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(musique) - Bonjour ici Greg, pas bien ne parlons argent en direct,inhibition quotidienne placement directe aidée sur courtiers ouais. Chaque jour, nos invités commentent le marché et répondre à vos questions sur le placement. Aujourd'hui, on parle de plus en plus du risque de (...) nous allons parler des conséquences pour l'économie d'une croissance ralentie et de prix plus élevé avec Alex Grévisse, gestionnaire de portefeuille titre à revenu fixe à gestion active à gestion d'actif Tedey. Arauna va nous montrer comment nous pourrons utiliser la plate-forme courtiers Web pour trouver des renseignements sur les actifs à revenu fixe. Pour nous rejoindre, envoyez-nous un courriel ou saisissez une question dans la boîte sous votre écran. Tout d'abord, un coup d'œil sur le marché. L'indice TSX est en baisse d'un écart pour cent en raison d'une pression exercée par le titre d'énergie et minier. Le pétrole WTI est à 105 $ le baril. Bien différent de la semaine dernière lorsqu'il était question de 122 $ le baril. En revanche, certains des titres de technologie au Canada comme aux États-Unis sont en bonne posture. L'activité de commerce est en difficulté depuis l'automne, mais aujourd'hui, l'action est en hausse. Certains forte baisse depuis un an mais c'est l'une des actions qui alimentent à remonter l'indice de Toronto. L'indice S&P 500 est en hausse de six. , Nous attendons le deuxième 10e journée de déclaration de Jérôme paroi qui insiste sur la nécessité pour la fête de juguler l'inflation. Nous concluons qu'il s'efforce de déclencher une récession mais Jérôme paroi ne peut exclure qu'il n'y en ait une. L'indice Nasdaq est en hausse depuis presque 1 %, soit davantage que l'ensemble du marché. Le (...) déclare aujourd'hui qu'elle prévoit que le prix de vente moyen des maisons neuves continues d'augmenter cette année. En hausse de 9 % et demi. Le dollar américain, légèrement en baisse par rapport à la corbeille de devises internationales. En baisse d'un quart de pour cent selon l'indice PSY. Voilà pour un coup d'œil sur le marché. On parle de plus en plus de stagflation alors que les déchiffreurs recherchent à déchiffrer l'avenir de l'économie. Voici notre invité, gestionnaire de portefeuille pour les titres à revenu fixe chez placement d'actif Tedey. - Bonjour. Parlons de (...). Personne ne prenne près de la mienne c'est un terme qui revient de temps à autre. Qu'est-ce que ça signifie également, une période de faible croissance de prix élevé? - Pour les investisseurs, la stagflation est un terme qui est un peu galvaudé. Quel en est la définition réelle? Une croissance faible, voire une récession, accompagné d'une inflation élevée. Il y a un troisième volet, le chômage. Dans une période de stagflation, le chômage a tendance à augmenter en dépit de la hausse de l'inflation à cause de la croissance en berne. Ce terme est très employé depuis un an en dépit du fait que les marchés du travail sont très serrés. Ce n'est pas parce que la croissance est négative, ou en chute, mais c'est parce que l'on prévoit que la croissance sera moins importante que prévu et que l'on prévoit que l'inflation augmentera, cette prévision ayant été parent en partie réalisée. Les tendances dans ces trois domaines sont propices à la stagflation sans que ce phénomène ne soit inéluctable. C'est un scénario assez effrayant que l'on cherche à éviter, bien sûr, dans un terme environnement, que doit faire un investisseur? Il y a 40 ans que la stagflation n'a pas été constatée dans l'ère moderne. C'était dans les années 1970. Il est très facile d'établir des parallèles avec cette période du point de vue d'un investisseur, car les actions et les obligations procurent cette année un rendement très négatif. Mais il faut également nous rendre compte des différences au plan économique et au plan financier entre notre époque et celle des années 70. Dans les années 70, notre économie était davantage fondée sur le secteur manufacturier. Il y a eu le choc pétrolier, il y a une série de pressions qui sont exercées sur les prix à l'époque, l'impact sur l'économie réelle a été beaucoup plus important qu'ils ne le seraient aujourd'hui au niveau de la production. Au plan financier, nous étions aux prises avec un marché qui était moins développé à certains égards qu'il ne l'est aujourd'hui. Les obligations à rendement élevé n'existaient pas vraiment ou alors, représentait un faible créneau. Du marché. Les produits dérivés, les instruments de couverture, toutes sortes d'actifs financiers que nous utilisons aujourd'hui pour