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(musique) Bonjour ici Greg Bonnell. Bienvenue à Parlons Argent en direct, une émission de Placements directs TD. Aujourd'hui nous discuterons avec Brad Simpson de Gestion de Patrimoine TD des tensions géopolitiques qui n'ont pas manqué cette semaine.
Notamment la perspective économique des marchés.
Julien Palardy de gestion TD nous présente des opportunités de l'investissement quantitatif et passif.
Nous allons entendre de point de vue sur le budget fédéral. Hafiz Noordin nous donne son avis sur ce que les dépenses d'Ottawa pourraient signifier par la Banque du Canada et Nicole Ewing nous donne une perspective sur les finances personnelles.
Nous poursuivons la découverte de CourtierWeb. Bryan Rogers nous montre comment découvrir les actions qui composent un index.
Mais d'abord un coup d'œil sur les marchés. En ce dernier jour de bourse de la semaine, le risque géopolitique est au premier plan. Israël semble avoir pris des mesures de représailles pendant la nuit contre l'Iran après une flambée initiale de certains produits de base, les marchés semblent s'en accommoder.
L'indice composite est monté d'un demi pour cent, parmi les titres les plus activement négociés, certaines des mines d'or et des entreprises de l'énergie.
Kinross Gold à 9,30 $ progresse de 3,5 %.
Baytex Energy, même si le pétrole a flambé pendant la nuit avec la nouvelle de l'attaque israélienne contre l'Iran, mais les compagnies de pétrole et de gaz se maintiennent à 5,00 $ six, action progresse de 1,6 %. Aux États-Unis, la semaine a été un peu délicate, surtout indice S&P 500 qui recule aujourd'hui de 23 ; soit 0,5 %. Le Nasdaq est également en recul, certains des fabricants qui plombent l'indice.
Jetant un coup d'œil sur AMD, le fabricant est toujours en recul à aujourd'hui 148,67 $, il baisse de plus de 4 %.
Les marchés surveillent de près les tensions entre Israël et l'Iran.
Je me suis entretenu avec Brad Simpson de gestion de placements, de patrimoine tédé sur l'attitude à l'égard du conflit. Tout d'abord les conséquences pour l'inflation.
La première question est celle des taux d'intérêt. Quand on parle des taux d'intérêt, bien sûr on parle inflation.
Puisque c'est dans une région du monde où il y a énormément de conséquences pour les produits de base, notamment le cours du pétrole, si le cours du pétrole commence à augmenter, ce qui a été le cas depuis quelques semaines, depuis 85 $, environ jusqu'au voisinage de 90 $, il y a eu un recul d'un pour cent environ depuis quelques jours, au moment de l'attaque.
S'il y a une évolution du cours de pétrole, par exemple, Brent a dépensé 100 $, il y aura un impact sur l'inflation ce qui pourrait avoir un impact sur les taux d'intérêt. Nous ne croyons pas que c'est ce qui va se produire, certainement pas à court ou moyen terme. L'autre côté de la médaille, il y a une fuite vers la sécurité, ce qui signifie donc que les marchés pourraient commencer à se tourner vers les obligations américaines, qui présenterait la possibilité de faire baisser les taux d'intérêt. C'est également un élément qui serait positif honnête. Nous maintenons notre pondération des titres à revenu fixe, nous surprendrons modérément les titres à revenu fixe nous continuons d'être satisfaite cette position. Que dire des actions. Nous reviendrons produit de base, parce qu'il y a bien entendu un lien entre les produits basés et les obligations.
Mais revenons aux actions. Bien sûr, c'est très important, surtout si l'on se place du point de vue de la plupart des mouvements du marché mondiaux.
Prenant le S&P 500. Depuis octobre 2023, et la remontée de 25 % en dollars, environ 12 millions de dollars de capitalisation boursière supplémentaire. C'est un marché qui a beaucoup progressé avec une volatilité pratiquement nulle depuis cinq ou six mois.
Il s'agit d'un marché qui recherche une base pour une progression future. Cela a été annoncé d'avance, donc l'attaque iranienne n'a pas été le catalyseur que les marchés chercheraient, mais depuis quelques semaines, nous avons commencé à constater une légère correction. Cette correction, selon nous va sans doute se prolonger au cours des semaines à venir.
Il y a beaucoup de vent contraire. Il s'agit de trouver une soupape pour ce marché. Nous croyons qu'il s'agit d'une mise en garde. À l'heure actuelle, notre pondération boursière et neutre et nous pensons que c'est une bonne façon d'aborder la question à l'heure actuelle.
