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(musique) - Bonjour ici Greg Bonnell et bienvenue à — argent direct. Chaque jour je suis avec des invités, donc beaucoup que vous ne verrez qu'ici. Vous feront découvrir ce qui fait bouger les marchés. Après une série de rapports positifs, nous discuterons de l'évolution potentielle des taux de terrain cette année avec le bâti.
Anthony Okolie nous donne un aperçu de ce qu'il faut attendre la saison des bénéfices.
Hiren Amin nous montra comment trouver les informations sur les négociations après les heures de marche. Voici comment vous pouvez nous contacter. Vous pouvez envoyer un courriel directement dans la boîte de courrier CourtierWeb.
Regardons les marchés. On voit de petite baisse modeste de 44. Du TSX.
Il y a certains noms qui connaissent des augmentations. Je vais vous les montrer.
Il pourrait se départir de son activité de charbon sidérurgique.
Aucune décision n'a été prise pour le moment elle pense aux options potentielles. Augmentation de 8 %.
Ces novices énergies avec l'annonce des résultats et l'annonce d'un nouveau PDG.
L'action est à en baisse de 1,8 %. Au sud de la frontière, pressions inflationnistes sur les ventes en gros.
Nous parlerons des taux d'intérêt dans un instant.
Augmentation ou plutôt baisent un demi.
Pour le S&P 500. Et pour le Nasdaq également.
Cisco système a dit après la fermeture des marchés qu'elle augmente les prévisions.
On voit ici une augmentation de près de 6 %. Vasculaire pour la mise à jour de marché.
La récente série de rapports économiques positifs peut amener certains investisseurs à se demander jusqu'où iront les banques centrales pour maîtriser les passions.
Voici l'ordre Robert Both.
- On se demande qu'est-ce qui pourrait se passer avec les taux d'intérêt. Au début de l'année, on a commencé avoir un taux moins agressif de la part de la banque du Canada et de la réserve fédérale par rapport au dernier trimestre de l'année dernière. Là-bas Banque du Canada, on a une augmentation de 25 points de base en janvier.
Mais la Banque du Canada a indiqué qu'elle était prête à s'arrêter pour ce qui est de la hausse des taux d'intérêt si l'économie évolue d'après ses projections. On considère que la Banque du Canada devrait rester à 4,25 % pour les taux d'intérêt pour le reste de l'année, mais on comprend qu'elle n'exclura pas d'augmentation.
Même chose aux États-Unis avec la dernière décision de la réserve fédérale. On commence avoir un taux moins agressif de la part de Jerome Powell et des autres fonctionnaires de la Fed.
Il y a les projections de la réunion du comité fédéral.
Qui a défendu ses décisions et qui défend ses projections.
Ce qui fait que nous allons essayer d'augmenter le taux d'intérêt. Mais on a vu plus récemment convoque par exemple, pour la hausse de la masse salariale, on a vu qu'il y avait 500 000 emplois qui ont été avec un taux de chômage en baisse. Ce qui montre que le marché du travail continu de croître et l'économie voit encore une augmentation de la demande.
C'est un peu un déjà-vu.
On a vu les juifs au Canada avec les rapports solides.
Avec plus de 100000 emplois qui ont été ajoutés.
Nous allons voir ce qu'il en est de leur économie. C'est la correspond aux projections de la Banque du Canada ou si celle-ci devra intervenir plus tard cette année.
- Quand on voit ces rapports, les autres disent un an moi, ça ne représente pas une tendance.
On voit l'inflation aux États-Unis qui continuent de baisser certains non pas pour revenir à 2 %.
On peut se demander si l'inflation prendra plus de temps que prévu.
- – Que rapport ne représente pas une tendance.
Vouloir plus de données pour compte pour la tendance.
Pour le PIB, pour voir s'il est plus fort que ce qu'il était projeté.
Avant de voir ce qu'il en est des données sur l'emploi. Les données sur l'emploi au Canada sont assez volatiles. On se demande d'ailleurs de ce qu'il en est de la précision de 150 000 nouveaux emplois.
Vous avez fait du travail pour aller plus loin que les manchettes concernant l'emploi on se demandait s'il pouvait avoir des effets liés aux ajustements saisonniers.
Ce que nous remarquons, c'est qu'il est assez difficile d'attribuer la solidité du marché du travail à un seul facteur.
En 2020 2021, on a vu beaucoup de perte d'emploi surtout en janvier. Puisqu'il y avait une nouvelle vague de vide et des politiques de distanciation. Mais quand on regarde un chiffre qui ne sont pas ajustés du point de vue saisonnier, on voit des chiffres plus élevés en janvier qu'au cours des mois de janvier des 20 dernières années.
On ne peut pas retourner la faute aux ajustements saisonniers. On peut considérer qu'en général, même s'il n'y a pas pas d'ordonnance, il faut prendre en compte ce qui est dit dans ce rapport étant donné les performances des derniers mois.
Nous avons acheté 65 000 emplois au cours de 2022.
Le marché de l'emploi se resserre et on va avoir d'excellents demandes.
Ce sera intéressant de voir ce qui en sera sur les marchés. La Banque du Canada a dit qu'elle devait me faire une pause dans la hausse des taux d'intérêt, mais peut-être qu'on aura une autre hausse avant l'automne. Est-ce probable?
- Comme je l'ai dit au début, il faut qu'on voit d'abord plus de données pour pouvoir confirmer que la croissance est un niveau plus élevé que ce qui est projeté.
La Banque du Canada vient de publier son résumé des délibérations. C'est la première fois qu'on a la possibilité de voir dans les coulisses ce qui a motivé la décision de la réserve fédérale.
Ou plutôt de la Banque du Canada. La Banque du Canada veut s'assurer d'abord si les tendances vont dévier au nom de ses projections.
Donc plus tard au cours de l'année 2023, si on voit que l'inflation reste plus persistante que prévu, et bien là, il y aura une possibilité que la Banque du Canada augmentent à nouveau ses taux d'intérêt. Mais pour le moment, ce n'est pas le scénario. On continue d'avoir une cible de 4,25 ou 85 % des taux d'intérêt.
Mais on verra ce que la Banque du Canada fera.
La semaine prochaine, nous aurons les prochains cibles de l'inflation au Canada.
Qu'est-ce que vous attendez?
- Nous pensons que l'inflation va persister pour les chiffres de janvier.
À 6,3 %.
Peut-être qu'on pourra baisser jusqu'à 6 %.
Mais il y a des facteurs qui compliquent les choses. Le cours de l'énergie qui amène à la baisse l'année dernière remonte maintenant.
Cela peut avoir une incidence sur l'inflation.
Nous avons vu également un rebond aux États-Unis pour ce qui est des prix.
Il y a certains facteurs qui contribuent à l'inflation.
Et cela représente des risques pour ce qui est de la perspective future pour les taux au Canada et aux États-Unis.
- Très intéressant. Nous continuerons avec vos questions sur l'économie dans un instant.
Y compris la perspective concernant la marché immobilier si une récession est à l'horizon.
Vous pouvez nous contacter en tout temps à moneytalklive@dd.com ou dans la boîte de question du lecteur de CourtierWeb.
Regardons un peu les marchés.
Les actions de Shopify sont à l'honneur.
La société de logiciel de commerce électronique prévoit des ventes inférieures aux attentes.
Après un trimestre plus fort que prévu. Je vais faire connu une croissance rapide de ses activités pendant la pandémie mais après des mesures de réduction des coûts au cours des derniers mois, ces prévisions ne sont pas bien acceptées sur les marchés. On voit une baisse de près de 16 %. La financière magnifie augmente son dividende 11 % après avoir enregistré des résultats supérieurs aux attentes. Elle prévoit racheter jusqu'à 3 % de ses actions ordinaires.
