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(musique) - Bonjour, ici Greg Bonnell. Bienvenue à Parlons Argent en direct, une sur le Placements directs TD. Nos invités commentent l'actualité des marchés et répondre à vos questions sur les placements.
Aujourd'hui, Scott Colbourne de Gestion d'actifs TD commente les placements. Nous poursuivons la découverte de CourtierWeb. Bryan Rogers nous montre comment découvrir les compagnies qui constituent un indice.
Posez-nous vos questions par courriel, MoneyTalkLive@TD.com, ou dans la boîte de questions bas de votre écran. Mais d'abord un coup d'œil sur les marchés.
nous avons ressenti la pression de la crainte de la récession.
L'indice SCP TSX est très légèrement en hausse de 35 points ou un peu moins qu'un cinquième de pour cent.
Le cours de l'or se raffermit aujourd'hui. Un certain nombre de sociétés de mines d'or sont en hausse.
Barrick Gold gagne un peu plus de 2 %.
La technologie est en dents de scie aujourd'hui. Aussi bien au Canada qu'aux États-Unis.
Shopify légèrement sous pression, mais remonté depuis le creux atteint en début de séance, pour l'instant Belt un peu plus de 1 %. Indice S&P 500 démarche instantanée du marché est en légère hausse tandis que les investisseurs assimilent les hautes intérêts de la Fed et les perspectives de hausse future comme nous venons de le dire, la banque du Canada vient de pratiquer une hausse.
L'indice Nasdaq est essentiellement inchangé, ni hausse ni baisse. Certains des titres du secteur des voyages, y compris le croisiériste Carnival, (...) la banque du Canada relevé les taux d'intérêt de 50 points de base.
L'inflation continue de demeurer haute, mais ce cycle de tout près bientôt prendre fin. Scott Colbourne. Et directeur des titres à Gestion d'actifs TD. Selon les marchés, la banque du Canada a clairement laissé entendre qu'elle arrive ou arrivera bientôt à la fin de ce cycle de hausse.
- On trouve un peu de tout sur les marchés. Le marché se demandait s'il y aurait 25 ou 50 points.
La banque a montré un peu plus de fermeté que prévu, mais le discours de celle-ci a évolué.
La banque avait dit qu'elle allait augmenter les taux, et à présent elle dit qu'elle va envisager s'il est plausible de les rehausser, donc il y a une certaine contingence dans le discours de la banque.
La prochaine augmentation sera-t-elle de 0,7 à la fin du cycle, de 25?
C'est la trajectoire que beaucoup de banques centrales ont suivie.
Tout d'abord une série d'augmentation très rapide des taux, que ce soit la Fed, la banque du Canada, la Banque Royale d'Australie, la banque de réserve d'Australie, et à présent la question de savoir quel sera le tout terminal combien de temps cela prendra pour y parvenir.
Toute idée des hausses de taux consiste à juguler l'inflation et à créer des conditions restrictives pour l'économie.
Afin de donner un coup de frein.
Nous avons déjà atteint un taux restrictif. Est-ce que nous sommes parvenus au point où nous pensons pouvoir modérer l'inflation avec un taux de ce niveau-là?
- C'est le débat. La politique monétaire a un effet décalé.
Les dernières données sur le PIB montrent que la demande intérieure a molli.
(...) Comme la banque du Canada l'a signalé, l'inflation demeure élever. Certaines commencent à refluer, mais il demeure à un niveau inacceptable moins élevé.
Beaucoup d'incertitudes.
Il faut laisser les événements se répercuter et voir comment la politique monétaire affectera l'économie intérieure aussi bien que international. Le moment est venu de marquer une pause, et le cas échéant de suspendre la série de hausse de taux. La prochaine réunion de la banque est en janvier et elle avisera.
Les marchés qui se projet de janvier se distingue.
.
Le meilleur scénario bien sûr serait que la banque qui a commencé très rapidement sa série de hausse de taux va mettre fin à cette série sans avoir causé trop de dégâts l'économie. Parlons de la courbe des taux et son inversion.
Les termes les plus dangereux dans le lexique des investisseurs, C: c'est différent cette fois.
La notion d'une récession au niveau intérieur sur le marché obligataire canadien aussi bien qu'aux États-Unis a beaucoup de détracteur.
(...) Pas nécessairement niveau chronologique, nous ne savons pas quand il y aura une récession, mais je pense qu'il y en aura une.
On peut se demander à quel point sera grave ou modéré.
Je pense que nous allons certainement, à en croire le marché obligataire, entrée en récession. Il s'agit de l'impact décalé de cette série de rapides hausses de taux. Il a donc du bon sens que la banque du Canada marque une pause.
Est-ce que les marchés obligataires prédisent la nature de la récession?
Parlons-en.
Le scénario le plus favorable serait une rapide récession qui déclenche le résultat voulu, mais le résultat de du pire serait le chômage de masse.
Pouvons-nous éviter ce scénario?
- L'une des clés le marché de l'emploi. Aussi bien au Canada qu'aux États-Unis, le marché de l'emploi reste très serré. Dans la mesure où cela prédit l'étendue une récession, nous avons certainement vu un ralentissement de la croissance de l'emploi, mais les salaires sont toujours en croissance aux États-Unis notamment.
Jusqu'ici, tout porte à croire que le marché de l'emploi va connaître un ralentissement plus modeste. Y a-t-il un élément de surprise face à la résiliente de l'économie? Même la banque du Canada a dû reconnaître aujourd'hui que l'économie est plus résiliente.
Après avoir connu de forts taux, le marché demeure solide. Le PIB ne fléchit que légèrement.
- Oui, il s'agit d'un thème dans le monde entier, les économies ont fait preuve d'une résilience qui n'était pas prévue par les modèles des banques centrales.
On prévoyait que les hausses de taux auraient un impact plus prononcé plus rapide, que ce soient les politiques budgétaires qui ont été adoptés pendant la pandémie, l'épargne se porte bien, le marché du travail également, les marchés des produits de base offrent un facteur favorable au Canada.
Le reflux de l'activité économique prend plus longtemps que les décideurs responsables politiques monétaires le croyaient, ce qui souligne la résiliente de l'économie mondiale canadienne. Le scénario le plus probable, c'est que nous assistions à une hausse des hausses de taux plutôt qu'à l'apparition rapide de réduction de taux.
Le marché suppose volontiers que les banques centrales vont commencer à réduire les taux d'intérêt, mais compte tenu de la résilience du marché de l'emploi, de la résidence de l'économie, la bonne réponse consistera peut-être à marquer une pause et réévaluer.
- Vous avez évoqué l'économie mondiale. Que dire des autres banques centrales? Nous savons ce que la banque du Canada vient d'annoncer, qu'elle ne pratiquera pas plus peut-être qu'une seule modeste hausse de tout, mais il y a un certain nombre de facteurs, le marché du logement, endettement.
- La banque de réserve d'Australie, qui ressemble au Canada, une économie axée sur les produits de base, à relever les taux de 25 points de base. Pour en revenir à cette approche, le rythme des hausses de taux en Australie a également ralenti. À l'heure actuelle, ils s'agit de déterminer quels seront les taux terminaux.
La Fed, la banque du Canada est Australie et d'autres banques centrales continuent d'annoncer qu'il reste quelque chose de tôt.
Nous en sommes peut-être à la septième ou huitième manche, mais il s'agit d'achever rapidement. Combien de temps resteront nous auto terminal?
Dans quelle mesure l'inflation sera-t-elle persistante?
Comment se porte relève le marché du travail? Nous savons que l'inflation diminuera (...) l'économie va-t-elle redescendre et se rapprocher des 2 % ou s'en tiendra-t-elle à trois ou 4 %?
- Excellent début d'émission. Scott Colbourne ne répond à vos questions dans quelques instants.