Nous avons évoqué le pétrole et les liens avec l'inflation et que le marché obligataire. – Mais que dire des autres produits de base?
- Les produits de base, c'est cela qui est très intéressant pour un certain nombre de raisons. Tout d'abord, quand on songe à notre travail, mon équipe et moi réfléchissons à la répartition des capitaux et à la gestion des risques.
Pour nous, quand on remonte au début de l'année, même jusqu'en novembre dernier, quand nous faisions nos pronostics pour l'année à venir, nous avons dit que nous prévoyons qu'il y aurait beaucoup de perturbations dans cette région du monde.
Nous voulons envisager la possibilité d'une recrudescence des combats, ce qui exercerait davantage de pression sur les cours du pétrole.
Nous avons donc sur pondérer le pétrole en fonction de sa probabilité accrue de montée des tensions. Par ailleurs, nous estimions et nous continuons d'estimer dès que nous avons légèrement sur pondérer les produits de base dans leur ensemble. Pour nous il s'agit d'une position stratégique et tactique.
Nous pensons que les investisseurs doivent se positionner en continu sur les produits de base. Pourquoi parce qu'il s'agit d'une excellente couverture si on considère la manière dont les marchés ont évolué depuis six mois, chaque fois qu'il y a une augmentation, une hausse des tensions, ou que ce soit dans le monde, les deux guerres, russo- ukrainienne également en Israël, les produits de base jour un excellent rôle de diversification et nous continuons de penser que ça beaucoup de bon sens.
- Vous et moi avons eu beaucoup de discussions quant à la manière de réfléchir sur les marches à long terme.
Vous avez parlé la répartition des capitaux, et au début vous avez dit que cette évolution même si elle peut être rapide, avec des conséquences pour des semaines, des mois peut-être des années dans l'avenir, qu'est-ce que les investisseurs doivent faire au niveau de ses tensions géopolitiques dans leur propre choix de leur portefeuille.
- Ce qui est important, c'est… nous avons beaucoup parlé depuis deux ans dans nos bulletins, dans nos articles de ce phénomène. Dans cet air de démondialisation, nous nous trouvons dans cette situation où il y aura davantage de conflits dans le monde. On peut créer un portefeuille d'investissement en tenant compte de cela. Le point de départ, c'est vraiment de faire en sorte que votre portefeuille soit bien diversifié. C'est également une question d'orientation.
C'est-à-dire que vous ne devriez pas répartir un portefeuille uniquement sur la base de ce que vous détenez.
Vous pourriez couvrir, mais il y a également la possibilité de protéger quand la volatilité décolle.
Le dernier élément, c'est en définitive qu'il faut s'assurer que tant que vous investissez vous ayez un plan financier par rapport aux objectifs afin que vous puissiez rallonger votre horizon temporel.
Les actifs à long terme, contrairement aux actions, cela du bon sens, même si vous pouvez vous trouver dans une aire de conflit, dans le passé, tant que vous avez un horizon temporel long, votre portefeuille peut très bien supporter cette évolution mais vous pouvez avoir beaucoup de croissance.
- Vous venez d'entendre Brad Simpson, stratège en chef à Gestion de Patrimoine TD. À présent l'actualité du monde des affaires et un coup d'œil sur les marchés.
Les parts de Netflix sont en vedette aujourd'hui. Le géant de la diffusion continue abattue son chiffre d'affaires en termes de résultats, mais l'action diminue et les marchés semblent se concentrer sur les prévisions. Netflix dit s'attendre à ce que le nombre d'abonnés soit plus faible en raison de la saisonnalité.
L'entreprise a cessé de communiquer le nombre trimestriel de membres et de consommation par. Le géant Procter & Gamble annonce un trimestre, la compagnie qui vend des produits comme le détergent Hyde et Charmin a vu ses ventes stagner pour le deuxième trimestre consécutif en raison des hausses inflationnistes des prix des produits, les entreprises comme PPG ont eu du mal à faire monter à ses demandes. La réaction est en baisse de 10 % pour les actions de par un montant en mouvement aujourd'hui, du moins elle est en début de séance est toujours en hausse de 9 %, et ce, à cause de rapport non confirmé que Sony Pictures intégralement et Appolo Group Management envisage de faire une offre conjointe pour la société.
Apparemment est actuellement en pourparlers pour fusionner avec Sky dance média.
C'est une histoire à suivre.
Ensuite, un coup d'œil sur les marchés.
L'indice composite SX est en hausse de 0,5 %. Le secteur minier progresse ainsi que le secteur pétrolier et gazier. Aux États-Unis l'indice S&P 500 a connu une semaine de hauts et de bas sans pouvoir trouver d'orientation durable. L'indice recul de 29 points, soit 0,5 %.
