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(musique) - Bonjour ici Greg Bonnell. Bienvenue à Parlons Argent en direct, une émission de Placements directs TD. Aujourd'hui, Anthony Okolie commente le rapport sur le PIB canadien et ses conséquences pour la décision de la Banque du Canada la semaine prochaine.
Ben Gossack de Gestion de Placements TD examine les secteurs susceptibles de tirer le marché vers le haut. Nous discuterons avec Daniel Ghali de valeurs mobilières TD des marchés de l'argent métal.
Nous poursuivons la découverte de CourtierWeb. Caitlin Cormier nous montre comment utiliser les ordres l'un annule l'autre. Mais d'abord un coup d'œil sur les marchés en ce dernier jour de bourse de la semaine et du mois de mai.
Déjà en juin! Il n'y a pas beaucoup de dynamiques à la hausse. L'indice TSX composite recule de 51 points. Mais rien de grave. Un peu moins d'un quart de pour cent. Parmi les titres les plus activement négociés avec le secteur de l'énergie et de l'autre, Baytex Energy, la situation du pétrole brut n'est guère reluisante.
Baytex est légèrement en hausse de 0,4 % à 4,98 $.
Kinross Gold est en repli à 10,94 $, recul d'un an et demi pour cent. Aux États-Unis, la semaine a été un peu mouvementée et difficile pour les marchés américains.
L'indice S&P 500 recule de 31 points, soit plus d'un demi pour cent. Après avoir récemment atteint des sommets, beaucoup d'inquiétudes quant à l'inflation et ses conséquences pour les taux d'intérêt.
Ensuite, l'indice Nasdaq à forte composante technologique est en recul de plus que l'ensemble du marché d'un quart de pour cent. Les actions de technologie ont fortement remonté, mais depuis quelques séances, sont en léger recul.
Un titre qui progresse tout de même beaucoup aujourd'hui, c'est Gap. Les bénéfices supérieurs aux pronostics qui impressionnaient marcher à 28,40 $.
L'action bondit de 26 %.
Il y a beaucoup de statistiques importantes aujourd'hui qui vont éclairer les décisions des banques centrales quant au coût des emprunts. Commençons par chez nous avec Anthony Okolie.
Dans notre propre studio d'ailleurs.
Parlons du PIB canadien.
- Le rapport sur le PIB a été un peu plus mitigé que prévu. 0,4 %.
Soit 1,7 % au niveau trimestriel sur une base annualisée.
Après une croissance essentiellement nulle au quatrième trimestre 2023.
Ce chiffre a été révisé à la baisse à 0,1 %. Quand on considère la prévision pour le mois suivant, il s'agit d'une croissance de 2,3 %. Quels sont les facteurs qui sont à l'œuvre? La hausse des dépenses des ménages en matière de services comme le graphique le montre, a beaucoup contribué à la croissance au premier trimestre.
Pourquoi? C'est parce que les Canadiens avaient davantage de revenus discrétionnaires, ce qui a contribué à financer la consommation. Il s'agit surtout des services, des services de télécommunications, loyers, transport aérien par exemple. Il y a eu également une hausse des demandes des dépenses de biens notamment dans le secteur de l'automobile. Mais la hausse s'établit à seulement 0,3 %.
Les inventaires, utilisation des inventaires représente le principal élément à la baisse. Les dépenses de consommation se sont maintenues, notamment grâce à la croissance démographique, mais quand on exclut les facteurs externes, Services économiques TD montre quelques amies canadiennes augmentées au rythme trimestriel le plus rapide de son nom ne prévoit pas que cela se poursuivra, car on ne prévoit pas que des dépenses de consommation continuant d'afficher une accélération.
Mais plutôt qu'il s'agira d'une réduction progressive.
- La décision de la Banque du Canada sur les taux d'intérêt est mercredi prochain.
Les marchés semblent avoir évolué dans leur pronostic quant aux coupures de taux la semaine prochaine! À l'heure actuelle, les marchés prévoient qu'il y aura 70 % de possibilité qu'il y ait une réduction de taux, 100 % de possibilité qu'il y ait une réduction au mois de juillet. S'il n'y a pas de réduction au mois de juin, il s'agirait d'une décision d'attente, mais énergique. Pour l'instant, Services économiques prévoit qu'il y aura une coupure de taux mois de juillet.
- Les indicateurs privilégiés de l'inflation pour la Fed, l'indice des dépenses de consommation personnelle ont paru aujourd'hui.
Il y a rien d'exceptionnel. Ce n'est ni bien ni mal.
L'indice qui exclut l'alimentation et l'énergie est en hausse de 1,2 % sur un mois. C'est en légère baisse par rapport au mois de mars. C'est conforme aux estimations. Le taux annualisé s'établit à 2,8 %. Encore une fois, pratiquement inchangé, comme c'est le cas depuis trois mois consécutifs.
- Parallèlement cet indice des dépenses de consommation personnelle, les données ont paru sur les revenus personnels, en hausse de 0,3 %. C'était conforme aux prévisions parce que les dépenses étaient seulement en hausse de 0,2 % plus il est inférieur aux prévisions. Encore une fois la conclusion, c'est que l'indice des dépenses de consommation personnelle n'affiche pas beaucoup de progrès dans la lutte contre l'inflation.
C'est positif pour les marchés, car il y a eu un léger recul et la tendance d'accélération ne semble pas se prolonger.
À l'écran, on voit valeurs mobilières TD qui prévoit une réduction de 25 points de base mois de juin. Ce serait la réunion de la semaine prochaine.
Il s'agit d'une intuition. Voilà ce que nos collègues pronostiquent. Nous allons bien entendu suivre cette actualité.
Immédiatement après, naturellement, la Fed prendra sa décision sur les taux. Il est vraisemblable dans la plupart des analystes, afin de continuer à faire preuve de patience et qui n'aura sans doute pas de réduction de taux d'ici la fin de l'année.
- Merci Anthony Okolie!
À présent, l'actualité du monde des affaires et un coup d'œil sur les marchés.
Les actions de Dell sont sous pression aujourd'hui bien que l'entreprise ait présenté des bénéfices supérieurs aux prévisions. Mais les investisseurs se concentrent sur les marges qu'il avait dû diminuer de plus de 22 %.
En outre, les chiffres du carnet de commandes des serveurs de Dell pour l'intelligence artificielle sont inférieurs aux prévisions. L'action recule fortement à 132,55 $.
Plus de 21 %. En revanche, les actions de Gap bondissent.
C'est la société mère de Banana Republic et de Old Navy et de Gap dans les prévisions de vente des bénéfices ont largement dépassé ainsi que les résultats du dernier trimestre. Les milieux financiers sont impressionnés à 28,20 $ l'action.
Celle-ci bondit de 25 %, uniquement depuis le début de la séance. C'est une autre histoire pour les détaillants de grands magasins Nordstrom. La perte trimestrielle a été plus importante que prévue alors que la chaîne de magasins prix produits Nordstrom Rack continue d'être à la traîne par rapport à ses rivaux tels que Marshall. Ceci dit, Nordstrom prévoit et maintient ses prévisions pour l'année. Les milieux financiers accueillent favorablement cette nouvelle après début de séance difficile à 21,86 $. L'action progresse de 4 %. À présent, un coup d'œil sur les grands indices en ce dernier jour de bourse de la semaine et du mois de mai.
Des choses pourraient changer d'ici quelques heures mais pour l'instant, l'indice recule de 57 points, encore 2 %.
Aux États-Unis, c'est toujours l'inflation qui obnubile les investisseurs. L'indice S&P 500 recule de 33 points, soit plus d'un demi pour cent. Les grands valeurs technologiques font les gros titres sont considérées par beaucoup comme les chefs de file du marché. Elles ont en fait déçu depuis quelque temps. Selon Ben Gossack de Gestion de Placements TD, les ondes grandes entreprises technologiques sont de retour.
Certains parlent de repérage de tendance.
Nous recherchons des secteurs de force et de faiblesse.
Nous sommes fort occupés et nous comptons sur la télévision, sur les journaux, pour nous dire ce qui se passe. Or, on nous dit que c'est la technologie, c'est l'intelligence artificielle, ce sont les semiconducteurs. La technologie en tant que secteur a donné des résultats décevants pendant la plus grande partie de cette année. Ce facteur atteint implique dans le mois de janvier et ça n'a été que la fin avril ou début mai qu'il entamait une remontée.
À présent, bien entendu, nous disons que nous n'avions jamais été inquiets mais c'était un élément important du marché. Ce qui est impressionnant, c'est que même si la technologie donnait des résultats décevants, indice S&P n'en a pas moins atteint de nouveaux sommets. Très important à savoir. Ça marché haussier que nous avons connu n'est pas uniquement tiré par la technologie. Voici un graphique qui montre la situation des tendances du secteur de la technologie. Qu'est-ce nous dit ses courbes?
- Alors, il y a deux graphiques.
La force et la faiblesse relative était supérieure une fraction. Le numérateur, c'est le X est le cas. Qui suit le S&P 500 et nous divisons ce prix par l'indice S&P 500.
Ne vous inquiétez pas de l'échelle, si ça montre que ce (...) X elle surclasse.
À gauche, la capitalisation boursière.
À droite, nous prenons les mêmes actions, mais avec une pondération égale.
Donc pondération égale de l'indice par rapport au FNB à pondération égale.
Si on dit: la technologie, progresse uniquement parce qu'il était à grande capitalisation boursière. On pourrait soutien que nous avons vu que la technologie donne des résultats exceptionnels.