Vous pouvez nous posez vos questions en tout temps, MoneyTalkLive@TD.com ou au bas de votre corps. À présent l'actualité du monde des affaires et un coup d'œil sur les marchés.
L'évolution des habitudes des consommateurs face à l'inflation élevée sont à l'avantage de Dollarama.
Les détaillants affichent une croissance des ventes de même magasin de près de 11 % dans le dernier trimestre, contre la même période l'an dernier. Dollarama prévoit que la transition vers les biens de consommation et le recul desdites dépensent discrétionnaires continuera de monter. Lowe's réitère son pronostic et annonce nouveau programme de rachat d'actions.
Prévoit que la vente de son activité canadienne à la firme « (...) Southwest Airlines annonce aujourd'hui qu'elle rétablit son dividende qui reprendra à la fin janvier. Le chef de la direction de centre ouest Airlines, Bob Jordan, annonce que la décision reflète le retour de la demande de transport aérien.
Ayant reçu des mesures d'aide pendant la pandémie, les compagnies américaines se sont vues interdire de réversibilité dividende jusqu'à une époque récente.
Un coup d'œil sur les marchés. L'indice CP en hausse de quatre points, un peu plus de dizaines de pour cent.
L'indice (... ) - que pense-t-on des obligations d'entreprise?
- Je suis plutôt optimiste quant aux titres à revenu fixe.
J'ai pris la parole sur ce plateau plusieurs fois, mes collègues aussi. Nous avons commencé à être plus optimistes à la fin de l'été, début de l'automne, quant au taux à revenu fixe. Nous croyons que les taux, surtout sur les obligations à 10 ans, vont continuer à baisser.
Ceci étend dit, le rendement global est intéressant pour les obligations du gouvernement et les obligations de société. Je dirais que le marché des obligations de sociétés va se trouver tiraillé l'an prochain.
Nous avons évoqué la récession.
Je pense que cette dernière va exercer une pression sur les écarts des obligations de société.
Il est vraisemblable que le premier trimestre l'an prochain commencera avec une certaine pression attribuable à l'élargissement des écarts pour les obligations de société. À mon avis, ce n'est pas négatif car le rendement global est positif.
Je pourrais dire quelque chose de plus controversé, je pense que les obligations de sociétés vont sans doute surclasser les actions en prochain. Mes collègues spécialistes d'action de même pas m'entendre dire ça parce que pense toujours que les actions sont les meilleurs placements à long terme, mais contournement global, je pense qu'il y a une certaine pression au premier trimestre, voire au premier semestre de l'an prochain sur les écarts des obligations de société.
Je crois que les titres de créance de première qualité méritent un investissement progressif et une réallocation au titre à revenu fixe dans un portefaix cet automne l'an prochain.
Quand on vérifie la possibilité d'un investissement dans une action, on sait quoi chercher.
Est-ce que c'est axé sur la croissance, quelles sont les ventes? Quand on fait des recherches sur les titres de placement à revenu fixe les obligations de société, que doit-on recherche, et même? Do?
- En définitive la clé de savoir si la société va vous rembourser.
Les données fondamentales sont très importants. Le flux de trésorerie qui est produit par la société, la capacité des services sa dette, l'étendue de ce l'endettement. Ce sont des indicateurs que les investisseurs dans les actions et sur le marché obligataire étudie tout: nous nous concentrons plus sur le bilan (...) la plupart des investissements dans les obligations de première qualité de sociétés au Canada sont des investissements de grande qualité. Je m'en tiendrai à la qualité l'an prochain sur le marché des obligations de sociétés de première qualité. En général je mention premièrement du marché. Il y a également des avantages continus de l'évolution rapide des taux d'intérêt que nous avons constaté. Bon nombre d'obligations en entreprise et de grande qualité se vende à moins du pair et on va se rapprocher de la valeur nominale au fur et à mesure qu'elle maturité approche.
Je m'en tiendrai aux obligations de plus grande qualité en 2023.
- je suis un peu plus prudente s'agissant des obligations à rendement élevé. Le rendement global est très attrayant. Huit à 9 % pour les obligations élevées mais la probabilité que l'impact de la récession engendre des difficultés de financement de la dette augmentent les défaillances à la marge sur le marché des titres de créance, m'amène à privilégier les titres de première qualité plutôt que les titres de plus faible qualité. Il y aura une possibilité d'investir sur le marché des titres à rendement élevé, un meilleur rendement que 8 %, mais c'est un investissement plus long terme.
Je dirais qu'au deuxième semestre de l'an prochain j'aviserai.
S - plusieurs de nos invités ont dit que dans ce secteur, il faut songer aux entreprises.
Tout le monde veut tirer son épingle du jeu quand l'argent était gratuit.
Maintenant que l'argent n'est plus gratuit, que faut-il envisager à l'égard de certains de ces titres?
- Les effets du resserrement de la politique monétaire se recentre sur le marché des créances privées.
Certains de ces marchés ont subi ces augmentations de plein fouet.
Ce phénomène va pas disparaître. Le coût de l'argent à un impact important, un impact en cascade sur la qualité des titres, (...) - une autre question. Est-ce que la vente pour réaliser des pertes fiscal (...) - je soupçonne que cette année compte tenu du rendement absolu négatif, il y en aura, des ventes pour cristalliser des pertes fiscales.
Mais les titres à revenu fixe sont un placement qui est intéressant. Il est intéressant d'accroître sa répartition de, de rééquilibrer. Cela s'équilibre. Oui, il y aurait quelques ventes réalisées des pertes fiscales et les investisseurs achèteront ses positions sur une nouvelle base de coûts en début d'année.
Mais pour l'ensemble du marché, l'impact des ventes pour réaliser des pertes fiscales au niveau de détail, au niveau déplacement géré par des conseillers et minimes. Cela n'affecte pas les investisseurs institutionnels, généralement parlant.
Il ne s'agit pas d'un impact suffisamment important sur le marché. Même dans une année comme celle-ci, car il y avait des années précédentes, peu de gens réalisaient des ventes pour cristalliser des pertes d'impôts. Il y a tellement de sorte investisseurs, les investisseurs qui investissent leurs réserves, les banques centrales qui ne sont pas affectées par les ventes pour réaliser des pertes d'impôts. Sur le marché institutionnel, les marchés obligataires interinstitutionnels, les investisseurs gèrent leurs actifs et leur passé, leur gain et leur perte, ne vont pas les amener à réaliser des opérations spécifiques en fin d'exercice.
Parfois il y a un peu d'impact sur les fonds communs de placement au détail mais cela ne sera pas un impact important, ne fera pas évoluer le marché.
- comme d'habitude faites toujours vos propres recherches avant de prendre des décisions de placement.
Vous pourrez poser d'autres questions dans quelques instants. à présent poursuivre la découverte de CourtierWeb.
nous parlons beaucoup d'indices boursiers comme le S&P 500, quelles sont les compagnies qui constituent un indice? CourtierWeb vous proposent des outils pour le savoir.
Bryan Rogers nous l'explique.
Comment découvrir la composition d'un indice?
- Bonjour. Un indice peut faire l'objet d'une recherche rapide sur CourtierWeb.
Ce sont des renseignements qui sont assez utiles, même pour les investisseurs expérimentés, à plus forte raison pour les novices.
Sur CourtierWeb, on trouve sous l'onglet recherche, plus sur ou la rubrique marchée, soit indice, on parvient cette page.
Qui recèle beaucoup d'informations.
Aujourd'hui, je m'attarderai sur la possibilité de trouver la liste des indices. Il y a beaucoup d'indices nord-américains, l'indice Dow Jones, il s'agit d'indices plus spécialisés ou l'indice généraliste qui est le S&P 500. Il y a l'indice SCP TSX composite.
