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(musique) Bonjour, ici Greg Bonnel. Bienvenue à Parlons Argent en direct, une émission de Placements directs TD. Nos invités commentent l'actualité des marchés et répondent à vos questions sur les placements. Pour répondre à vos questions, aujourd'hui nous allons entendre Scott Colbourne qui va nous donner son point de vue sur les titres à revenu fixe alors que la Fed envisage toujours trois réductions de taux d'intérêt cette année. En matière d'éducation, nous allons voir comment vous pouvez trouver plus de renseignements sur la plate-forme. Pour communiquer avec nous, envoyez-nous un courriel à l'adresse qui figure à l'écran ou alors utiliser la case prévue à cet effet au bas de l'écran. Mise à jour des marchés. De nouveaux records à Wall Street, d'abord ici le TSX, 97 points ou presque, à la hausse. Parmi les titres les plus actifs, il y a Barrick Gold, les aurifères grimpent aujourd'hui, on a vu évidemment par ailleurs Couche-Tard qui baisse d'environ 3,5 %. C'est décevant comme trimestre pour Couche-Tard. Je reviendrai plus tard. Au sud de la frontière avec le S&P 500, Nasdaq, de nouveaux records aussi. Depuis hier, aujourd'hui, ça grimpe. En matière de cours. Le Nasdaq est à la hausse de 117 ; presque trois quarts de pour cent, le S&P 500 et envers aussi sur mon écran. Quelques titres apprécient. Micron Technology, une hausse de presque 15 % avec les investisseurs un gala résultats du trimestre et leurs prévisions. Tout ceci est lié à la demande sur les technologies d'intelligence artificielle. Apple, maintenant. Des petits problèmes au ministère de la justice qui dise qu'ils vont poursuivre l'iPhone pour monopole. Les actions d'Apple ont baissé de presque 4 %. Voilà la mise à jour des marchés pour l'instant. Grosse semaine pour les banques centrales. La Fed américaine maintient qu'elle prévoit toujours trois réductions de taux cette année. Qu'est-ce que ça veut dire politique à revenu fixe. Nous allons entendre un spécialiste de gestion de placements TD. Ravi de vous accueillir. Commençons par le principal, les banques centrales, la Fed qui ne modifie pas ses prévisions. - Trois réductions cette année. Oui, semaine importante que la Fed nous a donnée, je dirais. L'impression qu'elle serait accommodante et que ce serait bien pour les titres à revenu fixe. Donc trois réductions de taux prévus cette année. Les taux à 10 ans, cinq ans, il y a eu un rallye à la fin de l'année dernière, une cinquantaine de points de base, au Canada et aux États-Unis, une meilleure croissance, une inflation plus forte que prévu. Donc avant la réunion d'hier, les marchés s'attendaient peut-être à deux réductions de taux d'intérêt cette année et ils ont été étonnés sur les marchés donc. Je pense que le gouverneur Powell de la Fed a dû coûter la trajectoire en matière d'inflation, nous sommes plutôt à l'aise, donc même si c'est un peu chaotique comme route, mais c'était des impressions mixtes. Donc ils ont augmenté ce qui est prévu pour 2025 2026, mais au fond les marchés se disent qu'à court terme, qu'on prévoit pour l'année en cours, c'est ce qu'on a indiqué. Le message qu'on retient, c'est que les banques centrales envisagent peut-être de réduire les taux d'intérêt une première fois en juin, septembre, décembre, aussi bien pour la Banque du Canada que pour la Fed. - Donc prenons l'exemple des États-Unis. La Fed de reconnaître que l'économie américaine et vigoureuse, l'inflation, ça prendra un peu plus de temps pour aller à la baisse comme on le souhaite. Donc est-ce qu'ils ont besoin de constater que le consommateur américain faibli un peu avant de réduire les taux d'intérêt? - Oui, on a un peu l'impression qu'il se concentre sur les marchés de la main-d'œuvre et ils examinent ça de très près, si à une détérioration de ce côté. Il y a un petit réajustement. On a vu ce qu'il en est des emplois aux États-Unis, quelques résultats qui sont venus. Donc je dirais grosso modo qu'après la Covid, il y a une certaine normalisation du marché de travail