Print Transcript
( musique)
Bonjour Madame et Messieurs ici Antonio Okolie, bienvenue à Parlons Argent en direct. Les missions aujourd'hui, nous allons attendre un dieu Calvin qui va nous indiquer si une récession s'annonce.
Daniel Ghali va parler du cours du pétrole plus haut l'an prochain ou pas? Et Alfred Li va aborder ce que le nombre de cas récents de la covid 19 peut signifier pour l'économie de la Chine. Et dans la section formation Caitlin Cormier va indiquer comment amputer les parties de l'outil listent peu de suivi de CourtierWeb. Maintenant d'abord les merci beaucoup les marchés boursiers.
On commence par le TSX ici au Canada à la hausse d'environ 14.
Presque 15.
Alors parmi les actions qu'on suit Bombardier.
Elle a aujourd'hui. Le fabricant d'avion de Montréal a annoncé récemment que n'inquiète qui est la plus grande compagnie de jets privés au monde à placer une commande de quatre de nos avions de Bombardier.
Donc Bombardier à la hausse.
Environ cinq.
Si vous voulez un peu moins de 1 % de hausse.
Maintenant le CP 500 cet indice donc est un peu à la baisse il y a une nouvelle ce matin, il y a eu ce rapport sur l'emploi aux États-Unis qui atténuent une part de l'optimisme qui voulait que la ferme commença à cesser d'augmenter les taux d'intérêt.
Donc une baisse d'environ 2000 %. Nasdaq maintenant à la baisse aussi.
72.
Une baisse de zéro 63 %. Et parmi les actions conçues là-bas Carnival Cruise Line qui suivit des pressions aujourd'hui. À l'horizon annoncé qu'ils offriraient un dollar de dollars 1 milliard de dollars pour ce refinancer.
Donc une baisse. Aussi JD.Com il s'agit d'une société d'Internet chinoise qui est listé dans les bourses américaines. Donc il y a des nouvelles de la part des autorités sanitaires de la Chine indiquant qu'ils ont constaté une amélioration des taux de vaccination. Pour ce genre de société JD.Com à la 11 à la hausse de 3,4.
Un grand écart aujourd'hui. Du côté des sociétés technologiques de la chaîne.
Voilà pour la mise à jour du côté des marchés boursiers.
Alors tous les yeux se tournent aujourd'hui sur les données en matière d'emploi au Canada et aux États-Unis. Ça reste très vigoureux ici au Canada un ajout de 10 000 emplois le mois dernier ce qui est conforme aux attentes. D'après statistique Canada Séguin c'était surtout des posts à temps complets, notamment du côté de l'Ontario du Québec.
On les a constatés dans plusieurs catégories notamment la cire de la finance, l'assurance et l'immobilier.
Vous voyez que l'emploi au total a été stable en novembre alors le taux de chômage qui a un peu baissé en novembre, voilà ce que vous voyez à l'écran.
Donc ce qui ne s'annonce du côté de l'emploi c'est encourageant en comparaison de ce qu'on a vu pendant les mois d'été. Le rapport aujourd'hui renforce les attentes la Banque du Canada me continue de hausser les taux d'intérêt pour tenter de ralentir un peu le marché de l'emploi.
Et on s'attend à ce qu'il y a une hausse de 50 points de base la semaine prochaine.
À la frontière des États-Unis maintenant, un ajout de 363 000 emplois plus hauts que prévu donc le mois dernier beaucoup plus en faite le marché avait prévu environ 200 000 emplois enregistrés en novembre. Chose plus inquiétante pour la Fed c'était le salaire horaire qui a grimpé de plus de 0,6 % pour le mois. Ce qui était plus élevé que ce qu'on avait constaté en octobre.
Donc ça reste très élevé historiquement parlant. Et le taux de participation marchée de la main-d'œuvre n'est pas très reluisant, donc on prévoit que la hausse des salaires continus de grimper.
Et on croit que le revenu pour que la Fed façon pivot mais d'après ce qu'on voit aujourd'hui le travail de la Fed est loin d'être complet.
Plutôt on a eu des données sur les réalités économiques au Canada, et il y a Greg Bonnell qui a accueilli induction qui a parlé de ce qu'il prévoit pour l'année.
Si on veut être très optimiste en matière d'économie canadienne, la croissance a été plus élevée que prévue entre juillet et août, donc c'est peut-être un signe à l'effet que l'économie c'est assez serré. Plus coloré prévu il y a 48 heures.
Par ailleurs et certaines indicateurs plus prévisionnels étaient un peu inquiétant.
Il y avait une réduction des dépenses des ménages mais maintenant le deuxième trimestre est très vigoureux.
Alors s'explique peut-être ce petit recul à cause évidemment des données les plus récentes. Malgré tout ce n'est pas forcément signe positif. Les investissements du côté de l'immobilier reste élevé et notamment il y a eu des dépenses de la part du gouvernement.
Et en 2023 je pense qu'il y aura pas une très hausse croissance des dépenses, donc c'est une surprise mais les données ou les indicateurs prévisionnels nous indiquaient une certaine faiblesse et pour octobre, on a vu que la croissance était inaudible. Donc pour la Banque du Canada la croissance était plus élevée qu'au troisième trimestre mais 0,5 % pour cent qui étaient prévus au quatrième trimestre écouter ce sont des données… c'est à peu près zéro.
Je pense que la Banque du Canada peut approfondir ses sons analysent.
Est-ce qui sont inquiets de cette trajectoire en matière d'inflation?
Si oui, ils faut voir quelles seront leurs réactions, s'ils sont convaincus que le ralentissement impose système a obtenu les résultats importants, en matière d'immobilier et de dépenses de consommation assez pour ralentir l'économie en 2023 et de réduire l'inflation de la peut-être qu'ils pourront attendre un peu et dire que ça serait une hausse de 25 points de base. Mais si ce n'est pas le cas si ne s'est pas convaincu que c'est sous contrôle ils peuvent se dire que ça reste élevé et l'inflation on pense pas qu'il y aurait une modération de l'inflation pour le reste de l'année.
Et tenir compte du fait que l'économie est plus serrée qu'il n'avait prévu ils vont peut-être dire qu'il faut quand même est assez ambitieux et de resserrer les choses.
Donc une hausse de 25 ou de 25 points de base de la part de la Banque du Canada, mais on se rapproche quand même de la fin du cycle de ces hausses de taux d'intérêt. Il y aura sans doute une pause au premier trimestre 2023.
Imaginons notre banque centrale comme toute banque centrale de réduire l'inflation et on aime bien penser qu'ils vont combattre le l'inflation et réussirez que l'économie ne tombera pas en bas d'une falaise, mais ce qu'il y a risque de réception pour l'an prochain?
Pensez-vous que ces chiffres annoncent quelque chose de positif est positif ou pas. Qu'est-ce il s'annonce au fonds pour l'année prochaine?
- Je pense pas que ça soit réglé, il y a la croissance démographique démographique reste solide pour 2023 c'est ce qu'on prévoit donc il y aura plus de gens et par conséquent l'ensemble de l'économie ne va pas réduire le point de vue de sa taille.
Mon parent l'impression que c'est une récession. Quand on mesure les choses par tête d'habitant.
On pense qu'il y aura une récession modérée l'an prochain.
