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(musique) – Bonjour, ici Greg Bonnell.
Bienvenue à Parlons Argent en direct présentée par placements directs Ltd. Chaque jour je suis avec des invités dont beaucoup que vous ne verrez qu'ici.
Nous allons découvrir ce qui font bouger les marchés.
Nous discuterons des conclusions des résultats des banques avec Stephen Biggar.
Bohème boiteuse nous expliqua comment trouver les actions qui attirent l'attention des analystes.
Vous pouvez nous contacter par courriel ou vous pouvez poser votre question dans la boîte de questions sous le lecteur vidéo.
Les investisseurs réagissent avec l'indice composite.
Nous sommes en territoire positif, mais de très peu.
Nous avons des gains pour ce qui est du pétrole brut avec un sentiment positif avec la réouverture de l'économie chinoise.
Regardons le résultat, une augmentation de près de 2 %, et western Gold, on le voit ici, il y a des mises à jour de production.
Les investisseurs ne sont pas contents, avec une baisse de plus de 17 %.
Du côté du S&P 500, il n'était pas en territoire positif. On a eu des résultats sur la vente au détail, ce qui montre que l'on voit encore des pressions inflationnistes, mais qui sont à la baisse.
Le sentiment des investisseurs a changé depuis cette nouvelle et on voit une petite baisse sur le Nasdaq, ici, Amazon est toujours envers, mais il a perdu des biens qu'il a obtenus au cours de la séance.
Les craintes d'un ralentissement économique sont de plus en plus présentes.
Nous avons analysé les derniers résultats des grandes banques américaines cette semaine. Voici Steven Bigard sur les institutions financières. Nous sommes très heureux de vous avoir la nouvelle émission.
– Merci de m'avoir invité.
Nous allons parler des plus grands noms. Qu'est-ce que vous pouvez dire sur les grands noms à Wall Street?
Nous avons eu encore un trimestre avec des extrêmes.
Avec des résultats d'augmentation de 20 à 30 %.
En raison des taux d'intérêt plus élevé de la réserve fédérale.
Alors que les taux d'intérêt étaient prêts de zéro il y a seulement un an.
Donc, on voit que du point de vue des revenus liés aux intérêts, les banques ont eu de bons résultats. Mais du point de vue du provisionnement des pertes, cela a compensé.
Les banques considèrent qu'on s'approche d'une économie plus faible avec une baisse des utilisations de cartes de crédit.
Pour ce qui est du marché des capitaux, il y a une faiblesse, mais elle ne s'en sort pas trop mal.
On s'attend à une baisse au cours du prochain trimestre.
Provisionnement des pertes qui a augmenté.
Et puis, un autre point important pour les banques, c'est du côté déplacement.
Il représente 45 à 50 % des activités des grandes banques aux États-Unis.
Et donc, souvent, les investisseurs attendent de voir ce qui va se passer et il y a une faiblesse du côté (.
..) en matière de placement.
– Je dois dire qu'il y a eu beaucoup de changements pour ce qui est des revenus des banques.
Parlons des activités et des marchés de capitaux.
Effectivement, on a parlé d'une économie qui allait ralentir, peut-être même une récession.
Vous avez parlé du provisionnement des pertes.
Si le deuxième semestre de cette année est meilleur du point de vue économique, est-ce qu'il y aura des activités sur les marchés des capitaux?
– Oui, c'est vrai qu'il y a une demande accumulée.
Les marchés de capitaux, les innovations qui se produisent dans l'économie sont toujours là.
Il y a de nouvelles entreprises qui veulent se lancer sur le marché.
Surtout du côté des soins de santé et de la technologie, avec les établissements, l'institution de technologie financière.
Maintenant, il va falloir aller au-delà des augmentations des taux d'intérêt de la réserve fédérale.
Il faudra voir ce qui se passera du point de vue des signaux.
C'est vrai que l'augmentation des taux d'intérêt est en train de ralentir.
On pourrait avoir peut-être une petite augmentation des taux d'intérêt. Et ensuite, quand la réserve fédérale assurera qu'elle ne va plus augmenter les taux d'intérêt, on pourra penser à une certaine instabilité et une nouvelle confiance pour les grandes entreprises aux États-Unis.
On a parlé des activités de placement pour les banques, mais il y a d'autres domaines où on veut un retour à la stabilité.
Les taux d'intérêt sont plus élevés et pour ce qui est du financement des entreprises, ça va coûter plus. Mais du côté des fusions et acquisitions, il y a beaucoup de demande accumulée.
– Alors actuel, nous avons une indication que les consommateurs aux États-Unis sont touchés par l'augmentation des taux d'intérêt, alors qu'est-ce que ça veut dire pour les activités de carte de crédit?
– Eh bien, effectivement, il y a… Il peut y avoir une baisse des ventes au détail. D'ailleurs, c'est ce qui a été annoncé aujourd'hui.
Cela va avoir une incidence en 2023 par rapport à 2022.
Le chiffre de novembre, pour ce qui est des ventes au détail, a été révisé à la baisse. Il y a des dépenses de la part des consommateurs, mais elles ralentissent.
Il y a moins de dépenses sur les cartes de crédit.
Et cela a une incidence également sur les hypothèques.
Et l'achat de maison.
Pour ce qui est des prêts automobiles également.
Je pense donc qu'il y a toute une gamme de vent contraire et pour ce qui est des ventes au détail, c'est aussi les ventes en ligne, les ventes de produits électroniques, les ventes dans les restaurants, les ventes de meubles également.
Il y a beaucoup de segments de la vente au détail qui sont en train de ralentir.
Et donc, même si on peut mentionner que les consommateurs utilisent moins de chèques et moins d'espèces, et donc, se tournent plus vers les cartes de crédit, il y a toutefois cette baisse de la consommation.
Maintenant, pour ce qui est des taux d'intérêts qui sont facturés sur chacune des cartes de crédit, cela peut représenter quelque chose de plus intéressant pour les banques, mais cela est un problème pour les consommateurs.
On voit, pour ce qui est des dépôts, qu'il y a aussi de nouvelles tendances après la (...).
Oui, les dépôts, pendant la pandémie, il y a eu beaucoup de dépôts dans les banques.
Puisque les consommateurs épargnaient beaucoup.. Il y avait des chèques d'aide gouvernementale également.
Aux États-Unis et au Canada. Et les consommateurs ne consommaient pas beaucoup parce qu'il ne peut pas prendre l'avion.
Il y a beaucoup d'établissements qui étaient fermés.
On ne pouvait pas voyager.
C'est vrai que les dépenses sont passées à des dépenses en ligne, mais il n'y avait pas autant de dépenses qu'à l'habitude.
Il y avait beaucoup de dépôts sur les comptes de chèques et les comptes épargnent, beaucoup plus élevé pendant la pandémie.
Les banques avaient donc beaucoup de liquidités.
Les taux étaient près de zéro et on ne pouvait pas vraiment avoir de rendement très intéressant. Et beaucoup de gens gardaient des liquidités dans leur compte.
Et maintenant, il y a des rendements plus intéressants avec la hausse des taux d'intérêt.
Pour les comptes épargnent par exemple.
Il y a des rendements plus intéressants. Il y a donc une migration qui est en train de se faire.
Et puis, on peut dire que l'expansion de la marge d'intérêt net a été très impressionnante pour les banques, qui a beaucoup augmenté les taux d'intérêt sur les prêts, un peu moins vite sur les dépôts et sur l'épargne.