Passant du risque géopolitique la trajectoire future des taux d'intérêt et les questions que se posent les investisseurs ne manquent pas. Quel rôle investissement quantitatif et passif pourrait-il jouer dans cet environnement.
Julien Palardy de gestion de placements TD s'est jointe à moi plutôt pour en discuter.
- Typiquement, nos stratégies sont quantitatif ou passives. Du côté quantitatif, on peut penser à des stratégies avec différents types d'objectifs pour les investisseurs de manière à faire mieux que les marchés. Il y a aussi des stratégies axées sur le risque qui vise à réduire le risque. Il y a des stratégies à faible volatilité et il y a d'autres stratégies qui sont assez courantes, mais l'objectif pourrait être d'être un simple rendement.
L'objectif pourrait être de parvenir un rendement de dividende raisonnable par rapport au marché et maintenir un rendement en dividende au fil du temps en évitant les entreprises qui réduisent leur dividende en choisissant celle qui augmente en dividende. C'est un peu différent du rendement pur ou de la gestion du risque pur, mais il s'agit tout de même d'un objectif que les investisseurs peuvent envisager.
- Commençons analyser certains de ces éléments. Vous avez parlé de stratégies quantitatives et passif. Commençons par les stratégies quantitatif. Expliquez-moi.
Ensuite certains investisseurs ont entendu parler du titre d'investissement quantitatif et ne comprennent pas exactement de quoi il s'agit.
- Les stratégies quantitatives, j'ai parlé du risque du rendement, il s'agit de partir de risque à partir de modèles mathématiques, de statistiques en extrayant des données, autant d'informations que possible au sujet du risque futur, la corrélation entre les actions et le rendement futur. Ce sont les stratégies d'alpha. Il s'agit de transformer des données en informations utilisables, en rendement prévisible et de créer des portefeuilles. Ça c'est un élément important des stratégies quantitatif. Il faut créer des portefeuilles qui vous permettront de produire le rendement que vous souhaitez au fil du temps ou de réduire le risque de la manière la plus efficace possible au fil du temps. Voilà pour le quantitatif.
Les stratégies passives, comment les différencier des stratégies quantitatif.
Elles sont très différentes même si certains des outils sont très semblables.
Lorsqu'il s'agit d'investissement passif, c'est stratégies porte sur un indice spécifique. Il s'agit de suivre l'indice d'aussi près que possible. On cherche à reproduire l'indice aussi parfaitement que possible. Le résultat que vous obtiendrez sera fonction de l'évolution de l'indice.
La plupart sont à pondération en fonction de la capitalisation boursière, mais il y a également des indices qui ne sont pas pondérés en fonction de la capitalisation boursière, qui suive des stratégies, on pourrait dire des recettes qui ne sont pas aussi élaborées que les stratégies quantitatives que nous suivons. Il y a de plus en plus de ces indices. Les stratégies passives peuvent suivre ses indices également. Cela diffère de l'investissement quantitatif où il y a des modèles complexes qui cherche à réduire le risque de dépasser le marché. Ce n'est pas le cas pour les stratégies passives. Les outils peuvent être semblables, nous avons une approche très systématique au niveau de l'ensemble de l'équipe et nous utilisons des optimisés en par exemple, mais lorsqu'il s'agit de l'investissement passif, il s'agit de reproduire spécifiquement un indice tel que le S&P 500.
- Parlant de placements axés sur les dividendes. On comprend bien comment cela fonctionne. Mais la question, depuis longtemps, c'est de savoir s'il s'agit d'un environnement favorable pour l'investissement dividende.
- Oui, je le croirais. En fait, un environnement favorable à l'investissement axé sur les dividendes, à leur actuel en particulier, s'est particulièrement propice. Il semble qu'il y aurait une réduction des taux d'intérêt au Canada.
L'écart entre le rendement des obligations canadiennes et américaines augmente déjà, ceci montre que les marchés s'attendent à ce qu'il y ait une certaine divergence dans une certaine mesure au niveau de la politique monétaire des deux côtés de la frontière.
Dans ce genre d'environnement, et pourrait donc avoir des sources définies de rendement perpétuel que vous pourriez verrouiller cela peut vous être procurés par des actions qui vous apportent des dividendes. Mais il faut bien sûr s'assurer qu'il ne s'agit pas d'action de dividende dans les dividendes ont diminué dans un proche avenir s'il y a une récession par exemple. Il faut que ces dividendes demeurent aussi solides que possible.
