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(musique) - Bonjour, ici Greg Bonnell. Bienvenue à pardon argent direct, une mission de placement direct TD.
Aujourd'hui, David Sekera stratège en chef pour le marché les États-Unis de Morning star évoquent les indicateurs d'une réduction de l'inflation. Michael Craig chef de la répartition tactile de gestion d'actif Tedey commande la volatilité à venir et Michael O'Brien nous explique pourquoi les investisseurs pourront bénéficier de perspectives intéressantes après des difficultés à court terme.
Produire enfin de nous montrer comment se tenir au courant des nouvelles économies sur courtiers Web.
Tout d'abord une mise à jour sur le marché.
L'indice composite TSX est en hausse de 79.
.
Le cours du brut se raffermit. Il n'y a pas de réaction de taille au niveau des grandes compagnies d'énergie.
Mais les plus petites entreprises et le secteur minier sont en hausse. Alamos Gold est à la hausse de plus de 2 %.
(...) PowerPoint il y a deux jours a réduit son dividende 40 % d'actions dévisse de 6 % aujourd'hui.
Aux États-Unis, la saison des annonces de bénéfices commence avec les grandes banques américaines. Anthony Okolie va nous expliquer la situation dans un moment.
Il ne s'agit pas tellement du trimestre précédent, mais des pronostics pour l'économie américaine.
Légère baisse de 13.
Soit un tiers de pour cent. L'indice Nasdaq est spécialisé dans la technologie également en baisse d'un tiers de pour cent.
JP Morgan parmi les titres qui annoncent leur bénéfice.
C'est positif. 141,63 $ l'action, en hausse d'un demi pour cent.
Les bénéfices des banques américaines donnent matière à réfléchir aux investisseurs, notamment quant à la trajectoire avenir pour cette année. Anthony Okolie commente.
- Il y a eu d'excellente annonce bénéfice de deux des plus grandes banques américaines. JP Morgan comme vous l'avez dit et banques d'America qui ont tout dépensé les attentes. Revenu une des intérêts les plus élevés à cause de la hausse des taux.
Expansion des prêts au quatrième trimestre, qui a compensé certaines des baisses de revenus de banques d'investissement.
Ce qui est surtout intéressé le marché, celle l'avertissement d'une récession. Selon JP Morgan, c'est le scénario de base pour le chef de la direction de banque of America fait état de ralentissement de croissance ce qui inquiète de plus en plus investisseurs.
Si les grandes banques de Wall Street adoptent ce point de vue, elles vont sans doute pratiquer des provisions pour pertes de créances plus importants.
- Oui.
Certainement. D'ores et déjà ont commencé à pratiquer des provisions.
Elles veulent avoir suffisamment de trésorerie pour gérer les mauvaises créances. Les banques américaines vont inaugurer la saison des annonces bénéfice.
Nos banques au Canada font leurs annonces à la fin de la saison des bénéfices. Ça prendra un certain temps avant que le pancanadien annonce bénéfice.
Cette main, une conférence réunit les chefs de direction des banques.
Qui ont énoncé leur pronostic. Michael O'Brien à écouter cette réunion affirme que les portefeuilles de prêts sont en bon état.
- Oui. Comme vous l'avez dit, les banques ne sont pas tellement préoccupées pour l'instant.
Le marché de l'emploi se porte bien.
Il n'y a donc pas autant de préoccupations quant aux créances. Mais si l'économie ralentit, il se pourrait qu'il y ait une inversion sur le marché du travail, ce qui serait préoccupant, surtout pour les grandes banques.
Puisque devront accroître leurs provisions.
Le chef de la direction des grandes institutions financières ont une vue d'ensemble et c'est toujours, ce sont toujours les avis apprendre sérieux.
- Oui. Non seulement les banques mais d'autres entreprises ne sont pas optimistes à l'égard des bénéfices pour ce trimestre.
La grande question pour les investisseurs est de savoir comment les grandes sociétés vont-elles accroître leur chiffre d'affaires et leur bénéfice dans l'avenir.
Surtout dans le contexte d'une économie en ralentissement. De grandes questions pour les investisseurs. Merci, Anthony Okolie. Anthony sera de retour pour commenter les pronostics de valeurs mobilières TD au sujet du dollar américain. Cette année, les statistiques de l'inflation aux États-Unis ont paru, montrant un déclin de l'inflation aux États-Unis. David Sekera, chef stratège pour le marché américain de Morning star commande.
- Nos perspectives pour 2023 sont intitulées perturbations à court terme, sur adieu dans l'avenir.
Il y a beaucoup de volatilité pour le premier semestre.
Mais au deuxième semestre, bon nombre de facteurs négatifs qui sont exercés en 2022 devraient se dissiper ou se transformer en facteurs positifs, ce qui a été le marché entreprendre une relance une reprise de la valeur intrinsèque long terme.
- L'inflation étend la clé des statistiques montres un revenu progressif.
Il semble que la situation n'a pas changé du jour au lendemain progressivement.
- Oui. En 2022, nous avons remarqué que au début de l'année, les marchés étaient surévalués.
Nous pensons que le balancier a été trop loin dans l'autre direction que le marché sont sous-évaluées. Il y a eu quatre facteurs négatifs l'an dernier, de ces facteurs commencent à s'atténuer. La prépondérance de la hausse des taux d'intérêt à long terme est plus ou moins achevée, nous pensons que l'inflation a atteint un sommet il y a plusieurs mois et continus de baisser.
Nous prévoyons une inflation moyenne de 2,9 % pour cette année.
Nous prévoyons une inflation en deçà de 2 % l'an prochain. Les deux éléments que je surveille pour le premier semestre sur l'économie américaine de la réserve fédérale. Offrions son économie américaine que la situation quatrième trimestre 2022 était relativement satisfaisant. Le monstre économie sera quelque plus stagnante que bon récession d'ici deux trimestres, avant de recommencer accélérer au deuxième semestre. Notre réserve fédérale, je pense qu'il y aura encore une augmentation de taux avant que celle-ci ne prenne une pause. Pourquoi pensons-nous que ce grosse mais c'est plus prometteur?
C'est notamment parce que la fête de commençant à marquer une pause dans ses hausses de taux, elle pourra continue de s'intéresser à son double mandat, c'est-à-dire non seulement inflation, mais encore le développement maximum de l'économie pour parvenir au plein-emploi. Pendant la deuxième semestre avec éclat de l'inflation, avec la stagnation de l'économie pendant le premier trimestre, cela donnerait à la fête une bonne raison de basculer, changer de cœur et d'adopter une politique d'assouplissement.
C'est le grand débat en ce début d'année entre ce que la fête les autres banques centrales nous ont dit.
Il y a peut-être encore des hausses de taux nous avons donnerait un niveau élevé. Le marché obligataire ne croit rien.
On prévoit des baisses de taux moment le deuxième semestre. Ce que c'est le marché obligataire qui doit prévaloir?
- Il est difficile de ne pas tenir compte des avis de marché obligataire.
En ce qui concerne les hypothèses qui sont incorporées dans les cours. Nous pensons que trois et demis pour cent, ce sont les taux prévisibles d'ici la fin de l'année, mais nous pensons qu'il est possible que les taux d'intérêt à long terme se situent autour de deux et demis pour cent pour 2024 le marché obligataire qui a connu la pire année jamais enregistrée dans les titres à revenu fixe l'an dernier, faire face à des perspectives beaucoup plus prometteuses. Si nous pouvons parvenir au deuxième trimestre, la situation se développera et commencera à s'améliorer.
Mais quelles pourraient être les difficultés ici et là?
11 quand on songe à la volatilité?