Sur pondération égale, plongez la main dans un chapeau, saisissez une action technologique et vous avez de fortes chances que l'une d'elles donne des résultats exceptionnels. Ce n'est pas simplement une question de leadership mais non gourmand. Vous voyez que les leaders de la technologie en matière capitalisation boursière, les, Apple Microsoft et NVIDIA surclasse.
Mais après une période de résultats décevants. On voit la même tendance dans les actions à pondération égale.
Alors, quand on a un secteur qui surclasse, à un moment donné, il faut prendre une pause.
Si vous courez très vite, vous ne pouvez pas courir indéfiniment. Vous êtes obligés de ralentir, de boire une gorgée d'eau et lorsque le graphique est à la descente, c'est peut-être une pause, c'est peut-être le début d'une nouvelle tendance. Je ne sais pas. Peut-être que le coureur est tombé et s'est fait mal. Il faut un examen rétrospectif.
Quand on a vu ce creux à la fin avril ou début mai, et puis un nouveau départ à la hausse, bien sûr il est évident rétrospectif qu'il s'agissait d'une pause.
Mais pendant toute cette période de recul plutôt que de projeter ce que nous voulons voir il s'agit de déterminer ce que le marché veut nous dire.
C'est ce qui se produit. Selon ce thème ce qui se produit réellement, les actions discrétionnaires. Vous avez un graphique nous montre également dans ce secteur.
- Oui.
C'est assez notable pour la technologie de retour. C'est très bien. NVIDIA annonce des bénéfices qui remontent. Tout ce qui est relié à l'intelligence artificielle.
On n'a pas à vous convaincre.
Dans d'autres cas, il s'agit de se demander si l'on voit ce que l'on veut voir aussi on écoute le marché.
Sur la gauche, il y a une baisse du secteur des biens de consommation discrétionnaire en fonction de la capitalisation boursière et à droite, à pondération égale.
Moi, je ne m'intéresse pas tellement au secteur discrétionnaire à capitalisation boursière parce qu'il dépend tellement d'Amazon et de Tesla que tout le reste est noyé.
Donc vous n'en apprenez pas grand-chose sur le secteur des biens de consommation discrétionnaire par pondération égale revanche qui est intéressant, c'est que le secteur discrétionnaire pondération égal dépasse les CP ont pondération égale pendant toute l'année dernière. Je ne dis pas simplement les sept magnifiques. Le secteur des biens de consommation discrétionnaire sur place. Ce sont des choses que nous voulons et non pas des choses dont nous avons besoin.
C'est peut-être un indice que la situation est meilleure qu'on ne le craignait. Mais il y a à présent la tendance inverse. Si vous avez une attitude pessimiste, vous pourriez dire que cela signifie que le consommateur est en difficulté. On commence à se ressentir de la hausse des taux d'intérêt de l'inflation. C'est là où il faut prendre garde.
Il y a effectivement une tendance à la baisse, car on considère les actions individuelles, celle qui avait des résultats décevants donne des résultats encore plus décevants. Les grandes marques qui avaient parié sur la Chine pour leur croissance comme Nike ou Starbucks, ces actions baissent et continuent à baisser.
Un autre domaine qui a amorcé un déclin et la concurrence pour des entreprises comme McDonald sur les prix. Encore une fois, leurs coûts ont augmenté les avantages sociaux pour les employés ont augmenté, ils ont augmenté les prix. Mais en profitant du marché, au point où les gens protestent. Maintenant, ils ont un menu à cinq dollars et on voit des compagnies comme (---), la société mère de Burger King et de Wendys qui réagit. Le marché aime bien quand nous augmenter les prix, il déteste la concurrence sur les prix.
Ces actions ont baissé. Il y a un secteur qui est très important pour moi qui a continué de fonctionner et qui a commencé à fonctionner qui n'a pas faibli, si ce qui est relié au voyage. Même les croisières y sont de bons résultats. Les hôteliers, les sociétés de financement des voyages, l'industrie du bâtiment, domiciliaires.
Nous en avons parlé.
Quand l'affaire a commencé à relever les taux, les entreprises du bâtiment ont continué d'augmenter. McDonald aurait une concurrence sera moins cher pour le consommateur. Est-ce que c'est une mauvaise chose? Est-ce que le consommateur va faire grève? Jusqu'à ce que cela se produise?
Une autre mise en garde sur les biens de consommation discrétionnaire, c'est plus pertinent de corréler les biens de consommation discrétionnaire par rapport aux biens de consommation de base. Ce que l'on veut par rapport à cela actions dont on a besoin. Les actions de biens de consommation de boissons connues des résultats encore pires. Il est préférable d'être acheteur pour les biens de consommation discrétionnaire vendeur pour les biens de consommation de base.
Mais c'est notable, c'est compliqué.
Il est notable pour moi que le secteur de la consommation discrétionnaire affaiblie.
Ce n'est pas un signe très prometteur mais je ne suis pas prêt à dire que la situation change du tout au tout.
Ce qui allait mal va encore moins bien.
Parfois, on ne pense pas qu'il s'agit du domaine plus excitant il y a un autre secteur dont vous avez parlé ce sont les services publics.
- Oui, les services publics dans ce graphique, c'est un des secteurs qui des cieux systématiquement fonction de la capitalisation boursière, ainsi qu'à pondération égale.
À l'heure actuelle, admettons que le secteur déçoit, et puis il y a en période de rattrapage. Alors, tout comme il faut marquer une pause quand on surclasse, parfois, on se dit que les choses ne peuvent pas empirer donc elle s'améliore un peu. Mais on a touché le fond de ne pas aller plus bas.
Donc on a vu les services publics remonter.
Certaines personnes diront que c'est merveilleux, moi je veux l'acheter au plus bas prix, il y aurait une période de surclassement, mais pour en revenir à la ligne descendante originale, est-ce qu'il s'agit d'une nouvelle tendance? Nous ne savons pas. On attend. Les services publics ont toujours avoir ce genre de difficultés. Les marchés sélectionnaient gagnant.
On parle des centres de données, on parle du matériel et maintenant on lit des articles en disant qu'il faut alimenter ces centres de données.
Nous transformons tout le reste en électricité.
Le monde manque d'électricité, et les marchés sélectionnent le gagnant qui offre un potentiel de croissance en matière d'électricité.
Le nucléaire, le gaz naturel et les énergies renouvelables. Il y a un petit groupe sélect de ces actions qui bondissent.
En prévision de la nécessité d'une production d'électricité accrue. Donc le gaz naturel, le nucléaire aujourd'hui, des contrats ont été signés avec Microsoft, Apple et Oracle.
Parce que nous avons besoin de tellement d'électricité.
- Qu'on vient d'entendre Ben Gossack de gestion de placements TD. À présent, poursuivons la découverte de CourtierWeb.
Si vous cherchez à gérer votre risque dans le cadre d'une éventuelle transaction, CourtierWeb vous propose des outils.
Caitlin Cormier est formatrice principale à Placements directs TD. Bonjour, ça me fait toujours plaisir de vous voir.
Parlez-nous de la manière d'évacuer l'émotion des investissements.
- Bonjour. Donc il s'agit d'un élément clé pour les investisseurs comme vous l'avez dit. L'émotion peut vraiment brouiller la situation lorsqu'il s'agit d'argent en particulier.
L'investissement ne fait pas exception.
Certains types d'ordres peuvent aider à évaluer l'émotion. Par ailleurs, l'tété arrive et les gens ne veulent pas passer autant de temps sur leur portefeuille. Ces ordres semblent pertinents pour ce genre de situation.
Voilà comment fonctionnent ces ordres.
Celui dont je parle aujourd'hui s'appelle l'un annule l'autre.
Le but de cet ordre consiste à utiliser un ordre primaire qui va déclencher l'ordre l'un annule l'autre.
Admettons que vous achetez une action, admettons la compagnie A, admettons que vous avez acheté l'action, vous pouvez établir des seuils au-delà desquels vous ne voulez pas aller. Admettons que partir d'un certain niveau de profit, vous voulez tirer votre épingle du jeu. En revanche, si l'action commence à dégringoler, et que vous ne voulez pas réaliser une perte, vous pouvez établir un stop suiveur.
C'est comme un sandwich. Vous entourez de votre achat en plafonnant votre profit d'une part et d'autre part en limitant vos pertes afin d'assurer que l'action ne descende pas au-delà de votre zone de confort.
Donc il s'agit d'éléments que vous devez prendre en compte avant de faire un achat.
Vous pouvez fixer donc les seuils de sortie afin de ne pas avoir à y songer. - nous comprenons la justification et je comprends que parfois on peut céder à l'émotion. Cela m'arrive à moi aussi.
Alors comment peut-on passer un tel ordre dans CourtierWeb?
- Oui, effectivement.
Parfois, on devient peu cupide surtout lorsque les actions montent et lorsqu'elles descendent, on se dit qu'elles vont remonter, elles vont remonter. Il est agréable d'avoir d'ores et déjà des seuils fixés d'avance.
Voyant à quel point il est facile d'organiser cette opération.
Alors je vais cliquer sur le bouton achat et vente.
Il y a deux stratégies possibles pour mettre cet ordre en place. Il y a l'un déclenche l'autre, cela consiste à acheter l'action.
Mais passons plutôt à l'ordre l'un annule l'autre.
Il s'agit de réaliser un balisage de l'achat plutôt que d'effectuer l'achat en même temps. Alors, saisissons le nom d'une action.
