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(musique) - Une émission de Placements directs TD.
Nos invités commentent l'actualité des marchés et répondent à vos questions sur les placements.
aujourd'hui, nous évoquons avec Robert Both le rapport sur l'inflation canadienne publiée aujourd'hui.
Il ouvre la voie nouvelle baisse des taux d'intérêt en septembre. Nicole Ewing de Gestion de Patrimoine TD nous renseigne sur les changements proposés aux règles de la fiducie simple.
Nous poursuivons la découverte de CourtierWeb. Hiren Amin nous montre les différents outils graphiques.
Posez-nous vos questions par courriel, moneytalklivetd.com ou dans la boîte de questions au bas de votre écran.
Mais d'abord, un coup d'œil sur les marchés.
Une pause dans la remontée des bourses de Toronto et de New York.
97 points de base à Toronto, moins d'un demi pour cent. Le brut de référence américain 74 $ le baril se maintient aujourd'hui.
Après une baisse considérable pendant les dernières sessions.
Ce qui se répercute sur les grands titres de l'énergie. Prenons pour exemple Cenovus à 25,67 $, l'action recule de trois et demis pour cent.
Des progrès semblent en cours dans les pourparlers de paix au Moyen-Orient. En revanche, il y a une sous-demande en Asie ce qui pèse sur le cours du pétrole. Le cours de l'or progresse. Le dollar américain atteint son niveau le plus bas depuis sept mois.
L'or progresse légèrement, mais il y a un peu de vert à l'écran, une journée de baisse à 13,22 $, action progresse de trois et demis pour cent.
Aux États-Unis, il y a une nette remontée après le recul d'il y a deux semaines et un jour. C'était notre lundi férié.
Lorsque les marchés américains ont nettement baissé. Il y a de remontée depuis lors, indice S&P 500 recule de six points, soit 1/10 de pour cent.
L'indice Nasdaq à forte composante technologique en baisse de 56 points, soit un tiers de pour cent, un peu plus que l'ensemble du marché. Il y a un secteur où on constate une hausse Palo Alto Networks annonce ses bénéfices. Nous y reviendrons.
Les milieux financiers sont relatifs à 372,14 $ l'action progresse de huit et demis pour cent.
L'inflation canadienne est tombée à deux et demis pour cent en juillet. Atteignant son niveau de son plus bas depuis plus de trois ans. Cela ouvrira-t-il la porte à une nouvelle baisse des taux par la banque Canada en septembre? Robert Both de Gestion de Patrimoine TD nous rejoint pour en discuter.
- Bonjour, Greg. Ça me fait plaisir d'être à nouveau sur votre plateau.
- Deux et demis pour cent, on se rapproche de: les marchés semblent satisfaits de ce rapport.
Passons en revue le rapport sur l'inflation.
La tendance était à la baisse.
- Oui, comme vous l'avez dit au début, l'IPC global était conforme aux prévisions, conforme aux prévisions des marchés et aux autres.
Les détails étaient un peu moins porteurs que prévu. Je fais allusion au fait que les mesures privilégiées de l'inflation de base pour la Banque du Canada se sont établies à 2,5 % en moyenne.
L'une étend à 2,4 et l'autre à 2,7.
Mais c'est 1/10 de pour cent de moins que les marchés ne l'avaient prévu. Cela signifie que le taux d'inflation de base sur trois mois ce qui privilégie la Banque du Canada comme repère de la tendance inflationniste, semble avoir un peu reculé dans un plus grande mesure que nous avions prévue. Globalement, c'est très positif.
Qu'est-ce qui a permis de réaliser cette amélioration depuis le mois dernier? Il s'agit de nombreux éléments cycliques dont on s'attendrait à ce qu'il soit davantage sous pression, les éléments discrétionnaires comme les véhicules à moteur, les hôtels, les billets d'avion, les gros appareils électroménagers. Ce sont des secteurs dont on s'attendrait à ce qu'il fasse pression sous une place inflationniste. C'est ce qui fait reculer l'inflation sur 12 mois cela doit être davantage confiance à la Banque du Canada que le progresse dans le cycle des 2 %.
Quand on a parlé de l'inflation globale, quand on réduit les coûts de logement, on n'en étend descendu à 1,2 %. C'était un des éléments de la Banque du Canada sur lequel la Banque du Canada a souvent été interrogé. On lui demande si cela est important pour elle. L'inflation hors logement était à 1,2 %.
1,3 le mois dernier. Un gros changement.
Mais les coûts de logement eux aussi commencent à évoluer dans la bonne direction. Si vous considérez l'indice global, il a progressé davantage que celui hors logement.
Il s'agit d'éléments qui montrent que l'augmentation des loyers ralentis, les coûts hypothécaires également, tandis que l'écart entre logement et tous les autres composants se rétrécit. Ce ragoût va-t-il parvenir à 2,5 et de redescendre à 2,0.
La Banque du Canada scrute certainement ce rapport. Dans deux semaines ou trois semaines, au début septembre, une annonce sera faite. Qu'est-ce que cela signifie pour la Banque du Canada pressée de coupe de tout cet été, on s'est demandé s'il y en aurait ou non en septembre. Est-ce que cela change la donne?
- La banque va scruter dans ce rapport les signes avant-coureurs de progrès en ce qui concerne les prix du logement.
Elle va scruter les résultats plus modestes en ce qui concerne les indicateurs d'inflation de base privilégiée par la banque.
Ces deux facteurs vont lui permet de tirer les conclusions quant à l'inquiétude en matière de persistance de l'inflation.
En ce qui concerne le logement et les services de base. Une inquiétude à l'idée que ces deux secteurs pourraient entretenir une inflation plus élevée jusqu'à l'an prochain. Ces inquiétudes pourraient commencer à refluer.
Les marchés avaient déjà prévu une réduction de 25 points de base en septembre. On attendait pas des éléments de preuve.
Et des données probantes, mais cela va je pense achever de convaincre la banque. De cette trajectoire est toujours valable.
Nous pensons que ce rapport va donner à la banque le feu vert pour étioler taux encore 1 × 70.
- Si la nouvelle réduction septembre, il y aura eu trois réductions de taux, déjà accompli, que prévoit-on pour le reste de l'année?
- Nous prévoyons de réduction de taux en septembre, puis une réduction en octobre, soit quatre de suite pour cent points de base réductions. Nous pensons toujours qu'il y aura une hausse cette année.
Nous prévoyons que cette pause intervienne en décembre, dans le cycle antérieur la prévoyait en septembre. Nous pensons que même avec les progrès que nous avons constatés dans le rapport sur l'IPC paru aujourd'hui, les arguments en faveur d'une nouvelle réduction de taux ne sont pas nécessairement aussi invincibles que les marchés ne l'envisagent.
On peut considérer que la croissance des salaires demeure assez élever.
Ou quelque peu élevé. Il y a certains sites secteurs de la corbeille des services sont toujours sous pression.
Les attentes en matière d'inflation ont été quelque peu mitigées depuis quelques trimestres également. La Banque du Canada semble accorder beaucoup plus de poids à la capacité excédentaire sur le marché du travail.
Cela devrait permettre d'aborder les pressions sous-jacentes persistantes qui s'exercent sur les prix. Mais globalement, l'objectif de 2 % est désormais visible.
Nous avons franchi une nouvelle étape aujourd'hui nous et nous pensons que cela va étayer la possibilité pour la banque de réduire les taux en septembre et en octobre.
- Je n'avais pas parlé d'anxiété, mais est-ce qu'il y a des inquiétudes persistantes quant à la Banque du Canada et sa crainte de se tromper?
Vous avait parlé une réduction septembre et octobre. Lorsque l'inflation commencée par les banques centrales était dans une période transitoire, ensuite se sont efforcés de la réduire. Est-ce que vous pensez que inquiétudes de la banque à l'égard de la possibilité de faire une erreur s'estompent?
- Je pense que l'étude de la banque change d'objet.
Elle est réorientée, si vous voulez. Quand il a eu ses deux premiers réductions de taux, de cinq à 4,7, et 4,5, il n'était pas encore certain que la banque continuera de réduire les taux jusqu'à ce que nous parlions parvenions un ton neutre. Il y eut des périodes prenants pendant lesquelles les pressions inflationnistes se sont manifestées très nettement.
L'inflation de base a augmenté nettement depuis le mois de mars jusqu'au mois de mai.
Alors, même alors que la première réduction de taux a été pratiquée par la Banque du Canada, on pouvait encore se demander s'il n'existait aucun risque que la banque serait obligée de rehausser les taux une nouvelle fois.
Toute possibilité de relance de l'inflation à partir d'ici prend un certain moment, la délibération de la banque pour l'avenir. Cette délibération porte vraisemblablement être reportée jusqu'en 2025.
Et porteront sur la possibilité ou l'opportunité de nous arrêter à un tournoi. Ainsi la banque envisageait de franchir le seuil de la neutralité si l'inflation semble en bonne voie de celle-ci située en deçà du seuil de 2 %, ce qui n'est pas notre scénario de base. - Vous parlez du retour au ton neutre. Il n'est plus question d'enrayer l'économie pour juguler l'inflation, n'est pas non plus question de relancer une croissance trop lente. Où se situe le tourneur?
- La banque considère que le tourneur été 2,75 %. Envisagions 2025 ou 2026 à l'heure actuelle, les marchés envisagent un certain risque que l'on décembre deçà du niveau neutre.
À la fin de la série de réduction de taux, selon les marchés, sera de deux et demis pour cent. Nous pensons que le ton neutre serait de 3 %. La banque rehausse son ton neutre de 2,75 %. En mai dernier. Nous pensons que le roi haussera à 3 %. On ne peut pas observer de ton neutre. Nous serons que nous y sommes foies que nous y parviendrons. Il faut que nous serons à destination, nous nous dirons: tiens, nous sommes arrivés.
