Cette année, le thème de la Journée internationale des femmes est Briser les préjugés. Un nouveau sondage mené par Gestion de patrimoine TD montre que de nombreuses présomptions sur les femmes et leurs finances peuvent être renversées. Kim Parlee et Ingrid Macintosh, vice-présidente, Gestion de patrimoine TD et dirigeante responsable de l’initiative Gestion de patrimoine TD pour les femmes, discutent des façons dont les femmes peuvent mieux contrôler leur avenir financier.
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[MUSIQUE]
La Journée internationale des femmes approche à grands pas. Et le thème de cette année est Briser les préjugés. Un tout nouveau sondage de la TD montre qu’il y a en effet beaucoup de préjugés et de mythes au sujet des femmes et de leurs finances qui doivent être brisés, et qui explique tout ce que nous devons faire pour aider à rééquilibrer les choses sur le plan financier.
Ingrid Macintosh est vice-présidente de Gestion de patrimoine TD et également dirigeante responsable de l’initiative Gestion de patrimoine TD pour les femmes. Elle se joint à nous maintenant. Ingrid, c’est toujours un plaisir de vous compter parmi nous. Passons directement au sondage, car certains de ces résultats ne m’ont pas plu et ne m’ont pas rendu très heureuse. Mais je sais que vous avez de bons chiffres. La première question était donc de savoir si les femmes étaient moins susceptibles d’avoir un objectif ou un plan financier que les hommes. Quels sont les résultats pour cette question-là?
Oui, eh bien, disons que c’est une question assez ouverte, Kim. Le sondage suggère, sans surprise, que moins de femmes affirment avoir un objectif ou un plan financier. 75 % contre 83 % pour les hommes. En fait, c’est une bonne nouvelle, n’est-ce pas? Beaucoup de gens disent avoir un objectif ou un plan.
Mais quand on examine un peu plus en profondeur certaines de nos recherches, on constate avec stupeur que 60 % des femmes de la tranche d’âge de 45 à 55 ans n’ont pas de plan financier écrit. Et c’est une période de préretraite assez importante. Donc, si vous n’avez pas de plan documenté, vous ne vous préparez pas vraiment à connaître beaucoup de succès à l’avenir. Ce point désavantage encore une fois les femmes. Et ce chiffre est probablement 50 % plus élevé que pour les hommes.
Alors que peut-on faire par rapport à ça?
Eh bien, c’est le temps d’agir, n’est-ce pas? Il faut s’adresser à un planificateur ou à un conseiller. Nous savons que trois quarts des femmes disent vouloir en savoir plus. Elles veulent en faire plus. Elles veulent s’impliquer davantage. Mais nous savons aussi que les études montrent qu’un conseiller est deux fois plus susceptible de communiquer avec un homme. Alors les femmes, on doit s’engager. On doit prendre part à cette conversation.
D’accord, et maintenant la deuxième question du sondage. C’est à propos des femmes qui sont beaucoup moins susceptibles de négocier des actions. Je pense qu’on a vu que, si on leur pose la question, elles disent négocier ou investir actuellement sur le marché boursier. Hommes, 64 %, femmes, 43 %.
INGRID MACINTOSH : Oui, 50 % plus d’hommes disent faire ça. Ça nous montre donc une ou deux choses. Ça nous dit que plus d’hommes investissent en général. Ou peut-être que les femmes investissent et épargnent, mais dans des placements à très faible risque, comme les CPG. À long terme, ça ne les aidera pas à atteindre leurs objectifs financiers.
On a posé une autre question. On a demandé aux gens s’ils étaient plus susceptibles ou plus à l’aise de faire eux-mêmes des opérations. On a donc poussé la question un peu plus loin. Et ici, presque deux fois plus d’hommes ont dit qu’ils étaient plus à l’aise avec l’investissement autonome. Ça nous démontre autre chose, et c’est une question de confiance, n’est-ce pas?