Choisissons vendre, comme l'option.
Admettons que nous avons 100 actions.
D'abord nous allons dire, admettons que nous avons acheté l'action à 180 $, si elle touche le seuil des 200 $, c'est un bénéfice suffisant nous faisons tirer notre épingle du jeu.
Il faut établir la validité de l'ordre. En l'occurrence, nous pourrions peut-être saisir l'ordre pour être valable jusqu'à ce qu'il soit annulé.
190 jours pour les actions canadiennes. Ou vous pourriez choisir un calendrier.
Si vous voulez mettre l'ordre en place uniquement pour l'été, aujourd'hui, nous allons préciser que l'ordre est disponible est valable dans la mesure où l'action parvient au niveau qui est précisé. Alors, à présent, le volet de vente.
Nous allons sur ordre stop limite, je vais fixer le prix auquel je suis disposé à vendre si l'action latin. Alors, j'ai acheté à 180. Admettons que si l'action descendait à 165, c'est assez faible pour moi et je ne veux pas demeurer dans cette position. Voilà le déclencheur consiste à ce moment-là que je voudrais vendre l'action. Je vais établir une limite en disant: voici le minimum que je suis disposé à accepter pour me débarrasser de l'option.
Alors, si le prix atteint 165, il s'agira de notre limite pour vendre cent actions à 164 $ ou plus. Je vais saisir ces ordres.
Conformément à la même limite de validité, tous deux sont valables jusqu'à l'annulation. Voilà comment placer un ordre l'un annule l'autre.
Ces deux ordres ne peuvent être déclenchés tout: si l'un des ordres déclenchés, l'autre sera automatiquement annulée et il n'y aura jamais qu'un seul de ses deux autres qui sera exécuté. Si le cours n'atteint jamais l'une ni l'autre des limites que vous avez fixées, l'ordre arrive à échéance et vous pourrez le renouveler si vous le souhaitez.
- Merci comme toujours Caitlin Cormier.
- Je vous en prie, Greg.
- Caitlin Cormier est formatrice principale à Placements directs TD. Au mois de juin, Placements directs TD organise le mois de sensibilisation aux options.
Consacrés à des coûts interactifs sont la négociation d'options, les stratégies d'option.
Pour tous les investisseurs depuis les plus débutant jusqu'au plus évolué. Vous pouvez balayer ce code QR à l'écran pour entamer le même processus.
Beaucoup d'investisseurs observent la hausse de l'or cette année, mais l'argent métal connaît une progression encore plus important. Daniel Ghali de Valeurs mobilières TD m'a rejoint pour discuter des raisons de ce mouvement et de la possibilité qui se poursuive.
L'argent a énormément progressé cette année.
Les données fondamentales de l'argent sont parmi les plus ambulantes dans le complexe des produits de base aujourd'hui.
- Il s'agit de marché qui est déficitaire plus ou moins depuis trois ans.
La plupart des analyses dans le monde prévoient qu'il continuera d'afficher un déficit structurel pour l'avenir prévisible. Personne ne s'en préoccupe depuis une dizaine d'années, personne ne se préoccupe des données fondamentales d'offre et de demande, car il existe d'énormes stocks d'argent métal qui était toujours suffisamment important pour éponger tout déséquilibre de l'offre et de la demande.
Or, cette hypothèse sera remise en question d'ici un an ou deux. Et c'est le résultat de la transition énergétique.
L'énergie solaire exige davantage d'argent. Le boom des véhicules électriques également en cause l'usage accru des circuits électroniques dans les véhicules.
La demande est forte, l'offre limitée. Le marché est excitant. Pendant une dizaine d'années, personne ne se préoccupait de déficit structurel et tout à coup les marchés se sont réveillés. Est-ce que c'est la transition énergétique? On se dit: attention l'argent jouera un rôle clé.
- Oui, en partie. Il s'agit d'un environnement porteur pour les métaux précieux. L'or a beaucoup progressé on s'attendrait à ce que l'argent progresse également aussi. Notre développement. Ce qui est particulièrement intéressant les données fondamentales de l'argent à l'heure actuelle, celle-ci stocks dont nous parlions commence à s'amenuiser.
Depuis 10 ans, il y avait environ 1,6 milliards d'onces d'argent dans les coffres forts un peu partout dans le monde. Aujourd'hui, nous constatons qu'il y a sans doute une quantité substantielle d'argent métal qui demeure dans ses coffres et qui a été accaparé par des FNB par exemple. Donc la quantité d'argent qui est réellement disponible que l'on peut réellement acheter dans le plus grand réseau de coffres du marché de métaux précieux, est nettement moins importante.
Nous estimons qu'il s'agit, qu'il y a 300 millions d'onces disponibles pour acheter, dans le contexte d'un déficit de moyens de 200 millions d'onces depuis trois ans. Il ne reste pas beaucoup de temps avant que les stocks ne soient essentiellement épuisés. Cela crée une tension assez intéressante. On parle de l'autre qu'il est une des coffres pour une raison et qui joue un rôle dans système financier.
L'argent, lors du pauvre, mais si les gens de l'argent pour fabriquer des choses, c'est une tension à laquelle je n'avais pas songé.
- Oui. Depuis deux ans, on considère l'argent comme un actif financier. Comme l'or.
Mais le profil de demande de l'argent est essentiellement attribuable à l'industrie.
Il est beaucoup plus utilisé dans la fabrication de bijoux, d'argenterie, dans des applications industrielles également.
Mais surtout, surtout la flambée de la demande est attribuable à la transition énergétique. L'or est de plus en plus déphasé par rapport à l'argent. Ou le sera en conséquence de cela. Vous avez parlé de l'or brièvement. Si la demande d'argent va augmenter tandis que nous progressons dans la transition, que dire de la situation du secteur minier? Est-ce que l'industrie réagit? L'industrie ne peut pas ne pas réagir. - Oui. Nous avons passé beaucoup de temps à parler du sous investissement dans les mines, les métaux, les sociétés du secteur. Cela dure depuis 10 ans d'années. L'argent est essentiellement un sous-produit de l'extraction d'autres minerais: le plomb, le zinc, l'or. Il n'y a pas beaucoup d'argent qui est extrait de minerai d'argent. La conséquence, c'est que sous investissement structurel dans les mines d'argent a également une offre sur l'approvisionnement en cuivre.
Est-ce qu'il pourrait s'agir d'un environnement ou l'argent fasse l'objet d'une spéculation?
- Si plausible. Les coffres de la bourse des métaux de Londres qui contiennent 75 % du stock visible d'argent au monde sont en cours d'amenuisement à cause de la forte demande qui vient du thème de transition énergétique comme nous en avons parlé mais également un glissement considérable du métal de l'Ouest à l'est. L'Inde et la Chine notamment. Affichons ce graphique une nouvelle loi que nous vous avons montré au début. Montrons le corps et l'argent. L'autre a beaucoup progressé, beaucoup suscité attention, que voyons-nous?
Le fait que l'argent surclasse l'autre, cela peut prendre les gens par surprise.
- Il est fréquent que l'argent surclasse l'or à cause de sa volatilité. Si vous ajustez le rendement de ces deux actifs en fonction de leur volatilité, vous constaterez que ce n'est que depuis quelques semaines ou quelques mois que l'argent commence à dépasser l'or.
La volatilité du marché de l'argent est typiquement double de celle de l'or. Au fur et à mesure que les cours de l'or augmentent, 1 %, on pourrait s'attendre à ce que le cours de l'argent progresse du double.
- L'or aura beaucoup progressé, reculé par rapport au sommet on avait dit qu'on ne serait pas étonné de voir un recul. Il a eu lieu. Que dire de l'argent? Est-ce que la remontée va se poursuivre à court et à moyen terme?
- voilà ce qui est intéressant dans le cours de l'argent pour l'argent négocié près de ce monsieur méfie depuis plusieurs années tandis que l'autre a légèrement reculé. Ce qui souligne le fait que le cours de l'or, le fait qu'il y ait une baisse de l'or qui n'a pas tiré l'argent vers le bas monde qu'il a une véritable évolution dans la demande argent métal.
Nous pensons que cela pourrait représenter une forte demande en provenance de Chine.
Il y a eu certains signes d'une rotation dans les activités de vente au détail et de métaux précieux.
Et nous avons vu au mois d'avril une rotation potentielle depuis lors jusqu'à l'argent. Mais aussi parce que les installations solaires en Chine dépassent vraiment les attentes. L'an dernier a été une année exceptionnelle pour la croissance de la capacité d'énergie solaire en Chine. On s'attend cette année qu'au mieux, ne pourra faire autant que l'an dernier.
Les résultats jusqu'ici cette cette année sont très intéressants.
La demande physique d'argent en Inde est donc très fort.
- Je pense que nous conservons né sont bien les raisons fondamentales du remontée de l'argent. À mon dernier entretien avec Bart Mélek il y avait l'acheteur mystère de l'or et on s'est rendu compte que c'était essentiellement les banques centrales. Sachant parti. Nous pensons que cela pourrait être associé des banques centrales ou d'autres secteurs officiels.
Mais ce qui vaut la peine de mentionner, c'est qu'il s'agit à présent d'une couverture contre l'inflation. Les marchés sont de nature mondiale.
Et à l'heure actuelle, il existe une très forte pression sur les monnaies asiatiques qui donnent des raisons aux investisseurs institutionnels et aux pouvoirs publics de se diversifier modélisme annexe déprécie.