Toutes les entreprises ne sont pas énumérées, mais les indices comme le Nasdaq sans, Dow Jones, S&P 500 permettent d'afficher avec un graphique d'autres informations une page qui est accessible d'un seul clic que j'apprécie beaucoup. Qui permet de prendre connaissance des 30 titres du Dow Jones. Il est possible de les filtrer dans l'ordre alphabétique.
ascendants ou descendants. Presque toutes les autres colonnes permet d'organiser la recherche de diverses façons.
On peut ensuite envisager des indices encore plus spécialisés comme pour les actions privilégiées ou les titres à petite capitalisation. Il y a là une liste totalement différente de titre. Encore une fois, il est possible de filtrer mais nous entrerons dans le détail dans un instant.
Je voulais également vous montrer que si l'on déroule encore et encore, que l'on recherche un segment particulier, une industrie particulière, mettons les banques, ou les produits de consommation aux États-Unis, il est sans doute possible de trouver un tel indice.
On peut se faire une idée des titres qui sont inclus dans ces indices que vous pouvez alors explorer davantage.
- Voilà énormément d'information. L'information c'est toujours très bien, mais comment peut-on approfondir cette recherche filtrer?
- Justement. Si nous revenons sur CourtierWeb, que nous voulons approfondir l'idée de filtrer, Ce qui m'emballe dans cette fonction, ce qu'il est possible d'examiner toutes sortes de facteurs sont très importants.
Je vais prendre un indice qui est très connu comme le S&P 500.
La liste des 500 titres est affichée et elle ne s'affiche pas sur une seule page.
Mettons que vous voulez réaliser une recherche rapide, disons que vous voulez savoir quels sont les titres dont le volume d'opérations est le plus élevé.
Il s'agit dans l'ordre descendant.
Voici les titres dont le nombre d'opérations est le plus élevé.
49,3 millions pour Tesla.
On peut également faire une recherche en fonction de changements le pourcentage de la capitalisation boursière. La plus forte capitalisation boursière, c'est bien sûr Apple, puis Microsoft.
puis le rendement dividende.
Vous pouvez utiliser certaines de ces indices plus spécialisés pour déterminer quels sont les entreprises qui ont le rendement dividende plus élevé.
Lumen, institut. Vous faites ensuite cliquer sur le nom de l'entreprise, examiner les détails du futur CourtierWeb, ou encore procéder à un examen rapide du rendement, voir quel est le rendement sur une semaine, un mois. Vous pouvez même réaliser un filtrage dans ces renseignements ci.
Pour déterminer l'étude qui offre le meilleur rendement.
Cela vous permet d'analyser les titres en fonction des facteurs qui vous intéressent.
- Merci encore pour cette démonstration.
- Je vous en prie.
- Bryan Rogers et formateur à Placements directs TD. Ne manquez pas de visiter le centre d'apprentissage CourtierWeb vous trouverez encore plus de ressources, y compris sur le thème: est-ce que le portefeuille 60 40 a toujours du bon sens à long terme?
Avant de revenir à vos questions, je vous rappelle comment nous poser vos questions. Avez-vous des questions sur les placements ou encore sur les marchés?
Vous pouvez nous la poser, soit par courriel, MoneyTalkLive@TD.com, soit dans la boîte de questions au bas de votre écran.
Il suffit de cliquer sur envoyer. Nos invités pourraient vous répondre en direct.
Scott Colbourne répond à vos questions sur les titres à revenu fixe. Est-ce que les opérations obligations du gouvernement sont intéressantes en ce moment quand on songe à ce secteur?
- Oui elle continue des terres intéressantes.
quand on parle de portefeuille 60-40, il y a des avantages compte tenu de l'incertitude de l'approche 2023. Je pense que la récession sera plus profonde mais je peux avoir tort. C'est la nature des marchés.
le fait de détenir une telle police, historiquement, c'est en achetant des créances du gouvernement que l'on trouve-t-elle refuge.
- Cela du bon sens même si l'événement que vous redoutez Nathanaël se produit pas. Il y a davantage de liquidités pourrait équilibrer votre portefeuille.
- Investir dans les obligations du Berlaymont offre certainement des avantages. La question est de savoir sur quel point dans la cour de rendement.
- justement, posons la question.
les courtes échéances sont intéressantes.
Vous êtes récompensés parce que vous assumez le risque créé par les politiques monétaires. Les taux à court terme sont très intéressants. Les taux sont beaucoup plus importants à court termes qu'à long terme parce que le marché nous annonce quelle est la trajectoire de la croissance de l'économie. À un moment donné, l'inversion de la courbe va disparaître avec le temps.
Je pense que compte tenu de la persistance de l'inflation, véritable choc que celle-ci a représenté, et de la résilience persistante et sous-jacente de l'économie canadienne et des économies mondiales, les taux à court terme seront plus élevés qu'à long terme pendant quelque temps mais cette inversion disparaîtra.
La banque du Canada va commencer à réduire les taux.
Vous pouvez obtenir un bon coupon en vous titubant dans le secteur à court terme dans les obligations de grande qualité, fait acheter des obligations de sociétés à court terme et profiter de l'échéance dans deux ans trois ans.
À plus long terme en revanche, vous bénéficiez d'une assurance.
Si la situation est très défavorable l'an prochain, les taux à long terme vont remonter comme nous l'avons appris. Les actifs allants du ration peut vous donner un excellent rendement si les rendements diminuent. Les prix vont beaucoup augmenter.
C'est une des raisons pour lesquelles les obligations du gouvernement jouent le rôle de repères puisque les gouvernements peuvent lever des impôts. On ne s'inquiète pas de la capacité de rembourser.
- Dans un environnement de profonde récession,est-ce que les remboursements sont ébranlés ou les investisseurs se sont assurés?
- Au Royaume-Uni il y a une véritable débâcle sur le marché obligataire. Aucun gouvernement n'est au-dessus de tout soupçon.
Il y a un recul du secteur des entreprises dans une récession, d'autres secteurs également, les ménages, qui intervient? C'est le gouvernement.
Dans la mesure où le gouvernement comblait cette lacune dans le secteur de l'économie en recul, cela du bon sens tant que les dépenses du gouvernement ne sont pas excessifs. Pour la première fois depuis longtemps, on a assisté à l'émergence du justicier du marché obligataire. Il est vrai, les gouvernements peuvent lever des impôts et vont finir par rembourser leurs obligations, je ne m'inquiète pas d'une éventuelle défaillance du gouvernement, il faut que le gouvernement fasse preuve de bon sens.
- Question sur les régions. On parle de titres à revenu fixe, que sont les régions du monde les plus intéressants?
- Comme les comportements que je viens d'évoquer sur le marché des obligations de sociétés dans le monde, il y a des créneaux qui sont intéressants.
Les marchés émergents, certains des marchés locaux, offre je crois un rendement très intéressant.
je songe au Mexique par exemple. Les rendements sont très élevés. Mettons 10 %.
Les responsables de la politique monétaire ont été très ferme, se conforme à ce que font la Fed et la banque du Canada. Le rendement est donc excellent.
la monnaie se porte bien dans la mesure où nous croyons à la possibilité de leur rapatriement ou d'une relocalisation, le marché bénigne mexicain pourrait bénéficier de cette tendance de rapprochement des activités vers le marché nord-américain.
C'est un lieu positif ou investir, mais il y a également le Brésil. C'est un peu plus ésotérique, mais on peut couvrir certains marchés obligataires les pays développés comme l'Australie, Royaume-Uni, Allemagne, rapatrié le risque de devises au Canada, ce qui permet d'obtenir un supplément intéressant par rapport à l'obligation du Canada sur 10 ans. C'est un peu plus difficile pour les investisseurs individuels, mais il y a des possibilités d'obtenir des rendements plus élevés qu'au Canada.
- Le Mexique, le Brésil, leurs obligations, quelles seraient les plus grands risques en 2023?