- C'est toujours difficile à dire. Il semble que les marchés ont touché le fond en octobre dernier, aux États-Unis. Je suppose que cela devrait se maintenir, ceci étend dit, je pense que nous pourrions facilement voir des fluctuations d'un ou de 2 % dans les cours au jour le jour, en hausse de cinq, en baisse de 5 %.
C'est une fourchette de spéculation.
Les marchés seront très concentrés sur les indicateurs économiques au fur et à mesure qu'elles paraissent.
D'ici une quinzaine de jours, il y a ce sont des annonces bénéfice qui commencent.
Les investisseurs se demanderont quelles sont les orientations que devront faire les entreprises pour 2023, surtout les banques.
Selon les orientations qui seront données, y aura peut-être une réévaluation des valorisations fonction des chiffres de BPA.
Parlons-en justement.
L'argument baissier pour ce marché, c'est que nous n'avons pas vu les entreprises capituler et constater qu'il s'agit de la situation économique hausse des taux, et quelles seront les conséquences pour notre activité? Cela n'a pas encore été pris en compte.
Eh bien oui, c'est une hypothèse qui a du bon, mais il faut également se demander si on est spéculateur ou investisseur.
En fonction des données techniques du marché, il y a beaucoup de volatilité.
Il y a des spéculateurs qui cherchent à profiter au jour le jour du jour au lendemain.
Des annonces de statistiques économiques.
Investisseurs à long terme se demandent quelles sont les entreprises qui peuvent procurer un roman à long terme. Nous utilisons le modèle flux de trésorerie actualisée pour déterminer quelle est la valeur intrinsèque de l'entreprise en fonction de son flux de trésorerie à long terme.
Même lorsqu'il y a une volatilité à court terme des bénéfices, quand vous songez à l'évolution de la valeur intrinsèque de l'entreprise, en général, lorsque les bénéfices sont supérieurs ou inférieurs aux prévisions, il peut y avoir une fluctuation de trois à 5 % de la valeur, ce que nous recherchons, c'est l'évolution de la valeur réelle de cette entreprise. C'est ce que nous allons surveiller pendant le premier semestre. En prenant connaissance des pronostiques et par les entreprises, mais nous pensons que les marchés sont pour leurs significativement sous-évaluées.
Si vous remontez à nos valorisations jusqu'à 2010, nous sommes dans une situation très rare où le marché américain est très largement sous-estimé par rapport au passé. Encore une fois beaucoup de volatilité à court terme et pour les investisseurs qui se concentrent sur le long terme, ils peuvent surmonter cette volatilité, je pense que les choses iront beaucoup mieux au deuxième semestre 2024.
- Sur l'horizon long terme que la situation paraît positive. Mais qu'est-ce qui pourrait engendrer des problèmes?
Qu'est-ce qui pourrait arrêter ce scénario?
- Notre scénario de base pour l'économie américaine se résume à la stagnation voir la récession.
La plupart des équipes d'économistes pronostiques 30 à 50 % de probabilité d'une récession.
Nous estimons que la récession sera courte et peu profonde.
S'il y a récession beaucoup plus profonde qui dure plus que deux types trimestre, cela exercerait une pression là-bas sur les bénéfices et par conséquent sur nos valorisations.
Il y a un autre élément qui pourrait être un joker, ce que nous pensons que la prépondérance des hausses de taux d'intérêt est derrière nous.
Si le taux à 10 ans commençait à rejoindre sa moyenne, cela pourrait exercer un certain nombre, une certaine pression sur la bourse, en particulier sur les titres meilleurs capitalisation qui représentent une part tellement important des indices.
- René Nathan David Sekera, stratège entière pour le mark américain. À présent l'actualité du monde des affaires et un coup d'œil sur le marché.
Corus Entertainment averti les investisseurs que ses revenus de publicité télévisée devraient être assez faibles cette année.
Compte tenu de la conjoncture.
Chorus avance qu'elle ne reverra pas son projet de rachat d'actions diffère une décision quant à son dividende bon marché.
Les ventes bénéfices de chorus ont diminué pendant le dernier trimestre, sur 12 mois, les actions sont en baisse de plus de 15 %.
Les actions de tesla sont en vedette. Le constructeur de véhicules électriques réduirait le prix de ses véhicules aux États-Unis et en Europe en fonction de son site Web.
Les objectifs de livraison de véhicules l'an dernier de tesla ont été inférieur aux prévisions.
Le pétrole devrait conclure une semaine positive, les investisseurs soupèsent la réouverture économique de la Chine et l'impact sur la demande pour la deuxième économie du monde augmente les achats de brutes, puisque le gouvernement chinois délivre de nouvelles autorisations d'importation.
À présent, les grands indices.
L'indice TSX composite est en hausse de 92; presque 1/2 %.
Aux États-Unis, les bénéfices des grandes banques américaines commencent à être annoncés.
Les banquiers de Wall Street précise qu'il suppose une récession, quoique légère pour cette année.
L'indice S&P 500 est en baisse d'un quart de pour cent.
Les pronostics très divergents quant à l'évolution des marchés pourrait engendrer davantage volatilité selon Michael Craig, chef de la répartition de l'actif gestion d'activité des. Écoutons-le.
- Les marchés ont déjà pris en compte des difficultés économiques cette année. Les actions ont beaucoup baissé.
Les obligations également. Ce qui précède sans doute qui va se passer dans l'économie réelle cette année selon les données il y a un ralentissement de différents indicateurs d'activité.
- C'est une chose.
Pour cette année, la question à l'heure actuelle qui intéresse la plupart des investisseurs, c'est de savoir qui a raison. Le marché obligataire les banques centrales? Le marché obligataire prévoit des coupures de taux deuxième semestre, et les banques centrales envisagent plutôt une série de hausse continue.
Ceux-ci vont engendrer beaucoup de volatilité.
Selon que l'une ou l'autre thèse et collectionneur d'importantes conséquences.
Est-ce que cela va engendrer la volatilité?
Parce que pour chaque statistique paraîtra, les investisseurs se diront que ça signifie ceci ou cela.
- Oui il y a une hyper sensibilité aux statistiques. Ce qui est étrange, parce que de toute façon ces statistiques sont très souvent révisées. Il s'agit de la tendance des données économiques.
C'est surtout cela qui s'y qui est significatif. C'est la direction globale de l'économie qui montre comment les marchés réagissent aux statistiques comptes ponctuels.
La semaine dernière, il y a une inondation, l'emploi se portait bien.
Les marchés boursiers obligataires ont réagi assez fortement.
- Les données économiques médiocres ne devraient pas nécessairement influencer les actifs à risque.
Je pense que les banques centrales tiennent pas compte des données sur la croissance dans leurs décisions sur les coupures de taux.
Je crois que les investisseurs cherchent à expliquer pourquoi la situation est ainsi.
Je pense qu'il faut prendre du recul.
Et se placer sur un horizon d'au moins deux trimestres.
C'est ainsi que l'on peut voir quelle est la conduite à tenir.
- Les marchés obligataires ne croient pas sur parole banquent centrales quant aux perspectives de maintien des taux.
Et que dire lorsqu'on compare les haussiers baissiers?
Pour l'indice S&P 500, il ne divergence considérable.
Entre les pronostics.
L'un ou l'autre de ces groupes pourrait avoir raison.
L'indice ACP, quand on exclut les titres, ici plus gros titre à méga capitalisation, le marché n'était t'a 7 % en bas de ses sommets.
Là où il y a beaucoup de pression, c'est au niveau des titres qui avaient atteint des semestres stratosphériques sont toujours en phase des gonflements.
L'étude des technologies à méga capitalisation.
Il y a certains secteurs du marché qui se porte très bien, économie par exemple très bien comportée l'an dernier, le secteur de la santé également.
C'est un marché qui est propice à la sélection de titres, marché sur lequel il y a beaucoup de confluences.
Il y a certaines catégories d'actifs qui connaître un marché baissier prolongé.