aux États-Unis. Ce n'est pas extrêmement préoccupant, mais c'est quand même plus faible. Et la Fed, bien sûr, suis ça de près. Une meilleure croissance, mais nous prévoyons que cette tendance des inflationnistes va continuer d'évoluer, donc ils examineront les données d'ici le mois de juin. Beaucoup de données à venir et guidera toutes sortes de renseignements sur les prix à la consommation, mais ils ont dit que c'était incertain, mais grosso modo nous avons plutôt confiance que ça passera vers 2 % en dépit du chaos sur la route. Une question de timing qui va jouer, mais juin, sans doute ce sera le moment. Donc le message de la Fed, les marchés sont satisfaites message. Suite par ailleurs, d'autres banques de par le monde, est-ce qu'il a des modifications? -, Je dirais qu'il y a eu six marchés développés, dont les banques centrales, c'est en les marchant développement, qui se sont prononcés. Donc il y a eu un certain nombre de réductions du côté des marchés développés. D'abord la Banque du Japon. Ils ont retiré leur politique de taux d'intérêt négatif ayant commencé un processus de normalisation. Ceci dit moi, j'aurais décrit ça comme quelque chose de la resserrement très modeste. Par ailleurs, ce matin, c'est la banque centrale de Suisse qui a réduit ses taux d'intérêt. Ils ont étonné les marchés. Alors je vous dirais que toute banque centrale, celle de l'Australie, de l'Angleterre, la Suisse la Banque du Japon, la Fed, grosso modo, elles ont toutes dit qu'elles étaient un peu plus optimistes. Donc la trajectoire ce sera de réduire les taux d'intérêt cette année. Quand on voit ce que les marchés ont déjà prévu, à peu près tout le monde a prévu qu'il y aura une première réduction des taux en mai ou juin. - Très bien, qu'est-ce que ça signifie pour les titres à revenu fixe? - J'ai pris du recul, j'ai dit qu'il y a eu ce grand réajustement de 50 points de base, maintenant ça baissait quelque peu et oui, il y a bel et bien eu une réaction positive, mais écoutez, ça va signifier que le scénario le plus probable quand on voit les sites antérieurs et qu'on compare, pour venir à la première réduction de taux d'intérêt, c'est un bon moment pour être dans les titres à revenu fixe. Donc la période actuelle, c'est plutôt réajustement plutôt que le début d'un cycle de réduction de taux d'intérêt très prononcé, mais d'ici trois mois, j'ai confiance on peut pas miser contre la Fed, d'ici fin juin, on verra les données d'ici juin. Après-coup, nous verrons bien, après la première réduction de taux d'intérêt. Suite à la question pour les investisseurs, quels sont les catégories d'actifs, est-ce que les marchés ont déjà prévus ça, du point de vue des cours aussi il y a encore place pour que cela continu d'évoluer? - Peut-être qu'on est allé un peu trop loin l'an dernier, maintenant on revient trois, il y a la place pour dire, écoutez, si les données le justifient, au moins trois réductions de taux, puis l'année suivante, on verra bien. Donc peut-être les taux d'intérêt à plus long terme vont baisser aussi à ce moment-là et ce sera intéressant pour les investisseurs de titres à court terme. Il y a toujours des risques, on ne sait jamais ce qui nous attend. De la rue. Prenant la Fed, qu'est-ce qui faudra qui se produise pour que la fait dit : écoutez, c'était pas le bon moment de réduire autant que ça les taux d'intérêt en 2024. - Écoutez, ça dépend des données. Cité donnait nous indiquer autre chose, mais si on s'éloigne des États-Unis, les données nous montrent que l'inflation ralentit au Canada, IPC jeudi a attiré l'attention des marchés, c'était plus faible que prévu. La banque d'Angleterre aujourd'hui a pris une décision après avoir attendu donc dans quand on prend un peu de recul, encore une fois, au-delà de ce moteur exceptionnel que sont les États-Unis, la tendance quand même, c'est de penser qu'il y aura des réajustements modestes à la baisse est moins inflation. Il faudrait que ce soit une vraie surprise du côté des États-Unis pour qu'il n'y ait pas de baisse des taux d'intérêt, mais somme