- dans la mesure où le peso mexicain ou le réal brésilien s'effondre par rapport au dollar canadien, c'est le plus grand risque. Mettons que vous réalisez 10 ou 12 %, dans quelle mesure la monnaie va évoluer?
Si vous pensez qu'elle va conserver son taux de change, tant mieux. Si vous constatez une dépréciation de 10 ou 12 % par rapport au dollar canadien, voilà qui annulent vos gains.
le Canada surclasse beaucoup de marchés obligataires mondiaux.
L'an prochain pour investir de nouvelles possibilités de profiter de ces secteurs.
- Le risque de change. Justement la prochaine question évoque la monnaie américaine.
Est-ce que la hausse du dollar américain s'essouffle enfin, et si oui, quelles sont les conséquences pour le dollar canadien?
- Nous somment un point de bascule.
Il y a eu un peu de volatilité.
Nous nous trouvons face à un comportement qui porte à croire que le dollar américain touche un sommet. L'an prochain, ce seront d'autres monnaies, d'autres économies mondiales qui ont le vent en poupe. Il se peut que les économies canadiennes et américaines constateront un ralentissement de la croissance jusqu'à un niveau équivalent à celui d'autres économies dans le monde et que d'autres monnaies progresseront par rapport au dollar américain.
Mais ces transitions ne sont jamais très rapide.
Je pense que l'on dollar américain touche un seul ces jours-ci. D'autres monnaies bénéficieront de cette tendance, mais il y a également des facteurs défavorables à l'égard des produits de base(...) - s'agissant du dollar canadien, nous sommes à 73 28.
Est-ce que c'est le niveau lui resteront quelques temps?
- Depuis quelques années, je me rappelle 0,78 cents, tisser un niveau naturel pour le dollar canadien, mais je me rappelle la parité.
les éléments positifs pour le dollar canadien sont une économie relativement résiliente et une conjoncture favorable aux produits de base. Tout cela est favorable pour notre économie. Notre politique monétaire a également été mené activement. D'ici un à trois mois, je préférerais sortir mon argent du Canada et l'investir dans d'autres devises. Lesquels vont je pense surclasser le dollar canadien. Nous constatons déjà que le marché du logement se porte mal au niveau intérieur.
Le marché des produits bas se stabilise.
À court terme, je vois des facteurs défavorables au dollar canadien que ce soit par rapport à l'euro, à la livre sterling, au yen ou à d'autres devises. Par rapport dollar américain, c'est un peu plus difficile à pronostiquer, mais à court terme, nous allons peut-être décevoir.
- Ne manquez pas de faire vos propres recherches avant de prendre des décisions de placement. Je vous rappelle comment nous poser vos questions.
Avez-vous une question sur les placements ou encore sur les marchés? Vous pouvez nous la poser, soit par courriel, MoneyTalkLive@TD.com, soit dans la boîte des questions au bas de votre écran. Il suffit de cliquer sur envoyer. Nos invités pourraient vous répondre en direct.
- Après avoir atteint un sommet plus élevé depuis neuf mois en octobre, les ventes d'automobiles affichent leur baisse la plus importante depuis le mois de mai.
Le recul de novembre était-il une irrégularité à court terme le signe d'une tendance à long terme? Les ventes de véhicules ont chuté de 6,5.
Par rapport à octobre, qui (...) il semble que la demande des consommateurs pour les voitures neuves baisse avec les craintes de récession, les prix élevés des véhicules.
Le taux d'intérêt moyen sur un contrat de financement de véhicules neufs aux États-Unis devrait atteindre 6,275 %, soit une augmentation de 234 points de base par rapport à l'an dernier.
Les taux d'intérêt vont augmenter d'ici la fin de l'année, on prévoit que la Fed va augmenter les taux la semaine prochaine.
Avant d'automobile aux États-Unis concentrés dans les camions légers.
Plus de 7 % sur un mois.
En fait, les camions légers qui comprennent les V US représentent plus de 40 % des ventes. Les véhicules de tourisme affichent une légère baisse de moins de 2 % sur un mois.
Les inventaires des concessionnaires s'améliorent par rapport au creux de l'été prochain. Nous assistant une amélioration dans le tout quotidien d'épargne qui est passée à 44000 voitures vendues, en légère hausse par rapport à 42 000 en octobre 2021.
Service économique TD prévoit que même s'il y a une augmentation des stocks, les véhicules actuellement disponibles sont surtout des modèles de base et des véhicules à un prix plus élevé. Globalement, on prédit que le recul du mois dernier n'était pas totalement inattendu car les gains d'octobre étaient vraisemblablement gonflés par la hausse de livraison après un recul pendant l'été à cause des problèmes de chaîne d'approvisionnement ainsi que le remplacement des véhicules remplacés pendant l'ouragan.
Soit le modèle de base soit la voiture bourrée d'accessoires. Que pense TD (.
..) - il est peu probable que cela se produise avant la mi 2023 et d'ici là les ventes demeureront limiter.
S'agissant des dépenses de consommation aux États-Unis, (...) les dépenses de consommation au quatrième trimestre affichent une hausse de 3 % sur une base annualisée mais ce rythme > la tendance ne serait pas durable. On prévoit un ralentissement notable de l'activité au cours des mois à venir tandis que l'effet des hausses de taux d'intérêt continue à se répercuter sur l'ensemble de l'économie.
- Merci Anthony Okolie. Un coup d'œil sur les marchés.
La séance a été mitigée. Les craintes de récession plombent le marché depuis quelques jours. L'indice TSX composite est légèrement hausse, 15 points et demi, 0,08 %.
Les compagnies de mines d'or sont légèrement hausses.
Dollarama, nous vous en avons parlé, affichent l'augmentation des ventes, un indicateur clé pour le détail.
Selon Dollarama, l'évolution du comportement des consommateurs à cause de l'inflation continuera de l'avantager dans l'avenir. L'action de Dollarama en hausse de plus de 4 %.
Aux États-Unis, l'indice S&P 500 légèrement en baisse de neuf points, soit un peu moins de 40 %. L'indice Nasdaq est en baisse d'un peu plus d'un tiers de pour cent.
Il y a une faiblesse dans certains titres reliés au déplacement. On a parlé de Carnival.
American Airlines est en baisse.
Scott Colbourne répond à vos questions. Quel impact une récession sur les revenus fixes?
- En définitive c'est positif.
selon la profondeur de la base, les banques centrales vont éduquer que leur prochaine décision consistera à réduire les taux et cela est positif.
Les taux vont finir par redescendre. Les titres à revenu fixe doit faire parti de portefaix.
Quand on remonte à la raison d'être des obligations dans un portefeuille.
Tout d'abord, le revenu, pour la première fois depuis longtemps, on touche un revenu. Il y a également la liquidité.
Dans la mesure où nous entrons en récession, que les autres parties de votre portefaix subissent une baisse, à un moment donné, vous allez vouloir acheter à bon marché donc les obligations vous donnent une excellente liquidité pour la première fois depuis longtemps. Il y a un élément de diversification.
Pendant de récession, les obligations surclassées sur tous les obligations du gouvernement, surclassé par rapport au titre de créances, même de première qualité.
- Est-ce qu'il sera difficile en 2023, s'agissant des banques centrales, de déterminer combien longtemps se tiendront alors tout terminal?
Nous approchons de la fin de la série dose de taux.
Septième ou huitième manche. Une fois parvenue auto terminale, on pense que les banques centrales vont y rester. Toute idée de rester et de causer des dégâts.
Les dégâts, on peut toujours en parler mais c'est difficile de les subir. Combien longtemps cette détermination durera-t-elle?
- La question est très pertinente.
Je crois que causer des dégâts, ce n'est pas ainsi que les autorités responsables de la politique monétaire voudraient que l'on décrive leur action.