Dans un sens, il se pourrait que l'on réussisse beaucoup mieux rapprocher, parce que les valorisations dans certains secteurs sont intéressantes.
- À Mélanie que nous avons vécue, la volatilité que nous avons connue, certains portefeuilles n'ont pas donné les résultats que les investisseurs escomptaient.
On n'est pas obligé de regarder très loin si on retrouve une confirmation des perspectives négatives.
Est-ce que c'est surfait?
- En ce qui concerne la confiance, sur un marché haussier, c'est très important, c'est une mesure à court terme. Mais dans un marché baissier, quand c'est une récession, la confiance est mauvaise et ce n'est pas un indicateur important puisqu'il s'agit d'un d'analyser de façon rétrospective.
Je ne jugerais pas utile d'aller à contre-courant du marché.
Les sondages, le chef de la direction sont assez pessimistes. Mais beaucoup des données psychologiques montrent que les gens sont très pessimistes. Mais les données factuelles ne vont pas dans le même sens.
Il y a beaucoup de tendances contradictoires.
Il y a des forces économiques de grandes envergures qui sont à l'œuvre.
Le coût d'emprunt élevé, cela va finalement influencer la progression des économies.
Je pense que ce sont les facteurs qu'il faut surveiller.
Et qui vont faire évoluer la situation, et c'est là que se situe le risque.
- Il faut aiguiser son crayon, rechercher les opportunités.
Que dire des titres à revenu fixe? L'année qui vient de s'écouler a été difficile puisque les banques centrales ont pratiqué des hausses de taux tellement énergique et tellement rapide.
- Oui. Nous pensons que les banques obligataires ont l'avenir devant eux. L'an dernier, était très désagréable.
Je crois qu'en définitive, en ce qui concerne l'inflation, il y a des aspects qui sont transitoires.
Mais personne jamais définie ce que signifiaient transitoires parce que c'est un mois, un trimestre ou deux ans?
- Ce qui est intéressant leur actuelle, c'est classe les attentes des marchés au niveau de l'inflation, il y a les spéculateurs, qui se base sur les données de l'inflation, prévoit une économie inférieure à 2 % au mois de juin. C'est très optimiste.
Si c'est exact, le marché obligataire peut offrir une valeur intéressante.
Nous avons vécu une aire de compression financière, on obligataires sont inférieurs à l'inflation. Ils sont toujours en deçà de l'inflation.
De base, et les attentes à l'égard de l'inflation sont largement supérieures.
À l'égard, qui contredit voici ce qui va se passer l'an prochain, n'en tenez pas compte.
Il faudrait ouvert à une vaste (.
..) de résultat, conduire la conduite à tenir.
Prendre du recul, maniant la durée, obtenir des romans supérieurs à ce qu'ils ont été depuis longtemps. De voir comment la situation se déroule avant de nous engager dans les actifs à risque.
Il y a des secteurs dans lesquels les actions donnent de bons résultats.
Je suis plus convaincu par les marchés obligataires à leur actuelle.
Quand nous pensons que l'inflation se relèvera cette année. Vu que nous ne sommes autour toujours pas sortir de l'auberge qui pourrait avoir de volatilité, parler de Duration c'est votre horizon, horizon temporel.
Vous ne vous attendez pas à grand-chose à court terme.
- Par définition, les actions offrent beaucoup de valeur aujourd'hui il y a un an. Les actions sont une source de création de richesses à long terme.
Pas comme les opérations, les actifs pour des opérations quotidiens. Il y en a qui le font, ça s'appelle spéculer, c'est très difficile, je l'ai fait mais dans un horizon pour sur trois ans, il y a des secteurs dont on dira dans cinq ans que oui, ça a bien marché. Alors d'ici 12 mois, ça pourrait être inchangé et ce pour évoluer avec beaucoup de volatilité.
Mais c'est en définitive comment je vais que la situation se secteurs ne sont pas aussi vulnérables qu'il était il y a 12 mois.
Dans certains secteurs du marché axé sur la croissance, il n'y a pas une augmentation des bénéfices.
Les actions axées sur la croissance qui n'ont pas de bénéfice est encore risque.
Dans le secteur du marché les compagnies sont bénéficiaires, c'est un bon moment pour commencer à regarder cela. Il faut avoir un point de vue sur trois ans.
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Les investisseurs qui espèrent un meilleur rendement cette année devront peut-être faire preuve de patience.
Michael O'Brien gestionnaire de portefeuille gestion d'actifs de TD nous explique pourquoi la trajectoire des marchés pourrait être difficile.
- Oui.
Des jours meilleurs s'en viennent mais il nous reste quand même chemin à faire.
Dans dernier, nous avons tous été pris par surprise par la rapidité et l'ampleur des hausses de taux pratiqués par les banques centrales.
La bonne nouvelle, c'est que nous nous rapprochons de cela.
Le truc pour 2023, quand on n'y songe, c'est que nous ne savons pas comment rétablir l'inflation à cette somme, à cette cible de 2 % qui a été annoncés clairement par les banques centrales et ce, sans avoir un plus gros impact sur les bénéfices des entreprises.
C'est un exercice délicat.
Et donc, de façon réaliste, je pense qu'il y a des raisons d'être optimiste.
L'inflation évolue dans la bonne direction.
Mais je crois que nous devrions être prêts à ce qu'il y ait certaines péripéties en 2023.
Ce n'est pas facile que de parvenir à un atterrissage en douceur pour l'économie, ce n'est pas facile de réduire l'inflation sans faire augmenter le chômage.
Donc je crois que nous devons nous attendre à ce qu'il y a des arbitrages au fur et à mesure de ce processus.
Ou pour m'exprimer autrement, je n'ai pas vu encore le feu vert pour se précipiter sur le marché. Il faut faire preuve de discernement et de discipline dans nos choix.
Ce qui est positif toutefois, pour changer légèrement de d'optique, c'est que les six à 12 mois à venir seront délicats certes, mais à plus long terme, sur trois à cinq ans, quand je considère le point de départ d'aujourd'hui, le marché canadien spécifique, historiquement devrait tourner autour de 15 et 16 pour les bénéfices.
Cela non pour le long terme. Aujourd'hui, nous en sommes à 12 et demies.
Largement au-delà ça de la moyenne.
L'élément le plus important de notre indice, c'est-à-dire les banques.
Historiquement sont à 11 à 12 % 11 à 12 fois les bénéfices aujourd'hui, elles sont en deçà de 10.
Avec aujourd'hui comme point de départ est un peu patient, dit-il si 3,4 ou cinq ans, je pense que nous pourrons avoir un point de vue très positif quant à l'évolution des actions. Le reste du travail à faire à court terme.
Les banques centrales n'ont pas achevé leur tâche à un moment donné, il y aura des manchettes désagréables dans les journaux sur le taux de chômage qui augmente.
Donc il faut être prêt. Le travail qui reste à faire, nous ne les avons pas encore vus.
Et c'est étonnant, je change aux statistiques sur l'emploi. Toutes les augmentations de taux de l'an dernier, le marché du travail porte toujours très bien.
C'est intéressant que vous parliez de cela, beaucoup d'investisseurs sont perplexes.
Collectivement, nous avons tous abordés 2003 avec une feuille de route semblable.
C'est-à-dire que le début de l'année sera difficile et au fur et à mesure que les augmentations de taux d'intérêt se répercutent sur l'économie, mais ensuite la situation s'améliorera.
C'est le point de vue de consensus. Je pense à présent que nous nous demandons: 100 000 emplois au Canada en décembre, 300 000 aux États-Unis.
Ce n'est pas une récession, ou du moins la récession ne semble pas imminent.
C'est plutôt la résilience.
Il se pourrait constatons que la situation prenne plus de temps à se dérouler.
Cela pourrait se prolonger un peu plus que prévu.
