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(musique) - Bonjour, ici Greg Bonnell. Bienvenue à Parlons Argent en direct, une émission de Placements directs TD. Aujourd'hui, Justin Flowerday de Gestion de placements TD nous dit si le leadership du marché s'éloigne des grandes entreprises technologiques.
Les bénéfices des entreprises sont-ils suffisamment solides pour soutenir les valorisations? Damian Fernandes nous répond. Rannella Billy-Ochieng analyse la décision de la Fed sur les taux d'intérêt de cette semaine.
Nous poursuivons la découverte de CourtierWeb. Caitlin Cormier nous montre comment suivre ses objectifs financiers.
Mais d'abord, un coup d'oeil sur les marchés.
La journée s'est mal passée pour l'indice TSX composé hier. Aujourd'hui, la situation n'est guère meilleure, en baisse de 152 points.
Parmi les titres les plus activement négociés, on retrouve le secteur des télécommunications, qui rétrograde cette semaine. TELUS hier, BCE aujourd'hui.
Il y a un peu de vert à l'écran, la technologie continue de dominer la situation au Canada on pense à Shopify.
L'action progresse de plus de 4 %. Aux États-Unis, une grande semaine, l'indice S&P 500 et le Nasdaq ont atteint des sommets inégalés, une annonce sur l'inflation, une décision de la Fed, nous allons l'analyser dans quelques instants avec mon collègue Anthony Okolie.
L'indice S&P 500 rétrograde d'un quart de pour cent.
L'indice Nasdaq recule d'un quart de pour cent également.
NVIDIA, à 135,56 $, l'action progresse de 0,7 %.
Une grande semaine pour les investisseurs.
Aux États-Unis, la statistique de l'inflation, mon collègue Anthony Okolie a suivi la situation toute la semaine.
- Oui, la grande question bien sûr, à l'approche de la décision de la Fed sur les taux, était de savoir si l'inflation était suffisamment apaisée pour envisager une nouvelle coupures de taux. Nous avons connu des chiffres sur l'inflation globale aux États-Unis qui étaient inférieurs aux prévisions sur un mois, sur un an.
L'inflation de base a en fait rétrogradé jusqu'au gain le plus limité depuis mars 2021. Cela a donné un certain espoir aux investisseurs. Il savait que la Fed maintiendrait les tarifs, mais prévoit-elle une nouvelle coupure de taux?
Il y a eu une certaine euphorie sur les marchés dans la matinée après la statistique de l'inflation moins élevée que prévu. Jerome Powell, c'est un banquier, chef d'une banque centrale, m'a paru extrêmement neutre.
Sans trop s'enthousiasmer à l'égard de ce chiffre. Essentiellement, il a dit nous ne sommes pas encore prêts. C'est exactement cela. Pendant la conférence de presse il a noté qu'à l'heure actuelle inflation demeure beaucoup trop élevée, que la Fed veut être davantage convaincue qu'elle reculera avant d'assouplir la politique monétaire.
Cela sera-t-il réalisé d'ici quelques mois? La question est en suspens. Ce sont les données sur laquelle la Fed va se reposer, même s'il y a eu un mois d'inflation en recul.
- Mercredi, vous avez été fort occupé, vous avez paru à cette émission à midi pour commenter le rapport sur l'inflation et puis après la décision de la Fed à 14 heures vous avez analysé cette dernière.
- Oui, je me suis entretenu avec Rannella Billy-Ochieng sur ses conclusions.
- Je pense que dans l'ensemble, nous nous attendions à ce que la Fed réduise la baisse des taux d'intérêt.
Si nous examinons les détails, nous voyons plusieurs choses. D'une part, elle reconnaît que la lutte contre l'inflation progresse il faut s'en réjouir.
Mais de l'autre côté, la Fed rest un peu plus prudente car si vous considérez l'inflation au cours des quatre derniers mois, il y a eu des hauts et des bas.
Au début de l'année, l'inflation était très opiniâtre alors que les chiffres de l'inflation pour ce mois-ci ont été meilleurs que prévu avec un chiffre stable.
Je pense donc que la Fed n'est pas convaincue que nous sommes sur la bonne voie en matière de progression de l'inflation. Il faut donc faire preuve de prudence, éviter de passer de trois baisses de taux à une seule.
- Vous avez mentionné une accélération de l'inflation au début de l'année. Il ne s'agit que de chiffres parus aujourd'hui.
Compte tenu de ces chiffres et des données sur l'emploi aux États-Unis, plus positifs que prévu, est-il possible que la Fed ne réduisent pas du tous les taux cette année?
- Nous pensons que c'est une possibilité, mais en fin de compte, il y a une prépondérance des risques. Il y a des risques de part et d'autre de l'équation et la Fed l'a signalé clairement pendant sa conférence de presse aujourd'hui.
Si vous considérez les données du marché du travail, nous savons que la croissance de l'emploi a été forte, on ne peut pas vraiment les nier, mais si on place dans une perspective à plus long terme, par rapport au début de l'année dernière, alors que l'emploi salarié s'élevait en moyenne à 250 000 ans mais, au début de l'année dernière il était plus proche de 290, donc il y a toujours une certaine décélération mais elle est lente.
Nous pensons que la Fed va jouer la carte de la prudence en agissant très lentement et en réagissant donner.
Nous sommes encouragés à être optimistes, car si vous creusez les détails, par exemple si vous regardez l'embauche et les changements d'emploi, vous voyez en fait des signes de recul.
Cela se traduit par les pressions salariales pour les personnes qui changent d'emploi. Cette pression a baissé d'environ 2,1 %. Il s'agit d'éléments très importants. De l'autre côté, si vous considérez l'ampleur de l'embauche, l'indice de diffusion montre que l'ampleur de l'embauche en ce qui concerne la moyenne sur six mois et entrées de diminuer.
L'évolution est lente, ce qui incite la Fed à être prudente, mais il y a bel et bien une baisse. Nous pensons que content tenu des termes utilisés par la Fed aujourd'hui, reconnaissant qu'il y a des progrès dans la lutte contre l'inflation, nous sommes enclins à penser qu'une baisse des taux est plus probable qu'improbable.
- (...).
- Au Canada par exemple, la Banque du Canada a récemment réduit les taux et cela s'est produit dans d'autres économies avancées. En revanche, aux États-Unis, puisque l'économie américaine affiche une forte croissance, puisque le marché de l'emploi se porte toujours très bien, il y a toujours de nouveaux emplois créés en grand nombre et l'inflation demeure persistantes, pensant que la Fed pourrait gagner un peu de temps en restant dans l'expectative.
Nous prévoyons que les romans obligataires américains sont plus élevés que ceux des autres marchés.
Cela me contribue au renforcement du dollar américain, un élément que nous intégrons dans nos prévisions.
