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(musique) - Bonjour! Ici Greg Bonnell et je vous souhaite la bienvenue à Parlons Argent en direct qui vous est présenté par Placements directs TD. Chaque jour.
Je suis joint par les invités de la TD qui répondent à vos questions sur les investissements pendant l'émission d'aujourd'hui, dans un contexte inflation continu, nous discuterons avec Scott Colbourne de Gestion d'actifs TD de la question de savoir si nous sommes vraiment de la fin de la cycle des hausses.
Anthony Okolie présente un rapport sur la perspective des prix du bois et dans le segment éducatif, nous allons voir comment l'échelonnement des obligations fonctionnera. Alors, vous pouvez nous contacter, envoyez-nous votre question par courriel à moneytalklivetd.com et voici comment vous pouvez aussi vous contacter remplissant la boîte de questions sur votre écran.
Parlons maintenant de l'indice composite TSX.
Donc un peu à la baisse 41,40.
. Pas trop de dramatique, mais c'est le pétrole qui est à la baisse.
Le pétrole de l'Ouest principalement. Donc ça mène à des hausses et des baisses. Regardons maintenant le Barrick Gold : le prix de leur état ne recule pas énormément, 1,7 % de baisse.
Et nous avons aussi Nutrien car qui connaît une baisse plus importante celle-là.
À Washington, on continue à avoir des débats sur le plafond de la dette et cela affecte évidemment les indices de référence.
Mais le président Joe Biden a annoncé que dès dimanche, ce sera réglé. C'est pour cela qu'on va le S&P 500 un peu à la hausse d'un demi pour cent. Voyons pour le Nasdaq.
Même chose. 1/2 % de hausse.
Et Tesla a tenu son assemblée générale annuelle hier, des membres et des actionnaires, et donc, Tesla souhaite reconstituer le marketing de son offre. On voit une hausse déjà de presque quatre cubes. 2 % sur Tesla.
Le dernier rapport sur l'inflation Canada montre qu'il pourrait être difficile de contenir la hausse des prix à la consommation.
Scott Colbourne directeur général de titres à revenus fixes à Gestion d'actifs TD nous rejoint pour discuter de ce que cela veut dire.
Ça été une année intéressante, une année qui connaît bien des hauts et des bas. On en arrive à presque la moitié de l'année, et nous voudrions savoir est-ce qu'on approche de la fin du cycle de hausse des Par la Fed: Par la Fed: - Les gens se posent la question que se passe-t-il avec cette inflation? En effet, les gains faciles suite à cette inflation sont derrière nous. Je crois que le gouvernement a indiqué qu'on arriverait probablement après de 3 %.
Vers la fin de l'année. Nous en sommes à 4 % à peu près.
Sur l'inflation globale.
Année sur année, 4,2 %, nous arrivons probablement à la fin de l'année à 3 %.
L'élément difficile sera de devenir au point neutre de 2 %, la cible optimale.
Donc oui, ce n'est pas facile mais la partie n'est pas finie. Maintenant, on transitionne dans la dépendance des données et on pourra avoir des surprises positives du côté des États-Unis.
Donc, les gouverneurs de la Fed commencent à parler un peu durement.
Mais donc, ça nous appelle un environnement de plus fluctuant, plus difficile.
- Donc dans un environnement obligataire qui consiste avec que cette transition. Peut-être que la Banque du Canada va être influencé par cela. Parce qu'en ce moment, c'était une pause conditionnelle. On dit que peut-être ça va être rose et encore une fois.
- Non. Je crois que c'est assez juste. Les marchés n'ont pas encore intégré une hausse de taux cette année entière.
Donc ça pourrait être un handicap. Les observations de la banque centrale du Canada, c'est conditionnel sur les données.
Mais ils tendent vers un resserrement.
Il pourrait y avoir encore une hausse, probablement pas en juin, mais en raison de la conversation de resserrement qui a lieu là-bas.
Ça pourrait se passer par la suite.
Ils ont fait une pause. Donc l'inflation dure un peu plus que cela constatant des, les plus élevés dirent que c'est à quoi on s'attendait.
Les mesures générales mènent vers une pause encore un peu plus longue.
Et peut-être un arrière-plan, on voit cependant qu'on est plus près de la fin. - Je vous avais parlé du marché des titres à revenu fixe, qui est un peu plus circonscrit.
Est-ce qu'il y aura donc peut-être des baisses par la banque centrale d'ici la fin de l'année?
- Voilà une occasion à saisir pour les titres à revenu fixe.
Il y a un rallié de 60 à 90 points de base depuis la fin du mois d'octobre. Il y a eu un petit (...) donc les taux. Il est obligataire. Il y a une pause en ce moment, comme on l'a dit.
Ça commence pas et de plans. Quant au revenu fixe, c'est le revenu.
Alors, si on coupe à un débit pour cent, on n'est pas payé pour attendre. On est payé 3 ou 4 %.
Avec des écarts de crédit, ça devient plus intéressant.
Alors qu'on attend cette transition de baisse. baisse.
du taux directeur. du taux directeur.
Il y a un risque substantiel de récession aux États-Unis.
Ça continue à se reporter mais en général, on pense qu'il y aura une récession.
On ne discute pas de si, mais on discute du type de récession qu'il y aura.
Le revenu fixe, on peut attendre.
On peut attendre à trois et demis pour cent. Pour le moment, ça dépend donc des obligations sur 10 ans.
Mais si on fait 50 points de base, on peut certainement gérer cela.
- Parle de crainte de la récession. Est-ce que ça fait parti de la raison pourquoi le marché continue à couper?
Cette crainte de la récession.
Et on reporte, on reporte cependant cette crainte.
On dit que les banques centrales vont faire baisser les taux, les banques centrales disent non. Il faut prendre une pause, on n'y restera. Pourtant le marché s'attend vraiment à des baisses.
- Des baisses historiques. La Fed se pose pendant six à neuf mois, point de vue historique, puis les dernières hausses jusqu'à une baisse. Nous sommes sortis de cette pandémie, nous avons ces moments extraordinaires qu'on a vécus, la Fed de San Francisco à 10 qu'on avait 2,1 trillion de dollars en excès. Maintenant, on a un demi trillion.
C'est quand même beaucoup.
Ce vent est favorable toujours là cependant. Et ça va se limiter avec le temps.
Les taux vont finir par avoir un effet sur l'économie, les banques centrales sont patientes, peut-être pas six mois, peut-être davantage, mais au bout du compte, ça va finir par mordre le consommateur.
Les normes d'octroi de prêts, les services manufacturiers ou le domaine industriel et manufacturier commence à ralentir. Parfois il est dur d'être patient.
Les marchés veulent toujours une tendance, veulent toujours voir venir.
Mais la tendance est évidente: c'est une tendance à la patience.
Pour voir comment les choses se développent. Et les banques centrales pourraient tenir bon cette année, mais au bout du compte, les taux descendront.
- Lorsque les banques centrales verront qu'il y a trop de douleur dans l'économie, trop de resserrement, c'est à ce moment-là qu'elles permettront d'agir.
Elles veulent que nous ressentions davantage de douleur avant cela, n'est-ce pas?
- Il est difficile de dire si vraiment se remarquer marteler davantage, mais la façon qu'elle dit, c'est qu'il faut restaurer l'équilibre entre l'offre et la demande.
Il faut donc tenir un peu plus longtemps. Au bout du compte, la Fed parle d'avoir une cible d'inefficacité plus élevée.
Sur l'ensemble du cycle.
Peut-être qu'on soit arrivé à 2 %.
Évidemment peut-être que ce sera un peu plus élevé.
Mais d'un point de vue positif, on va arrêter peut-être le resserrement.
Cela poussera du point de vue de la demande plus rapidement que l'on ne pense.
- Je vois qu'il faut être patient.
Je suis impatient moi-même.
Nous reviendrons à Scott Colbourne dans un instant.
Nous vous rappelons que vous pouvez poser vos questions à tout temps à moneytalklivetd.
com ou dans la base de questions pas de votre écran.
Voilà quels sont les éléments d'actualité sur le marché en ce moment.
Le groupe Target affirme que les consommateurs continuent de privilégier les produits de première nécessité.
Et de délaisser les produits discrétionnaires à forte valeur ajoutée pour le détachement américain dépassé les attentes au cours de son dernier trimestre malgré une croissance limitée des ventes par rapport à la même période l'année dernière.