Donc, le point de vue optimiste, c'est qu'au Canada comme aux États-Unis, les consommateurs et les foyers sont beaucoup plus résiliant qu'on ne le croyait.
Le point de vue pessimiste, c'est que cette résilience pourrait obliger les banques centrales à faire preuve de mesure plus énergique encore,, peut-être augmenter les taux plus qu'il ne se le ferait autrement afin de créer le résultat recherché, c'est-à-dire il se pourrait qu'il y ait une hausse des taux d'intérêt pendant plus longtemps pour parvenir à la destination.
De toute évidence, les grands termes l'an dernier était l'inflation et la lutte contre l'inflation et les conséquences sur l'économie. Tout cela domine le marché. La procession sur les marchés. Cette année, c'est toujours un thème dominant.
Nous allons de parvenir au pont de métro nous allons parler d'autre chose?
- Si ce sont ces grands contraintes macro-économiques qui nous préoccupaient.
- Nous avons connu en 2020 2021 un baumes sans précédent avec les mesures de relance budgétaire et monétaire.
Je crois donc qu'il n'est que raisonnable de penser qu'il faudra plus que neuf à 12 mois pour que tout ceci se dissipe.
Il y a encore du chemin à faire.
Mais on peut considérer que l'inflation peut être atteint son sommet, la tendance est positive, il y a de bonnes raisons de croire que nous avons atteint le sommet où nous allons bientôt atteindre le sommet dans les cycles de hausse des taux par les banques centrales.
Il reste peut-être plus beaucoup de hausse.
Toutefois, nous ne sommes pas encore parvenus au but.
Une fois que nous y sommes parvenus, il y aura de nouveaux soucis à conjurer, mais à court terme, je pense que les statistiques de l'inflation vont obnubiler les investisseurs ainsi que les commentaires des banques centrales.
C'est cela qui va faire évoluer les marches à court terme.
Je pense que nous pouvons attendre d'avoir de nouveaux problèmes qui nous préoccupons.
- Il y a toujours de nouveaux soucis.
Vous avez dit que ce serait une année délicate pour les investisseurs qui doivent faire preuve de discernement.
Comment profiter de ce genre de marché?
Ce qu'il faut faire preuve de patience?
Il s'est-ce qu'il faut faire preuve de sélectivité?
- Oui.
Il s'agit d'être sélectif et de comprendre ce que vous voulez réaliser.
Ce que je me dis toujours, c'est qu'il ne faut pas essayer d'être plus malin que soi-même.
Trouver le genre d'entreprise dont vous voulez détenir les actions, tout au long du cycle, et malgré toute la volatilité, si ces actions sont parvenues à un.
Vous pouvez les acheter un juste prix aujourd'hui, parfois c'est très simple, c'est aussi simple que cela.
N'essayez pas d'être plus malin que vous-même.
En même temps, sachez qu'elle risque vous prenait.
Il se pourrait que ce soit une entreprise qui est très cyclique et dont les bénéfices courent un risque élevé, ça pourrait être une entreprise qui est considérée comme étant très stable mais dont la valorisation est très élevée.
Il faut dans les deux cas être prêt, être au courant des risques que l'on prend dans un portefeuille. Leur actuelle, c'est ainsi que je songe à la situation.
Quel est l'équilibre entre les risques que je prends est l'occasion?
Où se situe ce déséquilibre?
Il y a des secteurs du marché ou c'est un peu positif, il y a, on paye trop cher les bénéfices.
Il y a des secteurs sur le marché où l'on peut trouver au moins une partie du risque de bénéfices qui désintégraient dans le cours de l'action.
- Souvenez entendu Michael O'Brien gestionnaire de portefeuille gestion d'activité des.
Un coup d'œil sur le marché.
Les esthétiques progressent aujourd'hui.
Il s'agit d'un gain de plus de sens; à 110; plus d'un demi pour cent.
Le secteur minier se porte bien aujourd'hui.
(..
.) En revanche est en baisse de 5 %, les investisseurs réagissent résultats de production et les orientations de cette entreprise. Certains autres entreprises du secteur minier progressent.
Shopify avancé avec le retour du coût du risque 50,58 $, en hausse de 3 %.
Aux États-Unis, à présent, les bénéfices des banques commencent d'être annoncés.
Les chefs de la direction des banques affirment que leur scénario de base consiste toujours à une récession. Les investisseurs assimilent tout cela.
L'indice S&P 500 est en baisse d'un 10e de pour cent, c'est-à-dire essentiellement inchangé.
La limite de dette des États-Unis sera atteinte jeudi.
Le plafond de la dette, nous savons que ce serait un élément évoqué cette année.
Tesla est en baisse d'un 10e de pour cent.
Ou plutôt tesla réduit les prix des véhicules aux États-Unis et en Europe.
L'action est en baisse de 2,7 %.
Le dollar américain a progressé jusqu'à des niveaux records en 2022 par rapport à beaucoup d'autres monnaies et a atteint un sommet jamais vu depuis deux décennies en septembre l'an dernier.
Est-ce que cela durera?
Valeurs mobilières TD croque dans le dollar américain a atteint un sommet.
Il va reculer en 2023.
Après une année très forte en 2022, comme ce graphique montre, voici le FNB dit de leur américain.
Le dollar américain atteint un pic en septembre l'an dernier, mais depuis lors, il y a un certain recul, la grande question étend de savoir.
Valeurs mobilières TD considèrent cette récente baisse posent la question de savoir s'il y a une tendance plus prolonger cette année.
Valeurs mobilières TD prévoient une dépréciation générale du dollar américain cette année, il y aura sans doute des fluctuations dans cette baisse.
Valeurs mobilières TD précises que les grands thèmes dont on a beaucoup parlé en 2022 y comprit l'inflation, la baisse de croissance mondiale et les mesures de resserrement pris simultanément par les banques centrales, ces tendances vont s'inverser cette année lentement.
Valeurs mobilières TD signalent également que le risque accru de stagflation, c'est-à-dire une inflation et une économie stagnante, ont été des facteurs clés dans les résultats obtenus par le dollar en 2022.
Les États-Unis offrent une excellente couverture contre la stagflation.
Grâce à sa monnaie.
Mais la priorité cette année devrait être au niveau de la désinflation dans le monde.
Selon valeurs mobilières TD. Dans ce contexte, nous considérons que le dollar américain est parvenu à des niveaux extrêmes de valorisation, ce qui est généralement associé à un changement de cap.
Le dollar américain historiquement à diminuer dans les trimestres, qui suivent une remontée de 20 % sur 12 mois.
Valeurs mobilières TD prévoient donc une dépréciation du dollar américain cette année.
Voilà une thèse qu'après la forte remontée de l'an dernier, quel est l'autre scénario?
Le risque de la baisse.
- Valeurs mobilières TD considèrent un certain nombre de facteurs de risque pour un contre compromettre cette perspective.
Notamment, des bénéfices décevants pour le quatrième trimestre.
Ainsi que le vacillement de la croissance et de mec mondial.
Cela pourrait bénéficier au dollar américain, lequel est fortement corrélé avec la tolérance au risque.
Le dollar faiblit lorsque la tolérance au risque augmente et vice versa.
Un autre facteur de risque signalé par valeurs mobilières TD est la réouverture de la chaîne qui pourrait être difficile pour le premier trimestre, ce qui augmente le risque d'une inversion pour le dollar américain.
Il ne devrait s'agir que d'un soutien à court terme pour le dollar américain, surtout premier trimestre.
- Merci Anthony.
Vous allez entendre Anthony Okolie.
Rester à l'écoute, lundi, vital émotionnel, analyste des technologies ou gestion d'actif Tedey va répondre à vos questions sur le secteur de la technologie.