Très faible au premier trimestre en fait comme récession modérée donc ça reste modeste dans un contexte où il y a une croissance de la population d'un un défunt ni pour cent.
Donc la Banque du Canada à mon avis va sans doute vouloir ralentir un peu les choses pour 2023, on croit que c'est important, on ne trouvait seulement leur dernière problème communication donc une récession pas trop prononcée. Et la banque Canada de s'assurer que quand ils atteindront le moment de mettre sur pause en 2023, au deuxième trimestre par exemple peut-être, il doit s'assurer que ce sera bel et bien la fin.
Ils ont fait le nécessaire pour maîtriser l'inflation.
Car ça pourrait devenir très problématique si on fait il s'inscrit de hausse taux des intérêts de façon prématurée en 2023 2024 il se rend comptes qui n'ont pas maîtrisé l'économie. Ils vont sceller taux d'intérêts à ce moment-là que Sarah des conséquences plus prononcées sur l'économie, savoir amplifier les taux d'inflation, évidemment les hypothèques qui ont été réglées pendant la pandémie il faudra les renégocier à ce moment-là.
Et ça pourrait créer un problème pour l'économie canadienne.
- En début de pandémie évidemment les politiques politiques et fiscales ont contribué à tenir les choses en ensemble.
Et ensuite les dépenses budgétaires ont beaucoup augmenté est-ce qu'il y a risque de décalage si les Banque du Canada et les autres entreprises se disent que c'est le concert a été consenti en ça. On maîtrise l'inflation et qu'ensuite la population commence à éprouver les effets négatifs, époque les policiers n'importent quand la population est préoccupée.
- Il y a toujours un risque, son recul en 2020 2021 et ce n'est pas pour reprocher quoi que ce soit Gouvernement du Canada la situation était difficile elle évolue rapidement et la politique budgétaire est difficile à peaufiner.
Alors la leçon de 1020 de 2021 c'était que la politique du végétal des puissants alors c'est important que les responsables des données fiscales et de la Banque du Canada agissent ensemble à court terme je ne vois aucune indice à l'effet que le gouvernement fédéral serait susceptible à compter les efforts de ses plages de l'inflation du Canada. Donc il y a eu des annonces récemment, c'était plutôt conservateur en matière de dépenses de la part du gouvernement donc quand on parle de crédit d'impôt ciblé, ça peut entraîner de grandes répercussions sur les moyens de subsistance de certains groupes donnés sans avoir d'effet facile à un grand effet.
Si on voit l'Alberta récemment c'est environ 2,5 milliards de dollars qui seront dépensés pour alléger le fardeau de l'inflation.
Ce sont des programmes d'aides ciblées qui peuvent aider à atténuer les répercussions les plus importantes de la combinaison de ralentissement de la croissance et d'une forte inflation mais c'est important que le gouvernement fédéral ne met en place un programme de relance budgétaire à grande échelle et d'après les annonces récentes du fédéral je ne pense pas qu'il prévoit ça pour le printemps. Mais vous avez raison, c'est très facile de se dire : contenu suivant dépression on ne doit pas prendre des mesures irréfléchies de beaucoup dépensés. Donc ça pourrait autre chose le gouvernement de l'impression à cause des sondages d'opinion que la population est contente. Mais je suppose que le point positif c'est qu'on n'a pas besoin de passer en élection avant 2025. Nous n'aurons pas ce genre de pression sur le gouvernement comme si par exemple il y avait une élection à l'automne 2020… C'était un Jean Calvin responsable des stratégies au Canada.
Alors maintenant ce qui s'annonce dans le monde des affaires et les marchés encore une fois.
Après 19 jours de témoignage les audiences sur la fusion radieuse et chat se sont terminés au tribunal de la concurrence alors le bureau de la concurrence demande de bloquer cette fusion des deux plus grandes compagnies de tableaux de distribution Canada. Ils voulaient compléter leur fusion depuis juste avant la fin de l'année.
Il y aura des plaidoiries on ne sait pas quand la décision tombera.
Amazone veut à agrandir son offre de services de paiement sans encaisser à d'autres secteurs de l'activité économique.
Donc voilà.
Depuis 2020, Amazone a vendu ces technologies dans des aéroports, notamment, et dans des centres de congrès.
Et les producteurs de l'OPEC et non OPEC envisage de réduire leur production de pétrole à la réunion dimanche.
Ça se produit alors que l'union européenne envisage d'approuver un plafond pour l'achat du pétrole brut russe.
Les marchés sur Canada d'abord le TSX à la hausse toujours légèrement hausse de 23 environ 12 0,12 %.
Maintenance de la frontière.
Et il atteint 4063. Une baisse de 13 presque 13 août de 0,3 %.
Il y a encore de la beauté l'activité pour ce qui est du pétrole alors que les investisseurs se penchent ce… chez valeurs mobilières TD toute pression à la baisse c'est peut-être attribuable un scénario trop optimiste.
Il a répondu aux questions de Greg Bonnell plutôt cette semaine On a un peu l'impression… ils n'ont pas tant parce que les prix du pétrole brut sont presque revenus à leur niveau début de l'année.
Alors on s'attend une demande en berne parce qu'on se dirige vers une récession et en fait la production récemment rattrapait son retard.
Malgré la contre-performance antérieure. On est donc dans un contexte dans lequel les prix du pétrole ont considérablement baissé et les gens commencent à envisager l'avenir en se disant que le pire est peut-être passé.
Pour ce qui est de la crise de l'énergie.
Mais que devrait-il penser, est-ce qu'ils ont raison?
- Et voilà la question il y a un peu de complaisance dans le marché. Quand on pense à la demande elle va ralentir, c'est sûr. Mais, attention, la demande mondiale de pétrole va continuer de croître peut-être plus lentement mais elle va continuer de croître. Et ça soulève surtout la question suivante : d'où proviendront les barils supplémentaires dont on aura besoin?
Si vous me suivez dans ce labyrinthe si vous voulez vous aurez compris que les pots dans le raisonnement.
D'où proviendront ces barils supplémentaires? D'abord, des États-Unis c'est un des plus grands producteurs mondiaux de pétrole et au risque de me répéter puisqu'on a déjà parlé plusieurs reprises il y a un décalage historique entre le prix du pétrole brut et la production provenant des États-Unis et d'autres régions du monde. Et c'était quand s'explique en partie par les contraintes les contraintes âgées qui interdisent les dépenses en immobilisations dans ce secteur.
Aussi pour voir quelles les modes les participants ont modifié leur comportement. Les parties prenantes veulent que ces compagnies leur rendre leur investissement. À l'extérieur des États-Unis menant la croissance attendue pour l'année prochaine provient surtout de quelques producteurs et sa croissance n'a rien à voir avec le contexte de prix élevé que l'on connaît actuellement.
C'est le résultat d'anciens projets qui vont s'achever au cours de la prochaine année, il ne reste donc tous les autres producteurs à savoir ceux de l'OPEP plus ses sacs que réside le risque en matière de production pour l'année prochaine.
Et puis la réussite qui se… notamment parce que les autres ont fait des réserves par crainte que les sanctions imposées ne perturbent le résultat économique. Alors le monde entier a fait des réserves.
