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(musique) Bonjour!
Ici Greg Bonnell. Bienvenue à Parlons Argent en direct, une émission de Placements directs TD. Nos invités commentent l'actualité des marchés et répondent à vos questions sur les placements.
Aujourd'hui, le rythme de l'inflation ralentit.
Que réserve réserve l'avenir à la Banque du Canada?
Robert Both de valeurs mobilières TD commente.
Susan Prince commentera le service économique TD qui prédit un ralentissement du marché du logement. Nous poursuivons la découverte de CourtierWeb.
Caitlin Cormier répond à certaines questions fréquemment posées notamment: comment vendre des CPG.
Posez-nous vos questions par courriel à moneytalklivetd.com ou dans la boîte de questions au bas de votre écran.
Mais tout d'abord, un coup d'œil sur les marchés. Les marchés qui sont en hausse. L'indice SCP TSX composite progresse un peu plus d'un tiers de pour cent.
Une tendance dynamique s'affiche dans le secteur aérien.
American Airlines prévoit une forte demande pour le reste de l'année, Air Canada progresse de plus de 3 % à 23,57 $ l'action.
First Quantum, dans le secteur minier, à 31 $ cette l'action, recule de 2 %.
Aux États-Unis, l'indice S&P 500 instantané des marchés américains progresse également quoi que modestement de 29; un peu plus de deux tiers de pour cent.
L'indice Nasdaq spécialisé dans la technologie a connu des hauts et des bas dernièrement.
Après plusieurs semaines gagnantes.
Aujourd'hui progresse de 227; presque 1 %.
de 2 % à 286,34 Meta plateforme est en progression de plus $ l'action.
L'inflation globale au Canada a beaucoup diminué. Avec une forte chute du prix de l'essence sur l'an dernier.
Mais cela suffira-t-il pour convaincre la Banque du Canada de reprendre sa pause? Robert Both est stratège à Valeurs Mobilières TD. C'est la grande question. Nouvelle décision sur les taux sera prise d'ici deux semaines qui fera la Banque du Canada?
- Merci de m'avoir invité encore une fois sur votre plateau.
L'inflation a effectivement notablement baissé au mois de mai.
De 1 %, au moins, à 3,4 %.
Pour beaucoup de gens, superficiellement, c'est une très bonne nouvelle.
Surtout les personnes qui ont éprouvé des difficultés à gérer la hausse du coût de la vie depuis deux ans.
Toutefois, si l'on scrute les données, la baisse de l'inflation sur 12 mois n'est pas tellement étonnante.
Le prix de l'essence a joué un rôle clé dans cette baisse. Par rapport à l'an dernier.
Mais si vous constatez l'évolution du prix de l'essence entre avril et mai, il est très faible.
Le prix globalement a augmenté de 0,3 % sur un mois.
Conformément aux attentes des marchés.
Ces statistiques ne surprendront donc pas la Banque du Canada, par comparaison à ces hypothèses.
Toutefois, l'inflation demeure beaucoup trop élever.
Surtout l'inflation de base.
La Banque du Canada se base surtout sur deux mesures: la moyenne adaptée et la médiane pondérée.
Ces deux indices ont chuté de 0,4 %, c'est considérable, mais augmente toujours de 0,2 % sur un mois. Nous évoluons dans la bonne direction, mais si vous considérez le taux annualisé d'inflation de base sur trois mois, il s'établit toujours autour de 3,7 %.
C'est trop élevé pour que la banque s'en satisfasse.
Le Canada voudrait se rapprocher de 2 %.
Donc les prix augmentent de 0,4 % sur un mois, il faudra qu'il y ait davantage de progrès avant d'être certain qu'il n'y aura plus de hausse de taux à venir.
Dans ce rapport, ce qui est d'ailleurs assez évident, tout le monde sait que l'on paie moins à la pomme que l'an dernier lorsque le baril de brut était à 120 $.
Mais les taux des prêts hypothécaires sont plus élevés que l'an dernier, si on exclut ces deux éléments, l'inflation tournait autour de deux et demis pour cent.
Cela m'a frappé comme étant curieux.
Car c'est ce que la banque Canada a fait. Elle a augmenté les taux, y compris ceux des prêts hypothécaires en tienne tel compte? Est-elle satisfaite de recul du marché du logement?
- C'est beaucoup pour la Banque du Canada qui se concentre davantage sur ces mesures inflation de base qui exclut les éléments plus volatiles comme les coûts d'intérêt sur les prêts hypothécaires.
Ce n'est pas nouveau depuis un mois, mais depuis six mois au moins, les coûts des prêts hypothécaires contribuent depuis en plus à la hausse de l'inflation sur 12 mois.
Toutefois, il y a d'autres éléments de la corbeille de l'IPC qui ont également prospéré traditionnellement lorsque la banque réduit les taux.
Coût de remplacement des propriétaires, et tous les autres éléments directement liés au prix des logements.
Ces éléments ont toujours été pris en compte avec le reste de l'indice.
Nous ne prévoyons donc pas que la Banque du Canada exclut l'augmentation des coûts de prêts hypothécaires dans ses calculs.
Elle attachera davantage d'importance à un élément en particulier lorsqu'il contribue beaucoup à la volatilité, mais ces mesures inflation de base se situent toujours à un taux qui n'est pas conforme au retour à la cible de 2 %.
Il faudra qu'il y ait davantage de données démontrant un ralentissement de la demande et le retour de l'économie à l'équilibre pour revenir à 2 %.
- Au tout début, lorsque l'inflation a pris son élan, on nous disait que c'était transitoire, il y a bien longtemps.
Il s'agissait surtout de marchandises. Il y avait des problèmes de chaîne d'approvisionnement à l'issue de la pandémie. Présent ce sont surtout les services dont on parle.
Voici la différence entre les marchandises de base et les services en ce qui concerne inflation.
Est-ce que ça perturbe la banque, le fait que les services, inflation sur les services diminue, et pas considérablement?
- C'est assez troublant pour la banque. Celle-ci surveille la situation depuis quelques mois.
Nous prévoyons que ces décors continuent de se creuser d'ici quelques mois. En effet, les prix des services sont plus persistants que les prix des biens.
Ils sont plus étroitement reliés en effet aux résultats sur le marché du travail.
Jusqu'à ce que ces derniers se rapprochent de l'équilibre, jusqu'à ce que la croissance des salaires soit largement inférieure à 5 %, nous pouvons prévoir que la persistance de la chair ôtée dans les services continus de se faire sentir parce qu'il y a ce qui concerne le logement qui est moins directement relié aux résultats du marché du travail, cela demeurera une source de pression à la hausse sur l'inflation d'ici 12 à 18 mois.
- Le marché du travail était toujours important, mais les statistiques sur l'emploi ont perdu de leur importance depuis que l'inflation est en vedette.
À présent, dans cette lutte sur l'inflation, est-ce que le marché du travail reprend son importance?
- Nous allons surveiller les données de l'emploi de plus près.
En ce qui concerne les pronostics sur l'inflation des services. C'est surtout l'inflation que surveille la Banque du Canada.
Puisque la maîtrise de l'inflation et son unique mission. La banque est bien déterminée à revenir à 2 %.
Le marché du travail est quelque peu secondaire. Bien sûr, les données sur la croissance sont très importantes, il faut de la croissance ralentisse par rapport au taux supérieur à la moyenne que nous avons vue depuis un an environ.
La croissance a été assez fort dans le premier trimestre de cette année, ce qui laisse à penser que certaines des pressions inflationnistes pourraient prendre plus longtemps à s'estomper.
Le 12 juillet, dans 15 jours, la Banque du Canada va annoncer sa décision sur les taux.
D'après vous, à partir de quel moment la banque pourra-t-elle revenir à une pause?
Ou pensez-vous qu'il continuera?
- Il faut connaître l'évolution du mois de juillet d'abord.
Mais c'est l'une des questions que nous nous posions dans l'attente du rapport d'aujourd'hui sur l'IPC. Une hausse de taux en juillet semble très probable.
Il faudrait que les données sur l'inflation soient très décevantes pour que la banque renonce à une hausse en juillet.
Or, cela n'a pas été le cas.
Il n'y a pas d'autres statistiques très importants qui pourraient faire évoluer la situation et qui paraîtront ici le 12 juillet.
Je pense que la banque Canada va relever les taux une nouvelle fois, après le mois de juillet, la banque va sans doute se baser sur les données pour l'avenir.
Beaucoup de données économiques seront publiées avant le mois de septembre.
Il faudra des indices concrets de ralentissement de l'activité économique, il faudra également que l'inflation continue de diminuer surtout les chiffres de l'inflation de base.
Nous avons trois mois avant d'y parvenir.
