonce négative et qui ne sait pas quoi Satan, on ne pourra pas maintenir ces augmentations radicales des longtemps. – Est-ce que cela nous donne suffisamment d'information pour qu'on puisse parler de pivoter ou est-ce que vraiment, la situation actuelle est éphémère? – Je pense que nous sommes à présent passé à l'objectif que nous gardons à l'œil, c'est-à-dire quand la Fed on aura-t-elle terminé de ces augmentations? Et dans la suite des choses, c'est-à-dire je crois que le marché obligataire va commencer à ralentir. Je pense qu'on espère tous un recul de l'inflation et un atterrissage en douceur. Cependant, c'est difficile de dire si le marché obligataire prévoit un atterrissage forcé ou non. Mais le marché obligataire tient compte de ce qu'on appelait le pivot. On cherche maintenant la finalité. Le marché obligataire vous indique que les augmentations devaient prendre fin assez rapidement. Avant le printemps de l'année prochaine. – Lorsque les banques centrales agissent aussi radicalement comme l'ont fait récemment, il faut du temps avant que cela se fasse sentir dans la colonie. Pourtant, on a constaté des augmentations gigantesques, jusqu'à 100 points de base. Il faudra du temps pour qu'on en ressente les répercussions, n'est-ce pas? – Peut-être que les banques centrales vont prendre le temps de voir quels sont les effets sur le marché. On commence déjà avoir les signaux avant-coureurs de ses impacts. Les inventaires qui continuent d'augmenter. Aujourd'hui, on a eu l'annonce du PIB canadien. Une estimation rapide nous montre un recul de 0,1 % dans le mois à venir. Les données commencent à ralentir. Et c'est de la que le marché obligataire établi ses perspectives, c'est-à-dire que les augmentations des banques centrales fonctionnent. Elle ramène l'inflation à la messe et contribue à ralentir les activités de consommation générale. – Jerome Powell nous dit qu'il faudra du temps avant que l'on puisse juguler cette inflation. Qu'est-ce qu'on cherche? On cherche 2 %. À quel point cela sera-t-il difficile? Les gens nous disent que l'inflation ralentira considérablement, mais les derniers pourcentages seront peut-être les plus difficiles. – Nous allons nous trouver dans une situation inconfortable où il nous faudra du temps. Et on s'attend à ce qu'on attend Lapointe. On sera à 5 % des 2023. Et on continuera de voir l'inflation reculer. Ce sera toujours un niveau inconfortable pendant les premiers trimestres de 2023. Il devrait donc y avoir une détérioration de la croissance. C'est le moment le plus difficile et le plus douloureux. La différence de 5 % par rapport à 2 %, c'est la raison pour laquelle les taux resteront à 3,5 %. Trois ennemis au Canada, 2,75 aussi aux États-Unis. Jusqu'au premier et deuxième trimestre. On pense vraiment qu'il y aura des réductions au troisième trimestre. – S'il y a des investisseurs qui s'accrochent à ce pivot, je pense qu'ils seront déçus. Comme vous dîtes, on envisage un ralentissement de l'économie. Peut-être que le chômage augmentera. Est-ce qu'on peut tout de même se dire… On sait que ça été douloureux, mais il faut continuer d'agir sur l'inflation? –C'est plus facile de dire la douleur que de la ressentir. On verra bien quelle sera la réaction des banques centrales. Mais pour répondre à votre question, quiconque s'accroche à cette notion que les banques centrales ont terminé leurs augmentations a leur. Le consensus du marché, c'est qu'on aura 75 points de base d'augmentation ici au Canada. 50 points de base pour les deux prochaines réunions aux États-Unis. Cette notion de ne plus avoir d'augmentation est derrière nous. Sans points de base, c'est beaucoup d'augmentation gigantesque. C'est cette notion que les augmentations sont dernières nous, n'ont plus lieu d'être. – Je pense que depuis la crise financière de 2009, les banques centrales sont au cœur de la politique monétaire. Nous sommes arrivés à une période où il faut revoir notre identité(.. .). – Nous avons des politiques monétaires qui fonctionnent, n'est-ce pas. On constate l'effet de ces augmentations sur notre économie. Mais malheureusement, nous sommes toujours coincés dans ses lexiques de vaches grasses et de vaches maigres. Et pendant la COVID, nous avons craint une récession semblable à celle de 2008 et pour finir, nous avons constaté que ces prévisions étaient trop