Par ailleurs, presque personne ne sait vraiment à quoi ressembleront les essences des sanctions du G7. Ni les retombées sur les marchés pétroliers.
Il faut aussi tenir compte de l'OPEP dans son ensemble.
Alors la Libye présente un énorme risque géopolitique, le pays est embourbé dans une crise politique depuis 2014 et la périodes des élections approche, ce qui pour encore une fois entraînait un risque pour la production dans ce pays.
Alors de mémoire il faut se rappeler qu'en début d'année il y a environ millions de bergers on ne perdit par jour.
Si on n'en perd autant l'an prochain qui va compenser cette production.
Bloque toutes ses incertitudes et ses variables et les pressions que la volatilité hissera pendant un moment encore (...
) il avait chuté de presque 3 %.
Alors des courants (.
..
) - La volatilité risque de perdurer, les liquidités ont été fortement entravées dans l'ensemble des marchés mondiaux mais surtout pour le pétrole brut ou en observer un exode des aides des gestionnaires de fonds qui s'était positionné en position de perturbation (.
..
) et en faite on entend que on se dirige vers des sanctions édulcorées ouvertes un manque de consensus au sein du G7 tant que la sévérité des sanctions à l'égard du pétrole russe.
- Après une union de l'OPEP et après chaque réunion de récompense toujours de sexy fait au dernier tour, que c'est toujours le cycle qui se répète, est-ce que le pape veut vraiment un prix précis pour le pétrole brut?
- Est bien en Italie nouveau qui sont conformes à ce qu'on pourrait après appeler le (..
.) en d'autres moules l'OPEP se rassure sous surtout plus à l'aise s'il était les prix était plus élevé qu'à la cale actuelle.
(.
..
) Qui a eu sa première réduction de production depuis la pandémie.
Si on y réfléchit donc, la capacité des réserves mondiales est à concentrer dans quelles que pays qui sont à la tête de l'OPEP. Aujourd'hui ce sont les producteurs d'appoint des marchés pétroliers.
Ils ont la main mise sur le marché en raison des de tous les problèmes qu'on a déjà évoqués dans États-Unis qu'ailleurs. Donc, il va de leur intérêt ils ont la possibilité de maintenir des prix plus élevés.
- Plutôt cette année il y a quelques mois des tensions entre l'OPEP et Washington pour ce qui des prix du pétrole brut et bien sûr l'administration Biden a décidé de puiser dans les réserves stratégiques de pétrole. Alors qu'est-ce qui va advenir de tout ça, les réserves ne dureront pas éternellement.
- Oui vous avez raison et beaucoup de variables enjeux vous avaient mentionné les désaccords entre la l'Arabie Saoudite et les États-Unis à propos de la réserve stratégique.
Si on regarde le portrait géopolitique en matière de risques au Moyen-Orient il y a une nation l'Iran qui est déjà soumis à de lourdes sanctions et qui fait des progrès par rapport à ses ambitions nucléaires et qui déstabilisé l'équilibre des forces Moyen-Orient.
Ça a donc incité l'Arabie Saoudite à maintenir sa relation stratégique avec les États-Unis.
Mais en même temps sur ce projet sur 10 ans, la demande pétrole aura normalement diminué.
Il est donc logique de monétiser la situation le plus possible pendant que c'est encore possible.
- Avec toute cette incertitude et cette volatilité s'est variable est-ce qu'on peut raisonnablement tenter de prévoir combien coûtera en moyennes barils de pétrole à l'approche 2023?
- Oui écoutez je pense que la plupart des banques du côté vantent s'attendent à une hausse des prix.
En général ce que l'offre et restreindre.
Et puis nous sommes d'accord de ce point de vue et on s'attend à ce que les prix augmentent plus de 100 $ le baril.
Alors il y a beaucoup de fort potentiel de hausse.
L'aspect fondamental c'est que la probabilité de hausse est vraiment élevée alors même son pense que les prix peuvent atteindre 100 $ le baril il faudrait pas une grosse perturbation pour qu'ils atteignent 120 $ le baril.
Voilà c'était Daniel Ghali stratège des valeurs mobilières TD.
Maintenant le secteur formation.
Si vous voulez suivre de plus près un de vos placements CourtierWeb à un outil pour vous aider.
Caitlin Cormier nous en parle Aujourd'hui nous allons regarder l'outil de suivi un des nombreux outils qui vous aident à construire votre portefeuille donc allons-y directement.
Dans CourtierWeb la façon la plus facile d'y atteinte c'est en haut à droite sur Watch liste liste de suivi et on voit la page qui surgit.
Nous pouvons donc ici créer jusqu'à 10 listes avec 10 titres par liste.
Et si je tape le nom de la société ou le symbole de cette société du titre qui m'intéresse donc, j'ajoute des titres américains et canadiens de façon avoir un bon mix.
J'en ajoute encore un peu. Voilà.
Voilà notre liste pour l'instant.
Ici on peut voir si on clique sur le menu déroulant le rendement de ce titre.
On n'en graphique on a les renseignements sur le cours actuel, ce qu'on offrait ce qu'on demande, le volume, et puis la fourchette pour la journée ou pour le 52 semaines, donc on peut cliquer pour acheter ou vendre ce titre. Si on clique sur les facteurs fondamentaux on a des des renseignements sur les dividendes et le ratio court des bénéfices et ainsi de suite.
En bas à gauche d'autres liens rapides les nouvelles des tableaux des options.
Si ça vous intéresse.
À l'intérieur de cette liste de suivi on note diverses possibilités divers indices pour les titres qui vous intéressent, un autre outil intéressant à l'intérieur de cette liste de suivi, on peut cliquer sur suivi qui nous permette de de consulter un portefeuille modèle sans vraiment acheter les actions en question sans les acquérir donc on fait comme si on voulait acheter ce titre. Disons sans action de drapeau et que j'évite le cours actuel je sauvegarde et je peux faire la même chose pour Tellus 50 actions à 20,62 $ l'action.
Et j'en ajoute un autre voilà c'est fait.
Et je sauvegarde et maintenant vous voyais que ces titres font déménager des mises à jour constante pour nous indiquer combien j'aurais pu gagner si j'avais effectué cet achat.
Ça nous montre le dernier cours, cours moyen, les modifications en cours les valeurs aux livres etc.
et les bénéfices ou les pertes qu'on n'aura pas virées de véritablement réaliser.
Car c'est simplement une un exemple.
C'est une bonne façon de construire un portefeuille sans y mettre de l'argent pour l'instant.
Donc pour tester vos théories, pour voir si vous vous en seriez bien tirés.
Très bien voilà donc c'était l'outil de suivi liste de suivi n'hésitez pas à aller sur le centre d'apprentissage pour avoir plus de formation et des vidéos y compris.
Voilà merci beaucoup à Caitlin Cormier institutrice et cette semaine les investisseurs en suivi de près le nombre de cas de COVID et la frustration pour skier des confinements en Chine.
Greg Bonnell a discuté avec un joli responsable de ces questions pour qu'il donne son point de vue pour ce que ça signifie pour l'économie chinoise.
Donc la situation s'améliorait évidemment évidemment après le 20e congrès national du parti communiste se chinois il y a eu 20 lignes directrices des mises qui demandent un assouplissement de (.
..