toute, à l'heure actuelle la trajectoire y est, et tenez compte du fait que la Fed se concentre non pas sur l'IPC mais sur lui PDF, et ça, c'est quand même moins solide que pour l'IPC. - Bon début d'émission. Donc si vous avez des questions sur les titres à revenu fixe, pour Scott Colbourne, il répondra à vos questions bientôt. Vous pouvez nous envoyer vos messages de deux façons que vous connaissez déjà. Donc maintenant, mise à jour de ce qui se passe dans le monde des affaires et ce qui se passe sur les marchés boursiers. Couche-Tard, donc aujourd'hui, on voit ce qui se passe. Une baisse donc des recettes au dernier trimestre. Couche-Tard dit qu'il y a eu des problèmes à cause du carburant, les prix du carburant. À l'heure actuelle une baisse donc de 3,5 % du cours de leur action. Maintenant, Micron Technology est à la hausse, fabricant de puces, donc bonnes prévisions de vente, et des puces qui servent pour les applications d'intelligence artificielle, et qu'on commence déjà à vendre ce qui est prévu pour 2025. Parmi ses clients NVIDIA. Donc une hausse de presque 16 %. Reddit, média social qui se lance sur les marchés. Donc 34 $ l'action. Donc 6,4 milliards de dollars au total et en a pas eu la première transaction encore, mais c'est prévu à 34 $ pas enverra bien, on va suivre ça de près. Il y a des gens qui s'intéressent à Reddit, mais les gens qui s'intéressent aux technologies vont se demander ce qui se passe par ailleurs dans ce genre de marché, si ça réussit bien pour Reddit. Nous surveillons donc la première transaction de Reddit. Alors au nord comme au sud de la frontière, des records, 99.2 hausses pour le SCP TSX, et au sud de la frontière, le S&P 500, nouveau record, hausse de 34 ; un peu plus de 1,5 %. Alors Scott Colbourne répond à vos questions sur les titres à revenu fixe. Que doit-on attendre de la part de la Banque du Canada alors qu'Avril arrive. - Étant donné ce qui se passe en matière d'inflation cette année, je pense que l'on constatera les premières indications que la banque a signalées, sa façon de percevoir des réductions de taux d'intérêt. Les marchés n'ont pas prévu pour l'instant de baisse de taux d'intérêt. Nous ne pensons pas qu'il y aura de baisse des taux d'intérêt au Canada rapidement. Alors nous allons nous concentrer sur juin, mais quand même, bientôt, nous verrons un peu comment la Banque du Canada entrevoient les choses. La croissance est modérée au Canada, plus modeste qu'aux États-Unis. L'inflation baisse un peu. Donc la banque va réexaminer tout ça, je pense pour nous indiquer ce qu'elle pense de la situation. Est-ce que ce sera juin ou juillet pour la première baisse de temps? On verra bien, mais une fois qu'il commence à réduire les taux d'intérêt, qu'est-ce qu'on aura par la suite, est-ce que ce sera très régulier? - Pour l'instant, grosso modo, les marchés, nous sommes d'accord, ce disque ce sera des réajustements trimestriels. Il y aura une baisse, une pause. On a eu ce genre de commentaire, donc évidemment, cela indique que ce sera une pause après une première réduction de taux d'intérêt, et puis on verra. Étant donné ce qui se passe pour ce qui est d'un inflation qui se maintient quand même, c'est une façon prudente de faire des réajustements. - Un des gouvernants de la Banque du Canada, pas le principal dirigeant mais un membre de l'équipe, m'a dit qu'il entrevoit un resserrement quantitatif en 2025. Il faudra voir. Donc resserrement quantitatif qu'est-ce que ça peut signifier pour les obligations? - Ce programme étend réajustement. Ça a été utilisé pour soutenir les marchés évidemment, mais ça a été un processus très discipliné au Canada. Les réajustements pour obtenir le bon niveau de façon à ce que ce soit conforme à ce que la banque, enfin la réserve peut offrir, et vont réduire 102 025, lisant les outils. S'il y avait des pressions sur le marché quotidien, ils pourront répondre à ces pressions rapidement. Et on a eu un avant-goût de la part de la Fed aussi. Donc ils ont eu un programme de resserrement quantitatif, et ils veulent