négatives. Maintenant, il faut augmenter les taux d'intérêt depuis (...). On pensait que zéro, c'était la norme. – Comment il faudra payer pour emprunter? – Nous parlons d'augmentation. Plus ces augmentations sont médicales, plus on se rapproche de la prochaine coupure. Pour le marché obligataire est très volatile. C'est le cas depuis le début de la pandémie. La volatilité du marché obligataire nous indique qu'il faudra un certain temps avant qu'on ne comprenne qu'elle est le nouveau taux d'intérêt standard. Je pense qu'il faudra attendre. – Excellent. De départ pour la conversation. Nous avons passé à vos questions dans un instant. Vous pouvez communiquer avec nous par courriel ou en envoyant une question grâce à la bonne question au bas de votre écran. Voici une mise à jour sur les principales nouvelles du monde des affaires. Les actions de (...) sont à l'honneur aujourd'hui. Les détaillants est en difficulté et annonce des licenciements. Cette nouvelle intervient tandis que (... ) prévoit une chute de 26 % pour le prochain trimestre. La société annonce qu'elle a obtenu un nouveau financement de 500 millions. (...) a continué avec des variations de prix démesurés tandis qu'elle bénéficie d'un regain d'attention de la part des investisseurs en commerce de détail. Le prix élevé de l'essence a contribué à augmenter les revenus de Couche-Tard. Ils ont eu des résultats supérieurs à la moyenne. (...) et hausse des prix à la pompe ainsi que les ventes de marchandises dans ses magasins les. Les volumes de ventes de gaz étaient en recul. Les sociétés de (...) va licencier un cinquième de ses effectifs. Le PDG déclare que la croissance du chiffre d'affaires est inférieure aux attentes. (...) abandonne également certains projets. À présent, les indices de référence, par exemple au Canada. Une diminution de un tiers de pourcentage et (. ..) augmentation modeste. 0,14 %. Nous sommes de retour avec Chris Whelan. D'entrée, combien de hausses de taux supplémentaire de la Banque du Canada sont prévues? – Du côté de la Banque du Canada, nous avons une réunion en septembre. On s'attend à une augmentation de 75 points de base. Je pense que c'est à peu près ce qu'a prévu le marché. Si le consensus actuel. Et puis on a prévu une autre augmentation en octobre de 25 points de base. Cela, nous pensons toujours que selon l'inflation, il y a un risque il y ait une augmentation supplémentaire. Mais les probabilités que cette augmentation est lieue sont plutôt faibles. On pense que le taux de la banque centrale devra augmenter de 100 points de base au total d'ici la fin octobre. – 3,5 % pour le taux de financement, est-ce qu'on pourrait ainsi limiter l'économie et notre envie de consommer? Est-ce que ça permettra de contrôler l'inflation? Les ménages canadiens étaient déjà très endettés avant cette situation. Or, regardez tout l'endettement que nous avons. – Au final, je pense que c'est vrai que la Banque du Canada ne peut pas être trop agressive pendant trop longtemps. Ce qu'elle essaie de faire, c'est d'avoir des augmentations importantes pour remettre les pendules à l'heure. C'est-à-dire qu'on ne prévoit pas une augmentation des taux pour les années à venir. On prévoit une découpure du taux de la Banque du Canada dans l'année à venir. Et la moyenne devrait être inférieure à ce qu'il est aujourd'hui. On parle d'une douleur éphémère. Avec le taux d'endettement des ménages et le prix des logements actuellement, les nouveaux acheteurs ne peuvent pas se permettre ce genre de taux d'intérêt. Il est fort probable que ce n'est pas durable sur le long terme. Est-ce que c'est durable sur le court terme? Oui parce que ça permet de corriger les comportements, de ralentir l'économie. La banque centrale cherche à arrêter la suractivité économique, la surchauffe de l'économie. – On sait quel est l'impact de la Fed sur nous. Mais on sait que dans le passé, la Banque du Canada ne suit pas nécessairement ce que fait la Fed. On pense que ce sera peut-être le cas l'année prochaine. Peut-être que la Banque du Canada choisira un parcours différent de la fin de l'année prochaine. – Essentiellement, c'est notre prémisse de base. La Banque du Canada réduira le taux directeur avant la Fed, étant donné l'endettement des ménages canadiens. Si quelque chose achoppe, ça devrait se produire au Canada avant. On ne