Le chef de la direction de Target affirme que les produits (..
.) stimulaient les fréquentations malgré les pressions inflationnistes.
La hausse de 2 % environ.
Le rachat d'urgence se traduira par une perspective de 17 millions de dollars pour UBS. C'est ce qui ressort de la déclaration de la banque suisse.
UBS a signifié la brièveté de son délai de diligence pour la question.
Cela dit, UBS a également noté qu'elle a acheté une fraction de sa valeur comptable.
On le voit à l'écran: les mouvements deux UBS à la hausse.
De 1,38 %.
Air Canada contient un nouvel accord avec l'ail du bail pour des destinations Moyen-Orient un Asie du Sud pour la compagnie aérienne affirme que le partenariat permet à Air Canada d'accéder plus facilement 60 destinations.
Offerte par Fly Dubai.
En ce moment, Air Canada.
N'ose veux plus de 5 %.
Maintenant, on regarde notre principal indice au Canada.
À la baisse de 0,12 %, 24.. Et c'est en raison peut-être du brut aujourd'hui. Aux États-Unis, l'indice de référence, toujours le débat sur le plafond de la dette qui joue ici.
Et donc, on pourrait voir quand même réseau d'ici quelques jours.
Alors, 22 points à la hausse, le demi-point de pourcentage.
Nous sommes de retour avec Scott Colbourne qui répond à vos questions sur les revenus fixes. Nous en avons reçu: s'il y a défaut du plafond de la dette, la demande d'aide américaine s'en ressentira-t-elle et cela n'ira-t-il à la position du dollar dans le monde?
- C'est très sérieux, ce plafond de la dette, c'est du théâtre politique de haut niveau également. Le marché, lorsqu'on étudie le marché, la plupart de la pression se trouvent et se reflètent dans les bons du trésor.
Les obligations du trésor.
Il y a eu un appui, une pression pour les rendements moins élevés à cause de cette incertitude mais je ne crois pas que les marchés financiers ont un handicap sur un risque ici. Parce qu'il pense que c'est généralement, ça se résout dans tout ce théâtre politique d'envergure.
Bon. De positif, le président Joe Biden revient dimanche.
Ils ont réduit l'équipe de négociateurs un peu plus petits groupent. C'est positif. Donc en général, les vibrations légèrement positives sont ressortent.
Ces négociations.
Et s'il y a un défaut, c'est un vrai négatif, la monnaie s'en ressentira, le dollar américain.
Et au bout du compte, c'est une contraction de la demande aux États-Unis.
Donc, le fait que les paiements seront détenus, seront retenus, ça pourrait donc miner la trésorerie et le marché en général.
- La dernière fois qu'on a vu ça, c'était il y a plus de 10 ans, évidemment, ça été résolu assez rapidement par la suite.
Mais les marchés s'attendent à ce que ça nuise un peu.
Mais au bout du compte, c'est un autre accroc dans l'armure de l'armée américaine.
- Il y a eu beaucoup de discussions sur la dédollarisation récemment.
On réduit l'importance de l'américain.
Est-ce que vous croyez est une véritable préoccupation.?
- Je crois, on n'en passe sur Internet, la réalité, la possibilité de se substituer au dollar américain est très faible.
Pour plusieurs pays, éveilleront des excès du dollar américain, utilisé en se basant sur le commerce actuel.
Le surplus du commerce actuel.
Ou recycle-t-on cela? On a nos marchés obligataires locaux. La taille n'existe pas. La substitution du dollar américain sera un processus très long, extrêmement lent.
Pourriez il faut y avoir des marchés qui peuvent absorber et recycler les surplus commerciaux.
Il y a très peu de marchés qui sont en mesure de faire cela.
C'est un cliché sur Internet en ce moment, mais il n'y a pas vraiment de possibilités.
- Très intéressant. Autre question maintenant: j'envisage d'augmenter leur position en Europe et sur les marchés émergents à long terme.
Est-ce que c'est le bon moment?
- Je ne veux pas que vous nous donniez des conseils sur l'anticipation du marché, qu'en pensez-vous du côté du revenu fixe?
- Est bien, lorsqu'on voit nos occasions, c'est une question de répartition de l'actif. Du côté intérieur.
Américain.
Et à l'extérieur, évidemment, il y a des marchés comme l'Europe, la Grande-Bretagne, les marchés émergents nous investissons dans certains de ces marchés.
Une façon dont nous étudions la chose, c'est une couverture en retour dollar américain.
La différence par exemple entre les monnaies américaines, canadiennes et européennes, nous jouons là-dessus, il y a des occasions à l'extérieur, évidemment, nous on tirons des profits maintenant. Les marchés émergents locaux qui sont très attirants, certains des pays de l'Amérique latine nous intéressent récemment.
Et où il y a des grandes masses élevées les banques centrales qui ont resserré bien en avance des marchés industrialisés.
Ils offrent des occasions et des monnaies à l'exception du réseau mexicain, certains des autres pays de l'Amérique latine leur devise est quand même assez abordable.
Ce n'est pas un marché aussi liquide que le marché obligataire canadien américain, il faut être patient à long terme, mais les rendements assez attrayants et un bon complément un portefeuille de revenus fixes.
Alors, il y a des risques dans cette stratégie. Il y a le risque de devise, il y a toujours quelque chose là, mais dans l'ensemble, je pense que le dollar américain s'affaiblit lentement.
Il s'y affaiblit déjà de 10 % depuis l'automne passé.
Donc, c'est un positif pour les marchés émergents. La divulgation pour arriver, il y a toujours des événements politiques dans ces marchés.
Il est difficile de pouvoir prévoir tout cela. Il y a les questions des liquidités.
Ils ne sont pas aussi liquides que les marchés canadiens et américains.
Je pense toujours à la question de la répartition.
Quelle est la taille de la répartition que l'on souhaite faire dans ces investissements?
Et voici une question: au Canada, les Canadiens devraient-ils s'inquiéter de ce qui se passe dans les banques américaines en ce moment?
- Eh bien, l'accroissement rapide du taux d'intérêt un effet profond sur la nature des activités bancaires au Canada et aux États-Unis. Mais étant donné que le point de départ est essentiellement zéro, donc comme ton intérêt, il y a eu donc beaucoup de rééquilibrage des portefeuilles.
Et certaines banques, particulièrement aux États-Unis, étant donné la nature – régional, on veut modèle d'affaire qui a été exposée comme étant hautement concentrée. Donc je ne suis pas préoccupé pour les bons canadiennes, du tout. Ce sont des banques bien financées, bien capitalisés, bien réglementé, mais ça souligne des vents défavorables.
Et que les fils aura son économie en général? Étend donnée qu'il y a un retranchement qui a lieu, étant donné les vents défavorables aux États-Unis et au Canada, les conditions de prêt seront resserrées.
Ils ne seront pas aussi généreux envers les petites témoins entrepris au Canada et enfin les entreprises en général.
Et ça va affecter la chose.
Je crois que la Fed a admis cela récemment lorsque l'eu l'occasion de les entendre. Le resserrement du crédit si ce qu'il souhaite atteindre également par des taux d'intérêt plus élevé finalement.
- Oui. C'est cette notion de patience.
On ne peut pas toujours voir les changements au quotidien quand on resserrement du crédit, les données viennent plus lentement, mais ça a un effet. Nous le savons.
Certaines des meilleurs pronostics que l'on obtient des sondages, la dernière fois au Canada, la Banque du Canada nous a dit que le resserrement des conditions financières se fait par le crédit et les prêts, l'octroi de prêts lames et les modalités relatives à ces octrois.
La même chose aux États-Unis.
Ça va se jouer sur 3,6 ou neuf mois.
Les sondages régionaux plus précis nous indiquent cela également. Il est difficile de le voir au jour le jour, mais si ce qui se produit.
Comme toujours, assurez-vous de prendre de faire vos propres recherches des décisions de placement.
Nous reviendrons aux questions sur quel Scott Colbourne titres à revenu fixe vous nous contactez irrégulièrement envoyer un courriel à moneytalklivetd.com.
Et maintenant, estime indicatif d'aujourd'hui.