- Excellent début d'émission! Robert Both répondre à vos questions dans quelques instants. Vous pouvez lui poser en tout temps par courriel, moneytalklivetd.com.
Ou dans la boîte de questions au bas de votre écran.
Plus tard dans l'émission, Nicole Ewing de Gestion de Patrimoine TD nous renseignera sur les changements proposés aux règles relatives aux fiducies cinq.
Mais d'abord un coup d'œil sur l'actualité du monde des affaires et sur l'évolution des marchés.
Lowe's revoit à la baisse ses prévisions de vente pour l'exercice car les consommateurs prudents remettent à plus tard les travaux de rénovation de leur domicile.
Bien que l'on se dépassait les prévisions dernier trimestre les ventes ont été plus faibles que prévu. L'avertissement de Lowe's fait suite à celui de Home Dépôt aux investisseurs la semaine dernière sur lequel l'entreprise s'attend à un second semestre plus faible.
Les gens ne sont plus aussi certains qu'il convient de rénover la salle de bain ou leur cuisine compte tenu de l'incertitude économique. L'action recule un peu plus de 20 %. Encore des difficultés pour Boeing aujourd'hui. Le constructeur a interrompu les accès de son action 777X après avoir découvert des problèmes sur un composant.
L'avion devrait inédit il est initialement mis en service en 2021. Boeing est confronté à sa qualité, après l'éclatement d'une porte en plein vol de 737 Max au début de l'année.
Après cette annonce, l'action de Boeing recule de quatre et demis pour cent. Les actions de Palo Alto Networks nous en avions déjà parlé sont en vedette aujourd'hui. Il progresse de plus de 9 %.
L'entreprise cybersécurité a dépassé les attentes pour le dernier trimestre, et à des bénéfices solides.
Grâce à des produits de cybersécurité que je ne sais pas de ce que vous en pensez mais dernièrement, je reçois constamment des SMS sur mon téléphone qui manifestement sont des arnaques. C'est sans doute une des raisons pour laquelle la demande de produits de cybersécurité augmente. À présent l'actualité du monde des affaires et un coup d'oeil sur les marchés.
L'indice TSX composite marque une pause dans la remontée des deux dernières sessions.
L'industrie que le 98 ; soit un peu plus de demis pour cent.
Le S&P 500 marquait également une pause après la forte remontée qui a suivi la nette baisse il y a deux semaines.
L'action ou l'indice recule cinq ; soit un peu moins de dixièmes de pour cent.
Robert Both réponse à vos questions sur l'économie et les taux d'intérêt. La divergence, c'est un thème actuel, il y a deux coupures pratiquées sur la Banque du Canada alors que la Fed n'a pas encore agi. Vous attendez-vous à une plus grande divergence?
- La divergence est un terme factuel.
Depuis le début de l'été, goûter moi en avons parlé depuis plus d'une fois. Nous nous rapprochons niveau des divergences maximums entre le Canada et les États-Unis.
La Banque du Canada est actuellement à 100 points de base en deçà de la fourchette supérieure du taux de la Fed.
Après une coupure au mois de septembre, et sera 75 points de base en deçà. Ce que nous n'avons pas vu, une telle divergence parmi la la crise financière. Période prolongée des divergences extrêmes les plus vraisemblables à cause de la situation de l'économie américaine.
Progrès dans la lutte contre l'inflation, signe de difficultés sur les marchés, sur le marché du travail.
Contenu du double mandat de la Fed, cette dernière a pu avoir suffisamment confiance pour laisser entrevoir un cycle de réduction de taux plus énergique aux États-Unis. Nous pensons que la divergence va atteindre un pic après la décision de septembre sur de la Banque du Canada, et la Fed vont être séparée par 125 points de base pour le reste de l'année avant que nous la convergence n'aurait ne reprenne ses droits débuts 2025 potentiel cette baisse du marché boursier, il y a deux semaines, c'était très net, marchés boursiers américains ont remonté, il y avait des spécialistes qui affirmaient que la Fed devrait réduire les taux de 50 points de base à l'automne. Les données depuis lors ont réduit ses attentes, mais Jérôme Powell va intervenir à Jackson Hole. Au Canada, on dit qu'elle était prend fin quand l'exposition de taux commence. Pour les milieux financiers, l'été tire à sa fin quand le colloque de Jackson Hole commence.
- Oui. Tous les banquiers vont sortir leur veston de tweed: ce sera la dernière possibilité pour le président Jérôme Powell d'évoquer la possibilité d'une réduction de 50 points de base.
La conférence Jackson Hole est typiquement plus aride, il y a beaucoup d'universitaires, elle consiste en causerie et analyse très approfondie du sujet, mais il y a eu parfois des déclarations faites par la Fed à Jackson Hole dans le passé, ce qui engendre des attentes quant à la possibilité que Jérôme Powell pourrait utiliser cette façon pour changer son message une autre marché seront déçus. La fête compte comme les autres banques centrales souhaitent avant tout ménagez toutes les possibilités.
Ménager l'avenir.
Quant à la décision de la Fed en septembre, davantage de données paraîtront sur la masse salariale, sur l'inflation des coûts de consommation personnelle, la fille ne voudra pas se lier les mains.
Nous pensons que le propos de la banque demeurera ambiguë et demeure ambiguë quiconque contentant un signal de bien-être quant à une réduction de 50 points de base sera déçue.
- Une question qui vient de nous arriver: réductions du taux Canada sont presque certaines. Pourquoi le dollar canadien tu remontais depuis toujours? Qu'arrive-t-il à notre monnaie?
- Toute discussion du dollar canadien est étroitement reliée à la divergence au autour de dollars canadiens de dollars américains. Même si nous prévoyons de plus en plus de réduction de taux, que les marchés financiers pour être précis prévoient de plus en plus de réduction de taux Canada, ça se produit également de l'autre côté de la frontière.
Les marchés envisagent des cycles de réduction de taux plus énergique aux États-Unis, cela offre un certain soutien en dollars canadiens à la marche.
Le dollar canadien a reculé par rapport à certaines autres monnaies du G7. Il y a donc eu cette pression sur les taux de change du génie 10. Nous prévoyons dans l'avenir une faiblesse un peu plus marquée. Les marchés prévoient toujours une réduction d'un taux, si la Fed ne répond pas ce pronostic, il y aura une certaine remontée du dollar américain.
Nous nous rapprochons de l'élection américaine en novembre, l'incertitude, surtout pendant la période de transition, s'il y a une quelconque ambiguïté à l'égard du résultat de l'élection, cela pourrait également engendrer une fuite vers les valeurs sûres. Nous pensons que le dollar canadien à son niveau actuel est assez proche à sa juste valeur, nous pensons qu'il y aura un recul supplémentaire d'ici la fin de l'année.
Nous prévoyons que de dollar canadien va toucher le fond à 71 sens américains. Il est actuellement, ce creux à la lumière de l'assouplissement qui a eu lieu aux États-Unis paraît peu probable mais nous pensons qu'il y ait un risque d'abaissement.
- Que l'on parle du dollar canadien du dollard américain et le lien entre le taux de change des banques centrales, lorsque la divergence était un thème plus actuel, on se demanderait vers quelle mesure la Banque du Canada tolérerait une certaine faiblesse du dollar canadien. Ce que nous avons tourné la page source…?
- Oui. Nous avons tourné la page sur ce propos. Il s'agit d'une question qui est plus important pour la Banque du Canada, lorsque des rideaux de l'inflation.
C'était le cas il y a trois ou quatre mois, l'inflation globale était toujours proche de 3 %.
Mais le risque d'une persistance, risque de hausse devait être une plus grande important dans la délibération de la banque. À présent que davantage de progrès ont été longtemps accomplis dans la lutte contre l'inflation et surtout depuis que nous avons vu davantage d'indices montrant une dégradation du marché du travail, davantage d'assouplissement, Mollissement du marché du travail, la Banque du Canada voit ses inquiétudes apaisées, n'a pas à s'inquiéter d'une dépréciation dollar canadien autant qu'elle aurait été il y a deux ou trois mois.
Merci de notre histoire avons envoyé cette question. Fait toujours vos propres recherches de conditions de placement.
Robert Both répond à vos questions sur les taux d'intérêt l'économie dans quelques instants. Rappelez-vous que Nicole Ewing de Gestion de Patrimoine TD va nous faire le point sur les changements aux règles qui s'appliquent aux fiducies simples.
Mais d'abord, poursuivons la découverte de CourtierWeb.
Aujourd'hui que nous jetons un coup d'œil à la plateforme avancée conçue pour les négociateurs actifs proposés par Placements directs TD. Hiren Amin formateur principal à Placements directs TD nous rejoint. Irène, nous allons nous montrer quelques-uns des outils graphiques disponibles.
- Oui, Greg. Ça me fait plaisir de passer à votre émission.
Il s'agit d'aider les outils graphiques que propose la plateforme avancée. Alors sur la plateforme je vais vous montrer comment il est possible de la personnaliser.
Surtout ceux d'entre nous qui avons des aptitudes techniques ou qui souhaitent suivre les indicateurs techniques de recherche. Voici l'indice qui suit indice S&P 500. Affichons le graphique. En pleine page. Commençons dans le cadre temporel.
C'est très important pour la plupart des techniciens. Il s'agit d'établir la marche temporelle correctement. Vous trouverez un menu présélectionné de différentes périodes. Nous sommes à cinq minutes, admettons que je voudrais passer aux graphie quotidiens, le voici.
Essentiellement, comprimant ceci un peu.
Et élargissez sont.
Et l'indice, plutôt le fond SPY a certainement évolué. Ce graphique remonte au début de l'année. Une fois que vous établissez votre cadre temporel, vous pouvez l'ajuster en fonction de la mise à l'échelle. Vous pouvez vous rendre aux commandes qui vous permettront de comprimer ou d'élargir. Vous verrez que les bougies s'ajustent les mêmes choses au bas.