exprimer nos points de vue n'existaient pas à ce moment-là. Un autre facteur qui est très important, si on s'adresse uniquement à la bourse, la composition de celle-ci était très différente. Dans les années 1970,1 nombre beaucoup plus grand représentait l'économie réelle du secteur manufacturier. Même un indice général comme SIP est beaucoup plus axée sur le titre de style croissance. Quand on aligne tous les éléments qui constituent notre économie aujourd'hui, et nos marchés financiers, on ne peut pas en conclure que si un phénomène se produit dans les années 70, il doit automatiquement se reproduire aujourd'hui. Il faut être plus agile. Et réfléchir à la façon dont on investit dans son portefeuille. Si ce phénomène s'est produit une fois, cela ne signifie pas qu'il se reproduira ou qu'il se reproduira de la même façon. Parlons de la bourse. Récemment, on répète que les travailleurs peuvent poser leurs exigences salariales, mais les entreprises affirment à présent qu'elle redoute une récession et qu'elles vont peut-être procéder à des coupes de personnel. Il ne fait aucun doute que le marché du travail est très serré. Dans de nombreux secteurs, il y a eu un taux de roulement élevé, les gens changent d'emploi, trouver de nouveaux posts mieux payés, peut-être, et profite de cette occasion. Quand on considère les posts vacants, on constate qu'ils atteignent un niveau record. Il est donc facile de conclure que la main-d'œuvre que les employés exercent, ils ont beaucoup de pouvoir sur le marché. Tout ceci alimente l'idée selon laquelle le marché du travail est très serré et que ce phénomène pourrait être persisté. Mais il importe de noter que dès avant la pandémie, le nombre de posts vacants tutoyait le sommet. Quand on se rappelle que nous approchons d'une période de resserrement marqué de la politique monétaire qui ne devrait avoir qu'un impact de marge sur le marché du travail, ce n'est pas nécessairement le cas. Le nombre élevé de posts vacants est attribuable au défaut d'appariement entre les compétences que recherchent les employeurs et celle que possèdent les travailleurs. Dans quelle mesure ce phénomène s'estompera-t-il? C'est-à-dire le phénomène de capacité excédentaire sur le marché du travail? Par rapport phénomène de licenciement des employés existants, la question se pose. De notre point de vue, l'équipe de gestions actives des titres à revenu fixe, nous considérons que le marché du travail est inquiétant aujourd'hui. De plus en plus d'entreprises sont sous pression à cause de la hausse des prix de reviens, et qu'il ne s'en faudrait pas de beaucoup pour que le chômage continu d'augmenter dans de nombreux secteurs et non seulement ceux sur lesquels l'inflation exerce une pression particulièrement forte. De nombreuses questions se posent donc à l'égard du marché du travail. Et je voudrais à présent vous interroger au sujet de la croissance et de l'inflation. Aux États-Unis, les chiffres de l'inflation alimentent la crainte que nous n'avons pas atteint le pique de l'inflation et que par conséquent, les marchés tiennent compte d'un nombre beaucoup plus important d'augmentation de taux d'intérêt, la fête a annoncé une augmentation de 75 points de base. Et puis, chez nous, le chiffre d'inflation parue hier nous ont rappelé que l'inflation atteinte ici également de nouveaux sommets, la banque du Canada nous avait prévenu. Cette prédiction se réalise. Donc, considérant l'inflation, le marché nourrit des inquiétudes réelles. Nous n'arrivons pas à tourner la page. Mais il y a également le volet de la croissance. Le ratio court bénéfice des indicateurs prospectifs qui ont tendance à prévenir des récessions or, les indices des ratios court bénéfice ainsi que les indices tirés des sondages d'opinion responsable des achats en Europe, en Amérique du Nord, semble préfigurer une situation plutôt défavorable. Comment le titre se comporte-t-il? Pas trop mal. L'indice Nasdaq aujourd'hui est en hausse, parce que le taux réel diminue. Le marché aujourd'hui se dit que l'inflation est toujours un problème la croissance pourrait devenir un problème réel beaucoup plus rapidement qu'on ne l'avait prévu. D'un jour à l'autre, la situation peut évoluer très rapidement et le marché peut afficher un revirement brutal. Excellent départ pour notre émission! Envoyez-nous vos questions à l'adresse du gestionnaire de portefeuille titrent à revenu fixe gestions actives à gestion d'actif Tedey. Pour nous envoyer une question, nous vous pouvez nous envoyer un courriel ou saisir votre question en dessous de l'écran. À présent, la mise à jour sur les