Et l'autre est parfait pour cela.
- Avant de clore cet entretien que nous avons vu la remontée de l'autre, recul de l'autre, est-ce la même chose attend l'argent?
- Non parce que le risque est assez limité. Bien sûr, il existe un risque et le risque nous paraît limité, car la marge de sécurité par rapport à une liquidation substantielle par des investisseurs est assez considérable.
Il faudrait une forte baisse des prix avant que les investisseurs ne soient obligés de liquider.
Or, la demande émane des marchés physiques. Il nous semble donc que la situation à l'heure actuelle est très solide.
- Vous venez d'entendre Daniel Ghali de Gestion de Placements TD. À présent, un coup d'œil sur les marchés.
Voici la plateforme avancée conçue pour les négociateurs actifs proposés par Placements directs TD. La carte thermique permet de visualiser l'évolution du marché. Voici les 10 TSX 60 en fonction du cours et du volume. Qu'est-ce progresse aujourd'hui? L'énergie. Suncor progresse de 1 %. Enbridge de plus de 1 % aussi. Il y a certains secteurs qui ne progressent pas. La banque CIBC recule aujourd'hui les grandes banques au Canada ont annoncé leur bénéfice trimestriel.
Il y a eu une hausse dans les actions.
First Quantum dans le secteur des produits de base recul de 4 %. À présent, aux États-Unis, l'indice S&P 500 bien sûr et les statistiques du PIB canadien parent aujourd'hui, plus faible que prévu. Les infractions privilégiées par la tête de l'indice des dépenses de consommation personnelle s'est établie conformément aux prévisions.
Ce qui ne stimule pas les marchés aujourd'hui.
C'est surtout le secteur de la technologie qui a beaucoup progressé aujourd'hui.
Aujourd'hui ce n'est pas le cas. Nvidia est le vrai gagnant dans le secteur surtout au niveau de l'intelligence artificielle grâce à ces petites applications recul de 3 %. Son concurrent AMD de trois et demis pour cent.
Même si CRM, c'est la compagnie que publie son rapport hier, c'est une (...) fort recul des actions hier. (...) aujourd'hui.
C'est presque oublié le nez de sa force.
Si CRM et C of course. Alors, tesla, six ans comme suit quand même une certaine pression. Pour les banques centrales relever leur taux de manière agressive pour juguler l'inflation, certains investisseurs se montrent au portefeuille 60 40 toujours une stratégie valable.
David Picton de la direction de Pithome Money management estime que les investisseurs pourraient vouloir aller au-delà de cette répartition traditionnelle dans le contexte actuel. Il me rejoint pour évoquer cette question et parler de son entreprise.
- Nous allons avoir (...) nous gérons 11 milliards de dollars environ. Nous nous concentrons sur les placements alternatifs. Nous cherchons à fournir des sources de revenus différenciés.
Alors parlons-en justement. Comme je le disais dans mon introduction, pendant très longtemps, on a considéré le portefeuille 60 40 ou peu importe 70 30, comme cadre de répartition d'actifs. Après la pandémie, la hausse des taux d'intérêt, et des taux a beaucoup mis ce modèle à mal. Nous considérons des catégories d'actifs.
Les actions sept à 8 %, les obligations 65 à 6 %, parfois les rendements diffèrent les uns des autres. Quand on combine ces deux catégories d'actifs surtout depuis 40 ans, on a une très bonne expérience d'investissement.
Les taux? BC. Chaque fois qu'il y avait un problème à la bourse le marché obligataire mordait le rendement global était satisfaisant.
Avec ses stratégies. Jusqu'à ce qu'on arrive à un nouveau régime inflationniste.
Comme on l'a vu en 2022, c'était la première fois depuis des années que ces deux catégories d'actifs non seulement donnaient des résultats décevants mais donner des résultats décevants considérables et en même temps. C'était la première que les investisseurs ont été désagréablement surpris surplus en progression de la relever parce que Séguin catégories d'actes ne se comportaient pas l'une et l'autre. Nous cherchons utiliser City des deux catégories d'actifs qui se compensent l'une et l'autre dans le secteur des catégories d'actifs alternatives. Si nous pouvons avoir deux catégories d'actifs qui ne sont pas corrélés, les actions des obligations agricoles on ajoute une catégorie et non corrélée, à la bourse et au marché obligataire, cette catégorie un rendement positif au fil du temps, bénéficie d'une meilleure diversification et de rangement corrigé du rythme bien supérieur. Il s'agit du contrôle du marché des catégories d'actifs neutres.
- Oui, les stratégies neutres génératrices de façon très important. Quand vous achetez en bourse vous achetez essentiellement du bêta. Si la bourse augmente, votre fonds commun de placement augmente dans la même mesure.
Si le marché obligataire augmente, votre fonds commun de placement du marché obligataire augmente la même mesure plus ou moins. Nous voulons créer quelque chose qui ne consent ni sur un discours lors de ses bêtas. Mais plutôt sur des facteurs propres à chaque compagnie qui peuvent engendrer un rendement quoi qu'il arrive en bourse sur le marché obligataire.
Neutres au plan du marché.
Approfondissons. Qu'est-ce que cela signifie? Comment créer ce genre de portefeuille?
- Nous voulons isoler les résultats des entreprises. Pour ce faire, il faut trouver des entreprises qui vous plaisent, notre fils nous nous concentrons sur le changement positif, les valeurs positives, la qualité.
Et on cherche à compenser cela.
En ajoutant des opérations à découvert.
Donc, ce qui nous plaît, c'est le changement positif, la valeur et la qualité. Nous n'aimons pas du tout les compagnies qui ont un changement négatif, mauvaise valeur et une mauvaise qualité.
Si nous pouvons créer une corbeille de ces titres négatifs, et ensuite les vendre à découvert, c'est-à-dire nous pouvons compenser l'ensemble du risque du marché sur les valeurs qui nous plaisent, si nous avons un alpha spécifique à chaque action.
Une stratégie comme celle-là commence à fonctionner de concert avec le portefeuille 60 40?
La stratégie classique d'actions et d'obligations.
- Nous ne voudrions jamais exclure cela.
Parce que si vous avez un horizon à très long terme, il vous faut des actions dans votre portefeuille. Du bêta. Il vous faut avoir une sensibilité aux données et au rendement de votre portefeuille. À très long terme toutes les études montrent que ce sont des éléments importants.
Mais n'avoir que deux options de votre portefeuille, c'est un peu comme aller jouer au golf et de n'avoir que deux bâtons.
Il en faut plusieurs autres selon le coût que l'on veut frapper. La clé dans tout cela, c'est ajouté des outils.
Il faut avoir une source de rendement positive, il faut que se comporte différemment de votre environnement boursier obligataire. C'est là qu'on policier le rendement corrigé du risque.
- Parlons de la gestion du risque. Vous songez à l'âge à ce genre de risque dans votre stratégie surtout dans un régime inflationniste.
- Oui. C'est très important pour nous et pour les gestionnaires alternatifs pour la gestion du risque nous pensons presque autant de temps à la gestion du risque cassa la sélection des actions nous faisons de plusieurs façons. Nous avons des portefeuilles qui sont conçus pour être corrélés avec le marché, 2000 corrélés avec le marché ou nullement corrélé avec le marché.
Il faut toujours avoir des processus de gestion du risque, s'assurer que quand on prévoit de ne pas être corrélé avec le marché, on est effectivement nullement corrélé avec le marché. Nous y sommes parvenus. Il y a également certaines expositions marchées. Par exemple dans son environnement comme aujourd'hui Holly Holm d'exubérance, les valorisations sont plus basses. On pourrait ajouter davantage de protection sous forme d'option prenant fin dans un placement neutre au plan du marché, on ne paraît pas au niveau sectoriel. Le cuivre et l'autre nous placements ne vont pas créer un portefeuille de cuivre et d'or couvert par la technologie. Et les banques. Il faut limiter le risque à chaque secteur.
Sache que pensez-vous de la conjoncture actuelle sur le marché? Nous vivons une époque intéressante, les romans obligataires ont augmenté pendant l'automne est redescendu au début de cette année. Nous avions pensé que la Fed allait enfin nous relever des dislocations de la pandémie cela ne s'est pas produit ainsi.
Jamie Diamond J.P. Morgan nous a dérobé un de nos slogans, c'est-à-dire que nous sommes prudemment pessimistes. Autrement dit, il y a une belle remontée des actifs à risque surtout sur le marché boursier.
Bien sûr, c'est sous l'impulsion du secteur technologique. Il y a eu beaucoup de mouvements dans tous les secteurs depuis six ou huit mois. En même temps, les taux d'intérêt ont augmenté et en même temps, nous avons différé les prévisions de coupure de taux. Donc le marché prévoit beaucoup de bonnes nouvelles. Prévoit beaucoup de croissance, prévoit des coupures d'intérêts, prévoit un recul de l'inflation et pour cela, on paie un multiple largement ce que nous avons vu dans le passé.
Alors, nous voyons comment cela pourrait marcher, mais il y a des possibilités que cela ne marche pas. D'où notre pessimiste prudent.
Vous venez David Picton, chef de la direction APTN management. Voilà tout le temps nous nous disposions aujourd'hui.
C'est toujours vos propres chansons de conditions de placement. Restez à l'écoute, lundi des (...) de Ltd des répond à vos questions sur intelligence artificielle et d'autres grandes tendances macro-économiques.