Les femmes disent-elles qu’elles sont moins informées et moins confiantes lorsqu’il s’agit de s’engager et de négocier sur une plateforme d’investissement autonome? La vérité, c’est que les femmes sont éduquées. Elles devraient se sentir en confiance. Si on regarde le continuum d’éducation, plus de la moitié des diplômes universitaires de premier cycle et de maîtrise au Canada sont détenus par des femmes. On peut donc certainement le faire. On ne s’est tout simplement pas engagées dans cette voie-là. Je pense qu’il y a autre chose à considérer. Et cela montre encore une fois que les femmes doivent s’engager.
Alors, comment cela peut-il se produire? Quand vous parlez de toutes ces femmes très instruites, comment est-ce que ça peut se produire?
Je ne vous dis pas de commencer à négocier des actions si vous n’êtes pas à l’aise de le faire. Mais le monde de la négociation en ligne ou de l’investissement autonome est tellement vaste maintenant. Il y a tellement de solutions d’investissement autonome déjà toutes prêtes pour les investisseurs. Et il y a aussi une foule d’informations qui circulent, de la formation sur les plateformes autonomes, beaucoup de façons dont les femmes peuvent acquérir des connaissances. Et, bien sûr, la connaissance, c’est synonyme de confiance. Et la confiance, c’est l’engagement. Et vous êtes alors dans la course.
Troisième question, et celle-ci je la trouve fascinante : Qui prend les décisions financières dans le ménage? La question était de savoir qui prend les décisions financières sur les placements dans le ménage. La réponse est que les femmes disent souvent qu’elles partagent la prise de décisions. Les hommes indiquent qu’ils sont la seule personne à prendre les décisions au sein du ménage. J’aimerais bien savoir s’il s’agit du même ménage. Mais bon...
INGRID MACINTOSH : C’est ce à quoi je pensais.
KIM PARLEE : Oui, moi aussi.
INGRID MACINTOSH : Oui, je suis une mordue des données, et ces chiffres ne concordent tout simplement pas. Les gens n’en parlent tout simplement pas. Et on se demande souvent aussi, quand on pose une question comme celle-là, quand les gens réfléchissent aux décisions financières ou aux décisions de placement, s’ils font référence à qui s’occupe des paiements de factures courantes. Ou est-ce qu’ils se demandent qui prend les décisions concernant les investissements importants? Ou parlent-ils vraiment de cette conversation sur l’épargne et les placements et de la façon dont ils planifient collectivement leur avenir?
Donc, oui, les hommes disent qu’ils ont plus de contrôle par rapport à ça. Mais je dois dire que les chiffres s’améliorent. Des études longitudinales se sont penchées sur cette question. Et par rapport à il y a cinq ans, 30 % plus de femmes mariées prennent des décisions financières. C’est une excellente nouvelle.
Ce point me préoccupe un peu parce que, encore une fois, ça démontre que les femmes participent à la conversation au sein de leur famille. Le vent tourne. Plus du tiers des femmes au Canada sont maintenant le principal soutien économique de leur ménage. C’est excellent. Il est donc certain qu’elles devraient avoir une plus grande voix dans ces décisions.
Mais nous savons aussi qu’à un moment donné, 90 % des femmes devront être les seules personnes responsables des décisions financières pour ce qui est d’investir pour leur avenir financier.
Que ce soit aujourd’hui ou demain, les femmes doivent réintégrer cette conversation.
Et on parle de briser les préjugés.
Encore une fois, engagez-vous, participez à la conversation et renforcez votre rôle d’intervenante dans la prise de décisions financières de votre ménage.
Oui, il suffit de commencer. Ça fait partie du processus. À l’avant-dernière question, on parle des femmes qui sont plus préoccupées par l’inflation et le marché ces jours-ci. On a demandé aux gens, en ce qui a trait à leurs finances personnelles, à quel point ils étaient préoccupés. Les femmes, à 70 %, sont plus préoccupées par les fluctuations du marché. Les hommes le sont à 64 %. Le coût de la vie. Les femmes, à 87 %. Elles semblent plus préoccupées. Les hommes, à 81 %. Ce qu’on voit ici, c’est qu’elles ne le font peut-être pas, mais c’est une priorité.