Les ventes en Amérique du Nord ont été plus faibles que prévu mais les vins de nouvelles affaires en Asie se sont améliorés de trimestre à l'autre.
Canadiennes tailleur qui réussit abattre les estimations des bénéfices malgré le coût de la vie plus élevée pour les consommateurs.
Le détaillant afficher une croissance solide.
Au cours de son récent Trieste. Ces marges brutes se sont améliorées par rapport à l'an dernier. Une augmentation de 4,7 % sur le cours sur les marchés.
Regardons l'indice TSX. Il y en territoire négatif, une baisse de 56 ; encore de pour cent. Mais aussi de la frontière, les investisseurs continuent de digérer tous les rapports concernant les bénéfices des sociétés. Une baisse d'un peu plus d'un demi pour cent.
Nous sommes de retour avec Robert Both.
Comment bien de temps pensez-vous que la baisse du prix des logements va se poursuivre?
- Nous somme confiants.
Nous pensons que le marché de l'immobilier arrivera à son plus bas niveau.
Au premier trimestre 2023.
Nous avons vu que les ventes continuent de décliner mais à un rythme plus modeste. Il faudra voir comment le marché de l'immobilier réagira aux tendances saisonnières. Ce qui empêché les prix de BC, c'est qu'il y a moins de gens qui mettent leur propriété en vente au cours des derniers mois. En général, le deuxième trimestre est une période importante pour les mises en vente.
S'ils augmentent, en fonction des tendances saisonnières, cela pourrait augmenter les prix.
Le marché immobilier reste en bonne santé, la Banque du Canada a indiqué qu'elle était prête à arrêter ces hausses d'intérêts, ce qui augure bien pour le marché immobilier, mais il faudra regarder les facteurs saisonniers et voir combien de propriétés seront mis sur le marché.
- En général, les gens veulent mettre leur maison sur le marché.
Étant donné la hausse des taux d'intérêt et les coûts d'emprunt plus élevé, il se peut qu'il y ait des gens qui soient forcés à vendre. Mais on a pas vu vraiment ça, des propriétaires qui se sentent obligés.
- Non, il n'y a pas vraiment de signes, de preuves à cet égard.
Nous allons voir pour ce qui est des renouvellements d'hypothèque. Nous allons voir quel impact ça peut avoir sur les ventes des maisons et le prix des maisons.
Et voir quels sont les pressions que les consommateurs peuvent subir en termes de consommation. Au cours des derniers mois, on a vu beaucoup de pression pour ce qui est des taux variables.
Et des propriétaires qui doivent payer des taux plus élevés. Mai 2023 devrait être un environnement beaucoup plus stable que 2022. Et le ratio du service de la dette va continuer d'augmenter alors que les taux d'hypothèque à taux variable vont continuer de se renouveler.
Cela va voir bien sûr une incidence sur les hypothèques qui vont être renouvelées plus élever alors il faudra voir comment réagiront les gens.
Avec le message qui nous ont donné continent l'interruption de la hausse d'intérêt, on s'est que le facteur du marché immobilier est différent des États-Unis.
- Oui, nous avons des taux plus élevés en ce qui concerne les taux d'endettement au Canada par rapport aux États-Unis.
On s'attend à ce qu'il y ait une baisse de consommation. La consommation représente 5 % du PIB total du Canada.
Alors que les consommateurs vont devoir dépasser plus pour le remboursement de leur hypothèque, les dipôles discrétionnaires vont baisser.
La Banque du Canada va surveiller cela et si les ménages deviennent plus résiliant, il y aura peut-être une possibilité d'écoute d'augmentation des taux d'intérêt merci ont un impact significatif sur la consommation avec une baisse des consommations, cela pourrait amener à une récession. Cela nous amène à la question suivante. Est-ce qu'une récession est inévitable ou est-ce qu'on pourrait avoir un atterrissage en douceur?
J'entends quelquefois dire : pas d'atterrissage.
- On s'attend à avoir une récession assez basse, assez modeste au premier semestre 2023, mais on a vu que les consommateurs canadiens étaient plus résiliant par rapport à la hausse des taux d'intérêt.
Pour le voir avec le marché du travail au cours des six derniers mois, quand on regarde les données du travail, on voit que les prochains trimestres de 2023 seraient peut-être plus positifs qu'il y a un an. Pour ce qui est de la croissance, il y a toujours des défis.
On s'attend à ce qu'il y ait une croissance qui soit plus basse que d'habitude en 2023 et jusqu'au début 2024, mais avec le rapport sur l'emploi de janvier, on s'attend moins probablement à une contraction de l'économie.
L'économie canadienne pour avoir une contraction au deuxième trimestre, mais on pourrait avoir un rebond avec une croissance assez lente au cours des trimestres suivants.
Il y aura moins de récession grâce à la croissance de la population qui s'est accélérée au cours du dernier trimestre.
La croissance de la population a été de 2 % d'une année sur l'autre, la plus forte depuis une décennie.
À partir de là, je crois qu'il pourrait avoir une baisse du PIB pendant certains trimestres, mais en général, il faut compter de trimestres de contraction pour appeler ça une récession.
Station moins progrès il y a quelques mois.
Ça semble un atterrissage en douceur.
Qu'est-ce que ça veut dire que les gens disent qu'il n'y a pas d'atterrissage.
- Ça veut dire qu'on va continuer de croître et que la Banque du Canada devra continuer les taux d'intérêt. Mais ce n'est pas probable.
- Autre question.
Certains téléspectateurs ont parlé ou entendu parler de marché haussier des matières premières. Est-ce que ça sera bon pour le Canada et le U art?
- Il y a beaucoup de spéculations pour les matières premières et que cela soit rallié à la réouverture de l'économie chinoise.
L'économie chinoise abordait certaines de ces mesures concernant l'accueil vide et donc, il y aura plus de demande mondiale en particulier de la part de la Chine.
En ce qui concerne le Canada, cela va permettre une croissance du PIB avec le cours des matières premières et des exportations de matières premières qui seront en hausse, en particulier pour les minéraux, le bois de qui sont exportées par vers la Chine. Ce qu'on exporte pas beaucoup vers la Chine, c'est le pétrole brut ce qui n'est pas beaucoup de possibilités d'abruti d'acheminement vers la courtoisie. Mais si la Chine continue de faire augmenter les prix dans le monde, cela va dans le bénéfice Canada et nos exportations. La Banque du Canada voit une augmentation d'environ 2,5 %.
Donc cela serait l'impact si effectivement l'économie chinoise continuait de permettre un marché aussi… - j'ai entendu dire que l'économie chinoise se ferme alors ça va voir une année sinon ça va sur l'inflation.
L'économie chinoise sous, alors il va y avoir une tendance à l'inflation.
- – Que l'inflation d'une préoccupation dans le monde entier. C'est ce que dit la Banque du Canada dans son rapport sur la politique monétaire en janvier.
Il y a une possibilité que le cours de l'énergie plus élevée pourrait faire augmenter l'inflation. On a vu l'essence augmentée en janvier, mais pas de manière aussi importante que la baisse des six mois précédents.
Ce qu'on a vu aux deux en 2022, mais cela pourrait représenter pour l'inflation.
On a vu les données et on verra la semaine prochaine.
Il y a un certain nombre d'incertitudes concernant les perspectives en matière d'inflation et de politique monétaire. Si c'était seulement le cours de l'énergie, ça donnerait plus de flexibilité à la Banque du Canada, mission voit que cette inflation se retrouve dans le prix d'autres biens, l'inflation sera élevée que la trajectoire et augmenter la probabilité taux d'intérêt.