) mais il s'agit de la prof à titre d'essai, la Chine fait de petits pas pour s'assurer que les choses avancent sans risque pour la population.
Donc ces facteurs ont rendu la population peu plus optimiste.
Mais bon, en faisant en quelque sorte deux pas en avant et un pas en arrière, lorsque la situation ne pas progressait lorsque comme il espérait il y a une certaine frustration. Mais je pense que si on examine la ce positif des choses le nombre de cas atteints cette fois-ci au cours d'une journée avait déjà été au même niveau lors du dernier épisode à Shanghai en février dernier en faite.
Mais on en fait un pourcentage beaucoup plus élevé de nouveaux cas sans symptômes.
Des cas de COVID toujours bien sûr.
Il n'y a eu que cinq décès comparativement à plus de 500 à la dernière vague, ça signifie soit que l'immunité collective a été en quelque sorte établie dans la collectivité ces deux dernières années pendant la pandémie et les confinements, ou encore que les vaccins chinois ont une efficacité plus élevée que ce qu'on avait prévu.
Donc je pense qu'on est sur la bonne voie.
- Donc c'est très intéressant alors que tout ça se déroule en temps réel quelles seront les conséquences pour l'économie chinoise?
Il y a des inquiétudes tant qu'à la hausse des cas.
Qu'est-ce que ça signifie véritablement pour la croissance en Chine?
- Est bien manifestement la reprise de la consommation intérieure en Chine prendra du temps. Étant donné que il est certain que le gouvernement chinois va adopter une approche graduelle.
Tout comme au cours des deux ou trois dernières années alors qu'il y avait eues 5000 cas environ.
Et puis voilà.
Les autorités chinoises veulent suivre de sa de près.
En bout de piste situation catastrophique, il veut s'assurer que l'ensemble de l'économie de la population puisse s'en sortir sans heurts.
Nous prévoyons donc une croissance de la consommation d'environ quatre de 5 % en 2023 et au début de 2023 faites il s'agit d'une amélioration graduelle ou légère par rapport au niveau de cette année était à la fois ce qui va soutenir l'économie pour qu'elle continue de croître c'est la formation d'actifs d'infrastructures traditionnelles.
Et les nouveaux investissements dans les infrastructures devraient atteindre de six à 8 %.
On peut raisonnablement s'attendre à ce que le secteur de l'immobilier connaisse un atterrissage en douceur contenue des politiques émises conjointement par la banque populaire de Chine et le ministère des finances qui exhortent les banques centrales & à financer directement des projets qui ne sont pas encore terminés.
Pour que les promoteurs en difficulté et leurs actifs sous-jacents ne se détériorent pas davantage.
Et que tout ça ne se répercute pas sur l'ensemble de l'économie.
En même temps vous savez, les crédits et le soutien financier sont offerts aux autres joueurs du secteur afin qu'il demeure fonctionnel.
Ce qui devrait pouvoir faire donc contenu de leur bilan relativement rigoureux et de leur capacité de poursuivre leurs activités n'est-ce pas?
Maintenant pour ce qui est des exportations, on peut certainement s'attendre à certaines difficultés contenues de la détérioration prévue de l'économie mondiale et du marché des exportations chinoises.
Dans l'ensemble on prévoit une légère amélioration par rapport à l'année en cours pour l'économie chinoise, c'est-à-dire une croissance du PIB d'environ quatre ou 5 % sur une base annuelle en termes réels.
Donc - Donc des catalyseurs de l'économie et peut-être défiant de parler de l'économie mondiale notamment, maintenant la pique le sommet de la coopération économique pour les et pacifiques.
- Oui c'est une série d'activités diplomatiques importants de la part de Jean Ping depuis maintenant 20 jours des journées très occupées.
Alors le G20 évidemment a immédiatement suivi la réunion de l'APEC et pendant toutes ces activités chez Jean Ping a rencontré des dirigeants mondiaux des pays développés ainsi que desdits dirigeants de pays développés de différentes régions du monde et si on regroupe ces réunions en quatre ou cinq groupes en quelque sorte je pense que la rencontre la plus remarquable ça été la rencontre de Ping avec Joe Biden.
Je pense que ça vaut le signal positif au marché mondial.
Étant donné que les deux dirigeants ont convenu qu'il devrait continuer de réduire les conflits en matière de concurrence et d'insister sur les secteurs d'activité sur lesquels les deux pays peuvent travailler véritablement ensemble.
Alors tout en reconnaissant évidemment surtout du côté américain que la Chine est une concurrence à laquelle le pays sera confronté à l'avenir.
Mais n'importe qui des dirigeants européens Ping à une discussion constructive avec le chancelier allemand ainsi qu'avec le premier ministre français et avec les dirigeants des Pays-Bas et de l'Italie.
Et le message principal qui ressort de ce genre de rencontre, des rencontres avec les quatre dirigeants c'était que la position de la Chine pour l'essentiel exhorte ces pays ou demande si vous voulez à ces pays de maintenir leur indépendance pour ce qui est de la prise de décision en matière de politique et pour ce qui est de la prise de décision en fonction de leur avantage économique a eu.
Alors avec un groupe de dirigeants ou si vous voulez les pays développés de la région Asie-Pacifique pacifique c'est-à-dire le Japon, la Corée du Sud, l'Australie, la Nouvelle-Zélande aussi, alors avec ces pays-là les deux parties ont convenu bilatéralement de ne pas laisser les tensions géopolitiques entravées les collaborations économiques bilatérales et les traités internationaux conclus entre la Chine et CPI. Et puis on peut dire que c'est important ce qui s'est décidé-là.
Parce que ces mesures maintiennent et confinent en fait les conflits.
Il favorise la collaboration économique et font la promotion des traités internationaux.
C'est le grand thème avec ces pays-là.
Le premier groupe tombe est constitué des pays en développement des régions Asie-Pacifique et surtout des pays d'Asie du sud-est qui sont évidemment les alliés les plus proches de la Chine et il porte principalement sur l'initiative relative aux ponts et aux routes il y a intervention plus large qui existe entre la Chine et CPI pour ce qui est la construction de réseaux de transport, réseaux de chemin de fer, les routes maritimes et pour ce qui est des placements directs de la part de la Chine verse dans diverses secteurs d'activité.
On peut compter aussi sur l'expansion rapide du commerce mondial ou du commerce international entre ses divers pays.
Collectivement donc les pays du RCP représentent le principal partenaire du marché chinois de par le monde.
Donc ce groupe dont la population est énorme et dont la croissance est rapide et bien la croissance économique est importante.
Mais tout ça par évidemment de niveau bas économique de la Chine et la Chine tente de cultiver ses rapports avec Alan à Donc les marchés.
Au sud de la frontière les S et P5 107 indices est toujours à la baisse dans le rouge donc.
Une baisse d'environ 19 ou si vous voulez presque la moitié de 1 %.
Le Nasdaq maintenant, secteur technologique baisse de 65. Ou environ 0,6 %.
Revenus lundi nous entendront Nicole Ewing qui va répondre à vos questions sur les finances personnelles.
Et je vous rappelle que vous pouvez prendre de l'avance en envoyant un courriel à l'adresse que vous voyez à l'écran. C'est tout pour aujourd'hui merci et à la prochaine.
