Print Transcript
(musique) - bonjour, ici Greg Bonnell. Bienvenue à Parlons Argent en direct, une émission de Placements directs TD. Nos invités commentent l'actualité des marchés et répondent à vos questions sur les placements.
Aujourd'hui, nous discutons avec Vince Valentini, de TD Cowen, de la possibilité d'un avenir meilleur pour le secteur des télécommunications canadiennes.
Anthony Okolie commente un nouveau rapport sur le secteur automobile canadien. Nous poursuivons la découverte de la plate-forme avancée. Ryan Massad nous montre comment personnaliser l'expérience de passation d'ordre. Posez-nous vos questions par courriel, MoneyTalkLive@TD.com, dans la boîte de questions au bas de votre écran.
Mais d'abord, un coup d'oeil sur les marchés. En ce premier jour de bourse de la semaine, il ne se passe pas grand-chose. L'indice TSX composé est légèrement négatif, en recul de 20 points, soit 1/10 de pour cent. Parmi les titres activement négociés, BlackBerry. Nous reparlerons des actions à la mode.
BlackBerry est parfois participe de ce phénomène, progressent environ 7 %.
K92 Mining annonce ses bénéfices.
Le milieu financier (...) L'action recule.
Aux États-Unis, les marchés boursiers sont en phase de remontée. Ce mercredi toutefois, les statistiques seront publiées. L'indice S&P 500 progresse de presque un point.
Le Nasdaq de 37 points, un cinquième de pour cent.
À présent, GameStop, encore une fois l'effet de mode. L'action bondit de 61 %, à 28,23 $.
Le secteur canadien des télécommunications est sous pression ces derniers temps.
Notre invité d'aujourd'hui estime qu'il pourrait y avoir des signes avant-coureurs de remonter. Vince Valentini, de TD Cowen, se joint à nous.
- Bonjour Greg.
- Le secteur des télécommunications, j'ai regardé la carte thermique sur la plate-forme avancée pour voir le rendement du secteur des télécommunications. BCE, TELUS, Rogers, Quebecor, toutes ces actions sont sous pression.
- Oui. La plupart ont baissé de 20 % ou davantage depuis les sommets de l'an dernier. Presque tous les facteurs négatifs sont réunis.
Essentiellement, les choses ont beaucoup empiré depuis mon dernier passage sur votre plateau au mois de février. Les rendements obligataires ont encore augmenté. On aurait parlé la dernière fois. Il faut que les rendements obligataires redescendent pour susciter l'intérêt de ces titres. Ce sont des titres qui ont un flux de trésorerie régulier, qui verse des dividendes.
Lorsqu'il n'y a pas d'autre possibilité sous forme d'obligations sans risque, on a tendance à envisager ses actions. Or, les rendements obligataires ont progressé de 15 points de base, ce qui n'est pas favorable à ce secteur. Encore plus important, la concurrence dans l'industrie a encore empiré.
Les taux d'intérêt sont demeurés plus élevés plus longtemps et les tarifs du secteur des télécommunications, surtout dans le sans fil, son récit plus bas plus longtemps que prévu. En avril, il y a eu un véritable dérapage des guerres de prix partout au pays, surtout au Québec.
Rogers, Bell et TELUS ont essentiellement décidé de ne pas laisser Quebecor empiété sur la part de marché. Quebecor avait eu des prix très bas très longtemps.
Nous pensons que ces prix vont durer jusqu'à la fin de l'année, jusqu'après Noël, et en janvier les prix vont commencer d'augmenter afin de permettre des nouvelles réductions pendant la période de promotion. Or, depuis novembre, Quebecor et Freedom n'ont pas modifié leur prix. Nous sommes au mois de mai et le prix d'après Noël est toujours sur le marché. C'est le cœur du problème.
La plupart des intervenants pensent que Bell, Rogers et TELUS vont devoir maintenir des prix inférieurs et un rendement moyen par usager moindre afin de lutter contre la concurrence de Quebecor.
- Dans l'avenir, comment sont décomposés ces facteurs. Les marchés prévoient des réductions de taux par la Fed plus tard cette année.
Commençons par l'environnement de taux d'intérêt.
Si la Fed estime qu'elle va réduire son taux directeur d'ici la fin de l'année, comment le secteur va-t-il évoluer?
- Il va certainement remonter. En octobre novembre, quand les rendements obligataires diminuent, l'action à ce moment-là, même s'il y avait une certaine nervosité à l'égard des tarifs dans l'étude, on était en plein tarif du Vendredi fou, mais c'est presque comme si les marchés avaient ignoré les mauvaises nouvelles au niveau fondamental parce que les rendements obligataires diminuent et la plupart des actions ont nettement remonté.
Pendant environ six semaines. La même chose se produira cette fois-ci.
Les mauvaises nouvelles sont submergées par les bonnes nouvelles macro-économiques.
Il y a un rendement de dividende de 7 % pour TELUS, 8 % pour BCE, même si ces actions sont un peu plombées par la concurrence, cela va paraître très intéressant dans un environnement où les taux d'intérêt obligataire diminuent.
- Une divulgation sur les entreprises couvertes par TD Cowen. Voyez le lien à la fin de cette émission.
Ça, c'est pour la concurrence. Les grands choix ne pas vous le renoncèrent à la part de marché. Est-ce que la concurrence pourrait s'apaiser?
- Je l'espère, mais honnêtement, il ne semble pas que cela va se produire tout de suite. Nous venons d'entendre les annonces de bénéfices, il y a eu des conférences avec la plupart des grands diffuseurs, on a demandé plusieurs fois à Quebecor quelle serait sa stratégie de prix, pourquoi elle est tellement agressive, car leurs chiffres dans certains cas ne sont pas excellents. Il y a eu une réduction importante de leur revenu moyen par usager dans le secteur de son fils à cause de prix très faible. On leur a demandé: est-ce que vous allez lever le pied?
Est-ce que vous allez augmenter les prix?
ils ont dit essentiellement non.
Leur message est un peu effrayant pour certains. Je pense que cela va s'apaiser à un moment donné, il y aura un retour du balancier. J'ai vécu des périodes depuis 25 ans que je couvre les secteurs où il y a eu des situations où l'on croit que la guerre des prix durera indéfiniment. C'est rare.
À un moment donné, la sagesse prévaudra.
Je devrais signaler que les trois opérateurs historiques, Rogers Bell et TELUS ont tous remontés leur prix en avril. Ils sont passés de 34 $ à 39 $ pour 20 Go de données pour les marques de second rang où la tarification est généralement plus agressive.
C'est donc un signe avant-coureur positif, Quebecor et Freedom n'ont pas emboîté le pas. Il faudra déterminer comment valoriser ses actions et quel potentiel de hausse il pourrait y avoir. Je pense que la situation ne va pas empirer mais il faut supposer qu'elle s'améliorera pas.
- Certains de ces titres font l'objet d'une analyse au niveau réglementaire. Le contexte réglementaire n'étend pas favorable. Est-ce que vous pensez que le CRTC va prendre des mesures favorables?
- Quand je pense à la réglementation, je penserais tout d'abord aux efforts des gouvernements en matière de croissance démographique et de logement. Il pourrait y avoir un impact.
Si ce gouvernement ou un gouvernement futur impose davantage des restrictions sur les étudiants étrangers [---] il y a une croissance record du nombre des abonnements 2022 et 2023. S'il y a une réduction substantielle de la croissance démographique, à mon avis, ce serait le plus important reste au niveau des pouvoirs publics. S'agissant de la régulation spécifique, il n'y a rien, il ne devrait rien y avoir. La concurrence sur le marché règle tous les problèmes que voulaient régler les pouvoirs publics.
Chaque fois que les statistiques de l'IPC paraissent, il y a de fortes augmentations dans le prix de la plupart des services.
Mais l'essentiel a baissé de 15 à 20 %, le prix de l'Internet pas autant mais tout de même diminuent un chiffre. À la place du CRTC ou du politique, on ne va pas féliciter l'industrie de la télécommunication, cela ne va pas attirer des électeurs, mais est-ce qu'on veut concentrer les efforts sur cela? Il y a d'autres chats à fouetter. Ce qui a été fait pour créer davantage de concurrence depuis 10 ans semble donner de bons résultats et il n'est pas nécessaire d'intervenir. Je ne suis pas inquiet de nouvelles décisions du CRTC, nous surveillons la croissance démographique et les mesures prises par le gouvernement à ce niveau.
- Certains investisseurs pressentis frustrés s'ils détiennent certaines de ces actions et se demandent ce qui leur arrive. À plus long terme, que faut-il envisager?
- Il faut se concentrer sur les titres qui présentent la possibilité de générer un bon flux de trésorerie même si nous sommes dans un scénario de prix plus bas pour plus longtemps. Il y a un ou deux titres qui peuvent offrir ces avantages et soutenir une bonne croissance des dividendes.