Nous allons parler de l'échelonnement des obligations, stratégies à revenu fixent les investisseurs peuvent envisager d'utiliser. Hiren Amin est responsable de la formation client va nous parler de cela.
Il est chez Placements directs TD. Pour montrer comment l'échelonnement des obligations fonctionne.
Merci Greg, je suis heureux d'être là de nouveau.
Parlons de l'échelonnement des obligations. C'est une stratégie que les investisseurs qui ont un portefeuille d'obligations peuvent utiliser.
S'agirait portefeuille les obligations viennent à échéance à différentes dates. Pour offrir des liquidités tout en minimisant l'exposition fluctuation du ton intérêt.
Rappelez-vous que le prix des obligations sont inversement corrélés au cours de l'action.
Lorsque l'action baisse, les obligations tendent à monter.
Alors plutôt que d'avoir des dates d'échéance, la même année, vous voulez échelonner ça sur plusieurs damnés.
Cela empêche les investisseurs d'anticiper le marché.
Ça crée aussi une discipline de réinvestissement des produits également.
Pour tenter de compenser ses effets de fluctuation.
De taux d'intérêt.
Deux objectifs principaux: gestion du risque de taux d'intérêt. L'échelonnement permet de ne pas avoir une seule obligation avec un seul ton intérêt.
On liste cette courbe ça permet aussi de gérer la trésorerie, parce que les obligations semi annuellement pour structurer les portes faites avec différentes dates de maturité, vous pouvez gérer les flux de trésorerie sur une base mensuelle.
Et vous pouvez aussi obtenir des liquidités.
S'il y a d'autres obligations nécessaires.
Merci, une bonne compréhension. Donc de l'échelonnement. Et voyons commandant CourtierWeb ça se passe.
- Oui. Voyons maintenant sur CourtierWeb. Pour créer donc un échelonnement, c'est assez facile. facile.
éléments que vous devez garder à l'esprit.
Vous devez déterminer combien vous voulez investir d'abord dans le cadre de votre portefeuille d'obligations.
Quel titre souhaitez-vous avoir également.
Et cela, vous devez décider quelle marche, quel espace vous voulait si vous voulez avoir quelque chose d'un peu mixte, je vais veiller à avoir d'abord.
Du revenu sur une base mensuelle.
Ici, je fais une recherche.
Je vais capter tout ce qui est disponible, mais je voulais avoir donc des obligations dans dollar américain, parce que leur indice de référence est un peu plus élevé que le nôtre ce moment.
Il faut évidemment comprendre que les investisseurs doivent scruter la chose un peu davantage.
Ainsi que les cotes de crédit est aussi lié à toutes ses obligations.
Voici toutes les obligations qui sont captées ici.
Dans mon exemple, je vais assumer que nous avons 30 000 $ à investir avec six marches, six d'espacement dans cet échelonnement.
Pourquoi?
Parce que si je félicite obligations et qu'on divise ses 30 000 $ en six, ça fait 5000 $ chacun.
Nous allons vouloir acquérir donc les revenus chaque mois.
Nous voyons ici, j'avais déjà pris et filtrer un peu.
Donc, je vais vous montrer aussi cet échelonnement sur cinq ans que j'ai pris filtrer.
Ici vous voyez ce que j'ai choisi.
J'ai des dates de maturité échelonner à partir de 2024 jusqu'à 2029.
C'est un mélange obligations du trésor et d'obligations d'entreprises américaines.
5000 $ par titre.
C'est une valeur totale de 29 000 $, et 47 ici sur cinq ans.
Donc, sur 50 déchéances. Vous pouvez donc créer un rapport d'échelonnement ici.
Voici le rapport d'échelonnement. Et voici ce que l'on peut constater.
Une ventilation des montants totaux, c'est une multiplication entreprise.
Les obligations donc du trésor.
Et cela est en convertissant en dollar canadien salon le 29 000 $. C'est pour ça qu'on voit le 29 000 $.
Et qu'on voit le 39 000 $.
C'est égal aux 30 000 $ américains principaux comme ça qu'on peut utiliser CourtierWeb.
- Merci beaucoup, ça me fait plaisir. Passe une bonne journée!
Notre responsable de la formation client Hiren Amin.
Je vous remercie beaucoup.
Nous pouvons toujours utiliser CourtierWeb pour voir les webinaire et s'informer.
Est-ce que vous avez une question sur l'investissement et ceux qui propulsent les marchés?
Nous voulons savoir quelle est votre question.
Vous pouvez le faire de manière: nous envoyer un courriel en tout temps, moneytalklivetd.com vous pouvez utiliser la case de questions sur votre écran.
CourtierWeb.
Vous n'avez qu'à écrire votre question et cliquez sur envoyer.
C'est ici que nous vous répondrons en direct.
Nous sommes de retour avec Scott Colbourne pour répondre à vos questions sur les revenus fixes.
Il y a beaucoup de questions.
Est-ce qu'il y a un risque accru dans le secteur du haut rendement?
- Si on s'attend à ce que l'économie passe à une récession, on pourrait s'attendre à ce que les écarts de crédit de qualité investissement et au rendement de connaître donc un écart.
Peut-être de 50 points de base.
Il pourrait atteindre 600.
En ce moment, les taux de défauts sont à 2 % environ.
Le marché a déjà intégré cela est passé à une anticipation à 4 %. Le taux de défauts.
Généralement, les écarts sont alignés au biais de l'octroi des prêts qui sont resserrés.
Nous voyons aussi des étoiles montantes. Les crédits qui sont passés du haut rendement à la haute qualité plutôt.
Et depuis l'an passé, l'univers du haut rendement est donc rapetissé.
Ce qui rassemble plus haute qualité finalement.
Il y a donc un arrière-plan, peut-être de soutien plus important.
Et nous croyons qu'il y aura une question plus tard cette année.
De miser là-dessus. Mais il faut quand même mettre handicap sur ces facteurs techniques est la raison pour laquelle le rendement est élevé c'est que le risque accru.
- Il faut vraiment tenir compte de cela lorsqu'on fait des recherches. Comment le fait avec des actions.
- Au bout du compte la capacité de l'année.
C'est l'élément le plus important avec les compagnies au plus haut rendement, il y avait handicap plus élevé, risque plus élevé.
Il y a beaucoup de travail à faire, il faut comprendre ce qui sous-tend les dettes à haut rendement. Ce qu'on peut faire et ne pas faire dans la gestion de la trésorerie d'une telle entreprise.
J'attends cette catégorie d'actifs au bout du compte, du point de vue de la répartition de l'actif, si on pense que les actions donnent sept ou 8 % de rendement à long terme, la volatilité du rendement élevé est un tiers du marché des actions et ça redonne à peu près le même rendement.
- Évidemment quand on achète dans un panier.
- C'est formidable de pouvoir étudier cet espace.
Alors, ici une question: que pensez-vous de l'émission potentiellement énorme de Pfizer?
- Servir marcher dans laquelle nous nous trouvons aujourd'hui.
Un peu chaotique, il y a des fluctuations de la comédie du côté du marché des actions, c'est accommodant.
Je crois que Pfizer, c'est la quatrième plus grande émission de dette c'est certainement la plus grande cette année aux États-Unis.
Donc, ça été bien reçu, ça été mis en priorité à la hausse hier.
Ça parle de la capacité du marché d'absorber l'approvisionnement.
Et ça revient des activités, des couvertures qui peuvent accommoder davantage les rendements obligataires. Je pense que c'est un signe positif.
Les entreprises veulent se refinancer, restructurer, rebâtir leur coffre et aux États-Unis, la qualité investissement est à la hausse comme je l'ai dit.
Et donc, au rendement se resserre.
Et ça revient au coût de l'emprunt qui est à la hausse.
L'émission de Pfizer a été bien reçue par les marchés.
Est-ce que d'autres compagnies regardait dit c'est peut-être une option pour nous?
- Oui, tout à fait.
Je crois qu'il y a 10 affaires qui ont été conclues peut-être.
Ça amène à davantage d'approvisionnement.
- Voici: la Banque du Canada va-t-elle rester en pause après ce chiffre d'inflation plus élevée que prévu?
- Que va faire la Banque du Canada? C'est difficile de le dire pour juin.
Le 7 juin.
En ce moment la Banque du Canada dit non, il n'y aura pas de hausse, malgré cette inflation.