INGRID MACINTOSH : C’est une priorité pour les hommes et les femmes, sans surprise, compte tenu de la période extraordinaire que nous vivons. Mais pourquoi les femmes sont-elles plus préoccupées? Il ne s’agit pas seulement du fait que les femmes sont émotives, n’est-ce pas? On sait que... et vous et moi en avons parlé. Les femmes peuvent-elles avoir été touchées de façon disproportionnée par la pandémie?
Elles ont subi le plus grand nombre de pertes d’emplois. Elles ont subi de lourdes pertes financières. Et quand elles travaillaient, si elles travaillaient encore, elles le faisaient de la maison. Elles travaillaient probablement beaucoup plus de la maison, et elles essayaient en même temps de s’occuper des enfants et de gérer un ménage.
Il y a tellement de choses qui, selon moi, accentuent la sensibilité des femmes et nous rendent un peu plus vulnérables. Alors qu’est-ce qu’on pourrait dire aux femmes à ce sujet? Que ce soit une pandémie, une crise européenne ou une volatilité massive des marchés, la vie va toujours nous mettre des bâtons dans les roues.
Alors ce concept de planification, de conscience, d’engagement et de confiance, d’avoir des fonds d’urgence, un plan financier qui vous permet de réfléchir à la façon dont vous allez gérer la situation, c’est d’une importance capitale pour la façon dont on va traverser la tempête, hommes et femmes.
Le mot de la fin. J’allais juste vous dire que vous nous avez présenté beaucoup d’excellents points. Donc, que faut-il faire pour vraiment rééquilibrer la situation?
Je pense qu’à l’occasion de la Journée internationale des femmes, il y a toujours cette conversation sur le long chemin qu’il reste à faire. Mais soyons optimistes. Nous avons fait des pas de géant vers l’égalité, en particulier au cours de la dernière décennie en ce qui a trait à l’éducation, au potentiel de revenu, et ainsi de suite. Mais nous devons tout de même remettre en question ces mythes de longue date sur les femmes et l’argent. Et nous, les femmes, nous devons jouer un rôle important à cet égard.
Ça fait partie de notre ménage. On doit s’engager. Qu’il s’agisse d’éducation ou de collaboration avec un conseiller, nous devons rehausser notre propre confiance. En fin de compte, nous devons prendre en main notre propre avenir. C’est donc mon message à toutes les femmes pour le thème de cette Journée internationale des femmes, Briser les préjugés. Il n’en tient qu’à nous.
Ingrid, merci.
Merci, Kim.
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La Journée internationale des femmes approche à grands pas. Et le thème de cette année est Briser les préjugés. Un tout nouveau sondage de la TD montre qu’il y a en effet beaucoup de préjugés et de mythes au sujet des femmes et de leurs finances qui doivent être brisés, et qui explique tout ce que nous devons faire pour aider à rééquilibrer les choses sur le plan financier.
Ingrid Macintosh est vice-présidente de Gestion de patrimoine TD et également dirigeante responsable de l’initiative Gestion de patrimoine TD pour les femmes. Elle se joint à nous maintenant. Ingrid, c’est toujours un plaisir de vous compter parmi nous. Passons directement au sondage, car certains de ces résultats ne m’ont pas plu et ne m’ont pas rendu très heureuse. Mais je sais que vous avez de bons chiffres. La première question était donc de savoir si les femmes étaient moins susceptibles d’avoir un objectif ou un plan financier que les hommes. Quels sont les résultats pour cette question-là?
Oui, eh bien, disons que c’est une question assez ouverte, Kim. Le sondage suggère, sans surprise, que moins de femmes affirment avoir un objectif ou un plan financier. 75 % contre 83 % pour les hommes. En fait, c’est une bonne nouvelle, n’est-ce pas? Beaucoup de gens disent avoir un objectif ou un plan.
Mais quand on examine un peu plus en profondeur certaines de nos recherches, on constate avec stupeur que 60 % des femmes de la tranche d’âge de 45 à 55 ans n’ont pas de plan financier écrit. Et c’est une période de préretraite assez importante. Donc, si vous n’avez pas de plan documenté, vous ne vous préparez pas vraiment à connaître beaucoup de succès à l’avenir. Ce point désavantage encore une fois les femmes. Et ce chiffre est probablement 50 % plus élevé que pour les hommes.