Donc à leur actuel, c'est une excellente occasion de verrouiller un rendement que vous pouvez obtenir normalement avec des obligations Canada. Le rendement pourrait supérieur de 1 % et on peut espérer que cela serait plus élevé pour l'avenir prévisible si les rendements diminuent.
Ces dividendes continueront d'être versés pourraient même augmenter à l'avenir.
- C'est un élément clé lorsqu'il s'agit de placements dividendes. Il y a qualité des titres, qui vont continuer de verser dividende. On parle également non seulement des dividendes actuels, mais des antécédents d'augmentation des dividendes.
Ce que la compagnie continuera de faire.
- Précisément. En définitive, il y a des facteurs clés dont on peut tenir compte lorsqu'il s'agit de la qualité. Nous gérons des FNB au sein de notre équipe qui mise d'abord sur la qualité à fin d'exclure de notre univers de placements les entreprises qui ont le plus de chance de ne pas pouvoir maintenir leur dividende. Et puis nous avons un processus d'optimisation. Nous nous concentrons sur la maximisation de la qualité des actions que nous détenons sous réserve de certaines contraintes. Nous ne cherchons pas à maximiser d'abord le rendement et rechercher les actions à croissance raisonnable. Nous recherchons les actions de la meilleure qualité possible sous réserve de certains objectifs en matière de rendement dividendes.
- Il y a une autre stratégie dont on a beaucoup parlé, compte tenu de comportement des marchés l'an dernier.
C'était en 2022 que ca, a commencé c'est la faible volatilité dont on a beaucoup parlé en 2022, c'était une année mouvementée. Qu'est-ce qui se passe dans ce secteur?
- Je dirais que les investisseurs ont un peu délaissé les stratégies à faible volatilité depuis quelque temps, les gens ont tendance à oublier la gestion du risque quand le marché est en hausse. La remontée du marché a donc amené un certain délaissement des actions à faible volatilité. Il s'agit de secteurs défensifs qui n'ont pas participé à la remontée des marchés l'an dernier cette année. Les investisseurs se méfient donc des stratégies à faible volatilité mais de manière empirique, cela nous montre que c'est à une époque comme celle-ci qu'il est le meilleur moment d'investir. Il y aurait une période semblable à la fin des années 90, en 98, 1999, cela aurait été sans doute le meilleur moment pour se lancer dans les titres à faible volatilité maudissant le pire moment pour en sortir.
Mais malheureusement, l'ensemble du marché, s'intéresse à ce qui s'est bien passé récemment et vote pour cela. Donc je pense que la faible volatilité va finalement ramener en faveur les stratégies à faible volatilité.
- Beaucoup de stratégies très diversifiées. Comment créer une équipe pour gérer toutes ces stratégies. Quels sont les antécédents des membres de votre équipe?
- Quand je suis entré dans l'équipe, il y a 17 ans ou 18 ans, la plupart des membres de l'équipe étaient avec une formation financement d'économie, on avait tous des maîtrises. Certains des doctorats.
Il y avait un titulaire de Docteur en physique. C'était une exception parce que travailler sur des modèles du marché obligataire. Aujourd'hui, je dirais que nous avons une diversification de nos antécédents.
Nous embauchant au sein de l'équipe des personnes qui connaissent dans certains domaines. Les sciences informatiques que nous avons une personne qui a fait un doctorat en informatique, un autre qui a fait un doctorat en sciences cognitives.
Donc il y a des antécédents intéressants, il a passé aussi du temps dans les financements demandés formés en finance, mais contrairement au passé, nous ne recrutons pas nécessairement des gens qui sont dans la finance.
En fait, je dis parfois que je ne me recrute serais peut-être pas moi-même à leur actuel même si je dirige l'équipe. Je ne sais pas si les critères qui prévalaient il y a 17 ou 18 ans existe encore. Mais aujourd'hui, nous recherchons des gens qui doivent savoir coder, c'est une exigence obligatoire, mais aussi qui apporte des antécédents diversifiés afin de pouvoir nous compléter les uns les autres lorsqu'il s'agit de faire des recherches par exemple. Ce nous recherchons une diversité de connaissances et de compétences.
- Vous venez d'entendre Julien Palardy de gestion de placements TD.
À présent poursuivons la découverte de CourtierWeb.
Si vous voulez vous renseigner sur les actions qui composent un indice, CourtierWeb peut vous aider. Bryan Rogers Placements directs TD se joint à moi pour en discuter. Est-il possible de visualiser rapidement les entreprises qui font parti d'un indice?
- Oui.