Là où se trouve la date et le moi, on étire le graphique à moins de mieux en visualiser la représentation. Les menus d'accès rapide pour la sélection du cadre temporel. Vous pouvez choisir la période qui vous intéresse. Mettons nous voulons remonter en arrière de six mois.
Qui se répercute sur les graphiques à bougie.
Il y a également d'autres styles de graphiques.
Ici, nous utilisons un graphique à bougie.
Il est possible encore une fois d'afficher le menu des différents graphiques. Il y a certains sont plus exotiques.
Le (...), le (...) court, il y a également certains outils qui sont plus souvent utilisés par les négociateurs vous pouvaient organiser cela sur la plateforme.
Pour achever la personnalisation, voici les indicateurs. C'est peut-être les plus importants. Revenons graphiques à bougie.
Voici la liste des indicateurs. Il est plus 200 indicateurs entre lesquels vous pouvez choisir.
Il y a 50 outils de dessin que je vais vous montrer. Admettons que je vais ajouter une moyenne mobile. C'est l'un des indicateurs les plus courants.
Utilisé par un négociateur. Vous voyez qu'il y en a de toutes sortes. Nous allons ajouter, si vous voulez le faire plusieurs fois vous cliquaient une deuxième fois.
Cela va s'afficher dans la barre de légende. Je peux ajuster le style en cliquant sur l'engrenage, en choisissant une différente couleur. Mettons que nous voulons que cet éducateur soit jaune, on va changer le cadre temporel à 50 jours que moyenne mobile. Voilà.
Et puis nous allons choisir la couleur, admettons que c'est indicateurs seront rouges, nous allons changer ce paramètre en moyenne mobile sur 200 jours.
C'est plutôt le cadre temporel de J sélectionné. Vous avez ces deux moyenne mobile qui sont reportés. Un des outils amusants que je vais vous montrer: si nous allons, il est possible de pronostiquer différents cours. Alors je vais prolonger mon cadre temporel admettons à une semaine.
À présent, on va revenir au cadre temporel. Admettons que je veux mesurer le cours. Il est possible de le faire.
Cliquons sur fourchette de cours.
Quelle a été la différence entre ce creux et cette crête?
156 points de base dévolution du fond SPY ce qui représentait un bond considérable de prix. Il y a des outils qui permet de sauvegarder tout cela. Si vous analysez des titres comme la plupart des négociateurs, nous avons nos titres préférés. Vous pouvez cliquer sur le gabarit indicateur, et cliquez sur sauvegarder le modèle. Mettons que nous bâtissons celui-ci (---), vous pouvez choisir le graphique rappelle le symbole, et même l'indicateur. Chaque fois que vous voulez revoir ce que vous avez fait, vous pouvez le voir dans les modèles qui les sauvegardaient vous pouvaient l'afficher vous. Voilà comment réaliser des personnalisations de base.
- Beaucoup d'outils très utiles pour faire des recherches.
Que dire d'un investisseur qui souhaite négocier après avoir recueilli des informations? Peut-on négocier partir de la plateforme?
- Oui tout à fait. C'est un des avantages de la plateforme. Il n'est pas nécessaire de quitter le graphique, on peut tout faire à partir de cela. Il y a deux façons de réaliser des opérations partir du graphique.
Vous voyez que j'ai mon collimateur qui est assorti d'un signe de plus. Je clique sur C + et je peux déterminer ma cible.
Disons que je vais acheter le spa est à 500 ; je peux cliquer dire: achat.
Cela va ouvrir le ticket d'ordre flottant je vais saisir mes paramètres et donner l'ordre. Il est également possible, vous avez des boutons achats et ventes, admettons que nous allons acheter, rien ne s'affiche, mais le collimateur change.
C'est peut-être un peu difficile à voir mais il devient faire, ce qui nous permet de cibler le cours avec précision.
Admettons que nous en sommes à 506,1 seul clic et une nouvelle fois, le ticket s'ouvre. Deux façons de passer un ordre cartographique.
- Merci, Hiren.
- Je vous en prie.
- Hiren Amin est formateur principal à Placements directs TD. Pour trouver davantage de ressources éducatives, visiter le centre d'apprentissage de CourtierWeb ou balayer ce code QR pour vous rendre à la page Instagram de Placements directs TD vous trouverez encore plus de vidéos informatifs.
Un spectateur remarqué, merci de l'avoir remarqué, ce qui est arrivé l'émission d'hier. Malheureusement il y a eu des problèmes techniques qui nous ont apprécié de diffuser l'émission. Si vous souhaitez assister notre entretien avec Emin Baghramyan de Gestion de Placements TD, nous parlions de placement à faible volatilité. Cet entretien a été enregistré même si nous n'avons pas pu le diffuser.
Vous pouvez vous rendre sur CourtierWeb et le trouver sur notre site sur le titre. Le moment est-il venu d'envisager les investissements en faible volatilité?
Cliquez sur ce lien et vous assisterez à l'entretien avec Emin Baghramyan. Robert Both répondre à vos questions sur l'économie les taux d'intérêt. Quel est l'impact des élections américaines?
- Le congrès national démocrate est en cours.
On parle beaucoup de politique américaine cette semaine, mais pour nous, nous nous concentrons toujours sur les sondages sur les programmes.
Alors que les candidats sont connus, ils vont commencer envisager ce qui est sur la table pour le mois de novembre.
Les deux questions les plus importantes pour les marchés pour l'économie canadienne sont la politique budgétaire et la politique commerce international.
Au niveau budgétaire, les deux candidats ont montré qu'il pourrait être éventuellement disponible à avoir des déficits plus élevés.
Donc le risque serait qu'il faille augmenter l'émission d'obligations.
Pour financer ses déficits. Nous surveillons cela de près. En ce qui concerne commerce international, la situation serait très différente selon que l'un ou l'autre candidat ne l'emporte.
Dans une administration Harris, le statu quo serait maintenu. Cela ne signifie pas qu'il n'y aura pas de conflit entre le Canada et les États-Unis, il y en a eu en ce moment au sujet du bois d'œuvre de feuillus, mais avec le retour d'une administration Trump, le risque devient beaucoup plus important.
Compte tenu que la nouvelle administration doit renouveler l'Alena d'ici le juillet 2026, nous disposerons d'un temps limité pour évoquer les différences entre la politique commerciale des États-Unis. Ces discussions auront une plus grande importance au fur et à mesure que cette date limite se rapproche.
- Quand on parle des dépenses budgétaires, le statu quo sera peut-être maintenu avec une administration Harris. Le candidat à Trump ne semble pas disposé à réduire les dépenses. Quels que soit les conséquences, ce sera compliqué.
- On va sans doute beaucoup plus parler de durabilité budgétaire d'ici quatre ans.
Ces questions ont déjà été soulevées, au Royaume-Uni pendant l'administration de (---), marchés financiers ont répondu très durement à certaines projections budgétaires. Ce qui a accéléré le changement de gouvernement.
Je pense qu'en ce qui concerne les États-Unis, il y a beaucoup plus de soutien institutionnel il est très difficile de trouver une autre monnaie de réserve pour les marchés globaux.
Toute discussion va exiger une évolution rapide à court terme avant qu'il y ait un déraillement. Je pense que ce n'est pas indispensable à ce stade mais ces discussions vont prend de plus en plus d'ampleur et de volume au cours des quatre prochaines années, compte tenu des propositions de dépenses sociales plus importantes ou de réduction d'impôt plus importante. Il faut que celle-ci soit compensée par des hausses d'impôts.
- A présenté la question suivante, je suppose qu'il s'agit du Canada. Quel est l'état du marché du logement?
- Le marché du logement a vécu un été assez tranquille, il y a eu un départ très rapide au mois de juin. En hausse de 2,6 %. Il y a eu recul au mois de juillet les prix n'ont pas beaucoup augmenté depuis deux mois.
Avec la réduction des taux Parlement du Canada, alors que le marché avait envisagé que les taux soient réduits largement avant le mois de juin. L'éventualité n'ont pas été aussi prometteuse que nous ne l'avions prévu. Nous attendons de voir comment les réductions de taux des banques centrales seront traitées par les marchés hypothécaires.
Le rendement des obligations à cinq ans augmentés de 60 points de base.
Depuis le mois de juin.
Il y aura une amélioration encore plus poussée au deuxième semestre avec une réduction de taux, ce qui devrait améliorer l'abordabilité.
Et on peut l'espérer, étayer une augmentation des ventes. Globalement, ce sera plus en 2025 que l'on peut envisager une relance plus poussée. Nos collègues de service économique TD prévoient que les ventes de logements existants augmentent de 4,2 % pour l'ensemble de 2024.
Et les économistes envisagent des gains à deux chiffres beaucoup plus importants 2025. Ce sera peut-être en 2025 que nous reviendrons un marché plus équilibré, ce qui fera subir une certaine pression à la hausse sur les prix.
- Quand il s'agit de soutenir la demande sur le marché du logement, il y a une forte décroissance démographique, et il y eut récemment le programme des permis de travail pour les étudiants, le programme des travailleurs agricoles. Qu'est-ce que cela fera pour le marché du logement s'il y a des mesures prises au niveau de l'immigration?
- Oui. Ça c'est le taux cœur pas seulement pour le marché du logement mais pour l'économie du Canada en 2025 2026 et au-delà. Alors actuel, il y a 2,8 millions de résidents non permanents au Canada.
La cible du gouvernement, ce qui représente 6,8 % de la population. Le gouvernement voudrait en revenir à 5 %, c'est-à-dire zéro. Nous sommes presque six mois du début de ce processus. N'a pas encore eu beaucoup de détails publiés.
Les détails seront publiés alors que l'automne, c'est une période assez courte pour mettre ces politiques en vigueur.
Pour parvenir à la cible du gouvernement, il faudrait qu'il y ait une réduction du nombre de 300 000 résidents permanents chaque année, nous en absorbons que 500 000 résidents permanents.