actualités du marché. Les travailleurs syndiqués des usines bombardées au Québec ont ratifié une nouvelle convention collective de cinq ans. Qui porte sur 1800 travailleurs et inclut des augmentations de salaire de six et 8 % la première année et 3 % le deuxième troisième année. Les travailleurs ont fait grève pendant une semaine, pendant une journée la semaine dernière avant de revenir à la table de négociation. Il s'agissait des travailleurs des usines qui construisent des biréacteurs d'affaires challenger de bombardier. United Airlines annule 50 vols intérieurs aux États-Unis en partance de l'aéroport de Newark au New Jersey. Non pas en raison d'une pénurie de personnel, mais d'une limite de capacité à l'aéroport. Partout en Amérique du Nord, les voyageurs sont aux prises avec des retards, avec l'augmentation de la demande après la pandémie. La compagnie (...) de Waremme but fête se lance encore dans l'industrie de l'énergie avec un achat de 9,6 millions d'actions du pétrole occidental. Pourtant, sa participation à plus de 16 %. Ces achats ont été divulgués hier et font suite à quelque 7 milliards de dollars d'actions, d'achat d'action occidentale. Les actions sont en baisse de plus de 20 % depuis le record récent. À présent, voici l'indice principal de la bourse canadienne. En légère baisse, l'indice TSX, en raison de la pression exercée par le secteur de l'énergie. Aux États-Unis, l'indice SIP 500 aussi entre les territoires positifs et négatifs. Légère baisse à l'heure actuelle de 3 points. Vous nous posez beaucoup de questions. Commençons à y répondre. Le dollar américain fort à jouer un rôle très important jusqu'ici, le reste a-t-il? C'est possible. Le dollar américain avec une ou deux autres grandes devise comme le yen japonais est typiquement un refuge dans les périodes qui paraissent risquées. C'est dans le ce genre d'environnement que le dollar américain se porte bien ainsi que le yen japonais. Les monnaies plus si cycliques ou apparentées aux produits de base comme les dollars canadiens ont tendance à être davantage en difficulté dans une période de récession ou du moins de ralentissement considérable de la croissance. Le dollar canadien ne prend pas de valeur par rapport au dollar américain lorsque les cours des produits de basse sont compromis. Il s'agit essentiellement du risque lié à la croissance dans la mesure où celui-ci persiste. Le dollar américain devrait de devenir fort. Quel est le risque pour le billet vert? Qu'est-ce qui pourrait changer la trajectoire? Un changement dans l'opinion des marchés à l'égard du risque, ce qui pourrait se produire si l'inflation affaiblie. L'un des facteurs principaux qui alimentent la crainte du risque, c'est l'idée que l'inflation pourrait parvenir à un sommet. Si nous n'avons pas encore atteint le sommet, combien de fois la fête devra-t-elle encore augmenter? Pour lutter contre cette inflation. Si la réponse est de nombreuses fois et que ces augmentations ne donnent pas l'effet escompté, cela pourrait avoir un impact sur les perspectives de risque. Si on pense que l'action cela sera efficace que les attentes à l'égard de l'inflation reflux, cela pourrait engendrer un goût du risque plus affirmé et le dollar américain pourrait reculer. Nouvelle question de nos spectateurs. Une question que beaucoup de gens se posent. Le marché commence à tenir compte d'un nombre plus limité d'augmentation des taux. Ce que les banques centrales auront fini d'agir une fois l'automne passé? Alors actuelle, l'effort est attribuable au fait que depuis une quinzaine de jours, les indices des grandes corbeilles de produits de base semblent diminuer. Si cette tendance se poursuit, pourrait soulager la pression inflationniste qui s'exerce depuis quelque temps. L'inflation de base, c'est-à-dire l'exclusion de l'alimentation de l'énergie, semble mollir. Ou à tout le moins ne continue pas de grimper. Au même rythme, du moins. Je parle surtout ici des États-Unis. Mais l'inflation vedette, c'est-à-dire y compris l'alimentation et l'énergie, continue de flamber. Certains segments du marché des titres à revenu fixe laissa croire que le pays qui pourrait être atteint dans deux mois encore, au mois d'août ou au mois de septembre. Les investisseurs ayant pronostiqué que ces augmentations n'auront pas lieu ne sont pas conscients de ce risque. Quand il inflation, je pars de l'inflation vedette, continue effectivement d'augmenter, comment la FED réagira-t-elle? De manière encore plus dynamique. Elle pourrait donc être prématurée de commencer à établir le cours des actions en ne tenant compte d'aucune