Au bout du compte que ce soit juillets ont en septembre, les marchés ont pratiquement anticipé cela entièrement.
Il y aura probablement une autre hausse, celle que l'on croit, si difficile à dire, mais je crois que par la suite, il n'y aura pas beaucoup plus de hausse soutenue je ne crois pas que ce soit le temps par la suite.
On va répondre à une autre question à Scott Colbourne de Burns sur les titres à revenu fixe dans quelques instants.
Assurez-vous de faire vos propres recherches avant de prendre les décisions d'investissement.
Vous pouvez nous contacter à tout moment.
Est-ce que vous avez une question sur les investissements et ceux qui m'aiment les marchés?
Nous voulons de le savoir.
Envoyez-nous vos questions il y a deux manières de le faire: d'abord par courriel, moneytalklivetd.
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Sur CourtierWeb.
Écrivez votre question et envoyez-la et on verra si un de Nos invités pourraient vous répondre en direct.
ici.
Alors, les prix du bois d'œuvre sont tombés à leur niveau le plus bas depuis plus de deux ans, puis les banques centrales se sont attaquées une inflation élevée. À la surchauffe du marché immobilier.
Anthony Okolie nous rejoint avec le dernier rapport de TD. Sur les tendances récentes les perspectives du secteur du papier des produits forestiers.
- Alors que nous entrons dans cette saison de construction, il faut faire le point là-dessus.
Les prix du bois d'œuvre continue à connaître une baisse et pendant la pandémie, ça connut compte donc des crêtes énormes.
Alors que les gens étaient chez eux et voulait faire des rénovations.
Et donc, ça été un des premiers actifs à retomber par la suite à la fin de la pandémie.
C'est bien moins que la crainte en ce moment qui a atteint 1700 $ au moment de la pire période de la pandémie.
Alors, les cours aboient en ce moment sont plus préoccupés par le fait que le bois s'accumule dans les cours alors qu'il y a moins d'achats que prévu. Et Home Dépôt a connu sa perte la plus importante depuis des dizaines d'années malgré les chantiers, les mises en chantiers qui sont à la hausse.
L'an passé.
On voit maintenant une baisse des mises en chantier.
Donc nous croyons que les prix du bois d'œuvre distingueront ou seront à la baisse.
Nous notons que les importations du bois européen, des pressions de prix et se permet de compenser un peu ses barrières que l'on voit.
Par ailleurs, les prix de la pulpe sont aussi sous pression. Au niveau le plus bas depuis février 2022.
Et les prix actuels, nous croyons que le moulin aboie de la loi du Canada sont en trésorerie neutre en ce moment. La Chine consomme à peu près 40 % du marché de la pulpe mondiale.
Donc réduit les prix.
Ce qui vraiment mais dépression sur tous les secteurs.
- Vous avez dit qu'évidemment, c'est la saison de construction qui est très active, est-ce que vous voyez des signes d'animation des stocks de bois devant ce moment?
- Oui, on voit qu'il y a des signes d'accumulation.
Selon analyse en ce moment, selon notre analyse, nous disons qu'il y a eu 1,5 pour cent d'accroissement des stocks.
Il y a quand même un creux de sept ans en ce moment.
Il est prix ont décru significativement depuis le premier trimestre de la crête.
Trimestre 2022 et ça c'est pondéré vers la Colombie Britannique qui évidemment le plus grand producteur de bois d'œuvre. L'Amérique du Nord.
- Si les partenaires disent que c'est trop cher, qu'est-ce qu'on va faire?
- Évidemment, on ne peut pu avoir de solution, mais il s'agit donc de vendre à quelqu'un de plus solide qui a les reins les plus solides.
- Voilà.
C'était Anthony Okolie.
Parlons Argent en direct. Voyons maintenant les marchés. Indice composite TSX est toujours en territoire négatif.
On espère que le brut pourra faire lever le marché.
Ce n'est pas trop dramatique.
C'est -1,4 %. Air Canada a connu une hausse à 5,6 %.
1,21.
Et IAM Gold connaît des difficultés, une baisse de 5,3 %.
, Deux 21.
Lightspeed fait des gains aujourd'hui, hausse de 9 %.
1,7; relativement.
Et c'est assez favorable pour l'activité.
Maintenant, l'indice de référence canadien.
Les négociations continuent quant au plafond de la dette.
La dette on ne voit rien de négatif aujourd'hui, on voit plutôt du favorable.
Une hausse de, 70 %. Nasdaq connaît également une hausse de 1/2 %.
Et Target qui indique toujours que les consommateurs favorisent donc les produits de consommation d'épicerie.
Et il pourrait on pourrait voir après la déception deux Home Dépôt.
Target nous rend plus heureux à une hausse un peu plus de 2 %.
Alors, on vous remercie, Scott Colbourne est-elle avec nous et a parlé du revenu fixe.
Donc, demain, nous parlerons donc des questions, d'autres questions à la matière, mais revenons avec Scott.
- Est-ce que on peut dire que les banques centrales forment l'inflation avec leur politique?
- On ne peut pas dire cela.
Depuis la grande crise financière de 2008 et 2009,75 % du temps, les taux étaient à zéro.
Et tout à coup, après la pandémie, nous voyons dans l'inflation.
Je dirais que c'est presque le posé.
Ce n'est pas le fait que la hausse des taux à cause de l'inflation, c'est que la mauvaise allocation des taux qui a créé une distorsion.
Et l'intérêt et le prix du temps.
Lorsqu'on fait une mauvaise question, et qu'on met un mauvais prix sur le temps, c'est ce que l'on voit.
Il y a des crises de banque, des crises du privé, immobilier, tout cela c'est venu du fait que le loyer, l'argent était tellement faible.
Et maintenant, on a eu le choc de la pandémie qui a causé cette inflation.
Étant de force enjeux aussi.
Il y a un certain nombre de leviers limités mais c'est impossible pour les banques centrales.
Il s'agit de retirer la demande pour eux.
- C'est ce qu'ils font et c'est ce qui cause le loyer de la dette.
Le coût du loyer de la dette plus élevée.
Sur la consommation sur l'ensemble des activités, mais l'inflation était basée sur le fait que l'argent coûtait trop peu.
- Est bien l'inflation continue et ça pourrait mener à davantage de hausse.
Est-ce que les taux des CPG vont augmenter?
- Les taux des CPG sont basés sur les outils que les banques ont pour accroître les dépôts.
Et c'est basé sur les marchés financiers, marchés obligataires.
Je dirais que pour revenir à nos premiers commentaires, les marchés ont donc, se sont ajustés.
La partie facile des taux plus élevés de CPG infini.
Donc c'est une façon assez chère accroître les dépôts.
Du point de vue des banques.
Et donc, les taux de CPG il pourrait ne pas augmenter.
Malgré cette inflation continue.
Comme je le dis, quant à la nouvelle fixation des prix des CPG, cet argent facile c'est terminé.
- Une autre question qui nous arrive: toutes ses questions du plafond de la dette américain, s'il y a un défaut, de la part des États-Unis, qu'est-ce qu'elle a fait de peut faire?
On est tellement mythique vient à la rescousse.
- Elle a dit ne compter pas sur nous pour nous sauver la peau cette fois-ci.
C'est votre problème, vous le créez.
Je crois que la possibilité que cela se produise est assez minime.
Mais on a vu un (.
..
) des prix aux États-Unis.
Beaucoup plus chère.
Depuis plus tôt cette année, je crois qu'au bout du compte, cela va se résoudre.
La question c'est ce qui va se produire après.
Pour avoir cette euphorie.
Si on prend du recul et on voit ce qui va se passer, il y a probablement eu des coupures de dépenses.
Politique budgétaire plus serrée donc.
Les démocrates ont probablement commandé ça.
Et puis il y a eu ce marché obligataire qui tempère les choses un peu.
Il y a des questions de durée, quant au rendement.
Il y aura probablement un soulagement par la suite.
Mais un peu un peu plus long terme, il y a des bons défavorables qui ont découleront.
- Sa conversation est toujours fascinante!
Scott Colbourne, merci beaucoup d'être avec nous.
Directeur principal des Gestion d'actifs TD. Donc, demain, David Yong analyste sera notre invité répondre à vos questions sur les actions de secteur de la santé.
Nous rappelons que vous pouvez nous envoyer vos questions.