- Si on examine les données fondamentales de l'économie américaine, nous savons que les États-Unis peuvent se targuer d'une très forte productivité alors que d'autres pays comme le Canada et dans une certaine mesure le Royaume-Uni ont connu des difficultés en matière de productivité de la main-d'œuvre et les États-Unis font figure d'exception. Cette plus forte productivité va plaider en faveur d'un différentiel du dollar américain en matière de taux de change. Nous pensons donc à l'avenir les États-Unis bénéficieront davantage du différentiel de taux d'intérêt et d'autre part d'une productivité plus fort. Il faut garder à l'esprit les risques géopolitiques. Les événements en Ukraine, conflits en cours au Moyen-Orient, lorsqu'il y a un risque géopolitique, il y a toujours une fuite vers la sécurité.
Cela favorise le billet vert.
En définitive, nous pensons que les États-Unis vont bénéficier de ces diverses situations.
- Compte tenu de tout cela, il y a beaucoup de mouvements sur les marchés.
Que surveillerez vous au cours des prochains mois qui pourraient changer votre opinion sur les taux d'intérêt?
- En dehors de l'inflation qui va nous tenir en haleine, comme je l'ai dit, un chiffre sur un mois ne constitue pas nécessairement une tendance. Nous avons été heureux de constater que le taux d'inflation annoncée aujourd'hui était très encourageant. Mais les progrès de l'inflation seront très importants pour dicter la trajectoire des futures réductions de taux. Comme vous le savez très bien, l'inflation des logements reste le facteur principal de ce mois-ci et s'est établie environ à quatre points d'un mois sur l'autre.
L'inflation est toujours aussi forte.
C'est quelque chose qui, j'en suis sûr, donne du fil à retordre aux responsables de la Fed. Si nous comparons avec avant la pandémie, cette partie du panier augmenterait 1/10. nous sommes très loin de ce que nous te prions être aux côtés de l'inflation, en particulier les façons du logement. Premièrement. Deuxièmement, le marché de l'emploi sera très important.
Jusqu'ici nous ne voyons pas de fissures émerger, mais si il devait y en avoir, les marchés vont certainement réagir, les banques centrales vont certainement réagir, compte tenu notamment du double mandat de la Fed. En ce qui concerne les États-Unis, les élections américaines ont lieu dans le courant de l'année, cela va influencer de nombreux aspects de la politique budgétaire, nous savons que Trump et Biden ont des politiques très différents, cela va (...) et même de dépenses plus importantes au niveau gouvernemental.
Il y a donc beaucoup de choses qui nous occupent, mais l'élément principal, c'est l'inflation.
- Vous venez d'entendre Rannella Billy-Ochieng. À présent, l'actualité du monde des affaires et un coup d'oeil sur les marchés.
(...) Adobe a bénéficié de sa gamme de nouveaux produits intégrant l'intelligence artificielle. Bien entendu, l'action progresse de plus de 14 %.
Beaucoup d'informations à décortiquer au sujet de Tesla. Elon Musk, qui a obtenu de ses actionnaires son paquet de rémunérations de 56 milliards de dollars, et les actionnaires ont également accepté de déplacer l'entreprise du Delaware au Texas.
Ceux qui déclare que M. Musk vaut 56 milliards de dollars déclarent que le potentiel de la compagnie justifie cette rémunération.
Il a fait une prévision d'action sur la valeur boursière, il déclare que les robots humanoïdes Optimus porteraient la capitalisation boursière de Tesla à 25 billions de dollars, la valeur actuelle de l'ensemble de la moitié du S&P 500. Une prévision audacieuse.
RH (...) dans un marché immobilier qui a nettement ralenti aux États-Unis, tout comme au Canada, à 228,16 $ actions, celle-ci recule presque 18 %.
La semaine finit de manière assez mitigée pour l'indice TSX composé, qui recule 244 points, soit deux tiers de pour cent. Aux États-Unis, l'indice S&P 400 atteints de nouveaux sommets cette semaine, mais marque légère pause aujourd'hui.
Les performances des grandes valeurs technologiques comme NVIDIA ont permis au marché d'atteindre de nouveaux sommets cette année, mais cette tendance peut-elle se poser? Si ce n'est pas le cas, à quel secteur les témoins sera-t-il passé?
Justin Flowerday m'a rejoint pour en discuter.
- Il y a des raisons de croire que cette hausse pourrait se poursuit. Si vous songez à ce qui a tiré le secteur de la technologie vers le haut, c'est vraiment l'intelligence artificielle, les semi-conducteurs et Internet.
D'autres secteurs comme les logiciels et les services n'ont pas progressé aussi fortement. Si ces secteurs la se joignent à la progression, cela contribuera à faire avancer encore plus le secteur de la technologie.
Un autre motif d'optimisme, les révisions à la hausse des prévisions de résultat par action qui demeure systématiques et élevés dans le secteur de la technologie.
Pour le deuxième semestre de cette année, les prévisions sont constamment revues à la hausse.
Un dernier point, cette évolution de l'IA, il s'agit d'un événement comme il n'en arrive qu'une fois dans une vie.
Si vous songez à l'ampleur de l'occasion à saisir, il y a des centres de données installées à un coût de billion de dollars. NVIDIA réalise des milliards de dollars de revenus chaque année, c'est le rythme de croisière. On n'en est donc toujours au tout début dans le remplacement du parc du centre de données, qui devront en outre être préparé à l'intelligence artificielle.
- L'argument contraire porte sur l'absence d'une appli capitale. C'est peut-être pourquoi le secteur du logiciel est à la traîne.
- Oui, c'est cela.
Quel est l'appli capitale? Il en faudra une pour justifier les dépenses de centaines de milliards de dollars engagés pour développer ces centres de données.
Quant à la transmission du témoin, il y a quelques secteurs qui pourraient être intéressants, mais il n'y a pas un grand thème général mais quelque petit thèmes.
- Parlant de petits thèmes justement. Je sais que Gestion de placements TD évoque le secteur industriel qui ne serait pas apprécié à sa juste valeur.
- Le secteur industriel est très intéressant, particulièrement pour mes collègues et les analystes qui le couvrent comme Juliana Faircloth.
Il y a un certain nombre de thèmes dans le secteur industriel qui vont continuer de faire progresser certains domaines à la hausse. Tout d'abord, l'aérospatiale et la défense. L'aérospatiale et la défense ont bénéficié du retour en force des déplacements civils par transport aérien et des commandes en attente de construction d'avions. Il y a en outre l'équipement électrique avec la construction de centres de données, il faut toutes sortes de composantes qui entrent dans la construction des centres de données, il faut également renforcer le réseau pour alimenter tous ces centres de données et leur consommation. Il y a donc une tendance dans ces domaines. Dans d'autres secteurs, les actions qui progressent en début de cycle, les données sur les intentions des gestionnaires des achats récemment n'étaient pas très fortes au niveau des biens. Il y a progression dans les marchés comme l'automatisation, le chemin de fer, les transports, on constate une certaine hésitation sur ces marchés.