autre augmentation de tarif. Quel est votre point de vue sur les augmentations, les obligations de sociétés par rapport à celle des gouvernants? Si une récession se profile, comment les actifs risqués se comporte-t-il? Par actif et risqué, j'entends les actions, les obligations d'entreprise, bref tous les actifs qui ne sont pas émis par le gouvernement. Par des entités souveraines. Les actions ont subi une correction notable. Plus de 20 % depuis le début de l'année. C'est officiellement un marché baissier. Si on considère qu'il s'agit de cigares avant-coureurs de récession, le risque de récession déjà prise en compte dans le cours de la bourse. Est-ce que les écarts de crédit tient également compte de ces risques? Je répondrai non. Aussi bien les entreprises des obligations d'entreprises de haute qualité, que les obligations des gouvernements. Si une récession se déclare, et si elle intervient beaucoup plus tôt que prévu, les hectares de crédit des obligations d'entreprise doivent continuer d'augmenter. Mais pour en revenir à votre question précédente, qui part du principe que le marché ne tient plus compte de nouvelles augmentations d'intérêts, les attentes à l'égard des taux d'intérêt pour les obligations du gouvernement ont diminué. Même si les écarts de crédit sont plus importants que prévu, le rendement total ne change pas, puisque les taux d'intérêt sur les obligations du gouvernement diminueront. Donc, si on se base sur l'ensemble du cycle que l'on suppose une récession se profile, et que l'on suppose une préférence naturelle pour les obligations du garnement égard des obligations de sociétés, ces dernières sont attractives et tireront leur épingle du jeu quelque soit la conjoncture. Les obligations de sociétés par rapport aux obligations du gouvernement, quelqu'un nous demande: que penser du marché des titres à rendement élevé? Quand on songe aux relations historiques entre les obligations à rendement élevé de première qualité par rapport aux actions, un certain nombre d'indicateurs laisse accroire que les obligations demeurent relativement coûteuses. Il s'agit de démêler ce qui a été pris en compte dans l'établissement des cours de ces différents secteurs. Les obligations à rendement élevé de qualité semblent présenter un potentiel de sous performances plus élevés que les autres secteurs. Mais quand on songe au rendement, il est très intéressant. Songez par exemple à une obligation du gouvernement à cinq ans, 3 % aux États-Unis. Or, les écarts pour les obligations à rendement élevé sont autour de 500 ou 550. Ça fait un rendement de huit et demis pour cent. Comme je l'ai dit, les écarts de crédit devraient continuer d'augmenter, nous pourrions voir davantage de sous performances des obligations rendement élevées, mais l'augmentation des taux d'intérêt a réduit la sensibilité aux taux d'intérêt de tous les titres à revenu fixe. S'il y avait davantage augmentation, de rendement, ne serait pas aussi douloureuse qu'elle ont été jusqu'ici. Ce qui signifie que même si les obligations rendement élevées continuent leurs sous performances, chez une bonne partie de ce rendement de huit ou huit et demis pour cent devrait plus que compenser toute perte supplémentaire. Comme toujours, faites vos propres recherches avant de prendre les décisions de placement. Nous reviendrons à vos questions dans un instant. Je vous rappelle que vous pouvez communiquer avec nous en tout temps pour ou nous envoyer un courriel à Money Talk. Souhaitez-vous faire des recherches sur le revenu fixe? Courtier Web nous offre des outils. La responsable de la formation chez placement direct TD nous explique. - Il s'agit de l'augmentation des taux d'intérêt typiquement, ce qui se produit dans une telle conjoncture, c'est que les produits à revenu fixe sont en première ligne. Car l'augmentation des taux d'intérêt entraîne une hausse des rendements d'obligations. Les investisseurs peuvent faire leurs recherches eux-mêmes, pour ceux qui n'ont pas le temps de le faire, ou qui n'ont pas suffisamment de fonds pour diversifier leur portefeuille, il pourrait envisager des fonds d'investissement. Comment trouver ces fonds d'investissement? Rendez-vous sur courtier Web, cliquez sur recherche. Nous allons utiliser un outil très commode sur la rubrique des filtres. Nous allons filtrer les fonds négociés en bourse sous les fonds communs de placement dans l'objectif consiste à détenir des titres à revenu fixe. Je compte je clic sur le fonds négocié en bourse je vais créer un nouveau filtre. Qui tiendra compte des catégories de fonds qui se concentre sur le titre