Maintenant, on voit que les consommateurs deviennent plus intelligents, en quelque sorte, il y a des rendements plus intéressants pour ce qui est de différents titres et obligations et de transfert vers des titres et des produits qui ont un rendement assez décent.
– Et cela a une incidence sur les marges d'intérêt des banques pour 2023.
Merci.
Nous continuerons à répondre aux questions sur les actions de titres financiers. Vous pouvez nous contacter par courriel. Merci.
Voici une mise à jour sur l'évolution des marchés.
Microsoft se joint aux entreprises technologiques qui annoncent des mises à pied.
Elle annonce qu'elle va réduire ses effectifs de 10 000 employés.
Ainsi que d'autre mesure de réduction des coûts en chargera (..
.).
Alphabet, Amazon et Salesforce, (...
).
Les actions de United à Heinz sont à l'honneur.
United affirme que la demande voyage aérien reste forte, même face à l'augmentation des prix des billets.
Ses concurrents ont également déclaré que la demande de voyage continu de croître.
Et on peut voir ici United Heinz où il y a une baisse de 1,7 %.
Moderna affirme que son accent est très efficace pour prévenir la maladie chez les personnes âgées.
Le vaccin utilise la technologie à ARN messager.
Moderna prévoit de déposer une demande d'approbation dans les prochains mois. Le Canada et les États-Unis ont connu une recrudescence des cas à l'automne et on voit que l'action est en augmentation de près de 4 %.
Regardons le TSX qui est toujours en territoire positif.
On perd un peu les gains du début de séance et aux États-Unis, on regarde S&P 500 qui est en baisse de 31.
.
< Nous sommes de retour avec Steven Bégin.
La grande question de l'année: typiquement, comment se comportent les valeurs bancaires pendant une récession?
– Oui, les banques sont toujours protégées.
Dans les périodes de croissance, quand on a une augmentation des prêts et l'économie va bien, il y a une grande expansion de la marge d'intérêt. Et il n'y a pas beaucoup de charges.
Mais en même temps, les banques détiennent beaucoup d'obligations et cela peut avoir une incidence avec un changement des rendements.
Et des taux obligataires.
En général, on peut dire qu'il y a une corrélation entre la situation d'emploi ou de chômage.
Il y a une récession.
Et les charges des banques.
Si vous avez un emploi ou que vous pouvez remplacer votre emploi, vous remboursez et payer vos factures.
S'il y a plus de chômage, un taux de chômage de cinq à 6 %, il y a des problèmes pour ce qui est des dépôts potentiels de la part des clients.
Mais le portefeuille des obligataires, des obligations, est important chez les banquiers quand on demande de protéger les banques, si elle préfère avoir une augmentation des marges intérêt ou des prêts, elles disent qu'elle préfère que les marchés des capitaux soient fort, soit efficace, qu'il y ait des activités de fusion et d'acquisition, qu'il y ait des activités de banque, de placement.
Évidemment, cela a fait quand l'économie est forte.
– Pour le moment, on s'attend à une récession assez limitée.
Donc, les banques peuvent ne pas être trop touchées.
– Oui, c'est toujours compliqué dans cette question.
Ça peut être une récession courte, ç'a peint une récession plus profonde et plus longue.
Cela peut faire une différence pour tous les segments du marché.
Effectivement.
Et quand on a écouté les appels conférences des bénéfices des banques, toutes disent qu'elles attendent à une récession modeste en 2023. Et elle se prépare à cela.
Et c'est vrai que certains titres sont touchés.
Par exemple, PNC, puisque leur provisionnement pour perte est plus élevé que prévu.
Mais ils s'attendent à une récession.
Et il se prépare à (..
.).
Il y a une certaine prépondérance d'économiste qui s'attende à une récession.
La plupart du temps, on prévoit moins les récessions.
On n'est pas nécessairement bien préparé.
Évidemment, le fait comprendre récession peut amener à la récession elle-même.
Avec des mises à pied, avec la direction d'entreprises qui sont plus prudentes.
Il se peut donc que si on voit un PDG qui fait des mises à pied, un autre PDG peut décider de faire la même chose, étant donné qu'il pense qu'il peut y avoir effectivement une récession.
Donc, le fait de parler de récession peut amener à une récession.
– Une autre question de notre public pour ce qui est des entreprises de paiement comme PayPal et Square.
Avez-vous des choses à dire sur le sujet?
– Pétales et Square ont des modèles d'affaires très intéressants.
PayPal permet des achats. Vous pouvez utiliser PayPal de différentes manières et pour le paiement de personne à personne.
Square est plutôt axé sur les micros marchands.
Avec par exemple les foires artisanales.
Et ces marchands peuvent donc accepter les cartes de crédit avec une application sur une tablette, par exemple, ou un appareil ou un peut simplement glisser une carte de crédit.
Donc, ces entreprises ont aidé à la migration des consommateurs, qui sont passées des espèces au paiement avec des cartes de crédit.
Il y a de plus en plus de dépenses sur les cartes de crédit, et pétales et Square continuent d'augmenter le nombre de marchands qui utilisent leurs services.
On peut très bien utiliser ou sélectionner PayPal quand on veut cacher quelque chose.
Il y a pas mal d'occasions de croissance pour ces deux entreprises.
Mais il y aura quand même des difficultés.
Dans les prochains mois.
Ce qu'on a remarqué pendant la pandémie quand il y a une migration énorme du type de paiement, qu'on est passé des espèces aux cartes de crédit, je peux dire qu'on a accéléré la migration.
Et alors actuel, le taux de croissance est en baisse par rapport à ce qui s'est passé pendant la pandémie.
Non seulement parce qu'il y a le ralentissement de l'économie et de la consommation, mais aussi parce que la migration des espèces vers les cartes de crédit s'est déjà produit pendant la pandémie et pétales et Square ont accédé à leur croissance au début de la pandémie et maintenant, leur croissance plus lente.
– C'est un segment intéressant.
À surveiller. Assurez-vous devant vos propres recherches avant de prendre une décision de placement.
Nous regarderons dans un instant avec Stephen Biggar.
Mais tout d'abord, je vous rappelle que pour nous contacter, vous pouvez envoyer un courriel.
Maintenant, le segment éducatif.
Une des questions qu'on oppose, quand on veut faire des recherches sur les actions, on nous demande comment trouver des actions qui intéressent les analystes.
Et qui sont tendances sur le marché.
Nous avons un outil, dans CourtierWeb pour cela, qui est fourni par (...).
Qui est un fournisseur de tierce partie.
Dans le centre d'analyste, vous pouvez trouver les actions qui sont tendances.
Qui sont à la mode. Vous pouvez aller sur l'onglet recherche, ensuite le centre d'analyste, ce qui vous amène à cet écran.
Et qui vous montre les évaluations les plus récentes, les différents titres sont évalués par des analystes.
C'est l'interface par défaut, mais à droite, vous voyez les actions tendances.
Et cela va vous montrer sur un certain nombre de jours, ça dépend des paramètres que vous avez.
Ici, c'est les derniers 90 jours.
Vous avez les titres qui sont le plus évolué par des analyses. Il y a des centaines d'analystes qui sont compilées ici avec des informations qui vous montraient les actions qui sont le plus tendance, les plus populaires pour ce qui est par exemple des achats.