Essentiellement il s'agit le scénario ou la population, la croissance démographique ralentit considérablement et cela aura des effets sur les répercussions sur le logement, cela va engendrer une nette baisse de la demande totalement l'économie cela pourrait engendrer un choc.
Une situation une éventuelle émigration engendrerait des pénuries de compétences dans certaines industries. Il s'agit d'un risque important. Pour les perspectives à court terme, tandis que nous abordons 2025. Une provision davantage de détails en l'automne mais la Banque du Canada n'a pas nécessairement ces détails. Ce dernier rapport de politique monétaire a exprimé un certain scepticisme quant aux cibles du gouvernement.
Lequel ne les utilise pas l'interne.
Il est possible que ces cibles ne soient assoupies à l'automne. Robert Both répondre à vos questions sur l'économie les taux d'intérêt dans quelques instants.
Faites toujours vos propres recherches avant de prendre des décisions de placement. je vous rappelle comment nous poser vos questions.
Avez-vous une question sur les placements ou encore sur les marchés? Vous pouvez nous la poser, en tout temps, soit par courriel, moneytalklivetd.com soit dans la boîte de questions au bas de votre écran.
Il suffit de cliquer sur envoyer. Nos invités pourraient vous répondre en direct.
les gens qui détiennent des comptes peuvent respirer un peu après les changements ont été proposés aux règles relatives aux fiducies simples. Nicole Ewing de gestion de patrimoine TD nous rejoint pour étudier les changements.
On a peut-être vu les manchettes, par exemple il y a beaucoup de choses qui se passent. N'est-ce pas?
- Oui.
Il y a une prolongation de l'exemption de l'obligation de produire une déclaration pour les fiducies simples en 2024. 2023 étaient exemptés, 2024 est exempté. Il y a également des changements règle plus générales sont applicables à la niche fiscale 2025 et au-delà.
Il y a eu un changement de la définition de ce qu'est une fiducie réputée. Cela inclut une fiducie expresse. Y compris une situation une personne est inscrite sur le titre de propriété.
Bénéficiaire légale. Le propriétaire légal agit essentiellement comme agent pour cette personne.
Il y aura des fiducies simples qui seront visées par la règle. À présent il y a une exception de 150 000 $.
Des liquidités d'autres types d'investissement. S'il y a des CPG par exemple c'est exemption de 50 000 $ ne s'appliquerait pas. Cela est élargi tant que le type d'actifs dans l'avenir, il y a une limite de 250 000 $.
En deçà de laquelle il n'est pas nécessaire de produire une déclaration.
250 000 $, y compris un CPG propriété pour usage exclusif.
S'il y a des fiduciaires apparentes au bénéficiaire, n'est pas nécessaire de produire une déclaration. Dans l'avenir.
Après 2025.
Il y a une autre exemption pour 250 000 $, si tout est en liquidités, n'est pas nécessaire de le déclarer. Ça s'applique plutôt en fiducie et un avocat.
- Au printemps, dans nos entretiens que nous avions eus, iranien beaucoup de confusion sur les règles sur les fiducies simples les conséquences dans la vraie vie.
On songe aux parents qui vieillissent et aux personnes qui ont peut-être un compte conjoint, des propriétaires de logements et de jeunes enfants. Qu'est-ce que cela signifie pour ces personnes?
- C'est une excellente nouvelle.
Essentiellement, la définition est beaucoup plus limitée. Les circonstances dans lesquelles il y a une obligation de production de déclaration.
Si l'on dépasse la limite de 250 000 $ et qu'il y a un compte conjoint entre parents et enfants, il n'y a pas d'obligation de déclaration. C'est tout. Pour l'année avec en 2025, à partir du 31 décembre 2025 et au-delà, il y aura également une diminution des arrangements attaque en tant que résidence principale. Autrement dit, si un parent est inscrit au titre de propriété d'un enfant ou vice versa, du moment que les personnes sont apparentées et lesquels le bien est admissible à titre de résidence principale il n'est pas nécessaire de produire déclaration pour ces situations.
Et ça, c'est 2025 et au-delà.
- De 2025 dans cet entretien. Le printemps prochain. Je vais changer comme beaucoup de Canadiens l'année fiscale 2024. Le printemps après, on va rétrospectivement étudier 2025.
Il faut toujours déterminer s'il y a une obligation de production, il y a des obligations de production pour les fiducies et les fiducies cinq. Si vous ne vous situez pendant ses exemptions, vous avez une obligation de produire pour 2026 visite envisager la production pour 2025 déterminer si vous avez oui ou non une obligation. Ça c'est très intrigant.
Beaucoup de gens avaient beaucoup de questions à ce sujet. Vous avez répondu à plusieurs d'entre elles. Il s'agit de projets de loi de changement proposé, la situation de chacun peut-être unique.
Il s'agit de consulter un professionnel. - Oui. C'est très complexe. C'est un projet de loi très complexe que les gens ordinaires ne sont pas vraiment bien outillés pour déchiffrer.
Il y a des clarifications il y aura toujours des situations où vous avez besoin des conseils de professionnels, surtout lorsqu'il y a d'autres questions.
Pas seulement question fiscale une question de droit familial et de droit successoral, de droit des biens, ce que vous détenez des biens au nom de plusieurs personnes qu'il est très important d'obtenir les conseils de professionnels.
- Merci pour ce conseil. - Je vous en prie.
- Nicole Ewing de Gestion de Patrimoine TD.
À présent, le coût de ce marché. Nous revoici sur la plateforme avancée, la carte thermique permet de visualiser l'évolution du marché. Les voici les 10 TSX 60 en fonction du cours de volume. Il y a une pause dans la remontée des bourses canadiennes et américaines. Un acte recul dans le cours du brut de référence américaine quelques jours. Il y a de fortes enjeux, certain optimisme quant aux pourparlers de paix pilotées par les États-Unis et le Moyen-Orient. Les inquiétudes quant à la demande en Asie.
Cenovus recule 3 %, CNP et encore de plus de 2 %.
L'autre se maintient bien au-delà de 2500 $ l'once, ce qui profite à titre comme barrique qui est en hausse de plus de 1 %.
Aux États-Unis, un êtres bons après la baisse d'il y a deux semaines dans la bourse de New York. Une pause aujourd'hui certains types de technologies comme NVIDIA et Intel reprennent du terrain.
Et certaines banques et grandes questions financières sont en baisse. Comme la bourse de New York.
Robert Both répond à vos questions sur l'économie et les taux d'intérêt.
Devons-nous nous inquiéter d'une récession? Et le Canada en connaîtra-t-il une avant les États-Unis?
- Je m'attendrais à ce que l'on demandera davantage d'observations quant aux risques d'une récession. Je suis convaincu que nous ne sommes pas en récession aujourd'hui.
Les données du PIB du deuxième trimestre vont paraître cette semaine. Nous pensons qu'on va montrer une croissance indivise individualisée de 2 % après le chef de 1,7 % de taux de croissance au premier trimestre cette année. Quant à la définition technique d'une récession, nous en sommes très loin.
Toutefois, nous avons fort heureusement évité l'an dernier une récession. Il y a eu pratiquement pas de croissance du PIB au troisième ni au quatrième trimestre. Si vous considérez expansion du marché du travail, vous voyez davantage d'éléments permettant de conclure qu'il y a un excédent d'offre. Même si le taux de chômage n'a pas été plus élevé, au mois de juillet, il était toujours à 6,4 %, il y a une baisse compensatoire du taux de participation à la population active. Si vous considérez l'apport des Canadiens qui ont un emploi, ces chefs dérivent à la baisse depuis quelque temps. Les secteurs les plus vulnérables du marché du travail, les travailleurs plus jeunes, les immigrants récents, les minorités, tous ces groupes subissent une pression beaucoup plus forte. Le taux de chômage des jeunes a nettement progressé au mois de juillet s'établit à 14 %.
Donc il y a ce recul des marchés du travail. Lorsqu'il s'agit de répondre à la définition technique, nous ne sommes certainement pas là. Et je crois que la Banque du Canada recherche une croissance d'environ 2,8 %.
Elle semble convaincue que nous n'en trompons récession. Nous pensons que la croissance pourrait plus lente au deuxième semestre mais nous ne prévoyons pas que nous entrerons récession.
- Nous n'avons plus de temps de vous poser des questions, mais avant de nous séparer, revenons à notre premier entretien.
Le mois de septembre est très loin, la prochaine décision et dans deux semaines et un jour. Nous prévoyons que la Banque du Canada va réduire les taux encore une fois de 25 points de base. Nous avions envisagé jusqu'à la parution de l'IPC ce matin, une pause. Nous pensions que la banque allait réduire les taux par paire de réductions.
Si vous écoutez le discours tenu par la banque depuis quelques semaines, si vous considérez ce qui se passe sur le marché du travail, les progrès que nous avons accomplis dans l'IPC, cela montre qu'il est un peu moins urgent de marquer une pause entre les réductions.
La banque commence à accorder davantage d'importance au risque de baisse.
L'inflation de base continue de dériver à la baisse.
Il y a de nouveaux creux dans l'inflation globale.
Je crois qu'il y a davantage de volonté de mettre de côté les indicateurs des attentes inflation à court terme et la croissance des salaires est ainsi dans une position plus énergique. Nous ne pensons pas que les réductions de taux seront mis sur pilote automatique. On aura peut-être encore 2000 nous pensons qu'il y aura une pause après 4 % de sang.
- Merci pour vos aperçus, Robert Both.
- Je vous en prie, Greg.
- Robert Both de valeurs mobilières TD Faites toujours vos propres recherches avant prendre des décisions de placement. Si nous n'avons pas eu le temps de répondre à vos questions aujourd'hui, nous nous efforcerons de les inclure dans les prochaines émissions. Demain, Jeff Evans de Gestion de Placements TD répondra à vos questions sur les valeurs immobilières et d'infrastructures.
Vous pouvez nous les poser en tout temps par courriel, moneytalklivetd.com.