négocié en bourse. Nous voyons, disons que nous voulons nous concentrer sur le secteur des (... ) au Canada. Je vais rechercher des fonds qui ont pour objectif de détenir des titres à revenu fixe canadien. Alexis vient de nous parler de la différence entre les obligations de sociétés et les obligations du gouvernement. On peut aller encore plus loin. Concentrons-nous pour l'instant sur le titre canadien à revenu fixe. Il y a 49 résultats. Cliquant sur visualiser, cette page proposée à l'investisseur, toute une gamme de fonds négociés en bourse de fonds communs de placement qui investisse de façon prédominante dans le titre revenu risqué canadien qui pourrait aider les villes l'investisseur diversifiait son portefeuille. Merci beaucoup. Et je voudrais voir le rendement historique de ces investissements, comment puis-je le comparer facilement? Bon. J'ai 49 fonds négociés en bourse, et je ne sais pas nécessairement comment ces fonds se sont comportés les uns par rapport aux autres. Je peux comparer jusqu'à cinq fonds. Je vais compte sélectionner les cinq premiers. Je vais ensuite cliquer sur le bouton comparer, ainsi, je peux consulter un sommaire pour chaque fonds. Le ratio des frais de gestion pour chaque fonds, le rendement de distribution, les investisseurs qui s'intéressent aux titres à revenu fixe peuvent chercher et en tirer un revenu. L'investisseur peut devenir davantage d'informations en cliquant sur le graphique de rendement. Il est possible de visualiser la courbe de rendement de ces fonds sur une base comparative, sur une période donnée. Que vous pouvez choisir, et enfin, si je veux comparer l'environnement des titres à revenu fixe à la bourse, je peux comparer le comportement de ces fonds par exemple un indice spécifique. En l'occurrence, nous allons choisir un indice canadien comparer le rendement de ces fonds à l'indice TSX 60. L'investisseur peut donc comparer le comportement de chacun de ses cinq fonds à celui de l'indice TSX X 60. Très intéressant comme d'habitude. Merci! Spécialiste de la formation chez placement direct TD. Visitez courtier Web où vous trouverez encore plus de ressources, y compris des webinaire. Vous pouvez communiquer avec nous en nous envoyant un courriel à (. .. ) ou en saisissant votre question dans la boîte située sous votre écran. Nous sommes en attente de vos questions. Auquel nos invités pourraient répondre en direct. Encore une fois, nous sommes en attente de vos questions! Nous revoici en compagnie d'Alex Horowitz, gestionnaire de portefeuille des titres à revenu fixe. Une question qui nous est posée souvent, que penser des CPG? Il ne fait aucun doute que le taux d'intérêt sont très attractifs par comparaison à ce qu'ils étaient il y a un an ou un CPG à 5,30 rapportaient 1 % ou même moins. Aujourd'hui, c'est plus de 4 %. L'occasion semble très intéressante. Or, dans cet environnement, un environnement de stagflation, il faut réagir à la volatilité à l'incertitude qui règne sur les marchés financiers. En outre, l'économie réelle présente 1; élevé d'incertitude au niveau de la croissance, au niveau du chômage. La liquidité représente donc un besoin important or, la liquidité n'est pas une caractéristique du CPG. Les taux sont très intéressants, mais en revanche, il faut bloquer les fonds. C'est donc peu attractif sur un tel marché. Mais il ne fait aucun doute que les rendements sont attractifs. C'est pourquoi on nous pose régulièrement des questions sur le CPG. Merci d'y avoir répondu. Les mesures prises par les banques centrales sont également d'actualité. La banque du Canada, la fête, les banques centrales ont annoncé des mesures particulièrement énergiques. Alors, il est question des conséquences et des risques engendrés par ces mesures. Parlons particulièrement de la Fed. Et aussi de la base bonne du Canada. Banque du Canada. Après les chiffres de l'inflation très important, affiché hier, il faut d'ailleurs prendre avec un grain de sel, puisque la corbeille de l'inflation a connu certains changements avec l'introduction des voitures d'occasion et des changements de la pondération, notamment de l'énergie. Il est difficile de comparer le chiffre du mois dernier à celui qui vient d'être annoncé. Quoi qu'il en soit, l'inflation évolue dans la direction que la banque du Canada cherche à éviter, c'est-à-dire à la hausse. Cette hausse pourrait se poursuivre au cours des mois à venir. Il est donc logique de nous attendre à une hausse des taux de 75 points de base à la prochaine réunion de la banque du Canada au mois de juillet. Et par la suite, en fonction de l'évolution, il se pourrait qu'il y ait davantage d'augmentation peut-être de 50. . On permet qu'on prévoit que le taux directeur dépasse les 3 % d'ici la fin de l'année. 