Si vous voulez chercher des occasions d'achat, vous avez ici amazone, qui est considéré comme une action tendance depuis cinq jours.
Et à partir de là, vous pouvez cliquer sur l'action elle-même pour avoir des informations additionnelles.
Mais avant cela, vous pouvez filtrer, vous pouvez chercher des évaluations ou des 30 derniers jours. Vous voyez que la liste change légèrement.
Vous pouvez aussi filtrer par pays, États-Unis au Canada.
Vous pouvez aussi filtrer par capitalisation boursière aux acteurs du marché.
Vous avez la possibilité de déterminer différentes tendances et différentes catégories.
Si nous revenons aux paramètres de départ avec toutes les actions, et celles qui sont les mieux évalués, si on clique sur les mieux évalués, vous avez cette liste avec des recommandations d'achat.
Vous pouvez faire votre recherche.
Vous cliquez sur l'action elle-même et cela vous amène aux différents graphiques.
Vous pouvez faire des recherches additionnelles et cliquez sur l'onglet analystes.
Vous voyez ici ce qui se passe du point de vue de la cible du cours, ce qui est prévu comme élever, comme bas.
Et vous avez ici les cotes des analystes. Il y a seulement trois évaluations ici, mais il y a d'autres actions qui peuvent avoir plus d'évaluation.
Cela dépend évidemment de l'importance de l'action du volume de l'action. Et vous voyez ici quels sont les analystes qui ont évalué l'action et quelle est l'évaluation de l'action en question de la part de ses analystes. Cela me permet donc de faire des recherches sur les actions que vous cherchez.
Voilà pour ce qui est de rechercher les actions tendances les plus évalués.
Quand vous utilisez cet outil, c'est un point de départ.
Vous pouvez aussi trouver des rapports de recherche dans cette même section.
Vous pouvez également trouver les nouvelles et une analyse fondamentale avec différentes données concernant les actions. N'utilisez pas ce point de recherche comme le seul point de recherche.
C'est un point de départ pour identifier des occasions de négociation d'action.
– Merci, Bryan Rogers, instructeur en éducation.
Allez chercher sur CourtierWeb des vidéos éducatives en direct.
Je vous rappelle que si vous souhaitez nous poser des questions, vous pouvez nous envoyer vos questions de deux manières.
Tout d'abord par courriel ou vous pouvez utiliser la bonne question sous le lecteur vidéo dans CourtierWeb.
Tapez votre question et cliquez sur envoyer.
Pour que nos invités puissent répondre à vos questions.
Nous sommes de retour avec Stephen Biggar.
Un auditeur peut savoir quels sont vos perspectives pour les grandes sociétés de cartes de crédit.
Peuvent-elles supporter une récession?
– Oui.
Quand on pense aux cartes de crédit, on pense aux émetteurs et au prêteur.
C'est-à-dire Capital One, par exemple.
Et puis, vous avez les acteurs des exécutions de transactions, comme MasterCard et Visa.
Et puis vous avez les fournisseurs comme (.
..
), par exemple.
Je pense que pour la plupart de ces entreprises, il y a une bonne croissance du point de vue des dépenses des consommateurs année après année.
Avec des taux de croissance de volume de neuf à 10 %, peut-être un peu plus.
Ces entreprises peuvent traduire le revenu par une meilleure croissance des bénéfices.
Avec une croissance des bénéfices qui est d'environ 15 %.
Vous regardez une compagnie comme Visa, qui a démarche de 16 %, c'est les meilleurs résultats pour ce qui est des entreprises cotées au S&P 500.
Ce sont des entreprises très efficaces.
Elles ont l'expérience également des cycles de ralentissement économique.
Elles ont tendance à ne pas réduire les coûts puisqu'elles sont efficaces de toute façon.
Mais elles sont à la merci des volumes de dépenses.
Bien sûr, il y a des véhicules cycliques, des vecteurs cycliques avec la santé de l'économie, une plus grande consommation de la part des consommateurs et l'utilisation de cartes virtuelles par rapport aux cartes physiques.
Il y a plusieurs risques qui sont potentiels.
Et qui vont amener à une modération des volumes de dépenses.
Cela pourra avoir une incidence sur leur croissance.
– Effectivement, il y a des risques, mais aussi des occasions à ce segment.
Maintenant, autre question: quel est votre avis sur les banques régionales?
On a parlé des grandes banques, mais qu'en est-il des banques régionales?
– C'est vrai que c'est banques ont à peu près 80 % de parts de marché.
Et qu'il y a beaucoup d'argent qui est déplacé par les grandes banques, qui détiennent ces 80 % du marché, qui sont aussi des banques internationales.
Mais pour ce qui est des banques régionales, elles gagnent de l'argent sur le marché des capitaux.
Elles facilitent le financement. Elles ont tendance à être des prêteurs hypothécaires importants.
Et donc, elles ont des activités de prêts importantes et puis aussi des activités d'assurance.
Qui ont tendance à rester telles qu'elles sont, quel que soit le cycle du marché et le cycle économique. Je crois qu'on aura peut-être une augmentation modérée, une croissance modérée des prêts en 2023.
Et on peut supposer que le marché du travail ne va pas s'écrouler.
C'est pour cela que la plupart des économistes, et moi-même en tant qu'analyste des banques, considérons que récemment, il y avait deux posts vacants pour une personne employée aux États-Unis.
Donc, il y a beaucoup de solidité sur le marché de l'emploi. Bien sûr, il faut évidemment que les personnes qui cherchent du travail puissent faire correspondre leurs compétences aux posts qui sont demandés. Les banques régionales ne sont pas assujetties aux mêmes exigences que la réserve fédérale et qu'elle est grandement. Elles ne sont pas obligées de mettre aux côtés autant de capital.
Et dans la plupart des cas, à part les grandes banques régionales, on peut dire que statistiquement, elles n'ont pas à mettre de côté beaucoup de capital.
Et cela est plus avantageux pour elle du côté du capital.
Et puis, pour ce qui est des rendements, des dividendes, trois ou 4 %, ça peut être intéressant.
Et le ratio coût bénéfice n'est pas trop élevé à l'actuel. On peut trouver une bonne valeur pour ce qui est des banques régionales.
– Oui, les banques régionales sont plus corrélées avec l'économie plutôt que les grandes banques, n'est-ce pas?
On devrait avoir une grande économie, une économie forte et peut-être que les banques sont plus soumises aux aléas de l'économie?
– Oui, comme vous l'avez dit, du point de vue économique, les banques régionales dépendent beaucoup des activités de prêts.
Les plus grandes banques, comme J.P.
Morgan, Citibank, sont à 55 ans pour ce qui est des revenus liés auprès part aux revenus non liés auprès.
Alors que régionales, c'est 70 à 75 % des revenus qui sont liés auprès.
Effectivement, il faut penser que la croissance des prêts va continuer.
Mais c'est un risque.
– Nous serons de retour avec vos questions sur les valeurs financières dans un moment.
Assurez-vous de faire vos propres recherches avant de prendre toute décision d'investissement.
Vous pouvez nous contacter à tout moment.
Si vous avez une question pose sur les placements ou ce qui fait bouger les marchés, nos invités veulent vous entendre.
Envoyez-nous vos questions.
Vous pouvez le faire de manière.