À demain!
Nos invités commentent l'actualité des marchés et répondent à vos questions sur les placements.
aujourd'hui, nous évoquons avec Robert Both le rapport sur l'inflation canadienne publiée aujourd'hui.
Il ouvre la voie nouvelle baisse des taux d'intérêt en septembre. Nicole Ewing de Gestion de Patrimoine TD nous renseigne sur les changements proposés aux règles de la fiducie simple.
Nous poursuivons la découverte de CourtierWeb. Hiren Amin nous montre les différents outils graphiques.
Posez-nous vos questions par courriel, moneytalklivetd.com ou dans la boîte de questions au bas de votre écran.
Mais d'abord, un coup d'œil sur les marchés.
Une pause dans la remontée des bourses de Toronto et de New York.
97 points de base à Toronto, moins d'un demi pour cent. Le brut de référence américain 74 $ le baril se maintient aujourd'hui.
Après une baisse considérable pendant les dernières sessions.
Ce qui se répercute sur les grands titres de l'énergie. Prenons pour exemple Cenovus à 25,67 $, l'action recule de trois et demis pour cent.
Des progrès semblent en cours dans les pourparlers de paix au Moyen-Orient. En revanche, il y a une sous-demande en Asie ce qui pèse sur le cours du pétrole. Le cours de l'or progresse. Le dollar américain atteint son niveau le plus bas depuis sept mois.
L'or progresse légèrement, mais il y a un peu de vert à l'écran, une journée de baisse à 13,22 $, action progresse de trois et demis pour cent.
Aux États-Unis, il y a une nette remontée après le recul d'il y a deux semaines et un jour. C'était notre lundi férié.
Lorsque les marchés américains ont nettement baissé. Il y a de remontée depuis lors, indice S&P 500 recule de six points, soit 1/10 de pour cent.
L'indice Nasdaq à forte composante technologique en baisse de 56 points, soit un tiers de pour cent, un peu plus que l'ensemble du marché. Il y a un secteur où on constate une hausse Palo Alto Networks annonce ses bénéfices. Nous y reviendrons.
Les milieux financiers sont relatifs à 372,14 $ l'action progresse de huit et demis pour cent.
L'inflation canadienne est tombée à deux et demis pour cent en juillet. Atteignant son niveau de son plus bas depuis plus de trois ans. Cela ouvrira-t-il la porte à une nouvelle baisse des taux par la banque Canada en septembre? Robert Both de Gestion de Patrimoine TD nous rejoint pour en discuter.
- Bonjour, Greg. Ça me fait plaisir d'être à nouveau sur votre plateau.
- Deux et demis pour cent, on se rapproche de: les marchés semblent satisfaits de ce rapport.
Passons en revue le rapport sur l'inflation.
La tendance était à la baisse.
- Oui, comme vous l'avez dit au début, l'IPC global était conforme aux prévisions, conforme aux prévisions des marchés et aux autres.
Les détails étaient un peu moins porteurs que prévu. Je fais allusion au fait que les mesures privilégiées de l'inflation de base pour la Banque du Canada se sont établies à 2,5 % en moyenne.
L'une étend à 2,4 et l'autre à 2,7.
Mais c'est 1/10 de pour cent de moins que les marchés ne l'avaient prévu. Cela signifie que le taux d'inflation de base sur trois mois ce qui privilégie la Banque du Canada comme repère de la tendance inflationniste, semble avoir un peu reculé dans un plus grande mesure que nous avions prévue. Globalement, c'est très positif.
Qu'est-ce qui a permis de réaliser cette amélioration depuis le mois dernier? Il s'agit de nombreux éléments cycliques dont on s'attendrait à ce qu'il soit davantage sous pression, les éléments discrétionnaires comme les véhicules à moteur, les hôtels, les billets d'avion, les gros appareils électroménagers. Ce sont des secteurs dont on s'attendrait à ce qu'il fasse pression sous une place inflationniste. C'est ce qui fait reculer l'inflation sur 12 mois cela doit être davantage confiance à la Banque du Canada que le progresse dans le cycle des 2 %.
Quand on a parlé de l'inflation globale, quand on réduit les coûts de logement, on n'en étend descendu à 1,2 %. C'était un des éléments de la Banque du Canada sur lequel la Banque du Canada a souvent été interrogé. On lui demande si cela est important pour elle. L'inflation hors logement était à 1,2 %.
1,3 le mois dernier. Un gros changement.
Mais les coûts de logement eux aussi commencent à évoluer dans la bonne direction. Si vous considérez l'indice global, il a progressé davantage que celui hors logement.
Il s'agit d'éléments qui montrent que l'augmentation des loyers ralentis, les coûts hypothécaires également, tandis que l'écart entre logement et tous les autres composants se rétrécit. Ce ragoût va-t-il parvenir à 2,5 et de redescendre à 2,0.
La Banque du Canada scrute certainement ce rapport. Dans deux semaines ou trois semaines, au début septembre, une annonce sera faite. Qu'est-ce que cela signifie pour la Banque du Canada pressée de coupe de tout cet été, on s'est demandé s'il y en aurait ou non en septembre. Est-ce que cela change la donne?
- La banque va scruter dans ce rapport les signes avant-coureurs de progrès en ce qui concerne les prix du logement.
Elle va scruter les résultats plus modestes en ce qui concerne les indicateurs d'inflation de base privilégiée par la banque.
Ces deux facteurs vont lui permet de tirer les conclusions quant à l'inquiétude en matière de persistance de l'inflation.
En ce qui concerne le logement et les services de base. Une inquiétude à l'idée que ces deux secteurs pourraient entretenir une inflation plus élevée jusqu'à l'an prochain. Ces inquiétudes pourraient commencer à refluer.
Les marchés avaient déjà prévu une réduction de 25 points de base en septembre. On attendait pas des éléments de preuve.
Et des données probantes, mais cela va je pense achever de convaincre la banque. De cette trajectoire est toujours valable.
Nous pensons que ce rapport va donner à la banque le feu vert pour étioler taux encore 1 × 70.
- Si la nouvelle réduction septembre, il y aura eu trois réductions de taux, déjà accompli, que prévoit-on pour le reste de l'année?
- Nous prévoyons de réduction de taux en septembre, puis une réduction en octobre, soit quatre de suite pour cent points de base réductions. Nous pensons toujours qu'il y aura une hausse cette année.
Nous prévoyons que cette pause intervienne en décembre, dans le cycle antérieur la prévoyait en septembre. Nous pensons que même avec les progrès que nous avons constatés dans le rapport sur l'IPC paru aujourd'hui, les arguments en faveur d'une nouvelle réduction de taux ne sont pas nécessairement aussi invincibles que les marchés ne l'envisagent.
On peut considérer que la croissance des salaires demeure assez élever.
Ou quelque peu élevé. Il y a certains sites secteurs de la corbeille des services sont toujours sous pression.
Les attentes en matière d'inflation ont été quelque peu mitigées depuis quelques trimestres également. La Banque du Canada semble accorder beaucoup plus de poids à la capacité excédentaire sur le marché du travail.
Cela devrait permettre d'aborder les pressions sous-jacentes persistantes qui s'exercent sur les prix. Mais globalement, l'objectif de 2 % est désormais visible.
Nous avons franchi une nouvelle étape aujourd'hui nous et nous pensons que cela va étayer la possibilité pour la banque de réduire les taux en septembre et en octobre.
- Je n'avais pas parlé d'anxiété, mais est-ce qu'il y a des inquiétudes persistantes quant à la Banque du Canada et sa crainte de se tromper?
Vous avait parlé une réduction septembre et octobre. Lorsque l'inflation commencée par les banques centrales était dans une période transitoire, ensuite se sont efforcés de la réduire. Est-ce que vous pensez que inquiétudes de la banque à l'égard de la possibilité de faire une erreur s'estompent?
- Je pense que l'étude de la banque change d'objet.
Elle est réorientée, si vous voulez. Quand il a eu ses deux premiers réductions de taux, de cinq à 4,7, et 4,5, il n'était pas encore certain que la banque continuera de réduire les taux jusqu'à ce que nous parlions parvenions un ton neutre. Il y eut des périodes prenants pendant lesquelles les pressions inflationnistes se sont manifestées très nettement.
L'inflation de base a augmenté nettement depuis le mois de mars jusqu'au mois de mai.
Alors, même alors que la première réduction de taux a été pratiquée par la Banque du Canada, on pouvait encore se demander s'il n'existait aucun risque que la banque serait obligée de rehausser les taux une nouvelle fois.
Toute possibilité de relance de l'inflation à partir d'ici prend un certain moment, la délibération de la banque pour l'avenir. Cette délibération porte vraisemblablement être reportée jusqu'en 2025.
Et porteront sur la possibilité ou l'opportunité de nous arrêter à un tournoi. Ainsi la banque envisageait de franchir le seuil de la neutralité si l'inflation semble en bonne voie de celle-ci située en deçà du seuil de 2 %, ce qui n'est pas notre scénario de base. - Vous parlez du retour au ton neutre. Il n'est plus question d'enrayer l'économie pour juguler l'inflation, n'est pas non plus question de relancer une croissance trop lente. Où se situe le tourneur?
- La banque considère que le tourneur été 2,75 %. Envisagions 2025 ou 2026 à l'heure actuelle, les marchés envisagent un certain risque que l'on décembre deçà du niveau neutre.
À la fin de la série de réduction de taux, selon les marchés, sera de deux et demis pour cent. Nous pensons que le ton neutre serait de 3 %. La banque rehausse son ton neutre de 2,75 %. En mai dernier. Nous pensons que le roi haussera à 3 %. On ne peut pas observer de ton neutre. Nous serons que nous y sommes foies que nous y parviendrons. Il faut que nous serons à destination, nous nous dirons: tiens, nous sommes arrivés.
- Excellent début d'émission! Robert Both répondre à vos questions dans quelques instants. Vous pouvez lui poser en tout temps par courriel, moneytalklivetd.com.