C'est ce que j'encouragerais les investisseurs à faire, s'intéresse aux données fondamentales. Réduction des immobilisations, qui sont parfois négligés quand on analyse cette industrie. Tout le monde s'intéresse à la croissance des abonnés, chiffre d'affaires depuis des années. Il ne faut pas perdre de vue le fait qu'il y a une tendance sous-jacente, de nouvelles technologies de réseau, l'installation qui se fait sans technicien. Il y a des réductions de coûts considérables. Beaucoup de ces entreprises ont tendance à générer une croissance du flux de trésorerie autour de 5 %, même entre cinq à 10 %, même si la croissance de leur chiffre d'affaires est presque nulle. Nous pouvons entrer dans le détail des titres, mais il y a en action mieux préparée pour ce genre d'évolution.
- Excellent début d'émission!
TD Cowen couvre BCE, Rogers, TELUS et Quebecor. Pour davantage d'informations sur les compagnies couvertes par TD Cowen, visitez le lien qui paraîtra à la fin de cette émission.
Vince Valentini répond à d'autres questions sur le secteur des télécommunications. Posez-nous l'air du temps, par courriel, MoneyTalkLive@TD.com, dans la boîte de questions au bas de votre écran. À présent, l'actualité du monde des affaires et un coup d'oeil sur les marchés.
L'action qui était au cœur de la mode de l'ère de la pandémie est en mouvement. Les actions de GameStop sont en hausse, où elles ont bondi de 70 % après que Roaring Kitty, il s'agit d'un sobriquet en ligne, la personne à qui on attribue l'inspiration de la vente forcée de position a découvert 2021, se manifeste sur les médias sociaux depuis la première fois depuis trois ans. D'autres actions à effet de mode, y compris AMC Entertainment, sont également en hausse.
Le groupe BHP affirme avoir amélioré son offre d'achat d'Anglo American mais se heurte à une fin de non-recevoir.
Anglo American avait rejeté une offre de rachat de 39 millions de dollars sous forme d'actions.
Aujourd'hui, BHP propose une offre de 30 millions de dollars laquelle est également rejetée.
Les actions de Squarespace sont en progression aujourd'hui. En cours de privatisation dans le cadre d'une opération de 7 milliards de dollars. La société de capital investissement Permira paiera 44 $ par action. L'action augmente de quelque 13 %, à 43,17 $.
À présent, les grands indices. Le TSX composé est légèrement en baisse en ce début de séance, deux semaines de bourse, d'un 10e de pour cent. Aux États-Unis, la forte hausse des marchés boursiers se prolonge. La grande interrogation surviendra mercredi, avec la parution des statistiques sur l'inflation. Vince Valentini répond à vos questions sur les télécommunications et les médias.
Que pensez-vous de Bell? C'est la grande question.
- Bell est une action qui m'agace encore.
Bell pourrait réduire les coûts au fil du temps. Bell pourrait réduire ses immobilisations, mais a encore beaucoup à dépenser sur son réseau de fibres.
Celui-ci est achevé aux trois quarts, mais la transformation des fils de cuivre à la fibre va sans doute prendre encore trois ou quatre ans. Ce projet ralentit un peu à cause des préoccupations de trésorerie.
Cela crée une situation où le dividende, le ratio est de 175 %, ce qui est incroyable. Il y a des éléments, indemnités de cessation d'emploi, restructurations, des questions d'impôt et de capital de roulement, mais même lorsque la situation se normalise ras, le taux s'établira à quelque 120 % selon nos calculs.
Il y a d'autres titres, TELUS a annoncé ses résultats la semaine dernière, bien mieux placés en ce qui concerne les dividendes. Beaucoup plus près du point de bascule au niveau de la fibre, ce qui permettrait de réduire les immobilisations très prochainement.
Il y a également beaucoup de possibilités de réduction de sa structure de coûts. Je n'invente pas tout cela, vous le voyez dans les chiffres parus jusqu'ici. Bell a ralenti la croissance des dividendes de 53 %. TELUS vient d'annoncer qu'elle demeure à 7 %. Encore une fois, le dividende a augmenté jeudi dernier. Il y a une croissance des dividendes beaucoup plus faibles, et je ne pense pas que ce soit entièrement rémunéré par le rendement supplémentaire que l'on touche.
Si vous considérez que l'ensemble du secteur va bondir et que les rendements obligataires ont diminué, BCE va certainement augmenter mais je crois qu'il y a d'autres titres qui augmenteront encore mieux.
- Il y a un de nos spectateurs se demande, vous avez dit que la croissance du dividende ralenti même si le rendement est élevé. Il demande: pensez-vous que Bell pourrait réduire son dividende?
- Bell est tout à fait contre la réduction des dividendes à court terme, elle va tout faire pour ne pas les réduire, il y a peu de chances qu'il y ait une réduction car il y a d'autres possibilités. Bell pourrait vendre des actifs périphériques, mettre en place un rabais pour le programme de réinvestissement en versant des dividendes sous forme d'actions plutôt que des liquidités. Si Bell ne veut pas réduire les dividendes, il est probable qu'il ne sera pas réduit.
Votre spectateur a été rusé de dire l'an prochain et pas cette année, car si les données fondamentales de l'industrie empirent, que se passera-t-il? Si les difficultés au niveau de la tarification ont un impact non seulement sur Bell mais surtout l'été les communicateurs, mais Bell n'est pas immunisé, si la situation continue ou son père, il ne faut jamais dire jamais.
Il se pourrait que les dividendes ne soient plus, ne puisse plus durer et doivent être réduit. Il est vraisemblable que la croissance ralentira et qu'il aura une croissance symbolique de 1 % par an, ce qui peut être suffisant pour certaines personnes.
- À présent, que pensez-vous de RCI, Rogers?
- Rogers n'a rien à voir avec la question des dividendes que propose Bell et TELUS, car le versement de dividendes. On ne détient pas l'action pour le rendement.
L'an dernier, Rogers s'est beaucoup endetté pour acheter Shaw, s'est délesté d'actifs périphériques. Je pense que Rogers se porte très bien. (...) dollar de synergie au moment du rachat de Shaw.
(...) En vendant de l'immobilier périphérique et quelque petit activités périphériques essais afin de réunir 1 milliard de dollars pour se désendetter plus rapidement.
L'endettement qui était plus de cinq fois la conclusion de l'accord avec Shaw aura diminué à 4,4 fois d'ici la fin de l'année puis à moins de quatre ans moment donnés en 2025, ce qui est essentiellement le même niveau capétien et TELUS. Une fois que Rogers peut maîtriser son endettement, l'action pourrait progresser. J'ajouterai un facteur. Le secteur sans fil de Rogers a été le meilleur de sa catégorie.
Le nombre de nouveaux abonnés largement supérieurs à ceux de Bell et TELUS. Le secteur du câble toutefois éprouvé quelques difficultés, moins de croissance des revenus depuis quelques trimestres. La réduction des coûts ne comporte jusqu'à un certain point mais certains investisseurs s'inquiètent. Les synergies vont être entièrement exploitées il faut renouer avec la croissance des revenus.
Rogers est convaincu qu'elle pourra y arriver d'ici la fin de l'année mais les investisseurs sont sceptiques. Voilà pourquoi l'action a donné les résultats décevants récemment. Je pense que c'est un élément que la direction pourra maîtriser d'ici deux ou trois trimestres.
- Quand on parle de ces ventes d'actifs et des éléments périphériques pour rembourser la dette, compte tenu des résultats de certains rivaux, qui va acheter dans cet environnement?
- Les activités périphériques, ce n'est pas nécessairement en télécommunications.
Il y a de l'immobilier excédentaire accumulé au fil des années.
La difficulté des immeubles de bureaux, s'il n'y a pas beaucoup de demandes qu'il faut modifier le tournage de certains établissements.
À usage résidentiel et industriel. Mais l'entreprise s'y attelle depuis deux ans.
Elle approche de la ligne d'arrivée. Il y a également une activité de centre d'appels qui périphériques.
C'est une catégorie différente, il y a beaucoup de demandes de capacités de centre au Canada et aux États-Unis, surtout avec l'IA générative qui suscite beaucoup de demandes de centres de données. Les compagnies ne veulent pas vendre des activités de son fils ou de fils. Il peut être difficile de trouver un acheteur et peut-être encore plus difficile de faire approuver par les régulateurs.
- (...) Faites toujours vos propres recherches avant de prendre une décision de placement. Vince Valentini répond à d'autres questions sur les actions des télécommunications et des médias dans quelques instants. Vous pouvez nous les poser en tout temps par courriel, MoneyTalkLive@TD.com. À présent, poursuivons la découverte de la plate-forme avancée.
Aujourd'hui, nous jetons un coup d'œil à la plate-forme avancée proposée par Placements directs TD. Ryan Massad information presse à la Placements directs TD. Montrez-nous comment personnaliser l'expérience lorsque nous passons un ordre dans la plate-forme avancée.
- Bonjour Greg. Volontiers. L'un des avantages de la plate-forme avancée, c'est la personnalisation, depuis les listes de surveillance jusqu'à trois. En fait, tout sur la plate-forme. Nous allons nous intéresser à la saisie des ordres.
Allons sur la plate-forme avancée.