devrait pas être en mesure d'avoir un taux de la banque centrale élevée pendant aussi longtemps. Mais la Fed et la banque centrale essaie de corriger la tendance actuelle de l'inflation. Il faut du temps avant que cela suive son coude. On attend que cela se réalise. On attend que ces augmentations se matérialisent sur les marchés. – Très intéressant! Nous avons une question sur le Canada. Quel est votre perspective pour le dollar canadien. –Environ 1,30 $. Il y a beaucoup de facteurs pour lesquels on se trouve dans cette fourchette. L'attitude de risque est négative, ce qui permet d'aider le dollar. Ça soutient le dollar si vous voulez. Et l'appétit pour les risques est positif pour le dollar canadien. C'est la raison pour laquelle on pense qu'on se situera aux deux autour de 1,30 $. Si on avait un scénario extrême, si le Canada avait un ralentissement important de son marché immobilier, cela occasionnerait des pressions à la baisse sur le dollar canadien. On ne s'attend pense que cela se produise. – Toujours fascinant quand on part du dollar canadien. Il y a des moments dans l'histoire aussi dit que c'était un dollar associé au pétrole. Je me rappelle le (... ) qui nous disais que notre dollar était lié au pétrole. Mais ça n'a pas toujours été le cas. Est-ce que le dollar canadien s'est dissocié du secteur énergétique? – Je pense que l'environnement d'affaires a beaucoup changé du côté des matières premières. Les sensibilités… On a toujours un (...) positif dans les matières près premières notre économie éviter une récession grâce a un marché des matières premières positif. C'est la mesure dans laquelle cela ne touche qui est inférieur au passé. Nous ne sommes plus aussi liés aux matières premières que par le passé. – Nous avons une autre question. Nous en avons un peu parlé. Approfondissez, si vous voulez, votre point de vue sur le logement. Dans le contexte de ces hausses de taux. Il faut un moment avant que les hausses de taux pareils sur l'économie, mais ça semble toucher le marché immobilier rapidement. – Au final, avec l'augmentation des prix des logements en février de cette année, on avait un taux de prêt côté Caire de 1,1 à deux (...). C'était facile de se convaincre qu'on pouvait se permettre ce genre de prix par rapport à maintenant. Maintenant, on a un taux variable à 5 %. C'est une hausse importante, étant donné que les logements sont aussi chers. Je comprends que cela ait eu un impact sur le consommateur. Presque instantané. Au final, le Canada, on le savait depuis longtemps, connaissait une surchauffe de son marché immobilier. Nous avions plus de mises en chantier qu'ailleurs dans les marchés développés. Nous avons les ventes faibles et d'après nos prévisions, et d'après ce que nous dit le marché obligataire, on a des taux fixes qui ont atteint leur pointe. S'ils peuvent diminuer, au cours du printemps prochain, cela pourrait être bon pour le marché immobilier, qui a connu une correction assez radicale. Nous sommes positifs sur le long terme et on ne pense pas que le marché du logement et du marché immobilier du Canada a de quoi craindre. Ce n'est pas le cas. Mais au final, les taux plus élevés ont un impact sur le consommateur. – Pour le moment, nous recevons beaucoup de questions par rapport aux mensualités associées au prêt hypothécaire variable. Certaines personnes augmentent leur paiement mensuel. Ça se répercute sur le dos des banques. Nous avons beaucoup de questions par rapport à cela. Cela crée de l'inquiétude dans le marché. Il faudra attendre. Nous comprenons les craintes. Mais nous pensons que sur le long terme, la croissance démographique et les taux fixes sur cinq ans étant identiques ou inférieurs dans un avenir relativement rapproché, ça devrait donner un soulagement au marché. – Analyse intéressant. Faites vos recherches avant de prendre des décisions de placement. De retour à vos questions dans un moment. Je vous rappelle que vous pouvez communiquer avec nous. Vous n'avez qu'à nous envoyer un courriel. Passons au segment éducatif. On a beaucoup parlé de taux d'intérêt aujourd'hui. CourtierWeb à de l'information pour nous. Pour en parler, nous avons invité (. ..). Dites tout ce qui est disponible sur la plate-forme aujourd'hui. – Bonjour. Nous parlons beaucoup les taux d'intérêt. Nous savons que c'est un moyen pour les banques