Ou dans la boîte de questions au bas de votre écran.
Plus tard dans l'émission, Nicole Ewing de Gestion de Patrimoine TD nous renseignera sur les changements proposés aux règles relatives aux fiducies cinq.
Mais d'abord un coup d'œil sur l'actualité du monde des affaires et sur l'évolution des marchés.
Lowe's revoit à la baisse ses prévisions de vente pour l'exercice car les consommateurs prudents remettent à plus tard les travaux de rénovation de leur domicile.
Bien que l'on se dépassait les prévisions dernier trimestre les ventes ont été plus faibles que prévu. L'avertissement de Lowe's fait suite à celui de Home Dépôt aux investisseurs la semaine dernière sur lequel l'entreprise s'attend à un second semestre plus faible.
Les gens ne sont plus aussi certains qu'il convient de rénover la salle de bain ou leur cuisine compte tenu de l'incertitude économique. L'action recule un peu plus de 20 %. Encore des difficultés pour Boeing aujourd'hui. Le constructeur a interrompu les accès de son action 777X après avoir découvert des problèmes sur un composant.
L'avion devrait inédit il est initialement mis en service en 2021. Boeing est confronté à sa qualité, après l'éclatement d'une porte en plein vol de 737 Max au début de l'année.
Après cette annonce, l'action de Boeing recule de quatre et demis pour cent. Les actions de Palo Alto Networks nous en avions déjà parlé sont en vedette aujourd'hui. Il progresse de plus de 9 %.
L'entreprise cybersécurité a dépassé les attentes pour le dernier trimestre, et à des bénéfices solides.
Grâce à des produits de cybersécurité que je ne sais pas de ce que vous en pensez mais dernièrement, je reçois constamment des SMS sur mon téléphone qui manifestement sont des arnaques. C'est sans doute une des raisons pour laquelle la demande de produits de cybersécurité augmente. À présent l'actualité du monde des affaires et un coup d'oeil sur les marchés.
L'indice TSX composite marque une pause dans la remontée des deux dernières sessions.
L'industrie que le 98 ; soit un peu plus de demis pour cent.
Le S&P 500 marquait également une pause après la forte remontée qui a suivi la nette baisse il y a deux semaines.
L'action ou l'indice recule cinq ; soit un peu moins de dixièmes de pour cent.
Robert Both réponse à vos questions sur l'économie et les taux d'intérêt. La divergence, c'est un thème actuel, il y a deux coupures pratiquées sur la Banque du Canada alors que la Fed n'a pas encore agi. Vous attendez-vous à une plus grande divergence?
- La divergence est un terme factuel.
Depuis le début de l'été, goûter moi en avons parlé depuis plus d'une fois. Nous nous rapprochons niveau des divergences maximums entre le Canada et les États-Unis.
La Banque du Canada est actuellement à 100 points de base en deçà de la fourchette supérieure du taux de la Fed.
Après une coupure au mois de septembre, et sera 75 points de base en deçà. Ce que nous n'avons pas vu, une telle divergence parmi la la crise financière. Période prolongée des divergences extrêmes les plus vraisemblables à cause de la situation de l'économie américaine.
Progrès dans la lutte contre l'inflation, signe de difficultés sur les marchés, sur le marché du travail.
Contenu du double mandat de la Fed, cette dernière a pu avoir suffisamment confiance pour laisser entrevoir un cycle de réduction de taux plus énergique aux États-Unis. Nous pensons que la divergence va atteindre un pic après la décision de septembre sur de la Banque du Canada, et la Fed vont être séparée par 125 points de base pour le reste de l'année avant que nous la convergence n'aurait ne reprenne ses droits débuts 2025 potentiel cette baisse du marché boursier, il y a deux semaines, c'était très net, marchés boursiers américains ont remonté, il y avait des spécialistes qui affirmaient que la Fed devrait réduire les taux de 50 points de base à l'automne. Les données depuis lors ont réduit ses attentes, mais Jérôme Powell va intervenir à Jackson Hole. Au Canada, on dit qu'elle était prend fin quand l'exposition de taux commence. Pour les milieux financiers, l'été tire à sa fin quand le colloque de Jackson Hole commence.
- Oui. Tous les banquiers vont sortir leur veston de tweed: ce sera la dernière possibilité pour le président Jérôme Powell d'évoquer la possibilité d'une réduction de 50 points de base.
La conférence Jackson Hole est typiquement plus aride, il y a beaucoup d'universitaires, elle consiste en causerie et analyse très approfondie du sujet, mais il y a eu parfois des déclarations faites par la Fed à Jackson Hole dans le passé, ce qui engendre des attentes quant à la possibilité que Jérôme Powell pourrait utiliser cette façon pour changer son message une autre marché seront déçus. La fête compte comme les autres banques centrales souhaitent avant tout ménagez toutes les possibilités.
Ménager l'avenir.
Quant à la décision de la Fed en septembre, davantage de données paraîtront sur la masse salariale, sur l'inflation des coûts de consommation personnelle, la fille ne voudra pas se lier les mains.
Nous pensons que le propos de la banque demeurera ambiguë et demeure ambiguë quiconque contentant un signal de bien-être quant à une réduction de 50 points de base sera déçue.
- Une question qui vient de nous arriver: réductions du taux Canada sont presque certaines. Pourquoi le dollar canadien tu remontais depuis toujours? Qu'arrive-t-il à notre monnaie?
- Toute discussion du dollar canadien est étroitement reliée à la divergence au autour de dollars canadiens de dollars américains. Même si nous prévoyons de plus en plus de réduction de taux, que les marchés financiers pour être précis prévoient de plus en plus de réduction de taux Canada, ça se produit également de l'autre côté de la frontière.
Les marchés envisagent des cycles de réduction de taux plus énergique aux États-Unis, cela offre un certain soutien en dollars canadiens à la marche.
Le dollar canadien a reculé par rapport à certaines autres monnaies du G7. Il y a donc eu cette pression sur les taux de change du génie 10. Nous prévoyons dans l'avenir une faiblesse un peu plus marquée. Les marchés prévoient toujours une réduction d'un taux, si la Fed ne répond pas ce pronostic, il y aura une certaine remontée du dollar américain.
Nous nous rapprochons de l'élection américaine en novembre, l'incertitude, surtout pendant la période de transition, s'il y a une quelconque ambiguïté à l'égard du résultat de l'élection, cela pourrait également engendrer une fuite vers les valeurs sûres. Nous pensons que le dollar canadien à son niveau actuel est assez proche à sa juste valeur, nous pensons qu'il y aura un recul supplémentaire d'ici la fin de l'année.
Nous prévoyons que de dollar canadien va toucher le fond à 71 sens américains. Il est actuellement, ce creux à la lumière de l'assouplissement qui a eu lieu aux États-Unis paraît peu probable mais nous pensons qu'il y ait un risque d'abaissement.
- Que l'on parle du dollar canadien du dollard américain et le lien entre le taux de change des banques centrales, lorsque la divergence était un thème plus actuel, on se demanderait vers quelle mesure la Banque du Canada tolérerait une certaine faiblesse du dollar canadien. Ce que nous avons tourné la page source…?
- Oui. Nous avons tourné la page sur ce propos. Il s'agit d'une question qui est plus important pour la Banque du Canada, lorsque des rideaux de l'inflation.
C'était le cas il y a trois ou quatre mois, l'inflation globale était toujours proche de 3 %.
Mais le risque d'une persistance, risque de hausse devait être une plus grande important dans la délibération de la banque. À présent que davantage de progrès ont été longtemps accomplis dans la lutte contre l'inflation et surtout depuis que nous avons vu davantage d'indices montrant une dégradation du marché du travail, davantage d'assouplissement, Mollissement du marché du travail, la Banque du Canada voit ses inquiétudes apaisées, n'a pas à s'inquiéter d'une dépréciation dollar canadien autant qu'elle aurait été il y a deux ou trois mois.
Merci de notre histoire avons envoyé cette question. Fait toujours vos propres recherches de conditions de placement.
Robert Both répond à vos questions sur les taux d'intérêt l'économie dans quelques instants. Rappelez-vous que Nicole Ewing de Gestion de Patrimoine TD va nous faire le point sur les changements aux règles qui s'appliquent aux fiducies simples.
Mais d'abord, poursuivons la découverte de CourtierWeb.
Aujourd'hui que nous jetons un coup d'œil à la plateforme avancée conçue pour les négociateurs actifs proposés par Placements directs TD. Hiren Amin formateur principal à Placements directs TD nous rejoint. Irène, nous allons nous montrer quelques-uns des outils graphiques disponibles.
- Oui, Greg. Ça me fait plaisir de passer à votre émission.
Il s'agit d'aider les outils graphiques que propose la plateforme avancée. Alors sur la plateforme je vais vous montrer comment il est possible de la personnaliser.
Surtout ceux d'entre nous qui avons des aptitudes techniques ou qui souhaitent suivre les indicateurs techniques de recherche. Voici l'indice qui suit indice S&P 500. Affichons le graphique. En pleine page. Commençons dans le cadre temporel.
C'est très important pour la plupart des techniciens. Il s'agit d'établir la marche temporelle correctement. Vous trouverez un menu présélectionné de différentes périodes. Nous sommes à cinq minutes, admettons que je voudrais passer aux graphie quotidiens, le voici.
Essentiellement, comprimant ceci un peu.
Et élargissez sont.
Et l'indice, plutôt le fond SPY a certainement évolué. Ce graphique remonte au début de l'année. Une fois que vous établissez votre cadre temporel, vous pouvez l'ajuster en fonction de la mise à l'échelle. Vous pouvez vous rendre aux commandes qui vous permettront de comprimer ou d'élargir. Vous verrez que les bougies s'ajustent les mêmes choses au bas.