L'une des manières les plus faciles de passer un ordre consistent à cliquer sur le cours vendeur ou acheteur. Un ticket d'ordre s'affiche, ce qui est agréable, c'est que si vous cliquez sur un autre cours vendeur ou acheteur, l'autre ticket s'affiche. Il est possible d'en avoir deux ou plusieurs demeures même temps si vous attendez une information afin d'envoyer l'autre.
(...) En plus des tickets d'achat et de vente.
Si vous voulez que les tickets demeurent à l'écran pendant que vous réalisez vos opérations, vous pouvez le créer vous-même en cliquant sur l'onglet négociations.
Vous pouvez ajouter passation d'ordre ou encore détail de la cote. Dans le détail de la cote, il y a un certain nombre d'éléments, y compris la passation de l'ordre.
Vous pouvez relier votre liste de surveillance allaite la configuration des canaux, envoyer ce qu'il y a ici à cette colonne, recevoir, ainsi chaque fois que vous cliquez sur une action sur votre liste de surveillance, vous pouvez la voir apparaître dans les tickets de passation d'ordre qui est présent à l'écran permanence. Voilà pour la saisie de l'ordre. Maintenant que vous êtes négociateur technique, que vous avez utilisé les graphiques, négocier à partir d'un graphique, c'est tout à fait possible sur la plate-forme avancée. Sur la plate-forme avancée, voici le graphique, voici le bouton rouge de vente et le bouton vert d'achat. Il est possible de cliquer sur l'un ou l'autre, afficher l'ordre immédiatement d'après les graphiques.
Si je veux voir davantage d'informations sur la cote, je clique sur le coin supérieur droit, sur le petit rouage et je peux informer plate-forme avancée de ce que je veux voir s'afficher sur mon ticket d'ordre. Il n'est pas nécessaire de rendre sur un autre écran.
Je peux voir les cours acheteurs et vendeurs sur le graphique, je peux voir également les cours maximum et minimum, ce qui me donne une meilleure idée de ce qui se produit. Il existe de nombreuses façons de personnaliser la plate-forme avancée et de passer des ordres afin d'accroître l'efficacité de vos opérations.
- On parle de personnalisation. Est-il possible de personnaliser les valeurs successives sur les tickets d'ordre?
- Bien sûr. C'est un autre élément. Allons sur la plate-forme avancée encore une fois.
Coin supérieur droit, il est toujours possible de cliquer sur la clé anglaise pour faire apparaître les réglages. Sous la rubrique ordres, c'est ici qu'il est possible de déterminer quels sont les éléments que vous utilisez constamment lorsque vous passez un ordre.
La quantité par défaut qui s'affiche afin que vous ou indicateur, que vous pouvez toujours modifier, mais au moins, afin d'avoir une valeur par défaut systématique.
Quel genre d'ordre souhaitez-vous voir s'afficher par défaut? Limites conditionnelles, etc. La durée, est-ce que votre ordre doit être valable qu'à la fin de la journée, jusqu'à annulation?
Il s'agit d'un écran qui permet de personnaliser le ticket d'ordre afin d'accroître l'efficacité de vos opérations. Cela vous permet de profiter des fonctions de personnalisation de la plate-forme avancée.
- Merci.
- Je vous en prie, Greg.
- Ryan Massad est formateur principal à Placements directs TD. Ne manquez pas de visiter le centre d'apprentissage de CourtierWeb où vous trouverez encore plus de ressources, ou balayer ce code QR qui vous permet d'accéder à la page YouTube de Placements directs TD où vous trouverez encore plus de vidéos éducatives.
Vince Valentini répond à vos questions sur les actions de télécommunications et des médias. Question qui nous arrive à l'instant: pouvez-vous nous donner votre avis de Corus Entertainment?
- Volontiers.
Je vais élargir la réponse au secteur des médias en général, spécifiquement en ce qui concerne Corus. Corus vit une époque difficile. Elle a donné une orientation pour le troisième trimestre selon laquelle les revenus publicitaires on continue de diminuer de l'ordre de 10 à 15 %.
Après les déformations engendrées par la pandémie et les grèves l'an dernier, la compagnie éprouve des difficultés. La publicité sportive semble remonter et les médias numériques voient leur chiffre d'affaires remontées, mais les chaînes des divertissements traditionnels qui ont fait le renom de Corus prennent plus longtemps remonter qu'on ne le pensait. Au niveau de l'action, cela crée une situation dans laquelle plus de 95 % de la valeur de l'entreprise de la compagnie se situent dans sa dette et non pas dans son avoir net. C'est avoir naître est devenu spéculatif.
(...) Si on est optimiste, il serait préférable de détenir les obligations de Corus qui offre un rendement très élevé plutôt que l'action.
Donc c'est un titre plus spéculatif. Mais un mot sur le secteur des médias en général. Ça ne signifie pas que l'écosystème publicitaire dans son ensemble soit faible.
Il y a des titres de médias numériques, mais il y a VerticalScope que nous couvrons. C'est l'action qui de meilleurs résultats dans notre univers de couverture à ce jour en cumul annuel. L'action a plus que doublé depuis début janvier.
Il y a eu une remontée énorme des audiences et de la publicité.
VerticalScope fait essentiellement la même chose que Reddit.
Le revenu publicitaire total de l'entreprise a rebondi jusqu'à plus 14 % dans le premier trimestre contre -6 % au premier trimestre de l'an dernier les orientations données il y a quelques semaines vise une croissance encore plus élue au deuxième semestre.
(...) - Un titre intéressant à étudier pendant que nous parlons de Corus, avec tous les défis que vous avez évoqués, le recours considérable du cours de l'action, quel est l'avenir possible de Corus d'être acheté par une autre entreprise? Est-ce que l'on peut s'inquiéter de la survie de l'entreprise?
- Le CRTC a rendu une décision somatique sera quelque peu avantageuse pour Corus.
Ce qui m'amène à répondre: il faudrait qu'il y ait une réforme réglementaire pour modifier sensiblement la structure de coûts des radiodiffuseurs historiques comme Corus, faute de quoi il y aura de la consolidation. Le gouvernement canadien et le CRTC ont des règles très strictes quant au nombre de stations de radio de télévision qu'on peut posséder.
Si la compagnie doit continuer en affaire, il faudrait que le CRTC réduise les exigences de dépenses en contenu canadien, en définitive, le gouvernement doit dire si nous voulons des communicateurs solides et dynamiques pour entendre les voix canadiennes et faire paraître des nouvelles canadiennes, il faudra des entreprises plus importantes. Il y a de gros joueurs comme Rogers et Bell qui ont des bilans beaucoup plus sains et un bilan de capital plus élevé que sont sans doute plus disposés à relever les défis qu'une petite compagnie comme Corus. La consolidation pourrait être la voie de la main.
- Que pensez-vous de Quebecor?
- Quebecor, on en a parlé tout à l'heure, c'est le joueur qui perturbe l'industrie du sans fil.
L'opération l'an dernier qui a tout changé, c'est l'acquisition de Freedom qui lui donne une présence pancanadienne plutôt que de se confiner au Québec ou Quebecor règne depuis 20 ans dans le secteur de la télédiffusion. Quebecor commence à proposer des forfaits avec le sans fil plus internes plus le cap.
Récemment, Quebecor a lancé sa marc toute numérique existe au Québec depuis quelques temps et est maintenant présentant l'Ontario, en Alberta et en Colombie Britannique. Compagnie dynamique, beaucoup de croissance. Elle joue un rôle perturbateur qui harcèle les opérateurs historiques, Bell, Rogers et TELUS.
Certains investisseurs s'y intéressent beaucoup. La situation économique, le point de départ de parts de marché et la structure de coûts sont plus avantageux.
Je vois ces avantages, mais j'ai été un peu déçu récemment par la structure de tarification. Quebecor obtienne croissance du volume, des abonnés dans le sans fil.
Est-ce que c'est compensé entièrement par la réduction du revenu moyen par usager d'avoir le prix du Vendredi fou jusqu'au mois de mai? Le revenu moyen par usagée Paris la semaine dernière était inférieure de 7 %, donc la croissance du revenu de son fils n'est pas ce que je voudrais qu'elle soit.
Nous sommes relativement optimistes mais nous croyons que l'action pourrait mieux progresser et nous voudrions que la tarification se stabilise dans l'industrie.
- Merci pour ces considérations sur Quebecor. Que pensez-vous de Cogeco?
- Cogeco n'est pas présente dans le secteur du sans fil au Canada. Elle est donc immunisée contre les fluctuations de prix auquel les autres joueurs doivent faire face.
Son activité se situe dans la (...) un secteur sous pression depuis 12 ans. De nouveaux joueurs créent des réseaux de fibres pour rivaliser avec les réseaux de câbles traditionnels et beaucoup de concurrence de Verizon et T-mobile.
Dans son activité américaine, Cogeco perd des abonnés. Son chiffre d'affaires est quelque peu sous pression. Cela n'a été que partiellement compensé par d'assez bons résultats dans le secteur de la câblodiffusion au Canada. Ce qu'il faudrait, c'est que Cogeco prenne des mesures avec les actifs (...) les investisseurs attendent de meilleures nouvelles de la compagnie.