Tout d'abord par courriel ou alors en utilisant la boîte de questions qui se trouvent sous le lecteur vidéo dans CourtierWeb.
Tapez votre question et cliquez sur envoyer.
Et nous invités vous répondrons.
Les assureurs canadiens doivent oublier les résultats du quatrième trimestre dans quelques jours.
Avant cela, valeurs mobilières TD a publié son dernier avis sur le secteur.
Voici Anthony Okolie qui nous donne des informations.
– Les évaluations relatives ne favorisent pas les assureurs canadiens par rapport aux banques d'après notre dernier rapport.
Les assureurs devraient donner le rapport sur le résultat le 8 février.
Alors, étant donné les conditions difficiles pour le marché immobilier, et les évaluations relatives, valeurs mobilières TD préfèrent favoriser les banques.
Les estimations sont assez basses pour les assureurs.
Tout d'abord, le bénéfice par action pour les trois grands assureurs sera stable ou en baisse de 6 % avec une baisse des bénéfices de gestion de patrimoine et une hausse des charges fiscales.
Et puis, une croissance ralentie en 2023, reflète la transition (..
.
), la nouvelle norme de contrat d'intérêt qui est en vigueur depuis le 1er janvier.
Et le ratio coût bénéfice cible du groupe des assurances est légèrement inférieur à celui des banques.
De 10,10, cinq, un peu plus élevé que notre dernier avis pour les compagnies d'assurances, mais toujours moins élevée que pour les banques à 10.
Cinq à 11.
Et valeurs mobilières TD ne voient pas de signes de stress pour les assureurs, mais voit qu'il y a quand même des risques pour ce qui est par exemple des activités immobilières et pour les bureaux.
Cela peut avoir une incidence pour les compagnies d'assurances.
Il s'agit d'attendre maintenant ce qui va se passer avec une détérioration des conditions de crédit, par exemple et le ralentissement économique, et d'échanges en réglementation fiscale, ce qui peut avoir une incidence sur les produits assurances et de gestion de patrimoine.
Merci.
– Merci Anthony au colis.
Regardons le TSX.
Est-ce qu'il reste en territoire?
Non. On est en territoire négatif avec une baisse de 24 points.
Ce n'est pas drastique, mais on a perdu des gains de la matinée.
Regardons quelques titres, puisqu'on parlait du pétrole brut qui est en hausse.
On voit (..
.
) qui est en augmentation, mais pas autant qu'au début de la matinée.
Shopify a été en territoire positif au cours de la matinée.
Maintenant, il est en baisse modeste.
On voit donc le sentiment qui a baissé, qui a changé depuis l'augmentation du début de la séance.
On voit que les territoires les plus négatifs.
Regardons au sud de la frontière, le S&P 500 qui est en baisse de 1 %.
40 points.
Et le Nasdaq, revenant regardons le marché américain, une baisse de près de 0,75 %.
Et Moderna, avec son vastes cinq, qui veut une approbation de l'apport de la (..
.), le territoire est toujours positif.
2,5 % d'augmentation.
Nous sommes de retour avec Stephen Biggar.
Nous parlons des valeurs financières.
Voici une autre question.
Le capital privé était toujours une partie intéressant du marché?
– Oui.
Je dirais que oui.
Je regarde certaines des entreprises, comme Blackstone et KKR, et les avantages de ces entreprises, c'est la grande flexibilité dont elle dispose et de laquelle elle dérive, c'est leurs revenus.
Beaucoup d'entre elles ont tendance à augmenter leurs activités basées sur des honoraires.
Les honoraires sont facturés pour la gestion des actifs.
Elles ont beaucoup de souplesse du point de vue de la structure du capital, puisqu'elles sont moins réglementées et elles ont des équipes qui sont très bonnes pour identifier de bonnes affaires.
Et puis, pour ce qui est de la levée de capital, elles sont très utiles.
Et elles allouent le capital là où il est nécessaire, et elles aident les entreprises qui n'ont pas nécessairement accès à un financement de la part des banques étant données le niveau de risque.
Donc, ces entreprise capitale privée fournissent un service très intéressant pour l'économie.
Maintenant, du côté des risques, on peut dire que l'on magnétisation dépend beaucoup de la stratégie de sortie, des investissements qu'elles font.
Elles ont tendance à racheter et ensuite avoir une période de détention de deux ou trois ans, quelquefois un peu plus long.
Et ensuite, se retirer de leurs investissements pour retirer leur argent.
Et donc, ce sont des acheteurs et des vendeurs qui sont patients, qui font en sorte de bien monétiser, et ensuite de récompenser leurs actionnaires avec des distributions.
Une fois que ces investissements, ces placements sont revendus.
C'est un segment intéressant du marché.
C'est un peu déroutant pour l'investisseur de la rue, disons.
Ils n'ont pas de bénéfice par action.
Ils ont des bénéfices à distribuer.
Et des différences du point de vue du bilan.
On parle de capital perpétuel.
Donc, cela ne fait pas parti du lexique de tous les jours de l'investisseur moyen.
Mais ce sont des entreprises qui sont intéressantes et qui ont des cibles assez élevées du point de vue des actifs dans lesquels elle va s'impliquer au cours des prochaines années.
– Merci de nous avoir expliqué cela.
De manière à ce que l'on puisse comprendre cette partie du marché.
J'aimerais avoir votre réflexion en tant qu'investisseur.
Comment est-ce qu'on doit avoir ce segment de titres financiers?
– Eh bien, je dirais que ce segment du marché dans son ensemble, le point de vue, c'est que nous sommes dans une situation un peu étrange.
Nous sommes à la fin de la hausse des taux d'intérêt.
Les banques vont continuer d'avoir des avantages en 2023 par rapport à 2020: il va y avoir une croissance du revenu d'intérêts, étant donné le temps qu'il faut pour que les taux d'intérêt se retrouvent sur le bilan des banques.
Ses revenus d'intérêts vont continuer à se faire sentir.
Mais en même temps, il y a une probabilité de ralentissement économique et la réserve fédérale a indiqué qu'elle était prête à avoir moins de croissance économique pour pouvoir éviter l'inflation des salaires, ce qui a une incidence sur l'inflation dans son ensemble. Ça peut être un risque pour le segment des banques et des institutions financières.
Cela, jusqu'au deuxième trimestre.
Et à partir du deuxième semestre, on pourra voir avec les banques d'investissement les activités de fusions et acquisitions et là, les grandes banques pourraient bénéficier et avoir des revenus plus élevés, étant donné leur capacité.
Par rapport au premier semestre.
Donc, je ne dis pas qu'il faille attendre jusqu'au deuxième semestre.
Les valeurs peuvent être intéressantes à différents moments de l'année.
Mais je dirais que par rapport au reste du marché, il va falloir attendre de voir ce que fera la réserve fédérale et l'incidence sur l'économie.
Si on a des taux d'intérêt plus élevé.
– Steven, c'est toujours bien d'avoir vos informations et de vous avoir avec moi cette émission.
Stephen Biggar chez (.
..
).
Assurez-vous devant votre propre recherche avant de prendre des décisions de placement.
Demain, (.
.
.), gestionnaire de portefeuille chez gestion de placements TD répondra à vos questions sur l'économie et les marchés chinois.
Ça été un segment intéressant. Je vous rappelle que vous pouvez nous envoyer vos questions par courriel.