Là où se trouve la date et le moi, on étire le graphique à moins de mieux en visualiser la représentation. Les menus d'accès rapide pour la sélection du cadre temporel. Vous pouvez choisir la période qui vous intéresse. Mettons nous voulons remonter en arrière de six mois.
Qui se répercute sur les graphiques à bougie.
Il y a également d'autres styles de graphiques.
Ici, nous utilisons un graphique à bougie.
Il est possible encore une fois d'afficher le menu des différents graphiques. Il y a certains sont plus exotiques.
Le (...), le (...) court, il y a également certains outils qui sont plus souvent utilisés par les négociateurs vous pouvaient organiser cela sur la plateforme.
Pour achever la personnalisation, voici les indicateurs. C'est peut-être les plus importants. Revenons graphiques à bougie.
Voici la liste des indicateurs. Il est plus 200 indicateurs entre lesquels vous pouvez choisir.
Il y a 50 outils de dessin que je vais vous montrer. Admettons que je vais ajouter une moyenne mobile. C'est l'un des indicateurs les plus courants.
Utilisé par un négociateur. Vous voyez qu'il y en a de toutes sortes. Nous allons ajouter, si vous voulez le faire plusieurs fois vous cliquaient une deuxième fois.
Cela va s'afficher dans la barre de légende. Je peux ajuster le style en cliquant sur l'engrenage, en choisissant une différente couleur. Mettons que nous voulons que cet éducateur soit jaune, on va changer le cadre temporel à 50 jours que moyenne mobile. Voilà.
Et puis nous allons choisir la couleur, admettons que c'est indicateurs seront rouges, nous allons changer ce paramètre en moyenne mobile sur 200 jours.
C'est plutôt le cadre temporel de J sélectionné. Vous avez ces deux moyenne mobile qui sont reportés. Un des outils amusants que je vais vous montrer: si nous allons, il est possible de pronostiquer différents cours. Alors je vais prolonger mon cadre temporel admettons à une semaine.
À présent, on va revenir au cadre temporel. Admettons que je veux mesurer le cours. Il est possible de le faire.
Cliquons sur fourchette de cours.
Quelle a été la différence entre ce creux et cette crête?
156 points de base dévolution du fond SPY ce qui représentait un bond considérable de prix. Il y a des outils qui permet de sauvegarder tout cela. Si vous analysez des titres comme la plupart des négociateurs, nous avons nos titres préférés. Vous pouvez cliquer sur le gabarit indicateur, et cliquez sur sauvegarder le modèle. Mettons que nous bâtissons celui-ci (---), vous pouvez choisir le graphique rappelle le symbole, et même l'indicateur. Chaque fois que vous voulez revoir ce que vous avez fait, vous pouvez le voir dans les modèles qui les sauvegardaient vous pouvaient l'afficher vous. Voilà comment réaliser des personnalisations de base.
- Beaucoup d'outils très utiles pour faire des recherches.
Que dire d'un investisseur qui souhaite négocier après avoir recueilli des informations? Peut-on négocier partir de la plateforme?
- Oui tout à fait. C'est un des avantages de la plateforme. Il n'est pas nécessaire de quitter le graphique, on peut tout faire à partir de cela. Il y a deux façons de réaliser des opérations partir du graphique.
Vous voyez que j'ai mon collimateur qui est assorti d'un signe de plus. Je clique sur C + et je peux déterminer ma cible.
Disons que je vais acheter le spa est à 500 ; je peux cliquer dire: achat.
Cela va ouvrir le ticket d'ordre flottant je vais saisir mes paramètres et donner l'ordre. Il est également possible, vous avez des boutons achats et ventes, admettons que nous allons acheter, rien ne s'affiche, mais le collimateur change.
C'est peut-être un peu difficile à voir mais il devient faire, ce qui nous permet de cibler le cours avec précision.
Admettons que nous en sommes à 506,1 seul clic et une nouvelle fois, le ticket s'ouvre. Deux façons de passer un ordre cartographique.
- Merci, Hiren.
- Je vous en prie.
- Hiren Amin est formateur principal à Placements directs TD. Pour trouver davantage de ressources éducatives, visiter le centre d'apprentissage de CourtierWeb ou balayer ce code QR pour vous rendre à la page Instagram de Placements directs TD vous trouverez encore plus de vidéos informatifs.
Un spectateur remarqué, merci de l'avoir remarqué, ce qui est arrivé l'émission d'hier. Malheureusement il y a eu des problèmes techniques qui nous ont apprécié de diffuser l'émission. Si vous souhaitez assister notre entretien avec Emin Baghramyan de Gestion de Placements TD, nous parlions de placement à faible volatilité. Cet entretien a été enregistré même si nous n'avons pas pu le diffuser.
Vous pouvez vous rendre sur CourtierWeb et le trouver sur notre site sur le titre. Le moment est-il venu d'envisager les investissements en faible volatilité?
Cliquez sur ce lien et vous assisterez à l'entretien avec Emin Baghramyan. Robert Both répondre à vos questions sur l'économie les taux d'intérêt. Quel est l'impact des élections américaines?
- Le congrès national démocrate est en cours.
On parle beaucoup de politique américaine cette semaine, mais pour nous, nous nous concentrons toujours sur les sondages sur les programmes.
Alors que les candidats sont connus, ils vont commencer envisager ce qui est sur la table pour le mois de novembre.
Les deux questions les plus importantes pour les marchés pour l'économie canadienne sont la politique budgétaire et la politique commerce international.
Au niveau budgétaire, les deux candidats ont montré qu'il pourrait être éventuellement disponible à avoir des déficits plus élevés.
Donc le risque serait qu'il faille augmenter l'émission d'obligations.
Pour financer ses déficits. Nous surveillons cela de près. En ce qui concerne commerce international, la situation serait très différente selon que l'un ou l'autre candidat ne l'emporte.
Dans une administration Harris, le statu quo serait maintenu. Cela ne signifie pas qu'il n'y aura pas de conflit entre le Canada et les États-Unis, il y en a eu en ce moment au sujet du bois d'œuvre de feuillus, mais avec le retour d'une administration Trump, le risque devient beaucoup plus important.
Compte tenu que la nouvelle administration doit renouveler l'Alena d'ici le juillet 2026, nous disposerons d'un temps limité pour évoquer les différences entre la politique commerciale des États-Unis. Ces discussions auront une plus grande importance au fur et à mesure que cette date limite se rapproche.
- Quand on parle des dépenses budgétaires, le statu quo sera peut-être maintenu avec une administration Harris. Le candidat à Trump ne semble pas disposé à réduire les dépenses. Quels que soit les conséquences, ce sera compliqué.
- On va sans doute beaucoup plus parler de durabilité budgétaire d'ici quatre ans.
Ces questions ont déjà été soulevées, au Royaume-Uni pendant l'administration de (---), marchés financiers ont répondu très durement à certaines projections budgétaires. Ce qui a accéléré le changement de gouvernement.
Je pense qu'en ce qui concerne les États-Unis, il y a beaucoup plus de soutien institutionnel il est très difficile de trouver une autre monnaie de réserve pour les marchés globaux.
Toute discussion va exiger une évolution rapide à court terme avant qu'il y ait un déraillement. Je pense que ce n'est pas indispensable à ce stade mais ces discussions vont prend de plus en plus d'ampleur et de volume au cours des quatre prochaines années, compte tenu des propositions de dépenses sociales plus importantes ou de réduction d'impôt plus importante. Il faut que celle-ci soit compensée par des hausses d'impôts.
- A présenté la question suivante, je suppose qu'il s'agit du Canada. Quel est l'état du marché du logement?
- Le marché du logement a vécu un été assez tranquille, il y a eu un départ très rapide au mois de juin. En hausse de 2,6 %. Il y a eu recul au mois de juillet les prix n'ont pas beaucoup augmenté depuis deux mois.
Avec la réduction des taux Parlement du Canada, alors que le marché avait envisagé que les taux soient réduits largement avant le mois de juin. L'éventualité n'ont pas été aussi prometteuse que nous ne l'avions prévu. Nous attendons de voir comment les réductions de taux des banques centrales seront traitées par les marchés hypothécaires.
Le rendement des obligations à cinq ans augmentés de 60 points de base.
Depuis le mois de juin.
Il y aura une amélioration encore plus poussée au deuxième semestre avec une réduction de taux, ce qui devrait améliorer l'abordabilité.
Et on peut l'espérer, étayer une augmentation des ventes. Globalement, ce sera plus en 2025 que l'on peut envisager une relance plus poussée. Nos collègues de service économique TD prévoient que les ventes de logements existants augmentent de 4,2 % pour l'ensemble de 2024.
Et les économistes envisagent des gains à deux chiffres beaucoup plus importants 2025. Ce sera peut-être en 2025 que nous reviendrons un marché plus équilibré, ce qui fera subir une certaine pression à la hausse sur les prix.
- Quand il s'agit de soutenir la demande sur le marché du logement, il y a une forte décroissance démographique, et il y eut récemment le programme des permis de travail pour les étudiants, le programme des travailleurs agricoles. Qu'est-ce que cela fera pour le marché du logement s'il y a des mesures prises au niveau de l'immigration?
- Oui. Ça c'est le taux cœur pas seulement pour le marché du logement mais pour l'économie du Canada en 2025 2026 et au-delà. Alors actuel, il y a 2,8 millions de résidents non permanents au Canada.
La cible du gouvernement, ce qui représente 6,8 % de la population. Le gouvernement voudrait en revenir à 5 %, c'est-à-dire zéro. Nous sommes presque six mois du début de ce processus. N'a pas encore eu beaucoup de détails publiés.
Les détails seront publiés alors que l'automne, c'est une période assez courte pour mettre ces politiques en vigueur.
Pour parvenir à la cible du gouvernement, il faudrait qu'il y ait une réduction du nombre de 300 000 résidents permanents chaque année, nous en absorbons que 500 000 résidents permanents.