Assurez-vous de faire vos propres recherches.
Nous reviendrons dans quelques instants avec nos questions. Vous pouvez nous contacter en tout temps à moneytalklive@basetd.com.
Passons maintenant à notre sens indicatif de la journée.
À la fin de la séance denégociation du jour, il peut y avoir de grands moments sur le marché. Nous pouvons faire un suivi avec CourtierWeb. Voici Hiren Amin, instructeur principal de l'éducation des clients.
Bienvenue.
Nous allons voir les négociations d'avant et d'après marché. Nous sommes dans la saison des bénéfices, ce qui peut représenter des occasions, mais souvent il y a des nouvelles qui peuvent tomber avant après les heures d'ouverture des investisseurs peut vouloir réagir quand ces événements se produisent.
C'est là que nous pouvons avoir une négociation prolongée qui est possible dans les bourses sont fermées et ça fait un très bon indicateur pour prévenir la direction du marché.
Les négociations en or prolongé se réfèrent aux négociations qui ont lieu avant et après les heures normales de négociation. Cela dépend des bourses et des marchés.
La majorité de ces transactions ont tendance à se produire juste autour des heures de négociation normale. Cela s'explique par le fait que la plupart des nouvelles surgissent avant ou après la fermeture.
Les placements les clients de placements directs peuvent commencer à négocier de huit heures à 9h30 et aussi après la séance, après la fermeture à 16 heures jusqu'à 19 heures, heure de l'Est.
Au cours de ces négociations, après les heures de marché, il y a des risques qu'il faut mentionner.
Tout d'abord, un volume de transactions moins importants, ce qui peut rendre difficile l'exécution des ordres. Cela se traduit par des accords plus importants entre le cours acheteur et vendeur. Ce qui peut avoir une… ensuite, vous pouvez avoir une plus grande volatilité. Les variations de prix d'un titre, cela parce qu'il peut y avoir un nombre réduit de participants sur les heures prolongées.
Et puis l'ordre peut être seulement partiellement exécuté ou pas du tout, car certaines actions ne sont pas négociées dans les heures prolongées. Comment est-ce que l'on peut faire une transaction après les heures de marché? Tout d'abord, il y a plusieurs lignes directrices que vous devez savoir.
Si vous passez un ordre prolongé. Il sera valable seulement pour les cours qui sont sur les grandes bourses américaines, pas sur les pennys stocks.
Ils seront disponibles pour tous les titres sur les bourses canadiennes. Nous avons choisir un FNB.
Il est un FNB indiciel sur le S&P 500.
Quand vous entrez l'ordre, le seul type de prérequis qui est acceptable, c'est le cours limite.
Nous allons le mettre 1, Cours similaire 1, Cours actuel.
Et puis les périodes de temps que vous allez choisir, vous regardez dans le menu et vous voyez qu'il y a journée plus marchée étendue au marché prolongé. Si vous utilisez cette période de temps, cela vous permet de couvrir les heures de séance et les heures d'avance séance et d'après séance. À partir de là, vous pouvez envoyer votre ordre.
Une dernière chose que je pourrais mentionner, c'est qu'il n'y a pas de frais ou de commissions.
Il s'agit seulement des commissions habituelles.
Voilà pour ce qui est de ces ordres de négociation prolongée.
C'est un autre outil que vous pouvez ajouter à votre trousse d'outils d'investisseurs et vous pouvez aller sur notre sens d'apprentissage pour en apprendre plus.
- Très bien, merci à Rennes.
Avant de passer aux questions que nous allons poser Robert Both, voilà aussi comment vous pouvez nous contacter.
Avez-vous une question sur les placements et ce qui fait bouger les marchés? Nos invités veulent les entendre.
Envoyez-nous vos questions de deux manières.
Tout d'abord par courriel à moneytalklive@dd.com vous pouvaient utiliser la boîte de questions qui se trouvent sur l'écran de CourtierWeb.
Tapez votre question et taper sur envoyer.
Nos invités vous répondront ici.
Nous sommes avec Robert pose et nous avons des questions sur l'économie les taux d'intérêt.
Quand est-ce que Robert pense que la Fed va baisser les taux d'intérêt?
- Je trouve ça fascinant parce que les perspectives ont changé le point de vue des marchés aussi.
Si on revient quel questionnaire, les marchés ont commencé à réfléchir à des possibilités de baisse d'intérêt plus tard cette année.
Plus tard cette année de la banque du Canada. Mais avec les données concernant l'emploi et concernant l'inflation aux États-Unis, on peut penser que la baisse des taux d'intérêt ne se fera pas cette année, ce sera plus tard.
Que ce soit au Canada ou aux États-Unis.
Il y a maintenant une probabilité de 60 % des d'augmentation des taux d'intérêt à sa réunion du mois d'avril.
Là, on voit qu'il y a un changement autre que la communauté l'investisseur avait prévu ce que l'on voit dans la réalité.
On veut voir si les perspectives ont changé et bien sûr, on peut pas prendre de décision simplement sur des données assez volatiles en matière d'emploi. Les marchés ont tendance à répondre assez rapidement, plus rapidement que ce que nous voulons pour ce qui est de changer notre perspective.
Nous avons la Banque du Canada qui pour le moment va rester à 4,5 %.
Aux États-Unis, nous pensons qu'il y aura de hausse de taux d'intérêt.
Avec une période de cinq et 25 % avant que la réserve fédérale décide de baisser le taux d'intérêt.
Si les gens s'attendaient à une augmentation agressif des taux d'intérêt, ce ne serait pas le cas ni les baisses.
Pas de baisse cette année.
S'il y avait des baisses, ce ne sera pas pour les bonnes raisons.
Si la Banque du Canada décidait d'aller plus loin avec des hausses d'intérêt plus importante que prévu, cela pourrait avoir une incidence sur le taux de croissance et pourrait retarder la prochaine baisse des taux d'intérêt.
Et on verra au cours de l'année, je pense qu'il y aura peut-être une rose et ensuite une baisse pas trop longtemps après la prochaine hausse si effectivement l'économie ralentit.
Il faut attendre de voir d'autres données.
- Autre question concernant le dollar américain qui était fort l'année dernière.
Qu'en est-il pour cette année?
Est-ce que cette force va revenir?
- Je crois que plus long terme, il est difficile de voir le dollar américain revenir au pic, au sommet qu'on a vu l'année dernière. Maintenant, le plus court terme, alors que nous discutons de la possibilité de resserrement en matière de taux d'intérêt d'une augmentation possible, cela pourrait effectivement renforcer le dollar américain.
Nous avons vu également le sentiment de risque qui répond mal aux attentes, nous avons prévu un taux terminal un peu plus élevé étant donnés les deux les plus solides de l'emploi au cours des dernières semaines, mais on ne pense pas que ça va persister pendant une période prolongée.
Nous pensons que le rebond du dollar américain va être de courte durée avant de rabaisser au deuxième trimestre.
- Alors qu'elle le reste cette perspective?
- Le risque et qu'il y aurait une perspective plus persistante en matière d'inflation aux États-Unis, peut-être avec une demande mondiale plus importante du à la recherche nouvellement ou les chaînes d'approvisionnement.
Cuisson Europe d'autre part.
Mais je dirais que toute décision, ou toute évolution qui amène à une plus grande probabilité de la hausse intérêt pourrait ramener à une force du dollar.
Une question sur les chaînes d'approvisionnement.
Elle continue à évoluer, la recolonisation économique continue de se produire vers le Canada, quels secteurs seront concernés.
- On parle surtout du secteur manufacturier.