Vous pouvez nous poser d'ores et déjà vos questions par courriel, moneytalklivetd.com merci et à lundi!
Aujourd'hui, David Sekera stratège en chef pour le marché les États-Unis de Morning star évoquent les indicateurs d'une réduction de l'inflation. Michael Craig chef de la répartition tactile de gestion d'actif Tedey commande la volatilité à venir et Michael O'Brien nous explique pourquoi les investisseurs pourront bénéficier de perspectives intéressantes après des difficultés à court terme.
Produire enfin de nous montrer comment se tenir au courant des nouvelles économies sur courtiers Web.
Tout d'abord une mise à jour sur le marché.
L'indice composite TSX est en hausse de 79.
.
Le cours du brut se raffermit. Il n'y a pas de réaction de taille au niveau des grandes compagnies d'énergie.
Mais les plus petites entreprises et le secteur minier sont en hausse. Alamos Gold est à la hausse de plus de 2 %.
(...) PowerPoint il y a deux jours a réduit son dividende 40 % d'actions dévisse de 6 % aujourd'hui.
Aux États-Unis, la saison des annonces de bénéfices commence avec les grandes banques américaines. Anthony Okolie va nous expliquer la situation dans un moment.
Il ne s'agit pas tellement du trimestre précédent, mais des pronostics pour l'économie américaine.
Légère baisse de 13.
Soit un tiers de pour cent. L'indice Nasdaq est spécialisé dans la technologie également en baisse d'un tiers de pour cent.
JP Morgan parmi les titres qui annoncent leur bénéfice.
C'est positif. 141,63 $ l'action, en hausse d'un demi pour cent.
Les bénéfices des banques américaines donnent matière à réfléchir aux investisseurs, notamment quant à la trajectoire avenir pour cette année. Anthony Okolie commente.
- Il y a eu d'excellente annonce bénéfice de deux des plus grandes banques américaines. JP Morgan comme vous l'avez dit et banques d'America qui ont tout dépensé les attentes. Revenu une des intérêts les plus élevés à cause de la hausse des taux.
Expansion des prêts au quatrième trimestre, qui a compensé certaines des baisses de revenus de banques d'investissement.
Ce qui est surtout intéressé le marché, celle l'avertissement d'une récession. Selon JP Morgan, c'est le scénario de base pour le chef de la direction de banque of America fait état de ralentissement de croissance ce qui inquiète de plus en plus investisseurs.
Si les grandes banques de Wall Street adoptent ce point de vue, elles vont sans doute pratiquer des provisions pour pertes de créances plus importants.
- Oui.
Certainement. D'ores et déjà ont commencé à pratiquer des provisions.
Elles veulent avoir suffisamment de trésorerie pour gérer les mauvaises créances. Les banques américaines vont inaugurer la saison des annonces bénéfice.
Nos banques au Canada font leurs annonces à la fin de la saison des bénéfices. Ça prendra un certain temps avant que le pancanadien annonce bénéfice.
Cette main, une conférence réunit les chefs de direction des banques.
Qui ont énoncé leur pronostic. Michael O'Brien à écouter cette réunion affirme que les portefeuilles de prêts sont en bon état.
- Oui. Comme vous l'avez dit, les banques ne sont pas tellement préoccupées pour l'instant.
Le marché de l'emploi se porte bien.
Il n'y a donc pas autant de préoccupations quant aux créances. Mais si l'économie ralentit, il se pourrait qu'il y ait une inversion sur le marché du travail, ce qui serait préoccupant, surtout pour les grandes banques.
Puisque devront accroître leurs provisions.
Le chef de la direction des grandes institutions financières ont une vue d'ensemble et c'est toujours, ce sont toujours les avis apprendre sérieux.
- Oui. Non seulement les banques mais d'autres entreprises ne sont pas optimistes à l'égard des bénéfices pour ce trimestre.
La grande question pour les investisseurs est de savoir comment les grandes sociétés vont-elles accroître leur chiffre d'affaires et leur bénéfice dans l'avenir.
Surtout dans le contexte d'une économie en ralentissement. De grandes questions pour les investisseurs. Merci, Anthony Okolie. Anthony sera de retour pour commenter les pronostics de valeurs mobilières TD au sujet du dollar américain. Cette année, les statistiques de l'inflation aux États-Unis ont paru, montrant un déclin de l'inflation aux États-Unis. David Sekera, chef stratège pour le marché américain de Morning star commande.
- Nos perspectives pour 2023 sont intitulées perturbations à court terme, sur adieu dans l'avenir.
Il y a beaucoup de volatilité pour le premier semestre.
Mais au deuxième semestre, bon nombre de facteurs négatifs qui sont exercés en 2022 devraient se dissiper ou se transformer en facteurs positifs, ce qui a été le marché entreprendre une relance une reprise de la valeur intrinsèque long terme.
- L'inflation étend la clé des statistiques montres un revenu progressif.
Il semble que la situation n'a pas changé du jour au lendemain progressivement.
- Oui. En 2022, nous avons remarqué que au début de l'année, les marchés étaient surévalués.
Nous pensons que le balancier a été trop loin dans l'autre direction que le marché sont sous-évaluées. Il y a eu quatre facteurs négatifs l'an dernier, de ces facteurs commencent à s'atténuer. La prépondérance de la hausse des taux d'intérêt à long terme est plus ou moins achevée, nous pensons que l'inflation a atteint un sommet il y a plusieurs mois et continus de baisser.
Nous prévoyons une inflation moyenne de 2,9 % pour cette année.
Nous prévoyons une inflation en deçà de 2 % l'an prochain. Les deux éléments que je surveille pour le premier semestre sur l'économie américaine de la réserve fédérale. Offrions son économie américaine que la situation quatrième trimestre 2022 était relativement satisfaisant. Le monstre économie sera quelque plus stagnante que bon récession d'ici deux trimestres, avant de recommencer accélérer au deuxième semestre. Notre réserve fédérale, je pense qu'il y aura encore une augmentation de taux avant que celle-ci ne prenne une pause. Pourquoi pensons-nous que ce grosse mais c'est plus prometteur?
C'est notamment parce que la fête de commençant à marquer une pause dans ses hausses de taux, elle pourra continue de s'intéresser à son double mandat, c'est-à-dire non seulement inflation, mais encore le développement maximum de l'économie pour parvenir au plein-emploi. Pendant la deuxième semestre avec éclat de l'inflation, avec la stagnation de l'économie pendant le premier trimestre, cela donnerait à la fête une bonne raison de basculer, changer de cœur et d'adopter une politique d'assouplissement.
C'est le grand débat en ce début d'année entre ce que la fête les autres banques centrales nous ont dit.
Il y a peut-être encore des hausses de taux nous avons donnerait un niveau élevé. Le marché obligataire ne croit rien.
On prévoit des baisses de taux moment le deuxième semestre. Ce que c'est le marché obligataire qui doit prévaloir?
- Il est difficile de ne pas tenir compte des avis de marché obligataire.
En ce qui concerne les hypothèses qui sont incorporées dans les cours. Nous pensons que trois et demis pour cent, ce sont les taux prévisibles d'ici la fin de l'année, mais nous pensons qu'il est possible que les taux d'intérêt à long terme se situent autour de deux et demis pour cent pour 2024 le marché obligataire qui a connu la pire année jamais enregistrée dans les titres à revenu fixe l'an dernier, faire face à des perspectives beaucoup plus prometteuses. Si nous pouvons parvenir au deuxième trimestre, la situation se développera et commencera à s'améliorer.
Mais quelles pourraient être les difficultés ici et là?
11 quand on songe à la volatilité?
- C'est toujours difficile à dire. Il semble que les marchés ont touché le fond en octobre dernier, aux États-Unis. Je suppose que cela devrait se maintenir, ceci étend dit, je pense que nous pourrions facilement voir des fluctuations d'un ou de 2 % dans les cours au jour le jour, en hausse de cinq, en baisse de 5 %.