Essentiellement il s'agit le scénario ou la population, la croissance démographique ralentit considérablement et cela aura des effets sur les répercussions sur le logement, cela va engendrer une nette baisse de la demande totalement l'économie cela pourrait engendrer un choc.
Une situation une éventuelle émigration engendrerait des pénuries de compétences dans certaines industries. Il s'agit d'un risque important. Pour les perspectives à court terme, tandis que nous abordons 2025. Une provision davantage de détails en l'automne mais la Banque du Canada n'a pas nécessairement ces détails. Ce dernier rapport de politique monétaire a exprimé un certain scepticisme quant aux cibles du gouvernement.
Lequel ne les utilise pas l'interne.
Il est possible que ces cibles ne soient assoupies à l'automne. Robert Both répondre à vos questions sur l'économie les taux d'intérêt dans quelques instants.
Faites toujours vos propres recherches avant de prendre des décisions de placement. je vous rappelle comment nous poser vos questions.
Avez-vous une question sur les placements ou encore sur les marchés? Vous pouvez nous la poser, en tout temps, soit par courriel, moneytalklivetd.com soit dans la boîte de questions au bas de votre écran.
Il suffit de cliquer sur envoyer. Nos invités pourraient vous répondre en direct.
les gens qui détiennent des comptes peuvent respirer un peu après les changements ont été proposés aux règles relatives aux fiducies simples. Nicole Ewing de gestion de patrimoine TD nous rejoint pour étudier les changements.
On a peut-être vu les manchettes, par exemple il y a beaucoup de choses qui se passent. N'est-ce pas?
- Oui.
Il y a une prolongation de l'exemption de l'obligation de produire une déclaration pour les fiducies simples en 2024. 2023 étaient exemptés, 2024 est exempté. Il y a également des changements règle plus générales sont applicables à la niche fiscale 2025 et au-delà.
Il y a eu un changement de la définition de ce qu'est une fiducie réputée. Cela inclut une fiducie expresse. Y compris une situation une personne est inscrite sur le titre de propriété.
Bénéficiaire légale. Le propriétaire légal agit essentiellement comme agent pour cette personne.
Il y aura des fiducies simples qui seront visées par la règle. À présent il y a une exception de 150 000 $.
Des liquidités d'autres types d'investissement. S'il y a des CPG par exemple c'est exemption de 50 000 $ ne s'appliquerait pas. Cela est élargi tant que le type d'actifs dans l'avenir, il y a une limite de 250 000 $.
En deçà de laquelle il n'est pas nécessaire de produire une déclaration.
250 000 $, y compris un CPG propriété pour usage exclusif.
S'il y a des fiduciaires apparentes au bénéficiaire, n'est pas nécessaire de produire une déclaration. Dans l'avenir.
Après 2025.
Il y a une autre exemption pour 250 000 $, si tout est en liquidités, n'est pas nécessaire de le déclarer. Ça s'applique plutôt en fiducie et un avocat.
- Au printemps, dans nos entretiens que nous avions eus, iranien beaucoup de confusion sur les règles sur les fiducies simples les conséquences dans la vraie vie.
On songe aux parents qui vieillissent et aux personnes qui ont peut-être un compte conjoint, des propriétaires de logements et de jeunes enfants. Qu'est-ce que cela signifie pour ces personnes?
- C'est une excellente nouvelle.
Essentiellement, la définition est beaucoup plus limitée. Les circonstances dans lesquelles il y a une obligation de production de déclaration.
Si l'on dépasse la limite de 250 000 $ et qu'il y a un compte conjoint entre parents et enfants, il n'y a pas d'obligation de déclaration. C'est tout. Pour l'année avec en 2025, à partir du 31 décembre 2025 et au-delà, il y aura également une diminution des arrangements attaque en tant que résidence principale. Autrement dit, si un parent est inscrit au titre de propriété d'un enfant ou vice versa, du moment que les personnes sont apparentées et lesquels le bien est admissible à titre de résidence principale il n'est pas nécessaire de produire déclaration pour ces situations.
Et ça, c'est 2025 et au-delà.
- De 2025 dans cet entretien. Le printemps prochain. Je vais changer comme beaucoup de Canadiens l'année fiscale 2024. Le printemps après, on va rétrospectivement étudier 2025.
Il faut toujours déterminer s'il y a une obligation de production, il y a des obligations de production pour les fiducies et les fiducies cinq. Si vous ne vous situez pendant ses exemptions, vous avez une obligation de produire pour 2026 visite envisager la production pour 2025 déterminer si vous avez oui ou non une obligation. Ça c'est très intrigant.
Beaucoup de gens avaient beaucoup de questions à ce sujet. Vous avez répondu à plusieurs d'entre elles. Il s'agit de projets de loi de changement proposé, la situation de chacun peut-être unique.
Il s'agit de consulter un professionnel. - Oui. C'est très complexe. C'est un projet de loi très complexe que les gens ordinaires ne sont pas vraiment bien outillés pour déchiffrer.
Il y a des clarifications il y aura toujours des situations où vous avez besoin des conseils de professionnels, surtout lorsqu'il y a d'autres questions.
Pas seulement question fiscale une question de droit familial et de droit successoral, de droit des biens, ce que vous détenez des biens au nom de plusieurs personnes qu'il est très important d'obtenir les conseils de professionnels.
- Merci pour ce conseil. - Je vous en prie.
- Nicole Ewing de Gestion de Patrimoine TD.
À présent, le coût de ce marché. Nous revoici sur la plateforme avancée, la carte thermique permet de visualiser l'évolution du marché. Les voici les 10 TSX 60 en fonction du cours de volume. Il y a une pause dans la remontée des bourses canadiennes et américaines. Un acte recul dans le cours du brut de référence américaine quelques jours. Il y a de fortes enjeux, certain optimisme quant aux pourparlers de paix pilotées par les États-Unis et le Moyen-Orient. Les inquiétudes quant à la demande en Asie.
Cenovus recule 3 %, CNP et encore de plus de 2 %.
L'autre se maintient bien au-delà de 2500 $ l'once, ce qui profite à titre comme barrique qui est en hausse de plus de 1 %.
Aux États-Unis, un êtres bons après la baisse d'il y a deux semaines dans la bourse de New York. Une pause aujourd'hui certains types de technologies comme NVIDIA et Intel reprennent du terrain.
Et certaines banques et grandes questions financières sont en baisse. Comme la bourse de New York.
Robert Both répond à vos questions sur l'économie et les taux d'intérêt.
Devons-nous nous inquiéter d'une récession? Et le Canada en connaîtra-t-il une avant les États-Unis?
- Je m'attendrais à ce que l'on demandera davantage d'observations quant aux risques d'une récession. Je suis convaincu que nous ne sommes pas en récession aujourd'hui.
Les données du PIB du deuxième trimestre vont paraître cette semaine. Nous pensons qu'on va montrer une croissance indivise individualisée de 2 % après le chef de 1,7 % de taux de croissance au premier trimestre cette année. Quant à la définition technique d'une récession, nous en sommes très loin.
Toutefois, nous avons fort heureusement évité l'an dernier une récession. Il y a eu pratiquement pas de croissance du PIB au troisième ni au quatrième trimestre. Si vous considérez expansion du marché du travail, vous voyez davantage d'éléments permettant de conclure qu'il y a un excédent d'offre. Même si le taux de chômage n'a pas été plus élevé, au mois de juillet, il était toujours à 6,4 %, il y a une baisse compensatoire du taux de participation à la population active. Si vous considérez l'apport des Canadiens qui ont un emploi, ces chefs dérivent à la baisse depuis quelque temps. Les secteurs les plus vulnérables du marché du travail, les travailleurs plus jeunes, les immigrants récents, les minorités, tous ces groupes subissent une pression beaucoup plus forte. Le taux de chômage des jeunes a nettement progressé au mois de juillet s'établit à 14 %.
Donc il y a ce recul des marchés du travail. Lorsqu'il s'agit de répondre à la définition technique, nous ne sommes certainement pas là. Et je crois que la Banque du Canada recherche une croissance d'environ 2,8 %.
Elle semble convaincue que nous n'en trompons récession. Nous pensons que la croissance pourrait plus lente au deuxième semestre mais nous ne prévoyons pas que nous entrerons récession.
- Nous n'avons plus de temps de vous poser des questions, mais avant de nous séparer, revenons à notre premier entretien.
Le mois de septembre est très loin, la prochaine décision et dans deux semaines et un jour. Nous prévoyons que la Banque du Canada va réduire les taux encore une fois de 25 points de base. Nous avions envisagé jusqu'à la parution de l'IPC ce matin, une pause. Nous pensions que la banque allait réduire les taux par paire de réductions.
Si vous écoutez le discours tenu par la banque depuis quelques semaines, si vous considérez ce qui se passe sur le marché du travail, les progrès que nous avons accomplis dans l'IPC, cela montre qu'il est un peu moins urgent de marquer une pause entre les réductions.
La banque commence à accorder davantage d'importance au risque de baisse.
L'inflation de base continue de dériver à la baisse.
Il y a de nouveaux creux dans l'inflation globale.
Je crois qu'il y a davantage de volonté de mettre de côté les indicateurs des attentes inflation à court terme et la croissance des salaires est ainsi dans une position plus énergique. Nous ne pensons pas que les réductions de taux seront mis sur pilote automatique. On aura peut-être encore 2000 nous pensons qu'il y aura une pause après 4 % de sang.
- Merci pour vos aperçus, Robert Both.
- Je vous en prie, Greg.
- Robert Both de valeurs mobilières TD Faites toujours vos propres recherches avant prendre des décisions de placement. Si nous n'avons pas eu le temps de répondre à vos questions aujourd'hui, nous nous efforcerons de les inclure dans les prochaines émissions. Demain, Jeff Evans de Gestion de Placements TD répondra à vos questions sur les valeurs immobilières et d'infrastructures.
Vous pouvez nous les poser en tout temps par courriel, moneytalklivetd.com.
À demain!