Il faudrait qu'il y ait davantage d'actions en faveur des actionnaires. Il y a un nouveau chef de la direction qui vient notre fonction, qui a rencontré les investisseurs, qui semblent avoir un très bon plan. Il a le soutien de l'actionnaire qui contrôle la compagnie, famille Audet, ainsi que le conseil d'administration pour prendre des initiatives favorables aux actionnaires. Il s'agit notamment de réduire son réseau aux États-Unis. Il y a un marché qui est assez dynamique, les fonds de capital investissement par exemple, Cogeco pourrait vendre une partie de son réseau et acheter des actions Canada. Cogeco a également déclaré qu'elle voulait engager un partenariat dans le sang file au Canada afin de combler un vide dans le portefeuille. Bien sûr, elle affronte des compagnies comme Bell, qui peut offrir le sans fil Internet. Si Cogeco pouvait le faire, ce serait excellent du moment qu'elle ne soit pas obligée d'investir massivement pour développer son réseau. Le nouveau chef de la direction à un plan. Il reste à voir si pourra être réalisé. La compagnie a identifié ce qu'elle devait faire avec la valorisation actuelle des actions. Je suis convaincu que toutes les mauvaises nouvelles sont prises en compte et il y a beaucoup de potentiel de hausse si le chef de la direction peut livrer.
- Pour obtenir davantage d'informations sur les compagnies couverts par TD Cowen, un lien à la fin de vidéo. Vince Valentini répond à vos questions dans quelques instants.
C'est toujours vos propres recherches avant de prendre une décision de placement. Je vous rappelle que vous nous posez vos questions. Avez-vous une question sur les placements ou encore sur les marchés? Vous pouvez nous les poser, soit par courriel, MoneyTalkLive@TD.com, soit dans la boîte de questions au bas de votre écran. Il suffit de cliquer sur envoyer. Nos invités pourraient vous répondre en direct.
La reprise tant attendue du secteur automobile est en bonne voie.
Anthony Okolie nous rejoint pour présenter le dernier rapport de Services économiques TD sur la retour à la normal secteur automobile canadien.
- Les ventes ont très bien commencé, augmenté de 9 % sur 12 mois avec un bond de 17 % du volume des voitures alors que les camionnettes, qui représentent 80 % des véhicules légers, sont en hausse de 7,6 % sur 12 mois. La demande automobile a été étonnamment résiliente malgré les défis économiques que doivent relever les Canadiens.
La croissance des ventes en 2023 était essentiellement conforme à celle des États-Unis malgré que la croissance économique canadienne et témoin de la moitié de celle des États-Unis l'an dernier. Même si la demande accumulée au niveau des (...) la croissance démographique a également beaucoup contribué à la hausse des ventes. Nous y reviendrons. Services économiques TD considère que pour 2024, les ventes de voitures au Canada s'établiront à une hausse de 9,4 % à 1,9 millions d'unités et renoue avec les nouveaux pré-pandémie l'an dernier, tandis que l'économie remonte, que les taux d'intérêt diminuent et quelle activité d'achat augmentent. Quant aux prévisions, Services économiques TD prévoit que la production nord-américaine augmentera de presque 3 % tandis que les constructeurs s'adaptent au marché post pandémie. En revanche, au Canada, la production devrait diminuer à cause d'arrêt des usines de Stellantis et de Ford en raison de la nécessité de moderniser les chaînes de production pour les véhicules électriques. Le marché du travail demeure relativement favorable à la demande automobile.
La croissance de l'offre de main-d'œuvre dépasse celle de la demande, comme le montre ce graphique en 2019.
Nombre d'emplois à temps pleins était supérieur à ce niveau-là et cela a contribué à la résilience de la croissance des revenus et a permis de relever le revenu discrétionnaire des ménages.
En revanche, près des deux tiers des ménages canadiens ont vu leurs coûts de logement augmenté ou prévoit que ce soit le cas à un moment donné dans l'avenir.
Globalement, cela demeure un facteur négatif pour la consommation et par conséquent pour les ventes automobiles. En revanche, les ventes de véhicules au Canada en continue d'augmenter en dépit de ces facteurs. Services économiques TD souligne deux facteurs différents. Tout d'abord, la relance différée post pandémie, et deuxièmement, un recul des prix des véhicules comme le montre le graphique.
La croissance des prix est ralentie, ainsi qu'une baisse des coûts de financement, ce qui pourrait favoriser la croissance des ventes automobiles au deuxième semestre de l'année.
Le deuxième facteur bien sûr qui suscite une hausse des ventes de voitures au Canada, c'est la croissance démographique.
Les trajets en voiture sont le principal moyen de se rendre au travail pour les immigrants et les non-immigrants. Pour 2024, Services économiques TD prévoit que les ventes de véhicules au Canada augmentent de près de 10 %, soit 1,9 millions d'unités, comme les graphiques le monde, avant de ralentir et de passer à 3,4 % en 2025.
Les niveaux de stock sains et les coûts de financement plus bas continu d'offrir de l'abordabilité.
- Voilà le pronostic.
Quel est le risque?
- Que la croissance démographique et un effet différent que prévu, une modération de la croissance économique et la possibilité de défi persistant abordabilité. Cela pourrait plomber les ventes.
- Merci Anthony Okolie. Vous venez d'entendre Anthony Okolie. À présent, un coup d'oeil sur les marchés.
Voici la plate-forme inventée conçue pour les négociateurs actifs proposés par Placements directs TD. La carte thermique permet de visualiser l'évolution du marché. Voici l'indice TSX 60.
Aujourd'hui, il y a une très légère progression de certains titres financiers.
La Sun Life, qui avait reculé la semaine dernière après l'annonce de ses bénéfices, regagne une partie du terrain perdu, mais pour le reste du marché, la journée est plutôt morne.
Ensuite, voici l'indice S&P 100.
Les chiffres de l'inflation sur la grande expectative. Dans le secteur de la technologie, la situation est mixte.
Google, Meta, Intel, NVIDIA. Tesla et Ford, deux constructeurs différents, je crois que Ford construit des véhicules électriques également, progresse tous les jours aujourd'hui. Vince Valentini de TD Cowen répond à vos questions sur le secteur des télécommunications et des médias. Les compagnies de diffusion en continu demande de plus en plus des droits de diffusion de sport. Comment cela pourrait avoir un effet sur les compagnies de télécommunications canadiennes?
- Très intéressant.
Nous avons récemment vu Amazon Prime demander certains des droits de la LNH.
Amazon va diffuser à partir de 2024, 2025, les matchs du lundi soir. Ces droits étaient détenus par Rogers depuis 12 ans.
C'est une tendance très important aux États-Unis, Apple diffuse des parties de base-ball, même Netflix a acheté des droits de diffusion sportive dans le cadre du WWE. Ce qui est pertinent au Canada, c'est l'énorme contrat de la LNH qui arrive à renouvellement en 2026.
Le hockey et les contenus qui mobilisent plus ses Canadiens.
Il sera difficile de voir comment cela sera réparti.
Est-ce qu'il s'agira simplement des diffuseurs traditionnels? Où il y aura un volet plus important de ces droits qui vont être concédés à des diffuseurs en continu comme Prime?
Je pense que cette tendance se poursuivra, ce qui n'est pas une mauvaise chose, qui contribue à réduire certains des coûts que les diffuseurs historiques auraient encourus s'ils avaient acheté 100 % des parties. Ils peuvent partager les coûts avec les diffuseurs en continu, mais si la moitié des machos qui sont sur Sportsnet, les adeptes font ça! même si les matchs sont montrés par d'autres diffuseurs. Il est donc possible sans perdre des abonnés de réduire les coûts.
- Nous n'avons plus de temps mais je voudrais revenir au début de notre mission. Nous avons commencé par évoquer le recul des actions de télécommunications. Qu'en pensez-vous d'ici un an?
- Oui, revenons au point de départ. Je ne voudrais pas paraître trop négatif. La clé pour investir, dans ma carrière, je l'ai constaté, CDC non seulement d'évaluer la situation actuelle d'une industrie au niveau des bénéfices, par exemple, mais les facteurs sont déjà pris en compte dans le cours des actions.
TELUS est à sept et demis fois le bail a alors qu'elle était dispensée compagnies n'ont pas changé leur orientation pour l'année.
Elle réalise (...) en janvier. TELUS augmente son dividende de 7 % par an. Si vous choisissez le bon moment, les mauvaises nouvelles sont déjà prévues, il n'est pas nécessaire qu'il y ait une amélioration massive dans l'environnement de tarification du sans fil et de l'accabler diffusion, il suffit d'avoir la stabilité et une réduction des coûts. Ces entreprises peuvent encore être là dans 10 ans pour générer un bon flux de trésorerie, et pour ceux qui s'y intéressent, comme TELUS, une bonne croissance des dividendes. Il y a de bonnes opportunités à saisir et ces valorisations je pense sont assez favorables.
- Ça me fait toujours plaisir de connaître vos aperçus. Vince Valentini de TD Cowen.
Faites toujours vos propres recherches avant de prendre une décision de placement. Pour une information complète sur les sociétés couvertes par TD Cowen, veuillez consulter le lien à la fin de ce programme. Restez à l'écoute, demain Jing Roy va répondre à vos questions sur la répartition d'actifs. Vous pouvez nous les poser en tout temps par courriel, MoneyTalkLive@TD.com. Merci et à demain!