Merci à vous tous de nous avoir suivi, à bientôt!
Bienvenue à Parlons Argent en direct présentée par placements directs Ltd. Chaque jour je suis avec des invités dont beaucoup que vous ne verrez qu'ici.
Nous allons découvrir ce qui font bouger les marchés.
Nous discuterons des conclusions des résultats des banques avec Stephen Biggar.
Bohème boiteuse nous expliqua comment trouver les actions qui attirent l'attention des analystes.
Vous pouvez nous contacter par courriel ou vous pouvez poser votre question dans la boîte de questions sous le lecteur vidéo.
Les investisseurs réagissent avec l'indice composite.
Nous sommes en territoire positif, mais de très peu.
Nous avons des gains pour ce qui est du pétrole brut avec un sentiment positif avec la réouverture de l'économie chinoise.
Regardons le résultat, une augmentation de près de 2 %, et western Gold, on le voit ici, il y a des mises à jour de production.
Les investisseurs ne sont pas contents, avec une baisse de plus de 17 %.
Du côté du S&P 500, il n'était pas en territoire positif. On a eu des résultats sur la vente au détail, ce qui montre que l'on voit encore des pressions inflationnistes, mais qui sont à la baisse.
Le sentiment des investisseurs a changé depuis cette nouvelle et on voit une petite baisse sur le Nasdaq, ici, Amazon est toujours envers, mais il a perdu des biens qu'il a obtenus au cours de la séance.
Les craintes d'un ralentissement économique sont de plus en plus présentes.
Nous avons analysé les derniers résultats des grandes banques américaines cette semaine. Voici Steven Bigard sur les institutions financières. Nous sommes très heureux de vous avoir la nouvelle émission.
– Merci de m'avoir invité.
Nous allons parler des plus grands noms. Qu'est-ce que vous pouvez dire sur les grands noms à Wall Street?
Nous avons eu encore un trimestre avec des extrêmes.
Avec des résultats d'augmentation de 20 à 30 %.
En raison des taux d'intérêt plus élevé de la réserve fédérale.
Alors que les taux d'intérêt étaient prêts de zéro il y a seulement un an.
Donc, on voit que du point de vue des revenus liés aux intérêts, les banques ont eu de bons résultats. Mais du point de vue du provisionnement des pertes, cela a compensé.
Les banques considèrent qu'on s'approche d'une économie plus faible avec une baisse des utilisations de cartes de crédit.
Pour ce qui est du marché des capitaux, il y a une faiblesse, mais elle ne s'en sort pas trop mal.
On s'attend à une baisse au cours du prochain trimestre.
Provisionnement des pertes qui a augmenté.
Et puis, un autre point important pour les banques, c'est du côté déplacement.
Il représente 45 à 50 % des activités des grandes banques aux États-Unis.
Et donc, souvent, les investisseurs attendent de voir ce qui va se passer et il y a une faiblesse du côté (.
..) en matière de placement.
– Je dois dire qu'il y a eu beaucoup de changements pour ce qui est des revenus des banques.
Parlons des activités et des marchés de capitaux.
Effectivement, on a parlé d'une économie qui allait ralentir, peut-être même une récession.
Vous avez parlé du provisionnement des pertes.
Si le deuxième semestre de cette année est meilleur du point de vue économique, est-ce qu'il y aura des activités sur les marchés des capitaux?
– Oui, c'est vrai qu'il y a une demande accumulée.
Les marchés de capitaux, les innovations qui se produisent dans l'économie sont toujours là.
Il y a de nouvelles entreprises qui veulent se lancer sur le marché.
Surtout du côté des soins de santé et de la technologie, avec les établissements, l'institution de technologie financière.
Maintenant, il va falloir aller au-delà des augmentations des taux d'intérêt de la réserve fédérale.
Il faudra voir ce qui se passera du point de vue des signaux.
C'est vrai que l'augmentation des taux d'intérêt est en train de ralentir.
On pourrait avoir peut-être une petite augmentation des taux d'intérêt. Et ensuite, quand la réserve fédérale assurera qu'elle ne va plus augmenter les taux d'intérêt, on pourra penser à une certaine instabilité et une nouvelle confiance pour les grandes entreprises aux États-Unis.
On a parlé des activités de placement pour les banques, mais il y a d'autres domaines où on veut un retour à la stabilité.
Les taux d'intérêt sont plus élevés et pour ce qui est du financement des entreprises, ça va coûter plus. Mais du côté des fusions et acquisitions, il y a beaucoup de demande accumulée.
– Alors actuel, nous avons une indication que les consommateurs aux États-Unis sont touchés par l'augmentation des taux d'intérêt, alors qu'est-ce que ça veut dire pour les activités de carte de crédit?
– Eh bien, effectivement, il y a… Il peut y avoir une baisse des ventes au détail. D'ailleurs, c'est ce qui a été annoncé aujourd'hui.
Cela va avoir une incidence en 2023 par rapport à 2022.
Le chiffre de novembre, pour ce qui est des ventes au détail, a été révisé à la baisse. Il y a des dépenses de la part des consommateurs, mais elles ralentissent.
Il y a moins de dépenses sur les cartes de crédit.
Et cela a une incidence également sur les hypothèques.
Et l'achat de maison.
Pour ce qui est des prêts automobiles également.
Je pense donc qu'il y a toute une gamme de vent contraire et pour ce qui est des ventes au détail, c'est aussi les ventes en ligne, les ventes de produits électroniques, les ventes dans les restaurants, les ventes de meubles également.
Il y a beaucoup de segments de la vente au détail qui sont en train de ralentir.
Et donc, même si on peut mentionner que les consommateurs utilisent moins de chèques et moins d'espèces, et donc, se tournent plus vers les cartes de crédit, il y a toutefois cette baisse de la consommation.
Maintenant, pour ce qui est des taux d'intérêts qui sont facturés sur chacune des cartes de crédit, cela peut représenter quelque chose de plus intéressant pour les banques, mais cela est un problème pour les consommateurs.
On voit, pour ce qui est des dépôts, qu'il y a aussi de nouvelles tendances après la (...).
Oui, les dépôts, pendant la pandémie, il y a eu beaucoup de dépôts dans les banques.
Puisque les consommateurs épargnaient beaucoup.. Il y avait des chèques d'aide gouvernementale également.
Aux États-Unis et au Canada. Et les consommateurs ne consommaient pas beaucoup parce qu'il ne peut pas prendre l'avion.
Il y a beaucoup d'établissements qui étaient fermés.
On ne pouvait pas voyager.
C'est vrai que les dépenses sont passées à des dépenses en ligne, mais il n'y avait pas autant de dépenses qu'à l'habitude.
Il y avait beaucoup de dépôts sur les comptes de chèques et les comptes épargnent, beaucoup plus élevé pendant la pandémie.
Les banques avaient donc beaucoup de liquidités.
Les taux étaient près de zéro et on ne pouvait pas vraiment avoir de rendement très intéressant. Et beaucoup de gens gardaient des liquidités dans leur compte.
Et maintenant, il y a des rendements plus intéressants avec la hausse des taux d'intérêt.
Pour les comptes épargnent par exemple.
Il y a des rendements plus intéressants. Il y a donc une migration qui est en train de se faire.
Et puis, on peut dire que l'expansion de la marge d'intérêt net a été très impressionnante pour les banques, qui a beaucoup augmenté les taux d'intérêt sur les prêts, un peu moins vite sur les dépôts et sur l'épargne.