maintenant s'en éloigner. Monsieur Powell a indiqué que probablement la prochaine réunion il y aurait une meilleure indication de ce que sera ce réajustement. En bout de piste, la trajectoire, c'est de voir quel est le bon niveau à maintenir, les réserves, que ce soit la Fed de la Banque du Canada, ils faut voir quelles seront les besoins pour l'économie. - Une autre question au sujet des banques. Une fois que les baisses de taux d'intérêt seront lancées, quelles seront les réactions prévues pour ce qui est des produits et les grandes sociétés. - Il y a la question des Duration. Quelles seront les conséquences quant aux baisses de taux. L'orientation de la courbe des rendements, on prévoit que ce sera plus raide. Donc au milieu de la cour, en général, ça réussit mieux que les extrêmes. Donc c'est sûr qu'on peut s'attendre. Les crédits maintenant, les rendements sont bons dans ce genre de situation, les obligations d'État, 150 points de base, c'est très attirant. Les écarts sont serrés par comparaison aux tendances historiques, mais il n'y a pas de grand nuage à l'horizon qui nous indiquerait qu'on doit s'éloigner des titres de créance. Les produits de crédit. De bonne qualité évidemment. Alors tout ça est tout à fait sensé. - Une autre question maintenant. Sur les politiques fiscales, donc le budget tabou du Canada, qu'est-ce qui le rendrait inflationniste. Ça été une des grandes préoccupations l'an dernier quand on a parlé du budget. - Oui, de leviers politiques, monétaires et fiscales. Donc il y a deux grands acteurs, le gouvernement fédéral et les gouvernements provinciaux. Il faut tenir compte des deux grands joueurs. Les pouvoirs discrétionnaires du gouvernement, quand on exclut les transferts de fonds, les engagements, intérêt, c'est environ 20 % du budget. Alors vous le savez, en voilà quels seraient les mesures que le gouvernement fédéral et provincial peuvent faire sur les trois grands facteurs de l'économie. Les consommateurs, les gens d'affaires est bien évidemment les gouvernements. Je vous dirai que les ménages, grosso modo, sont un peu serrés budgétairement, et donc ils attendent plutôt quelque chose de la Banque du Canada pour les aider. Investissement, maintenant, si on peut avoir des politiques qui soutiennent la productivité, les investissements d'affaires, ce serait positif pour l'offre dans l'économie. Ça permettrait de croître plus rapidement, d'accroître la demande sans que ce soit inflationniste. Donc voilà ce que surveillerait, ce serait positif. Le gouvernement de lui-même aurait contribué à l'inflation, mes grosses motos ils ont moins de marge de manœuvre, de liberté. Pour l'instant ce n'est pas une grave préoccupation, mais cela dit, écoutez, les gouvernements sont alors actuels en train de réduire, donc ça va continuer d'être un vent de dos pour l'économie, mais tout cela est assujetti à l'équilibre entre l'offre et la demande. Si ces politiques stimulent la demande, sans réajuster l'offre, en bout de piste sera inflationniste à la banque devra surveiller sa. Suite le budget, ce jour-là va parler de taille du déficit, est-ce qu'il y a un plan pour trouver l'équilibre, il y a des questions politiques vont se poser, mais pour les titres à revenu fixe comment percevoir tout ça? - Évidemment nous somme préoccupé à cet égard. Grosso modo, combien le gouvernement va-t-il s'endetter? Dans la mesure où n'y aura pas de réduction à plus long terme de la dette par rapport à la taille de l'économie, s'exercera des pressions notamment à l'extrémité de la courbe de rendement. Donc oui, ça compte, mais ça compte pour l'émission, mais ça compte aussi dans la mesure où ça influe sur la demande en fonction de l'offre. À surveiller. C'est le 16 avril. On s'y prépare. - Une autre question. Pour le dollar, pour les devises canadiennes américaines, quels sont vos perspectives? - En gros, alors qu'il y a ce nouveau cycle qui commence, bientôt ceux de la frontière à des baisses de taux d'intérêt, on pense, et c'est typique, que le dollar américain sera moins vigoureux, ce