Il s'agit de rééquilibrer l'économie, c'est ce qui se produit, dans la mesure où l'économie persistante, dans la mesure où la demande demeure persistante, où le marché du travail demeure président, les salaires élevés et l'inflation est ramenée à 3 %.
Mais si l'inflation de base est à 3 %, cela devient dilemme.
Les taux vont être persistants et le changement de cap, les coupures de taux tant attendu pourraient se faire justement attendre.
Il est très important, changement de cap, mais nous allons nous concentrer sur les données. Nous n'avons pas eu de choc inflationniste comme celui-ci depuis très longtemps. C'est très incertain pour les investisseurs pour les responsables politiques.
- Scott, c'est toujours un plaisir de vous accueillir.
Merci à Scott Colbourne.
Demain, Jimmy Zhu répond à vos questions sur la répartition d'actifs. Vous pouvez nous poser vos questions d'ores et déjà par courriel, MoneyTalkLive@TD.com. Merci et à demain!
Aujourd'hui, Scott Colbourne de Gestion d'actifs TD commente les placements. Nous poursuivons la découverte de CourtierWeb. Bryan Rogers nous montre comment découvrir les compagnies qui constituent un indice.
Posez-nous vos questions par courriel, MoneyTalkLive@TD.com, ou dans la boîte de questions bas de votre écran. Mais d'abord un coup d'œil sur les marchés.
nous avons ressenti la pression de la crainte de la récession.
L'indice SCP TSX est très légèrement en hausse de 35 points ou un peu moins qu'un cinquième de pour cent.
Le cours de l'or se raffermit aujourd'hui. Un certain nombre de sociétés de mines d'or sont en hausse.
Barrick Gold gagne un peu plus de 2 %.
La technologie est en dents de scie aujourd'hui. Aussi bien au Canada qu'aux États-Unis.
Shopify légèrement sous pression, mais remonté depuis le creux atteint en début de séance, pour l'instant Belt un peu plus de 1 %. Indice S&P 500 démarche instantanée du marché est en légère hausse tandis que les investisseurs assimilent les hautes intérêts de la Fed et les perspectives de hausse future comme nous venons de le dire, la banque du Canada vient de pratiquer une hausse.
L'indice Nasdaq est essentiellement inchangé, ni hausse ni baisse. Certains des titres du secteur des voyages, y compris le croisiériste Carnival, (...) la banque du Canada relevé les taux d'intérêt de 50 points de base.
L'inflation continue de demeurer haute, mais ce cycle de tout près bientôt prendre fin. Scott Colbourne. Et directeur des titres à Gestion d'actifs TD. Selon les marchés, la banque du Canada a clairement laissé entendre qu'elle arrive ou arrivera bientôt à la fin de ce cycle de hausse.
- On trouve un peu de tout sur les marchés. Le marché se demandait s'il y aurait 25 ou 50 points.
La banque a montré un peu plus de fermeté que prévu, mais le discours de celle-ci a évolué.
La banque avait dit qu'elle allait augmenter les taux, et à présent elle dit qu'elle va envisager s'il est plausible de les rehausser, donc il y a une certaine contingence dans le discours de la banque.
La prochaine augmentation sera-t-elle de 0,7 à la fin du cycle, de 25?
C'est la trajectoire que beaucoup de banques centrales ont suivie.
Tout d'abord une série d'augmentation très rapide des taux, que ce soit la Fed, la banque du Canada, la Banque Royale d'Australie, la banque de réserve d'Australie, et à présent la question de savoir quel sera le tout terminal combien de temps cela prendra pour y parvenir.
Toute idée des hausses de taux consiste à juguler l'inflation et à créer des conditions restrictives pour l'économie.
Afin de donner un coup de frein.
Nous avons déjà atteint un taux restrictif. Est-ce que nous sommes parvenus au point où nous pensons pouvoir modérer l'inflation avec un taux de ce niveau-là?
- C'est le débat. La politique monétaire a un effet décalé.
Les dernières données sur le PIB montrent que la demande intérieure a molli.
(...) Comme la banque du Canada l'a signalé, l'inflation demeure élever. Certaines commencent à refluer, mais il demeure à un niveau inacceptable moins élevé.
Beaucoup d'incertitudes.
Il faut laisser les événements se répercuter et voir comment la politique monétaire affectera l'économie intérieure aussi bien que international. Le moment est venu de marquer une pause, et le cas échéant de suspendre la série de hausse de taux. La prochaine réunion de la banque est en janvier et elle avisera.
Les marchés qui se projet de janvier se distingue.
.
Le meilleur scénario bien sûr serait que la banque qui a commencé très rapidement sa série de hausse de taux va mettre fin à cette série sans avoir causé trop de dégâts l'économie. Parlons de la courbe des taux et son inversion.
Les termes les plus dangereux dans le lexique des investisseurs, C: c'est différent cette fois.
La notion d'une récession au niveau intérieur sur le marché obligataire canadien aussi bien qu'aux États-Unis a beaucoup de détracteur.
(...) Pas nécessairement niveau chronologique, nous ne savons pas quand il y aura une récession, mais je pense qu'il y en aura une.
On peut se demander à quel point sera grave ou modéré.
Je pense que nous allons certainement, à en croire le marché obligataire, entrée en récession. Il s'agit de l'impact décalé de cette série de rapides hausses de taux. Il a donc du bon sens que la banque du Canada marque une pause.
Est-ce que les marchés obligataires prédisent la nature de la récession?
Parlons-en.
Le scénario le plus favorable serait une rapide récession qui déclenche le résultat voulu, mais le résultat de du pire serait le chômage de masse.
Pouvons-nous éviter ce scénario?
- L'une des clés le marché de l'emploi. Aussi bien au Canada qu'aux États-Unis, le marché de l'emploi reste très serré. Dans la mesure où cela prédit l'étendue une récession, nous avons certainement vu un ralentissement de la croissance de l'emploi, mais les salaires sont toujours en croissance aux États-Unis notamment.
Jusqu'ici, tout porte à croire que le marché de l'emploi va connaître un ralentissement plus modeste. Y a-t-il un élément de surprise face à la résiliente de l'économie? Même la banque du Canada a dû reconnaître aujourd'hui que l'économie est plus résiliente.
Après avoir connu de forts taux, le marché demeure solide. Le PIB ne fléchit que légèrement.
- Oui, il s'agit d'un thème dans le monde entier, les économies ont fait preuve d'une résilience qui n'était pas prévue par les modèles des banques centrales.
On prévoyait que les hausses de taux auraient un impact plus prononcé plus rapide, que ce soient les politiques budgétaires qui ont été adoptés pendant la pandémie, l'épargne se porte bien, le marché du travail également, les marchés des produits de base offrent un facteur favorable au Canada.
Le reflux de l'activité économique prend plus longtemps que les décideurs responsables politiques monétaires le croyaient, ce qui souligne la résiliente de l'économie mondiale canadienne. Le scénario le plus probable, c'est que nous assistions à une hausse des hausses de taux plutôt qu'à l'apparition rapide de réduction de taux.
Le marché suppose volontiers que les banques centrales vont commencer à réduire les taux d'intérêt, mais compte tenu de la résilience du marché de l'emploi, de la résidence de l'économie, la bonne réponse consistera peut-être à marquer une pause et réévaluer.
- Vous avez évoqué l'économie mondiale. Que dire des autres banques centrales? Nous savons ce que la banque du Canada vient d'annoncer, qu'elle ne pratiquera pas plus peut-être qu'une seule modeste hausse de tout, mais il y a un certain nombre de facteurs, le marché du logement, endettement.
- La banque de réserve d'Australie, qui ressemble au Canada, une économie axée sur les produits de base, à relever les taux de 25 points de base. Pour en revenir à cette approche, le rythme des hausses de taux en Australie a également ralenti. À l'heure actuelle, ils s'agit de déterminer quels seront les taux terminaux.