Il se pourrait qu'il y ait une amélioration s'il y a un retour de l'activité des achats en début de cycle.
- Il s'agit donc de secteurs qui pourraient progresser. Que dire des secteurs en situation de faiblesse?
Comment le consommateur se maintient-t-il?
Commence-t-il à faiblir?
- Le consommateur est intéressant parce que tout le monde le surveille, le scrute.
Dépense-t-il trop? A-t-il drainé son épargne supplémentaire?
Il y a, je ne dirais pas un affaiblissement, mais un ralentissement général de la confiance des consommateurs.
Et puis quand on considère différents secteurs de la consommation, il y a des cohortes qui ne se tient pas aussi bien à faire que d'autres. Des cohortes à plus faibles revenus qui ont épuisé une bonne part de leur épargne.
Il y a des défaillances au niveau des cartes de crédit, dans les prêts automobiles, il y a donc une cohorte des consommateurs qui éprouvent des difficultés ces jours-ci. Quand on pense à investir, il y a une légère rétrogradation de la part des consommateurs qui baissent en gamme et s'intéresse au produit offre un meilleur rapport qualité-prix. Les compagnies qui peuvent offrir un excellent rapport qualité prix et mener leur exploitation avec efficacité, c'est là où une bonne chose de réussir. En revanche, il y a des consommateurs qui ne s'intéressent pas vraiment au prix, qui veulent tout simplement acheter ce qu'ils veulent acheter. Ils ne sont pas sensibles aux prix.
Quand on songe à l'investissement, il y a des marques de luxe, des compagnies qui ont des marques très fortes qui continueront de bien réussir.
Un des grands événements de cette semaine sur un autre rapport sur l'inflation aux États-Unis. On ne prévoit pas que la Fed va intervenir bientôt. Les marchés sont tellement sensibles aux différents points de données qui pourraient alimenter la réflexion de la Fed. La semaine dernière, on a parlé de la faiblesse de la confiance des acheteurs. (...) La machine de traduction des marchés se demande actuellement quel interprétation donnée à tout cela. On s'attend à ce qu'il y ait un assouplissement de l'environnement des taux d'intérêt afin de soulager un peu la pression sur les bilans et cela va contribuer à améliorer la confiance des consommateurs en même temps.
Quand vous réduisez les taux, vous les réduisez pour une raison. C'est parce que les perspectives de l'économie ont diminué.
Ce sera intéressant au courant de l'été de voir d'où proviendra la première réduction de taux de la Fed ainsi que les autres banques centrales.
- Vous venez d'entendre Justin Flowerday.
À présent, poursuivons la découverte de CourtierWeb. Si vous souhaitez atteindre certains objectifs financiers, courtier web vous propose des outils. Caitlin Cormier est formatrice principale a Placements directs TD. En tant qu'investisseur autonome, vous êtes votre propre gestionnaire de portefeuille.
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Voici l'argent que nous devons avoir accumulé pour la retraite et la projection. Il y a bien sûr un écart entre les deux. Il faut apporter des ajustements pour rapprocher.
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Cela nous donne un moyen d'apporter facilement des ajustements à notre plan actuel pour parvenir à ces objectifs.
Si vous cliquez sur essayer, nous allons pouvoir le faire passer le logiciel dans notre tableau de bord et nous pourrons suivre la réalisation de notre objectif au fur et à mesure.
Apporter des ajustements au fur et à mesure que le temps change. Vous pouvez apporter des changements à tout ce qui se serait passé pendant la période en question. Vous êtes peut-être plus prudents, vous voulez changer d'autres avis.
Cet outil est excellent pour les investisseurs auto dirigés qui souhaitent faire le suivi de leurs objectifs et demeurer sur la bonne voie.
- Merci à Caitlin Cormier, formatrice principale à Placements directs TD. Je vous rappelle que le mois de juin est le mois d'éducation sur les options à Placements directs TD. Et pour en savoir plus, vous pouvez balayer ce code QR pour vous inscrire au mois de l'éducation sur les options.
Encore une fois cette semaine, les marchés ont atteint des sommets inégalés grâce à la promesse de ralentissement de l'inflation est un éventuel allégement des taux d'intérêt par la réserve fédérale américaine, mais les bénéfices des entreprises justifie-t-il vraiment?
Damian Fernandes m'a rejoint pour en discuter.
- Nous sommes dans une phase de croissance des bénéfices, haussier. Mettons des chiffres là-dessus.
(...) Les trimestres récents prévus pour cette année, il y a une croissance des bénéfices. Vous avez dit au début que le marché est tellement concentré sur ces grands récits macro-économiques, sur ce qui se passe avec l'inflation, sur l'évolution des taux et le récit au passé nous somme dans un marché haussier. Le rasoir d'Occam.
- Vous venez de montrer un graphique sur les tendances historiques des bénéfices.
Dites-nous ce que nous observons ici.
- Eh bien, vous voyez, la moitié supérieure, ce sont les ventes. En bas, les bénéfices. Cela montre bien que les bénéfices étaient négatifs l'année dernière et depuis lors il y a une croissance. À ce stade, lorsque les conditions qui soutiennent les marchés, baisse de l'inflation, augmentation de l'activité mondiale, réalisations des bénéfices sont au rendez-vous, je ne suis pas étonné que nous ayons un marché aussi très conventionnel. L'autre discours, très courant sur les marchés, c'est oui, nous avons vu le S&P 500 et le Nasdaq atteindre de nouveaux sommets, mais tout était lié à la technologie. Il s'agit d'une poignée d'actions si l'on considère l'ampleur du marché. À quoi cela ressemble-t-il?
L'année dernière était à peu près ça. Les sept magnifiques étaient une réalité.
(...) Le marché gravite autour de secteurs où il y a de la croissance. L'année dernière, les sept magnifiques étaient les seules valables grâces aux avantages de l'ensemble de longues durées de l'IA qui a fait progresser l'arche d'affaires et leur bénéfice. Il y a donc eu une bonne croissance des bénéfices de ces entreprises et c'est ainsi qu'un ensemble d'investisseurs se sont tournés vers elle.
Cette année, les sept magnifiques sont plus monolithiques.
Deux d'entre elles affichent des performances inférieures au marché.
L'année dernière, la répartition était mauvaise. Il y avait beaucoup d'actions qui étaient en hausse mais pas dans la même mesure que les sept magnifiques.
Cette année, la moyenne des actions de l'indice S&P est en hausse et les sept magnifiques sont dans certains cas à la traîne.
Les investisseurs s'habituèrent au fait, au fur et à mesure que la croissance économique progresse que les gens se sentent plus à l'aise, on délaisse les sept magnifiques et on recherche d'autres options.
- Parlant d'autres idées intéressantes sur les marchés. Le secteur industriel, secteur financier et les services publics.
- Le secteur industriel, tous ces secteurs réunissent des entreprises qui se situent à différents niveaux du cycle.