serait bon pour les autres devises de par le monde, dans le dollar canadien qui devrait en tirer parti et tirer parti aussi d'une hausse de la valeur des matières premières. Donc je pense que le dollar canadien sort un peu plus fort, mais cela dit, je ne pense pas qu'à court terme il y aura un grand cycle de baisse des taux d'intérêt ou que ce soit. Donc ce sera plutôt relatif. Dans combien de Canada, de combien de réduire par rapport aux États-Unis, bon. - Je reviens notre mise de base. Dollar américain plus faible et la devise canadienne devrait somme toute mieux sentirait. Donc un certain degré d'écart avec les politiques monétaires américaines et canadiennes, c'est ça qu'il faut surveiller, mais au fond, il existe un peu la même chose. - Oui, ce qui est prévu par les marchés, c'est à peu près la même chose au Canada et aux États-Unis. Trois réductions de taux d'intérêt. Donc pas beaucoup de divergences. Suite encore et toujours, faites vos propres recherches avant de prendre des décisions de placement. Nous reviendrons voir Scott Colbourne en quelques instants, je vous rappelle que vous pouvez communiquer avec nous à tout moment nous écrivant. Maintenant dans le secteur de l'éducation. Enseignement éducation aujourd'hui. Une méthode pour la recherche, c'est à nous intéresser à ce que les analystes disent. Alors nous avons un spécialiste qui va nous en parler. Ryan , nous sommes contents de vous voir. Comment pouvons-nous trouver des renseignements sur ces questions? - Oui bien sûr, c'est toujours un plaisir. Donc d'abord d'un point de vue des analystes, à l'entente sur CourtierWeb pour voir où vous pouvez trouver ces renseignements. Donc dans l'onglet recherche, son marché, cette colonne, ou centré assure analystes, donc c'est un logiciel de tiers auquel nous avons accès qui est formidable, et vous voyez ici les modifications les plus récentes pour ce qui est des côtes que les analystes accordent. Acheter, vendre, on maintient ses positions ou les cours ciblent qu'ils envisagent pour telle ou telle action dans les mois à venir. À gauche aussi, si vous allez sur filtre, ils ont des cotes de rendement, aussi, vous pouvez cliquer sur le nombre d'étoiles. Si vous voulez voir acheter ou vendre maintenant les positions, vous pouvez cliquer là pour avoir le filtre à cet effet ainsi que pour les marchés la capitalisation boursière. Donc il y a beaucoup de choses que vous pouvez faire ici simplement pour voir les tendances les plus récentes, et modifications. Si vous voulez voir aussi ce que la plupart des analystes examinent, ce qu'ils ont modifié, posté de leur cote, vous pouvez voir les tendances, cliquez sur tendances, action. Donc les mieux et les moins bien côté. Vous pourriez utiliser les filtres pour voir ce qu'il y a comme changements depuis 72 heures, sept jours ou 30 jours, dont beaucoup de renseignements disponibles pour avoir une idée de la part des analystes, pour mieux vous orienter. - Bien. Donc il y a un type qui nous intéresse, disons. - Je balbutiais un peu, mais soyez patients. À titre un titre qui nous intéresse quels sont les renseignements disponibles pour ce titre dans CourtierWeb? - Si vous avez un type qui vous intéresse et que vous êtes sur le sens des analyses, retournant sur CourtierWeb. Quand vous êtes dans ce sens, il y a un type qui vous intéresse, il y a plusieurs choses sur lesquelles on peut cliquer. Donc sur CourtierWeb on peut cliquer sur le symbole même de l'action qui vous amène à la page de survol des Renseignements généraux. Ici on utilise l'exemple de NVIDIA. Si vous cliquez sur analystes, maintenant en ciblent plus précisément tous les renseignements qui ont à voir avec ce titre précis. On fait défiler, on voit plusieurs renseignements, on voit ce qui se produit. Ils ont pris tous les commentaires des analystes, ils les ont rassemblés en une seul et même endroit pour ce titre. Donc acheter, maintenir, vendre, il y a les cibles de cours d'action pour les mois à venir. En défilant corps et envoyer individuellement les analystes qui pensent