Voilà ce que nous allons surveiller. Pour le moment, nous prévoyons que les taux à titre atteindront un pic à 5 %.
- Robert Both répondra à vos questions sur l'économie et les taux d'intérêt dans quelques minutes.
Vous pouvez nous les poser en tout temps par courriel, moneytalklivetd.com ou dans la boîte de questions au bas de votre écran. À présent, l'actualité du monde des affaires et un coup d'œil sur les marchés.
Delta Airlines relève son pronostic des bénéfices pour l'exercice ainsi que ses prévisions de flux de trésorerie disponible grâce à la forte demande de voyages, le transporteur annonce que les voyageurs achètent des places plus coûteuses.
Ces nouvelles arrivent à l'avance du rapport trimestriel de Delta le mois prochain.
Les actions de Walgreens sont sous pression.
La chaîne de pharmacie américaine de reddition pronostic des bénéfices pour l'exercice à cause de ralentissement des dépenses des consommateurs, Walgreens constate également une baisse de demande pour les tests de COVID et vaccins contre la COVID. Thomson Reuters renforce son activité dans l'intelligence artificielle en achetant (...) une entreprise basée en Californie auprès de 650 millions de dollars au comptant.
Elle utilise l'apprentissage machine pour assister l'industrie juridique. À présent, les grands indices au Canada, indice TSX composite progresse de 75; plus d'un tiers de pour cent régulés aux États-Unis, indice S&P 500 progresse, surtout grâce à la remontée du secteur de la technologie.
L'indice progresse de 30; un peu plus de deux tiers de pour cent.
Robert Both répond à vos questions sur l'économie et les taux d'intérêt.
Nous envisageons une hausse de taux de la barre de la Banque du Canada et on vous demande quand vous pensez que la Fed et la Banque du Canada pour réduire les taux d'intérêt.
- De 10 points et la banque Canada je pense qu'il est beaucoup plus incertitude à court terme quant à l'évolution des taux d'intérêt et au niveau maximum qu'ils atteindront. Nous devons franchir ce cap avant de nous prononcer sur les éventuelles réductions de taux.
Il faut qu'un certain nombre de choses se produise pour que la Banque du Canada reprenne sa pause en septembre et au-delà.
Il faut que l'inflation de base continue de diminuer.
Surtout sur une période de trois mois.
Il faut de la croissance du PIB. Que ça revienne en deçà de son potentiel de croissance. Notre économie se rapproche de l'équilibre.
Et évite la surchauffe.
De notre pronostic, nous prévoyons que la Banque du Canada s'en tiendra à 5 %, nous pensons que les perspectives de croissance vont descendre à une vitesse plus modérée. Pendant le deuxième semestre. Ce qui devrait rapprocher l'économie de l'équilibre d'ici la fin de cette année. Nous pensons que c'est au deuxième trimestre de l'an prochain que la Banque du Canada va entamer une réduction des taux d'intérêt.
Nous devons bien entendu voir des données montrant un refroidissement de l'économie pour que la banque s'arrêta 5 %, mais si tout ce parce que nous ne prévoyons de nous parce que les coupures de taux interviendront deuxième trimestre.
- La situation aux États-Unis est moins reluisante à la réserve fédérale a déclaré qu'elle prévoyait relever les taux jusqu'à deux fois de plus cette année.
Peut-être le créneau des hausses de taux n'existe-t-il plus aux États-Unis, car nous pensons que les données en tireront beaucoup deuxième semestre. Si l'inflation de base a beaucoup rétrogradé aux États-Unis, et que la croissance de la masse salariale non agricole est inférieure aux prévisions, nous pensons que la Fed va maintenir son taux inchangé à sa prochaine réunion et le maintien à 5,25 % d'ici le quatrième trimestre.
- L'économie américaine est un peu affaiblie à leur actuelle.
Certains des indicateurs ISM qui portent sur les conditions de l'affaire dans le secteur des biens et services sont sous pression depuis quelques mois.
Les États-Unis, la banque fédérale réserve un double mandat.
Elle doit tenir compte non seulement de l'inflation, mais du marché du travail, contrairement à d'autres banques comme la Banque du Canada qui n'ont qu'une mission unique. Nous pensons que la Fed va commencer réduire les taux dès le quatrième trimestre de cette année. Par comparaison la Banque du Canada, le cycle de réduction de taux devrait être davantage axé vers le début, contrairement à la Banque du Canada.
L'essentiel est coupures de taux devrait intervenir au début du cycle de baisse.
Les premières hausses, les premières baisseront son rôle plus important que prévu.
- Je m'étais habitué à 25 points de base. Bien sûr, ces règles ont volé en éclats lorsqu'il a fallu réduire les taux pour réduire pour lutter contre la pandémie et les augmenter pour lutter contre l'inflation.
Aux États-Unis au moins, je pense qu'il serait envisageable que le retour à un taux d'intérêt neutre soit plus rapide que prévu. Un taux d'intérêt neutre, c'est-à-dire qui n'a pas pour effet de stimulation ni de ralentissement.
Nous pensons qu'il y aurait une première réduction de taux de 25 points de base en décembre, mais une fois entamée, réunions du premier trimestre nous pensons que la réserve fédérale a procédé à des réductions plus rapides par tranche de 50 points de base tout comme ça été le cas pour les hausses pendant la première partie du cycle récent.
- Cette question évoque la trajectoire divergente de nos banques centrales en prochain.
Quelle sera la trajectoire du dollar canadien?
- Il y a certainement des conséquences pour le taux de change, puisque, avec la position de la Banque du Canada qui devrait consister à maintenir les taux à leur niveau actuel, et à les réduire plus lentement que la réserve fédérale, il est à prévoir que pendant le premier semestre de l'an prochain, les taux d'intérêt seront notablement plus élevés au Canada et aux États-Unis à court terme.
Ceci devrait être favorable au dollar canadien fort.
Les marchés ont rapidement évolué depuis deux mois.
Pour refléter la force du dollar canadien.
Nous pensons que cette dynamique se poursuivra d'ici la fin de l'année.
Nous pensons qu'un dollar 30 serait un niveau où le dollar canadien exprimait le dollar américain exprimé en dollars canadiens ce qui reste en 77e. Nous pensons revenir à un 25 ou 80 sens d'ici la fin de 2024.
La divergence entre les banques centrales continuera de renforcer le dollar canadien.
Du point de vue de la Banque du Canada, je pense que celle-ci ne s'inquiéterait pas.
Du dollar canadien fort, ce qui réduira l'inflation en ralentissant la hausse des prix de l'importation.
On nous demande si les cycles du chômage est à présent déphasé du cycle de taux d'intérêt.
En effet, pourquoi le marché du travail se porte-t-il si bien en dépit de la hausse des taux?
- Je pense qu'il ne s'agit pas que du marché du travail. L'économie du canadien en général cet arrêt very résilience face hausse de taux en 2018 et 2019, ralentissement était beaucoup plus rapide une fois qu'on est arrivé à 150 ou 175.
Il n'y a pas eu beaucoup de ralentissement depuis six mois.
Quand vous considérez le rythme des dépenses des consommateurs au premier trimestre, ou encore l'évolution du marché du logement depuis trois à quatre mois, la dynamique sous-jacente demeure très porteuses.
Il y a un certain déphasage entre les taux d'intérêt et l'économie réelle. C'est vrai. Toutefois, ce phénomène s'explique en partie par la mesure dans laquelle l'épargne excédentaire déménage depuis trois ans revient dans l'économie.
Pendant la pandémie, faute de pouvoir dépenser en biens et services, dans la même mesure que dans une conjoncture typique, les ménages ont touché beaucoup de subventions du gouvernement.
Ce qui a compensé la perte de beaucoup d'emplois.
Les gens avaient davantage d'argent, as rien acheté.
On mit cette épargne à la banque pendant trois ans.
Je pense que nous allons pouvoir surfer sur cette vague pendant quelque temps avant qu'il y ait de ralentissement.
- Nous avons été quelque peu étonné par la résilience de l'économie, surtout premier trimestre de cette année.
La consommation des ménages qui impulsent la croissance économique n'est pas passé inaperçu par la Banque du Canada.
Laquelle a souligné la consommation bien portante et le rebond des marchés du logement.
Dans son énoncé des politiques mois de juin et comme justification pour expliquer qu'elle soit sortie de l'expectative.
- Faites toujours vos propres recherches avant de prendre des décisions de placement.
Robert Both répondra à vos questions sur l'économie et les taux d'intérêt dans quelques minutes.
Vous pouvez les poser partout en par courriel, moneytalklivetd.com.
À présent, poursuivons la découverte de CourtierWeb.
Mardi dernier, pendant Parlons Argent en direct, nous avons posé une ou deux questions sur CourtierWeb auxquelles nous n'avons pas eu temps de répondre.