C'est une fourchette de spéculation.
Les marchés seront très concentrés sur les indicateurs économiques au fur et à mesure qu'elles paraissent.
D'ici une quinzaine de jours, il y a ce sont des annonces bénéfice qui commencent.
Les investisseurs se demanderont quelles sont les orientations que devront faire les entreprises pour 2023, surtout les banques.
Selon les orientations qui seront données, y aura peut-être une réévaluation des valorisations fonction des chiffres de BPA.
Parlons-en justement.
L'argument baissier pour ce marché, c'est que nous n'avons pas vu les entreprises capituler et constater qu'il s'agit de la situation économique hausse des taux, et quelles seront les conséquences pour notre activité? Cela n'a pas encore été pris en compte.
Eh bien oui, c'est une hypothèse qui a du bon, mais il faut également se demander si on est spéculateur ou investisseur.
En fonction des données techniques du marché, il y a beaucoup de volatilité.
Il y a des spéculateurs qui cherchent à profiter au jour le jour du jour au lendemain.
Des annonces de statistiques économiques.
Investisseurs à long terme se demandent quelles sont les entreprises qui peuvent procurer un roman à long terme. Nous utilisons le modèle flux de trésorerie actualisée pour déterminer quelle est la valeur intrinsèque de l'entreprise en fonction de son flux de trésorerie à long terme.
Même lorsqu'il y a une volatilité à court terme des bénéfices, quand vous songez à l'évolution de la valeur intrinsèque de l'entreprise, en général, lorsque les bénéfices sont supérieurs ou inférieurs aux prévisions, il peut y avoir une fluctuation de trois à 5 % de la valeur, ce que nous recherchons, c'est l'évolution de la valeur réelle de cette entreprise. C'est ce que nous allons surveiller pendant le premier semestre. En prenant connaissance des pronostiques et par les entreprises, mais nous pensons que les marchés sont pour leurs significativement sous-évaluées.
Si vous remontez à nos valorisations jusqu'à 2010, nous sommes dans une situation très rare où le marché américain est très largement sous-estimé par rapport au passé. Encore une fois beaucoup de volatilité à court terme et pour les investisseurs qui se concentrent sur le long terme, ils peuvent surmonter cette volatilité, je pense que les choses iront beaucoup mieux au deuxième semestre 2024.
- Sur l'horizon long terme que la situation paraît positive. Mais qu'est-ce qui pourrait engendrer des problèmes?
Qu'est-ce qui pourrait arrêter ce scénario?
- Notre scénario de base pour l'économie américaine se résume à la stagnation voir la récession.
La plupart des équipes d'économistes pronostiques 30 à 50 % de probabilité d'une récession.
Nous estimons que la récession sera courte et peu profonde.
S'il y a récession beaucoup plus profonde qui dure plus que deux types trimestre, cela exercerait une pression là-bas sur les bénéfices et par conséquent sur nos valorisations.
Il y a un autre élément qui pourrait être un joker, ce que nous pensons que la prépondérance des hausses de taux d'intérêt est derrière nous.
Si le taux à 10 ans commençait à rejoindre sa moyenne, cela pourrait exercer un certain nombre, une certaine pression sur la bourse, en particulier sur les titres meilleurs capitalisation qui représentent une part tellement important des indices.
- René Nathan David Sekera, stratège entière pour le mark américain. À présent l'actualité du monde des affaires et un coup d'œil sur le marché.
Corus Entertainment averti les investisseurs que ses revenus de publicité télévisée devraient être assez faibles cette année.
Compte tenu de la conjoncture.
Chorus avance qu'elle ne reverra pas son projet de rachat d'actions diffère une décision quant à son dividende bon marché.
Les ventes bénéfices de chorus ont diminué pendant le dernier trimestre, sur 12 mois, les actions sont en baisse de plus de 15 %.
Les actions de tesla sont en vedette. Le constructeur de véhicules électriques réduirait le prix de ses véhicules aux États-Unis et en Europe en fonction de son site Web.
Les objectifs de livraison de véhicules l'an dernier de tesla ont été inférieur aux prévisions.
Le pétrole devrait conclure une semaine positive, les investisseurs soupèsent la réouverture économique de la Chine et l'impact sur la demande pour la deuxième économie du monde augmente les achats de brutes, puisque le gouvernement chinois délivre de nouvelles autorisations d'importation.
À présent, les grands indices.
L'indice TSX composite est en hausse de 92; presque 1/2 %.
Aux États-Unis, les bénéfices des grandes banques américaines commencent à être annoncés.
Les banquiers de Wall Street précise qu'il suppose une récession, quoique légère pour cette année.
L'indice S&P 500 est en baisse d'un quart de pour cent.
Les pronostics très divergents quant à l'évolution des marchés pourrait engendrer davantage volatilité selon Michael Craig, chef de la répartition de l'actif gestion d'activité des. Écoutons-le.
- Les marchés ont déjà pris en compte des difficultés économiques cette année. Les actions ont beaucoup baissé.
Les obligations également. Ce qui précède sans doute qui va se passer dans l'économie réelle cette année selon les données il y a un ralentissement de différents indicateurs d'activité.
- C'est une chose.
Pour cette année, la question à l'heure actuelle qui intéresse la plupart des investisseurs, c'est de savoir qui a raison. Le marché obligataire les banques centrales? Le marché obligataire prévoit des coupures de taux deuxième semestre, et les banques centrales envisagent plutôt une série de hausse continue.
Ceux-ci vont engendrer beaucoup de volatilité.
Selon que l'une ou l'autre thèse et collectionneur d'importantes conséquences.
Est-ce que cela va engendrer la volatilité?
Parce que pour chaque statistique paraîtra, les investisseurs se diront que ça signifie ceci ou cela.
- Oui il y a une hyper sensibilité aux statistiques. Ce qui est étrange, parce que de toute façon ces statistiques sont très souvent révisées. Il s'agit de la tendance des données économiques.
C'est surtout cela qui s'y qui est significatif. C'est la direction globale de l'économie qui montre comment les marchés réagissent aux statistiques comptes ponctuels.
La semaine dernière, il y a une inondation, l'emploi se portait bien.
Les marchés boursiers obligataires ont réagi assez fortement.
- Les données économiques médiocres ne devraient pas nécessairement influencer les actifs à risque.
Je pense que les banques centrales tiennent pas compte des données sur la croissance dans leurs décisions sur les coupures de taux.
Je crois que les investisseurs cherchent à expliquer pourquoi la situation est ainsi.
Je pense qu'il faut prendre du recul.
Et se placer sur un horizon d'au moins deux trimestres.
C'est ainsi que l'on peut voir quelle est la conduite à tenir.
- Les marchés obligataires ne croient pas sur parole banquent centrales quant aux perspectives de maintien des taux.
Et que dire lorsqu'on compare les haussiers baissiers?
Pour l'indice S&P 500, il ne divergence considérable.
Entre les pronostics.
L'un ou l'autre de ces groupes pourrait avoir raison.
L'indice ACP, quand on exclut les titres, ici plus gros titre à méga capitalisation, le marché n'était t'a 7 % en bas de ses sommets.
Là où il y a beaucoup de pression, c'est au niveau des titres qui avaient atteint des semestres stratosphériques sont toujours en phase des gonflements.
L'étude des technologies à méga capitalisation.
Il y a certains secteurs du marché qui se porte très bien, économie par exemple très bien comportée l'an dernier, le secteur de la santé également.
C'est un marché qui est propice à la sélection de titres, marché sur lequel il y a beaucoup de confluences.
Il y a certaines catégories d'actifs qui connaître un marché baissier prolongé.