est-ce qu'ils entrevoient pour tel ou tel titre, si vous avez suivi telle ou telle analyse vous pouvez cliquer sur plus et voir ce qu'il prévoit. C'est très détaillé, très intéressant, ces analyses sont du domaine industriel légal ne sont pas forcément de la TD, je veux dire dans vous pouvez cliquer sur leur nom, et voir le taux de succès ou d'échec qu'ils ont connu. Donc une bonne façon d'avoir une certaine idée de ce qu'on peut faire pour mieux s'orienter et c'est comme pour tout le reste quelque part tous les placements, vous devez faire vos propres recherches. Il suffit pas qu'un analyste le dise pour que vous deviez le faire, mais on a là quand même un bel outil. - Merci beaucoup, Ryan. Suite merci à vous. Donc c'était le segment éducation. Assurez-vous d'aller voir le centre d'apprentissage pour trouver des vidéos des classes de maître. Avant de revenir sa vocation sur les titres à revenu fixe, comment communiquer avec nous. Pour nous envoyer vos questions, après tous nos analyses, nos spécialistes veulent vous entendre. De façon de procéder. Sommes-nous en voyant courriel à moneytalklive@td.com, vous vous utilisez la boîte de questions au bas de votre écran. Sur CourtierWeb. Tapez votre question et envoyez-la. On verra si à nos invités peuvent répondre ici même. De retour n'avait Scott Colbourne, des questions sur les titres à revenu fixe. Question à deux volets. Donc on va se concentrer sur le premier volet. Donc la courbe des rendements sur les 10 ans à grimper après l'annonce de la Fed hier. Pourquoi? - Comme je l'ai dit plus tôt, l'attente, cette année, c'était d'avoir non pas 6 mai trois réductions de taux d'intérêt. Donc, en fait on pensait que ce serait deux, et finalement saucer… et dans un cycle de baisse de taux d'intérêt, ça veut dire que le début de la courbe, c'est dans intérêt. On a veillé à ce qu'on aurait une courbe qui serait plus [---] dans quelques points de base d'écart, c'est conforme avec l'impression générale, on est passé de six à trois baisses de taux intérêt, donc la Fed a annoncé ça, ça dépendra des données que l'on recevra. Ça réduit les pressions début de la courbe des rendements. Alors que les données nous parviendront dans les mois à venir, on verra qu'en fin de compte ça va devenir de plus en plus semblable probablement, au début courbe. - Une question maintenant toujours des gens qui nous écoutent. Comment envisager les conséquences possibles de l'élection américaine? - C'est difficile de trancher à l'heure actuelle. On peut voir un peu ce qui s'annonce d'après les analystes de la situation politique. On se concentre sur certains états clés, des États-Unis. Il est trop tôt pour trancher. Je dirais que les deux candidats, probablement, vont beaucoup dépenser pour etc., mais en pratique il y a beaucoup de choses que la rouleau devienne président, il y aura des dépenses aux États-Unis, mais dans quel domaine, c'est difficile de trancher. Les marchés inclinent à penser que ce serait tram qui serait élu, mais il y a beaucoup de volatilité autour de l'élection. - À surveiller. En vous pose la question à tous. On verra bien. Alors votre point de vue sur les rendements élevés? - Man, les titres de créance dans le marché des titres à revenu fixe et un domaine brûlant à l'art actuel. Pour les titres de grande qualité, nous aimons toujours ce secteur du marché. Il y a des gens qui se concentrent sur l'écart qui existe et que c'est un peu serré alors actuel, quand on parle des écarts, s'est fondé sur des donnés historiques mais l'un des grands facteurs à l'art actuel, c'est cette attente que ce soit stable auquel il y a réduction des taux d'intérêt. Donc ces rendements sont quand même attirants. Il y a nouvelles émissions États-Unis au Canada, et ça été tout de suite acheté. Donc le marché des rendements élevés, c'est toujours attirant. Donc 7,5 ou,8 %, évidemment, les titres BB, de qualité plus élevée reste très actif. Il y a beaucoup plus de risques dans le triple C, mais le marché qui s'intéresse au titre revenu de qualité et même pour les titres