Maintenant, on voit que les consommateurs deviennent plus intelligents, en quelque sorte, il y a des rendements plus intéressants pour ce qui est de différents titres et obligations et de transfert vers des titres et des produits qui ont un rendement assez décent.
– Et cela a une incidence sur les marges d'intérêt des banques pour 2023.
Merci.
Nous continuerons à répondre aux questions sur les actions de titres financiers. Vous pouvez nous contacter par courriel. Merci.
Voici une mise à jour sur l'évolution des marchés.
Microsoft se joint aux entreprises technologiques qui annoncent des mises à pied.
Elle annonce qu'elle va réduire ses effectifs de 10 000 employés.
Ainsi que d'autre mesure de réduction des coûts en chargera (..
.).
Alphabet, Amazon et Salesforce, (...
).
Les actions de United à Heinz sont à l'honneur.
United affirme que la demande voyage aérien reste forte, même face à l'augmentation des prix des billets.
Ses concurrents ont également déclaré que la demande de voyage continu de croître.
Et on peut voir ici United Heinz où il y a une baisse de 1,7 %.
Moderna affirme que son accent est très efficace pour prévenir la maladie chez les personnes âgées.
Le vaccin utilise la technologie à ARN messager.
Moderna prévoit de déposer une demande d'approbation dans les prochains mois. Le Canada et les États-Unis ont connu une recrudescence des cas à l'automne et on voit que l'action est en augmentation de près de 4 %.
Regardons le TSX qui est toujours en territoire positif.
On perd un peu les gains du début de séance et aux États-Unis, on regarde S&P 500 qui est en baisse de 31.
.
< Nous sommes de retour avec Steven Bégin.
La grande question de l'année: typiquement, comment se comportent les valeurs bancaires pendant une récession?
– Oui, les banques sont toujours protégées.
Dans les périodes de croissance, quand on a une augmentation des prêts et l'économie va bien, il y a une grande expansion de la marge d'intérêt. Et il n'y a pas beaucoup de charges.
Mais en même temps, les banques détiennent beaucoup d'obligations et cela peut avoir une incidence avec un changement des rendements.
Et des taux obligataires.
En général, on peut dire qu'il y a une corrélation entre la situation d'emploi ou de chômage.
Il y a une récession.
Et les charges des banques.
Si vous avez un emploi ou que vous pouvez remplacer votre emploi, vous remboursez et payer vos factures.
S'il y a plus de chômage, un taux de chômage de cinq à 6 %, il y a des problèmes pour ce qui est des dépôts potentiels de la part des clients.
Mais le portefeuille des obligataires, des obligations, est important chez les banquiers quand on demande de protéger les banques, si elle préfère avoir une augmentation des marges intérêt ou des prêts, elles disent qu'elle préfère que les marchés des capitaux soient fort, soit efficace, qu'il y ait des activités de fusion et d'acquisition, qu'il y ait des activités de banque, de placement.
Évidemment, cela a fait quand l'économie est forte.
– Pour le moment, on s'attend à une récession assez limitée.
Donc, les banques peuvent ne pas être trop touchées.
– Oui, c'est toujours compliqué dans cette question.
Ça peut être une récession courte, ç'a peint une récession plus profonde et plus longue.
Cela peut faire une différence pour tous les segments du marché.
Effectivement.
Et quand on a écouté les appels conférences des bénéfices des banques, toutes disent qu'elles attendent à une récession modeste en 2023. Et elle se prépare à cela.
Et c'est vrai que certains titres sont touchés.
Par exemple, PNC, puisque leur provisionnement pour perte est plus élevé que prévu.
Mais ils s'attendent à une récession.
Et il se prépare à (..
.).
Il y a une certaine prépondérance d'économiste qui s'attende à une récession.
La plupart du temps, on prévoit moins les récessions.
On n'est pas nécessairement bien préparé.
Évidemment, le fait comprendre récession peut amener à la récession elle-même.
Avec des mises à pied, avec la direction d'entreprises qui sont plus prudentes.
Il se peut donc que si on voit un PDG qui fait des mises à pied, un autre PDG peut décider de faire la même chose, étant donné qu'il pense qu'il peut y avoir effectivement une récession.
Donc, le fait de parler de récession peut amener à une récession.
– Une autre question de notre public pour ce qui est des entreprises de paiement comme PayPal et Square.
Avez-vous des choses à dire sur le sujet?
– Pétales et Square ont des modèles d'affaires très intéressants.
PayPal permet des achats. Vous pouvez utiliser PayPal de différentes manières et pour le paiement de personne à personne.
Square est plutôt axé sur les micros marchands.
Avec par exemple les foires artisanales.
Et ces marchands peuvent donc accepter les cartes de crédit avec une application sur une tablette, par exemple, ou un appareil ou un peut simplement glisser une carte de crédit.
Donc, ces entreprises ont aidé à la migration des consommateurs, qui sont passées des espèces au paiement avec des cartes de crédit.
Il y a de plus en plus de dépenses sur les cartes de crédit, et pétales et Square continuent d'augmenter le nombre de marchands qui utilisent leurs services.
On peut très bien utiliser ou sélectionner PayPal quand on veut cacher quelque chose.
Il y a pas mal d'occasions de croissance pour ces deux entreprises.
Mais il y aura quand même des difficultés.
Dans les prochains mois.
Ce qu'on a remarqué pendant la pandémie quand il y a une migration énorme du type de paiement, qu'on est passé des espèces aux cartes de crédit, je peux dire qu'on a accéléré la migration.
Et alors actuel, le taux de croissance est en baisse par rapport à ce qui s'est passé pendant la pandémie.
Non seulement parce qu'il y a le ralentissement de l'économie et de la consommation, mais aussi parce que la migration des espèces vers les cartes de crédit s'est déjà produit pendant la pandémie et pétales et Square ont accédé à leur croissance au début de la pandémie et maintenant, leur croissance plus lente.
– C'est un segment intéressant.
À surveiller. Assurez-vous devant vos propres recherches avant de prendre une décision de placement.
Nous regarderons dans un instant avec Stephen Biggar.
Mais tout d'abord, je vous rappelle que pour nous contacter, vous pouvez envoyer un courriel.
Maintenant, le segment éducatif.
Une des questions qu'on oppose, quand on veut faire des recherches sur les actions, on nous demande comment trouver des actions qui intéressent les analystes.
Et qui sont tendances sur le marché.
Nous avons un outil, dans CourtierWeb pour cela, qui est fourni par (...).
Qui est un fournisseur de tierce partie.
Dans le centre d'analyste, vous pouvez trouver les actions qui sont tendances.
Qui sont à la mode. Vous pouvez aller sur l'onglet recherche, ensuite le centre d'analyste, ce qui vous amène à cet écran.
Et qui vous montre les évaluations les plus récentes, les différents titres sont évalués par des analystes.
C'est l'interface par défaut, mais à droite, vous voyez les actions tendances.
Et cela va vous montrer sur un certain nombre de jours, ça dépend des paramètres que vous avez.
Ici, c'est les derniers 90 jours.
Vous avez les titres qui sont le plus évolué par des analyses. Il y a des centaines d'analystes qui sont compilées ici avec des informations qui vous montraient les actions qui sont le plus tendance, les plus populaires pour ce qui est par exemple des achats.