Dans les premiers stades d'un marché haussier, ce sont les cycliques précoces qui sont en tête.
Logement, médias, semi-conducteurs, tous ces secteurs avaient touché le fond fin 2023.
À mesure que la croissance économique progresse, et que les gens se sentent plus à l'aise avec la reprise, on assiste à une transition des secteurs cycliques précoces vers les secteurs cycliques moyens et tardifs.
(...) Si nous n'entrons pas en récession et qu'elles ont de meilleur provision de pertes sur créances moins importants, les sociétés financières devraient donc commencer à voir leurs bénéfices augmentés et les marges d'intérêt nettes sont stables et familiaux. Les sociétés financières, en plus, la valorisation est inférieure à celle du marché. Lié au thème séculaire de L'IA dont beaucoup de vos invités parlent j'en suis sûr.
(...) 40 % de la demande d'énergie supplémentaire sont liés au centre de données, des consommateurs voraces d'énergie. Si vous êtes une entreprise de services public qui peut fournir (...) Si on parle des cycliques, (...) je pense que les TSX aussi, pensez au TSX et à ce qui constitue nos plus grands secteurs. La composition du TSX, Adama fois que j'ai regardé, c'était plus de 60 % finance, énergie, produits de base. Ce sont tous par définition des secteurs cycliques tardifs. Ils sont tous tributaires de l'évolution des cours des matières premières, les mesures prises par la réserve fédérale et les banques centrales et la croissance en Chine. Dans tous ces secteurs, ce qui se passe normalement, c'est que si les gens sont plus convaincus de la reprise économique, le cours des matières premières comment ça s'apprécie.
L'énergie est à 75 $ aujourd'hui, il est difficile pour les entreprises secteurs de l'énergie de gagner de l'argent lorsque le prix de ce quel vent est inférieur au prix auquel sont redevables.
(...) Ce qui sera bénéfique pour ses entreprises en fin de cycle.
- Nous avons parlé de la croissance des bénéfiques. Je crois que vous avez un graphique montrant la croissance.
- Les graphiques sont parfois très parlants. Celui-ci est assez simple.
Le S&P sur les cinq dernières années. La ligne blanche a dépassé la ligne verte, lequel représente les bénéfices du TSX. La raison, c'est que la croissance des bénéfices a été plus rapide, le sommet a été atteint début 2022. C'est parce que les cours des produits de base ont bénéficié de conflits géopolitiques. Les prix du pétrole ont ensuite baissé, c'est pourquoi la ligne verte a baissé. Si les prix des matières premières continues d'augmenter, au fur et à mesure que les gens sont plus convaincus du retour de la croissance économique, il devrait rattraper le retard. Je ne serais pas étonné si dans un an les TSX surclassés.
- J'aimerais connaître votre point de vue sur l'échelle de l'inflation de ce matin.
C'est soit le scénario Boucle d'or que les gens attendaient.
Est-ce ainsi qu'il faut lire cela ou a-t-il lieu d'être sceptique?
- Je crois que ce qui est le plus intéressant dans la raison pour laquelle les marchés sont en hausse jeudi, c'est que l'inflation peut chuter pour deux raisons. La demande s'effondrait, ce qui entraîne une impulsion désinflationniste, où il y a une amélioration de l'offre.
Je suis assez sûr que la réserve fédérale et la Banque du Canada s'en réjouisse.
Il y a de bonnes tendances inflationnistes.
Ce que j'entends par là, c'est que la désinflation que nous voyons a été une question d'offre et une réduction du coût des biens, je ne suis pas étonné que le marché soit en hausse aujourd'hui. Les chiffres de l'inflation ont été soutenus par le recul des pressions inflationnistes sous-jacentes, notamment dans le secteur du logement. On attendait qu'il y ait une baisse ici ce qui est en train de se produire. Je pense que la réserve fédérale est en passe de procéder à deux baisses de taux cette année. La Banque du Canada a commencé.
(...) Toutes les banques centrales dans le monde ont escaladé la montagne des taux.
(...) En général, si la croissance instable que nous réduisons les taux, cela soutient les prix des actions à l'échelle mondiale.
- Vous venez d'entendre Damian Fernandes de Gestion de placements TD. À présent, un coup d'oeil sur les marchés.
Voici la plate-forme avancée conçue pour les négociateurs actifs proposés par Placements directs TD. La carte thermique permet de visualiser l'évolution du marché. Nous savons que l'indice TSX composite est en recul après une baisse hier déjà. Quels sont les points faibles?
Il est évident que ce qui se passe, dans le secteur de l'énergie, recul, de grands titres comme Cenovus baisse. Le secteur financier et également sous pression.
S'il y a du vert à l'écran, pourquoi ne pas rechercher un peu d'optimisme en ce vendredi? Shopify affiche un peu de vert à l'écran avec une croissance de 5 %.
L'indice S&P 500 et le Nasdaq ont atteint de nouveaux aimer cette semaine, nous en avons parlé pendant les missions et de nos entretiens de cette semaine, l'inflation recule aux États-Unis, la décision de la Fed, celle-ci a maintenu son taux actuel mais envisage une réduction.
Aujourd'hui, une légère pause dans cette remontée. NVIDIA est en hausse de presque 1 %. Adobe est la star de la séance.
Les résultats étant supérieurs aux prévisions, l'intelligence artificielle se répercutant dans ses projets créatifs. Une certaine faiblesse dans les constructeurs automobiles. Tesla ou Ford ou encore General Motors.
Comme toujours, faites vos propres recherches avant de prendre une décision de placement.. Restez à l'écoute, lundi, Nicole Ewing répondra à vos questions sur la planification fiscale et successorale.
Vous pouvez me les poser à l'avance par courriel, MoneyTalkLive@TD.com. Avant de nous séparer, je signale qu'aujourd'hui marque le deuxième anniversaire de l'inauguration de Parlons Argent en direct. Nous vous remercions tous d'avoir été à l'écoute, nous remercions nos invités d'avoir pris le temps de participer à l'émission et de répondre à nos questions. Anthony est resté avec moi.
J'ai dit il nous faut 12 pieds. On ne peut pas se viser les uns les autres.
Fêtons les deux ans de Parlons Argent en direct. Nous vous apprécions. Je ne sais pas ce qui va se produire. Allons-y, 3, 2, 1!
Voilà. 12 pieds? Ce n'était pas 12 pieds.
Je vais tirer à la caméra. Merci et à lundi!
Les bénéfices des entreprises sont-ils suffisamment solides pour soutenir les valorisations? Damian Fernandes nous répond. Rannella Billy-Ochieng analyse la décision de la Fed sur les taux d'intérêt de cette semaine.
Nous poursuivons la découverte de CourtierWeb. Caitlin Cormier nous montre comment suivre ses objectifs financiers.
Mais d'abord, un coup d'oeil sur les marchés.