flottants, c'est intéressant. C'est une des raisons pour lesquelles les taux d'intérêt, les rendements sont plus élevés, ce qui a plus de risque évidemment. Souhaite sur la cithare ni élevés, il y a toujours des risques. S'il y avait un atterrissage un peu catastrophique de l'économie, ce serait autre chose. Les écarts seraient plus prononcés entre les titres de grande qualité et les titres de moindre qualité. Il faut tenir compte de tout ça. Et voir l'ensemble du secteur. Le financement est commencé pour 2024 et 2025 donc ça été positif pour certaines compagnies qui étaient un peu à risque, n'est-ce pas, mais il y a plus de vent de dos que devant défavorable. Mais dans ton marché, il y a des risques, que ce soient des titres à revenu élevé, à rendement élevé, s'il y avait un choc dans l'économie, ce serait autre chose. - La Banque du Japon, on a parlé un peu plus tôt, est-ce que la grande décision de la Banque du Japon fait en sorte que les titres japonais sont plus intéressants? - C'est le début d'un changement au Japon. Ça été un changement considérable que de laisser tomber les taux d'intérêt négatif et tout ne se produit pas du jour au lendemain, mais c'est le début d'un changement. Une des choses sur lesquelles je me concentre, c'est l'attractivité des obligations d'Etta japonaise par opposition à ce qui existe ailleurs dans le monde. Donc il y a un retour peut-être du côté du Japon par rapport au reste du monde. Si on prend, si on élimine le risque de devise, et qu'on passe du côté du Japon, c'est un rendement négatif. 75 ou 85 points de base. Ce comportement va se modifier au fil du temps. Ce ne sera pas ultrarapide, mais c'est la manière japonaise, c'est-à-dire que c'est très graduel. - C'est quand même notable c'est noté. Et si c'était soutenu à long terme, évidemment va surveiller ça de près. On reviendra vocation à quelques instants. Assurez-vous de faire votre propre décision avant de faire des placements. Communiquer avec nous quand vous le voulez. Si vous avez des questions sur les placements et sur les marchés, nos invités veulent vous entendre. Envoyez-nous vos questions . Deux façons de procéder. Soit par courriel à moneytalklive@td.com, ou dans la boîte de questions bas de votre écran. Tapez votre question, envoyez-la nous. On verra si à nos invités peuvent répondre ici même à l'émission. Voyant la plate-forme avancée de la Banque TD pour les gens qui sont très actifs sur les marchés. Donc la fonction ici, on voit un peu où c'est le plus actif on va commencer par les pour et les volumes. Le TSX atteint un nouveau record. Qu'est-ce qui se passe? D'abord envers l'écran, à la hausse, les secteurs financiers. Certaines banques, la banque Colossiens, une certaine hausse, Brookfield ici, un peu plus de 2 %. On a parlé d'Alimentation Couche Tard, plutôt, résultats décevants pour le trimestre, une baisse de 3,8 % et puis qu'Amico, uranium, une hausse de 2,5 % aujourd'hui. Au sud de la frontière maintenant, des records là aussi. À la suite des annonces de la Fed, le S&P 500 figure à l'écran, et Apple, l'accusant de pratiques monopolistiques en matière de téléphonie, baisse de ce côté, il y a du vert par ailleurs. Les fabricants de puces comme NVIDIA ou Intel, et le secteur financier, dans la banque of America. Donc vous pouvez aller voir notre plate-forme évidemment pour obtenir plus de renseignements. De nouveau Scott Colbourne qui va nous parler des titres à revenu fixe, mais aussi les taux pour les CPG. Est-ce qu'ils ont atteint leur pic à l'heure actuelle? - Si je vous dis que probablement il y aura implique dans les taux d'intérêt, qu'il y aura une baisse, évidemment ça a des conséquences sur les CPG. Ils ont atteint eux aussi leur pique et parte un peu à la baisse. Mais à plus long terme, maintenant, quelle est la trajectoire pour les CPG? Je crois fermement que ça ne retombera pas à zéro, mais oui on atteindra des niveau plus ferme, on atteindra des pics. Suite à l'encan de ce qu'on a vécu il y a plusieurs années, les gens n'ont pas porté beaucoup d'attention