Aujourd'hui, Caitlin Cormier y répond.
Bonjour Caitlin.
Deux questions: j'ai pu acheter un CPG encaissant sur la plate-forme.
Comment puis-je le vendre lorsque je dois utiliser les fonds puisqu'il est encaissable?
- Excellente question!
En ce qui concerne les CPG, le terme de vendre n'est pas tout à fait exact.
Même s'il y a certains CPG qui peuvent être encaissés pour IPC récupérer la mise de fonds avant l'expiration, vous ne le vendez pas à quelqu'un, vous prévalez d'une caractéristique contrat. On parle d'encaissement de CPG. En ce qui concerne les CPG, je vais vous montrer rapidement sur la plate-forme où vous pouvez trouver ce genre de CPG en caisse sable.
Qui est conçu recherche, et puis fiche de taux des CPG, il existe toute une série de CPG en caisse sable et voici où on peut voir les différentes options disponibles pour les CPG encaissa.
Pour profiter de la fonction d'encaissement, il faut contacter le bureau de négociation. Il n'est pas possible de le faire soi-même sur CourtierWeb, il faut contacter un représentant emplacement.
Le numéro de téléphone se trouve en haut à gauche de l'écran.
Et vous verrez le numéro de Placements directs TD. Vous pouvez passer un rapide coup de fil et le service BCBG pourra penser ce processus en revue.
J'ai vécu ce processus moi-même il s'est très bien passé.
Ensuite, quelqu'un veut se renseigner sur TDB8150.
- Bien sûr. Peut sembler bizarre comme nom de robot.
Il s'agit en fait d'un compte d'épargne de placement.
Cela ressemble à un conte des parents, ce n'est pas un fonds du marché monétaire. Il s'agit d'un compte de banque de placement.
On ne peut pas trouver beaucoup d'informations à part le rendement sur ce placement.
Dans la plafond CourtierWeb.
Si vous voulez vous renseigner davantage, rendez-vous sur le site Web de Gestion d'actifs TD que j'affiche à l'écran.
Ce site Web, Gestion d'actifs TD, vous trouverez sous solution supplémentaire dans la rubrique des fonds communs de placement.
Vous parvenez à cette page, compte de dépenses de placement et vous trouverez des détails.
Il s'agit de dépôt réservé aux résidents canadiens.
Voici les différents taux.
Il y a un compte américain et quatre émetteurs différents pour le Canada.
Le taux actuel figure sur la droite. Rappelez-vous qu'il s'agit d'un taux variable qui évolue avec celui de la Banque du Canada.
Qui peut être modifié en tout temps. Rappelez-vous qu'il ne s'agit pas d'un taux garanti.
Il est calculé chaque jour payable à la fin du mois par voie de crédits sur les intérêts.
La série F semble intéressant parce qu'il y a un taux d'intérêt plus élevé.
Mais seuls les conseillers peuvent y accéder.
Enfin, au bas de l'écran, vous pouvez voir que ce produit est garanti par la SADC. Puisqu'il s'agit d'un compte d'épargne, les fonds qui sont placés bénéficient d'une couverture de la SADC. Vous pouvez vendre sur le site Web de la SADC pour obtenir des détails sur la garantie. C'est un peu différent de certains des autres produits que nous proposons, mais il s'agit d'une option auquel les investisseurs peuvent accéder.
Toutefois, cela ne peut se faire que l'extérieur de la plate-forme.
- Merci de répondre à ces deux questions je suis sûr que c'est notre auditoire l'apprécie.
- Je vous en prie.
Et au revoir.
- Caitlin Cormier formatrice à Placements directs TD.
Ne manquez pas de visiter le centre d'apprentissage où vous trouverez encore plus de ressources.
À présent, je vous rappelle comment nous poser vos questions.
Avez-vous une question sur les placements ou encore sur les marchés? Vous pouvez nous la poser, soit par courriel, moneytalklivetd.com soit dans la boîte de questions au bas de votre écran.
Il suffit de cliquer sur envoyer.
Nos invités pourraient vous répondre en direct.
Robert Both répond à vos questions sur l'économie et les taux d'intérêt.
Parlons donc que du marché de l'immobilier.
Il y a eu une hausse de taux surprise, vous en prévoyez une autre.
Quel impact cela pourrait avoir sur l'immobilier?
- Les quatre derniers mois ont constitué une période remarquant pour le marché canadien du logement.
Il y a eu quatre mois de hausse consécutive de ventes de logements.
Depuis deux mois, les prix ont repris une hausse à 2 % par mois.
C'est un retour à la période prépa endémique ou nous commençons perdre un peu le contrôle de la situation.
Est-ce que 50 points de base suffiront à ralentir la situation?
Je pense que cela suffira à étouffer une partie de la remontée qui s'est produite depuis peu.
On parle de l'abordabilité des logements Canada.
Elle était mauvaise en 2016 et 2017 lorsque la taxe sur les acheteurs étrangers (..
.) les mauvaises débits de la pandémie.
Le fait qu'empirer avec les taux de prêt hypothécaire à ce niveau-là.
Et le déclin limité des ventes de logements au début du cycle de hausse de taux de la Banque du Canada.
L'abordabilité des logements est aussi médiocre qu'elle ne l'a jamais été.
Nous pensons que la conjoncture sera plus difficile pour le marché du logement, mais en même temps, il est difficile d'envisager une correction des prix lorsque la population augmente d'un million d'habitants par année.
Grâce à une immigration très vigoureuse.
Que nous ne bâtissons que 200 000 à 250 000 nouveaux logements.
Nous prévoyons que les prix vont continuer d'augmenter pour le reste des années 2023 et 2024, mais nous pensons qu'il y aura une croissance de prix beaucoup plus modéré.
Que depuis quelques mois.
Si le point de vue de valeurs mobilières TD. Tout à fait.
- Susan Prince va commenter un nouveau rapport de services économiques TD sur l'évolution du marché du logement.
Mais d'abord, une autre question.
Quelles sont les différences et ressemblances entre l'indice des prix à la consommation, les rapports sur l'inflation dont vous parlez et les dépenses de consommation personnelle?
- Ce dernier indicateur serait celui qui privilégie la Fed: quelle est la différence?
- La principale différence, c'est la pondération.
L'indice des prix à la consommation Canada du moins, est pondéré de manière à refléter les tendances dépenses des ménages de l'année précédente.
Aux États-Unis, on tient compte de facteurs de déflation qui corresponde aux biens et services entrant dans le calcul d'une dépense des ménages et du PIB. Il s'agit d'une mesure de substitution.
L'inflation de base et l'indice des prix à la consommation.
Il existe des facteurs de déflation pour la consommation personnelle au Canada.
Mais ils ne sont produits que chaque trimestre avec les résultats sur le PIB. On n'y porte moins attention aux États-Unis. La Banque du Canada n'en tient pas compte dans la même mesure.
- C'est une différence de mesure, mais cela n'entre pas en compte Canada dans la même mesure aux États-Unis.
Est-ce que la situation apparaîtrait différente aux États-Unis?
Est-ce que la Fed délaisse un indicateur plutôt qu'un autre?
- Dans certains cas il y a une divergence.
C'est surtout attribuable au calcul des services de santé ainsi que du logement.
Selon l'évolution de ces deux facteurs, il se peut qu'un écart se creuse entre ces deux mesures.
La Fed a affiché sa préférence pour les mesures de déflation de la consommation personnelle, surtout qu'il paraisse mensuellement aux États-Unis, selon chaque trimestre au Canada.
Où il ne constitue qu'une mesure générale.
De quels outils la Banque du Canada dispose-t-elle pour réduire l'inflation à part les taux d'intérêt?
- Les taux d'intérêt sont le principal outil est le meilleur dont dispose la banque Canada.
L'autre outil qu'elle utilise depuis un peu plus d'un an, consistant en un resserrement quantitatif.
Pendant la pandémie, Banque du Canada a commencé à acheter de grandes quantités de titres du gouvernement du Canada ainsi de petites quantités d'obligations provinciales et d'entreprises.
Elle les détient sur son bilan depuis trois ans. À partir du printemps dernier, elle a commencé à procéder à un resserrement quantitatif.
C'est-à-dire en ne conservant pas ses titres sur son bilan au fur et à mesure que les impressions.
Plus le bilan de la Banque du Canada se réduit, plus les bons du gouvernement du Canada seront mis à marcher, et puis les comptines ici les conditions financières se resserreront, ce qui réduit la piscine pression s'exerçant sur le levier des taux d'intérêt.
Le resserrement quantitatif se produit en coulisse depuis un an déjà.
Il se poursuivra au moins jusqu'à deuxième semestre 2024 au premier semestre 2025.