La journée s'est mal passée pour l'indice TSX composé hier. Aujourd'hui, la situation n'est guère meilleure, en baisse de 152 points.
Parmi les titres les plus activement négociés, on retrouve le secteur des télécommunications, qui rétrograde cette semaine. TELUS hier, BCE aujourd'hui.
Il y a un peu de vert à l'écran, la technologie continue de dominer la situation au Canada on pense à Shopify.
L'action progresse de plus de 4 %. Aux États-Unis, une grande semaine, l'indice S&P 500 et le Nasdaq ont atteint des sommets inégalés, une annonce sur l'inflation, une décision de la Fed, nous allons l'analyser dans quelques instants avec mon collègue Anthony Okolie.
L'indice S&P 500 rétrograde d'un quart de pour cent.
L'indice Nasdaq recule d'un quart de pour cent également.
NVIDIA, à 135,56 $, l'action progresse de 0,7 %.
Une grande semaine pour les investisseurs.
Aux États-Unis, la statistique de l'inflation, mon collègue Anthony Okolie a suivi la situation toute la semaine.
- Oui, la grande question bien sûr, à l'approche de la décision de la Fed sur les taux, était de savoir si l'inflation était suffisamment apaisée pour envisager une nouvelle coupures de taux. Nous avons connu des chiffres sur l'inflation globale aux États-Unis qui étaient inférieurs aux prévisions sur un mois, sur un an.
L'inflation de base a en fait rétrogradé jusqu'au gain le plus limité depuis mars 2021. Cela a donné un certain espoir aux investisseurs. Il savait que la Fed maintiendrait les tarifs, mais prévoit-elle une nouvelle coupure de taux?
Il y a eu une certaine euphorie sur les marchés dans la matinée après la statistique de l'inflation moins élevée que prévu. Jerome Powell, c'est un banquier, chef d'une banque centrale, m'a paru extrêmement neutre.
Sans trop s'enthousiasmer à l'égard de ce chiffre. Essentiellement, il a dit nous ne sommes pas encore prêts. C'est exactement cela. Pendant la conférence de presse il a noté qu'à l'heure actuelle inflation demeure beaucoup trop élevée, que la Fed veut être davantage convaincue qu'elle reculera avant d'assouplir la politique monétaire.
Cela sera-t-il réalisé d'ici quelques mois? La question est en suspens. Ce sont les données sur laquelle la Fed va se reposer, même s'il y a eu un mois d'inflation en recul.
- Mercredi, vous avez été fort occupé, vous avez paru à cette émission à midi pour commenter le rapport sur l'inflation et puis après la décision de la Fed à 14 heures vous avez analysé cette dernière.
- Oui, je me suis entretenu avec Rannella Billy-Ochieng sur ses conclusions.
- Je pense que dans l'ensemble, nous nous attendions à ce que la Fed réduise la baisse des taux d'intérêt.
Si nous examinons les détails, nous voyons plusieurs choses. D'une part, elle reconnaît que la lutte contre l'inflation progresse il faut s'en réjouir.
Mais de l'autre côté, la Fed rest un peu plus prudente car si vous considérez l'inflation au cours des quatre derniers mois, il y a eu des hauts et des bas.
Au début de l'année, l'inflation était très opiniâtre alors que les chiffres de l'inflation pour ce mois-ci ont été meilleurs que prévu avec un chiffre stable.
Je pense donc que la Fed n'est pas convaincue que nous sommes sur la bonne voie en matière de progression de l'inflation. Il faut donc faire preuve de prudence, éviter de passer de trois baisses de taux à une seule.
- Vous avez mentionné une accélération de l'inflation au début de l'année. Il ne s'agit que de chiffres parus aujourd'hui.
Compte tenu de ces chiffres et des données sur l'emploi aux États-Unis, plus positifs que prévu, est-il possible que la Fed ne réduisent pas du tous les taux cette année?
- Nous pensons que c'est une possibilité, mais en fin de compte, il y a une prépondérance des risques. Il y a des risques de part et d'autre de l'équation et la Fed l'a signalé clairement pendant sa conférence de presse aujourd'hui.
Si vous considérez les données du marché du travail, nous savons que la croissance de l'emploi a été forte, on ne peut pas vraiment les nier, mais si on place dans une perspective à plus long terme, par rapport au début de l'année dernière, alors que l'emploi salarié s'élevait en moyenne à 250 000 ans mais, au début de l'année dernière il était plus proche de 290, donc il y a toujours une certaine décélération mais elle est lente.
Nous pensons que la Fed va jouer la carte de la prudence en agissant très lentement et en réagissant donner.
Nous sommes encouragés à être optimistes, car si vous creusez les détails, par exemple si vous regardez l'embauche et les changements d'emploi, vous voyez en fait des signes de recul.
Cela se traduit par les pressions salariales pour les personnes qui changent d'emploi. Cette pression a baissé d'environ 2,1 %. Il s'agit d'éléments très importants. De l'autre côté, si vous considérez l'ampleur de l'embauche, l'indice de diffusion montre que l'ampleur de l'embauche en ce qui concerne la moyenne sur six mois et entrées de diminuer.
L'évolution est lente, ce qui incite la Fed à être prudente, mais il y a bel et bien une baisse. Nous pensons que content tenu des termes utilisés par la Fed aujourd'hui, reconnaissant qu'il y a des progrès dans la lutte contre l'inflation, nous sommes enclins à penser qu'une baisse des taux est plus probable qu'improbable.
- (...).
- Au Canada par exemple, la Banque du Canada a récemment réduit les taux et cela s'est produit dans d'autres économies avancées. En revanche, aux États-Unis, puisque l'économie américaine affiche une forte croissance, puisque le marché de l'emploi se porte toujours très bien, il y a toujours de nouveaux emplois créés en grand nombre et l'inflation demeure persistantes, pensant que la Fed pourrait gagner un peu de temps en restant dans l'expectative.
Nous prévoyons que les romans obligataires américains sont plus élevés que ceux des autres marchés.
Cela me contribue au renforcement du dollar américain, un élément que nous intégrons dans nos prévisions.
- Si on examine les données fondamentales de l'économie américaine, nous savons que les États-Unis peuvent se targuer d'une très forte productivité alors que d'autres pays comme le Canada et dans une certaine mesure le Royaume-Uni ont connu des difficultés en matière de productivité de la main-d'œuvre et les États-Unis font figure d'exception. Cette plus forte productivité va plaider en faveur d'un différentiel du dollar américain en matière de taux de change. Nous pensons donc à l'avenir les États-Unis bénéficieront davantage du différentiel de taux d'intérêt et d'autre part d'une productivité plus fort. Il faut garder à l'esprit les risques géopolitiques. Les événements en Ukraine, conflits en cours au Moyen-Orient, lorsqu'il y a un risque géopolitique, il y a toujours une fuite vers la sécurité.
Cela favorise le billet vert.
En définitive, nous pensons que les États-Unis vont bénéficier de ces diverses situations.