Aujourd'hui, nous discutons avec Vince Valentini, de TD Cowen, de la possibilité d'un avenir meilleur pour le secteur des télécommunications canadiennes.
Anthony Okolie commente un nouveau rapport sur le secteur automobile canadien. Nous poursuivons la découverte de la plate-forme avancée. Ryan Massad nous montre comment personnaliser l'expérience de passation d'ordre. Posez-nous vos questions par courriel, MoneyTalkLive@TD.com, dans la boîte de questions au bas de votre écran.
Mais d'abord, un coup d'oeil sur les marchés. En ce premier jour de bourse de la semaine, il ne se passe pas grand-chose. L'indice TSX composé est légèrement négatif, en recul de 20 points, soit 1/10 de pour cent. Parmi les titres activement négociés, BlackBerry. Nous reparlerons des actions à la mode.
BlackBerry est parfois participe de ce phénomène, progressent environ 7 %.
K92 Mining annonce ses bénéfices.
Le milieu financier (...) L'action recule.
Aux États-Unis, les marchés boursiers sont en phase de remontée. Ce mercredi toutefois, les statistiques seront publiées. L'indice S&P 500 progresse de presque un point.
Le Nasdaq de 37 points, un cinquième de pour cent.
À présent, GameStop, encore une fois l'effet de mode. L'action bondit de 61 %, à 28,23 $.
Le secteur canadien des télécommunications est sous pression ces derniers temps.
Notre invité d'aujourd'hui estime qu'il pourrait y avoir des signes avant-coureurs de remonter. Vince Valentini, de TD Cowen, se joint à nous.
- Bonjour Greg.
- Le secteur des télécommunications, j'ai regardé la carte thermique sur la plate-forme avancée pour voir le rendement du secteur des télécommunications. BCE, TELUS, Rogers, Quebecor, toutes ces actions sont sous pression.
- Oui. La plupart ont baissé de 20 % ou davantage depuis les sommets de l'an dernier. Presque tous les facteurs négatifs sont réunis.
Essentiellement, les choses ont beaucoup empiré depuis mon dernier passage sur votre plateau au mois de février. Les rendements obligataires ont encore augmenté. On aurait parlé la dernière fois. Il faut que les rendements obligataires redescendent pour susciter l'intérêt de ces titres. Ce sont des titres qui ont un flux de trésorerie régulier, qui verse des dividendes.
Lorsqu'il n'y a pas d'autre possibilité sous forme d'obligations sans risque, on a tendance à envisager ses actions. Or, les rendements obligataires ont progressé de 15 points de base, ce qui n'est pas favorable à ce secteur. Encore plus important, la concurrence dans l'industrie a encore empiré.
Les taux d'intérêt sont demeurés plus élevés plus longtemps et les tarifs du secteur des télécommunications, surtout dans le sans fil, son récit plus bas plus longtemps que prévu. En avril, il y a eu un véritable dérapage des guerres de prix partout au pays, surtout au Québec.
Rogers, Bell et TELUS ont essentiellement décidé de ne pas laisser Quebecor empiété sur la part de marché. Quebecor avait eu des prix très bas très longtemps.
Nous pensons que ces prix vont durer jusqu'à la fin de l'année, jusqu'après Noël, et en janvier les prix vont commencer d'augmenter afin de permettre des nouvelles réductions pendant la période de promotion. Or, depuis novembre, Quebecor et Freedom n'ont pas modifié leur prix. Nous sommes au mois de mai et le prix d'après Noël est toujours sur le marché. C'est le cœur du problème.
La plupart des intervenants pensent que Bell, Rogers et TELUS vont devoir maintenir des prix inférieurs et un rendement moyen par usager moindre afin de lutter contre la concurrence de Quebecor.
- Dans l'avenir, comment sont décomposés ces facteurs. Les marchés prévoient des réductions de taux par la Fed plus tard cette année.
Commençons par l'environnement de taux d'intérêt.
Si la Fed estime qu'elle va réduire son taux directeur d'ici la fin de l'année, comment le secteur va-t-il évoluer?
- Il va certainement remonter. En octobre novembre, quand les rendements obligataires diminuent, l'action à ce moment-là, même s'il y avait une certaine nervosité à l'égard des tarifs dans l'étude, on était en plein tarif du Vendredi fou, mais c'est presque comme si les marchés avaient ignoré les mauvaises nouvelles au niveau fondamental parce que les rendements obligataires diminuent et la plupart des actions ont nettement remonté.
Pendant environ six semaines. La même chose se produira cette fois-ci.
Les mauvaises nouvelles sont submergées par les bonnes nouvelles macro-économiques.
Il y a un rendement de dividende de 7 % pour TELUS, 8 % pour BCE, même si ces actions sont un peu plombées par la concurrence, cela va paraître très intéressant dans un environnement où les taux d'intérêt obligataire diminuent.
- Une divulgation sur les entreprises couvertes par TD Cowen. Voyez le lien à la fin de cette émission.
Ça, c'est pour la concurrence. Les grands choix ne pas vous le renoncèrent à la part de marché. Est-ce que la concurrence pourrait s'apaiser?
- Je l'espère, mais honnêtement, il ne semble pas que cela va se produire tout de suite. Nous venons d'entendre les annonces de bénéfices, il y a eu des conférences avec la plupart des grands diffuseurs, on a demandé plusieurs fois à Quebecor quelle serait sa stratégie de prix, pourquoi elle est tellement agressive, car leurs chiffres dans certains cas ne sont pas excellents. Il y a eu une réduction importante de leur revenu moyen par usager dans le secteur de son fils à cause de prix très faible. On leur a demandé: est-ce que vous allez lever le pied?
Est-ce que vous allez augmenter les prix?
ils ont dit essentiellement non.
Leur message est un peu effrayant pour certains. Je pense que cela va s'apaiser à un moment donné, il y aura un retour du balancier. J'ai vécu des périodes depuis 25 ans que je couvre les secteurs où il y a eu des situations où l'on croit que la guerre des prix durera indéfiniment. C'est rare.
À un moment donné, la sagesse prévaudra.
Je devrais signaler que les trois opérateurs historiques, Rogers Bell et TELUS ont tous remontés leur prix en avril. Ils sont passés de 34 $ à 39 $ pour 20 Go de données pour les marques de second rang où la tarification est généralement plus agressive.
C'est donc un signe avant-coureur positif, Quebecor et Freedom n'ont pas emboîté le pas. Il faudra déterminer comment valoriser ses actions et quel potentiel de hausse il pourrait y avoir. Je pense que la situation ne va pas empirer mais il faut supposer qu'elle s'améliorera pas.
- Certains de ces titres font l'objet d'une analyse au niveau réglementaire. Le contexte réglementaire n'étend pas favorable. Est-ce que vous pensez que le CRTC va prendre des mesures favorables?
- Quand je pense à la réglementation, je penserais tout d'abord aux efforts des gouvernements en matière de croissance démographique et de logement. Il pourrait y avoir un impact.
Si ce gouvernement ou un gouvernement futur impose davantage des restrictions sur les étudiants étrangers [---] il y a une croissance record du nombre des abonnements 2022 et 2023. S'il y a une réduction substantielle de la croissance démographique, à mon avis, ce serait le plus important reste au niveau des pouvoirs publics. S'agissant de la régulation spécifique, il n'y a rien, il ne devrait rien y avoir. La concurrence sur le marché règle tous les problèmes que voulaient régler les pouvoirs publics.
Chaque fois que les statistiques de l'IPC paraissent, il y a de fortes augmentations dans le prix de la plupart des services.
Mais l'essentiel a baissé de 15 à 20 %, le prix de l'Internet pas autant mais tout de même diminuent un chiffre. À la place du CRTC ou du politique, on ne va pas féliciter l'industrie de la télécommunication, cela ne va pas attirer des électeurs, mais est-ce qu'on veut concentrer les efforts sur cela? Il y a d'autres chats à fouetter. Ce qui a été fait pour créer davantage de concurrence depuis 10 ans semble donner de bons résultats et il n'est pas nécessaire d'intervenir. Je ne suis pas inquiet de nouvelles décisions du CRTC, nous surveillons la croissance démographique et les mesures prises par le gouvernement à ce niveau.
- Certains investisseurs pressentis frustrés s'ils détiennent certaines de ces actions et se demandent ce qui leur arrive. À plus long terme, que faut-il envisager?
- Il faut se concentrer sur les titres qui présentent la possibilité de générer un bon flux de trésorerie même si nous sommes dans un scénario de prix plus bas pour plus longtemps. Il y a un ou deux titres qui peuvent offrir ces avantages et soutenir une bonne croissance des dividendes.
C'est ce que j'encouragerais les investisseurs à faire, s'intéresse aux données fondamentales. Réduction des immobilisations, qui sont parfois négligés quand on analyse cette industrie. Tout le monde s'intéresse à la croissance des abonnés, chiffre d'affaires depuis des années. Il ne faut pas perdre de vue le fait qu'il y a une tendance sous-jacente, de nouvelles technologies de réseau, l'installation qui se fait sans technicien. Il y a des réductions de coûts considérables. Beaucoup de ces entreprises ont tendance à générer une croissance du flux de trésorerie autour de 5 %, même entre cinq à 10 %, même si la croissance de leur chiffre d'affaires est presque nulle. Nous pouvons entrer dans le détail des titres, mais il y a en action mieux préparée pour ce genre d'évolution.