centrales de contrôler l'approvisionnement en monnaie. Nous savons qu'en juillet, la Banque du Canada a augmenté son taux de financement de 100 points de base. Qu'est-ce qu'on prévoit l'avenir? Dans CourtierWeb, on peut cliquer sur recherches puis marchées et rapport. Les données de taux d'intérêt se trouvent sur cette page. Nous allons faire défiler jusqu'à service économique TD, ce qui ouvre cette scène naître. Ici, nous allons aller au prix de (...). À partir des prévisions, il s'agit de trouver les dernières prévisions affichées. Si vous cliquez ici, vous avez les données que nous cherchons. Pour la conversation d'aujourd'hui, on cherche les taux d'intérêt. On peut trouver d'autres données? Intéressante. Vous constaterez que nous avons le taux d'intérêt un jour à la fois pour le Canada. Et les États-Unis. – Approfondissant la question. Les gens qui suivent les finances voient le taux de financement un jour, ils se disent: je veux savoir quelle est la relation entre ce que dit la banque centrale et mon prêt hypothécaire ma carte de crédit. – C'est une bonne question. Le taux de financement un jour, les banques centrales de tous les pays se servent de ce taux de référence pour les grandes institutions financières, pour leur tour préférentielle. Il ne s'agit pas du taux préférentiel. C'est le taux de prêt entre les banques elles-mêmes. Lors de la dernière réunion de la Banque du Canada, ce taux était de 2,5 % au Canada comme aux États-Unis. Ces taux visent à avoir un impact sur la politique monétaire. C'est un outil axione pour limiter l'inflation. L'inflation est une hausse des prix ou une diminution du pouvoir d'achat de côté ou de l'autre. L'inflation n'est pas une mauvaise chose tant qu'elle est contrôlée. Les banques centrales veulent maintenir autour de 2 %. Si le taux d'inflation est en dehors de cette fourchette, nous sommes à 7 % au Canada, les banques centrales vont devoir agir. Elles augmentent le taux de financement. Ce qui signifie que les banques et les institutions financières entraînent augmentent le taux auquel elle se prête, ce qui rend le prêt plus cher pour le consommateur. Ce que cela signifie, c'est que ça décourage le surendettement. Ça décourage la surconsommation. Cela limite la demande pour que l'on puisse contrôler l'inflation. Il y aura une nouvelle rencontre en septembre. Ce qu'on prévoit, c'est une augmentation de 50 à 75 points de base pour cette prochaine rencontre. Nous gardons ces choses à l'œil. – Merci! – Merci à vous. – Si vous voulez avoir davantage d'informations, consulter CourtierWeb. Nous avons des webinaire. Comment trouver des actions technologiques (.. .). Je vous rappelle à présent que nous cherchons vos questions pour Chris Whelan. Avez-vous des questions par rapport à l'économie? Nous voulons savoir ce que vous en pensez. Vous avez deux moyens pour nous envoyer vos questions. Vous pouvez nous envoyer un courriel ou alors vous pouvez vous servir de l'encadrée question au bas de l'écran. Vous n'avez qu'à saisir votre question et à cliquer sur envoyer. Peut-être même que notre invité pour répondre à votre question en direct. De retour Christ. Voici la prochaine question. Quelle sera l'ampleur de la récession? Est-ce que ce Radio-Canada qu'aux États-Unis? – Du côté de la récession, si c'était pire au Canada, ce serait sans doute associé à des taux d'intérêt plus élevé pendant une période prolongée. On a plus d'endettement, donc on est plus sensible à ces taux de la banque centrale. Si l'inflation demeurait plus élever, la banque centrale pourrait peut-être augmenter à son taux à 4 %. Et il se si elle maintenait ce taux pendant une période prolongée, cela augmenterait le risque pour l'économie canadienne en raison de notre exposition à ce niveau d'endettement. C'est la différence entre nous et les États-Unis. Nous avons un bon marché de matière brute et cela nous donne un coup de pouce ici au Canada. Pour le moment, nous prévoyons un atterrissage en douceur de partis et d'autre de la frontière. Et nous avons également une croissance de la population au Canada. Si jamais les taux demeuraient élever, c'est ce qui occasionnerait une différence au Canada. – Pour cet atterrissage en douceur, il y aura peut-être un peu de douleur dans le marché. Les Canadiens, lorsqu'ils entendent marcher du pourrait souffrir? –Il faudra voir