C'est une astuce que j'aime beaucoup montrer parce que c'est très simple mais c'est également très utile. Pour quiconque est novice en placements, et se demande qu'est-ce que l'indice S&P 500, doit bien commerçant sentit allumer les cas de figure. Donc si vous souhaitez savoir comment trouver seul avec lui une façon très simple de le faire sur CourtierWeb.
Il y a un domaine très utile. Alors vous voyez dans l'onglet recherche, dès le début, on voit dans le survol indice. Vous pouvez réaliser des graphiques de différents indices, vous pouvez suivre les hausses, les baisses, mais ici, il y a toute une liste des indices. Il y a la moyenne industrielle Dow Jones. Mais tant que nous considérons le S&P 500. Si je clique sur l'hyperlien qui est associé avec l'indice, cela affiche une case qui comporte des données de base et ensuite en bas, il y a un lien intitulé membres.
Membres, c'est-à-dire quels sont les actions qui font parti de l'indice, quels sont les entreprises. Donc si je clique sur membres, il y en a 100 en l'occurrence, parce que c'est un indice, par rien à 500, parce que c'est un indice très général.
Donc c'est par ordre alphabétique. Dans une certaine mesure, vous pouvez les trier, trier ses colonnes, on regardera peut-être sape une autre fois, mais la première chose que je voulais vous montrer, c'est l'idée que les indices que vous pouvez sélectionner figure sur ce menu déroulant. Mais si vous souhaitez par exemple vous renseigner sur des éléments qui sont pertinents pour un secteur en particulier, on parle souvent de l'or. Si on considère l'indice mondial de l'or, je peux voir les actions qui en font parti.
C'est un filtre très rapide. Il existe d'autres outils de sélection de CourtierWeb, mais c'est une grille de sélection très rapide pour rechercher les entreprises de banque etc.
Certains… parfois il y a eu des changements, ou des modifications, je crois que l'indice des résultats financiers à présent, mais une façon rapide de découvrir qui est membre d'un indice en particulier.
Même lorsqu'il s'agirait de titres plus petits. Voici l'indice S&P 500. Beaucoup de titres à sélectionner. Comment pouvons-nous filtrer l'information?
- Alors retournant sur CourtierWeb et je veux montrer comment c'est l'un des procédés que j'apprécie le plus.
Revenant à l'indice S&P 500. Si nous allons au menu déroulant supérieur, il y a 500 actions, il est possible de réaliser une sélection élémentaire, mais qui est très utile. Mais tant que vous recherchez une action dans l'indice S&P 500 qui voit son pourcentage évolué de 5 % par exemple.
Il y a apparemment, vous avez dit tout à l'heure que par amende et en hausse d'une certaine proportion. C'est l'un des chefs de file dans le changement de valeur aujourd'hui, donc ça c'est une façon.
Vous pouvez choisir en dollars en pourcentage. Voyant le volume. Quelles sont les actions qui sont le plus négocié aujourd'hui.
C'était cela qui a le volume le plus élevé. AMD, NVIDIA et ainsi de suite. On peut même sélectionner en fonction du rendement dividende. Je vais trouver les actions du S&P 500 qui rapporte le plus.
Vous pouvez ensuite réaliser des recherches. Vous pouvez également compter sur la performance.
Mettons que vous voulez trouver rendement sur un an, lequel est le plus élevé, plus faible. Il ne s'agit pas de conseils financiers. C'est une action, même si elle est en tête du palmarès, le rendement passé ne garantit pas le rendement futur.
Mais là, vous pouvez faire des recherches, cliquez sur chacun de ces symboles est entrée beaucoup plus dans le détail sur l'action spécifique.
- Merci beaucoup, Bryan Rogers.
- Je vous en prie, Greg.
- C'était Bryan Rogers formateur principal à Placements directs TD. Pour vous renseigner sur la plate-forme avancée, utiliser le centre d'apprentissage de CourtierWeb utiliser ce code QR pour naviguer vers la page YouTube Placements directs TD. Vous trouverez encore plus de ressources. Le budget fédéral canadien présenté cette semaine prévoit une cinquantaine de milliards de dollars de nouvelles dépenses pour les cinq prochaines années. Qu'est-ce que ça signifie pour la Banque du Canada qui tente de ramener l'inflation à 2 %? Hafiz Noordin de gestion de placements TD s'est joint à moi plutôt pour en discuter.