- Compte tenu de tout cela, il y a beaucoup de mouvements sur les marchés.
Que surveillerez vous au cours des prochains mois qui pourraient changer votre opinion sur les taux d'intérêt?
- En dehors de l'inflation qui va nous tenir en haleine, comme je l'ai dit, un chiffre sur un mois ne constitue pas nécessairement une tendance. Nous avons été heureux de constater que le taux d'inflation annoncée aujourd'hui était très encourageant. Mais les progrès de l'inflation seront très importants pour dicter la trajectoire des futures réductions de taux. Comme vous le savez très bien, l'inflation des logements reste le facteur principal de ce mois-ci et s'est établie environ à quatre points d'un mois sur l'autre.
L'inflation est toujours aussi forte.
C'est quelque chose qui, j'en suis sûr, donne du fil à retordre aux responsables de la Fed. Si nous comparons avec avant la pandémie, cette partie du panier augmenterait 1/10. nous sommes très loin de ce que nous te prions être aux côtés de l'inflation, en particulier les façons du logement. Premièrement. Deuxièmement, le marché de l'emploi sera très important.
Jusqu'ici nous ne voyons pas de fissures émerger, mais si il devait y en avoir, les marchés vont certainement réagir, les banques centrales vont certainement réagir, compte tenu notamment du double mandat de la Fed. En ce qui concerne les États-Unis, les élections américaines ont lieu dans le courant de l'année, cela va influencer de nombreux aspects de la politique budgétaire, nous savons que Trump et Biden ont des politiques très différents, cela va (...) et même de dépenses plus importantes au niveau gouvernemental.
Il y a donc beaucoup de choses qui nous occupent, mais l'élément principal, c'est l'inflation.
- Vous venez d'entendre Rannella Billy-Ochieng. À présent, l'actualité du monde des affaires et un coup d'oeil sur les marchés.
(...) Adobe a bénéficié de sa gamme de nouveaux produits intégrant l'intelligence artificielle. Bien entendu, l'action progresse de plus de 14 %.
Beaucoup d'informations à décortiquer au sujet de Tesla. Elon Musk, qui a obtenu de ses actionnaires son paquet de rémunérations de 56 milliards de dollars, et les actionnaires ont également accepté de déplacer l'entreprise du Delaware au Texas.
Ceux qui déclare que M. Musk vaut 56 milliards de dollars déclarent que le potentiel de la compagnie justifie cette rémunération.
Il a fait une prévision d'action sur la valeur boursière, il déclare que les robots humanoïdes Optimus porteraient la capitalisation boursière de Tesla à 25 billions de dollars, la valeur actuelle de l'ensemble de la moitié du S&P 500. Une prévision audacieuse.
RH (...) dans un marché immobilier qui a nettement ralenti aux États-Unis, tout comme au Canada, à 228,16 $ actions, celle-ci recule presque 18 %.
La semaine finit de manière assez mitigée pour l'indice TSX composé, qui recule 244 points, soit deux tiers de pour cent. Aux États-Unis, l'indice S&P 400 atteints de nouveaux sommets cette semaine, mais marque légère pause aujourd'hui.
Les performances des grandes valeurs technologiques comme NVIDIA ont permis au marché d'atteindre de nouveaux sommets cette année, mais cette tendance peut-elle se poser? Si ce n'est pas le cas, à quel secteur les témoins sera-t-il passé?
Justin Flowerday m'a rejoint pour en discuter.
- Il y a des raisons de croire que cette hausse pourrait se poursuit. Si vous songez à ce qui a tiré le secteur de la technologie vers le haut, c'est vraiment l'intelligence artificielle, les semi-conducteurs et Internet.
D'autres secteurs comme les logiciels et les services n'ont pas progressé aussi fortement. Si ces secteurs la se joignent à la progression, cela contribuera à faire avancer encore plus le secteur de la technologie.
Un autre motif d'optimisme, les révisions à la hausse des prévisions de résultat par action qui demeure systématiques et élevés dans le secteur de la technologie.
Pour le deuxième semestre de cette année, les prévisions sont constamment revues à la hausse.
Un dernier point, cette évolution de l'IA, il s'agit d'un événement comme il n'en arrive qu'une fois dans une vie.
Si vous songez à l'ampleur de l'occasion à saisir, il y a des centres de données installées à un coût de billion de dollars. NVIDIA réalise des milliards de dollars de revenus chaque année, c'est le rythme de croisière. On n'en est donc toujours au tout début dans le remplacement du parc du centre de données, qui devront en outre être préparé à l'intelligence artificielle.
- L'argument contraire porte sur l'absence d'une appli capitale. C'est peut-être pourquoi le secteur du logiciel est à la traîne.
- Oui, c'est cela.
Quel est l'appli capitale? Il en faudra une pour justifier les dépenses de centaines de milliards de dollars engagés pour développer ces centres de données.
Quant à la transmission du témoin, il y a quelques secteurs qui pourraient être intéressants, mais il n'y a pas un grand thème général mais quelque petit thèmes.
- Parlant de petits thèmes justement. Je sais que Gestion de placements TD évoque le secteur industriel qui ne serait pas apprécié à sa juste valeur.
- Le secteur industriel est très intéressant, particulièrement pour mes collègues et les analystes qui le couvrent comme Juliana Faircloth.
Il y a un certain nombre de thèmes dans le secteur industriel qui vont continuer de faire progresser certains domaines à la hausse. Tout d'abord, l'aérospatiale et la défense. L'aérospatiale et la défense ont bénéficié du retour en force des déplacements civils par transport aérien et des commandes en attente de construction d'avions. Il y a en outre l'équipement électrique avec la construction de centres de données, il faut toutes sortes de composantes qui entrent dans la construction des centres de données, il faut également renforcer le réseau pour alimenter tous ces centres de données et leur consommation. Il y a donc une tendance dans ces domaines. Dans d'autres secteurs, les actions qui progressent en début de cycle, les données sur les intentions des gestionnaires des achats récemment n'étaient pas très fortes au niveau des biens. Il y a progression dans les marchés comme l'automatisation, le chemin de fer, les transports, on constate une certaine hésitation sur ces marchés.
Il se pourrait qu'il y ait une amélioration s'il y a un retour de l'activité des achats en début de cycle.
- Il s'agit donc de secteurs qui pourraient progresser. Que dire des secteurs en situation de faiblesse?
Comment le consommateur se maintient-t-il?
Commence-t-il à faiblir?
- Le consommateur est intéressant parce que tout le monde le surveille, le scrute.
Dépense-t-il trop? A-t-il drainé son épargne supplémentaire?
Il y a, je ne dirais pas un affaiblissement, mais un ralentissement général de la confiance des consommateurs.
Et puis quand on considère différents secteurs de la consommation, il y a des cohortes qui ne se tient pas aussi bien à faire que d'autres. Des cohortes à plus faibles revenus qui ont épuisé une bonne part de leur épargne.