On a vu avec la pandémie pour les contrôler plus facilement.
Cela eu une incidence à la baisse de la mondialisation que nous avons vue au cours des dernières décennies.
Je ne crois pas que le Canada va remplacer la Chine pour ce qui est du secteur manufacturier.
Mais je dirais que la production, une partie de la production qui se fait en Chine reviendra vers l'Amérique du Nord, peut-être plus aux États-Unis qu'au Canada.
Ici on voit une augmentation de la production industrielle aux États-Unis ou au Mexique ou en Amérique latine, et bien cela va permettre d'augmenter la demande pour les biens canadiens.
Il y a des biens sont produits au Canada et qui pourront être exporté vers le reste de l'Amérique du Nord.
- Un autre secteur qui pourrait c'est parti évolution mondiale, ce sont les ressources naturelles.
On l'a vu au cours de l'année précédente avec l'invasion de l'Ukraine par la Russie.
On a vu qu'il est important d'avoir de partenaires commerciaux fiables pour ce qui est des matières premières.
Le Canada avec la Russie et l'Ukraine est un producteur important dans le monde pour différentes matières premières, que ce soient les engrais ou certains métaux.
Et par conséquent, le Canada pourra compenser la perte de production et d'exportation d'autres pays européens.
- Nous reviendrons à vos questions sur les taux d'intérêt dans un instant.
Assurez-vous de prendre vos recherches avant de prendre des décisions de placement.
Avez-vous une question sur les placements effectués bougeait les marchés?
Nos invités veulent les entendre.
Envoyez-nous vos questions, il y a deux manières de le faire, par courriel ou vous pouvez utiliser la boîte de questions qui se trouvent dans l'écran de CourtierWeb.
Tapez votre question et cliquez sur envoyer.
Nos invités vous répondront.
Les grandes banques canadiennes s'apprêtent à publier leur prochain procès résultats la semaine prochaine.
Anthony Okolie nous rejoint maintenant avec un aperçu - les résultats au premier trimestre.
Ils sont assez mitigés.
Avec les provisions et les hausses de coûts de rémunération et les dépenses qui ont nui au résultat de quelques banques.
Au premier trimestre, valeurs mobilières TT s'attentent à ce qu'il y ait des bénéfices qui soient plus bas par rapport à les perspectives précédents.
Perspective est plus basse parce que les banques vont déclarer des provisions pour pertes de crédit plus élevé que le trimestre précédent.
Nous savons que les Canadiens doivent traiter avec des taux d'intérêt plus élevé.
Nous considérons que le revenu d'intérêt devrait augmenter de 21 % par rapport à l'exercice précédent. Ce serait le gain d'un exercice le plus important depuis 10 ans.
On s'attend à ce que ces banques continuent d'avoir des résultats positifs en matière de marge d'intérêt.
Les valeurs mobilières considèrent que les avantages vont s'estomper avec une concurrence pour les dépôts et pour les prêts.
Et pour les coûts de financement.
Pour ce qui est des risques de crédit, valeurs mobilières Satan à ce que les pertes de crédit soient plus élevées et cela reflète des pertes plus élevées dans le secteur des particuliers et des entreprises.
Nous considérons que les évaluations des cours sont raisonnables mais pas très attractif, pas très attrayante.
Étant donné les bénéfices qui seront annoncés dans les prochaines semaines.
Quels sont les risques de cette perspective.
- Il y a des risques clés pour ce qui est du cours cible avec des changements dans le marché de l'immobilier et du crédit, ce qui fait que les banques pourraient augmenter leur provision pour créances douteuses.
Il peut aussi avoir des risques liés à la fluctuation des taux d'intérêt et à la liquidité sur les marchés.
- Très intéressant.
Nous aurons plus de détails la semaine prochaine au moment des rapports des entreprises.
Regardons les marchés, nous avons le TSX qui est en baisse, mais rien de tragique.
33. À Toronto.
Un peu plus de 2/10 de points de pourcentage.
Shopify est un des titres qui est sous pression.
Ils ont battu les revenus qui étaient prévus mais les investisseurs ne sont pas tout à fait satisfaits pour l'avenir.
Une base un peu plus de 15 %.
Manuvie augmente son dividende.
Les marchés s'en satisfont.
27,15 $ le cours, près de 4 % d'augmentation. Au sud de la frontière, les CP 500, une baisse d'un tiers de pourcentage.
Le groupe reprend du temps pour se reprendre.
Et le Nasdaq est maintenant en baisse de 92 ; trois corps : deux pourcentages.
Boston Beer, ça fait longtemps qu'on n'a pas vu ce titre, on voit qu'il y a une pression avec une baisse de près de 14 %.
Nous sommes de retour avec Robert Both de DTD.
Est-ce que la banque Canada va vraiment augmenter ses taux d'intérêt blessé comme tel?
- Comme je l'ai déjà dit, les délibérations de la banque du Canada nous donnent une indication de la réflexion des gouverneurs.
Nous sommes dans un environnement qui dépend de plus en plus des données et la banques du Canada a indiqué que la pose dans la hausse des taux d'intérêt dépendrait de si ces projections répondent bien à la réalité au cours des prochains mois.
On considère que l'activité du quatrième trimestre est un peu plus élevée que les projections de la banque du Canada.
Je parle du quatrième trimestre 2022.
Il faudra voir les données du troisième trimestre pour être sûr que le Canada ne montre pas les taux d'intérêt. Nous nous attendons à ce que ça reste à 4,5 % mais cela requiert que la croissance voit une baisse significative.
C'est vrai que l'année ne vient que de commencer et sur la base de ce que vous dîtes, il faudra attendre un petit peu plus, n'est-ce pas?
Il faudra être patient pour voir une baisse de l'inflation grâce à la hausse des taux d'intérêt et voir comment évoluera l'économie.
- Effectivement.
La banque a bien dit.
Elle a prévu 25 points de base qu'on a vue dernièrement.
Pour ce qui de la part aux intérêts, il faudra être patient pour voir comment cela va toucher l'économie dans son ensemble et les consommateurs.
On attend les chiffres pour le PIB au quatrième trimestre et on essaiera de voir les chiffres, cela nous donne un aperçu pour voir si les projections de la banque Canada sont correctes.
Mais je dirais que nous ne sommes plus dans un environnement où la banque du Canada va augmenter ses taux à chacune de ces réunions.
Quand on arrivera au mois d'avril, si les donnés économiques restent solides, il pourrait y avoir une hausse de 25 points de base, ça pourrait être envisagé par la banque, mais on ne pense pas que ça se fera nécessairement. Alors que l'économie continue de ralentir.
Bien sûr, vous regardez ce que le gouverneur de la banque du Canada et le comité des finances nous dit, il dit : l'économie canadienne restant surchauffe et cela représente une pression sur tous les prix sont notre pays.
Voilà un aperçu de ce que dit la boîte de Canada, mais bien sûr faudra comprend savoir plus.
Ces audiences parlementaires, ces témoignages au Parlement ne nous donnent pas beaucoup d'informations.
Au cours de la première heure de cette audience, on a vu qu'effectivement, les projections concernant janvier de la banque du Canada était correct mais ne nous a pas dit vraiment comment la banque va traiter les résultats du rapport concernant la solidité du marché du travail en janvier.
- Robert Both, merci beaucoup d'être venu.
Stratège chez télé.
Assurez-vous de faire votre recherche avant de prendre des décisions sur les placements.
Nous serons de retour demain avec les meilleures entrevues de la semaine.
Nous serons fermés le lundi, les marchés sont fermés pour le jour de la famille, alors ma dit, nous aurons à la durée Beach qui répondra à vos nos questions sur les titres à revenu fixe.