- Il y a certainement une aggravation dans le déficit d'ici quelques années. Cela en soi n'est pas un résultat très favorable, mais quand on n'y songe, il y a eu une hausse des recettes fiscales compensées par les dépenses. Au net, il n'y a pas vraiment eu de vague sur les marchés financiers, les rendements obligataires n'ont pas évolué ou très peu. Au niveau des recettes via une annonce surprise en accusant des gains en capital pour les entreprises et les particuliers très aisés. Mais inversement il y a davantage de dépenses, surtout au niveau du logement, mais dans d'autres domaines comme la santé la défense.
Donc des mesures de relance, il y a différentes façons de voir les chiffres, mais on parle de 35 milliards de dollars de relances nouvelles par rapport à ce que l'on attendait en fonction de la mise à jour de l'automne. Ces 35 milliards d'ici cinq ans.
Donc si on étale sans pourcentage de notre PIB, ce n'est pas énorme, mais la conclusion à tirer, c'est que les déficits persistants ne nous laissent pas entrevoir une trajectoire vers l'équilibrage du budget de sitôt.
- Parlons-en, des déficits qui persistent pendant une période prolongée, sans trajectoire vers l'équilibre. Le gouvernement émet beaucoup de dettes.
Comment cela se présente?
- Le budget comporte notamment une stratégie de gestion de la dette. Comment le gouvernement va-t-il financer tout cela.
Les chiffres généraux, quant à la dette à émettre cette année s'établisse à 500 milliards de dollars. Ça semble énorme il faut toujours ajuster en fonction du renouvellement de dettes existantes qui arrivent à échéance pendant cet exercice.
Quand on soustraie les dettes qui arrivent à échéance, il ne s'agit pas de 500 milliards de nouvelles émissions nets.
Ensuite les marchés s'interrogent sur la proportion en bons du trésor par rapport aux obligations qui sont émises à cinq ans, deux ans, etc.
Si vous commencez à trop affaiblir sur les obligations, vous pouvez avoir et que les marchés vont exiger une concession pour cela, il va y avoir des écarts plus élevés. Le nombre d'obligations amène cette année 230 milliards environ les analystes attendaient à 240 à 250, c'est un peu moins que prévu. Par conséquent de ce point de vue là, la stratégie d'émission demeure relativement bénigne.
Encore une fois il ne s'agit pas de faire trop de vagues. La dernière fois que nous avons eue une communication de Tiff Macklem, c'était il y a fort longtemps, semble-t-il, et il a déclaré que la banque se maintenait au point où elle en était est-ce que le mois de juin était une possibilité lui a-t-on demandé? C'est pas impossible, a-t-il répondu. Il s'agit d'un budget fédéral et un budget fédéral qui paraîtra, maintenant le budget fédéral a été publié, est-ce que cela change votre opinion, votre vision des choses?
- Il y aura des projections à plus long terme qui pourrait être affecté lorsqu'il s'agit de la quantité de dépenses du gouvernement. Il y aura un impact sur le PIB, peut-être un légère impact inflationniste.
Mais les chiffre de l'IPC pour le mois de mars ont paru au Canada et sont inférieures aux prévisions.
Pour commencer la journée hier, tandis que les obligations États-Unis se vendaient à très court terme, c'est sans doute ce sur quoi la Banque du Canada va se concentrer parce qu'encore une fois le budget n'était pas nettement différent. Il faudra extrapoler les données sur l'inflation et les surveiller.
2,9 % pour l'inflation globale et l'inflation de base sur 12 mois à compter du mois de mars. Donc nous sommes en deçà de 3 %, et de ce point de vue, c'est conforme avec le discours relatif à la baisse progressive de l'inflation.
- Ce qui est important c'est que la dynamique de l'inflation à décliner et Tiff Macklem faisait parti d'un panel avec Jérôme parole et je crois que j'ai vu Bill Morneau, je regardais du coin de l'œil, et il a pu réagir. C'est pas souvent que nous recevons une réaction du gouverneur de la Banque du Canada.
C'était dans la séance de questions. Il a semblé satisfait la trajectoire.
- Oui, je pense qu'il a toutefois compensé en disant qu'il reste des données apparaître. Il s'agit du mois de juin, donc les données pour avril et mois de mai reste apparaître. La banque va rechercher une régularité dans cette tendance. D'ici juin, si cette désinflation se poursuit, on sera autour de 2 % pour l'inflation se serait conforme que la réduction des taux permettrait de reculer du moins par rapport au taux maximum.
- C'est un contraste avec ce que Jerome Powell doit gérer. Mais les données sont favorables, on va voir une harmonisation, uniformité avec une tendance. Les cours du pétrole, les choses évoluent dans la direction de la Banque du Canada, inflation globale, et l'inflation de base, elle fait abstraction du carburant et des loyers.