Il y a des défaillances au niveau des cartes de crédit, dans les prêts automobiles, il y a donc une cohorte des consommateurs qui éprouvent des difficultés ces jours-ci. Quand on pense à investir, il y a une légère rétrogradation de la part des consommateurs qui baissent en gamme et s'intéresse au produit offre un meilleur rapport qualité-prix. Les compagnies qui peuvent offrir un excellent rapport qualité prix et mener leur exploitation avec efficacité, c'est là où une bonne chose de réussir. En revanche, il y a des consommateurs qui ne s'intéressent pas vraiment au prix, qui veulent tout simplement acheter ce qu'ils veulent acheter. Ils ne sont pas sensibles aux prix.
Quand on songe à l'investissement, il y a des marques de luxe, des compagnies qui ont des marques très fortes qui continueront de bien réussir.
Un des grands événements de cette semaine sur un autre rapport sur l'inflation aux États-Unis. On ne prévoit pas que la Fed va intervenir bientôt. Les marchés sont tellement sensibles aux différents points de données qui pourraient alimenter la réflexion de la Fed. La semaine dernière, on a parlé de la faiblesse de la confiance des acheteurs. (...) La machine de traduction des marchés se demande actuellement quel interprétation donnée à tout cela. On s'attend à ce qu'il y ait un assouplissement de l'environnement des taux d'intérêt afin de soulager un peu la pression sur les bilans et cela va contribuer à améliorer la confiance des consommateurs en même temps.
Quand vous réduisez les taux, vous les réduisez pour une raison. C'est parce que les perspectives de l'économie ont diminué.
Ce sera intéressant au courant de l'été de voir d'où proviendra la première réduction de taux de la Fed ainsi que les autres banques centrales.
- Vous venez d'entendre Justin Flowerday.
À présent, poursuivons la découverte de CourtierWeb. Si vous souhaitez atteindre certains objectifs financiers, courtier web vous propose des outils. Caitlin Cormier est formatrice principale a Placements directs TD. En tant qu'investisseur autonome, vous êtes votre propre gestionnaire de portefeuille.
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L'outil va nous demander ce que vous voudriez toucher à titre de revenus pendant la retraite. Cela propose quelques idées.
Mettons un peu moins, 80 % de notre revenu actuel. Il y a des conseils utiles pour vous aider à vous faire une idée de ce qui serait approprié de choisir.
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Supposons que nous avons déjà 30 000 $.
Nous allons ajouter un montant de contribution au compte. Choisissons la contribution aux deux semaines.
On clique sur sauvegarder et continue.
Voici la projection pour notre plan.
Voici l'argent que nous devons avoir accumulé pour la retraite et la projection. Il y a bien sûr un écart entre les deux. Il faut apporter des ajustements pour rapprocher.
Il est possible de visualiser les hypothèses. Vous voyez que cet objectif tient compte du montant moyen de régimes de pension du Canada, du montant minimum de sécurité de la vieillesse. On peut ajouter d'autres revenus.
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Revenus locatifs, modifie l'espérance de vie, si vous savez quel est votre montant RBC vous pouvez le saisir là.
Quand vous cliquez sauvegarder, l'objectif est ajusté compte tenu de revenus de retraite. Il est possible de modifier certains de ses chefs. Mettons que vous vous contentez de revenus un peu moindres et de travailler deux ans de plus. Nous sommes très proches, mettons que nous allons contribuer un peu plus, et voilà, nous dépassons notre objectif.
Cela nous donne un moyen d'apporter facilement des ajustements à notre plan actuel pour parvenir à ces objectifs.
Si vous cliquez sur essayer, nous allons pouvoir le faire passer le logiciel dans notre tableau de bord et nous pourrons suivre la réalisation de notre objectif au fur et à mesure.
Apporter des ajustements au fur et à mesure que le temps change. Vous pouvez apporter des changements à tout ce qui se serait passé pendant la période en question. Vous êtes peut-être plus prudents, vous voulez changer d'autres avis.
Cet outil est excellent pour les investisseurs auto dirigés qui souhaitent faire le suivi de leurs objectifs et demeurer sur la bonne voie.
- Merci à Caitlin Cormier, formatrice principale à Placements directs TD. Je vous rappelle que le mois de juin est le mois d'éducation sur les options à Placements directs TD. Et pour en savoir plus, vous pouvez balayer ce code QR pour vous inscrire au mois de l'éducation sur les options.
Encore une fois cette semaine, les marchés ont atteint des sommets inégalés grâce à la promesse de ralentissement de l'inflation est un éventuel allégement des taux d'intérêt par la réserve fédérale américaine, mais les bénéfices des entreprises justifie-t-il vraiment?
Damian Fernandes m'a rejoint pour en discuter.
- Nous sommes dans une phase de croissance des bénéfices, haussier. Mettons des chiffres là-dessus.
(...) Les trimestres récents prévus pour cette année, il y a une croissance des bénéfices. Vous avez dit au début que le marché est tellement concentré sur ces grands récits macro-économiques, sur ce qui se passe avec l'inflation, sur l'évolution des taux et le récit au passé nous somme dans un marché haussier. Le rasoir d'Occam.
- Vous venez de montrer un graphique sur les tendances historiques des bénéfices.
Dites-nous ce que nous observons ici.
- Eh bien, vous voyez, la moitié supérieure, ce sont les ventes. En bas, les bénéfices. Cela montre bien que les bénéfices étaient négatifs l'année dernière et depuis lors il y a une croissance. À ce stade, lorsque les conditions qui soutiennent les marchés, baisse de l'inflation, augmentation de l'activité mondiale, réalisations des bénéfices sont au rendez-vous, je ne suis pas étonné que nous ayons un marché aussi très conventionnel. L'autre discours, très courant sur les marchés, c'est oui, nous avons vu le S&P 500 et le Nasdaq atteindre de nouveaux sommets, mais tout était lié à la technologie. Il s'agit d'une poignée d'actions si l'on considère l'ampleur du marché. À quoi cela ressemble-t-il?
L'année dernière était à peu près ça. Les sept magnifiques étaient une réalité.
(...) Le marché gravite autour de secteurs où il y a de la croissance. L'année dernière, les sept magnifiques étaient les seules valables grâces aux avantages de l'ensemble de longues durées de l'IA qui a fait progresser l'arche d'affaires et leur bénéfice. Il y a donc eu une bonne croissance des bénéfices de ces entreprises et c'est ainsi qu'un ensemble d'investisseurs se sont tournés vers elle.
Cette année, les sept magnifiques sont plus monolithiques.
Deux d'entre elles affichent des performances inférieures au marché.
L'année dernière, la répartition était mauvaise. Il y avait beaucoup d'actions qui étaient en hausse mais pas dans la même mesure que les sept magnifiques.
Cette année, la moyenne des actions de l'indice S&P est en hausse et les sept magnifiques sont dans certains cas à la traîne.