Vous pouvez nous les poser en tout temps, par courriel, moneytalklivetd.com.
Merci, au nom de toute l'équipe de Parlons Argent en direct, à lundi!
Ben Gossack de Gestion de Placements TD examine les secteurs susceptibles de tirer le marché vers le haut. Nous discuterons avec Daniel Ghali de valeurs mobilières TD des marchés de l'argent métal.
Nous poursuivons la découverte de CourtierWeb. Caitlin Cormier nous montre comment utiliser les ordres l'un annule l'autre. Mais d'abord un coup d'œil sur les marchés en ce dernier jour de bourse de la semaine et du mois de mai.
Déjà en juin! Il n'y a pas beaucoup de dynamiques à la hausse. L'indice TSX composite recule de 51 points. Mais rien de grave. Un peu moins d'un quart de pour cent. Parmi les titres les plus activement négociés avec le secteur de l'énergie et de l'autre, Baytex Energy, la situation du pétrole brut n'est guère reluisante.
Baytex est légèrement en hausse de 0,4 % à 4,98 $.
Kinross Gold est en repli à 10,94 $, recul d'un an et demi pour cent. Aux États-Unis, la semaine a été un peu mouvementée et difficile pour les marchés américains.
L'indice S&P 500 recule de 31 points, soit plus d'un demi pour cent. Après avoir récemment atteint des sommets, beaucoup d'inquiétudes quant à l'inflation et ses conséquences pour les taux d'intérêt.
Ensuite, l'indice Nasdaq à forte composante technologique est en recul de plus que l'ensemble du marché d'un quart de pour cent. Les actions de technologie ont fortement remonté, mais depuis quelques séances, sont en léger recul.
Un titre qui progresse tout de même beaucoup aujourd'hui, c'est Gap. Les bénéfices supérieurs aux pronostics qui impressionnaient marcher à 28,40 $.
L'action bondit de 26 %.
Il y a beaucoup de statistiques importantes aujourd'hui qui vont éclairer les décisions des banques centrales quant au coût des emprunts. Commençons par chez nous avec Anthony Okolie.
Dans notre propre studio d'ailleurs.
Parlons du PIB canadien.
- Le rapport sur le PIB a été un peu plus mitigé que prévu. 0,4 %.
Soit 1,7 % au niveau trimestriel sur une base annualisée.
Après une croissance essentiellement nulle au quatrième trimestre 2023.
Ce chiffre a été révisé à la baisse à 0,1 %. Quand on considère la prévision pour le mois suivant, il s'agit d'une croissance de 2,3 %. Quels sont les facteurs qui sont à l'œuvre? La hausse des dépenses des ménages en matière de services comme le graphique le montre, a beaucoup contribué à la croissance au premier trimestre.
Pourquoi? C'est parce que les Canadiens avaient davantage de revenus discrétionnaires, ce qui a contribué à financer la consommation. Il s'agit surtout des services, des services de télécommunications, loyers, transport aérien par exemple. Il y a eu également une hausse des demandes des dépenses de biens notamment dans le secteur de l'automobile. Mais la hausse s'établit à seulement 0,3 %.
Les inventaires, utilisation des inventaires représente le principal élément à la baisse. Les dépenses de consommation se sont maintenues, notamment grâce à la croissance démographique, mais quand on exclut les facteurs externes, Services économiques TD montre quelques amies canadiennes augmentées au rythme trimestriel le plus rapide de son nom ne prévoit pas que cela se poursuivra, car on ne prévoit pas que des dépenses de consommation continuant d'afficher une accélération.
Mais plutôt qu'il s'agira d'une réduction progressive.
- La décision de la Banque du Canada sur les taux d'intérêt est mercredi prochain.
Les marchés semblent avoir évolué dans leur pronostic quant aux coupures de taux la semaine prochaine! À l'heure actuelle, les marchés prévoient qu'il y aura 70 % de possibilité qu'il y ait une réduction de taux, 100 % de possibilité qu'il y ait une réduction au mois de juillet. S'il n'y a pas de réduction au mois de juin, il s'agirait d'une décision d'attente, mais énergique. Pour l'instant, Services économiques prévoit qu'il y aura une coupure de taux mois de juillet.
- Les indicateurs privilégiés de l'inflation pour la Fed, l'indice des dépenses de consommation personnelle ont paru aujourd'hui.
Il y a rien d'exceptionnel. Ce n'est ni bien ni mal.
L'indice qui exclut l'alimentation et l'énergie est en hausse de 1,2 % sur un mois. C'est en légère baisse par rapport au mois de mars. C'est conforme aux estimations. Le taux annualisé s'établit à 2,8 %. Encore une fois, pratiquement inchangé, comme c'est le cas depuis trois mois consécutifs.
- Parallèlement cet indice des dépenses de consommation personnelle, les données ont paru sur les revenus personnels, en hausse de 0,3 %. C'était conforme aux prévisions parce que les dépenses étaient seulement en hausse de 0,2 % plus il est inférieur aux prévisions. Encore une fois la conclusion, c'est que l'indice des dépenses de consommation personnelle n'affiche pas beaucoup de progrès dans la lutte contre l'inflation.
C'est positif pour les marchés, car il y a eu un léger recul et la tendance d'accélération ne semble pas se prolonger.
À l'écran, on voit valeurs mobilières TD qui prévoit une réduction de 25 points de base mois de juin. Ce serait la réunion de la semaine prochaine.
Il s'agit d'une intuition. Voilà ce que nos collègues pronostiquent. Nous allons bien entendu suivre cette actualité.
Immédiatement après, naturellement, la Fed prendra sa décision sur les taux. Il est vraisemblable dans la plupart des analystes, afin de continuer à faire preuve de patience et qui n'aura sans doute pas de réduction de taux d'ici la fin de l'année.
- Merci Anthony Okolie!
À présent, l'actualité du monde des affaires et un coup d'œil sur les marchés.
Les actions de Dell sont sous pression aujourd'hui bien que l'entreprise ait présenté des bénéfices supérieurs aux prévisions. Mais les investisseurs se concentrent sur les marges qu'il avait dû diminuer de plus de 22 %.
En outre, les chiffres du carnet de commandes des serveurs de Dell pour l'intelligence artificielle sont inférieurs aux prévisions. L'action recule fortement à 132,55 $.
Plus de 21 %. En revanche, les actions de Gap bondissent.
C'est la société mère de Banana Republic et de Old Navy et de Gap dans les prévisions de vente des bénéfices ont largement dépassé ainsi que les résultats du dernier trimestre. Les milieux financiers sont impressionnés à 28,20 $ l'action.
Celle-ci bondit de 25 %, uniquement depuis le début de la séance. C'est une autre histoire pour les détaillants de grands magasins Nordstrom. La perte trimestrielle a été plus importante que prévue alors que la chaîne de magasins prix produits Nordstrom Rack continue d'être à la traîne par rapport à ses rivaux tels que Marshall. Ceci dit, Nordstrom prévoit et maintient ses prévisions pour l'année. Les milieux financiers accueillent favorablement cette nouvelle après début de séance difficile à 21,86 $. L'action progresse de 4 %. À présent, un coup d'œil sur les grands indices en ce dernier jour de bourse de la semaine et du mois de mai.
Des choses pourraient changer d'ici quelques heures mais pour l'instant, l'indice recule de 57 points, encore 2 %.
Aux États-Unis, c'est toujours l'inflation qui obnubile les investisseurs. L'indice S&P 500 recule de 33 points, soit plus d'un demi pour cent. Les grands valeurs technologiques font les gros titres sont considérées par beaucoup comme les chefs de file du marché. Elles ont en fait déçu depuis quelque temps. Selon Ben Gossack de Gestion de Placements TD, les ondes grandes entreprises technologiques sont de retour.
Certains parlent de repérage de tendance.
Nous recherchons des secteurs de force et de faiblesse.
Nous sommes fort occupés et nous comptons sur la télévision, sur les journaux, pour nous dire ce qui se passe. Or, on nous dit que c'est la technologie, c'est l'intelligence artificielle, ce sont les semiconducteurs. La technologie en tant que secteur a donné des résultats décevants pendant la plus grande partie de cette année. Ce facteur atteint implique dans le mois de janvier et ça n'a été que la fin avril ou début mai qu'il entamait une remontée.
À présent, bien entendu, nous disons que nous n'avions jamais été inquiets mais c'était un élément important du marché. Ce qui est impressionnant, c'est que même si la technologie donnait des résultats décevants, indice S&P n'en a pas moins atteint de nouveaux sommets. Très important à savoir. Ça marché haussier que nous avons connu n'est pas uniquement tiré par la technologie. Voici un graphique qui montre la situation des tendances du secteur de la technologie. Qu'est-ce nous dit ses courbes?
- Alors, il y a deux graphiques.
La force et la faiblesse relative était supérieure une fraction. Le numérateur, c'est le X est le cas. Qui suit le S&P 500 et nous divisons ce prix par l'indice S&P 500.
Ne vous inquiétez pas de l'échelle, si ça montre que ce (...) X elle surclasse.
À gauche, la capitalisation boursière.
À droite, nous prenons les mêmes actions, mais avec une pondération égale.
Donc pondération égale de l'indice par rapport au FNB à pondération égale.
Si on dit: la technologie, progresse uniquement parce qu'il était à grande capitalisation boursière. On pourrait soutien que nous avons vu que la technologie donne des résultats exceptionnels.