Alors que peut-on faire par rapport à ça?
Eh bien, c’est le temps d’agir, n’est-ce pas? Il faut s’adresser à un planificateur ou à un conseiller. Nous savons que trois quarts des femmes disent vouloir en savoir plus. Elles veulent en faire plus. Elles veulent s’impliquer davantage. Mais nous savons aussi que les études montrent qu’un conseiller est deux fois plus susceptible de communiquer avec un homme. Alors les femmes, on doit s’engager. On doit prendre part à cette conversation.
D’accord, et maintenant la deuxième question du sondage. C’est à propos des femmes qui sont beaucoup moins susceptibles de négocier des actions. Je pense qu’on a vu que, si on leur pose la question, elles disent négocier ou investir actuellement sur le marché boursier. Hommes, 64 %, femmes, 43 %.
INGRID MACINTOSH : Oui, 50 % plus d’hommes disent faire ça. Ça nous montre donc une ou deux choses. Ça nous dit que plus d’hommes investissent en général. Ou peut-être que les femmes investissent et épargnent, mais dans des placements à très faible risque, comme les CPG. À long terme, ça ne les aidera pas à atteindre leurs objectifs financiers.
On a posé une autre question. On a demandé aux gens s’ils étaient plus susceptibles ou plus à l’aise de faire eux-mêmes des opérations. On a donc poussé la question un peu plus loin. Et ici, presque deux fois plus d’hommes ont dit qu’ils étaient plus à l’aise avec l’investissement autonome. Ça nous démontre autre chose, et c’est une question de confiance, n’est-ce pas?
Les femmes disent-elles qu’elles sont moins informées et moins confiantes lorsqu’il s’agit de s’engager et de négocier sur une plateforme d’investissement autonome? La vérité, c’est que les femmes sont éduquées. Elles devraient se sentir en confiance. Si on regarde le continuum d’éducation, plus de la moitié des diplômes universitaires de premier cycle et de maîtrise au Canada sont détenus par des femmes. On peut donc certainement le faire. On ne s’est tout simplement pas engagées dans cette voie-là. Je pense qu’il y a autre chose à considérer. Et cela montre encore une fois que les femmes doivent s’engager.
Alors, comment cela peut-il se produire? Quand vous parlez de toutes ces femmes très instruites, comment est-ce que ça peut se produire?
Je ne vous dis pas de commencer à négocier des actions si vous n’êtes pas à l’aise de le faire. Mais le monde de la négociation en ligne ou de l’investissement autonome est tellement vaste maintenant. Il y a tellement de solutions d’investissement autonome déjà toutes prêtes pour les investisseurs. Et il y a aussi une foule d’informations qui circulent, de la formation sur les plateformes autonomes, beaucoup de façons dont les femmes peuvent acquérir des connaissances. Et, bien sûr, la connaissance, c’est synonyme de confiance. Et la confiance, c’est l’engagement. Et vous êtes alors dans la course.
Troisième question, et celle-ci je la trouve fascinante : Qui prend les décisions financières dans le ménage? La question était de savoir qui prend les décisions financières sur les placements dans le ménage. La réponse est que les femmes disent souvent qu’elles partagent la prise de décisions. Les hommes indiquent qu’ils sont la seule personne à prendre les décisions au sein du ménage. J’aimerais bien savoir s’il s’agit du même ménage. Mais bon...
INGRID MACINTOSH : C’est ce à quoi je pensais.
KIM PARLEE : Oui, moi aussi.
INGRID MACINTOSH : Oui, je suis une mordue des données, et ces chiffres ne concordent tout simplement pas. Les gens n’en parlent tout simplement pas. Et on se demande souvent aussi, quand on pose une question comme celle-là, quand les gens réfléchissent aux décisions financières ou aux décisions de placement, s’ils font référence à qui s’occupe des paiements de factures courantes. Ou est-ce qu’ils se demandent qui prend les décisions concernant les investissements importants? Ou parlent-ils vraiment de cette conversation sur l’épargne et les placements et de la façon dont ils planifient collectivement leur avenir?