La Fed, la banque du Canada est Australie et d'autres banques centrales continuent d'annoncer qu'il reste quelque chose de tôt.
Nous en sommes peut-être à la septième ou huitième manche, mais il s'agit d'achever rapidement. Combien de temps resteront nous auto terminal?
Dans quelle mesure l'inflation sera-t-elle persistante?
Comment se porte relève le marché du travail? Nous savons que l'inflation diminuera (...) l'économie va-t-elle redescendre et se rapprocher des 2 % ou s'en tiendra-t-elle à trois ou 4 %?
- Excellent début d'émission. Scott Colbourne ne répond à vos questions dans quelques instants.
Vous pouvez nous posez vos questions en tout temps, MoneyTalkLive@TD.com ou au bas de votre corps. À présent l'actualité du monde des affaires et un coup d'œil sur les marchés.
L'évolution des habitudes des consommateurs face à l'inflation élevée sont à l'avantage de Dollarama.
Les détaillants affichent une croissance des ventes de même magasin de près de 11 % dans le dernier trimestre, contre la même période l'an dernier. Dollarama prévoit que la transition vers les biens de consommation et le recul desdites dépensent discrétionnaires continuera de monter. Lowe's réitère son pronostic et annonce nouveau programme de rachat d'actions.
Prévoit que la vente de son activité canadienne à la firme « (...) Southwest Airlines annonce aujourd'hui qu'elle rétablit son dividende qui reprendra à la fin janvier. Le chef de la direction de centre ouest Airlines, Bob Jordan, annonce que la décision reflète le retour de la demande de transport aérien.
Ayant reçu des mesures d'aide pendant la pandémie, les compagnies américaines se sont vues interdire de réversibilité dividende jusqu'à une époque récente.
Un coup d'œil sur les marchés. L'indice CP en hausse de quatre points, un peu plus de dizaines de pour cent.
L'indice (... ) - que pense-t-on des obligations d'entreprise?
- Je suis plutôt optimiste quant aux titres à revenu fixe.
J'ai pris la parole sur ce plateau plusieurs fois, mes collègues aussi. Nous avons commencé à être plus optimistes à la fin de l'été, début de l'automne, quant au taux à revenu fixe. Nous croyons que les taux, surtout sur les obligations à 10 ans, vont continuer à baisser.
Ceci étend dit, le rendement global est intéressant pour les obligations du gouvernement et les obligations de société. Je dirais que le marché des obligations de sociétés va se trouver tiraillé l'an prochain.
Nous avons évoqué la récession.
Je pense que cette dernière va exercer une pression sur les écarts des obligations de société.
Il est vraisemblable que le premier trimestre l'an prochain commencera avec une certaine pression attribuable à l'élargissement des écarts pour les obligations de société. À mon avis, ce n'est pas négatif car le rendement global est positif.
Je pourrais dire quelque chose de plus controversé, je pense que les obligations de sociétés vont sans doute surclasser les actions en prochain. Mes collègues spécialistes d'action de même pas m'entendre dire ça parce que pense toujours que les actions sont les meilleurs placements à long terme, mais contournement global, je pense qu'il y a une certaine pression au premier trimestre, voire au premier semestre de l'an prochain sur les écarts des obligations de société.
Je crois que les titres de créance de première qualité méritent un investissement progressif et une réallocation au titre à revenu fixe dans un portefaix cet automne l'an prochain.
Quand on vérifie la possibilité d'un investissement dans une action, on sait quoi chercher.
Est-ce que c'est axé sur la croissance, quelles sont les ventes? Quand on fait des recherches sur les titres de placement à revenu fixe les obligations de société, que doit-on recherche, et même? Do?
- En définitive la clé de savoir si la société va vous rembourser.
Les données fondamentales sont très importants. Le flux de trésorerie qui est produit par la société, la capacité des services sa dette, l'étendue de ce l'endettement. Ce sont des indicateurs que les investisseurs dans les actions et sur le marché obligataire étudie tout: nous nous concentrons plus sur le bilan (...) la plupart des investissements dans les obligations de première qualité de sociétés au Canada sont des investissements de grande qualité. Je m'en tiendrai à la qualité l'an prochain sur le marché des obligations de sociétés de première qualité. En général je mention premièrement du marché. Il y a également des avantages continus de l'évolution rapide des taux d'intérêt que nous avons constaté. Bon nombre d'obligations en entreprise et de grande qualité se vende à moins du pair et on va se rapprocher de la valeur nominale au fur et à mesure qu'elle maturité approche.
Je m'en tiendrai aux obligations de plus grande qualité en 2023.
- je suis un peu plus prudente s'agissant des obligations à rendement élevé. Le rendement global est très attrayant. Huit à 9 % pour les obligations élevées mais la probabilité que l'impact de la récession engendre des difficultés de financement de la dette augmentent les défaillances à la marge sur le marché des titres de créance, m'amène à privilégier les titres de première qualité plutôt que les titres de plus faible qualité. Il y aura une possibilité d'investir sur le marché des titres à rendement élevé, un meilleur rendement que 8 %, mais c'est un investissement plus long terme.
Je dirais qu'au deuxième semestre de l'an prochain j'aviserai.
S - plusieurs de nos invités ont dit que dans ce secteur, il faut songer aux entreprises.
Tout le monde veut tirer son épingle du jeu quand l'argent était gratuit.
Maintenant que l'argent n'est plus gratuit, que faut-il envisager à l'égard de certains de ces titres?
- Les effets du resserrement de la politique monétaire se recentre sur le marché des créances privées.
Certains de ces marchés ont subi ces augmentations de plein fouet.
Ce phénomène va pas disparaître. Le coût de l'argent à un impact important, un impact en cascade sur la qualité des titres, (...) - une autre question. Est-ce que la vente pour réaliser des pertes fiscal (...) - je soupçonne que cette année compte tenu du rendement absolu négatif, il y en aura, des ventes pour cristalliser des pertes fiscales.
Mais les titres à revenu fixe sont un placement qui est intéressant. Il est intéressant d'accroître sa répartition de, de rééquilibrer. Cela s'équilibre. Oui, il y aurait quelques ventes réalisées des pertes fiscales et les investisseurs achèteront ses positions sur une nouvelle base de coûts en début d'année.
Mais pour l'ensemble du marché, l'impact des ventes pour réaliser des pertes fiscales au niveau de détail, au niveau déplacement géré par des conseillers et minimes. Cela n'affecte pas les investisseurs institutionnels, généralement parlant.
Il ne s'agit pas d'un impact suffisamment important sur le marché. Même dans une année comme celle-ci, car il y avait des années précédentes, peu de gens réalisaient des ventes pour cristalliser des pertes d'impôts. Il y a tellement de sorte investisseurs, les investisseurs qui investissent leurs réserves, les banques centrales qui ne sont pas affectées par les ventes pour réaliser des pertes d'impôts. Sur le marché institutionnel, les marchés obligataires interinstitutionnels, les investisseurs gèrent leurs actifs et leur passé, leur gain et leur perte, ne vont pas les amener à réaliser des opérations spécifiques en fin d'exercice.
Parfois il y a un peu d'impact sur les fonds communs de placement au détail mais cela ne sera pas un impact important, ne fera pas évoluer le marché.
- comme d'habitude faites toujours vos propres recherches avant de prendre des décisions de placement.
Vous pourrez poser d'autres questions dans quelques instants. à présent poursuivre la découverte de CourtierWeb.
nous parlons beaucoup d'indices boursiers comme le S&P 500, quelles sont les compagnies qui constituent un indice? CourtierWeb vous proposent des outils pour le savoir.
Bryan Rogers nous l'explique.
Comment découvrir la composition d'un indice?
- Bonjour. Un indice peut faire l'objet d'une recherche rapide sur CourtierWeb.