CPG, est-ce qu'il doit maintenant se dire qu'un CPG ça ne se comporte pas comme un instrument à revenu fixe. Oui, il faut être au courant de la différence entre les deux. Il y a des différences fiscales en matière d'impôts, de liquidités, de possibilité de tirer parti des hausses des appréciations de prix ou pas. Alors on tire parti de certains facteurs. Ça ne joue pas le même rôle dans votre portefeuille, et j'aime bien le fait qu'il n'y a pas de volatilité, de côté prévisible, mais quand même ce ne sont pas les mêmes caractéristiques ça ne sert pas les mêmes fruits dans le portefeuille. - ; Il faut tenir compte de diverses possibilités. Maintenant la Chine. Problèmes économiques là-bas, est-ce que ça a des conséquences sur le marché obligataire? - Grosso modo, après la Covid, la réouverture en Chine a été décevante. Il y a le fait qu'il y a eu plutôt une tendance des inflationnistes en Chine. Ils ont beaucoup de problèmes. Les décideurs ont pris d'autres orientations que les nôtres là-bas. Donc il y a un réajustement à la baisse en matière de inflation qui est intéressant pour les banques centrales, mais on n'a pas sans Chine. Donc oui, ça été un défi, ils ont des preuves nationaux là-bas sur le plan de l'inflation et les marchés obligataires, mais en bout de piste, pour moi c'est positif. C'est-à-dire que le rendement à long terme ont beaucoup baissé là-bas, il y a eu une reprise depuis lors. Donc dans le mandat développement, ça grimpait, et obligataires, mais en Chine c'était le contraire. Exactement la situation inverse. - Toujours intéressant, vous avez raison de dire que ce qui est intéressant pour un investisseur, ça peut être un élément négatif pour un autre. Est-ce qu'on devra surveiller la Chine, des gens s'attendent à ce que l'économie redémarre un peu plus vite, qu'est-ce que vous pouvez nous en dire? - Il faut tenir compte, oui. Ils réfléchissent de manière serrée à la façon de mettre en œuvre les politiques. Et non font pas que jeter de l'argent sur n'importe quelle direction. On a l'impression que ça peut être un terme creux dans les marchés des actions, notamment, on n'en parle beaucoup, les actions, il faut tenir compte qu'on ne peut pas s'en tenir aux décideurs pour qu'ils fassent dans le monde industriel et développé, on peut pas s'attendre à ce qu'ils se comportent de la même façon en Chine. Les pressions s'exercent autrement là-bas. - Avant qu'on vous laisse partir de quel squat, je reviens ce que nous avons dit au début. Nous avons quand même une économie américaine qui a défié les attentes, qui est vigoureuse, mais la Fed quand même trois réductions de taux d'intérêt d'ici le reste de l'année. Quelle est l'ambiance, quelle attitude? Qu'est-ce que ça nous dit sur les marchés? - C'est l'atterrissage en douceur. C'est vraiment ce qu'il y a de mieux. Ça se confirme, ce serait absolument étonnant qu'on ait réussi cet atterrissage en douceur. On le surveille de près évidemment. On surveille les données. L'inflation est à la baisse, la voie n'est peut-être pas aussi claire et nette que ce que tout le monde souhaiterait, mais il y a une réduction d'inflation et l'économie est vigoureuse. C'est bon du côté de l'offre. Le réajustement, l'économie grandit, c'est le bon côté de la demande aussi et c'est bon pour d'autres catégories d'actifs. Maintenant la Banque du Canada, en avril, c'est bientôt. Alors probablement qu'en avril on sera mieux fixé par rapport à la Banque du Canada. Merci beaucoup, Scott, à la prochaine. Suite merci à vous, ça été un plaisir. Ensuite nous avons accueilli Scott Colbourne. Assurez-vous de faire vos recherches avant de prendre des décisions de placement. Restez des nôtres, nous reviendrons demain pour parler des marchés et de l'ensemble de la semaine. Lundi, Nicole Ewing va nous parler de planification fiscale et de patrimoine. Ces questions sont parfois assez complexe de par leur nature. Donc Nicole va nous aider. Envoyez vos questions d'avance à moneytalklive@td.com. Voilà, c'est tout pour aujourd'hui. Merci d'avoir été des notes. À demain.