l'impact sur la durée. C'est plus facile de parler de douleur que de la ressentir. Mais au Canada, la raison pour laquelle on prévoit cet atterrissage en douceur, c'est en raison de notre excellent marché du travail. Normalement, une récession signifie beaucoup de licenciement. Est-ce que ce sera de l'ordre de ce qu'on a connu dans le passé? Sans doute que non. Nous avons une anecdote intéressante. Lorsque que les entreprises doivent vendre leur inventaire parce qu'elles n'ont pas suffisamment d'employés, qu'est-ce que ça signifie? C'est un moment différent de ce qu'on a connu par le passé. C'est difficile d'avoir des repères dans une telle situation. On pense qu'on a un excellent marché du travail qui nous prémunit contre les catastrophes associées à des récessions. Je pense que cette notion que nous avons des licenciements est certainement prévisible lors d'un atterrissage en douceur. Est-ce qu'il y a aucun licenciement? Non. Mais on pense que le licenciement ne seront pas trop importants. – Consultons nos marchés. Commençons par chez nous. SCP TSX. Données financières, touche à la baisse. C'est difficile d'être en territoire positif emparé situation. Au sud de la frontière, nous sommes en territoire négatif. Nous étions en territoire positif modérément et nous avons à présent une diminution après trois jours de pression à la baisse. Une diminution de 2 %. Le retour aux questions. Nous en avons beaucoup. On sait que les moments sont durs. Vous avez beaucoup de questions. Nous voulons savoir ce que vous pensez des CPJ. – Les CPJ sont de plus en plus populaires. On a des rendements obligataires plus élevés. Vous avez des CPG qui sont des instruments à plus courte échéance. Quand vous comparez au marché obligataire qui est volatilisé souvent à la baisse, il est plus intéressant d'avoir un CPJ. Je pense que pour l'avenir,… Pour le moment, on parle de récession, cela signifie pression à la baisse sur les rendements, pas à la hausse. On se pose la question: est-ce qu'on devrait avoir la fin des augmentations des banques centrales? Si c'est le cas, ce serait plus intéressant d'investir dans les obligations. On pourrait passer de fonds obligataire négatif à positif très rapidement. C'est là que les fonds obligataires pourraient devenir plus attractifs que les CPJ. Mais pour le moment, on avait des pertes, des sorties des fonds obligataires au Canada comme aux États-Unis. Cela a ralenti notre Et si la version de la courbe est juste et que le marché est juste, on se rapproche de la fin des augmentations des banques centrales et cet atterrissage en douceur ce produit. Les fonds obligataires sont plus attractifs. Je pense que ce sera la dynamique avec les CPG. Il était séduisant étant donné que les fonds obligataires étaient en situation négative. Mais je pense que cela changera. – Un moment donné, vous vous êtes décidés d'acheter un CPG, est-ce que vous avez acheté un an, cinq ans? – Étant donné la volatilité, je pense qu'il est préférable de prendre un CPG à courte échéance pour qu'on puisse bondir sur des possibilités à l'avenir si les actions étaient plus intéressants. Si les rendements étaient plus intéressants que les CPG. – De retour à vos questions pour Chris Whelan. Avant de se faire, je vous rappelle de faire vos recherches avant de prendre des décisions de placement. Avez-vous une question par rapport au placement? Nos invités veulent savoir ce que vous en pensez. Envoyez-nous vos questions. Il y a deux moyens de communiquer avec nous. Vous pouvez nous envoyer un courriel ou vous pouvez vous servir de l'encadrée question juste en bas de cet écran. Sur CourtierWeb, cours (... Nous cherchons à obtenir une réponse en direct à votre question. Le rapport sur l'emploi aux États-Unis, (...) ont publié un rapport sur la situation du marché du travail ventilé au Canada. Anthony Okolie est ici pour en parler. – Les marchés régionaux aux États-Unis se sont améliorés pendant la premier semestre 2020: dans le rapport de juillet, on voit qu'elle. Le marché du travail des États-Unis est en bonne situation. Les gains d'emploi ont doublé les attentes. Le taux de chômage est à son plus bas niveau depuis 50 ans. Si on ventile selon les régions, le sud est du côté de l'Est, (. ..) la Caroline du Nord a également une augmentation de son taux d'emploi tandis que la Géorgie rattrape