Sur pondération égale, plongez la main dans un chapeau, saisissez une action technologique et vous avez de fortes chances que l'une d'elles donne des résultats exceptionnels. Ce n'est pas simplement une question de leadership mais non gourmand. Vous voyez que les leaders de la technologie en matière capitalisation boursière, les, Apple Microsoft et NVIDIA surclasse.
Mais après une période de résultats décevants. On voit la même tendance dans les actions à pondération égale.
Alors, quand on a un secteur qui surclasse, à un moment donné, il faut prendre une pause.
Si vous courez très vite, vous ne pouvez pas courir indéfiniment. Vous êtes obligés de ralentir, de boire une gorgée d'eau et lorsque le graphique est à la descente, c'est peut-être une pause, c'est peut-être le début d'une nouvelle tendance. Je ne sais pas. Peut-être que le coureur est tombé et s'est fait mal. Il faut un examen rétrospectif.
Quand on a vu ce creux à la fin avril ou début mai, et puis un nouveau départ à la hausse, bien sûr il est évident rétrospectif qu'il s'agissait d'une pause.
Mais pendant toute cette période de recul plutôt que de projeter ce que nous voulons voir il s'agit de déterminer ce que le marché veut nous dire.
C'est ce qui se produit. Selon ce thème ce qui se produit réellement, les actions discrétionnaires. Vous avez un graphique nous montre également dans ce secteur.
- Oui.
C'est assez notable pour la technologie de retour. C'est très bien. NVIDIA annonce des bénéfices qui remontent. Tout ce qui est relié à l'intelligence artificielle.
On n'a pas à vous convaincre.
Dans d'autres cas, il s'agit de se demander si l'on voit ce que l'on veut voir aussi on écoute le marché.
Sur la gauche, il y a une baisse du secteur des biens de consommation discrétionnaire en fonction de la capitalisation boursière et à droite, à pondération égale.
Moi, je ne m'intéresse pas tellement au secteur discrétionnaire à capitalisation boursière parce qu'il dépend tellement d'Amazon et de Tesla que tout le reste est noyé.
Donc vous n'en apprenez pas grand-chose sur le secteur des biens de consommation discrétionnaire par pondération égale revanche qui est intéressant, c'est que le secteur discrétionnaire pondération égal dépasse les CP ont pondération égale pendant toute l'année dernière. Je ne dis pas simplement les sept magnifiques. Le secteur des biens de consommation discrétionnaire sur place. Ce sont des choses que nous voulons et non pas des choses dont nous avons besoin.
C'est peut-être un indice que la situation est meilleure qu'on ne le craignait. Mais il y a à présent la tendance inverse. Si vous avez une attitude pessimiste, vous pourriez dire que cela signifie que le consommateur est en difficulté. On commence à se ressentir de la hausse des taux d'intérêt de l'inflation. C'est là où il faut prendre garde.
Il y a effectivement une tendance à la baisse, car on considère les actions individuelles, celle qui avait des résultats décevants donne des résultats encore plus décevants. Les grandes marques qui avaient parié sur la Chine pour leur croissance comme Nike ou Starbucks, ces actions baissent et continuent à baisser.
Un autre domaine qui a amorcé un déclin et la concurrence pour des entreprises comme McDonald sur les prix. Encore une fois, leurs coûts ont augmenté les avantages sociaux pour les employés ont augmenté, ils ont augmenté les prix. Mais en profitant du marché, au point où les gens protestent. Maintenant, ils ont un menu à cinq dollars et on voit des compagnies comme (---), la société mère de Burger King et de Wendys qui réagit. Le marché aime bien quand nous augmenter les prix, il déteste la concurrence sur les prix.
Ces actions ont baissé. Il y a un secteur qui est très important pour moi qui a continué de fonctionner et qui a commencé à fonctionner qui n'a pas faibli, si ce qui est relié au voyage. Même les croisières y sont de bons résultats. Les hôteliers, les sociétés de financement des voyages, l'industrie du bâtiment, domiciliaires.
Nous en avons parlé.
Quand l'affaire a commencé à relever les taux, les entreprises du bâtiment ont continué d'augmenter. McDonald aurait une concurrence sera moins cher pour le consommateur. Est-ce que c'est une mauvaise chose? Est-ce que le consommateur va faire grève? Jusqu'à ce que cela se produise?
Une autre mise en garde sur les biens de consommation discrétionnaire, c'est plus pertinent de corréler les biens de consommation discrétionnaire par rapport aux biens de consommation de base. Ce que l'on veut par rapport à cela actions dont on a besoin. Les actions de biens de consommation de boissons connues des résultats encore pires. Il est préférable d'être acheteur pour les biens de consommation discrétionnaire vendeur pour les biens de consommation de base.
Mais c'est notable, c'est compliqué.
Il est notable pour moi que le secteur de la consommation discrétionnaire affaiblie.
Ce n'est pas un signe très prometteur mais je ne suis pas prêt à dire que la situation change du tout au tout.
Ce qui allait mal va encore moins bien.
Parfois, on ne pense pas qu'il s'agit du domaine plus excitant il y a un autre secteur dont vous avez parlé ce sont les services publics.
- Oui, les services publics dans ce graphique, c'est un des secteurs qui des cieux systématiquement fonction de la capitalisation boursière, ainsi qu'à pondération égale.
À l'heure actuelle, admettons que le secteur déçoit, et puis il y a en période de rattrapage. Alors, tout comme il faut marquer une pause quand on surclasse, parfois, on se dit que les choses ne peuvent pas empirer donc elle s'améliore un peu. Mais on a touché le fond de ne pas aller plus bas.
Donc on a vu les services publics remonter.
Certaines personnes diront que c'est merveilleux, moi je veux l'acheter au plus bas prix, il y aurait une période de surclassement, mais pour en revenir à la ligne descendante originale, est-ce qu'il s'agit d'une nouvelle tendance? Nous ne savons pas. On attend. Les services publics ont toujours avoir ce genre de difficultés. Les marchés sélectionnaient gagnant.
On parle des centres de données, on parle du matériel et maintenant on lit des articles en disant qu'il faut alimenter ces centres de données.
Nous transformons tout le reste en électricité.
Le monde manque d'électricité, et les marchés sélectionnent le gagnant qui offre un potentiel de croissance en matière d'électricité.
Le nucléaire, le gaz naturel et les énergies renouvelables. Il y a un petit groupe sélect de ces actions qui bondissent.
En prévision de la nécessité d'une production d'électricité accrue. Donc le gaz naturel, le nucléaire aujourd'hui, des contrats ont été signés avec Microsoft, Apple et Oracle.
Parce que nous avons besoin de tellement d'électricité.
- Qu'on vient d'entendre Ben Gossack de gestion de placements TD. À présent, poursuivons la découverte de CourtierWeb.
Si vous cherchez à gérer votre risque dans le cadre d'une éventuelle transaction, CourtierWeb vous propose des outils.
Caitlin Cormier est formatrice principale à Placements directs TD. Bonjour, ça me fait toujours plaisir de vous voir.
Parlez-nous de la manière d'évacuer l'émotion des investissements.
- Bonjour. Donc il s'agit d'un élément clé pour les investisseurs comme vous l'avez dit. L'émotion peut vraiment brouiller la situation lorsqu'il s'agit d'argent en particulier.
L'investissement ne fait pas exception.
Certains types d'ordres peuvent aider à évaluer l'émotion. Par ailleurs, l'tété arrive et les gens ne veulent pas passer autant de temps sur leur portefeuille. Ces ordres semblent pertinents pour ce genre de situation.
Voilà comment fonctionnent ces ordres.
Celui dont je parle aujourd'hui s'appelle l'un annule l'autre.
Le but de cet ordre consiste à utiliser un ordre primaire qui va déclencher l'ordre l'un annule l'autre.
Admettons que vous achetez une action, admettons la compagnie A, admettons que vous avez acheté l'action, vous pouvez établir des seuils au-delà desquels vous ne voulez pas aller. Admettons que partir d'un certain niveau de profit, vous voulez tirer votre épingle du jeu. En revanche, si l'action commence à dégringoler, et que vous ne voulez pas réaliser une perte, vous pouvez établir un stop suiveur.
C'est comme un sandwich. Vous entourez de votre achat en plafonnant votre profit d'une part et d'autre part en limitant vos pertes afin d'assurer que l'action ne descende pas au-delà de votre zone de confort.
Donc il s'agit d'éléments que vous devez prendre en compte avant de faire un achat.
Vous pouvez fixer donc les seuils de sortie afin de ne pas avoir à y songer. - nous comprenons la justification et je comprends que parfois on peut céder à l'émotion. Cela m'arrive à moi aussi.
Alors comment peut-on passer un tel ordre dans CourtierWeb?
- Oui, effectivement.
Parfois, on devient peu cupide surtout lorsque les actions montent et lorsqu'elles descendent, on se dit qu'elles vont remonter, elles vont remonter. Il est agréable d'avoir d'ores et déjà des seuils fixés d'avance.
Voyant à quel point il est facile d'organiser cette opération.
Alors je vais cliquer sur le bouton achat et vente.
Il y a deux stratégies possibles pour mettre cet ordre en place. Il y a l'un déclenche l'autre, cela consiste à acheter l'action.
Mais passons plutôt à l'ordre l'un annule l'autre.
Il s'agit de réaliser un balisage de l'achat plutôt que d'effectuer l'achat en même temps. Alors, saisissons le nom d'une action.
Choisissons vendre, comme l'option.
Admettons que nous avons 100 actions.