Bonjour Madame et Messieurs ici Antonio Okolie, bienvenue à Parlons Argent en direct. Les missions aujourd'hui, nous allons attendre un dieu Calvin qui va nous indiquer si une récession s'annonce.
Daniel Ghali va parler du cours du pétrole plus haut l'an prochain ou pas? Et Alfred Li va aborder ce que le nombre de cas récents de la covid 19 peut signifier pour l'économie de la Chine. Et dans la section formation Caitlin Cormier va indiquer comment amputer les parties de l'outil listent peu de suivi de CourtierWeb. Maintenant d'abord les merci beaucoup les marchés boursiers.
On commence par le TSX ici au Canada à la hausse d'environ 14.
Presque 15.
Alors parmi les actions qu'on suit Bombardier.
Elle a aujourd'hui. Le fabricant d'avion de Montréal a annoncé récemment que n'inquiète qui est la plus grande compagnie de jets privés au monde à placer une commande de quatre de nos avions de Bombardier.
Donc Bombardier à la hausse.
Environ cinq.
Si vous voulez un peu moins de 1 % de hausse.
Maintenant le CP 500 cet indice donc est un peu à la baisse il y a une nouvelle ce matin, il y a eu ce rapport sur l'emploi aux États-Unis qui atténuent une part de l'optimisme qui voulait que la ferme commença à cesser d'augmenter les taux d'intérêt.
Donc une baisse d'environ 2000 %. Nasdaq maintenant à la baisse aussi.
72.
Une baisse de zéro 63 %. Et parmi les actions conçues là-bas Carnival Cruise Line qui suivit des pressions aujourd'hui. À l'horizon annoncé qu'ils offriraient un dollar de dollars 1 milliard de dollars pour ce refinancer.
Donc une baisse. Aussi JD.Com il s'agit d'une société d'Internet chinoise qui est listé dans les bourses américaines. Donc il y a des nouvelles de la part des autorités sanitaires de la Chine indiquant qu'ils ont constaté une amélioration des taux de vaccination. Pour ce genre de société JD.Com à la 11 à la hausse de 3,4.
Un grand écart aujourd'hui. Du côté des sociétés technologiques de la chaîne.
Voilà pour la mise à jour du côté des marchés boursiers.
Alors tous les yeux se tournent aujourd'hui sur les données en matière d'emploi au Canada et aux États-Unis. Ça reste très vigoureux ici au Canada un ajout de 10 000 emplois le mois dernier ce qui est conforme aux attentes. D'après statistique Canada Séguin c'était surtout des posts à temps complets, notamment du côté de l'Ontario du Québec.
On les a constatés dans plusieurs catégories notamment la cire de la finance, l'assurance et l'immobilier.
Vous voyez que l'emploi au total a été stable en novembre alors le taux de chômage qui a un peu baissé en novembre, voilà ce que vous voyez à l'écran.
Donc ce qui ne s'annonce du côté de l'emploi c'est encourageant en comparaison de ce qu'on a vu pendant les mois d'été. Le rapport aujourd'hui renforce les attentes la Banque du Canada me continue de hausser les taux d'intérêt pour tenter de ralentir un peu le marché de l'emploi.
Et on s'attend à ce qu'il y a une hausse de 50 points de base la semaine prochaine.
À la frontière des États-Unis maintenant, un ajout de 363 000 emplois plus hauts que prévu donc le mois dernier beaucoup plus en faite le marché avait prévu environ 200 000 emplois enregistrés en novembre. Chose plus inquiétante pour la Fed c'était le salaire horaire qui a grimpé de plus de 0,6 % pour le mois. Ce qui était plus élevé que ce qu'on avait constaté en octobre.
Donc ça reste très élevé historiquement parlant. Et le taux de participation marchée de la main-d'œuvre n'est pas très reluisant, donc on prévoit que la hausse des salaires continus de grimper.
Et on croit que le revenu pour que la Fed façon pivot mais d'après ce qu'on voit aujourd'hui le travail de la Fed est loin d'être complet.
Plutôt on a eu des données sur les réalités économiques au Canada, et il y a Greg Bonnell qui a accueilli induction qui a parlé de ce qu'il prévoit pour l'année.
Si on veut être très optimiste en matière d'économie canadienne, la croissance a été plus élevée que prévue entre juillet et août, donc c'est peut-être un signe à l'effet que l'économie c'est assez serré. Plus coloré prévu il y a 48 heures.
Par ailleurs et certaines indicateurs plus prévisionnels étaient un peu inquiétant.
Il y avait une réduction des dépenses des ménages mais maintenant le deuxième trimestre est très vigoureux.
Alors s'explique peut-être ce petit recul à cause évidemment des données les plus récentes. Malgré tout ce n'est pas forcément signe positif. Les investissements du côté de l'immobilier reste élevé et notamment il y a eu des dépenses de la part du gouvernement.
Et en 2023 je pense qu'il y aura pas une très hausse croissance des dépenses, donc c'est une surprise mais les données ou les indicateurs prévisionnels nous indiquaient une certaine faiblesse et pour octobre, on a vu que la croissance était inaudible. Donc pour la Banque du Canada la croissance était plus élevée qu'au troisième trimestre mais 0,5 % pour cent qui étaient prévus au quatrième trimestre écouter ce sont des données… c'est à peu près zéro.
Je pense que la Banque du Canada peut approfondir ses sons analysent.
Est-ce qui sont inquiets de cette trajectoire en matière d'inflation?
Si oui, ils faut voir quelles seront leurs réactions, s'ils sont convaincus que le ralentissement impose système a obtenu les résultats importants, en matière d'immobilier et de dépenses de consommation assez pour ralentir l'économie en 2023 et de réduire l'inflation de la peut-être qu'ils pourront attendre un peu et dire que ça serait une hausse de 25 points de base. Mais si ce n'est pas le cas si ne s'est pas convaincu que c'est sous contrôle ils peuvent se dire que ça reste élevé et l'inflation on pense pas qu'il y aurait une modération de l'inflation pour le reste de l'année.
Et tenir compte du fait que l'économie est plus serrée qu'il n'avait prévu ils vont peut-être dire qu'il faut quand même est assez ambitieux et de resserrer les choses.
Donc une hausse de 25 ou de 25 points de base de la part de la Banque du Canada, mais on se rapproche quand même de la fin du cycle de ces hausses de taux d'intérêt. Il y aura sans doute une pause au premier trimestre 2023.
Imaginons notre banque centrale comme toute banque centrale de réduire l'inflation et on aime bien penser qu'ils vont combattre le l'inflation et réussirez que l'économie ne tombera pas en bas d'une falaise, mais ce qu'il y a risque de réception pour l'an prochain?
Pensez-vous que ces chiffres annoncent quelque chose de positif est positif ou pas. Qu'est-ce il s'annonce au fonds pour l'année prochaine?
- Je pense pas que ça soit réglé, il y a la croissance démographique démographique reste solide pour 2023 c'est ce qu'on prévoit donc il y aura plus de gens et par conséquent l'ensemble de l'économie ne va pas réduire le point de vue de sa taille.
Mon parent l'impression que c'est une récession. Quand on mesure les choses par tête d'habitant.
On pense qu'il y aura une récession modérée l'an prochain.