Il n'y a pas beaucoup d'autres leviers que le monde Canada puisse actionner pour entre l'économie ouvrait inflation.
- La Banque du Canada dispose de quelques outils seulement.
Peu prend des mesures de relance monétaire. Mais la relance budgétaire ressent un élément important de la demande.
Si le gouvernement fédéral devait réduire ses dépenses, cela exercerait une pression à la baisse inflation, mais bien sûr, le mandat du gouvernement du Canada diffère de celui de la Banque du Canada.
Robert bon de répondre à d'autres questions sur l'économie de quelques minutes.
Faites toujours vos propres recherches avant de prendre des décisions de placement.
je vous rappelle comment nous poser vos questions.
Avez-vous une question sur les placements ou encore sur les marchés?
Vous pouvez nous la poser.
Soit par courriel, moneytalklivetd.com soit dans la boîte de questions au bas de votre écran.
Il suffit de cliquer sur envoyer.
Nos invités pourraient vous répondre en direct.
le nouveau rapport des services économiques TD prévoit un ralentissement de l'activité du logement pendant le deuxième semestre.
Susan Prince commente.
Rishi Sondhi un économiste la Banque TD déjà parue sur ce plateau.
Il commente les pronostics du logement.
Au mois de juin, les ventes de logements des plus élevées que prévu, donc les prix, la valeur, et voilà le volume.
Et puis les prix du logement.
Donc la valeur et le volume des plus élevées, tous deux, ce qui était inattendu sur le marché.
C'était le premier mobile pour une analyse des chiffres prévus par la Banque TD. Il s'agissait d'une surprise à la hausse.
- Oui, c'était une surprise. Ceci signifie que nous reportons le problème.
On peut voir sur le graphique les chiffres pour le deuxième trimestre étaient nettement plus élevés que prévus en pourcentage.
Il s'agit du changement en pourcentage d'un mois sur l'autre, dans les ventes de logements et la valeur des logements.
Au troisième trimestre, les résultats semblent devoir ralentir d'ici quelques mois.
Avec notamment une faiblesse au troisième trimestre qui donne des résultats négatifs.
Il s'est passé une ou deux choses ici qui ont eu un impact.
Pour le troisième si trimestre, on estime toujours un resserrement de l'offre et du volume.
Des mises en vente, mais par ailleurs, beaucoup de gens se disent: je vais attendre pour acheter un logement plus grand.
Il y a donc moins de mise en vente de logements.
Ce sont les facteurs que nous surveillons à l'abord du troisième trimestre.
Slice beaucoup de facteurs à surveiller.
Merci pour cette analyse.
Qu'est-ce que les investisseurs doivent conclure?
- Il y a intérêt à surveiller les entreprises qui pourraient être affectées par ces changements. Par exemple, les entreprises de construction, rénovation, ou les banques.
Les acheteurs ou vendeurs de logements pourraient scruter ces chiffres pour déterminer de quelle tendance il serait possible de profiter.
Que vous soyez tentés d'acheter ou que vous y désiriez décider d'attendre pour mettre votre logement en vente.
- Ça me fait toujours plaisir de m'entretenir avec vous.
Vous venez d'entendre Susan Prince.
À présent, une mise à jour sur les marchés.
Voici le tableau de bord avancé de la Banque TD, plate-forme intention des négociateurs actifs proposés par Placements directs TD. Voici la carte thermique et qui donne une idée des 60 plus importantes actions dans l'indice composite TSX.
Le cours et le volume.
Dans le secteur des financiers, certaines des grandes banques progressent légèrement, Manuvie en tête, à 1 1/2 % d'augmentation.
Et Brookfield également.
Après une remontée du secteur de l'énergie hier, la journée affiche une légère baisse, rien de trop grave, Suncor est en baisse de 1 %.
Ensuite en haut à droite, Shopify en hausse d'un et demi pour cent, remontée de la technologie aussi des États-Unis qui se répercutent également Canada.
Vous pouvez trouver davantage d'informations sur le tableau de bord avancé en visitant le site Web de la Banque TD. Robert Both de Valeurs Mobilières TD répond à vos questions économie les taux d'intérêt.
La grande question: existe-t-il encore un risque de récession cette année?
Et sera-t-elle grave?
- Il est très difficile d'exclure le risque d'une récession lorsque vous vous trouvez dans un environnement où les taux d'intérêt sont à 200 points de base, au-dessus de leur fourchette neutre, surtout dans une économie où le ratio de la dette revenue plus élevée qu'il ne l'a été depuis des décennies.
Notre scénario de base demeure le même toutefois.
Nous prévoyons un atterrissage en douceur.
Notre scénario de base envisage une croissance positive d'ici la fin 2023, édition 2024.
Mais à un niveau très inférieur à la tendance ou au niveau neutre.
Puisque la croissance inférieure sont tous naturels, nous prévoyons que la surchauffe de l'économie canadienne s'apaise et que d'ici la fin de cette année au début de l'an prochain, une certaine marge s'ouvrira, ce qui devrait nous permet de ramener l'inflation à 2 % et ouvrir la voie à la réduction des taux par la banque Canada.
Pour en revenir à votre question, il est très difficile d'exclure une contraction dans l'activité économique, compte tenu de l'endettement des ménages, et dans le contexte des taux d'intérêt.
Une ou deux raisons pour lesquelles nous ne pensons pas qu'une élection va se concrétiser.
Tout d'abord, le degré d'épargne excédentaire auquel j'ai fait allusion tout à l'heure.
Si vous considérez les économies accumulées entre 2020 2022, par rapport à un environnement plus typique de 2015 2019, cet excédent, ce chiffre de 100 millions de dollars.
Il s'agit d'un coussin d'épargne extrêmement important sur lequel les ménages canadiens sont assis.
Et jusqu'au premier trimestre de cette année, les ménages n'avaient pas encore réinjecté cette épargne.
Ils ont encore fondu des réserves d'ici un an ou deux.
D'autres pays comme aux États-Unis ou dans certaines régions de l'Europe, cette épargne a d'ores et déjà été évacué.
Ce qui a été favorable croissance depuis un an.
Au Canada, cette épargne a constitué dans une modeste mesure facteurs de résilience.
Elle va également contribuer à réduire le risque récession de d'ici un an ou: un autre élément qui nous aide à lutter contre ce phénomène, c'est la population du Canada qui vient de franchir le seuil des 40 millions d'habitants.
Cette tendance devrait se poursuivre d'ici deux à trois ans, compte tenu de la cible d'immigration du gouvernement fédéral.
Donc il est un peu plus difficile d'envisager une contraction de l'économie lorsque vous ajoutez une demande émanant de l'immigration.
Ce qui relève le seuil pour parvenir à des contractions du PIB réel d'un trimestre sur l'autre.
En ce qui concerne le PIB par habitant, aux perspectives de croissance sont beaucoup plus faibles.
Nous prévoyons un PIB négatif par habitant pendant au moins six trimestres jusqu'à la fin de l'an prochain.
Cela va ressembler davantage à une récession pour certains ménagent et certaines entreprises.
D'un point de vue général, nous prévoyons un atterrissage en douceur.
- Vous avez dit que certaines personnes n'ont pas encore injecté leur épargne.
Mais deux fils entre l'université cet automne, ils vont certainement trouver un emploi pour mon épargne.
Quelques considérations générales sur l'environnement.
L'inflation globale a diminué considérablement, que prévoir pour le deuxième semestre?
- Pour le deuxième semestre, nous allons nous concentrer sur le taux d'inflation de base sur trois mois.
Qui se situe entre le 3,5 et 3,7 % depuis sept mois.
Nous faisons donc du sur place à ce niveau.
Il s'agit qu'il redescendant de la honte de 3 %.
Il faut également que les données économiques montre un ralentissement notamment de la croissance jusqu'à ce que ces deux éléments se concrétisent, il est difficile d'être convaincu que nous avons atteint la fin des hausses de taux.
Nous sommes toujours dans un environnement où les données comptent pour beaucoup par rapport à l'an dernier, lorsque les hausses de taux étaient essentiellement programmées.
Et qu'il suffisait d'en ajuster l'ampleur.
Les données, les statistiques deviennent de plus en plus importantes.
Voilà ce qui va déterminer aussi bien le point final cette hausse de siffler le début des coupures de taux.
- Ça me fait toujours plaisir de bénéficier de vos aperçus.
Robert Both est stratège à Gestion d'actifs TD. Faites toujours vos propres recherches avant de prendre des décisions de placement.
Demain, Ben Gossack, gestionnaire de portefeuille Gestion d'actifs TD, va commenter les actions mondiales.
L'un de nos spectateurs aujourd'hui nous a posé une question sur les banques.