D'abord nous allons dire, admettons que nous avons acheté l'action à 180 $, si elle touche le seuil des 200 $, c'est un bénéfice suffisant nous faisons tirer notre épingle du jeu.
Il faut établir la validité de l'ordre. En l'occurrence, nous pourrions peut-être saisir l'ordre pour être valable jusqu'à ce qu'il soit annulé.
190 jours pour les actions canadiennes. Ou vous pourriez choisir un calendrier.
Si vous voulez mettre l'ordre en place uniquement pour l'été, aujourd'hui, nous allons préciser que l'ordre est disponible est valable dans la mesure où l'action parvient au niveau qui est précisé. Alors, à présent, le volet de vente.
Nous allons sur ordre stop limite, je vais fixer le prix auquel je suis disposé à vendre si l'action latin. Alors, j'ai acheté à 180. Admettons que si l'action descendait à 165, c'est assez faible pour moi et je ne veux pas demeurer dans cette position. Voilà le déclencheur consiste à ce moment-là que je voudrais vendre l'action. Je vais établir une limite en disant: voici le minimum que je suis disposé à accepter pour me débarrasser de l'option.
Alors, si le prix atteint 165, il s'agira de notre limite pour vendre cent actions à 164 $ ou plus. Je vais saisir ces ordres.
Conformément à la même limite de validité, tous deux sont valables jusqu'à l'annulation. Voilà comment placer un ordre l'un annule l'autre.
Ces deux ordres ne peuvent être déclenchés tout: si l'un des ordres déclenchés, l'autre sera automatiquement annulée et il n'y aura jamais qu'un seul de ses deux autres qui sera exécuté. Si le cours n'atteint jamais l'une ni l'autre des limites que vous avez fixées, l'ordre arrive à échéance et vous pourrez le renouveler si vous le souhaitez.
- Merci comme toujours Caitlin Cormier.
- Je vous en prie, Greg.
- Caitlin Cormier est formatrice principale à Placements directs TD. Au mois de juin, Placements directs TD organise le mois de sensibilisation aux options.
Consacrés à des coûts interactifs sont la négociation d'options, les stratégies d'option.
Pour tous les investisseurs depuis les plus débutant jusqu'au plus évolué. Vous pouvez balayer ce code QR à l'écran pour entamer le même processus.
Beaucoup d'investisseurs observent la hausse de l'or cette année, mais l'argent métal connaît une progression encore plus important. Daniel Ghali de Valeurs mobilières TD m'a rejoint pour discuter des raisons de ce mouvement et de la possibilité qui se poursuive.
L'argent a énormément progressé cette année.
Les données fondamentales de l'argent sont parmi les plus ambulantes dans le complexe des produits de base aujourd'hui.
- Il s'agit de marché qui est déficitaire plus ou moins depuis trois ans.
La plupart des analyses dans le monde prévoient qu'il continuera d'afficher un déficit structurel pour l'avenir prévisible. Personne ne s'en préoccupe depuis une dizaine d'années, personne ne se préoccupe des données fondamentales d'offre et de demande, car il existe d'énormes stocks d'argent métal qui était toujours suffisamment important pour éponger tout déséquilibre de l'offre et de la demande.
Or, cette hypothèse sera remise en question d'ici un an ou deux. Et c'est le résultat de la transition énergétique.
L'énergie solaire exige davantage d'argent. Le boom des véhicules électriques également en cause l'usage accru des circuits électroniques dans les véhicules.
La demande est forte, l'offre limitée. Le marché est excitant. Pendant une dizaine d'années, personne ne se préoccupait de déficit structurel et tout à coup les marchés se sont réveillés. Est-ce que c'est la transition énergétique? On se dit: attention l'argent jouera un rôle clé.
- Oui, en partie. Il s'agit d'un environnement porteur pour les métaux précieux. L'or a beaucoup progressé on s'attendrait à ce que l'argent progresse également aussi. Notre développement. Ce qui est particulièrement intéressant les données fondamentales de l'argent à l'heure actuelle, celle-ci stocks dont nous parlions commence à s'amenuiser.
Depuis 10 ans, il y avait environ 1,6 milliards d'onces d'argent dans les coffres forts un peu partout dans le monde. Aujourd'hui, nous constatons qu'il y a sans doute une quantité substantielle d'argent métal qui demeure dans ses coffres et qui a été accaparé par des FNB par exemple. Donc la quantité d'argent qui est réellement disponible que l'on peut réellement acheter dans le plus grand réseau de coffres du marché de métaux précieux, est nettement moins importante.
Nous estimons qu'il s'agit, qu'il y a 300 millions d'onces disponibles pour acheter, dans le contexte d'un déficit de moyens de 200 millions d'onces depuis trois ans. Il ne reste pas beaucoup de temps avant que les stocks ne soient essentiellement épuisés. Cela crée une tension assez intéressante. On parle de l'autre qu'il est une des coffres pour une raison et qui joue un rôle dans système financier.
L'argent, lors du pauvre, mais si les gens de l'argent pour fabriquer des choses, c'est une tension à laquelle je n'avais pas songé.
- Oui. Depuis deux ans, on considère l'argent comme un actif financier. Comme l'or.
Mais le profil de demande de l'argent est essentiellement attribuable à l'industrie.
Il est beaucoup plus utilisé dans la fabrication de bijoux, d'argenterie, dans des applications industrielles également.
Mais surtout, surtout la flambée de la demande est attribuable à la transition énergétique. L'or est de plus en plus déphasé par rapport à l'argent. Ou le sera en conséquence de cela. Vous avez parlé de l'or brièvement. Si la demande d'argent va augmenter tandis que nous progressons dans la transition, que dire de la situation du secteur minier? Est-ce que l'industrie réagit? L'industrie ne peut pas ne pas réagir. - Oui. Nous avons passé beaucoup de temps à parler du sous investissement dans les mines, les métaux, les sociétés du secteur. Cela dure depuis 10 ans d'années. L'argent est essentiellement un sous-produit de l'extraction d'autres minerais: le plomb, le zinc, l'or. Il n'y a pas beaucoup d'argent qui est extrait de minerai d'argent. La conséquence, c'est que sous investissement structurel dans les mines d'argent a également une offre sur l'approvisionnement en cuivre.
Est-ce qu'il pourrait s'agir d'un environnement ou l'argent fasse l'objet d'une spéculation?
- Si plausible. Les coffres de la bourse des métaux de Londres qui contiennent 75 % du stock visible d'argent au monde sont en cours d'amenuisement à cause de la forte demande qui vient du thème de transition énergétique comme nous en avons parlé mais également un glissement considérable du métal de l'Ouest à l'est. L'Inde et la Chine notamment. Affichons ce graphique une nouvelle loi que nous vous avons montré au début. Montrons le corps et l'argent. L'autre a beaucoup progressé, beaucoup suscité attention, que voyons-nous?
Le fait que l'argent surclasse l'autre, cela peut prendre les gens par surprise.
- Il est fréquent que l'argent surclasse l'or à cause de sa volatilité. Si vous ajustez le rendement de ces deux actifs en fonction de leur volatilité, vous constaterez que ce n'est que depuis quelques semaines ou quelques mois que l'argent commence à dépasser l'or.
La volatilité du marché de l'argent est typiquement double de celle de l'or. Au fur et à mesure que les cours de l'or augmentent, 1 %, on pourrait s'attendre à ce que le cours de l'argent progresse du double.
- L'or aura beaucoup progressé, reculé par rapport au sommet on avait dit qu'on ne serait pas étonné de voir un recul. Il a eu lieu. Que dire de l'argent? Est-ce que la remontée va se poursuivre à court et à moyen terme?
- voilà ce qui est intéressant dans le cours de l'argent pour l'argent négocié près de ce monsieur méfie depuis plusieurs années tandis que l'autre a légèrement reculé. Ce qui souligne le fait que le cours de l'or, le fait qu'il y ait une baisse de l'or qui n'a pas tiré l'argent vers le bas monde qu'il a une véritable évolution dans la demande argent métal.
Nous pensons que cela pourrait représenter une forte demande en provenance de Chine.
Il y a eu certains signes d'une rotation dans les activités de vente au détail et de métaux précieux.
Et nous avons vu au mois d'avril une rotation potentielle depuis lors jusqu'à l'argent. Mais aussi parce que les installations solaires en Chine dépassent vraiment les attentes. L'an dernier a été une année exceptionnelle pour la croissance de la capacité d'énergie solaire en Chine. On s'attend cette année qu'au mieux, ne pourra faire autant que l'an dernier.
Les résultats jusqu'ici cette cette année sont très intéressants.
La demande physique d'argent en Inde est donc très fort.
- Je pense que nous conservons né sont bien les raisons fondamentales du remontée de l'argent. À mon dernier entretien avec Bart Mélek il y avait l'acheteur mystère de l'or et on s'est rendu compte que c'était essentiellement les banques centrales. Sachant parti. Nous pensons que cela pourrait être associé des banques centrales ou d'autres secteurs officiels.
Mais ce qui vaut la peine de mentionner, c'est qu'il s'agit à présent d'une couverture contre l'inflation. Les marchés sont de nature mondiale.
Et à l'heure actuelle, il existe une très forte pression sur les monnaies asiatiques qui donnent des raisons aux investisseurs institutionnels et aux pouvoirs publics de se diversifier modélisme annexe déprécie.
Et l'autre est parfait pour cela.