Merci d'avoir été avec nous aujourd'hui, et on vous voit demain.
Au revoir!
Je suis joint par les invités de la TD qui répondent à vos questions sur les investissements pendant l'émission d'aujourd'hui, dans un contexte inflation continu, nous discuterons avec Scott Colbourne de Gestion d'actifs TD de la question de savoir si nous sommes vraiment de la fin de la cycle des hausses.
Anthony Okolie présente un rapport sur la perspective des prix du bois et dans le segment éducatif, nous allons voir comment l'échelonnement des obligations fonctionnera. Alors, vous pouvez nous contacter, envoyez-nous votre question par courriel à moneytalklivetd.com et voici comment vous pouvez aussi vous contacter remplissant la boîte de questions sur votre écran.
Parlons maintenant de l'indice composite TSX.
Donc un peu à la baisse 41,40.
. Pas trop de dramatique, mais c'est le pétrole qui est à la baisse.
Le pétrole de l'Ouest principalement. Donc ça mène à des hausses et des baisses. Regardons maintenant le Barrick Gold : le prix de leur état ne recule pas énormément, 1,7 % de baisse.
Et nous avons aussi Nutrien car qui connaît une baisse plus importante celle-là.
À Washington, on continue à avoir des débats sur le plafond de la dette et cela affecte évidemment les indices de référence.
Mais le président Joe Biden a annoncé que dès dimanche, ce sera réglé. C'est pour cela qu'on va le S&P 500 un peu à la hausse d'un demi pour cent. Voyons pour le Nasdaq.
Même chose. 1/2 % de hausse.
Et Tesla a tenu son assemblée générale annuelle hier, des membres et des actionnaires, et donc, Tesla souhaite reconstituer le marketing de son offre. On voit une hausse déjà de presque quatre cubes. 2 % sur Tesla.
Le dernier rapport sur l'inflation Canada montre qu'il pourrait être difficile de contenir la hausse des prix à la consommation.
Scott Colbourne directeur général de titres à revenus fixes à Gestion d'actifs TD nous rejoint pour discuter de ce que cela veut dire.
Ça été une année intéressante, une année qui connaît bien des hauts et des bas. On en arrive à presque la moitié de l'année, et nous voudrions savoir est-ce qu'on approche de la fin du cycle de hausse des Par la Fed: Par la Fed: - Les gens se posent la question que se passe-t-il avec cette inflation? En effet, les gains faciles suite à cette inflation sont derrière nous. Je crois que le gouvernement a indiqué qu'on arriverait probablement après de 3 %.
Vers la fin de l'année. Nous en sommes à 4 % à peu près.
Sur l'inflation globale.
Année sur année, 4,2 %, nous arrivons probablement à la fin de l'année à 3 %.
L'élément difficile sera de devenir au point neutre de 2 %, la cible optimale.
Donc oui, ce n'est pas facile mais la partie n'est pas finie. Maintenant, on transitionne dans la dépendance des données et on pourra avoir des surprises positives du côté des États-Unis.
Donc, les gouverneurs de la Fed commencent à parler un peu durement.
Mais donc, ça nous appelle un environnement de plus fluctuant, plus difficile.
- Donc dans un environnement obligataire qui consiste avec que cette transition. Peut-être que la Banque du Canada va être influencé par cela. Parce qu'en ce moment, c'était une pause conditionnelle. On dit que peut-être ça va être rose et encore une fois.
- Non. Je crois que c'est assez juste. Les marchés n'ont pas encore intégré une hausse de taux cette année entière.
Donc ça pourrait être un handicap. Les observations de la banque centrale du Canada, c'est conditionnel sur les données.
Mais ils tendent vers un resserrement.
Il pourrait y avoir encore une hausse, probablement pas en juin, mais en raison de la conversation de resserrement qui a lieu là-bas.
Ça pourrait se passer par la suite.
Ils ont fait une pause. Donc l'inflation dure un peu plus que cela constatant des, les plus élevés dirent que c'est à quoi on s'attendait.
Les mesures générales mènent vers une pause encore un peu plus longue.
Et peut-être un arrière-plan, on voit cependant qu'on est plus près de la fin. - Je vous avais parlé du marché des titres à revenu fixe, qui est un peu plus circonscrit.
Est-ce qu'il y aura donc peut-être des baisses par la banque centrale d'ici la fin de l'année?
- Voilà une occasion à saisir pour les titres à revenu fixe.
Il y a un rallié de 60 à 90 points de base depuis la fin du mois d'octobre. Il y a eu un petit (...) donc les taux. Il est obligataire. Il y a une pause en ce moment, comme on l'a dit.
Ça commence pas et de plans. Quant au revenu fixe, c'est le revenu.
Alors, si on coupe à un débit pour cent, on n'est pas payé pour attendre. On est payé 3 ou 4 %.
Avec des écarts de crédit, ça devient plus intéressant.
Alors qu'on attend cette transition de baisse. baisse.
du taux directeur. du taux directeur.
Il y a un risque substantiel de récession aux États-Unis.
Ça continue à se reporter mais en général, on pense qu'il y aura une récession.
On ne discute pas de si, mais on discute du type de récession qu'il y aura.
Le revenu fixe, on peut attendre.
On peut attendre à trois et demis pour cent. Pour le moment, ça dépend donc des obligations sur 10 ans.
Mais si on fait 50 points de base, on peut certainement gérer cela.
- Parle de crainte de la récession. Est-ce que ça fait parti de la raison pourquoi le marché continue à couper?
Cette crainte de la récession.
Et on reporte, on reporte cependant cette crainte.
On dit que les banques centrales vont faire baisser les taux, les banques centrales disent non. Il faut prendre une pause, on n'y restera. Pourtant le marché s'attend vraiment à des baisses.
- Des baisses historiques. La Fed se pose pendant six à neuf mois, point de vue historique, puis les dernières hausses jusqu'à une baisse. Nous sommes sortis de cette pandémie, nous avons ces moments extraordinaires qu'on a vécus, la Fed de San Francisco à 10 qu'on avait 2,1 trillion de dollars en excès. Maintenant, on a un demi trillion.
C'est quand même beaucoup.
Ce vent est favorable toujours là cependant. Et ça va se limiter avec le temps.
Les taux vont finir par avoir un effet sur l'économie, les banques centrales sont patientes, peut-être pas six mois, peut-être davantage, mais au bout du compte, ça va finir par mordre le consommateur.
Les normes d'octroi de prêts, les services manufacturiers ou le domaine industriel et manufacturier commence à ralentir. Parfois il est dur d'être patient.
Les marchés veulent toujours une tendance, veulent toujours voir venir.
Mais la tendance est évidente: c'est une tendance à la patience.
Pour voir comment les choses se développent. Et les banques centrales pourraient tenir bon cette année, mais au bout du compte, les taux descendront.
- Lorsque les banques centrales verront qu'il y a trop de douleur dans l'économie, trop de resserrement, c'est à ce moment-là qu'elles permettront d'agir.
Elles veulent que nous ressentions davantage de douleur avant cela, n'est-ce pas?
- Il est difficile de dire si vraiment se remarquer marteler davantage, mais la façon qu'elle dit, c'est qu'il faut restaurer l'équilibre entre l'offre et la demande.
Il faut donc tenir un peu plus longtemps. Au bout du compte, la Fed parle d'avoir une cible d'inefficacité plus élevée.
Sur l'ensemble du cycle.
Peut-être qu'on soit arrivé à 2 %.
Évidemment peut-être que ce sera un peu plus élevé.
Mais d'un point de vue positif, on va arrêter peut-être le resserrement.
Cela poussera du point de vue de la demande plus rapidement que l'on ne pense.
- Je vois qu'il faut être patient.
Je suis impatient moi-même.
Nous reviendrons à Scott Colbourne dans un instant.
Nous vous rappelons que vous pouvez poser vos questions à tout temps à moneytalklivetd.
com ou dans la base de questions pas de votre écran.
Voilà quels sont les éléments d'actualité sur le marché en ce moment.
Le groupe Target affirme que les consommateurs continuent de privilégier les produits de première nécessité.
Et de délaisser les produits discrétionnaires à forte valeur ajoutée pour le détachement américain dépassé les attentes au cours de son dernier trimestre malgré une croissance limitée des ventes par rapport à la même période l'année dernière.