Envoyez vos questions à moneytalklive@dd.
com.
C'est tout pour aujourd'hui, au revoir.
Anthony Okolie nous donne un aperçu de ce qu'il faut attendre la saison des bénéfices.
Hiren Amin nous montra comment trouver les informations sur les négociations après les heures de marche. Voici comment vous pouvez nous contacter. Vous pouvez envoyer un courriel directement dans la boîte de courrier CourtierWeb.
Regardons les marchés. On voit de petite baisse modeste de 44. Du TSX.
Il y a certains noms qui connaissent des augmentations. Je vais vous les montrer.
Il pourrait se départir de son activité de charbon sidérurgique.
Aucune décision n'a été prise pour le moment elle pense aux options potentielles. Augmentation de 8 %.
Ces novices énergies avec l'annonce des résultats et l'annonce d'un nouveau PDG.
L'action est à en baisse de 1,8 %. Au sud de la frontière, pressions inflationnistes sur les ventes en gros.
Nous parlerons des taux d'intérêt dans un instant.
Augmentation ou plutôt baisent un demi.
Pour le S&P 500. Et pour le Nasdaq également.
Cisco système a dit après la fermeture des marchés qu'elle augmente les prévisions.
On voit ici une augmentation de près de 6 %. Vasculaire pour la mise à jour de marché.
La récente série de rapports économiques positifs peut amener certains investisseurs à se demander jusqu'où iront les banques centrales pour maîtriser les passions.
Voici l'ordre Robert Both.
- On se demande qu'est-ce qui pourrait se passer avec les taux d'intérêt. Au début de l'année, on a commencé avoir un taux moins agressif de la part de la banque du Canada et de la réserve fédérale par rapport au dernier trimestre de l'année dernière. Là-bas Banque du Canada, on a une augmentation de 25 points de base en janvier.
Mais la Banque du Canada a indiqué qu'elle était prête à s'arrêter pour ce qui est de la hausse des taux d'intérêt si l'économie évolue d'après ses projections. On considère que la Banque du Canada devrait rester à 4,25 % pour les taux d'intérêt pour le reste de l'année, mais on comprend qu'elle n'exclura pas d'augmentation.
Même chose aux États-Unis avec la dernière décision de la réserve fédérale. On commence avoir un taux moins agressif de la part de Jerome Powell et des autres fonctionnaires de la Fed.
Il y a les projections de la réunion du comité fédéral.
Qui a défendu ses décisions et qui défend ses projections.
Ce qui fait que nous allons essayer d'augmenter le taux d'intérêt. Mais on a vu plus récemment convoque par exemple, pour la hausse de la masse salariale, on a vu qu'il y avait 500 000 emplois qui ont été avec un taux de chômage en baisse. Ce qui montre que le marché du travail continu de croître et l'économie voit encore une augmentation de la demande.
C'est un peu un déjà-vu.
On a vu les juifs au Canada avec les rapports solides.
Avec plus de 100000 emplois qui ont été ajoutés.
Nous allons voir ce qu'il en est de leur économie. C'est la correspond aux projections de la Banque du Canada ou si celle-ci devra intervenir plus tard cette année.
- Quand on voit ces rapports, les autres disent un an moi, ça ne représente pas une tendance.
On voit l'inflation aux États-Unis qui continuent de baisser certains non pas pour revenir à 2 %.
On peut se demander si l'inflation prendra plus de temps que prévu.
- – Que rapport ne représente pas une tendance.
Vouloir plus de données pour compte pour la tendance.
Pour le PIB, pour voir s'il est plus fort que ce qu'il était projeté.
Avant de voir ce qu'il en est des données sur l'emploi. Les données sur l'emploi au Canada sont assez volatiles. On se demande d'ailleurs de ce qu'il en est de la précision de 150 000 nouveaux emplois.
Vous avez fait du travail pour aller plus loin que les manchettes concernant l'emploi on se demandait s'il pouvait avoir des effets liés aux ajustements saisonniers.
Ce que nous remarquons, c'est qu'il est assez difficile d'attribuer la solidité du marché du travail à un seul facteur.
En 2020 2021, on a vu beaucoup de perte d'emploi surtout en janvier. Puisqu'il y avait une nouvelle vague de vide et des politiques de distanciation. Mais quand on regarde un chiffre qui ne sont pas ajustés du point de vue saisonnier, on voit des chiffres plus élevés en janvier qu'au cours des mois de janvier des 20 dernières années.
On ne peut pas retourner la faute aux ajustements saisonniers. On peut considérer qu'en général, même s'il n'y a pas pas d'ordonnance, il faut prendre en compte ce qui est dit dans ce rapport étant donné les performances des derniers mois.
Nous avons acheté 65 000 emplois au cours de 2022.
Le marché de l'emploi se resserre et on va avoir d'excellents demandes.
Ce sera intéressant de voir ce qui en sera sur les marchés. La Banque du Canada a dit qu'elle devait me faire une pause dans la hausse des taux d'intérêt, mais peut-être qu'on aura une autre hausse avant l'automne. Est-ce probable?
- Comme je l'ai dit au début, il faut qu'on voit d'abord plus de données pour pouvoir confirmer que la croissance est un niveau plus élevé que ce qui est projeté.
La Banque du Canada vient de publier son résumé des délibérations. C'est la première fois qu'on a la possibilité de voir dans les coulisses ce qui a motivé la décision de la réserve fédérale.
Ou plutôt de la Banque du Canada. La Banque du Canada veut s'assurer d'abord si les tendances vont dévier au nom de ses projections.
Donc plus tard au cours de l'année 2023, si on voit que l'inflation reste plus persistante que prévu, et bien là, il y aura une possibilité que la Banque du Canada augmentent à nouveau ses taux d'intérêt. Mais pour le moment, ce n'est pas le scénario. On continue d'avoir une cible de 4,25 ou 85 % des taux d'intérêt.
Mais on verra ce que la Banque du Canada fera.
La semaine prochaine, nous aurons les prochains cibles de l'inflation au Canada.
Qu'est-ce que vous attendez?
- Nous pensons que l'inflation va persister pour les chiffres de janvier.
À 6,3 %.
Peut-être qu'on pourra baisser jusqu'à 6 %.
Mais il y a des facteurs qui compliquent les choses. Le cours de l'énergie qui amène à la baisse l'année dernière remonte maintenant.
Cela peut avoir une incidence sur l'inflation.
Nous avons vu également un rebond aux États-Unis pour ce qui est des prix.
Il y a certains facteurs qui contribuent à l'inflation.
Et cela représente des risques pour ce qui est de la perspective future pour les taux au Canada et aux États-Unis.
- Très intéressant. Nous continuerons avec vos questions sur l'économie dans un instant.
Y compris la perspective concernant la marché immobilier si une récession est à l'horizon.
Vous pouvez nous contacter en tout temps à moneytalklive@dd.com ou dans la boîte de question du lecteur de CourtierWeb.
Regardons un peu les marchés.
Les actions de Shopify sont à l'honneur.
La société de logiciel de commerce électronique prévoit des ventes inférieures aux attentes.
Après un trimestre plus fort que prévu. Je vais faire connu une croissance rapide de ses activités pendant la pandémie mais après des mesures de réduction des coûts au cours des derniers mois, ces prévisions ne sont pas bien acceptées sur les marchés. On voit une baisse de près de 16 %. La financière magnifie augmente son dividende 11 % après avoir enregistré des résultats supérieurs aux attentes. Elle prévoit racheter jusqu'à 3 % de ses actions ordinaires.