- Avant de clore cet entretien que nous avons vu la remontée de l'autre, recul de l'autre, est-ce la même chose attend l'argent?
- Non parce que le risque est assez limité. Bien sûr, il existe un risque et le risque nous paraît limité, car la marge de sécurité par rapport à une liquidation substantielle par des investisseurs est assez considérable.
Il faudrait une forte baisse des prix avant que les investisseurs ne soient obligés de liquider.
Or, la demande émane des marchés physiques. Il nous semble donc que la situation à l'heure actuelle est très solide.
- Vous venez d'entendre Daniel Ghali de Gestion de Placements TD. À présent, un coup d'œil sur les marchés.
Voici la plateforme avancée conçue pour les négociateurs actifs proposés par Placements directs TD. La carte thermique permet de visualiser l'évolution du marché. Voici les 10 TSX 60 en fonction du cours et du volume. Qu'est-ce progresse aujourd'hui? L'énergie. Suncor progresse de 1 %. Enbridge de plus de 1 % aussi. Il y a certains secteurs qui ne progressent pas. La banque CIBC recule aujourd'hui les grandes banques au Canada ont annoncé leur bénéfice trimestriel.
Il y a eu une hausse dans les actions.
First Quantum dans le secteur des produits de base recul de 4 %. À présent, aux États-Unis, l'indice S&P 500 bien sûr et les statistiques du PIB canadien parent aujourd'hui, plus faible que prévu. Les infractions privilégiées par la tête de l'indice des dépenses de consommation personnelle s'est établie conformément aux prévisions.
Ce qui ne stimule pas les marchés aujourd'hui.
C'est surtout le secteur de la technologie qui a beaucoup progressé aujourd'hui.
Aujourd'hui ce n'est pas le cas. Nvidia est le vrai gagnant dans le secteur surtout au niveau de l'intelligence artificielle grâce à ces petites applications recul de 3 %. Son concurrent AMD de trois et demis pour cent.
Même si CRM, c'est la compagnie que publie son rapport hier, c'est une (...) fort recul des actions hier. (...) aujourd'hui.
C'est presque oublié le nez de sa force.
Si CRM et C of course. Alors, tesla, six ans comme suit quand même une certaine pression. Pour les banques centrales relever leur taux de manière agressive pour juguler l'inflation, certains investisseurs se montrent au portefeuille 60 40 toujours une stratégie valable.
David Picton de la direction de Pithome Money management estime que les investisseurs pourraient vouloir aller au-delà de cette répartition traditionnelle dans le contexte actuel. Il me rejoint pour évoquer cette question et parler de son entreprise.
- Nous allons avoir (...) nous gérons 11 milliards de dollars environ. Nous nous concentrons sur les placements alternatifs. Nous cherchons à fournir des sources de revenus différenciés.
Alors parlons-en justement. Comme je le disais dans mon introduction, pendant très longtemps, on a considéré le portefeuille 60 40 ou peu importe 70 30, comme cadre de répartition d'actifs. Après la pandémie, la hausse des taux d'intérêt, et des taux a beaucoup mis ce modèle à mal. Nous considérons des catégories d'actifs.
Les actions sept à 8 %, les obligations 65 à 6 %, parfois les rendements diffèrent les uns des autres. Quand on combine ces deux catégories d'actifs surtout depuis 40 ans, on a une très bonne expérience d'investissement.
Les taux? BC. Chaque fois qu'il y avait un problème à la bourse le marché obligataire mordait le rendement global était satisfaisant.
Avec ses stratégies. Jusqu'à ce qu'on arrive à un nouveau régime inflationniste.
Comme on l'a vu en 2022, c'était la première fois depuis des années que ces deux catégories d'actifs non seulement donnaient des résultats décevants mais donner des résultats décevants considérables et en même temps. C'était la première que les investisseurs ont été désagréablement surpris surplus en progression de la relever parce que Séguin catégories d'actes ne se comportaient pas l'une et l'autre. Nous cherchons utiliser City des deux catégories d'actifs qui se compensent l'une et l'autre dans le secteur des catégories d'actifs alternatives. Si nous pouvons avoir deux catégories d'actifs qui ne sont pas corrélés, les actions des obligations agricoles on ajoute une catégorie et non corrélée, à la bourse et au marché obligataire, cette catégorie un rendement positif au fil du temps, bénéficie d'une meilleure diversification et de rangement corrigé du rythme bien supérieur. Il s'agit du contrôle du marché des catégories d'actifs neutres.
- Oui, les stratégies neutres génératrices de façon très important. Quand vous achetez en bourse vous achetez essentiellement du bêta. Si la bourse augmente, votre fonds commun de placement augmente dans la même mesure.
Si le marché obligataire augmente, votre fonds commun de placement du marché obligataire augmente la même mesure plus ou moins. Nous voulons créer quelque chose qui ne consent ni sur un discours lors de ses bêtas. Mais plutôt sur des facteurs propres à chaque compagnie qui peuvent engendrer un rendement quoi qu'il arrive en bourse sur le marché obligataire.
Neutres au plan du marché.
Approfondissons. Qu'est-ce que cela signifie? Comment créer ce genre de portefeuille?
- Nous voulons isoler les résultats des entreprises. Pour ce faire, il faut trouver des entreprises qui vous plaisent, notre fils nous nous concentrons sur le changement positif, les valeurs positives, la qualité.
Et on cherche à compenser cela.
En ajoutant des opérations à découvert.
Donc, ce qui nous plaît, c'est le changement positif, la valeur et la qualité. Nous n'aimons pas du tout les compagnies qui ont un changement négatif, mauvaise valeur et une mauvaise qualité.
Si nous pouvons créer une corbeille de ces titres négatifs, et ensuite les vendre à découvert, c'est-à-dire nous pouvons compenser l'ensemble du risque du marché sur les valeurs qui nous plaisent, si nous avons un alpha spécifique à chaque action.
Une stratégie comme celle-là commence à fonctionner de concert avec le portefeuille 60 40?
La stratégie classique d'actions et d'obligations.
- Nous ne voudrions jamais exclure cela.
Parce que si vous avez un horizon à très long terme, il vous faut des actions dans votre portefeuille. Du bêta. Il vous faut avoir une sensibilité aux données et au rendement de votre portefeuille. À très long terme toutes les études montrent que ce sont des éléments importants.
Mais n'avoir que deux options de votre portefeuille, c'est un peu comme aller jouer au golf et de n'avoir que deux bâtons.
Il en faut plusieurs autres selon le coût que l'on veut frapper. La clé dans tout cela, c'est ajouté des outils.
Il faut avoir une source de rendement positive, il faut que se comporte différemment de votre environnement boursier obligataire. C'est là qu'on policier le rendement corrigé du risque.
- Parlons de la gestion du risque. Vous songez à l'âge à ce genre de risque dans votre stratégie surtout dans un régime inflationniste.
- Oui. C'est très important pour nous et pour les gestionnaires alternatifs pour la gestion du risque nous pensons presque autant de temps à la gestion du risque cassa la sélection des actions nous faisons de plusieurs façons. Nous avons des portefeuilles qui sont conçus pour être corrélés avec le marché, 2000 corrélés avec le marché ou nullement corrélé avec le marché.
Il faut toujours avoir des processus de gestion du risque, s'assurer que quand on prévoit de ne pas être corrélé avec le marché, on est effectivement nullement corrélé avec le marché. Nous y sommes parvenus. Il y a également certaines expositions marchées. Par exemple dans son environnement comme aujourd'hui Holly Holm d'exubérance, les valorisations sont plus basses. On pourrait ajouter davantage de protection sous forme d'option prenant fin dans un placement neutre au plan du marché, on ne paraît pas au niveau sectoriel. Le cuivre et l'autre nous placements ne vont pas créer un portefeuille de cuivre et d'or couvert par la technologie. Et les banques. Il faut limiter le risque à chaque secteur.
Sache que pensez-vous de la conjoncture actuelle sur le marché? Nous vivons une époque intéressante, les romans obligataires ont augmenté pendant l'automne est redescendu au début de cette année. Nous avions pensé que la Fed allait enfin nous relever des dislocations de la pandémie cela ne s'est pas produit ainsi.
Jamie Diamond J.P. Morgan nous a dérobé un de nos slogans, c'est-à-dire que nous sommes prudemment pessimistes. Autrement dit, il y a une belle remontée des actifs à risque surtout sur le marché boursier.
Bien sûr, c'est sous l'impulsion du secteur technologique. Il y a eu beaucoup de mouvements dans tous les secteurs depuis six ou huit mois. En même temps, les taux d'intérêt ont augmenté et en même temps, nous avons différé les prévisions de coupure de taux. Donc le marché prévoit beaucoup de bonnes nouvelles. Prévoit beaucoup de croissance, prévoit des coupures d'intérêts, prévoit un recul de l'inflation et pour cela, on paie un multiple largement ce que nous avons vu dans le passé.
Alors, nous voyons comment cela pourrait marcher, mais il y a des possibilités que cela ne marche pas. D'où notre pessimiste prudent.
Vous venez David Picton, chef de la direction APTN management. Voilà tout le temps nous nous disposions aujourd'hui.
C'est toujours vos propres chansons de conditions de placement. Restez à l'écoute, lundi des (...) de Ltd des répond à vos questions sur intelligence artificielle et d'autres grandes tendances macro-économiques.
Vous pouvez nous les poser en tout temps, par courriel, moneytalklivetd.com.
Merci, au nom de toute l'équipe de Parlons Argent en direct, à lundi!