75 points de base, ces assimilées par la psychologie du marché, maintenant, certains pronostics parlent de 100 points de base à la foi. Quelle en est la probabilité? Je ne dirais pas que c'est impossible, j'ai pas rôle, dans son témoignage hier a déclaré que l'éventualité d'une augmentation de 100 points de base n'était pas exclue. Je peux vous dire que j'ai dû réviser mes attentes à l'égard des mesures de resserrement prises par les banques centrales très rapidement. Au début l'analyse de l'année, c'était avant l'invasion de l'Ukraine par la Russie, prévoyait que la banque du Canada réaliserait deux ou trois 10 augmentations de 25 points de base et maintenant on envisage une augmentation de 100 points de base à la fois. C'est dans le contexte de la stagflation. Ce qui peut être considéré comme nécessaire, c'est-à-dire les mesures de resserrement rapide. S'agissant de notre économie au Canada, nous savons que l'immobilier, logement, ont joué un rôle très important depuis longtemps. Les chiffres de l'association canadienne de l'immobilier annonce un refroidissement. Quels sont les attentes à l'égard de l'immobilier? Ce n'est pas très positif. Cela me fait de la peine en tant que propriétaire d'une maison. Titulaire d'un prêt hypothécaire que je dois rembourser. La valeur nette de ma maison diminue. C'est un environnement difficile. Au Canada en particulier, ce serait un facteur important dans ce cycle d'augmentation de taux. Si l'on songe aux indicateurs d'abord d'habileté, que l'on soit locataire ou acheteur, les indicateurs sont parmi les pires dans le monde développé. Quant au niveau d'endettement des ménage Canada, encore une fois, nous avons certains des plus élevées dans le monde développé. Nous devons donc imaginer que si la banque du Canada envisagé augmentation de près de 100 points de base, cela aura un impact considérable sur le marché du logement et par conséquent, sur l'économie réelle. Sur la valeur nette de beaucoup de gens et cela pourrait engendrer un ralentissement de la croissance beaucoup plus rapide que prévu. Il s'agit d'un véritable point de bascule. La banque du Canada veut juguler l'inflation d'une part, mais d'autre part, doit tenir compte de taux d'endettement et notamment hypothécaire. Exactement. Compte tenu du problème de la portabilité que je vais l'évoquer, la seule façon dont les gens ont pu accéder à la propriété immobilière a été de 100 DT. De façon beaucoup plus rapide que le revenu augmenté. Cela va créer des problèmes surtout si le chômage commence à augmenter. Avec un marché du travail tellement serré, il est difficile de prévoir qu'il s'améliore. Nous parlons de la banque du Canada. C'est très important pour l'économie. De notre pays. Le monde entier parle de la Fed et maintenant j'entends parler de la banque centrale du Japon, de la Suisse. Des banques auquel on ne porte pas souvent beaucoup d'attention. Devrions-nous nous inquiéter? Bien sûr. Je dirais que ce qui a changé la donne cette année, c'est que la banque du Japon est toujours en mode d'assouplissement, elle continue d'acheter des obligations du gouvernement, elle maintient toujours les taux d'intérêt à des niveaux très bas. La banque du Japon a toujours une cible de contrôle de la cour de rendement avec un objectif de 0 % à 10 ans, à trois et trois nuits pour cent chez nous. La banque du Japon n'a pas amorcé son virage et n'a pas renié sa politique d'ultra assouplissement au plan monétaire. Mais c'était la banque centrale européenne qui a réellement changé la donne. Cette année, car l'inflation sur le continent, en raison de facteurs qui sont surtout externes à la zone euro, tout particulièrement l'invasion russe de l'Ukraine, mais encore des problèmes de chaîne d'approvisionnement mondial, les pressions inflationnistes à l'échelle planétaire, l'Europe a importé beaucoup d'inflation en maintenant une posture très accommodante, en augmentant pas le taux. Plutôt à la banque centrale importée beaucoup d'inflation avec un assouplissement de la monnaie à la clé. La banque centrale européenne a averti qu'elle augmenterait le taux d'intérêt au mois de juillet, peut-être de 25 points de base seulement, mais on nous a déjà averti qu'elle va envisager des augmentations plus importantes, peut-être pas à son point de base, ce que la banque du Canada et la Fed imagine peut-être, mais on évolue vers une normalisation de la politique monétaire. Ceci a un effet sur tous les marchés mondiaux