Les ventes en Amérique du Nord ont été plus faibles que prévu mais les vins de nouvelles affaires en Asie se sont améliorés de trimestre à l'autre.
Canadiennes tailleur qui réussit abattre les estimations des bénéfices malgré le coût de la vie plus élevée pour les consommateurs.
Le détaillant afficher une croissance solide.
Au cours de son récent Trieste. Ces marges brutes se sont améliorées par rapport à l'an dernier. Une augmentation de 4,7 % sur le cours sur les marchés.
Regardons l'indice TSX. Il y en territoire négatif, une baisse de 56 ; encore de pour cent. Mais aussi de la frontière, les investisseurs continuent de digérer tous les rapports concernant les bénéfices des sociétés. Une baisse d'un peu plus d'un demi pour cent.
Nous sommes de retour avec Robert Both.
Comment bien de temps pensez-vous que la baisse du prix des logements va se poursuivre?
- Nous somme confiants.
Nous pensons que le marché de l'immobilier arrivera à son plus bas niveau.
Au premier trimestre 2023.
Nous avons vu que les ventes continuent de décliner mais à un rythme plus modeste. Il faudra voir comment le marché de l'immobilier réagira aux tendances saisonnières. Ce qui empêché les prix de BC, c'est qu'il y a moins de gens qui mettent leur propriété en vente au cours des derniers mois. En général, le deuxième trimestre est une période importante pour les mises en vente.
S'ils augmentent, en fonction des tendances saisonnières, cela pourrait augmenter les prix.
Le marché immobilier reste en bonne santé, la Banque du Canada a indiqué qu'elle était prête à arrêter ces hausses d'intérêts, ce qui augure bien pour le marché immobilier, mais il faudra regarder les facteurs saisonniers et voir combien de propriétés seront mis sur le marché.
- En général, les gens veulent mettre leur maison sur le marché.
Étant donné la hausse des taux d'intérêt et les coûts d'emprunt plus élevé, il se peut qu'il y ait des gens qui soient forcés à vendre. Mais on a pas vu vraiment ça, des propriétaires qui se sentent obligés.
- Non, il n'y a pas vraiment de signes, de preuves à cet égard.
Nous allons voir pour ce qui est des renouvellements d'hypothèque. Nous allons voir quel impact ça peut avoir sur les ventes des maisons et le prix des maisons.
Et voir quels sont les pressions que les consommateurs peuvent subir en termes de consommation. Au cours des derniers mois, on a vu beaucoup de pression pour ce qui est des taux variables.
Et des propriétaires qui doivent payer des taux plus élevés. Mai 2023 devrait être un environnement beaucoup plus stable que 2022. Et le ratio du service de la dette va continuer d'augmenter alors que les taux d'hypothèque à taux variable vont continuer de se renouveler.
Cela va voir bien sûr une incidence sur les hypothèques qui vont être renouvelées plus élever alors il faudra voir comment réagiront les gens.
Avec le message qui nous ont donné continent l'interruption de la hausse d'intérêt, on s'est que le facteur du marché immobilier est différent des États-Unis.
- Oui, nous avons des taux plus élevés en ce qui concerne les taux d'endettement au Canada par rapport aux États-Unis.
On s'attend à ce qu'il y ait une baisse de consommation. La consommation représente 5 % du PIB total du Canada.
Alors que les consommateurs vont devoir dépasser plus pour le remboursement de leur hypothèque, les dipôles discrétionnaires vont baisser.
La Banque du Canada va surveiller cela et si les ménages deviennent plus résiliant, il y aura peut-être une possibilité d'écoute d'augmentation des taux d'intérêt merci ont un impact significatif sur la consommation avec une baisse des consommations, cela pourrait amener à une récession. Cela nous amène à la question suivante. Est-ce qu'une récession est inévitable ou est-ce qu'on pourrait avoir un atterrissage en douceur?
J'entends quelquefois dire : pas d'atterrissage.
- On s'attend à avoir une récession assez basse, assez modeste au premier semestre 2023, mais on a vu que les consommateurs canadiens étaient plus résiliant par rapport à la hausse des taux d'intérêt.
Pour le voir avec le marché du travail au cours des six derniers mois, quand on regarde les données du travail, on voit que les prochains trimestres de 2023 seraient peut-être plus positifs qu'il y a un an. Pour ce qui est de la croissance, il y a toujours des défis.
On s'attend à ce qu'il y ait une croissance qui soit plus basse que d'habitude en 2023 et jusqu'au début 2024, mais avec le rapport sur l'emploi de janvier, on s'attend moins probablement à une contraction de l'économie.
L'économie canadienne pour avoir une contraction au deuxième trimestre, mais on pourrait avoir un rebond avec une croissance assez lente au cours des trimestres suivants.
Il y aura moins de récession grâce à la croissance de la population qui s'est accélérée au cours du dernier trimestre.
La croissance de la population a été de 2 % d'une année sur l'autre, la plus forte depuis une décennie.
À partir de là, je crois qu'il pourrait avoir une baisse du PIB pendant certains trimestres, mais en général, il faut compter de trimestres de contraction pour appeler ça une récession.
Station moins progrès il y a quelques mois.
Ça semble un atterrissage en douceur.
Qu'est-ce que ça veut dire que les gens disent qu'il n'y a pas d'atterrissage.
- Ça veut dire qu'on va continuer de croître et que la Banque du Canada devra continuer les taux d'intérêt. Mais ce n'est pas probable.
- Autre question.
Certains téléspectateurs ont parlé ou entendu parler de marché haussier des matières premières. Est-ce que ça sera bon pour le Canada et le U art?
- Il y a beaucoup de spéculations pour les matières premières et que cela soit rallié à la réouverture de l'économie chinoise.
L'économie chinoise abordait certaines de ces mesures concernant l'accueil vide et donc, il y aura plus de demande mondiale en particulier de la part de la Chine.
En ce qui concerne le Canada, cela va permettre une croissance du PIB avec le cours des matières premières et des exportations de matières premières qui seront en hausse, en particulier pour les minéraux, le bois de qui sont exportées par vers la Chine. Ce qu'on exporte pas beaucoup vers la Chine, c'est le pétrole brut ce qui n'est pas beaucoup de possibilités d'abruti d'acheminement vers la courtoisie. Mais si la Chine continue de faire augmenter les prix dans le monde, cela va dans le bénéfice Canada et nos exportations. La Banque du Canada voit une augmentation d'environ 2,5 %.
Donc cela serait l'impact si effectivement l'économie chinoise continuait de permettre un marché aussi… - j'ai entendu dire que l'économie chinoise se ferme alors ça va voir une année sinon ça va sur l'inflation.
L'économie chinoise sous, alors il va y avoir une tendance à l'inflation.
- – Que l'inflation d'une préoccupation dans le monde entier. C'est ce que dit la Banque du Canada dans son rapport sur la politique monétaire en janvier.
Il y a une possibilité que le cours de l'énergie plus élevée pourrait faire augmenter l'inflation. On a vu l'essence augmentée en janvier, mais pas de manière aussi importante que la baisse des six mois précédents.
Ce qu'on a vu aux deux en 2022, mais cela pourrait représenter pour l'inflation.
On a vu les données et on verra la semaine prochaine.
Il y a un certain nombre d'incertitudes concernant les perspectives en matière d'inflation et de politique monétaire. Si c'était seulement le cours de l'énergie, ça donnerait plus de flexibilité à la Banque du Canada, mission voit que cette inflation se retrouve dans le prix d'autres biens, l'inflation sera élevée que la trajectoire et augmenter la probabilité taux d'intérêt.
Assurez-vous de faire vos propres recherches.