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Sur CourtierWeb, on trouve sous l'onglet recherche, plus sur ou la rubrique marchée, soit indice, on parvient cette page.
Qui recèle beaucoup d'informations.
Aujourd'hui, je m'attarderai sur la possibilité de trouver la liste des indices. Il y a beaucoup d'indices nord-américains, l'indice Dow Jones, il s'agit d'indices plus spécialisés ou l'indice généraliste qui est le S&P 500. Il y a l'indice SCP TSX composite.
Toutes les entreprises ne sont pas énumérées, mais les indices comme le Nasdaq sans, Dow Jones, S&P 500 permettent d'afficher avec un graphique d'autres informations une page qui est accessible d'un seul clic que j'apprécie beaucoup. Qui permet de prendre connaissance des 30 titres du Dow Jones. Il est possible de les filtrer dans l'ordre alphabétique.
ascendants ou descendants. Presque toutes les autres colonnes permet d'organiser la recherche de diverses façons.
On peut ensuite envisager des indices encore plus spécialisés comme pour les actions privilégiées ou les titres à petite capitalisation. Il y a là une liste totalement différente de titre. Encore une fois, il est possible de filtrer mais nous entrerons dans le détail dans un instant.
Je voulais également vous montrer que si l'on déroule encore et encore, que l'on recherche un segment particulier, une industrie particulière, mettons les banques, ou les produits de consommation aux États-Unis, il est sans doute possible de trouver un tel indice.
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- Voilà énormément d'information. L'information c'est toujours très bien, mais comment peut-on approfondir cette recherche filtrer?
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Je vais prendre un indice qui est très connu comme le S&P 500.
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Il s'agit dans l'ordre descendant.
Voici les titres dont le nombre d'opérations est le plus élevé.
49,3 millions pour Tesla.
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- Bryan Rogers et formateur à Placements directs TD. Ne manquez pas de visiter le centre d'apprentissage CourtierWeb vous trouverez encore plus de ressources, y compris sur le thème: est-ce que le portefeuille 60 40 a toujours du bon sens à long terme?
Avant de revenir à vos questions, je vous rappelle comment nous poser vos questions. Avez-vous des questions sur les placements ou encore sur les marchés?
Vous pouvez nous la poser, soit par courriel, MoneyTalkLive@TD.com, soit dans la boîte de questions au bas de votre écran.
Il suffit de cliquer sur envoyer. Nos invités pourraient vous répondre en direct.
Scott Colbourne répond à vos questions sur les titres à revenu fixe. Est-ce que les opérations obligations du gouvernement sont intéressantes en ce moment quand on songe à ce secteur?
- Oui elle continue des terres intéressantes.
quand on parle de portefeuille 60-40, il y a des avantages compte tenu de l'incertitude de l'approche 2023. Je pense que la récession sera plus profonde mais je peux avoir tort. C'est la nature des marchés.
le fait de détenir une telle police, historiquement, c'est en achetant des créances du gouvernement que l'on trouve-t-elle refuge.
- Cela du bon sens même si l'événement que vous redoutez Nathanaël se produit pas. Il y a davantage de liquidités pourrait équilibrer votre portefeuille.
- Investir dans les obligations du Berlaymont offre certainement des avantages. La question est de savoir sur quel point dans la cour de rendement.
- justement, posons la question.
les courtes échéances sont intéressantes.
Vous êtes récompensés parce que vous assumez le risque créé par les politiques monétaires. Les taux à court terme sont très intéressants. Les taux sont beaucoup plus importants à court termes qu'à long terme parce que le marché nous annonce quelle est la trajectoire de la croissance de l'économie. À un moment donné, l'inversion de la courbe va disparaître avec le temps.
Je pense que compte tenu de la persistance de l'inflation, véritable choc que celle-ci a représenté, et de la résilience persistante et sous-jacente de l'économie canadienne et des économies mondiales, les taux à court terme seront plus élevés qu'à long terme pendant quelque temps mais cette inversion disparaîtra.
La banque du Canada va commencer à réduire les taux.
Vous pouvez obtenir un bon coupon en vous titubant dans le secteur à court terme dans les obligations de grande qualité, fait acheter des obligations de sociétés à court terme et profiter de l'échéance dans deux ans trois ans.
À plus long terme en revanche, vous bénéficiez d'une assurance.
Si la situation est très défavorable l'an prochain, les taux à long terme vont remonter comme nous l'avons appris. Les actifs allants du ration peut vous donner un excellent rendement si les rendements diminuent. Les prix vont beaucoup augmenter.
C'est une des raisons pour lesquelles les obligations du gouvernement jouent le rôle de repères puisque les gouvernements peuvent lever des impôts. On ne s'inquiète pas de la capacité de rembourser.
- Dans un environnement de profonde récession,est-ce que les remboursements sont ébranlés ou les investisseurs se sont assurés?
- Au Royaume-Uni il y a une véritable débâcle sur le marché obligataire. Aucun gouvernement n'est au-dessus de tout soupçon.
Il y a un recul du secteur des entreprises dans une récession, d'autres secteurs également, les ménages, qui intervient? C'est le gouvernement.
Dans la mesure où le gouvernement comblait cette lacune dans le secteur de l'économie en recul, cela du bon sens tant que les dépenses du gouvernement ne sont pas excessifs. Pour la première fois depuis longtemps, on a assisté à l'émergence du justicier du marché obligataire. Il est vrai, les gouvernements peuvent lever des impôts et vont finir par rembourser leurs obligations, je ne m'inquiète pas d'une éventuelle défaillance du gouvernement, il faut que le gouvernement fasse preuve de bon sens.
- Question sur les régions. On parle de titres à revenu fixe, que sont les régions du monde les plus intéressants?
- Comme les comportements que je viens d'évoquer sur le marché des obligations de sociétés dans le monde, il y a des créneaux qui sont intéressants.
Les marchés émergents, certains des marchés locaux, offre je crois un rendement très intéressant.
je songe au Mexique par exemple. Les rendements sont très élevés. Mettons 10 %.
Les responsables de la politique monétaire ont été très ferme, se conforme à ce que font la Fed et la banque du Canada. Le rendement est donc excellent.
la monnaie se porte bien dans la mesure où nous croyons à la possibilité de leur rapatriement ou d'une relocalisation, le marché bénigne mexicain pourrait bénéficier de cette tendance de rapprochement des activités vers le marché nord-américain.
C'est un lieu positif ou investir, mais il y a également le Brésil. C'est un peu plus ésotérique, mais on peut couvrir certains marchés obligataires les pays développés comme l'Australie, Royaume-Uni, Allemagne, rapatrié le risque de devises au Canada, ce qui permet d'obtenir un supplément intéressant par rapport à l'obligation du Canada sur 10 ans. C'est un peu plus difficile pour les investisseurs individuels, mais il y a des possibilités d'obtenir des rendements plus élevés qu'au Canada.
- Le Mexique, le Brésil, leurs obligations, quelles seraient les plus grands risques en 2023?
- dans la mesure où le peso mexicain ou le réal brésilien s'effondre par rapport au dollar canadien, c'est le plus grand risque. Mettons que vous réalisez 10 ou 12 %, dans quelle mesure la monnaie va évoluer?
Si vous pensez qu'elle va conserver son taux de change, tant mieux. Si vous constatez une dépréciation de 10 ou 12 % par rapport au dollar canadien, voilà qui annulent vos gains.
le Canada surclasse beaucoup de marchés obligataires mondiaux.
L'an prochain pour investir de nouvelles possibilités de profiter de ces secteurs.
- Le risque de change. Justement la prochaine question évoque la monnaie américaine.
Est-ce que la hausse du dollar américain s'essouffle enfin, et si oui, quelles sont les conséquences pour le dollar canadien?
- Nous somment un point de bascule.
Il y a eu un peu de volatilité.