Les investisseurs s'habituèrent au fait, au fur et à mesure que la croissance économique progresse que les gens se sentent plus à l'aise, on délaisse les sept magnifiques et on recherche d'autres options.
- Parlant d'autres idées intéressantes sur les marchés. Le secteur industriel, secteur financier et les services publics.
- Le secteur industriel, tous ces secteurs réunissent des entreprises qui se situent à différents niveaux du cycle.
Dans les premiers stades d'un marché haussier, ce sont les cycliques précoces qui sont en tête.
Logement, médias, semi-conducteurs, tous ces secteurs avaient touché le fond fin 2023.
À mesure que la croissance économique progresse, et que les gens se sentent plus à l'aise avec la reprise, on assiste à une transition des secteurs cycliques précoces vers les secteurs cycliques moyens et tardifs.
(...) Si nous n'entrons pas en récession et qu'elles ont de meilleur provision de pertes sur créances moins importants, les sociétés financières devraient donc commencer à voir leurs bénéfices augmentés et les marges d'intérêt nettes sont stables et familiaux. Les sociétés financières, en plus, la valorisation est inférieure à celle du marché. Lié au thème séculaire de L'IA dont beaucoup de vos invités parlent j'en suis sûr.
(...) 40 % de la demande d'énergie supplémentaire sont liés au centre de données, des consommateurs voraces d'énergie. Si vous êtes une entreprise de services public qui peut fournir (...) Si on parle des cycliques, (...) je pense que les TSX aussi, pensez au TSX et à ce qui constitue nos plus grands secteurs. La composition du TSX, Adama fois que j'ai regardé, c'était plus de 60 % finance, énergie, produits de base. Ce sont tous par définition des secteurs cycliques tardifs. Ils sont tous tributaires de l'évolution des cours des matières premières, les mesures prises par la réserve fédérale et les banques centrales et la croissance en Chine. Dans tous ces secteurs, ce qui se passe normalement, c'est que si les gens sont plus convaincus de la reprise économique, le cours des matières premières comment ça s'apprécie.
L'énergie est à 75 $ aujourd'hui, il est difficile pour les entreprises secteurs de l'énergie de gagner de l'argent lorsque le prix de ce quel vent est inférieur au prix auquel sont redevables.
(...) Ce qui sera bénéfique pour ses entreprises en fin de cycle.
- Nous avons parlé de la croissance des bénéfiques. Je crois que vous avez un graphique montrant la croissance.
- Les graphiques sont parfois très parlants. Celui-ci est assez simple.
Le S&P sur les cinq dernières années. La ligne blanche a dépassé la ligne verte, lequel représente les bénéfices du TSX. La raison, c'est que la croissance des bénéfices a été plus rapide, le sommet a été atteint début 2022. C'est parce que les cours des produits de base ont bénéficié de conflits géopolitiques. Les prix du pétrole ont ensuite baissé, c'est pourquoi la ligne verte a baissé. Si les prix des matières premières continues d'augmenter, au fur et à mesure que les gens sont plus convaincus du retour de la croissance économique, il devrait rattraper le retard. Je ne serais pas étonné si dans un an les TSX surclassés.
- J'aimerais connaître votre point de vue sur l'échelle de l'inflation de ce matin.
C'est soit le scénario Boucle d'or que les gens attendaient.
Est-ce ainsi qu'il faut lire cela ou a-t-il lieu d'être sceptique?
- Je crois que ce qui est le plus intéressant dans la raison pour laquelle les marchés sont en hausse jeudi, c'est que l'inflation peut chuter pour deux raisons. La demande s'effondrait, ce qui entraîne une impulsion désinflationniste, où il y a une amélioration de l'offre.
Je suis assez sûr que la réserve fédérale et la Banque du Canada s'en réjouisse.
Il y a de bonnes tendances inflationnistes.
Ce que j'entends par là, c'est que la désinflation que nous voyons a été une question d'offre et une réduction du coût des biens, je ne suis pas étonné que le marché soit en hausse aujourd'hui. Les chiffres de l'inflation ont été soutenus par le recul des pressions inflationnistes sous-jacentes, notamment dans le secteur du logement. On attendait qu'il y ait une baisse ici ce qui est en train de se produire. Je pense que la réserve fédérale est en passe de procéder à deux baisses de taux cette année. La Banque du Canada a commencé.
(...) Toutes les banques centrales dans le monde ont escaladé la montagne des taux.
(...) En général, si la croissance instable que nous réduisons les taux, cela soutient les prix des actions à l'échelle mondiale.
- Vous venez d'entendre Damian Fernandes de Gestion de placements TD. À présent, un coup d'oeil sur les marchés.
Voici la plate-forme avancée conçue pour les négociateurs actifs proposés par Placements directs TD. La carte thermique permet de visualiser l'évolution du marché. Nous savons que l'indice TSX composite est en recul après une baisse hier déjà. Quels sont les points faibles?
Il est évident que ce qui se passe, dans le secteur de l'énergie, recul, de grands titres comme Cenovus baisse. Le secteur financier et également sous pression.
S'il y a du vert à l'écran, pourquoi ne pas rechercher un peu d'optimisme en ce vendredi? Shopify affiche un peu de vert à l'écran avec une croissance de 5 %.
L'indice S&P 500 et le Nasdaq ont atteint de nouveaux aimer cette semaine, nous en avons parlé pendant les missions et de nos entretiens de cette semaine, l'inflation recule aux États-Unis, la décision de la Fed, celle-ci a maintenu son taux actuel mais envisage une réduction.
Aujourd'hui, une légère pause dans cette remontée. NVIDIA est en hausse de presque 1 %. Adobe est la star de la séance.
Les résultats étant supérieurs aux prévisions, l'intelligence artificielle se répercutant dans ses projets créatifs. Une certaine faiblesse dans les constructeurs automobiles. Tesla ou Ford ou encore General Motors.
Comme toujours, faites vos propres recherches avant de prendre une décision de placement.. Restez à l'écoute, lundi, Nicole Ewing répondra à vos questions sur la planification fiscale et successorale.
Vous pouvez me les poser à l'avance par courriel, MoneyTalkLive@TD.com. Avant de nous séparer, je signale qu'aujourd'hui marque le deuxième anniversaire de l'inauguration de Parlons Argent en direct. Nous vous remercions tous d'avoir été à l'écoute, nous remercions nos invités d'avoir pris le temps de participer à l'émission et de répondre à nos questions. Anthony est resté avec moi.
J'ai dit il nous faut 12 pieds. On ne peut pas se viser les uns les autres.
Fêtons les deux ans de Parlons Argent en direct. Nous vous apprécions. Je ne sais pas ce qui va se produire. Allons-y, 3, 2, 1!
Voilà. 12 pieds? Ce n'était pas 12 pieds.
Je vais tirer à la caméra. Merci et à lundi!