Nous reviendrons dans quelques instants avec nos questions. Vous pouvez nous contacter en tout temps à moneytalklive@basetd.com.
Passons maintenant à notre sens indicatif de la journée.
À la fin de la séance denégociation du jour, il peut y avoir de grands moments sur le marché. Nous pouvons faire un suivi avec CourtierWeb. Voici Hiren Amin, instructeur principal de l'éducation des clients.
Bienvenue.
Nous allons voir les négociations d'avant et d'après marché. Nous sommes dans la saison des bénéfices, ce qui peut représenter des occasions, mais souvent il y a des nouvelles qui peuvent tomber avant après les heures d'ouverture des investisseurs peut vouloir réagir quand ces événements se produisent.
C'est là que nous pouvons avoir une négociation prolongée qui est possible dans les bourses sont fermées et ça fait un très bon indicateur pour prévenir la direction du marché.
Les négociations en or prolongé se réfèrent aux négociations qui ont lieu avant et après les heures normales de négociation. Cela dépend des bourses et des marchés.
La majorité de ces transactions ont tendance à se produire juste autour des heures de négociation normale. Cela s'explique par le fait que la plupart des nouvelles surgissent avant ou après la fermeture.
Les placements les clients de placements directs peuvent commencer à négocier de huit heures à 9h30 et aussi après la séance, après la fermeture à 16 heures jusqu'à 19 heures, heure de l'Est.
Au cours de ces négociations, après les heures de marché, il y a des risques qu'il faut mentionner.
Tout d'abord, un volume de transactions moins importants, ce qui peut rendre difficile l'exécution des ordres. Cela se traduit par des accords plus importants entre le cours acheteur et vendeur. Ce qui peut avoir une… ensuite, vous pouvez avoir une plus grande volatilité. Les variations de prix d'un titre, cela parce qu'il peut y avoir un nombre réduit de participants sur les heures prolongées.
Et puis l'ordre peut être seulement partiellement exécuté ou pas du tout, car certaines actions ne sont pas négociées dans les heures prolongées. Comment est-ce que l'on peut faire une transaction après les heures de marché? Tout d'abord, il y a plusieurs lignes directrices que vous devez savoir.
Si vous passez un ordre prolongé. Il sera valable seulement pour les cours qui sont sur les grandes bourses américaines, pas sur les pennys stocks.
Ils seront disponibles pour tous les titres sur les bourses canadiennes. Nous avons choisir un FNB.
Il est un FNB indiciel sur le S&P 500.
Quand vous entrez l'ordre, le seul type de prérequis qui est acceptable, c'est le cours limite.
Nous allons le mettre 1, Cours similaire 1, Cours actuel.
Et puis les périodes de temps que vous allez choisir, vous regardez dans le menu et vous voyez qu'il y a journée plus marchée étendue au marché prolongé. Si vous utilisez cette période de temps, cela vous permet de couvrir les heures de séance et les heures d'avance séance et d'après séance. À partir de là, vous pouvez envoyer votre ordre.
Une dernière chose que je pourrais mentionner, c'est qu'il n'y a pas de frais ou de commissions.
Il s'agit seulement des commissions habituelles.
Voilà pour ce qui est de ces ordres de négociation prolongée.
C'est un autre outil que vous pouvez ajouter à votre trousse d'outils d'investisseurs et vous pouvez aller sur notre sens d'apprentissage pour en apprendre plus.
- Très bien, merci à Rennes.
Avant de passer aux questions que nous allons poser Robert Both, voilà aussi comment vous pouvez nous contacter.
Avez-vous une question sur les placements et ce qui fait bouger les marchés? Nos invités veulent les entendre.
Envoyez-nous vos questions de deux manières.
Tout d'abord par courriel à moneytalklive@dd.com vous pouvaient utiliser la boîte de questions qui se trouvent sur l'écran de CourtierWeb.
Tapez votre question et taper sur envoyer.
Nos invités vous répondront ici.
Nous sommes avec Robert pose et nous avons des questions sur l'économie les taux d'intérêt.
Quand est-ce que Robert pense que la Fed va baisser les taux d'intérêt?
- Je trouve ça fascinant parce que les perspectives ont changé le point de vue des marchés aussi.
Si on revient quel questionnaire, les marchés ont commencé à réfléchir à des possibilités de baisse d'intérêt plus tard cette année.
Plus tard cette année de la banque du Canada. Mais avec les données concernant l'emploi et concernant l'inflation aux États-Unis, on peut penser que la baisse des taux d'intérêt ne se fera pas cette année, ce sera plus tard.
Que ce soit au Canada ou aux États-Unis.
Il y a maintenant une probabilité de 60 % des d'augmentation des taux d'intérêt à sa réunion du mois d'avril.
Là, on voit qu'il y a un changement autre que la communauté l'investisseur avait prévu ce que l'on voit dans la réalité.
On veut voir si les perspectives ont changé et bien sûr, on peut pas prendre de décision simplement sur des données assez volatiles en matière d'emploi. Les marchés ont tendance à répondre assez rapidement, plus rapidement que ce que nous voulons pour ce qui est de changer notre perspective.
Nous avons la Banque du Canada qui pour le moment va rester à 4,5 %.
Aux États-Unis, nous pensons qu'il y aura de hausse de taux d'intérêt.
Avec une période de cinq et 25 % avant que la réserve fédérale décide de baisser le taux d'intérêt.
Si les gens s'attendaient à une augmentation agressif des taux d'intérêt, ce ne serait pas le cas ni les baisses.
Pas de baisse cette année.
S'il y avait des baisses, ce ne sera pas pour les bonnes raisons.
Si la Banque du Canada décidait d'aller plus loin avec des hausses d'intérêt plus importante que prévu, cela pourrait avoir une incidence sur le taux de croissance et pourrait retarder la prochaine baisse des taux d'intérêt.
Et on verra au cours de l'année, je pense qu'il y aura peut-être une rose et ensuite une baisse pas trop longtemps après la prochaine hausse si effectivement l'économie ralentit.
Il faut attendre de voir d'autres données.
- Autre question concernant le dollar américain qui était fort l'année dernière.
Qu'en est-il pour cette année?
Est-ce que cette force va revenir?
- Je crois que plus long terme, il est difficile de voir le dollar américain revenir au pic, au sommet qu'on a vu l'année dernière. Maintenant, le plus court terme, alors que nous discutons de la possibilité de resserrement en matière de taux d'intérêt d'une augmentation possible, cela pourrait effectivement renforcer le dollar américain.
Nous avons vu également le sentiment de risque qui répond mal aux attentes, nous avons prévu un taux terminal un peu plus élevé étant donnés les deux les plus solides de l'emploi au cours des dernières semaines, mais on ne pense pas que ça va persister pendant une période prolongée.
Nous pensons que le rebond du dollar américain va être de courte durée avant de rabaisser au deuxième trimestre.
- Alors qu'elle le reste cette perspective?
- Le risque et qu'il y aurait une perspective plus persistante en matière d'inflation aux États-Unis, peut-être avec une demande mondiale plus importante du à la recherche nouvellement ou les chaînes d'approvisionnement.
Cuisson Europe d'autre part.
Mais je dirais que toute décision, ou toute évolution qui amène à une plus grande probabilité de la hausse intérêt pourrait ramener à une force du dollar.
Une question sur les chaînes d'approvisionnement.
Elle continue à évoluer, la recolonisation économique continue de se produire vers le Canada, quels secteurs seront concernés.
- On parle surtout du secteur manufacturier.
On a vu avec la pandémie pour les contrôler plus facilement.
Cela eu une incidence à la baisse de la mondialisation que nous avons vue au cours des dernières décennies.