des capitaux, lesquels sont comme le nom l'indique, d'envergure planétaire. Ils sont donc interreliés. Beaucoup plus que la dernière époque de stagflation, il y a des dizaines d'années. Les décisions prises par une banque centrale auront un impact au moins psychologique voir même au niveau des flux sur d'autres marchés. Lorsque la banque du Japon finit par changer de posture, si jamais on n'en arrive là, le taux d'intérêt dans le monde entier vont encore renforcer leur augmentation. Continuez de poser vos questions à Alex Horowitz, gestionnaire de portefeuille de titres chez gestion d'actif Tedey. Vous pouvez communiquer avec nous en tout temps. Si vous avez une question sur les placements ou les facteurs qui affectent le marché, nos invités sont à l'écoute. Envoyez-nous un courriel en tout temps à (. .. ) ou saisissez votre question dans la case située sous votre écran sur courtier Web. Nous verrons si l'un de nos invités peut vous nous répondre ici en direct à parlons argent en direct. Nous avons parlé du dollar américain fort, valeur mobilière TD a publié un rapport sur ses premiers actifs sur le taux de change ici la fin de l'année. Voici Anthony. Valeur mobilière TD continue de prévoir que le dollar américain sera résilié au début de l'été avec plusieurs facteurs en jeu. Tout d'abord l'incertitude à l'égard d'un resserrement monétaire excessif par la Fed, une perspective de croissance de la Chine ainsi que les conséquences générales du conflit Russo incluent ukrainien sur l'Europe. Autant de facteurs qui renforcent le rôle de refuge du dollar américain contre la stagnation. En revanche, le moi qui s'en suivront pose plusieurs risques de recul pour le billet vert. Le taux de la Fed pourrait commencer à modifier certains facteurs clés pour le dollar américain au niveau mondial. Valeur mobilière TD note que les attentes à l'égard de la croissance aux États-Unis ont reflué plus rapidement qu'ailleurs et que selon les attentes de consensus, la Chine et la zone euro devrait afficher une croissance plus rapide que les États-Unis à la fin de l'année 2023. Voici donc que les facteurs qui mènent valeur mobilière TD à cette conclusion relative à l'évolution du dollar américain. Les questions clés qui se posent souvent à l'égard du dollar américain, sont les suivants: tout d'abord, l'économie mondiale ralentit, est-ce que la Chine et la zone euro peuvent se découpler des États-Unis? Deuxième question: est-ce que la Fed devra déclencher un atterrissage brutal pour endiguer l'inflation? Ces questions constituent un cadre pour les perspectives du dollar américain. Merci Anthony au colis. Je vous rappelle que valeur mobilière TD marque de commerce de la Banque Toronto-Dominion. Un nouveau coup d'œil sur le marché. Commençons par l'indice composite TSX en territoire négatif aujourd'hui en raison notamment des pressions qui s'exercent sur le secteur énergétique des produits de base en baisse de 296 points de base à cette heure-ci. Les actions de M par ailleurs hier nous avancions que le bénéfice trimestriel avait déçu les analystes mais que le titre remonte aujourd'hui d'environ 6 % à 39,48 de l'action. Aux États-Unis, l'indice S&P 500 et (. .. ) aujourd'hui c'est instantané de l'économie américaine est en baisse de six points de base. Et aussi entre le positif et négatif. L'indice Nasdaq, puisque le titre de technologie se porte mieux, des deux côtés de la frontière, l'indice Nasdaq est en hausse de 71 points de base. (.. .) Met en garde contre une baisse des bénéfices en raison notamment de la hausse du dollar américain lorsque les entreprises rapatrient des bénéfices de l'étranger. Microsoft nous avait averti, accentue emboîte le pas, en baisse un peu plus d'un pour cent. Nous voici avec Alex Horowitz, gestionnaire de portefeuille chez placements gestion d'actif Tedey. Une question au sujet des marchés obligataires en général. Nous avons été conditionnés à envisager le portefeuille équilibré avec des actions, les obligations. Cette année, les actions baissées, les obligations aussi. Quels sont les catalyseurs qui ont un impact sur l'évolution des obligations notamment? Quand vous dîtes les obligations, ce ne sont pas les rendements mais il y a une relation inverse. C'est cela. Il faut bien définir notre question. Compte tenu des changements brutaux de politique monétaire, non selon Canada, aux États-Unis mais dans le monde entier, car nous devons surveiller l'action de toutes les banques centrales, les marchés obligataires ont été mis à l'épreuve. L'ajustement entraîné par l'augmentation des rendements des obligations et donc