- Excellent début d'émission!
TD Cowen couvre BCE, Rogers, TELUS et Quebecor. Pour davantage d'informations sur les compagnies couvertes par TD Cowen, visitez le lien qui paraîtra à la fin de cette émission.
Vince Valentini répond à d'autres questions sur le secteur des télécommunications. Posez-nous l'air du temps, par courriel, MoneyTalkLive@TD.com, dans la boîte de questions au bas de votre écran. À présent, l'actualité du monde des affaires et un coup d'oeil sur les marchés.
L'action qui était au cœur de la mode de l'ère de la pandémie est en mouvement. Les actions de GameStop sont en hausse, où elles ont bondi de 70 % après que Roaring Kitty, il s'agit d'un sobriquet en ligne, la personne à qui on attribue l'inspiration de la vente forcée de position a découvert 2021, se manifeste sur les médias sociaux depuis la première fois depuis trois ans. D'autres actions à effet de mode, y compris AMC Entertainment, sont également en hausse.
Le groupe BHP affirme avoir amélioré son offre d'achat d'Anglo American mais se heurte à une fin de non-recevoir.
Anglo American avait rejeté une offre de rachat de 39 millions de dollars sous forme d'actions.
Aujourd'hui, BHP propose une offre de 30 millions de dollars laquelle est également rejetée.
Les actions de Squarespace sont en progression aujourd'hui. En cours de privatisation dans le cadre d'une opération de 7 milliards de dollars. La société de capital investissement Permira paiera 44 $ par action. L'action augmente de quelque 13 %, à 43,17 $.
À présent, les grands indices. Le TSX composé est légèrement en baisse en ce début de séance, deux semaines de bourse, d'un 10e de pour cent. Aux États-Unis, la forte hausse des marchés boursiers se prolonge. La grande interrogation surviendra mercredi, avec la parution des statistiques sur l'inflation. Vince Valentini répond à vos questions sur les télécommunications et les médias.
Que pensez-vous de Bell? C'est la grande question.
- Bell est une action qui m'agace encore.
Bell pourrait réduire les coûts au fil du temps. Bell pourrait réduire ses immobilisations, mais a encore beaucoup à dépenser sur son réseau de fibres.
Celui-ci est achevé aux trois quarts, mais la transformation des fils de cuivre à la fibre va sans doute prendre encore trois ou quatre ans. Ce projet ralentit un peu à cause des préoccupations de trésorerie.
Cela crée une situation où le dividende, le ratio est de 175 %, ce qui est incroyable. Il y a des éléments, indemnités de cessation d'emploi, restructurations, des questions d'impôt et de capital de roulement, mais même lorsque la situation se normalise ras, le taux s'établira à quelque 120 % selon nos calculs.
Il y a d'autres titres, TELUS a annoncé ses résultats la semaine dernière, bien mieux placés en ce qui concerne les dividendes. Beaucoup plus près du point de bascule au niveau de la fibre, ce qui permettrait de réduire les immobilisations très prochainement.
Il y a également beaucoup de possibilités de réduction de sa structure de coûts. Je n'invente pas tout cela, vous le voyez dans les chiffres parus jusqu'ici. Bell a ralenti la croissance des dividendes de 53 %. TELUS vient d'annoncer qu'elle demeure à 7 %. Encore une fois, le dividende a augmenté jeudi dernier. Il y a une croissance des dividendes beaucoup plus faibles, et je ne pense pas que ce soit entièrement rémunéré par le rendement supplémentaire que l'on touche.
Si vous considérez que l'ensemble du secteur va bondir et que les rendements obligataires ont diminué, BCE va certainement augmenter mais je crois qu'il y a d'autres titres qui augmenteront encore mieux.
- Il y a un de nos spectateurs se demande, vous avez dit que la croissance du dividende ralenti même si le rendement est élevé. Il demande: pensez-vous que Bell pourrait réduire son dividende?
- Bell est tout à fait contre la réduction des dividendes à court terme, elle va tout faire pour ne pas les réduire, il y a peu de chances qu'il y ait une réduction car il y a d'autres possibilités. Bell pourrait vendre des actifs périphériques, mettre en place un rabais pour le programme de réinvestissement en versant des dividendes sous forme d'actions plutôt que des liquidités. Si Bell ne veut pas réduire les dividendes, il est probable qu'il ne sera pas réduit.
Votre spectateur a été rusé de dire l'an prochain et pas cette année, car si les données fondamentales de l'industrie empirent, que se passera-t-il? Si les difficultés au niveau de la tarification ont un impact non seulement sur Bell mais surtout l'été les communicateurs, mais Bell n'est pas immunisé, si la situation continue ou son père, il ne faut jamais dire jamais.
Il se pourrait que les dividendes ne soient plus, ne puisse plus durer et doivent être réduit. Il est vraisemblable que la croissance ralentira et qu'il aura une croissance symbolique de 1 % par an, ce qui peut être suffisant pour certaines personnes.
- À présent, que pensez-vous de RCI, Rogers?
- Rogers n'a rien à voir avec la question des dividendes que propose Bell et TELUS, car le versement de dividendes. On ne détient pas l'action pour le rendement.
L'an dernier, Rogers s'est beaucoup endetté pour acheter Shaw, s'est délesté d'actifs périphériques. Je pense que Rogers se porte très bien. (...) dollar de synergie au moment du rachat de Shaw.
(...) En vendant de l'immobilier périphérique et quelque petit activités périphériques essais afin de réunir 1 milliard de dollars pour se désendetter plus rapidement.
L'endettement qui était plus de cinq fois la conclusion de l'accord avec Shaw aura diminué à 4,4 fois d'ici la fin de l'année puis à moins de quatre ans moment donnés en 2025, ce qui est essentiellement le même niveau capétien et TELUS. Une fois que Rogers peut maîtriser son endettement, l'action pourrait progresser. J'ajouterai un facteur. Le secteur sans fil de Rogers a été le meilleur de sa catégorie.
Le nombre de nouveaux abonnés largement supérieurs à ceux de Bell et TELUS. Le secteur du câble toutefois éprouvé quelques difficultés, moins de croissance des revenus depuis quelques trimestres. La réduction des coûts ne comporte jusqu'à un certain point mais certains investisseurs s'inquiètent. Les synergies vont être entièrement exploitées il faut renouer avec la croissance des revenus.
Rogers est convaincu qu'elle pourra y arriver d'ici la fin de l'année mais les investisseurs sont sceptiques. Voilà pourquoi l'action a donné les résultats décevants récemment. Je pense que c'est un élément que la direction pourra maîtriser d'ici deux ou trois trimestres.
- Quand on parle de ces ventes d'actifs et des éléments périphériques pour rembourser la dette, compte tenu des résultats de certains rivaux, qui va acheter dans cet environnement?
- Les activités périphériques, ce n'est pas nécessairement en télécommunications.
Il y a de l'immobilier excédentaire accumulé au fil des années.
La difficulté des immeubles de bureaux, s'il n'y a pas beaucoup de demandes qu'il faut modifier le tournage de certains établissements.
À usage résidentiel et industriel. Mais l'entreprise s'y attelle depuis deux ans.
Elle approche de la ligne d'arrivée. Il y a également une activité de centre d'appels qui périphériques.
C'est une catégorie différente, il y a beaucoup de demandes de capacités de centre au Canada et aux États-Unis, surtout avec l'IA générative qui suscite beaucoup de demandes de centres de données. Les compagnies ne veulent pas vendre des activités de son fils ou de fils. Il peut être difficile de trouver un acheteur et peut-être encore plus difficile de faire approuver par les régulateurs.
- (...) Faites toujours vos propres recherches avant de prendre une décision de placement. Vince Valentini répond à d'autres questions sur les actions des télécommunications et des médias dans quelques instants. Vous pouvez nous les poser en tout temps par courriel, MoneyTalkLive@TD.com. À présent, poursuivons la découverte de la plate-forme avancée.
Aujourd'hui, nous jetons un coup d'œil à la plate-forme avancée proposée par Placements directs TD. Ryan Massad information presse à la Placements directs TD. Montrez-nous comment personnaliser l'expérience lorsque nous passons un ordre dans la plate-forme avancée.
- Bonjour Greg. Volontiers. L'un des avantages de la plate-forme avancée, c'est la personnalisation, depuis les listes de surveillance jusqu'à trois. En fait, tout sur la plate-forme. Nous allons nous intéresser à la saisie des ordres.
Allons sur la plate-forme avancée.
L'une des manières les plus faciles de passer un ordre consistent à cliquer sur le cours vendeur ou acheteur. Un ticket d'ordre s'affiche, ce qui est agréable, c'est que si vous cliquez sur un autre cours vendeur ou acheteur, l'autre ticket s'affiche. Il est possible d'en avoir deux ou plusieurs demeures même temps si vous attendez une information afin d'envoyer l'autre.