Très faible au premier trimestre en fait comme récession modérée donc ça reste modeste dans un contexte où il y a une croissance de la population d'un un défunt ni pour cent.
Donc la Banque du Canada à mon avis va sans doute vouloir ralentir un peu les choses pour 2023, on croit que c'est important, on ne trouvait seulement leur dernière problème communication donc une récession pas trop prononcée. Et la banque Canada de s'assurer que quand ils atteindront le moment de mettre sur pause en 2023, au deuxième trimestre par exemple peut-être, il doit s'assurer que ce sera bel et bien la fin.
Ils ont fait le nécessaire pour maîtriser l'inflation.
Car ça pourrait devenir très problématique si on fait il s'inscrit de hausse taux des intérêts de façon prématurée en 2023 2024 il se rend comptes qui n'ont pas maîtrisé l'économie. Ils vont sceller taux d'intérêts à ce moment-là que Sarah des conséquences plus prononcées sur l'économie, savoir amplifier les taux d'inflation, évidemment les hypothèques qui ont été réglées pendant la pandémie il faudra les renégocier à ce moment-là.
Et ça pourrait créer un problème pour l'économie canadienne.
- En début de pandémie évidemment les politiques politiques et fiscales ont contribué à tenir les choses en ensemble.
Et ensuite les dépenses budgétaires ont beaucoup augmenté est-ce qu'il y a risque de décalage si les Banque du Canada et les autres entreprises se disent que c'est le concert a été consenti en ça. On maîtrise l'inflation et qu'ensuite la population commence à éprouver les effets négatifs, époque les policiers n'importent quand la population est préoccupée.
- Il y a toujours un risque, son recul en 2020 2021 et ce n'est pas pour reprocher quoi que ce soit Gouvernement du Canada la situation était difficile elle évolue rapidement et la politique budgétaire est difficile à peaufiner.
Alors la leçon de 1020 de 2021 c'était que la politique du végétal des puissants alors c'est important que les responsables des données fiscales et de la Banque du Canada agissent ensemble à court terme je ne vois aucune indice à l'effet que le gouvernement fédéral serait susceptible à compter les efforts de ses plages de l'inflation du Canada. Donc il y a eu des annonces récemment, c'était plutôt conservateur en matière de dépenses de la part du gouvernement donc quand on parle de crédit d'impôt ciblé, ça peut entraîner de grandes répercussions sur les moyens de subsistance de certains groupes donnés sans avoir d'effet facile à un grand effet.
Si on voit l'Alberta récemment c'est environ 2,5 milliards de dollars qui seront dépensés pour alléger le fardeau de l'inflation.
Ce sont des programmes d'aides ciblées qui peuvent aider à atténuer les répercussions les plus importantes de la combinaison de ralentissement de la croissance et d'une forte inflation mais c'est important que le gouvernement fédéral ne met en place un programme de relance budgétaire à grande échelle et d'après les annonces récentes du fédéral je ne pense pas qu'il prévoit ça pour le printemps. Mais vous avez raison, c'est très facile de se dire : contenu suivant dépression on ne doit pas prendre des mesures irréfléchies de beaucoup dépensés. Donc ça pourrait autre chose le gouvernement de l'impression à cause des sondages d'opinion que la population est contente. Mais je suppose que le point positif c'est qu'on n'a pas besoin de passer en élection avant 2025. Nous n'aurons pas ce genre de pression sur le gouvernement comme si par exemple il y avait une élection à l'automne 2020… C'était un Jean Calvin responsable des stratégies au Canada.
Alors maintenant ce qui s'annonce dans le monde des affaires et les marchés encore une fois.
Après 19 jours de témoignage les audiences sur la fusion radieuse et chat se sont terminés au tribunal de la concurrence alors le bureau de la concurrence demande de bloquer cette fusion des deux plus grandes compagnies de tableaux de distribution Canada. Ils voulaient compléter leur fusion depuis juste avant la fin de l'année.
Il y aura des plaidoiries on ne sait pas quand la décision tombera.
Amazone veut à agrandir son offre de services de paiement sans encaisser à d'autres secteurs de l'activité économique.
Donc voilà.
Depuis 2020, Amazone a vendu ces technologies dans des aéroports, notamment, et dans des centres de congrès.
Et les producteurs de l'OPEC et non OPEC envisage de réduire leur production de pétrole à la réunion dimanche.
Ça se produit alors que l'union européenne envisage d'approuver un plafond pour l'achat du pétrole brut russe.
Les marchés sur Canada d'abord le TSX à la hausse toujours légèrement hausse de 23 environ 12 0,12 %.
Maintenance de la frontière.
Et il atteint 4063. Une baisse de 13 presque 13 août de 0,3 %.
Il y a encore de la beauté l'activité pour ce qui est du pétrole alors que les investisseurs se penchent ce… chez valeurs mobilières TD toute pression à la baisse c'est peut-être attribuable un scénario trop optimiste.
Il a répondu aux questions de Greg Bonnell plutôt cette semaine On a un peu l'impression… ils n'ont pas tant parce que les prix du pétrole brut sont presque revenus à leur niveau début de l'année.
Alors on s'attend une demande en berne parce qu'on se dirige vers une récession et en fait la production récemment rattrapait son retard.
Malgré la contre-performance antérieure. On est donc dans un contexte dans lequel les prix du pétrole ont considérablement baissé et les gens commencent à envisager l'avenir en se disant que le pire est peut-être passé.
Pour ce qui est de la crise de l'énergie.
Mais que devrait-il penser, est-ce qu'ils ont raison?
- Et voilà la question il y a un peu de complaisance dans le marché. Quand on pense à la demande elle va ralentir, c'est sûr. Mais, attention, la demande mondiale de pétrole va continuer de croître peut-être plus lentement mais elle va continuer de croître. Et ça soulève surtout la question suivante : d'où proviendront les barils supplémentaires dont on aura besoin?
Si vous me suivez dans ce labyrinthe si vous voulez vous aurez compris que les pots dans le raisonnement.
D'où proviendront ces barils supplémentaires? D'abord, des États-Unis c'est un des plus grands producteurs mondiaux de pétrole et au risque de me répéter puisqu'on a déjà parlé plusieurs reprises il y a un décalage historique entre le prix du pétrole brut et la production provenant des États-Unis et d'autres régions du monde. Et c'était quand s'explique en partie par les contraintes les contraintes âgées qui interdisent les dépenses en immobilisations dans ce secteur.
Aussi pour voir quelles les modes les participants ont modifié leur comportement. Les parties prenantes veulent que ces compagnies leur rendre leur investissement. À l'extérieur des États-Unis menant la croissance attendue pour l'année prochaine provient surtout de quelques producteurs et sa croissance n'a rien à voir avec le contexte de prix élevé que l'on connaît actuellement.
C'est le résultat d'anciens projets qui vont s'achever au cours de la prochaine année, il ne reste donc tous les autres producteurs à savoir ceux de l'OPEP plus ses sacs que réside le risque en matière de production pour l'année prochaine.
Et puis la réussite qui se… notamment parce que les autres ont fait des réserves par crainte que les sanctions imposées ne perturbent le résultat économique. Alors le monde entier a fait des réserves.