Le chef de la direction de Target affirme que les produits (..
.) stimulaient les fréquentations malgré les pressions inflationnistes.
La hausse de 2 % environ.
Le rachat d'urgence se traduira par une perspective de 17 millions de dollars pour UBS. C'est ce qui ressort de la déclaration de la banque suisse.
UBS a signifié la brièveté de son délai de diligence pour la question.
Cela dit, UBS a également noté qu'elle a acheté une fraction de sa valeur comptable.
On le voit à l'écran: les mouvements deux UBS à la hausse.
De 1,38 %.
Air Canada contient un nouvel accord avec l'ail du bail pour des destinations Moyen-Orient un Asie du Sud pour la compagnie aérienne affirme que le partenariat permet à Air Canada d'accéder plus facilement 60 destinations.
Offerte par Fly Dubai.
En ce moment, Air Canada.
N'ose veux plus de 5 %.
Maintenant, on regarde notre principal indice au Canada.
À la baisse de 0,12 %, 24.. Et c'est en raison peut-être du brut aujourd'hui. Aux États-Unis, l'indice de référence, toujours le débat sur le plafond de la dette qui joue ici.
Et donc, on pourrait voir quand même réseau d'ici quelques jours.
Alors, 22 points à la hausse, le demi-point de pourcentage.
Nous sommes de retour avec Scott Colbourne qui répond à vos questions sur les revenus fixes. Nous en avons reçu: s'il y a défaut du plafond de la dette, la demande d'aide américaine s'en ressentira-t-elle et cela n'ira-t-il à la position du dollar dans le monde?
- C'est très sérieux, ce plafond de la dette, c'est du théâtre politique de haut niveau également. Le marché, lorsqu'on étudie le marché, la plupart de la pression se trouvent et se reflètent dans les bons du trésor.
Les obligations du trésor.
Il y a eu un appui, une pression pour les rendements moins élevés à cause de cette incertitude mais je ne crois pas que les marchés financiers ont un handicap sur un risque ici. Parce qu'il pense que c'est généralement, ça se résout dans tout ce théâtre politique d'envergure.
Bon. De positif, le président Joe Biden revient dimanche.
Ils ont réduit l'équipe de négociateurs un peu plus petits groupent. C'est positif. Donc en général, les vibrations légèrement positives sont ressortent.
Ces négociations.
Et s'il y a un défaut, c'est un vrai négatif, la monnaie s'en ressentira, le dollar américain.
Et au bout du compte, c'est une contraction de la demande aux États-Unis.
Donc, le fait que les paiements seront détenus, seront retenus, ça pourrait donc miner la trésorerie et le marché en général.
- La dernière fois qu'on a vu ça, c'était il y a plus de 10 ans, évidemment, ça été résolu assez rapidement par la suite.
Mais les marchés s'attendent à ce que ça nuise un peu.
Mais au bout du compte, c'est un autre accroc dans l'armure de l'armée américaine.
- Il y a eu beaucoup de discussions sur la dédollarisation récemment.
On réduit l'importance de l'américain.
Est-ce que vous croyez est une véritable préoccupation.?
- Je crois, on n'en passe sur Internet, la réalité, la possibilité de se substituer au dollar américain est très faible.
Pour plusieurs pays, éveilleront des excès du dollar américain, utilisé en se basant sur le commerce actuel.
Le surplus du commerce actuel.
Ou recycle-t-on cela? On a nos marchés obligataires locaux. La taille n'existe pas. La substitution du dollar américain sera un processus très long, extrêmement lent.
Pourriez il faut y avoir des marchés qui peuvent absorber et recycler les surplus commerciaux.
Il y a très peu de marchés qui sont en mesure de faire cela.
C'est un cliché sur Internet en ce moment, mais il n'y a pas vraiment de possibilités.
- Très intéressant. Autre question maintenant: j'envisage d'augmenter leur position en Europe et sur les marchés émergents à long terme.
Est-ce que c'est le bon moment?
- Je ne veux pas que vous nous donniez des conseils sur l'anticipation du marché, qu'en pensez-vous du côté du revenu fixe?
- Est bien, lorsqu'on voit nos occasions, c'est une question de répartition de l'actif. Du côté intérieur.
Américain.
Et à l'extérieur, évidemment, il y a des marchés comme l'Europe, la Grande-Bretagne, les marchés émergents nous investissons dans certains de ces marchés.
Une façon dont nous étudions la chose, c'est une couverture en retour dollar américain.
La différence par exemple entre les monnaies américaines, canadiennes et européennes, nous jouons là-dessus, il y a des occasions à l'extérieur, évidemment, nous on tirons des profits maintenant. Les marchés émergents locaux qui sont très attirants, certains des pays de l'Amérique latine nous intéressent récemment.
Et où il y a des grandes masses élevées les banques centrales qui ont resserré bien en avance des marchés industrialisés.
Ils offrent des occasions et des monnaies à l'exception du réseau mexicain, certains des autres pays de l'Amérique latine leur devise est quand même assez abordable.
Ce n'est pas un marché aussi liquide que le marché obligataire canadien américain, il faut être patient à long terme, mais les rendements assez attrayants et un bon complément un portefeuille de revenus fixes.
Alors, il y a des risques dans cette stratégie. Il y a le risque de devise, il y a toujours quelque chose là, mais dans l'ensemble, je pense que le dollar américain s'affaiblit lentement.
Il s'y affaiblit déjà de 10 % depuis l'automne passé.
Donc, c'est un positif pour les marchés émergents. La divulgation pour arriver, il y a toujours des événements politiques dans ces marchés.
Il est difficile de pouvoir prévoir tout cela. Il y a les questions des liquidités.
Ils ne sont pas aussi liquides que les marchés canadiens et américains.
Je pense toujours à la question de la répartition.
Quelle est la taille de la répartition que l'on souhaite faire dans ces investissements?
Et voici une question: au Canada, les Canadiens devraient-ils s'inquiéter de ce qui se passe dans les banques américaines en ce moment?
- Eh bien, l'accroissement rapide du taux d'intérêt un effet profond sur la nature des activités bancaires au Canada et aux États-Unis. Mais étant donné que le point de départ est essentiellement zéro, donc comme ton intérêt, il y a eu donc beaucoup de rééquilibrage des portefeuilles.
Et certaines banques, particulièrement aux États-Unis, étant donné la nature – régional, on veut modèle d'affaire qui a été exposée comme étant hautement concentrée. Donc je ne suis pas préoccupé pour les bons canadiennes, du tout. Ce sont des banques bien financées, bien capitalisés, bien réglementé, mais ça souligne des vents défavorables.
Et que les fils aura son économie en général? Étend donnée qu'il y a un retranchement qui a lieu, étant donné les vents défavorables aux États-Unis et au Canada, les conditions de prêt seront resserrées.
Ils ne seront pas aussi généreux envers les petites témoins entrepris au Canada et enfin les entreprises en général.
Et ça va affecter la chose.
Je crois que la Fed a admis cela récemment lorsque l'eu l'occasion de les entendre. Le resserrement du crédit si ce qu'il souhaite atteindre également par des taux d'intérêt plus élevé finalement.
- Oui. C'est cette notion de patience.
On ne peut pas toujours voir les changements au quotidien quand on resserrement du crédit, les données viennent plus lentement, mais ça a un effet. Nous le savons.
Certaines des meilleurs pronostics que l'on obtient des sondages, la dernière fois au Canada, la Banque du Canada nous a dit que le resserrement des conditions financières se fait par le crédit et les prêts, l'octroi de prêts lames et les modalités relatives à ces octrois.
La même chose aux États-Unis.
Ça va se jouer sur 3,6 ou neuf mois.
Les sondages régionaux plus précis nous indiquent cela également. Il est difficile de le voir au jour le jour, mais si ce qui se produit.
Comme toujours, assurez-vous de prendre de faire vos propres recherches des décisions de placement.
Nous reviendrons aux questions sur quel Scott Colbourne titres à revenu fixe vous nous contactez irrégulièrement envoyer un courriel à moneytalklivetd.com.
Et maintenant, estime indicatif d'aujourd'hui.
Nous allons parler de l'échelonnement des obligations, stratégies à revenu fixent les investisseurs peuvent envisager d'utiliser. Hiren Amin est responsable de la formation client va nous parler de cela.