Je ne crois pas que le Canada va remplacer la Chine pour ce qui est du secteur manufacturier.
Mais je dirais que la production, une partie de la production qui se fait en Chine reviendra vers l'Amérique du Nord, peut-être plus aux États-Unis qu'au Canada.
Ici on voit une augmentation de la production industrielle aux États-Unis ou au Mexique ou en Amérique latine, et bien cela va permettre d'augmenter la demande pour les biens canadiens.
Il y a des biens sont produits au Canada et qui pourront être exporté vers le reste de l'Amérique du Nord.
- Un autre secteur qui pourrait c'est parti évolution mondiale, ce sont les ressources naturelles.
On l'a vu au cours de l'année précédente avec l'invasion de l'Ukraine par la Russie.
On a vu qu'il est important d'avoir de partenaires commerciaux fiables pour ce qui est des matières premières.
Le Canada avec la Russie et l'Ukraine est un producteur important dans le monde pour différentes matières premières, que ce soient les engrais ou certains métaux.
Et par conséquent, le Canada pourra compenser la perte de production et d'exportation d'autres pays européens.
- Nous reviendrons à vos questions sur les taux d'intérêt dans un instant.
Assurez-vous de prendre vos recherches avant de prendre des décisions de placement.
Avez-vous une question sur les placements effectués bougeait les marchés?
Nos invités veulent les entendre.
Envoyez-nous vos questions, il y a deux manières de le faire, par courriel ou vous pouvez utiliser la boîte de questions qui se trouvent dans l'écran de CourtierWeb.
Tapez votre question et cliquez sur envoyer.
Nos invités vous répondront.
Les grandes banques canadiennes s'apprêtent à publier leur prochain procès résultats la semaine prochaine.
Anthony Okolie nous rejoint maintenant avec un aperçu - les résultats au premier trimestre.
Ils sont assez mitigés.
Avec les provisions et les hausses de coûts de rémunération et les dépenses qui ont nui au résultat de quelques banques.
Au premier trimestre, valeurs mobilières TT s'attentent à ce qu'il y ait des bénéfices qui soient plus bas par rapport à les perspectives précédents.
Perspective est plus basse parce que les banques vont déclarer des provisions pour pertes de crédit plus élevé que le trimestre précédent.
Nous savons que les Canadiens doivent traiter avec des taux d'intérêt plus élevé.
Nous considérons que le revenu d'intérêt devrait augmenter de 21 % par rapport à l'exercice précédent. Ce serait le gain d'un exercice le plus important depuis 10 ans.
On s'attend à ce que ces banques continuent d'avoir des résultats positifs en matière de marge d'intérêt.
Les valeurs mobilières considèrent que les avantages vont s'estomper avec une concurrence pour les dépôts et pour les prêts.
Et pour les coûts de financement.
Pour ce qui est des risques de crédit, valeurs mobilières Satan à ce que les pertes de crédit soient plus élevées et cela reflète des pertes plus élevées dans le secteur des particuliers et des entreprises.
Nous considérons que les évaluations des cours sont raisonnables mais pas très attractif, pas très attrayante.
Étant donné les bénéfices qui seront annoncés dans les prochaines semaines.
Quels sont les risques de cette perspective.
- Il y a des risques clés pour ce qui est du cours cible avec des changements dans le marché de l'immobilier et du crédit, ce qui fait que les banques pourraient augmenter leur provision pour créances douteuses.
Il peut aussi avoir des risques liés à la fluctuation des taux d'intérêt et à la liquidité sur les marchés.
- Très intéressant.
Nous aurons plus de détails la semaine prochaine au moment des rapports des entreprises.
Regardons les marchés, nous avons le TSX qui est en baisse, mais rien de tragique.
33. À Toronto.
Un peu plus de 2/10 de points de pourcentage.
Shopify est un des titres qui est sous pression.
Ils ont battu les revenus qui étaient prévus mais les investisseurs ne sont pas tout à fait satisfaits pour l'avenir.
Une base un peu plus de 15 %.
Manuvie augmente son dividende.
Les marchés s'en satisfont.
27,15 $ le cours, près de 4 % d'augmentation. Au sud de la frontière, les CP 500, une baisse d'un tiers de pourcentage.
Le groupe reprend du temps pour se reprendre.
Et le Nasdaq est maintenant en baisse de 92 ; trois corps : deux pourcentages.
Boston Beer, ça fait longtemps qu'on n'a pas vu ce titre, on voit qu'il y a une pression avec une baisse de près de 14 %.
Nous sommes de retour avec Robert Both de DTD.
Est-ce que la banque Canada va vraiment augmenter ses taux d'intérêt blessé comme tel?
- Comme je l'ai déjà dit, les délibérations de la banque du Canada nous donnent une indication de la réflexion des gouverneurs.
Nous sommes dans un environnement qui dépend de plus en plus des données et la banques du Canada a indiqué que la pose dans la hausse des taux d'intérêt dépendrait de si ces projections répondent bien à la réalité au cours des prochains mois.
On considère que l'activité du quatrième trimestre est un peu plus élevée que les projections de la banque du Canada.
Je parle du quatrième trimestre 2022.
Il faudra voir les données du troisième trimestre pour être sûr que le Canada ne montre pas les taux d'intérêt. Nous nous attendons à ce que ça reste à 4,5 % mais cela requiert que la croissance voit une baisse significative.
C'est vrai que l'année ne vient que de commencer et sur la base de ce que vous dîtes, il faudra attendre un petit peu plus, n'est-ce pas?
Il faudra être patient pour voir une baisse de l'inflation grâce à la hausse des taux d'intérêt et voir comment évoluera l'économie.
- Effectivement.
La banque a bien dit.
Elle a prévu 25 points de base qu'on a vue dernièrement.
Pour ce qui de la part aux intérêts, il faudra être patient pour voir comment cela va toucher l'économie dans son ensemble et les consommateurs.
On attend les chiffres pour le PIB au quatrième trimestre et on essaiera de voir les chiffres, cela nous donne un aperçu pour voir si les projections de la banque Canada sont correctes.
Mais je dirais que nous ne sommes plus dans un environnement où la banque du Canada va augmenter ses taux à chacune de ces réunions.
Quand on arrivera au mois d'avril, si les donnés économiques restent solides, il pourrait y avoir une hausse de 25 points de base, ça pourrait être envisagé par la banque, mais on ne pense pas que ça se fera nécessairement. Alors que l'économie continue de ralentir.
Bien sûr, vous regardez ce que le gouverneur de la banque du Canada et le comité des finances nous dit, il dit : l'économie canadienne restant surchauffe et cela représente une pression sur tous les prix sont notre pays.
Voilà un aperçu de ce que dit la boîte de Canada, mais bien sûr faudra comprend savoir plus.
Ces audiences parlementaires, ces témoignages au Parlement ne nous donnent pas beaucoup d'informations.
Au cours de la première heure de cette audience, on a vu qu'effectivement, les projections concernant janvier de la banque du Canada était correct mais ne nous a pas dit vraiment comment la banque va traiter les résultats du rapport concernant la solidité du marché du travail en janvier.
- Robert Both, merci beaucoup d'être venu.
Stratège chez télé.
Assurez-vous de faire votre recherche avant de prendre des décisions sur les placements.
Nous serons de retour demain avec les meilleures entrevues de la semaine.
Nous serons fermés le lundi, les marchés sont fermés pour le jour de la famille, alors ma dit, nous aurons à la durée Beach qui répondra à vos nos questions sur les titres à revenu fixe.
Envoyez vos questions à moneytalklive@dd.
com.
C'est tout pour aujourd'hui, au revoir.