Par ailleurs, presque personne ne sait vraiment à quoi ressembleront les essences des sanctions du G7. Ni les retombées sur les marchés pétroliers.
Il faut aussi tenir compte de l'OPEP dans son ensemble.
Alors la Libye présente un énorme risque géopolitique, le pays est embourbé dans une crise politique depuis 2014 et la périodes des élections approche, ce qui pour encore une fois entraînait un risque pour la production dans ce pays.
Alors de mémoire il faut se rappeler qu'en début d'année il y a environ millions de bergers on ne perdit par jour.
Si on n'en perd autant l'an prochain qui va compenser cette production.
Bloque toutes ses incertitudes et ses variables et les pressions que la volatilité hissera pendant un moment encore (...
) il avait chuté de presque 3 %.
Alors des courants (.
..
) - La volatilité risque de perdurer, les liquidités ont été fortement entravées dans l'ensemble des marchés mondiaux mais surtout pour le pétrole brut ou en observer un exode des aides des gestionnaires de fonds qui s'était positionné en position de perturbation (.
..
) et en faite on entend que on se dirige vers des sanctions édulcorées ouvertes un manque de consensus au sein du G7 tant que la sévérité des sanctions à l'égard du pétrole russe.
- Après une union de l'OPEP et après chaque réunion de récompense toujours de sexy fait au dernier tour, que c'est toujours le cycle qui se répète, est-ce que le pape veut vraiment un prix précis pour le pétrole brut?
- Est bien en Italie nouveau qui sont conformes à ce qu'on pourrait après appeler le (..
.) en d'autres moules l'OPEP se rassure sous surtout plus à l'aise s'il était les prix était plus élevé qu'à la cale actuelle.
(.
..
) Qui a eu sa première réduction de production depuis la pandémie.
Si on y réfléchit donc, la capacité des réserves mondiales est à concentrer dans quelles que pays qui sont à la tête de l'OPEP. Aujourd'hui ce sont les producteurs d'appoint des marchés pétroliers.
Ils ont la main mise sur le marché en raison des de tous les problèmes qu'on a déjà évoqués dans États-Unis qu'ailleurs. Donc, il va de leur intérêt ils ont la possibilité de maintenir des prix plus élevés.
- Plutôt cette année il y a quelques mois des tensions entre l'OPEP et Washington pour ce qui des prix du pétrole brut et bien sûr l'administration Biden a décidé de puiser dans les réserves stratégiques de pétrole. Alors qu'est-ce qui va advenir de tout ça, les réserves ne dureront pas éternellement.
- Oui vous avez raison et beaucoup de variables enjeux vous avaient mentionné les désaccords entre la l'Arabie Saoudite et les États-Unis à propos de la réserve stratégique.
Si on regarde le portrait géopolitique en matière de risques au Moyen-Orient il y a une nation l'Iran qui est déjà soumis à de lourdes sanctions et qui fait des progrès par rapport à ses ambitions nucléaires et qui déstabilisé l'équilibre des forces Moyen-Orient.
Ça a donc incité l'Arabie Saoudite à maintenir sa relation stratégique avec les États-Unis.
Mais en même temps sur ce projet sur 10 ans, la demande pétrole aura normalement diminué.
Il est donc logique de monétiser la situation le plus possible pendant que c'est encore possible.
- Avec toute cette incertitude et cette volatilité s'est variable est-ce qu'on peut raisonnablement tenter de prévoir combien coûtera en moyennes barils de pétrole à l'approche 2023?
- Oui écoutez je pense que la plupart des banques du côté vantent s'attendent à une hausse des prix.
En général ce que l'offre et restreindre.
Et puis nous sommes d'accord de ce point de vue et on s'attend à ce que les prix augmentent plus de 100 $ le baril.
Alors il y a beaucoup de fort potentiel de hausse.
L'aspect fondamental c'est que la probabilité de hausse est vraiment élevée alors même son pense que les prix peuvent atteindre 100 $ le baril il faudrait pas une grosse perturbation pour qu'ils atteignent 120 $ le baril.
Voilà c'était Daniel Ghali stratège des valeurs mobilières TD.
Maintenant le secteur formation.
Si vous voulez suivre de plus près un de vos placements CourtierWeb à un outil pour vous aider.
Caitlin Cormier nous en parle Aujourd'hui nous allons regarder l'outil de suivi un des nombreux outils qui vous aident à construire votre portefeuille donc allons-y directement.
Dans CourtierWeb la façon la plus facile d'y atteinte c'est en haut à droite sur Watch liste liste de suivi et on voit la page qui surgit.
Nous pouvons donc ici créer jusqu'à 10 listes avec 10 titres par liste.
Et si je tape le nom de la société ou le symbole de cette société du titre qui m'intéresse donc, j'ajoute des titres américains et canadiens de façon avoir un bon mix.
J'en ajoute encore un peu. Voilà.
Voilà notre liste pour l'instant.
Ici on peut voir si on clique sur le menu déroulant le rendement de ce titre.
On n'en graphique on a les renseignements sur le cours actuel, ce qu'on offrait ce qu'on demande, le volume, et puis la fourchette pour la journée ou pour le 52 semaines, donc on peut cliquer pour acheter ou vendre ce titre. Si on clique sur les facteurs fondamentaux on a des des renseignements sur les dividendes et le ratio court des bénéfices et ainsi de suite.
En bas à gauche d'autres liens rapides les nouvelles des tableaux des options.
Si ça vous intéresse.
À l'intérieur de cette liste de suivi on note diverses possibilités divers indices pour les titres qui vous intéressent, un autre outil intéressant à l'intérieur de cette liste de suivi, on peut cliquer sur suivi qui nous permette de de consulter un portefeuille modèle sans vraiment acheter les actions en question sans les acquérir donc on fait comme si on voulait acheter ce titre. Disons sans action de drapeau et que j'évite le cours actuel je sauvegarde et je peux faire la même chose pour Tellus 50 actions à 20,62 $ l'action.
Et j'en ajoute un autre voilà c'est fait.
Et je sauvegarde et maintenant vous voyais que ces titres font déménager des mises à jour constante pour nous indiquer combien j'aurais pu gagner si j'avais effectué cet achat.
Ça nous montre le dernier cours, cours moyen, les modifications en cours les valeurs aux livres etc.
et les bénéfices ou les pertes qu'on n'aura pas virées de véritablement réaliser.
Car c'est simplement une un exemple.
C'est une bonne façon de construire un portefeuille sans y mettre de l'argent pour l'instant.
Donc pour tester vos théories, pour voir si vous vous en seriez bien tirés.
Très bien voilà donc c'était l'outil de suivi liste de suivi n'hésitez pas à aller sur le centre d'apprentissage pour avoir plus de formation et des vidéos y compris.
Voilà merci beaucoup à Caitlin Cormier institutrice et cette semaine les investisseurs en suivi de près le nombre de cas de COVID et la frustration pour skier des confinements en Chine.
Greg Bonnell a discuté avec un joli responsable de ces questions pour qu'il donne son point de vue pour ce que ça signifie pour l'économie chinoise.
Donc la situation s'améliorait évidemment évidemment après le 20e congrès national du parti communiste se chinois il y a eu 20 lignes directrices des mises qui demandent un assouplissement de (.
..