Dans un sens, il se pourrait que l'on réussisse beaucoup mieux rapprocher, parce que les valorisations dans certains secteurs sont intéressantes.
- À Mélanie que nous avons vécue, la volatilité que nous avons connue, certains portefeuilles n'ont pas donné les résultats que les investisseurs escomptaient.
On n'est pas obligé de regarder très loin si on retrouve une confirmation des perspectives négatives.
Est-ce que c'est surfait?
- En ce qui concerne la confiance, sur un marché haussier, c'est très important, c'est une mesure à court terme. Mais dans un marché baissier, quand c'est une récession, la confiance est mauvaise et ce n'est pas un indicateur important puisqu'il s'agit d'un d'analyser de façon rétrospective.
Je ne jugerais pas utile d'aller à contre-courant du marché.
Les sondages, le chef de la direction sont assez pessimistes. Mais beaucoup des données psychologiques montrent que les gens sont très pessimistes. Mais les données factuelles ne vont pas dans le même sens.
Il y a beaucoup de tendances contradictoires.
Il y a des forces économiques de grandes envergures qui sont à l'œuvre.
Le coût d'emprunt élevé, cela va finalement influencer la progression des économies.
Je pense que ce sont les facteurs qu'il faut surveiller.
Et qui vont faire évoluer la situation, et c'est là que se situe le risque.
- Il faut aiguiser son crayon, rechercher les opportunités.
Que dire des titres à revenu fixe? L'année qui vient de s'écouler a été difficile puisque les banques centrales ont pratiqué des hausses de taux tellement énergique et tellement rapide.
- Oui. Nous pensons que les banques obligataires ont l'avenir devant eux. L'an dernier, était très désagréable.
Je crois qu'en définitive, en ce qui concerne l'inflation, il y a des aspects qui sont transitoires.
Mais personne jamais définie ce que signifiaient transitoires parce que c'est un mois, un trimestre ou deux ans?
- Ce qui est intéressant leur actuelle, c'est classe les attentes des marchés au niveau de l'inflation, il y a les spéculateurs, qui se base sur les données de l'inflation, prévoit une économie inférieure à 2 % au mois de juin. C'est très optimiste.
Si c'est exact, le marché obligataire peut offrir une valeur intéressante.
Nous avons vécu une aire de compression financière, on obligataires sont inférieurs à l'inflation. Ils sont toujours en deçà de l'inflation.
De base, et les attentes à l'égard de l'inflation sont largement supérieures.
À l'égard, qui contredit voici ce qui va se passer l'an prochain, n'en tenez pas compte.
Il faudrait ouvert à une vaste (.
..) de résultat, conduire la conduite à tenir.
Prendre du recul, maniant la durée, obtenir des romans supérieurs à ce qu'ils ont été depuis longtemps. De voir comment la situation se déroule avant de nous engager dans les actifs à risque.
Il y a des secteurs dans lesquels les actions donnent de bons résultats.
Je suis plus convaincu par les marchés obligataires à leur actuelle.
Quand nous pensons que l'inflation se relèvera cette année. Vu que nous ne sommes autour toujours pas sortir de l'auberge qui pourrait avoir de volatilité, parler de Duration c'est votre horizon, horizon temporel.
Vous ne vous attendez pas à grand-chose à court terme.
- Par définition, les actions offrent beaucoup de valeur aujourd'hui il y a un an. Les actions sont une source de création de richesses à long terme.
Pas comme les opérations, les actifs pour des opérations quotidiens. Il y en a qui le font, ça s'appelle spéculer, c'est très difficile, je l'ai fait mais dans un horizon pour sur trois ans, il y a des secteurs dont on dira dans cinq ans que oui, ça a bien marché. Alors d'ici 12 mois, ça pourrait être inchangé et ce pour évoluer avec beaucoup de volatilité.
Mais c'est en définitive comment je vais que la situation se secteurs ne sont pas aussi vulnérables qu'il était il y a 12 mois.
Dans certains secteurs du marché axé sur la croissance, il n'y a pas une augmentation des bénéfices.
Les actions axées sur la croissance qui n'ont pas de bénéfice est encore risque.
Dans le secteur du marché les compagnies sont bénéficiaires, c'est un bon moment pour commencer à regarder cela. Il faut avoir un point de vue sur trois ans.
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Les investisseurs qui espèrent un meilleur rendement cette année devront peut-être faire preuve de patience.
Michael O'Brien gestionnaire de portefeuille gestion d'actifs de TD nous explique pourquoi la trajectoire des marchés pourrait être difficile.
- Oui.
Des jours meilleurs s'en viennent mais il nous reste quand même chemin à faire.
Dans dernier, nous avons tous été pris par surprise par la rapidité et l'ampleur des hausses de taux pratiqués par les banques centrales.
La bonne nouvelle, c'est que nous nous rapprochons de cela.
Le truc pour 2023, quand on n'y songe, c'est que nous ne savons pas comment rétablir l'inflation à cette somme, à cette cible de 2 % qui a été annoncés clairement par les banques centrales et ce, sans avoir un plus gros impact sur les bénéfices des entreprises.
C'est un exercice délicat.
Et donc, de façon réaliste, je pense qu'il y a des raisons d'être optimiste.
L'inflation évolue dans la bonne direction.
Mais je crois que nous devrions être prêts à ce qu'il y ait certaines péripéties en 2023.
Ce n'est pas facile que de parvenir à un atterrissage en douceur pour l'économie, ce n'est pas facile de réduire l'inflation sans faire augmenter le chômage.
Donc je crois que nous devons nous attendre à ce qu'il y a des arbitrages au fur et à mesure de ce processus.
Ou pour m'exprimer autrement, je n'ai pas vu encore le feu vert pour se précipiter sur le marché. Il faut faire preuve de discernement et de discipline dans nos choix.
Ce qui est positif toutefois, pour changer légèrement de d'optique, c'est que les six à 12 mois à venir seront délicats certes, mais à plus long terme, sur trois à cinq ans, quand je considère le point de départ d'aujourd'hui, le marché canadien spécifique, historiquement devrait tourner autour de 15 et 16 pour les bénéfices.
Cela non pour le long terme. Aujourd'hui, nous en sommes à 12 et demies.
Largement au-delà ça de la moyenne.
L'élément le plus important de notre indice, c'est-à-dire les banques.
Historiquement sont à 11 à 12 % 11 à 12 fois les bénéfices aujourd'hui, elles sont en deçà de 10.
Avec aujourd'hui comme point de départ est un peu patient, dit-il si 3,4 ou cinq ans, je pense que nous pourrons avoir un point de vue très positif quant à l'évolution des actions. Le reste du travail à faire à court terme.
Les banques centrales n'ont pas achevé leur tâche à un moment donné, il y aura des manchettes désagréables dans les journaux sur le taux de chômage qui augmente.
Donc il faut être prêt. Le travail qui reste à faire, nous ne les avons pas encore vus.
Et c'est étonnant, je change aux statistiques sur l'emploi. Toutes les augmentations de taux de l'an dernier, le marché du travail porte toujours très bien.
C'est intéressant que vous parliez de cela, beaucoup d'investisseurs sont perplexes.
Collectivement, nous avons tous abordés 2003 avec une feuille de route semblable.
C'est-à-dire que le début de l'année sera difficile et au fur et à mesure que les augmentations de taux d'intérêt se répercutent sur l'économie, mais ensuite la situation s'améliorera.
C'est le point de vue de consensus. Je pense à présent que nous nous demandons: 100 000 emplois au Canada en décembre, 300 000 aux États-Unis.
Ce n'est pas une récession, ou du moins la récession ne semble pas imminent.
C'est plutôt la résilience.
Il se pourrait constatons que la situation prenne plus de temps à se dérouler.
Cela pourrait se prolonger un peu plus que prévu.