Il est chez Placements directs TD. Pour montrer comment l'échelonnement des obligations fonctionne.
Merci Greg, je suis heureux d'être là de nouveau.
Parlons de l'échelonnement des obligations. C'est une stratégie que les investisseurs qui ont un portefeuille d'obligations peuvent utiliser.
S'agirait portefeuille les obligations viennent à échéance à différentes dates. Pour offrir des liquidités tout en minimisant l'exposition fluctuation du ton intérêt.
Rappelez-vous que le prix des obligations sont inversement corrélés au cours de l'action.
Lorsque l'action baisse, les obligations tendent à monter.
Alors plutôt que d'avoir des dates d'échéance, la même année, vous voulez échelonner ça sur plusieurs damnés.
Cela empêche les investisseurs d'anticiper le marché.
Ça crée aussi une discipline de réinvestissement des produits également.
Pour tenter de compenser ses effets de fluctuation.
De taux d'intérêt.
Deux objectifs principaux: gestion du risque de taux d'intérêt. L'échelonnement permet de ne pas avoir une seule obligation avec un seul ton intérêt.
On liste cette courbe ça permet aussi de gérer la trésorerie, parce que les obligations semi annuellement pour structurer les portes faites avec différentes dates de maturité, vous pouvez gérer les flux de trésorerie sur une base mensuelle.
Et vous pouvez aussi obtenir des liquidités.
S'il y a d'autres obligations nécessaires.
Merci, une bonne compréhension. Donc de l'échelonnement. Et voyons commandant CourtierWeb ça se passe.
- Oui. Voyons maintenant sur CourtierWeb. Pour créer donc un échelonnement, c'est assez facile. facile.
éléments que vous devez garder à l'esprit.
Vous devez déterminer combien vous voulez investir d'abord dans le cadre de votre portefeuille d'obligations.
Quel titre souhaitez-vous avoir également.
Et cela, vous devez décider quelle marche, quel espace vous voulait si vous voulez avoir quelque chose d'un peu mixte, je vais veiller à avoir d'abord.
Du revenu sur une base mensuelle.
Ici, je fais une recherche.
Je vais capter tout ce qui est disponible, mais je voulais avoir donc des obligations dans dollar américain, parce que leur indice de référence est un peu plus élevé que le nôtre ce moment.
Il faut évidemment comprendre que les investisseurs doivent scruter la chose un peu davantage.
Ainsi que les cotes de crédit est aussi lié à toutes ses obligations.
Voici toutes les obligations qui sont captées ici.
Dans mon exemple, je vais assumer que nous avons 30 000 $ à investir avec six marches, six d'espacement dans cet échelonnement.
Pourquoi?
Parce que si je félicite obligations et qu'on divise ses 30 000 $ en six, ça fait 5000 $ chacun.
Nous allons vouloir acquérir donc les revenus chaque mois.
Nous voyons ici, j'avais déjà pris et filtrer un peu.
Donc, je vais vous montrer aussi cet échelonnement sur cinq ans que j'ai pris filtrer.
Ici vous voyez ce que j'ai choisi.
J'ai des dates de maturité échelonner à partir de 2024 jusqu'à 2029.
C'est un mélange obligations du trésor et d'obligations d'entreprises américaines.
5000 $ par titre.
C'est une valeur totale de 29 000 $, et 47 ici sur cinq ans.
Donc, sur 50 déchéances. Vous pouvez donc créer un rapport d'échelonnement ici.
Voici le rapport d'échelonnement. Et voici ce que l'on peut constater.
Une ventilation des montants totaux, c'est une multiplication entreprise.
Les obligations donc du trésor.
Et cela est en convertissant en dollar canadien salon le 29 000 $. C'est pour ça qu'on voit le 29 000 $.
Et qu'on voit le 39 000 $.
C'est égal aux 30 000 $ américains principaux comme ça qu'on peut utiliser CourtierWeb.
- Merci beaucoup, ça me fait plaisir. Passe une bonne journée!
Notre responsable de la formation client Hiren Amin.
Je vous remercie beaucoup.
Nous pouvons toujours utiliser CourtierWeb pour voir les webinaire et s'informer.
Est-ce que vous avez une question sur l'investissement et ceux qui propulsent les marchés?
Nous voulons savoir quelle est votre question.
Vous pouvez le faire de manière: nous envoyer un courriel en tout temps, moneytalklivetd.com vous pouvez utiliser la case de questions sur votre écran.
CourtierWeb.
Vous n'avez qu'à écrire votre question et cliquez sur envoyer.
C'est ici que nous vous répondrons en direct.
Nous sommes de retour avec Scott Colbourne pour répondre à vos questions sur les revenus fixes.
Il y a beaucoup de questions.
Est-ce qu'il y a un risque accru dans le secteur du haut rendement?
- Si on s'attend à ce que l'économie passe à une récession, on pourrait s'attendre à ce que les écarts de crédit de qualité investissement et au rendement de connaître donc un écart.
Peut-être de 50 points de base.
Il pourrait atteindre 600.
En ce moment, les taux de défauts sont à 2 % environ.
Le marché a déjà intégré cela est passé à une anticipation à 4 %. Le taux de défauts.
Généralement, les écarts sont alignés au biais de l'octroi des prêts qui sont resserrés.
Nous voyons aussi des étoiles montantes. Les crédits qui sont passés du haut rendement à la haute qualité plutôt.
Et depuis l'an passé, l'univers du haut rendement est donc rapetissé.
Ce qui rassemble plus haute qualité finalement.
Il y a donc un arrière-plan, peut-être de soutien plus important.
Et nous croyons qu'il y aura une question plus tard cette année.
De miser là-dessus. Mais il faut quand même mettre handicap sur ces facteurs techniques est la raison pour laquelle le rendement est élevé c'est que le risque accru.
- Il faut vraiment tenir compte de cela lorsqu'on fait des recherches. Comment le fait avec des actions.
- Au bout du compte la capacité de l'année.
C'est l'élément le plus important avec les compagnies au plus haut rendement, il y avait handicap plus élevé, risque plus élevé.
Il y a beaucoup de travail à faire, il faut comprendre ce qui sous-tend les dettes à haut rendement. Ce qu'on peut faire et ne pas faire dans la gestion de la trésorerie d'une telle entreprise.
J'attends cette catégorie d'actifs au bout du compte, du point de vue de la répartition de l'actif, si on pense que les actions donnent sept ou 8 % de rendement à long terme, la volatilité du rendement élevé est un tiers du marché des actions et ça redonne à peu près le même rendement.
- Évidemment quand on achète dans un panier.
- C'est formidable de pouvoir étudier cet espace.
Alors, ici une question: que pensez-vous de l'émission potentiellement énorme de Pfizer?
- Servir marcher dans laquelle nous nous trouvons aujourd'hui.
Un peu chaotique, il y a des fluctuations de la comédie du côté du marché des actions, c'est accommodant.
Je crois que Pfizer, c'est la quatrième plus grande émission de dette c'est certainement la plus grande cette année aux États-Unis.
Donc, ça été bien reçu, ça été mis en priorité à la hausse hier.
Ça parle de la capacité du marché d'absorber l'approvisionnement.
Et ça revient des activités, des couvertures qui peuvent accommoder davantage les rendements obligataires. Je pense que c'est un signe positif.
Les entreprises veulent se refinancer, restructurer, rebâtir leur coffre et aux États-Unis, la qualité investissement est à la hausse comme je l'ai dit.
Et donc, au rendement se resserre.
Et ça revient au coût de l'emprunt qui est à la hausse.
L'émission de Pfizer a été bien reçue par les marchés.
Est-ce que d'autres compagnies regardait dit c'est peut-être une option pour nous?
- Oui, tout à fait.
Je crois qu'il y a 10 affaires qui ont été conclues peut-être.
Ça amène à davantage d'approvisionnement.
- Voici: la Banque du Canada va-t-elle rester en pause après ce chiffre d'inflation plus élevée que prévu?
- Que va faire la Banque du Canada? C'est difficile de le dire pour juin.
Le 7 juin.
En ce moment la Banque du Canada dit non, il n'y aura pas de hausse, malgré cette inflation.
Au bout du compte que ce soit juillets ont en septembre, les marchés ont pratiquement anticipé cela entièrement.