Si vous voulez chercher des occasions d'achat, vous avez ici amazone, qui est considéré comme une action tendance depuis cinq jours.
Et à partir de là, vous pouvez cliquer sur l'action elle-même pour avoir des informations additionnelles.
Mais avant cela, vous pouvez filtrer, vous pouvez chercher des évaluations ou des 30 derniers jours. Vous voyez que la liste change légèrement.
Vous pouvez aussi filtrer par pays, États-Unis au Canada.
Vous pouvez aussi filtrer par capitalisation boursière aux acteurs du marché.
Vous avez la possibilité de déterminer différentes tendances et différentes catégories.
Si nous revenons aux paramètres de départ avec toutes les actions, et celles qui sont les mieux évalués, si on clique sur les mieux évalués, vous avez cette liste avec des recommandations d'achat.
Vous pouvez faire votre recherche.
Vous cliquez sur l'action elle-même et cela vous amène aux différents graphiques.
Vous pouvez faire des recherches additionnelles et cliquez sur l'onglet analystes.
Vous voyez ici ce qui se passe du point de vue de la cible du cours, ce qui est prévu comme élever, comme bas.
Et vous avez ici les cotes des analystes. Il y a seulement trois évaluations ici, mais il y a d'autres actions qui peuvent avoir plus d'évaluation.
Cela dépend évidemment de l'importance de l'action du volume de l'action. Et vous voyez ici quels sont les analystes qui ont évalué l'action et quelle est l'évaluation de l'action en question de la part de ses analystes. Cela me permet donc de faire des recherches sur les actions que vous cherchez.
Voilà pour ce qui est de rechercher les actions tendances les plus évalués.
Quand vous utilisez cet outil, c'est un point de départ.
Vous pouvez aussi trouver des rapports de recherche dans cette même section.
Vous pouvez également trouver les nouvelles et une analyse fondamentale avec différentes données concernant les actions. N'utilisez pas ce point de recherche comme le seul point de recherche.
C'est un point de départ pour identifier des occasions de négociation d'action.
– Merci, Bryan Rogers, instructeur en éducation.
Allez chercher sur CourtierWeb des vidéos éducatives en direct.
Je vous rappelle que si vous souhaitez nous poser des questions, vous pouvez nous envoyer vos questions de deux manières.
Tout d'abord par courriel ou vous pouvez utiliser la bonne question sous le lecteur vidéo dans CourtierWeb.
Tapez votre question et cliquez sur envoyer.
Pour que nos invités puissent répondre à vos questions.
Nous sommes de retour avec Stephen Biggar.
Un auditeur peut savoir quels sont vos perspectives pour les grandes sociétés de cartes de crédit.
Peuvent-elles supporter une récession?
– Oui.
Quand on pense aux cartes de crédit, on pense aux émetteurs et au prêteur.
C'est-à-dire Capital One, par exemple.
Et puis, vous avez les acteurs des exécutions de transactions, comme MasterCard et Visa.
Et puis vous avez les fournisseurs comme (.
..
), par exemple.
Je pense que pour la plupart de ces entreprises, il y a une bonne croissance du point de vue des dépenses des consommateurs année après année.
Avec des taux de croissance de volume de neuf à 10 %, peut-être un peu plus.
Ces entreprises peuvent traduire le revenu par une meilleure croissance des bénéfices.
Avec une croissance des bénéfices qui est d'environ 15 %.
Vous regardez une compagnie comme Visa, qui a démarche de 16 %, c'est les meilleurs résultats pour ce qui est des entreprises cotées au S&P 500.
Ce sont des entreprises très efficaces.
Elles ont l'expérience également des cycles de ralentissement économique.
Elles ont tendance à ne pas réduire les coûts puisqu'elles sont efficaces de toute façon.
Mais elles sont à la merci des volumes de dépenses.
Bien sûr, il y a des véhicules cycliques, des vecteurs cycliques avec la santé de l'économie, une plus grande consommation de la part des consommateurs et l'utilisation de cartes virtuelles par rapport aux cartes physiques.
Il y a plusieurs risques qui sont potentiels.
Et qui vont amener à une modération des volumes de dépenses.
Cela pourra avoir une incidence sur leur croissance.
– Effectivement, il y a des risques, mais aussi des occasions à ce segment.
Maintenant, autre question: quel est votre avis sur les banques régionales?
On a parlé des grandes banques, mais qu'en est-il des banques régionales?
– C'est vrai que c'est banques ont à peu près 80 % de parts de marché.
Et qu'il y a beaucoup d'argent qui est déplacé par les grandes banques, qui détiennent ces 80 % du marché, qui sont aussi des banques internationales.
Mais pour ce qui est des banques régionales, elles gagnent de l'argent sur le marché des capitaux.
Elles facilitent le financement. Elles ont tendance à être des prêteurs hypothécaires importants.
Et donc, elles ont des activités de prêts importantes et puis aussi des activités d'assurance.
Qui ont tendance à rester telles qu'elles sont, quel que soit le cycle du marché et le cycle économique. Je crois qu'on aura peut-être une augmentation modérée, une croissance modérée des prêts en 2023.
Et on peut supposer que le marché du travail ne va pas s'écrouler.
C'est pour cela que la plupart des économistes, et moi-même en tant qu'analyste des banques, considérons que récemment, il y avait deux posts vacants pour une personne employée aux États-Unis.
Donc, il y a beaucoup de solidité sur le marché de l'emploi. Bien sûr, il faut évidemment que les personnes qui cherchent du travail puissent faire correspondre leurs compétences aux posts qui sont demandés. Les banques régionales ne sont pas assujetties aux mêmes exigences que la réserve fédérale et qu'elle est grandement. Elles ne sont pas obligées de mettre aux côtés autant de capital.
Et dans la plupart des cas, à part les grandes banques régionales, on peut dire que statistiquement, elles n'ont pas à mettre de côté beaucoup de capital.
Et cela est plus avantageux pour elle du côté du capital.
Et puis, pour ce qui est des rendements, des dividendes, trois ou 4 %, ça peut être intéressant.
Et le ratio coût bénéfice n'est pas trop élevé à l'actuel. On peut trouver une bonne valeur pour ce qui est des banques régionales.
– Oui, les banques régionales sont plus corrélées avec l'économie plutôt que les grandes banques, n'est-ce pas?
On devrait avoir une grande économie, une économie forte et peut-être que les banques sont plus soumises aux aléas de l'économie?
– Oui, comme vous l'avez dit, du point de vue économique, les banques régionales dépendent beaucoup des activités de prêts.
Les plus grandes banques, comme J.P.
Morgan, Citibank, sont à 55 ans pour ce qui est des revenus liés auprès part aux revenus non liés auprès.
Alors que régionales, c'est 70 à 75 % des revenus qui sont liés auprès.
Effectivement, il faut penser que la croissance des prêts va continuer.
Mais c'est un risque.
– Nous serons de retour avec vos questions sur les valeurs financières dans un moment.
Assurez-vous de faire vos propres recherches avant de prendre toute décision d'investissement.
Vous pouvez nous contacter à tout moment.
Si vous avez une question pose sur les placements ou ce qui fait bouger les marchés, nos invités veulent vous entendre.
Envoyez-nous vos questions.
Vous pouvez le faire de manière.