- Oui mais même au niveau de la façon globale, y compris l'énergie, y compris l'alimentation et la volatilité, on descend légèrement deçà de 3 %. Donc je pense qu'il y a une augmentation plus récente dans les prix de l'essence qui pourrait se répercuter. Mais sachant qu'il y a toujours pas mal de volatilité au niveau des cours du pétrole, il y a bien entendu des inquiétudes Moyen-Orient qui affectent les attentes en matière d'offres à court terme, mais en même temps, il y a une forte tendance et la demande d'énergie mentale aussi.
Une forte hausse de la hausse de la croissance.
Donc les marchés des produits de base est assez équilibré. Il se porte bien mais pas au point d'attendre d'affecter les attentes en matière inflation. C'est ce que la banque doit surveiller pour savoir qu'il y a une préoccupation et qu'elle doit réduire encore davantage la demande.
Pour l'instant un peu faire abstraction de ces phénomènes.
- Vous venez entendre Hafiz Noordin de gestion de placements TD. Outre les nouvelles dépenses, le budget de fois également des modifications de l'impôt sur les plus-values.
Pour les sociétés les particuliers très aisés. Nicole Ewing âgé de Gestion de Patrimoine TD.
- Ça s'est enfin produit par le taux d'inclusion hangar en capital.
Comme nous le savons dès que le taux actuel inclusion des 40 à capital et de 50 %. Vous devez inclure 50 % de gains en capital dans vos déclarations de revenus et vous êtes imposés sur ce montant. Ce qui change, c'est que pour les fiducies et les sociétés, le taux passe à deux tiers, il vous faudra donc inclure les deux tiers du gain en capital et être imposé sur ce montant. Pour les particuliers, ce taux des deux tiers s'appliquera uniquement au-delà du seuil de 250 000 $. Moins de 250 000 $, vous êtes toujours assujettis au taux d'inclusion de 50 %. Vous serez par ailleurs soumis aux nouvelles règles à partir, au-delà de 200 000 $, il y a un taux d'inclusion des deux tiers pour les particuliers.
- Parlant du 25 juin de cette année. Le moment où ces règles proposées entre en vigueur parce que ça complique les choses lorsqu'il s'agit de produire les déclarations de revenus pour l'exercice 2024?
- Il y aura des règles de transition. Il n'y aura pas de montant au prorata pour 2024.
Alors ça fait que 250 000 $ s'appliqueront. Il deviendra peut-être un peu plus compliqué pour les personnes, et c'est pourquoi nous demandons l'avis des experts. Les défis des règles de transition devront et approfondi un peu d'ici quelque temps, mais avec tout changement, à chaque fois qu'il y a un changement, il faudra des ajustements à notre manière de penser, à notre planification et à la manière dont nous produisons nos déclarations de revenus.
- Vous souvenez, une déclaration importante. Ça s'applique à nos spectateurs, il faut sans doute s'adresser à un professionnel pour déterminer quels sont les conséquences pour la stratégie qu'il poursuive.
- Nous savons que selon le communiqué de presse, il s'agit de 0,1 % des Canadiens qui seront assujettis et qui auraient un revenu moyen de 1,4 millions de dollars.
Ce sont ceux qui vont sans doute être pris, une forte proportion des campagnes fiducies vont acquitter un taux d'inclusion plus épais. Ça ne s'appliquera donc pas à grand nombre de particuliers, mais pour ceux à qui ça s'applique, il sera important de demander les conseils d'un expert non seulement pour savoir comment produire les impôts, mais comment planifier les sources de revenus dans l'avenir au cas où il y aurait un changement dans la structure du flux de trésorerie ou du revenu qu'il pourrait contribuer.
- Voilà pour les taux relatifs au hockey en capital. Chaque année depuis bien longtemps, on se disait qu'il pourrait y avoir un changement mais ce n'était jamais le cas. Maintenant il y a eu un changement.
Pourriez-vous nous en parler un petit peu?
- L'impôt minimum de remplacement présent.
Lorsqu'il s'agit de dons charitables, de quoi s'agit-il.
Il semble que le gouvernement a répondu à la rétroaction qu'il a reçue lorsque ces règles ont été annoncées, il y a eu quelques contestations. On parlait de 40 000 $ qui seraient sujets à l'impôt minimum de remplacement, à 130 000 $. Donc le seuil a été considérablement relevé en fonction des… mais la où le bât blessait c'était pour les œuvres de bienfaisance.