Nous nous trouvons face à un comportement qui porte à croire que le dollar américain touche un sommet. L'an prochain, ce seront d'autres monnaies, d'autres économies mondiales qui ont le vent en poupe. Il se peut que les économies canadiennes et américaines constateront un ralentissement de la croissance jusqu'à un niveau équivalent à celui d'autres économies dans le monde et que d'autres monnaies progresseront par rapport au dollar américain.
Mais ces transitions ne sont jamais très rapide.
Je pense que l'on dollar américain touche un seul ces jours-ci. D'autres monnaies bénéficieront de cette tendance, mais il y a également des facteurs défavorables à l'égard des produits de base(...) - s'agissant du dollar canadien, nous sommes à 73 28.
Est-ce que c'est le niveau lui resteront quelques temps?
- Depuis quelques années, je me rappelle 0,78 cents, tisser un niveau naturel pour le dollar canadien, mais je me rappelle la parité.
les éléments positifs pour le dollar canadien sont une économie relativement résiliente et une conjoncture favorable aux produits de base. Tout cela est favorable pour notre économie. Notre politique monétaire a également été mené activement. D'ici un à trois mois, je préférerais sortir mon argent du Canada et l'investir dans d'autres devises. Lesquels vont je pense surclasser le dollar canadien. Nous constatons déjà que le marché du logement se porte mal au niveau intérieur.
Le marché des produits bas se stabilise.
À court terme, je vois des facteurs défavorables au dollar canadien que ce soit par rapport à l'euro, à la livre sterling, au yen ou à d'autres devises. Par rapport dollar américain, c'est un peu plus difficile à pronostiquer, mais à court terme, nous allons peut-être décevoir.
- Ne manquez pas de faire vos propres recherches avant de prendre des décisions de placement. Je vous rappelle comment nous poser vos questions.
Avez-vous une question sur les placements ou encore sur les marchés? Vous pouvez nous la poser, soit par courriel, MoneyTalkLive@TD.com, soit dans la boîte des questions au bas de votre écran. Il suffit de cliquer sur envoyer. Nos invités pourraient vous répondre en direct.
- Après avoir atteint un sommet plus élevé depuis neuf mois en octobre, les ventes d'automobiles affichent leur baisse la plus importante depuis le mois de mai.
Le recul de novembre était-il une irrégularité à court terme le signe d'une tendance à long terme? Les ventes de véhicules ont chuté de 6,5.
Par rapport à octobre, qui (...) il semble que la demande des consommateurs pour les voitures neuves baisse avec les craintes de récession, les prix élevés des véhicules.
Le taux d'intérêt moyen sur un contrat de financement de véhicules neufs aux États-Unis devrait atteindre 6,275 %, soit une augmentation de 234 points de base par rapport à l'an dernier.
Les taux d'intérêt vont augmenter d'ici la fin de l'année, on prévoit que la Fed va augmenter les taux la semaine prochaine.
Avant d'automobile aux États-Unis concentrés dans les camions légers.
Plus de 7 % sur un mois.
En fait, les camions légers qui comprennent les V US représentent plus de 40 % des ventes. Les véhicules de tourisme affichent une légère baisse de moins de 2 % sur un mois.
Les inventaires des concessionnaires s'améliorent par rapport au creux de l'été prochain. Nous assistant une amélioration dans le tout quotidien d'épargne qui est passée à 44000 voitures vendues, en légère hausse par rapport à 42 000 en octobre 2021.
Service économique TD prévoit que même s'il y a une augmentation des stocks, les véhicules actuellement disponibles sont surtout des modèles de base et des véhicules à un prix plus élevé. Globalement, on prédit que le recul du mois dernier n'était pas totalement inattendu car les gains d'octobre étaient vraisemblablement gonflés par la hausse de livraison après un recul pendant l'été à cause des problèmes de chaîne d'approvisionnement ainsi que le remplacement des véhicules remplacés pendant l'ouragan.
Soit le modèle de base soit la voiture bourrée d'accessoires. Que pense TD (.
..) - il est peu probable que cela se produise avant la mi 2023 et d'ici là les ventes demeureront limiter.
S'agissant des dépenses de consommation aux États-Unis, (...) les dépenses de consommation au quatrième trimestre affichent une hausse de 3 % sur une base annualisée mais ce rythme > la tendance ne serait pas durable. On prévoit un ralentissement notable de l'activité au cours des mois à venir tandis que l'effet des hausses de taux d'intérêt continue à se répercuter sur l'ensemble de l'économie.
- Merci Anthony Okolie. Un coup d'œil sur les marchés.
La séance a été mitigée. Les craintes de récession plombent le marché depuis quelques jours. L'indice TSX composite est légèrement hausse, 15 points et demi, 0,08 %.
Les compagnies de mines d'or sont légèrement hausses.
Dollarama, nous vous en avons parlé, affichent l'augmentation des ventes, un indicateur clé pour le détail.
Selon Dollarama, l'évolution du comportement des consommateurs à cause de l'inflation continuera de l'avantager dans l'avenir. L'action de Dollarama en hausse de plus de 4 %.
Aux États-Unis, l'indice S&P 500 légèrement en baisse de neuf points, soit un peu moins de 40 %. L'indice Nasdaq est en baisse d'un peu plus d'un tiers de pour cent.
Il y a une faiblesse dans certains titres reliés au déplacement. On a parlé de Carnival.
American Airlines est en baisse.
Scott Colbourne répond à vos questions. Quel impact une récession sur les revenus fixes?
- En définitive c'est positif.
selon la profondeur de la base, les banques centrales vont éduquer que leur prochaine décision consistera à réduire les taux et cela est positif.
Les taux vont finir par redescendre. Les titres à revenu fixe doit faire parti de portefaix.
Quand on remonte à la raison d'être des obligations dans un portefeuille.
Tout d'abord, le revenu, pour la première fois depuis longtemps, on touche un revenu. Il y a également la liquidité.
Dans la mesure où nous entrons en récession, que les autres parties de votre portefaix subissent une baisse, à un moment donné, vous allez vouloir acheter à bon marché donc les obligations vous donnent une excellente liquidité pour la première fois depuis longtemps. Il y a un élément de diversification.
Pendant de récession, les obligations surclassées sur tous les obligations du gouvernement, surclassé par rapport au titre de créances, même de première qualité.
- Est-ce qu'il sera difficile en 2023, s'agissant des banques centrales, de déterminer combien longtemps se tiendront alors tout terminal?
Nous approchons de la fin de la série dose de taux.
Septième ou huitième manche. Une fois parvenue auto terminale, on pense que les banques centrales vont y rester. Toute idée de rester et de causer des dégâts.
Les dégâts, on peut toujours en parler mais c'est difficile de les subir. Combien longtemps cette détermination durera-t-elle?
- La question est très pertinente.
Je crois que causer des dégâts, ce n'est pas ainsi que les autorités responsables de la politique monétaire voudraient que l'on décrive leur action.
Il s'agit de rééquilibrer l'économie, c'est ce qui se produit, dans la mesure où l'économie persistante, dans la mesure où la demande demeure persistante, où le marché du travail demeure président, les salaires élevés et l'inflation est ramenée à 3 %.
Mais si l'inflation de base est à 3 %, cela devient dilemme.
Les taux vont être persistants et le changement de cap, les coupures de taux tant attendu pourraient se faire justement attendre.
Il est très important, changement de cap, mais nous allons nous concentrer sur les données. Nous n'avons pas eu de choc inflationniste comme celui-ci depuis très longtemps. C'est très incertain pour les investisseurs pour les responsables politiques.
- Scott, c'est toujours un plaisir de vous accueillir.
Merci à Scott Colbourne.
Demain, Jimmy Zhu répond à vos questions sur la répartition d'actifs. Vous pouvez nous poser vos questions d'ores et déjà par courriel, MoneyTalkLive@TD.com. Merci et à demain!