son retard. La masse salariale augmente et quand on regarde le centre de l'Atlantique, la Caroline du Nord mène la charge avec le taux de chômage le plus faible en 20 ans. Et si on regarde la région du milieu de l'Atlantique, nous sommes toujours en position de reprise. New York ne s'est pas remis tout à fait de la pandémie. La côte est, cette région est toujours en reprise lente. Le taux de chômage du Connecticut et du Main sont toujours supérieurs à la période pré pandémie. En dépit d'un excellent marché du travail national, il y a peu de données qui nous permettent de croire que le marché du travail ralenti pour le moment. – Regardons la ventilation pour l'avenir. – Les services économiques TD s'attendent à ce que la croissance des emplois ralentisse, mais c'est différent selon les états. On s'attend à 300 000 nouveaux emplois. C'est bien en deçà des 500 000 ajoutés en juillet dernier. Lorsqu'on regarde le ralentissement principal, il se trouve dans la Nouvelle-Angleterre. Le reste de la côte est est à peu près similaire à la moyenne nationale. – Merci. Anthony Okolie. Examinons à présent les marchés. On commence par l'indice composite TSX. Toujours en territoire négatif, un peu moins de 70 % de baisse. Les données des services financiers de l'énergie et des mines en baisse. T et C énergie corps baisse à 63 $. Alimentation couche-tard augmentation à 57 $ en raison de l'augmentation du coût de l'essence. Augmentation de 0,83 %. Ça signifie une demande inférieure. Le volume de vente est inférieur, mais aucune, en valeur absolue, c'est une augmentation. SIP 500. C'est l'équivalence qu'on avait lors de notre dernière consultation du marché. De retour avec Chris Whelan de valeur immobilière TD. Que pensez-vous du marché obligataire pour le moment? Est-ce qu'il est plus séduisant puisqu'on a constaté au début de l'année? – Du côté du marché obligataire, on est confronté à ses augmentations des banques centrales. Comme le dit un peu plus tôt. On s'entend à 100 points de base augmentation Canada et plus aux États-Unis. Peut-être 125 points de base aux États-Unis d'ici la fin de l'année. Cela a un impact sur le marché obligataire. C'est un phénomène naturel. Cependant, en se projetant dans l'avenir, on pense qu'il y aura une inversion de la courbe et on pense que le rendement des obligations sur 10 ans sera à 0,4 en-deçà de la moyenne. Ce qui se rapproche de notre cible. On pense que les augmentations de la fédé de la banque centrale vont avoir un impact sur l'économie, un ralentissement de cette économie, mais qui n'en a plus qu'une: le marché obligataire devrait éventuellement être positif. Le Marseille obligatoire pourra offrir un rendement intéressant. Nous avons de grandes institutions qui vont rééquilibrer leur portefeuille vers les obligations. Vous avez toujours ce mécanisme par rapport au obligation. Mais comme le marché boursier était en hausse depuis très longtemps, on a sur pondéré les actions pendant quelques années. Car au final, c'était plus intéressant d'investir dans les actions. Mais maintenant, l'environnement est plus incertain. Il est tout d'intérêt ont augmenté. Donc les obligations sont plus attractives dans un portefeuille. On préfère donc la répartition dans son portefeuille. Nous pensons que les obligations devraient regagner en popularité sous peu. Nous pensons que les obligations seront plus positives que ça été le cas depuis un an. – Avant de vous quitter, nous sommes à une semaine de la prochaine décision de la banque centrale. Nous avons un téléspectateur qui nous dit: à quoi vous attendez-vous lors de cette réunion? – Eh bien, je crois qu'il y aura une augmentation de 75. De base. C'est simplement pour juguler l'inflation. Je pense que la Banque du Canada voudra se donner de la marge de manœuvre. Et limiter les augmentations. Comme vous le disiez, ça a un impact sur le marché. Nous sommes dans un environnement sans précédent. Je pense que la Banque du Canada voudra se donner les coudées franches en augmentant de 75 points de base. Ça ne devrait pas être une réunion trop pénible. – Merci d'avoir été des nôtres. Rester à l'écoute, demain, jeudi, Vitali Mossounov sera notre invité pour répondre à vos questions sur le secteur de la technologie. Vous pouvez nous envoyer vos questions par courriel. Merci d'avoir été des nôtres et à demain.