Je vous rappelle que vous pouvez nous poser vos questions d'ores et déjà par moneytalklivetd.com. *
Ici Greg Bonnell. Bienvenue à Parlons Argent en direct, une émission de Placements directs TD. Nos invités commentent l'actualité des marchés et répondent à vos questions sur les placements.
Aujourd'hui, le rythme de l'inflation ralentit.
Que réserve réserve l'avenir à la Banque du Canada?
Robert Both de valeurs mobilières TD commente.
Susan Prince commentera le service économique TD qui prédit un ralentissement du marché du logement. Nous poursuivons la découverte de CourtierWeb.
Caitlin Cormier répond à certaines questions fréquemment posées notamment: comment vendre des CPG.
Posez-nous vos questions par courriel à moneytalklivetd.com ou dans la boîte de questions au bas de votre écran.
Mais tout d'abord, un coup d'œil sur les marchés. Les marchés qui sont en hausse. L'indice SCP TSX composite progresse un peu plus d'un tiers de pour cent.
Une tendance dynamique s'affiche dans le secteur aérien.
American Airlines prévoit une forte demande pour le reste de l'année, Air Canada progresse de plus de 3 % à 23,57 $ l'action.
First Quantum, dans le secteur minier, à 31 $ cette l'action, recule de 2 %.
Aux États-Unis, l'indice S&P 500 instantané des marchés américains progresse également quoi que modestement de 29; un peu plus de deux tiers de pour cent.
L'indice Nasdaq spécialisé dans la technologie a connu des hauts et des bas dernièrement.
Après plusieurs semaines gagnantes.
Aujourd'hui progresse de 227; presque 1 %.
de 2 % à 286,34 Meta plateforme est en progression de plus $ l'action.
L'inflation globale au Canada a beaucoup diminué. Avec une forte chute du prix de l'essence sur l'an dernier.
Mais cela suffira-t-il pour convaincre la Banque du Canada de reprendre sa pause? Robert Both est stratège à Valeurs Mobilières TD. C'est la grande question. Nouvelle décision sur les taux sera prise d'ici deux semaines qui fera la Banque du Canada?
- Merci de m'avoir invité encore une fois sur votre plateau.
L'inflation a effectivement notablement baissé au mois de mai.
De 1 %, au moins, à 3,4 %.
Pour beaucoup de gens, superficiellement, c'est une très bonne nouvelle.
Surtout les personnes qui ont éprouvé des difficultés à gérer la hausse du coût de la vie depuis deux ans.
Toutefois, si l'on scrute les données, la baisse de l'inflation sur 12 mois n'est pas tellement étonnante.
Le prix de l'essence a joué un rôle clé dans cette baisse. Par rapport à l'an dernier.
Mais si vous constatez l'évolution du prix de l'essence entre avril et mai, il est très faible.
Le prix globalement a augmenté de 0,3 % sur un mois.
Conformément aux attentes des marchés.
Ces statistiques ne surprendront donc pas la Banque du Canada, par comparaison à ces hypothèses.
Toutefois, l'inflation demeure beaucoup trop élever.
Surtout l'inflation de base.
La Banque du Canada se base surtout sur deux mesures: la moyenne adaptée et la médiane pondérée.
Ces deux indices ont chuté de 0,4 %, c'est considérable, mais augmente toujours de 0,2 % sur un mois. Nous évoluons dans la bonne direction, mais si vous considérez le taux annualisé d'inflation de base sur trois mois, il s'établit toujours autour de 3,7 %.
C'est trop élevé pour que la banque s'en satisfasse.
Le Canada voudrait se rapprocher de 2 %.
Donc les prix augmentent de 0,4 % sur un mois, il faudra qu'il y ait davantage de progrès avant d'être certain qu'il n'y aura plus de hausse de taux à venir.
Dans ce rapport, ce qui est d'ailleurs assez évident, tout le monde sait que l'on paie moins à la pomme que l'an dernier lorsque le baril de brut était à 120 $.
Mais les taux des prêts hypothécaires sont plus élevés que l'an dernier, si on exclut ces deux éléments, l'inflation tournait autour de deux et demis pour cent.
Cela m'a frappé comme étant curieux.
Car c'est ce que la banque Canada a fait. Elle a augmenté les taux, y compris ceux des prêts hypothécaires en tienne tel compte? Est-elle satisfaite de recul du marché du logement?
- C'est beaucoup pour la Banque du Canada qui se concentre davantage sur ces mesures inflation de base qui exclut les éléments plus volatiles comme les coûts d'intérêt sur les prêts hypothécaires.
Ce n'est pas nouveau depuis un mois, mais depuis six mois au moins, les coûts des prêts hypothécaires contribuent depuis en plus à la hausse de l'inflation sur 12 mois.
Toutefois, il y a d'autres éléments de la corbeille de l'IPC qui ont également prospéré traditionnellement lorsque la banque réduit les taux.
Coût de remplacement des propriétaires, et tous les autres éléments directement liés au prix des logements.
Ces éléments ont toujours été pris en compte avec le reste de l'indice.
Nous ne prévoyons donc pas que la Banque du Canada exclut l'augmentation des coûts de prêts hypothécaires dans ses calculs.
Elle attachera davantage d'importance à un élément en particulier lorsqu'il contribue beaucoup à la volatilité, mais ces mesures inflation de base se situent toujours à un taux qui n'est pas conforme au retour à la cible de 2 %.
Il faudra qu'il y ait davantage de données démontrant un ralentissement de la demande et le retour de l'économie à l'équilibre pour revenir à 2 %.
- Au tout début, lorsque l'inflation a pris son élan, on nous disait que c'était transitoire, il y a bien longtemps.
Il s'agissait surtout de marchandises. Il y avait des problèmes de chaîne d'approvisionnement à l'issue de la pandémie. Présent ce sont surtout les services dont on parle.
Voici la différence entre les marchandises de base et les services en ce qui concerne inflation.
Est-ce que ça perturbe la banque, le fait que les services, inflation sur les services diminue, et pas considérablement?
- C'est assez troublant pour la banque. Celle-ci surveille la situation depuis quelques mois.
Nous prévoyons que ces décors continuent de se creuser d'ici quelques mois. En effet, les prix des services sont plus persistants que les prix des biens.
Ils sont plus étroitement reliés en effet aux résultats sur le marché du travail.
Jusqu'à ce que ces derniers se rapprochent de l'équilibre, jusqu'à ce que la croissance des salaires soit largement inférieure à 5 %, nous pouvons prévoir que la persistance de la chair ôtée dans les services continus de se faire sentir parce qu'il y a ce qui concerne le logement qui est moins directement relié aux résultats du marché du travail, cela demeurera une source de pression à la hausse sur l'inflation d'ici 12 à 18 mois.
- Le marché du travail était toujours important, mais les statistiques sur l'emploi ont perdu de leur importance depuis que l'inflation est en vedette.
À présent, dans cette lutte sur l'inflation, est-ce que le marché du travail reprend son importance?
- Nous allons surveiller les données de l'emploi de plus près.
En ce qui concerne les pronostics sur l'inflation des services. C'est surtout l'inflation que surveille la Banque du Canada.
Puisque la maîtrise de l'inflation et son unique mission. La banque est bien déterminée à revenir à 2 %.
Le marché du travail est quelque peu secondaire. Bien sûr, les données sur la croissance sont très importantes, il faut de la croissance ralentisse par rapport au taux supérieur à la moyenne que nous avons vue depuis un an environ.
La croissance a été assez fort dans le premier trimestre de cette année, ce qui laisse à penser que certaines des pressions inflationnistes pourraient prendre plus longtemps à s'estomper.
Le 12 juillet, dans 15 jours, la Banque du Canada va annoncer sa décision sur les taux.
D'après vous, à partir de quel moment la banque pourra-t-elle revenir à une pause?
Ou pensez-vous qu'il continuera?
- Il faut connaître l'évolution du mois de juillet d'abord.
Mais c'est l'une des questions que nous nous posions dans l'attente du rapport d'aujourd'hui sur l'IPC. Une hausse de taux en juillet semble très probable.
Il faudrait que les données sur l'inflation soient très décevantes pour que la banque renonce à une hausse en juillet.
Or, cela n'a pas été le cas.
Il n'y a pas d'autres statistiques très importants qui pourraient faire évoluer la situation et qui paraîtront ici le 12 juillet.
Je pense que la banque Canada va relever les taux une nouvelle fois, après le mois de juillet, la banque va sans doute se baser sur les données pour l'avenir.
Beaucoup de données économiques seront publiées avant le mois de septembre.
Il faudra des indices concrets de ralentissement de l'activité économique, il faudra également que l'inflation continue de diminuer surtout les chiffres de l'inflation de base.
Nous avons trois mois avant d'y parvenir.
Voilà ce que nous allons surveiller. Pour le moment, nous prévoyons que les taux à titre atteindront un pic à 5 %.