Tout d'abord par courriel ou alors en utilisant la boîte de questions qui se trouvent sous le lecteur vidéo dans CourtierWeb.
Tapez votre question et cliquez sur envoyer.
Et nous invités vous répondrons.
Les assureurs canadiens doivent oublier les résultats du quatrième trimestre dans quelques jours.
Avant cela, valeurs mobilières TD a publié son dernier avis sur le secteur.
Voici Anthony Okolie qui nous donne des informations.
– Les évaluations relatives ne favorisent pas les assureurs canadiens par rapport aux banques d'après notre dernier rapport.
Les assureurs devraient donner le rapport sur le résultat le 8 février.
Alors, étant donné les conditions difficiles pour le marché immobilier, et les évaluations relatives, valeurs mobilières TD préfèrent favoriser les banques.
Les estimations sont assez basses pour les assureurs.
Tout d'abord, le bénéfice par action pour les trois grands assureurs sera stable ou en baisse de 6 % avec une baisse des bénéfices de gestion de patrimoine et une hausse des charges fiscales.
Et puis, une croissance ralentie en 2023, reflète la transition (..
.
), la nouvelle norme de contrat d'intérêt qui est en vigueur depuis le 1er janvier.
Et le ratio coût bénéfice cible du groupe des assurances est légèrement inférieur à celui des banques.
De 10,10, cinq, un peu plus élevé que notre dernier avis pour les compagnies d'assurances, mais toujours moins élevée que pour les banques à 10.
Cinq à 11.
Et valeurs mobilières TD ne voient pas de signes de stress pour les assureurs, mais voit qu'il y a quand même des risques pour ce qui est par exemple des activités immobilières et pour les bureaux.
Cela peut avoir une incidence pour les compagnies d'assurances.
Il s'agit d'attendre maintenant ce qui va se passer avec une détérioration des conditions de crédit, par exemple et le ralentissement économique, et d'échanges en réglementation fiscale, ce qui peut avoir une incidence sur les produits assurances et de gestion de patrimoine.
Merci.
– Merci Anthony au colis.
Regardons le TSX.
Est-ce qu'il reste en territoire?
Non. On est en territoire négatif avec une baisse de 24 points.
Ce n'est pas drastique, mais on a perdu des gains de la matinée.
Regardons quelques titres, puisqu'on parlait du pétrole brut qui est en hausse.
On voit (..
.
) qui est en augmentation, mais pas autant qu'au début de la matinée.
Shopify a été en territoire positif au cours de la matinée.
Maintenant, il est en baisse modeste.
On voit donc le sentiment qui a baissé, qui a changé depuis l'augmentation du début de la séance.
On voit que les territoires les plus négatifs.
Regardons au sud de la frontière, le S&P 500 qui est en baisse de 1 %.
40 points.
Et le Nasdaq, revenant regardons le marché américain, une baisse de près de 0,75 %.
Et Moderna, avec son vastes cinq, qui veut une approbation de l'apport de la (..
.), le territoire est toujours positif.
2,5 % d'augmentation.
Nous sommes de retour avec Stephen Biggar.
Nous parlons des valeurs financières.
Voici une autre question.
Le capital privé était toujours une partie intéressant du marché?
– Oui.
Je dirais que oui.
Je regarde certaines des entreprises, comme Blackstone et KKR, et les avantages de ces entreprises, c'est la grande flexibilité dont elle dispose et de laquelle elle dérive, c'est leurs revenus.
Beaucoup d'entre elles ont tendance à augmenter leurs activités basées sur des honoraires.
Les honoraires sont facturés pour la gestion des actifs.
Elles ont beaucoup de souplesse du point de vue de la structure du capital, puisqu'elles sont moins réglementées et elles ont des équipes qui sont très bonnes pour identifier de bonnes affaires.
Et puis, pour ce qui est de la levée de capital, elles sont très utiles.
Et elles allouent le capital là où il est nécessaire, et elles aident les entreprises qui n'ont pas nécessairement accès à un financement de la part des banques étant données le niveau de risque.
Donc, ces entreprise capitale privée fournissent un service très intéressant pour l'économie.
Maintenant, du côté des risques, on peut dire que l'on magnétisation dépend beaucoup de la stratégie de sortie, des investissements qu'elles font.
Elles ont tendance à racheter et ensuite avoir une période de détention de deux ou trois ans, quelquefois un peu plus long.
Et ensuite, se retirer de leurs investissements pour retirer leur argent.
Et donc, ce sont des acheteurs et des vendeurs qui sont patients, qui font en sorte de bien monétiser, et ensuite de récompenser leurs actionnaires avec des distributions.
Une fois que ces investissements, ces placements sont revendus.
C'est un segment intéressant du marché.
C'est un peu déroutant pour l'investisseur de la rue, disons.
Ils n'ont pas de bénéfice par action.
Ils ont des bénéfices à distribuer.
Et des différences du point de vue du bilan.
On parle de capital perpétuel.
Donc, cela ne fait pas parti du lexique de tous les jours de l'investisseur moyen.
Mais ce sont des entreprises qui sont intéressantes et qui ont des cibles assez élevées du point de vue des actifs dans lesquels elle va s'impliquer au cours des prochaines années.
– Merci de nous avoir expliqué cela.
De manière à ce que l'on puisse comprendre cette partie du marché.
J'aimerais avoir votre réflexion en tant qu'investisseur.
Comment est-ce qu'on doit avoir ce segment de titres financiers?
– Eh bien, je dirais que ce segment du marché dans son ensemble, le point de vue, c'est que nous sommes dans une situation un peu étrange.
Nous sommes à la fin de la hausse des taux d'intérêt.
Les banques vont continuer d'avoir des avantages en 2023 par rapport à 2020: il va y avoir une croissance du revenu d'intérêts, étant donné le temps qu'il faut pour que les taux d'intérêt se retrouvent sur le bilan des banques.
Ses revenus d'intérêts vont continuer à se faire sentir.
Mais en même temps, il y a une probabilité de ralentissement économique et la réserve fédérale a indiqué qu'elle était prête à avoir moins de croissance économique pour pouvoir éviter l'inflation des salaires, ce qui a une incidence sur l'inflation dans son ensemble. Ça peut être un risque pour le segment des banques et des institutions financières.
Cela, jusqu'au deuxième trimestre.
Et à partir du deuxième semestre, on pourra voir avec les banques d'investissement les activités de fusions et acquisitions et là, les grandes banques pourraient bénéficier et avoir des revenus plus élevés, étant donné leur capacité.
Par rapport au premier semestre.
Donc, je ne dis pas qu'il faille attendre jusqu'au deuxième semestre.
Les valeurs peuvent être intéressantes à différents moments de l'année.
Mais je dirais que par rapport au reste du marché, il va falloir attendre de voir ce que fera la réserve fédérale et l'incidence sur l'économie.
Si on a des taux d'intérêt plus élevé.
– Steven, c'est toujours bien d'avoir vos informations et de vous avoir avec moi cette émission.
Stephen Biggar chez (.
..
).
Assurez-vous devant votre propre recherche avant de prendre des décisions de placement.
Demain, (.
.
.), gestionnaire de portefeuille chez gestion de placements TD répondra à vos questions sur l'économie et les marchés chinois.
Ça été un segment intéressant. Je vous rappelle que vous pouvez nous envoyer vos questions par courriel.
Merci à vous tous de nous avoir suivi, à bientôt!