(...) En plus des tickets d'achat et de vente.
Si vous voulez que les tickets demeurent à l'écran pendant que vous réalisez vos opérations, vous pouvez le créer vous-même en cliquant sur l'onglet négociations.
Vous pouvez ajouter passation d'ordre ou encore détail de la cote. Dans le détail de la cote, il y a un certain nombre d'éléments, y compris la passation de l'ordre.
Vous pouvez relier votre liste de surveillance allaite la configuration des canaux, envoyer ce qu'il y a ici à cette colonne, recevoir, ainsi chaque fois que vous cliquez sur une action sur votre liste de surveillance, vous pouvez la voir apparaître dans les tickets de passation d'ordre qui est présent à l'écran permanence. Voilà pour la saisie de l'ordre. Maintenant que vous êtes négociateur technique, que vous avez utilisé les graphiques, négocier à partir d'un graphique, c'est tout à fait possible sur la plate-forme avancée. Sur la plate-forme avancée, voici le graphique, voici le bouton rouge de vente et le bouton vert d'achat. Il est possible de cliquer sur l'un ou l'autre, afficher l'ordre immédiatement d'après les graphiques.
Si je veux voir davantage d'informations sur la cote, je clique sur le coin supérieur droit, sur le petit rouage et je peux informer plate-forme avancée de ce que je veux voir s'afficher sur mon ticket d'ordre. Il n'est pas nécessaire de rendre sur un autre écran.
Je peux voir les cours acheteurs et vendeurs sur le graphique, je peux voir également les cours maximum et minimum, ce qui me donne une meilleure idée de ce qui se produit. Il existe de nombreuses façons de personnaliser la plate-forme avancée et de passer des ordres afin d'accroître l'efficacité de vos opérations.
- On parle de personnalisation. Est-il possible de personnaliser les valeurs successives sur les tickets d'ordre?
- Bien sûr. C'est un autre élément. Allons sur la plate-forme avancée encore une fois.
Coin supérieur droit, il est toujours possible de cliquer sur la clé anglaise pour faire apparaître les réglages. Sous la rubrique ordres, c'est ici qu'il est possible de déterminer quels sont les éléments que vous utilisez constamment lorsque vous passez un ordre.
La quantité par défaut qui s'affiche afin que vous ou indicateur, que vous pouvez toujours modifier, mais au moins, afin d'avoir une valeur par défaut systématique.
Quel genre d'ordre souhaitez-vous voir s'afficher par défaut? Limites conditionnelles, etc. La durée, est-ce que votre ordre doit être valable qu'à la fin de la journée, jusqu'à annulation?
Il s'agit d'un écran qui permet de personnaliser le ticket d'ordre afin d'accroître l'efficacité de vos opérations. Cela vous permet de profiter des fonctions de personnalisation de la plate-forme avancée.
- Merci.
- Je vous en prie, Greg.
- Ryan Massad est formateur principal à Placements directs TD. Ne manquez pas de visiter le centre d'apprentissage de CourtierWeb où vous trouverez encore plus de ressources, ou balayer ce code QR qui vous permet d'accéder à la page YouTube de Placements directs TD où vous trouverez encore plus de vidéos éducatives.
Vince Valentini répond à vos questions sur les actions de télécommunications et des médias. Question qui nous arrive à l'instant: pouvez-vous nous donner votre avis de Corus Entertainment?
- Volontiers.
Je vais élargir la réponse au secteur des médias en général, spécifiquement en ce qui concerne Corus. Corus vit une époque difficile. Elle a donné une orientation pour le troisième trimestre selon laquelle les revenus publicitaires on continue de diminuer de l'ordre de 10 à 15 %.
Après les déformations engendrées par la pandémie et les grèves l'an dernier, la compagnie éprouve des difficultés. La publicité sportive semble remonter et les médias numériques voient leur chiffre d'affaires remontées, mais les chaînes des divertissements traditionnels qui ont fait le renom de Corus prennent plus longtemps remonter qu'on ne le pensait. Au niveau de l'action, cela crée une situation dans laquelle plus de 95 % de la valeur de l'entreprise de la compagnie se situent dans sa dette et non pas dans son avoir net. C'est avoir naître est devenu spéculatif.
(...) Si on est optimiste, il serait préférable de détenir les obligations de Corus qui offre un rendement très élevé plutôt que l'action.
Donc c'est un titre plus spéculatif. Mais un mot sur le secteur des médias en général. Ça ne signifie pas que l'écosystème publicitaire dans son ensemble soit faible.
Il y a des titres de médias numériques, mais il y a VerticalScope que nous couvrons. C'est l'action qui de meilleurs résultats dans notre univers de couverture à ce jour en cumul annuel. L'action a plus que doublé depuis début janvier.
Il y a eu une remontée énorme des audiences et de la publicité.
VerticalScope fait essentiellement la même chose que Reddit.
Le revenu publicitaire total de l'entreprise a rebondi jusqu'à plus 14 % dans le premier trimestre contre -6 % au premier trimestre de l'an dernier les orientations données il y a quelques semaines vise une croissance encore plus élue au deuxième semestre.
(...) - Un titre intéressant à étudier pendant que nous parlons de Corus, avec tous les défis que vous avez évoqués, le recours considérable du cours de l'action, quel est l'avenir possible de Corus d'être acheté par une autre entreprise? Est-ce que l'on peut s'inquiéter de la survie de l'entreprise?
- Le CRTC a rendu une décision somatique sera quelque peu avantageuse pour Corus.
Ce qui m'amène à répondre: il faudrait qu'il y ait une réforme réglementaire pour modifier sensiblement la structure de coûts des radiodiffuseurs historiques comme Corus, faute de quoi il y aura de la consolidation. Le gouvernement canadien et le CRTC ont des règles très strictes quant au nombre de stations de radio de télévision qu'on peut posséder.
Si la compagnie doit continuer en affaire, il faudrait que le CRTC réduise les exigences de dépenses en contenu canadien, en définitive, le gouvernement doit dire si nous voulons des communicateurs solides et dynamiques pour entendre les voix canadiennes et faire paraître des nouvelles canadiennes, il faudra des entreprises plus importantes. Il y a de gros joueurs comme Rogers et Bell qui ont des bilans beaucoup plus sains et un bilan de capital plus élevé que sont sans doute plus disposés à relever les défis qu'une petite compagnie comme Corus. La consolidation pourrait être la voie de la main.
- Que pensez-vous de Quebecor?
- Quebecor, on en a parlé tout à l'heure, c'est le joueur qui perturbe l'industrie du sans fil.
L'opération l'an dernier qui a tout changé, c'est l'acquisition de Freedom qui lui donne une présence pancanadienne plutôt que de se confiner au Québec ou Quebecor règne depuis 20 ans dans le secteur de la télédiffusion. Quebecor commence à proposer des forfaits avec le sans fil plus internes plus le cap.
Récemment, Quebecor a lancé sa marc toute numérique existe au Québec depuis quelques temps et est maintenant présentant l'Ontario, en Alberta et en Colombie Britannique. Compagnie dynamique, beaucoup de croissance. Elle joue un rôle perturbateur qui harcèle les opérateurs historiques, Bell, Rogers et TELUS.
Certains investisseurs s'y intéressent beaucoup. La situation économique, le point de départ de parts de marché et la structure de coûts sont plus avantageux.
Je vois ces avantages, mais j'ai été un peu déçu récemment par la structure de tarification. Quebecor obtienne croissance du volume, des abonnés dans le sans fil.
Est-ce que c'est compensé entièrement par la réduction du revenu moyen par usager d'avoir le prix du Vendredi fou jusqu'au mois de mai? Le revenu moyen par usagée Paris la semaine dernière était inférieure de 7 %, donc la croissance du revenu de son fils n'est pas ce que je voudrais qu'elle soit.
Nous sommes relativement optimistes mais nous croyons que l'action pourrait mieux progresser et nous voudrions que la tarification se stabilise dans l'industrie.
- Merci pour ces considérations sur Quebecor. Que pensez-vous de Cogeco?
- Cogeco n'est pas présente dans le secteur du sans fil au Canada. Elle est donc immunisée contre les fluctuations de prix auquel les autres joueurs doivent faire face.
Son activité se situe dans la (...) un secteur sous pression depuis 12 ans. De nouveaux joueurs créent des réseaux de fibres pour rivaliser avec les réseaux de câbles traditionnels et beaucoup de concurrence de Verizon et T-mobile.
Dans son activité américaine, Cogeco perd des abonnés. Son chiffre d'affaires est quelque peu sous pression. Cela n'a été que partiellement compensé par d'assez bons résultats dans le secteur de la câblodiffusion au Canada. Ce qu'il faudrait, c'est que Cogeco prenne des mesures avec les actifs (...) les investisseurs attendent de meilleures nouvelles de la compagnie.