la baisse des prix a été importante. Ses semblables à ceux à quoi on se serait attendu pendant les périodes stagflation antérieures. Sachant que l'environnement d'aujourd'hui très différent de ce qu'ils étaient il y a 40 ans, pensons-nous que les rendements obligataires où le prix des obligations vont diminuer beaucoup et que les rendements de l'obligation vont augmenter considérablement partir d'ici? De manière semblable à ce que nous avons connu dans les années 70 ou le taux d'intérêt augmente augmenter plus de 10 %? À l'heure actuelle, ce n'est pas ce que nous prévoyons. Les niveaux d'endettement sont beaucoup plus élevés, le marché sont plus prompts à répercuter l'évolution des taux d'intérêt. Surtout dans le segment des titres axés sur la croissance du marché financier. Il y a 1; de sensibilité beaucoup plus élevée. Quand on considère le fait limitatif des mesures prises jusqu'ici, cela laisserait à croire que les titres axés sur la croissance devraient réagir beaucoup plus rapidement. Ce qui nous amène à penser que nous sommes beaucoup plus proches de la fin du cycle que du début. Les occasions de toucher et d'encaisser les revenus qui est implicitement incorporé dans le cours des titres à revenu fixe devrait être plus aisé. Quel est le risque? Le risque serait qu'un choc supplémentaire, par exemple une aggravation de la situation en Ukraine, une flambée des cours de produits de base beaucoup plus brutale que pendant le premier trimestre de cette année, ce qui pourrait faire subir des pressions encore plus fortes sur l'inflation déjà très élevée. C'est un risque, mais c'est un résultat binaire. Alexandre d'une modélisation possible. Les rendements sont très favorables face, très élevée face au ralentissement des attentes à l'égard de la croissance. Le prix obligations devrait donc demeurer stable voir même augmenter. C'est notre scénario de base. Une question qui porte sur la politique! Les élections de mi mandat aux États-Unis. Quelle pourrait être leur impact sur le marché obligataire? À ce jour, il y a eu une série de mesures de relance budgétaire prise à l'origine par l'administration américaine de Donald Trump et puis depuis lors par l'administration Joe Biden en 2021. Les dépenses de pouvoirs publics ont alimenté une relance très rapide alimentée par la consommation aux États-Unis. Les attentes à l'égard de nouveau (.. .) de mesures de dépenses sont élevées. Mais en revanche, on prévoit que les élections de mi mandats vont permettre aux républicains de conquérir la chambre et le Sénat ce qui empêcherait les démocrates et en particulier la Maison-Blanche de faire adopter de nouvelles mesures qui auraient un effet inflationniste. Par conséquent, il est envisageable que ceci est pour effet de réduire les attentes à l'égard de l'inflation, lesquels jouent un rôle très important dans l'inflation elle-même ou au moins dans l'inflation que cible la Fed. Cette dernière s'intéresse à l'inflation réelle aujourd'hui, mais encore, aux attentes de différents acteurs économiques, aussi bien les marchés financiers que les ménages et les entreprises nourrissent à l'égard de l'inflation plus long terme. Dans la mesure où l'administration américaine est paralysée dans son action, la perspective que le gouvernement contribue négativement l'inflation diminue. Alex, nous n'avons plus le temps de répondre à des questions. Quelques réflexions pour conclure? L'incertitude continuera de régner. La volatilité demeurera élever selon nous temps que l'inflation demeure largement au-delà des cibles des banques centrales, lesquels sont en moyenne de 2 %. Si tel est le cas, nous continuerons de basculer du jour au lendemain les inquiétudes des investisseurs passant de la croissance inflation. Il est important, à une époque comme celle-ci, le fragile, de ne pas se cramponner à une position, même si tout le monde affirme que vous avez tort. C'est la nature de ce genre de contexte de stagflation qui alimente la volatilité que nous avons constatée jusqu'ici cette année. Même si l'évolution des cours ne se prend pas aussi douloureuse, la volatilité demeurera élever jusqu'à ce que nous réglions le problème de l'inflation. Quelle sensation agréable, et à la prochaine! - Merci! Avec notre gestionnaire de portefeuille revenu fixe gestion d'actif Tedey. Je vous rappelle les invités qui vous attendent. Demain vendredi, Monica et Guillaume va nous parler des titres de télécommunications, ensuite lundi, 27 juin, (.. .) a va parler de l'investissement EMG. Et mardi 28 juin, on va vous parler des titres à revenu fixe. Encore une fois, merci et à demain!