) mais il s'agit de la prof à titre d'essai, la Chine fait de petits pas pour s'assurer que les choses avancent sans risque pour la population.
Donc ces facteurs ont rendu la population peu plus optimiste.
Mais bon, en faisant en quelque sorte deux pas en avant et un pas en arrière, lorsque la situation ne pas progressait lorsque comme il espérait il y a une certaine frustration. Mais je pense que si on examine la ce positif des choses le nombre de cas atteints cette fois-ci au cours d'une journée avait déjà été au même niveau lors du dernier épisode à Shanghai en février dernier en faite.
Mais on en fait un pourcentage beaucoup plus élevé de nouveaux cas sans symptômes.
Des cas de COVID toujours bien sûr.
Il n'y a eu que cinq décès comparativement à plus de 500 à la dernière vague, ça signifie soit que l'immunité collective a été en quelque sorte établie dans la collectivité ces deux dernières années pendant la pandémie et les confinements, ou encore que les vaccins chinois ont une efficacité plus élevée que ce qu'on avait prévu.
Donc je pense qu'on est sur la bonne voie.
- Donc c'est très intéressant alors que tout ça se déroule en temps réel quelles seront les conséquences pour l'économie chinoise?
Il y a des inquiétudes tant qu'à la hausse des cas.
Qu'est-ce que ça signifie véritablement pour la croissance en Chine?
- Est bien manifestement la reprise de la consommation intérieure en Chine prendra du temps. Étant donné que il est certain que le gouvernement chinois va adopter une approche graduelle.
Tout comme au cours des deux ou trois dernières années alors qu'il y avait eues 5000 cas environ.
Et puis voilà.
Les autorités chinoises veulent suivre de sa de près.
En bout de piste situation catastrophique, il veut s'assurer que l'ensemble de l'économie de la population puisse s'en sortir sans heurts.
Nous prévoyons donc une croissance de la consommation d'environ quatre de 5 % en 2023 et au début de 2023 faites il s'agit d'une amélioration graduelle ou légère par rapport au niveau de cette année était à la fois ce qui va soutenir l'économie pour qu'elle continue de croître c'est la formation d'actifs d'infrastructures traditionnelles.
Et les nouveaux investissements dans les infrastructures devraient atteindre de six à 8 %.
On peut raisonnablement s'attendre à ce que le secteur de l'immobilier connaisse un atterrissage en douceur contenue des politiques émises conjointement par la banque populaire de Chine et le ministère des finances qui exhortent les banques centrales & à financer directement des projets qui ne sont pas encore terminés.
Pour que les promoteurs en difficulté et leurs actifs sous-jacents ne se détériorent pas davantage.
Et que tout ça ne se répercute pas sur l'ensemble de l'économie.
En même temps vous savez, les crédits et le soutien financier sont offerts aux autres joueurs du secteur afin qu'il demeure fonctionnel.
Ce qui devrait pouvoir faire donc contenu de leur bilan relativement rigoureux et de leur capacité de poursuivre leurs activités n'est-ce pas?
Maintenant pour ce qui est des exportations, on peut certainement s'attendre à certaines difficultés contenues de la détérioration prévue de l'économie mondiale et du marché des exportations chinoises.
Dans l'ensemble on prévoit une légère amélioration par rapport à l'année en cours pour l'économie chinoise, c'est-à-dire une croissance du PIB d'environ quatre ou 5 % sur une base annuelle en termes réels.
Donc - Donc des catalyseurs de l'économie et peut-être défiant de parler de l'économie mondiale notamment, maintenant la pique le sommet de la coopération économique pour les et pacifiques.
- Oui c'est une série d'activités diplomatiques importants de la part de Jean Ping depuis maintenant 20 jours des journées très occupées.
Alors le G20 évidemment a immédiatement suivi la réunion de l'APEC et pendant toutes ces activités chez Jean Ping a rencontré des dirigeants mondiaux des pays développés ainsi que desdits dirigeants de pays développés de différentes régions du monde et si on regroupe ces réunions en quatre ou cinq groupes en quelque sorte je pense que la rencontre la plus remarquable ça été la rencontre de Ping avec Joe Biden.
Je pense que ça vaut le signal positif au marché mondial.
Étant donné que les deux dirigeants ont convenu qu'il devrait continuer de réduire les conflits en matière de concurrence et d'insister sur les secteurs d'activité sur lesquels les deux pays peuvent travailler véritablement ensemble.
Alors tout en reconnaissant évidemment surtout du côté américain que la Chine est une concurrence à laquelle le pays sera confronté à l'avenir.
Mais n'importe qui des dirigeants européens Ping à une discussion constructive avec le chancelier allemand ainsi qu'avec le premier ministre français et avec les dirigeants des Pays-Bas et de l'Italie.
Et le message principal qui ressort de ce genre de rencontre, des rencontres avec les quatre dirigeants c'était que la position de la Chine pour l'essentiel exhorte ces pays ou demande si vous voulez à ces pays de maintenir leur indépendance pour ce qui est de la prise de décision en matière de politique et pour ce qui est de la prise de décision en fonction de leur avantage économique a eu.
Alors avec un groupe de dirigeants ou si vous voulez les pays développés de la région Asie-Pacifique pacifique c'est-à-dire le Japon, la Corée du Sud, l'Australie, la Nouvelle-Zélande aussi, alors avec ces pays-là les deux parties ont convenu bilatéralement de ne pas laisser les tensions géopolitiques entravées les collaborations économiques bilatérales et les traités internationaux conclus entre la Chine et CPI. Et puis on peut dire que c'est important ce qui s'est décidé-là.
Parce que ces mesures maintiennent et confinent en fait les conflits.
Il favorise la collaboration économique et font la promotion des traités internationaux.
C'est le grand thème avec ces pays-là.
Le premier groupe tombe est constitué des pays en développement des régions Asie-Pacifique et surtout des pays d'Asie du sud-est qui sont évidemment les alliés les plus proches de la Chine et il porte principalement sur l'initiative relative aux ponts et aux routes il y a intervention plus large qui existe entre la Chine et CPI pour ce qui est la construction de réseaux de transport, réseaux de chemin de fer, les routes maritimes et pour ce qui est des placements directs de la part de la Chine verse dans diverses secteurs d'activité.
On peut compter aussi sur l'expansion rapide du commerce mondial ou du commerce international entre ses divers pays.
Collectivement donc les pays du RCP représentent le principal partenaire du marché chinois de par le monde.
Donc ce groupe dont la population est énorme et dont la croissance est rapide et bien la croissance économique est importante.
Mais tout ça par évidemment de niveau bas économique de la Chine et la Chine tente de cultiver ses rapports avec Alan à Donc les marchés.
Au sud de la frontière les S et P5 107 indices est toujours à la baisse dans le rouge donc.
Une baisse d'environ 19 ou si vous voulez presque la moitié de 1 %.
Le Nasdaq maintenant, secteur technologique baisse de 65. Ou environ 0,6 %.
Revenus lundi nous entendront Nicole Ewing qui va répondre à vos questions sur les finances personnelles.
Et je vous rappelle que vous pouvez prendre de l'avance en envoyant un courriel à l'adresse que vous voyez à l'écran. C'est tout pour aujourd'hui merci et à la prochaine.