- Robert Both répondra à vos questions sur l'économie et les taux d'intérêt dans quelques minutes.
Vous pouvez nous les poser en tout temps par courriel, moneytalklivetd.com ou dans la boîte de questions au bas de votre écran. À présent, l'actualité du monde des affaires et un coup d'œil sur les marchés.
Delta Airlines relève son pronostic des bénéfices pour l'exercice ainsi que ses prévisions de flux de trésorerie disponible grâce à la forte demande de voyages, le transporteur annonce que les voyageurs achètent des places plus coûteuses.
Ces nouvelles arrivent à l'avance du rapport trimestriel de Delta le mois prochain.
Les actions de Walgreens sont sous pression.
La chaîne de pharmacie américaine de reddition pronostic des bénéfices pour l'exercice à cause de ralentissement des dépenses des consommateurs, Walgreens constate également une baisse de demande pour les tests de COVID et vaccins contre la COVID. Thomson Reuters renforce son activité dans l'intelligence artificielle en achetant (...) une entreprise basée en Californie auprès de 650 millions de dollars au comptant.
Elle utilise l'apprentissage machine pour assister l'industrie juridique. À présent, les grands indices au Canada, indice TSX composite progresse de 75; plus d'un tiers de pour cent régulés aux États-Unis, indice S&P 500 progresse, surtout grâce à la remontée du secteur de la technologie.
L'indice progresse de 30; un peu plus de deux tiers de pour cent.
Robert Both répond à vos questions sur l'économie et les taux d'intérêt.
Nous envisageons une hausse de taux de la barre de la Banque du Canada et on vous demande quand vous pensez que la Fed et la Banque du Canada pour réduire les taux d'intérêt.
- De 10 points et la banque Canada je pense qu'il est beaucoup plus incertitude à court terme quant à l'évolution des taux d'intérêt et au niveau maximum qu'ils atteindront. Nous devons franchir ce cap avant de nous prononcer sur les éventuelles réductions de taux.
Il faut qu'un certain nombre de choses se produise pour que la Banque du Canada reprenne sa pause en septembre et au-delà.
Il faut que l'inflation de base continue de diminuer.
Surtout sur une période de trois mois.
Il faut de la croissance du PIB. Que ça revienne en deçà de son potentiel de croissance. Notre économie se rapproche de l'équilibre.
Et évite la surchauffe.
De notre pronostic, nous prévoyons que la Banque du Canada s'en tiendra à 5 %, nous pensons que les perspectives de croissance vont descendre à une vitesse plus modérée. Pendant le deuxième semestre. Ce qui devrait rapprocher l'économie de l'équilibre d'ici la fin de cette année. Nous pensons que c'est au deuxième trimestre de l'an prochain que la Banque du Canada va entamer une réduction des taux d'intérêt.
Nous devons bien entendu voir des données montrant un refroidissement de l'économie pour que la banque s'arrêta 5 %, mais si tout ce parce que nous ne prévoyons de nous parce que les coupures de taux interviendront deuxième trimestre.
- La situation aux États-Unis est moins reluisante à la réserve fédérale a déclaré qu'elle prévoyait relever les taux jusqu'à deux fois de plus cette année.
Peut-être le créneau des hausses de taux n'existe-t-il plus aux États-Unis, car nous pensons que les données en tireront beaucoup deuxième semestre. Si l'inflation de base a beaucoup rétrogradé aux États-Unis, et que la croissance de la masse salariale non agricole est inférieure aux prévisions, nous pensons que la Fed va maintenir son taux inchangé à sa prochaine réunion et le maintien à 5,25 % d'ici le quatrième trimestre.
- L'économie américaine est un peu affaiblie à leur actuelle.
Certains des indicateurs ISM qui portent sur les conditions de l'affaire dans le secteur des biens et services sont sous pression depuis quelques mois.
Les États-Unis, la banque fédérale réserve un double mandat.
Elle doit tenir compte non seulement de l'inflation, mais du marché du travail, contrairement à d'autres banques comme la Banque du Canada qui n'ont qu'une mission unique. Nous pensons que la Fed va commencer réduire les taux dès le quatrième trimestre de cette année. Par comparaison la Banque du Canada, le cycle de réduction de taux devrait être davantage axé vers le début, contrairement à la Banque du Canada.
L'essentiel est coupures de taux devrait intervenir au début du cycle de baisse.
Les premières hausses, les premières baisseront son rôle plus important que prévu.
- Je m'étais habitué à 25 points de base. Bien sûr, ces règles ont volé en éclats lorsqu'il a fallu réduire les taux pour réduire pour lutter contre la pandémie et les augmenter pour lutter contre l'inflation.
Aux États-Unis au moins, je pense qu'il serait envisageable que le retour à un taux d'intérêt neutre soit plus rapide que prévu. Un taux d'intérêt neutre, c'est-à-dire qui n'a pas pour effet de stimulation ni de ralentissement.
Nous pensons qu'il y aurait une première réduction de taux de 25 points de base en décembre, mais une fois entamée, réunions du premier trimestre nous pensons que la réserve fédérale a procédé à des réductions plus rapides par tranche de 50 points de base tout comme ça été le cas pour les hausses pendant la première partie du cycle récent.
- Cette question évoque la trajectoire divergente de nos banques centrales en prochain.
Quelle sera la trajectoire du dollar canadien?
- Il y a certainement des conséquences pour le taux de change, puisque, avec la position de la Banque du Canada qui devrait consister à maintenir les taux à leur niveau actuel, et à les réduire plus lentement que la réserve fédérale, il est à prévoir que pendant le premier semestre de l'an prochain, les taux d'intérêt seront notablement plus élevés au Canada et aux États-Unis à court terme.
Ceci devrait être favorable au dollar canadien fort.
Les marchés ont rapidement évolué depuis deux mois.
Pour refléter la force du dollar canadien.
Nous pensons que cette dynamique se poursuivra d'ici la fin de l'année.
Nous pensons qu'un dollar 30 serait un niveau où le dollar canadien exprimait le dollar américain exprimé en dollars canadiens ce qui reste en 77e. Nous pensons revenir à un 25 ou 80 sens d'ici la fin de 2024.
La divergence entre les banques centrales continuera de renforcer le dollar canadien.
Du point de vue de la Banque du Canada, je pense que celle-ci ne s'inquiéterait pas.
Du dollar canadien fort, ce qui réduira l'inflation en ralentissant la hausse des prix de l'importation.
On nous demande si les cycles du chômage est à présent déphasé du cycle de taux d'intérêt.
En effet, pourquoi le marché du travail se porte-t-il si bien en dépit de la hausse des taux?
- Je pense qu'il ne s'agit pas que du marché du travail. L'économie du canadien en général cet arrêt very résilience face hausse de taux en 2018 et 2019, ralentissement était beaucoup plus rapide une fois qu'on est arrivé à 150 ou 175.
Il n'y a pas eu beaucoup de ralentissement depuis six mois.
Quand vous considérez le rythme des dépenses des consommateurs au premier trimestre, ou encore l'évolution du marché du logement depuis trois à quatre mois, la dynamique sous-jacente demeure très porteuses.
Il y a un certain déphasage entre les taux d'intérêt et l'économie réelle. C'est vrai. Toutefois, ce phénomène s'explique en partie par la mesure dans laquelle l'épargne excédentaire déménage depuis trois ans revient dans l'économie.
Pendant la pandémie, faute de pouvoir dépenser en biens et services, dans la même mesure que dans une conjoncture typique, les ménages ont touché beaucoup de subventions du gouvernement.
Ce qui a compensé la perte de beaucoup d'emplois.
Les gens avaient davantage d'argent, as rien acheté.
On mit cette épargne à la banque pendant trois ans.
Je pense que nous allons pouvoir surfer sur cette vague pendant quelque temps avant qu'il y ait de ralentissement.
- Nous avons été quelque peu étonné par la résilience de l'économie, surtout premier trimestre de cette année.
La consommation des ménages qui impulsent la croissance économique n'est pas passé inaperçu par la Banque du Canada.
Laquelle a souligné la consommation bien portante et le rebond des marchés du logement.
Dans son énoncé des politiques mois de juin et comme justification pour expliquer qu'elle soit sortie de l'expectative.
- Faites toujours vos propres recherches avant de prendre des décisions de placement.
Robert Both répondra à vos questions sur l'économie et les taux d'intérêt dans quelques minutes.
Vous pouvez les poser partout en par courriel, moneytalklivetd.com.
À présent, poursuivons la découverte de CourtierWeb.
Mardi dernier, pendant Parlons Argent en direct, nous avons posé une ou deux questions sur CourtierWeb auxquelles nous n'avons pas eu temps de répondre.