Il faudrait qu'il y ait davantage d'actions en faveur des actionnaires. Il y a un nouveau chef de la direction qui vient notre fonction, qui a rencontré les investisseurs, qui semblent avoir un très bon plan. Il a le soutien de l'actionnaire qui contrôle la compagnie, famille Audet, ainsi que le conseil d'administration pour prendre des initiatives favorables aux actionnaires. Il s'agit notamment de réduire son réseau aux États-Unis. Il y a un marché qui est assez dynamique, les fonds de capital investissement par exemple, Cogeco pourrait vendre une partie de son réseau et acheter des actions Canada. Cogeco a également déclaré qu'elle voulait engager un partenariat dans le sang file au Canada afin de combler un vide dans le portefeuille. Bien sûr, elle affronte des compagnies comme Bell, qui peut offrir le sans fil Internet. Si Cogeco pouvait le faire, ce serait excellent du moment qu'elle ne soit pas obligée d'investir massivement pour développer son réseau. Le nouveau chef de la direction à un plan. Il reste à voir si pourra être réalisé. La compagnie a identifié ce qu'elle devait faire avec la valorisation actuelle des actions. Je suis convaincu que toutes les mauvaises nouvelles sont prises en compte et il y a beaucoup de potentiel de hausse si le chef de la direction peut livrer.
- Pour obtenir davantage d'informations sur les compagnies couverts par TD Cowen, un lien à la fin de vidéo. Vince Valentini répond à vos questions dans quelques instants.
C'est toujours vos propres recherches avant de prendre une décision de placement. Je vous rappelle que vous nous posez vos questions. Avez-vous une question sur les placements ou encore sur les marchés? Vous pouvez nous les poser, soit par courriel, MoneyTalkLive@TD.com, soit dans la boîte de questions au bas de votre écran. Il suffit de cliquer sur envoyer. Nos invités pourraient vous répondre en direct.
La reprise tant attendue du secteur automobile est en bonne voie.
Anthony Okolie nous rejoint pour présenter le dernier rapport de Services économiques TD sur la retour à la normal secteur automobile canadien.
- Les ventes ont très bien commencé, augmenté de 9 % sur 12 mois avec un bond de 17 % du volume des voitures alors que les camionnettes, qui représentent 80 % des véhicules légers, sont en hausse de 7,6 % sur 12 mois. La demande automobile a été étonnamment résiliente malgré les défis économiques que doivent relever les Canadiens.
La croissance des ventes en 2023 était essentiellement conforme à celle des États-Unis malgré que la croissance économique canadienne et témoin de la moitié de celle des États-Unis l'an dernier. Même si la demande accumulée au niveau des (...) la croissance démographique a également beaucoup contribué à la hausse des ventes. Nous y reviendrons. Services économiques TD considère que pour 2024, les ventes de voitures au Canada s'établiront à une hausse de 9,4 % à 1,9 millions d'unités et renoue avec les nouveaux pré-pandémie l'an dernier, tandis que l'économie remonte, que les taux d'intérêt diminuent et quelle activité d'achat augmentent. Quant aux prévisions, Services économiques TD prévoit que la production nord-américaine augmentera de presque 3 % tandis que les constructeurs s'adaptent au marché post pandémie. En revanche, au Canada, la production devrait diminuer à cause d'arrêt des usines de Stellantis et de Ford en raison de la nécessité de moderniser les chaînes de production pour les véhicules électriques. Le marché du travail demeure relativement favorable à la demande automobile.
La croissance de l'offre de main-d'œuvre dépasse celle de la demande, comme le montre ce graphique en 2019.
Nombre d'emplois à temps pleins était supérieur à ce niveau-là et cela a contribué à la résilience de la croissance des revenus et a permis de relever le revenu discrétionnaire des ménages.
En revanche, près des deux tiers des ménages canadiens ont vu leurs coûts de logement augmenté ou prévoit que ce soit le cas à un moment donné dans l'avenir.
Globalement, cela demeure un facteur négatif pour la consommation et par conséquent pour les ventes automobiles. En revanche, les ventes de véhicules au Canada en continue d'augmenter en dépit de ces facteurs. Services économiques TD souligne deux facteurs différents. Tout d'abord, la relance différée post pandémie, et deuxièmement, un recul des prix des véhicules comme le montre le graphique.
La croissance des prix est ralentie, ainsi qu'une baisse des coûts de financement, ce qui pourrait favoriser la croissance des ventes automobiles au deuxième semestre de l'année.
Le deuxième facteur bien sûr qui suscite une hausse des ventes de voitures au Canada, c'est la croissance démographique.
Les trajets en voiture sont le principal moyen de se rendre au travail pour les immigrants et les non-immigrants. Pour 2024, Services économiques TD prévoit que les ventes de véhicules au Canada augmentent de près de 10 %, soit 1,9 millions d'unités, comme les graphiques le monde, avant de ralentir et de passer à 3,4 % en 2025.
Les niveaux de stock sains et les coûts de financement plus bas continu d'offrir de l'abordabilité.
- Voilà le pronostic.
Quel est le risque?
- Que la croissance démographique et un effet différent que prévu, une modération de la croissance économique et la possibilité de défi persistant abordabilité. Cela pourrait plomber les ventes.
- Merci Anthony Okolie. Vous venez d'entendre Anthony Okolie. À présent, un coup d'oeil sur les marchés.
Voici la plate-forme inventée conçue pour les négociateurs actifs proposés par Placements directs TD. La carte thermique permet de visualiser l'évolution du marché. Voici l'indice TSX 60.
Aujourd'hui, il y a une très légère progression de certains titres financiers.
La Sun Life, qui avait reculé la semaine dernière après l'annonce de ses bénéfices, regagne une partie du terrain perdu, mais pour le reste du marché, la journée est plutôt morne.
Ensuite, voici l'indice S&P 100.
Les chiffres de l'inflation sur la grande expectative. Dans le secteur de la technologie, la situation est mixte.
Google, Meta, Intel, NVIDIA. Tesla et Ford, deux constructeurs différents, je crois que Ford construit des véhicules électriques également, progresse tous les jours aujourd'hui. Vince Valentini de TD Cowen répond à vos questions sur le secteur des télécommunications et des médias. Les compagnies de diffusion en continu demande de plus en plus des droits de diffusion de sport. Comment cela pourrait avoir un effet sur les compagnies de télécommunications canadiennes?
- Très intéressant.
Nous avons récemment vu Amazon Prime demander certains des droits de la LNH.
Amazon va diffuser à partir de 2024, 2025, les matchs du lundi soir. Ces droits étaient détenus par Rogers depuis 12 ans.
C'est une tendance très important aux États-Unis, Apple diffuse des parties de base-ball, même Netflix a acheté des droits de diffusion sportive dans le cadre du WWE. Ce qui est pertinent au Canada, c'est l'énorme contrat de la LNH qui arrive à renouvellement en 2026.
Le hockey et les contenus qui mobilisent plus ses Canadiens.
Il sera difficile de voir comment cela sera réparti.
Est-ce qu'il s'agira simplement des diffuseurs traditionnels? Où il y aura un volet plus important de ces droits qui vont être concédés à des diffuseurs en continu comme Prime?
Je pense que cette tendance se poursuivra, ce qui n'est pas une mauvaise chose, qui contribue à réduire certains des coûts que les diffuseurs historiques auraient encourus s'ils avaient acheté 100 % des parties. Ils peuvent partager les coûts avec les diffuseurs en continu, mais si la moitié des machos qui sont sur Sportsnet, les adeptes font ça! même si les matchs sont montrés par d'autres diffuseurs. Il est donc possible sans perdre des abonnés de réduire les coûts.
- Nous n'avons plus de temps mais je voudrais revenir au début de notre mission. Nous avons commencé par évoquer le recul des actions de télécommunications. Qu'en pensez-vous d'ici un an?
- Oui, revenons au point de départ. Je ne voudrais pas paraître trop négatif. La clé pour investir, dans ma carrière, je l'ai constaté, CDC non seulement d'évaluer la situation actuelle d'une industrie au niveau des bénéfices, par exemple, mais les facteurs sont déjà pris en compte dans le cours des actions.
TELUS est à sept et demis fois le bail a alors qu'elle était dispensée compagnies n'ont pas changé leur orientation pour l'année.
Elle réalise (...) en janvier. TELUS augmente son dividende de 7 % par an. Si vous choisissez le bon moment, les mauvaises nouvelles sont déjà prévues, il n'est pas nécessaire qu'il y ait une amélioration massive dans l'environnement de tarification du sans fil et de l'accabler diffusion, il suffit d'avoir la stabilité et une réduction des coûts. Ces entreprises peuvent encore être là dans 10 ans pour générer un bon flux de trésorerie, et pour ceux qui s'y intéressent, comme TELUS, une bonne croissance des dividendes. Il y a de bonnes opportunités à saisir et ces valorisations je pense sont assez favorables.
- Ça me fait toujours plaisir de connaître vos aperçus. Vince Valentini de TD Cowen.
Faites toujours vos propres recherches avant de prendre une décision de placement. Pour une information complète sur les sociétés couvertes par TD Cowen, veuillez consulter le lien à la fin de ce programme. Restez à l'écoute, demain Jing Roy va répondre à vos questions sur la répartition d'actifs. Vous pouvez nous les poser en tout temps par courriel, MoneyTalkLive@TD.com. Merci et à demain!