Donc, le point de vue optimiste, c'est qu'au Canada comme aux États-Unis, les consommateurs et les foyers sont beaucoup plus résiliant qu'on ne le croyait.
Le point de vue pessimiste, c'est que cette résilience pourrait obliger les banques centrales à faire preuve de mesure plus énergique encore,, peut-être augmenter les taux plus qu'il ne se le ferait autrement afin de créer le résultat recherché, c'est-à-dire il se pourrait qu'il y ait une hausse des taux d'intérêt pendant plus longtemps pour parvenir à la destination.
De toute évidence, les grands termes l'an dernier était l'inflation et la lutte contre l'inflation et les conséquences sur l'économie. Tout cela domine le marché. La procession sur les marchés. Cette année, c'est toujours un thème dominant.
Nous allons de parvenir au pont de métro nous allons parler d'autre chose?
- Si ce sont ces grands contraintes macro-économiques qui nous préoccupaient.
- Nous avons connu en 2020 2021 un baumes sans précédent avec les mesures de relance budgétaire et monétaire.
Je crois donc qu'il n'est que raisonnable de penser qu'il faudra plus que neuf à 12 mois pour que tout ceci se dissipe.
Il y a encore du chemin à faire.
Mais on peut considérer que l'inflation peut être atteint son sommet, la tendance est positive, il y a de bonnes raisons de croire que nous avons atteint le sommet où nous allons bientôt atteindre le sommet dans les cycles de hausse des taux par les banques centrales.
Il reste peut-être plus beaucoup de hausse.
Toutefois, nous ne sommes pas encore parvenus au but.
Une fois que nous y sommes parvenus, il y aura de nouveaux soucis à conjurer, mais à court terme, je pense que les statistiques de l'inflation vont obnubiler les investisseurs ainsi que les commentaires des banques centrales.
C'est cela qui va faire évoluer les marches à court terme.
Je pense que nous pouvons attendre d'avoir de nouveaux problèmes qui nous préoccupons.
- Il y a toujours de nouveaux soucis.
Vous avez dit que ce serait une année délicate pour les investisseurs qui doivent faire preuve de discernement.
Comment profiter de ce genre de marché?
Ce qu'il faut faire preuve de patience?
Il s'est-ce qu'il faut faire preuve de sélectivité?
- Oui.
Il s'agit d'être sélectif et de comprendre ce que vous voulez réaliser.
Ce que je me dis toujours, c'est qu'il ne faut pas essayer d'être plus malin que soi-même.
Trouver le genre d'entreprise dont vous voulez détenir les actions, tout au long du cycle, et malgré toute la volatilité, si ces actions sont parvenues à un.
Vous pouvez les acheter un juste prix aujourd'hui, parfois c'est très simple, c'est aussi simple que cela.
N'essayez pas d'être plus malin que vous-même.
En même temps, sachez qu'elle risque vous prenait.
Il se pourrait que ce soit une entreprise qui est très cyclique et dont les bénéfices courent un risque élevé, ça pourrait être une entreprise qui est considérée comme étant très stable mais dont la valorisation est très élevée.
Il faut dans les deux cas être prêt, être au courant des risques que l'on prend dans un portefeuille. Leur actuelle, c'est ainsi que je songe à la situation.
Quel est l'équilibre entre les risques que je prends est l'occasion?
Où se situe ce déséquilibre?
Il y a des secteurs du marché ou c'est un peu positif, il y a, on paye trop cher les bénéfices.
Il y a des secteurs sur le marché où l'on peut trouver au moins une partie du risque de bénéfices qui désintégraient dans le cours de l'action.
- Souvenez entendu Michael O'Brien gestionnaire de portefeuille gestion d'activité des.
Un coup d'œil sur le marché.
Les esthétiques progressent aujourd'hui.
Il s'agit d'un gain de plus de sens; à 110; plus d'un demi pour cent.
Le secteur minier se porte bien aujourd'hui.
(..
.) En revanche est en baisse de 5 %, les investisseurs réagissent résultats de production et les orientations de cette entreprise. Certains autres entreprises du secteur minier progressent.
Shopify avancé avec le retour du coût du risque 50,58 $, en hausse de 3 %.
Aux États-Unis, à présent, les bénéfices des banques commencent d'être annoncés.
Les chefs de la direction des banques affirment que leur scénario de base consiste toujours à une récession. Les investisseurs assimilent tout cela.
L'indice S&P 500 est en baisse d'un 10e de pour cent, c'est-à-dire essentiellement inchangé.
La limite de dette des États-Unis sera atteinte jeudi.
Le plafond de la dette, nous savons que ce serait un élément évoqué cette année.
Tesla est en baisse d'un 10e de pour cent.
Ou plutôt tesla réduit les prix des véhicules aux États-Unis et en Europe.
L'action est en baisse de 2,7 %.
Le dollar américain a progressé jusqu'à des niveaux records en 2022 par rapport à beaucoup d'autres monnaies et a atteint un sommet jamais vu depuis deux décennies en septembre l'an dernier.
Est-ce que cela durera?
Valeurs mobilières TD croque dans le dollar américain a atteint un sommet.
Il va reculer en 2023.
Après une année très forte en 2022, comme ce graphique montre, voici le FNB dit de leur américain.
Le dollar américain atteint un pic en septembre l'an dernier, mais depuis lors, il y a un certain recul, la grande question étend de savoir.
Valeurs mobilières TD considèrent cette récente baisse posent la question de savoir s'il y a une tendance plus prolonger cette année.
Valeurs mobilières TD prévoient une dépréciation générale du dollar américain cette année, il y aura sans doute des fluctuations dans cette baisse.
Valeurs mobilières TD précises que les grands thèmes dont on a beaucoup parlé en 2022 y comprit l'inflation, la baisse de croissance mondiale et les mesures de resserrement pris simultanément par les banques centrales, ces tendances vont s'inverser cette année lentement.
Valeurs mobilières TD signalent également que le risque accru de stagflation, c'est-à-dire une inflation et une économie stagnante, ont été des facteurs clés dans les résultats obtenus par le dollar en 2022.
Les États-Unis offrent une excellente couverture contre la stagflation.
Grâce à sa monnaie.
Mais la priorité cette année devrait être au niveau de la désinflation dans le monde.
Selon valeurs mobilières TD. Dans ce contexte, nous considérons que le dollar américain est parvenu à des niveaux extrêmes de valorisation, ce qui est généralement associé à un changement de cap.
Le dollar américain historiquement à diminuer dans les trimestres, qui suivent une remontée de 20 % sur 12 mois.
Valeurs mobilières TD prévoient donc une dépréciation du dollar américain cette année.
Voilà une thèse qu'après la forte remontée de l'an dernier, quel est l'autre scénario?
Le risque de la baisse.
- Valeurs mobilières TD considèrent un certain nombre de facteurs de risque pour un contre compromettre cette perspective.
Notamment, des bénéfices décevants pour le quatrième trimestre.
Ainsi que le vacillement de la croissance et de mec mondial.
Cela pourrait bénéficier au dollar américain, lequel est fortement corrélé avec la tolérance au risque.
Le dollar faiblit lorsque la tolérance au risque augmente et vice versa.
Un autre facteur de risque signalé par valeurs mobilières TD est la réouverture de la chaîne qui pourrait être difficile pour le premier trimestre, ce qui augmente le risque d'une inversion pour le dollar américain.
Il ne devrait s'agir que d'un soutien à court terme pour le dollar américain, surtout premier trimestre.
- Merci Anthony.
Vous allez entendre Anthony Okolie.
Rester à l'écoute, lundi, vital émotionnel, analyste des technologies ou gestion d'actif Tedey va répondre à vos questions sur le secteur de la technologie.
Vous pouvez nous poser d'ores et déjà vos questions par courriel, moneytalklivetd.com merci et à lundi!