Aujourd'hui, Caitlin Cormier y répond.
Bonjour Caitlin.
Deux questions: j'ai pu acheter un CPG encaissant sur la plate-forme.
Comment puis-je le vendre lorsque je dois utiliser les fonds puisqu'il est encaissable?
- Excellente question!
En ce qui concerne les CPG, le terme de vendre n'est pas tout à fait exact.
Même s'il y a certains CPG qui peuvent être encaissés pour IPC récupérer la mise de fonds avant l'expiration, vous ne le vendez pas à quelqu'un, vous prévalez d'une caractéristique contrat. On parle d'encaissement de CPG. En ce qui concerne les CPG, je vais vous montrer rapidement sur la plate-forme où vous pouvez trouver ce genre de CPG en caisse sable.
Qui est conçu recherche, et puis fiche de taux des CPG, il existe toute une série de CPG en caisse sable et voici où on peut voir les différentes options disponibles pour les CPG encaissa.
Pour profiter de la fonction d'encaissement, il faut contacter le bureau de négociation. Il n'est pas possible de le faire soi-même sur CourtierWeb, il faut contacter un représentant emplacement.
Le numéro de téléphone se trouve en haut à gauche de l'écran.
Et vous verrez le numéro de Placements directs TD. Vous pouvez passer un rapide coup de fil et le service BCBG pourra penser ce processus en revue.
J'ai vécu ce processus moi-même il s'est très bien passé.
Ensuite, quelqu'un veut se renseigner sur TDB8150.
- Bien sûr. Peut sembler bizarre comme nom de robot.
Il s'agit en fait d'un compte d'épargne de placement.
Cela ressemble à un conte des parents, ce n'est pas un fonds du marché monétaire. Il s'agit d'un compte de banque de placement.
On ne peut pas trouver beaucoup d'informations à part le rendement sur ce placement.
Dans la plafond CourtierWeb.
Si vous voulez vous renseigner davantage, rendez-vous sur le site Web de Gestion d'actifs TD que j'affiche à l'écran.
Ce site Web, Gestion d'actifs TD, vous trouverez sous solution supplémentaire dans la rubrique des fonds communs de placement.
Vous parvenez à cette page, compte de dépenses de placement et vous trouverez des détails.
Il s'agit de dépôt réservé aux résidents canadiens.
Voici les différents taux.
Il y a un compte américain et quatre émetteurs différents pour le Canada.
Le taux actuel figure sur la droite. Rappelez-vous qu'il s'agit d'un taux variable qui évolue avec celui de la Banque du Canada.
Qui peut être modifié en tout temps. Rappelez-vous qu'il ne s'agit pas d'un taux garanti.
Il est calculé chaque jour payable à la fin du mois par voie de crédits sur les intérêts.
La série F semble intéressant parce qu'il y a un taux d'intérêt plus élevé.
Mais seuls les conseillers peuvent y accéder.
Enfin, au bas de l'écran, vous pouvez voir que ce produit est garanti par la SADC. Puisqu'il s'agit d'un compte d'épargne, les fonds qui sont placés bénéficient d'une couverture de la SADC. Vous pouvez vendre sur le site Web de la SADC pour obtenir des détails sur la garantie. C'est un peu différent de certains des autres produits que nous proposons, mais il s'agit d'une option auquel les investisseurs peuvent accéder.
Toutefois, cela ne peut se faire que l'extérieur de la plate-forme.
- Merci de répondre à ces deux questions je suis sûr que c'est notre auditoire l'apprécie.
- Je vous en prie.
Et au revoir.
- Caitlin Cormier formatrice à Placements directs TD.
Ne manquez pas de visiter le centre d'apprentissage où vous trouverez encore plus de ressources.
À présent, je vous rappelle comment nous poser vos questions.
Avez-vous une question sur les placements ou encore sur les marchés? Vous pouvez nous la poser, soit par courriel, moneytalklivetd.com soit dans la boîte de questions au bas de votre écran.
Il suffit de cliquer sur envoyer.
Nos invités pourraient vous répondre en direct.
Robert Both répond à vos questions sur l'économie et les taux d'intérêt.
Parlons donc que du marché de l'immobilier.
Il y a eu une hausse de taux surprise, vous en prévoyez une autre.
Quel impact cela pourrait avoir sur l'immobilier?
- Les quatre derniers mois ont constitué une période remarquant pour le marché canadien du logement.
Il y a eu quatre mois de hausse consécutive de ventes de logements.
Depuis deux mois, les prix ont repris une hausse à 2 % par mois.
C'est un retour à la période prépa endémique ou nous commençons perdre un peu le contrôle de la situation.
Est-ce que 50 points de base suffiront à ralentir la situation?
Je pense que cela suffira à étouffer une partie de la remontée qui s'est produite depuis peu.
On parle de l'abordabilité des logements Canada.
Elle était mauvaise en 2016 et 2017 lorsque la taxe sur les acheteurs étrangers (..
.) les mauvaises débits de la pandémie.
Le fait qu'empirer avec les taux de prêt hypothécaire à ce niveau-là.
Et le déclin limité des ventes de logements au début du cycle de hausse de taux de la Banque du Canada.
L'abordabilité des logements est aussi médiocre qu'elle ne l'a jamais été.
Nous pensons que la conjoncture sera plus difficile pour le marché du logement, mais en même temps, il est difficile d'envisager une correction des prix lorsque la population augmente d'un million d'habitants par année.
Grâce à une immigration très vigoureuse.
Que nous ne bâtissons que 200 000 à 250 000 nouveaux logements.
Nous prévoyons que les prix vont continuer d'augmenter pour le reste des années 2023 et 2024, mais nous pensons qu'il y aura une croissance de prix beaucoup plus modéré.
Que depuis quelques mois.
Si le point de vue de valeurs mobilières TD. Tout à fait.
- Susan Prince va commenter un nouveau rapport de services économiques TD sur l'évolution du marché du logement.
Mais d'abord, une autre question.
Quelles sont les différences et ressemblances entre l'indice des prix à la consommation, les rapports sur l'inflation dont vous parlez et les dépenses de consommation personnelle?
- Ce dernier indicateur serait celui qui privilégie la Fed: quelle est la différence?
- La principale différence, c'est la pondération.
L'indice des prix à la consommation Canada du moins, est pondéré de manière à refléter les tendances dépenses des ménages de l'année précédente.
Aux États-Unis, on tient compte de facteurs de déflation qui corresponde aux biens et services entrant dans le calcul d'une dépense des ménages et du PIB. Il s'agit d'une mesure de substitution.
L'inflation de base et l'indice des prix à la consommation.
Il existe des facteurs de déflation pour la consommation personnelle au Canada.
Mais ils ne sont produits que chaque trimestre avec les résultats sur le PIB. On n'y porte moins attention aux États-Unis. La Banque du Canada n'en tient pas compte dans la même mesure.
- C'est une différence de mesure, mais cela n'entre pas en compte Canada dans la même mesure aux États-Unis.
Est-ce que la situation apparaîtrait différente aux États-Unis?
Est-ce que la Fed délaisse un indicateur plutôt qu'un autre?
- Dans certains cas il y a une divergence.
C'est surtout attribuable au calcul des services de santé ainsi que du logement.
Selon l'évolution de ces deux facteurs, il se peut qu'un écart se creuse entre ces deux mesures.
La Fed a affiché sa préférence pour les mesures de déflation de la consommation personnelle, surtout qu'il paraisse mensuellement aux États-Unis, selon chaque trimestre au Canada.
Où il ne constitue qu'une mesure générale.
De quels outils la Banque du Canada dispose-t-elle pour réduire l'inflation à part les taux d'intérêt?
- Les taux d'intérêt sont le principal outil est le meilleur dont dispose la banque Canada.
L'autre outil qu'elle utilise depuis un peu plus d'un an, consistant en un resserrement quantitatif.
Pendant la pandémie, Banque du Canada a commencé à acheter de grandes quantités de titres du gouvernement du Canada ainsi de petites quantités d'obligations provinciales et d'entreprises.
Elle les détient sur son bilan depuis trois ans. À partir du printemps dernier, elle a commencé à procéder à un resserrement quantitatif.
C'est-à-dire en ne conservant pas ses titres sur son bilan au fur et à mesure que les impressions.
Plus le bilan de la Banque du Canada se réduit, plus les bons du gouvernement du Canada seront mis à marcher, et puis les comptines ici les conditions financières se resserreront, ce qui réduit la piscine pression s'exerçant sur le levier des taux d'intérêt.
Le resserrement quantitatif se produit en coulisse depuis un an déjà.
Il se poursuivra au moins jusqu'à deuxième semestre 2024 au premier semestre 2025.