Donc, oui, les hommes disent qu’ils ont plus de contrôle par rapport à ça. Mais je dois dire que les chiffres s’améliorent. Des études longitudinales se sont penchées sur cette question. Et par rapport à il y a cinq ans, 30 % plus de femmes mariées prennent des décisions financières. C’est une excellente nouvelle.
Ce point me préoccupe un peu parce que, encore une fois, ça démontre que les femmes participent à la conversation au sein de leur famille. Le vent tourne. Plus du tiers des femmes au Canada sont maintenant le principal soutien économique de leur ménage. C’est excellent. Il est donc certain qu’elles devraient avoir une plus grande voix dans ces décisions.
Mais nous savons aussi qu’à un moment donné, 90 % des femmes devront être les seules personnes responsables des décisions financières pour ce qui est d’investir pour leur avenir financier.
Que ce soit aujourd’hui ou demain, les femmes doivent réintégrer cette conversation.
Et on parle de briser les préjugés.
Encore une fois, engagez-vous, participez à la conversation et renforcez votre rôle d’intervenante dans la prise de décisions financières de votre ménage.
Oui, il suffit de commencer. Ça fait partie du processus. À l’avant-dernière question, on parle des femmes qui sont plus préoccupées par l’inflation et le marché ces jours-ci. On a demandé aux gens, en ce qui a trait à leurs finances personnelles, à quel point ils étaient préoccupés. Les femmes, à 70 %, sont plus préoccupées par les fluctuations du marché. Les hommes le sont à 64 %. Le coût de la vie. Les femmes, à 87 %. Elles semblent plus préoccupées. Les hommes, à 81 %. Ce qu’on voit ici, c’est qu’elles ne le font peut-être pas, mais c’est une priorité.
INGRID MACINTOSH : C’est une priorité pour les hommes et les femmes, sans surprise, compte tenu de la période extraordinaire que nous vivons. Mais pourquoi les femmes sont-elles plus préoccupées? Il ne s’agit pas seulement du fait que les femmes sont émotives, n’est-ce pas? On sait que... et vous et moi en avons parlé. Les femmes peuvent-elles avoir été touchées de façon disproportionnée par la pandémie?
Elles ont subi le plus grand nombre de pertes d’emplois. Elles ont subi de lourdes pertes financières. Et quand elles travaillaient, si elles travaillaient encore, elles le faisaient de la maison. Elles travaillaient probablement beaucoup plus de la maison, et elles essayaient en même temps de s’occuper des enfants et de gérer un ménage.
Il y a tellement de choses qui, selon moi, accentuent la sensibilité des femmes et nous rendent un peu plus vulnérables. Alors qu’est-ce qu’on pourrait dire aux femmes à ce sujet? Que ce soit une pandémie, une crise européenne ou une volatilité massive des marchés, la vie va toujours nous mettre des bâtons dans les roues.
Alors ce concept de planification, de conscience, d’engagement et de confiance, d’avoir des fonds d’urgence, un plan financier qui vous permet de réfléchir à la façon dont vous allez gérer la situation, c’est d’une importance capitale pour la façon dont on va traverser la tempête, hommes et femmes.
Le mot de la fin. J’allais juste vous dire que vous nous avez présenté beaucoup d’excellents points. Donc, que faut-il faire pour vraiment rééquilibrer la situation?
Je pense qu’à l’occasion de la Journée internationale des femmes, il y a toujours cette conversation sur le long chemin qu’il reste à faire. Mais soyons optimistes. Nous avons fait des pas de géant vers l’égalité, en particulier au cours de la dernière décennie en ce qui a trait à l’éducation, au potentiel de revenu, et ainsi de suite. Mais nous devons tout de même remettre en question ces mythes de longue date sur les femmes et l’argent. Et nous, les femmes, nous devons jouer un rôle important à cet égard.
Ça fait partie de notre ménage. On doit s’engager. Qu’il s’agisse d’éducation ou de collaboration avec un conseiller, nous devons rehausser notre propre confiance. En fin de compte, nous devons prendre en main notre propre avenir. C’est donc mon message à toutes les femmes pour le thème de cette Journée internationale des femmes, Briser les préjugés. Il n’en tient qu’à nous.
Ingrid, merci.
Merci, Kim.
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