Il y aura probablement une autre hausse, celle que l'on croit, si difficile à dire, mais je crois que par la suite, il n'y aura pas beaucoup plus de hausse soutenue je ne crois pas que ce soit le temps par la suite.
On va répondre à une autre question à Scott Colbourne de Burns sur les titres à revenu fixe dans quelques instants.
Assurez-vous de faire vos propres recherches avant de prendre les décisions d'investissement.
Vous pouvez nous contacter à tout moment.
Est-ce que vous avez une question sur les investissements et ceux qui m'aiment les marchés?
Nous voulons de le savoir.
Envoyez-nous vos questions il y a deux manières de le faire: d'abord par courriel, moneytalklivetd.
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Sur CourtierWeb.
Écrivez votre question et envoyez-la et on verra si un de Nos invités pourraient vous répondre en direct.
ici.
Alors, les prix du bois d'œuvre sont tombés à leur niveau le plus bas depuis plus de deux ans, puis les banques centrales se sont attaquées une inflation élevée. À la surchauffe du marché immobilier.
Anthony Okolie nous rejoint avec le dernier rapport de TD. Sur les tendances récentes les perspectives du secteur du papier des produits forestiers.
- Alors que nous entrons dans cette saison de construction, il faut faire le point là-dessus.
Les prix du bois d'œuvre continue à connaître une baisse et pendant la pandémie, ça connut compte donc des crêtes énormes.
Alors que les gens étaient chez eux et voulait faire des rénovations.
Et donc, ça été un des premiers actifs à retomber par la suite à la fin de la pandémie.
C'est bien moins que la crainte en ce moment qui a atteint 1700 $ au moment de la pire période de la pandémie.
Alors, les cours aboient en ce moment sont plus préoccupés par le fait que le bois s'accumule dans les cours alors qu'il y a moins d'achats que prévu. Et Home Dépôt a connu sa perte la plus importante depuis des dizaines d'années malgré les chantiers, les mises en chantiers qui sont à la hausse.
L'an passé.
On voit maintenant une baisse des mises en chantier.
Donc nous croyons que les prix du bois d'œuvre distingueront ou seront à la baisse.
Nous notons que les importations du bois européen, des pressions de prix et se permet de compenser un peu ses barrières que l'on voit.
Par ailleurs, les prix de la pulpe sont aussi sous pression. Au niveau le plus bas depuis février 2022.
Et les prix actuels, nous croyons que le moulin aboie de la loi du Canada sont en trésorerie neutre en ce moment. La Chine consomme à peu près 40 % du marché de la pulpe mondiale.
Donc réduit les prix.
Ce qui vraiment mais dépression sur tous les secteurs.
- Vous avez dit qu'évidemment, c'est la saison de construction qui est très active, est-ce que vous voyez des signes d'animation des stocks de bois devant ce moment?
- Oui, on voit qu'il y a des signes d'accumulation.
Selon analyse en ce moment, selon notre analyse, nous disons qu'il y a eu 1,5 pour cent d'accroissement des stocks.
Il y a quand même un creux de sept ans en ce moment.
Il est prix ont décru significativement depuis le premier trimestre de la crête.
Trimestre 2022 et ça c'est pondéré vers la Colombie Britannique qui évidemment le plus grand producteur de bois d'œuvre. L'Amérique du Nord.
- Si les partenaires disent que c'est trop cher, qu'est-ce qu'on va faire?
- Évidemment, on ne peut pu avoir de solution, mais il s'agit donc de vendre à quelqu'un de plus solide qui a les reins les plus solides.
- Voilà.
C'était Anthony Okolie.
Parlons Argent en direct. Voyons maintenant les marchés. Indice composite TSX est toujours en territoire négatif.
On espère que le brut pourra faire lever le marché.
Ce n'est pas trop dramatique.
C'est -1,4 %. Air Canada a connu une hausse à 5,6 %.
1,21.
Et IAM Gold connaît des difficultés, une baisse de 5,3 %.
, Deux 21.
Lightspeed fait des gains aujourd'hui, hausse de 9 %.
1,7; relativement.
Et c'est assez favorable pour l'activité.
Maintenant, l'indice de référence canadien.
Les négociations continuent quant au plafond de la dette.
La dette on ne voit rien de négatif aujourd'hui, on voit plutôt du favorable.
Une hausse de, 70 %. Nasdaq connaît également une hausse de 1/2 %.
Et Target qui indique toujours que les consommateurs favorisent donc les produits de consommation d'épicerie.
Et il pourrait on pourrait voir après la déception deux Home Dépôt.
Target nous rend plus heureux à une hausse un peu plus de 2 %.
Alors, on vous remercie, Scott Colbourne est-elle avec nous et a parlé du revenu fixe.
Donc, demain, nous parlerons donc des questions, d'autres questions à la matière, mais revenons avec Scott.
- Est-ce que on peut dire que les banques centrales forment l'inflation avec leur politique?
- On ne peut pas dire cela.
Depuis la grande crise financière de 2008 et 2009,75 % du temps, les taux étaient à zéro.
Et tout à coup, après la pandémie, nous voyons dans l'inflation.
Je dirais que c'est presque le posé.
Ce n'est pas le fait que la hausse des taux à cause de l'inflation, c'est que la mauvaise allocation des taux qui a créé une distorsion.
Et l'intérêt et le prix du temps.
Lorsqu'on fait une mauvaise question, et qu'on met un mauvais prix sur le temps, c'est ce que l'on voit.
Il y a des crises de banque, des crises du privé, immobilier, tout cela c'est venu du fait que le loyer, l'argent était tellement faible.
Et maintenant, on a eu le choc de la pandémie qui a causé cette inflation.
Étant de force enjeux aussi.
Il y a un certain nombre de leviers limités mais c'est impossible pour les banques centrales.
Il s'agit de retirer la demande pour eux.
- C'est ce qu'ils font et c'est ce qui cause le loyer de la dette.
Le coût du loyer de la dette plus élevée.
Sur la consommation sur l'ensemble des activités, mais l'inflation était basée sur le fait que l'argent coûtait trop peu.
- Est bien l'inflation continue et ça pourrait mener à davantage de hausse.
Est-ce que les taux des CPG vont augmenter?
- Les taux des CPG sont basés sur les outils que les banques ont pour accroître les dépôts.
Et c'est basé sur les marchés financiers, marchés obligataires.
Je dirais que pour revenir à nos premiers commentaires, les marchés ont donc, se sont ajustés.
La partie facile des taux plus élevés de CPG infini.
Donc c'est une façon assez chère accroître les dépôts.
Du point de vue des banques.
Et donc, les taux de CPG il pourrait ne pas augmenter.
Malgré cette inflation continue.
Comme je le dis, quant à la nouvelle fixation des prix des CPG, cet argent facile c'est terminé.
- Une autre question qui nous arrive: toutes ses questions du plafond de la dette américain, s'il y a un défaut, de la part des États-Unis, qu'est-ce qu'elle a fait de peut faire?
On est tellement mythique vient à la rescousse.
- Elle a dit ne compter pas sur nous pour nous sauver la peau cette fois-ci.
C'est votre problème, vous le créez.
Je crois que la possibilité que cela se produise est assez minime.
Mais on a vu un (.
..
) des prix aux États-Unis.
Beaucoup plus chère.
Depuis plus tôt cette année, je crois qu'au bout du compte, cela va se résoudre.
La question c'est ce qui va se produire après.
Pour avoir cette euphorie.
Si on prend du recul et on voit ce qui va se passer, il y a probablement eu des coupures de dépenses.
Politique budgétaire plus serrée donc.
Les démocrates ont probablement commandé ça.
Et puis il y a eu ce marché obligataire qui tempère les choses un peu.
Il y a des questions de durée, quant au rendement.
Il y aura probablement un soulagement par la suite.
Mais un peu un peu plus long terme, il y a des bons défavorables qui ont découleront.
- Sa conversation est toujours fascinante!
Scott Colbourne, merci beaucoup d'être avec nous.
Directeur principal des Gestion d'actifs TD. Donc, demain, David Yong analyste sera notre invité répondre à vos questions sur les actions de secteur de la santé.
Nous rappelons que vous pouvez nous envoyer vos questions.
Merci d'avoir été avec nous aujourd'hui, et on vous voit demain.
Au revoir!