Il n'y a pas beaucoup d'autres leviers que le monde Canada puisse actionner pour entre l'économie ouvrait inflation.
- La Banque du Canada dispose de quelques outils seulement.
Peu prend des mesures de relance monétaire. Mais la relance budgétaire ressent un élément important de la demande.
Si le gouvernement fédéral devait réduire ses dépenses, cela exercerait une pression à la baisse inflation, mais bien sûr, le mandat du gouvernement du Canada diffère de celui de la Banque du Canada.
Robert bon de répondre à d'autres questions sur l'économie de quelques minutes.
Faites toujours vos propres recherches avant de prendre des décisions de placement.
je vous rappelle comment nous poser vos questions.
Avez-vous une question sur les placements ou encore sur les marchés?
Vous pouvez nous la poser.
Soit par courriel, moneytalklivetd.com soit dans la boîte de questions au bas de votre écran.
Il suffit de cliquer sur envoyer.
Nos invités pourraient vous répondre en direct.
le nouveau rapport des services économiques TD prévoit un ralentissement de l'activité du logement pendant le deuxième semestre.
Susan Prince commente.
Rishi Sondhi un économiste la Banque TD déjà parue sur ce plateau.
Il commente les pronostics du logement.
Au mois de juin, les ventes de logements des plus élevées que prévu, donc les prix, la valeur, et voilà le volume.
Et puis les prix du logement.
Donc la valeur et le volume des plus élevées, tous deux, ce qui était inattendu sur le marché.
C'était le premier mobile pour une analyse des chiffres prévus par la Banque TD. Il s'agissait d'une surprise à la hausse.
- Oui, c'était une surprise. Ceci signifie que nous reportons le problème.
On peut voir sur le graphique les chiffres pour le deuxième trimestre étaient nettement plus élevés que prévus en pourcentage.
Il s'agit du changement en pourcentage d'un mois sur l'autre, dans les ventes de logements et la valeur des logements.
Au troisième trimestre, les résultats semblent devoir ralentir d'ici quelques mois.
Avec notamment une faiblesse au troisième trimestre qui donne des résultats négatifs.
Il s'est passé une ou deux choses ici qui ont eu un impact.
Pour le troisième si trimestre, on estime toujours un resserrement de l'offre et du volume.
Des mises en vente, mais par ailleurs, beaucoup de gens se disent: je vais attendre pour acheter un logement plus grand.
Il y a donc moins de mise en vente de logements.
Ce sont les facteurs que nous surveillons à l'abord du troisième trimestre.
Slice beaucoup de facteurs à surveiller.
Merci pour cette analyse.
Qu'est-ce que les investisseurs doivent conclure?
- Il y a intérêt à surveiller les entreprises qui pourraient être affectées par ces changements. Par exemple, les entreprises de construction, rénovation, ou les banques.
Les acheteurs ou vendeurs de logements pourraient scruter ces chiffres pour déterminer de quelle tendance il serait possible de profiter.
Que vous soyez tentés d'acheter ou que vous y désiriez décider d'attendre pour mettre votre logement en vente.
- Ça me fait toujours plaisir de m'entretenir avec vous.
Vous venez d'entendre Susan Prince.
À présent, une mise à jour sur les marchés.
Voici le tableau de bord avancé de la Banque TD, plate-forme intention des négociateurs actifs proposés par Placements directs TD. Voici la carte thermique et qui donne une idée des 60 plus importantes actions dans l'indice composite TSX.
Le cours et le volume.
Dans le secteur des financiers, certaines des grandes banques progressent légèrement, Manuvie en tête, à 1 1/2 % d'augmentation.
Et Brookfield également.
Après une remontée du secteur de l'énergie hier, la journée affiche une légère baisse, rien de trop grave, Suncor est en baisse de 1 %.
Ensuite en haut à droite, Shopify en hausse d'un et demi pour cent, remontée de la technologie aussi des États-Unis qui se répercutent également Canada.
Vous pouvez trouver davantage d'informations sur le tableau de bord avancé en visitant le site Web de la Banque TD. Robert Both de Valeurs Mobilières TD répond à vos questions économie les taux d'intérêt.
La grande question: existe-t-il encore un risque de récession cette année?
Et sera-t-elle grave?
- Il est très difficile d'exclure le risque d'une récession lorsque vous vous trouvez dans un environnement où les taux d'intérêt sont à 200 points de base, au-dessus de leur fourchette neutre, surtout dans une économie où le ratio de la dette revenue plus élevée qu'il ne l'a été depuis des décennies.
Notre scénario de base demeure le même toutefois.
Nous prévoyons un atterrissage en douceur.
Notre scénario de base envisage une croissance positive d'ici la fin 2023, édition 2024.
Mais à un niveau très inférieur à la tendance ou au niveau neutre.
Puisque la croissance inférieure sont tous naturels, nous prévoyons que la surchauffe de l'économie canadienne s'apaise et que d'ici la fin de cette année au début de l'an prochain, une certaine marge s'ouvrira, ce qui devrait nous permet de ramener l'inflation à 2 % et ouvrir la voie à la réduction des taux par la banque Canada.
Pour en revenir à votre question, il est très difficile d'exclure une contraction dans l'activité économique, compte tenu de l'endettement des ménages, et dans le contexte des taux d'intérêt.
Une ou deux raisons pour lesquelles nous ne pensons pas qu'une élection va se concrétiser.
Tout d'abord, le degré d'épargne excédentaire auquel j'ai fait allusion tout à l'heure.
Si vous considérez les économies accumulées entre 2020 2022, par rapport à un environnement plus typique de 2015 2019, cet excédent, ce chiffre de 100 millions de dollars.
Il s'agit d'un coussin d'épargne extrêmement important sur lequel les ménages canadiens sont assis.
Et jusqu'au premier trimestre de cette année, les ménages n'avaient pas encore réinjecté cette épargne.
Ils ont encore fondu des réserves d'ici un an ou deux.
D'autres pays comme aux États-Unis ou dans certaines régions de l'Europe, cette épargne a d'ores et déjà été évacué.
Ce qui a été favorable croissance depuis un an.
Au Canada, cette épargne a constitué dans une modeste mesure facteurs de résilience.
Elle va également contribuer à réduire le risque récession de d'ici un an ou: un autre élément qui nous aide à lutter contre ce phénomène, c'est la population du Canada qui vient de franchir le seuil des 40 millions d'habitants.
Cette tendance devrait se poursuivre d'ici deux à trois ans, compte tenu de la cible d'immigration du gouvernement fédéral.
Donc il est un peu plus difficile d'envisager une contraction de l'économie lorsque vous ajoutez une demande émanant de l'immigration.
Ce qui relève le seuil pour parvenir à des contractions du PIB réel d'un trimestre sur l'autre.
En ce qui concerne le PIB par habitant, aux perspectives de croissance sont beaucoup plus faibles.
Nous prévoyons un PIB négatif par habitant pendant au moins six trimestres jusqu'à la fin de l'an prochain.
Cela va ressembler davantage à une récession pour certains ménagent et certaines entreprises.
D'un point de vue général, nous prévoyons un atterrissage en douceur.
- Vous avez dit que certaines personnes n'ont pas encore injecté leur épargne.
Mais deux fils entre l'université cet automne, ils vont certainement trouver un emploi pour mon épargne.
Quelques considérations générales sur l'environnement.
L'inflation globale a diminué considérablement, que prévoir pour le deuxième semestre?
- Pour le deuxième semestre, nous allons nous concentrer sur le taux d'inflation de base sur trois mois.
Qui se situe entre le 3,5 et 3,7 % depuis sept mois.
Nous faisons donc du sur place à ce niveau.
Il s'agit qu'il redescendant de la honte de 3 %.
Il faut également que les données économiques montre un ralentissement notamment de la croissance jusqu'à ce que ces deux éléments se concrétisent, il est difficile d'être convaincu que nous avons atteint la fin des hausses de taux.
Nous sommes toujours dans un environnement où les données comptent pour beaucoup par rapport à l'an dernier, lorsque les hausses de taux étaient essentiellement programmées.
Et qu'il suffisait d'en ajuster l'ampleur.
Les données, les statistiques deviennent de plus en plus importantes.
Voilà ce qui va déterminer aussi bien le point final cette hausse de siffler le début des coupures de taux.
- Ça me fait toujours plaisir de bénéficier de vos aperçus.
Robert Both est stratège à Gestion d'actifs TD. Faites toujours vos propres recherches avant de prendre des décisions de placement.
Demain, Ben Gossack, gestionnaire de portefeuille Gestion d'actifs TD, va commenter les actions mondiales.
L'un de nos spectateurs aujourd'hui nous a posé une question sur les banques.
Je vous rappelle que vous pouvez nous poser vos questions d'ores et déjà par moneytalklivetd.com. *