On s'inquiétait à vrai dire que cela dissuadera et certaines personnes de faire les dons de bienfaisance qu'ils auraient faite par ailleurs parce que l'impôt minimum de remplacement serait un facteur qui ne serait plus pris en compte. Alors ces règles changent le montant de l'imposition des dons des dons de bienfaisance, et impossible de pouvoir réclamer 80% plutôt que 50 % précédemment.
Il est possible également de déduire intégralement le supplément de revenu garanti, indemnisation des accidents de travail, les fiducies de propriété immobilière seraient également… et permettre les crédits qui ne seront pas utilisés pour une opération. Ces crédits ont été élargis. Il semble que le gouvernement apporte des ajustements à ce régime, les modifications entre toujours en vigueur et les changements minimums d'impôts de remplacement mais pour les dents de bienfaisance notamment le gouvernement à écouter et nous avons à présent 80% et non plus 50 % de crédit.
- Il y a des mesures intéressantes.
Parlant des mesures à l'égard des propriétaires d'entreprise. L'exonération cumulative des gains en capital quand on est une PME.
- L'exonération cumulative des client capital, c'est un montant avec lequel vous pouvez ne pas payer d'impôts sur une portion de ce que vous vendez. Il a été indexé 1 million de dollars pendant bien des années, mais là il passe à 1,25 donc l'exonération cumulative des gains en capitale passe à 1,2 millions ce qui donnera essentiellement une somme supplémentaire pour ne pas payer d'impôts.
Cela s'applique uniquement à certains types d'actions, certains types de société. Il y a un certain nombre de règles quant à la durée de détention des actions, quant au type d'activité de l'entreprise, otite active que celle-ci détient, reçoit elle en revenus passifs ou des bénéfices non répartis considérables.
Donc encore une fois, il faut consulter un professionnel de la fiscalité pour s'assurer que si vous allez réclamer l'exonération cumulative des gains en capital, vous êtes effectivement admissibles. Et si c'est le cas, il y a une augmentation à présent. C'est passé à 1,25 millions, l'indexation reprendra comme ça avait été le cas pendant plusieurs années. Indexation 2026.
- Demeurant dans le domaine des propriétaires d'entreprise. Il y a l'incitatif canadien pour les entrepreneurs.
- Ça, c'est très intéressant car outre l'exonération des gains cumulatifs en capital, ce nouvel incitatif est spécialement conçu pour les entrepreneurs.
Il réduit le taux d'imposition des gains en capital Action de ses actions.
Disons du taux d'inclusion des gains en capital qui s'appliquerait autrement.
Alors il y a donc zone inclusion de 50 % de 66 %. À présent, cela va permettre des réductions supplémentaires du montant des gains en capital qu'un entrepreneur devrait acquitter.
Cette limite va passer à 2 millions de dollars et ce, progressivement par tranche de 200 000 $ à partir de 2025. Il y a un certain nombre de conditions, mais il y a toujours des conditions auxquelles il faut satisfaire, mais ce qui est intéressant dans ce cas-ci, c'est qu'il est obligatoire que les personnes qui réclament l'exonération doivent être un investisseur fondateur au moment où la société a été créée initialement et pourvue en capitaux. Ce qui distingue cet élément qui montre bien que le programme est conçu pour les entrepreneurs et non pour ceux qui achètent des actions mais qui n'était pas là depuis le début. Ce que vous venez d'entendre Nicole Ewing.
Directrice de la planification fiscale et successorale et Gestion de Patrimoine TD.
Après un coup d'œil sur les marchés.
Nous revoici sur la plate-forme avancée conçue pour les négociateurs actifs et proposés par Placements directs TD. Voici la carte thermique qui permet de visualiser l'évolution du marché. Voici le TSX 60 en fonction du cours et du volume.
Il y a du vert à l'écran dans le secteur de l'énergie. Le cours du brut se maintient un peu en deçà de 80 $ le baril.
Nous avons appris ce matin qu'Israël aurait pris des représailles contre l'Iran pour l'attaque de la semaine dernière. La frappe elle-même ne semble pas avoir eu tellement d'ampleur. La réaction de l'Iran jusqu'ici est plutôt calme. Les marchés se sont donc apaisés par le cours du brut a flambé à la première annonce. Le secteur de l'énergie se maintient Enbridge est en hausse de presque 2 %, Suncor de 1 %. Il y a du vers l'écran dans ce domaine. La situation est plus mitigée dans les produits de base. Le cours du brut progresse de 60 $ l'once a presque 2400 $.
Kinross Gold est en hausse de 3,6 % mais les autres secteurs sont plus atténués. Le secteur financier, il y a du vers l'écran, cela joua un rôle clé dans la tendance de l'indice TSX composite.
La semaine a été mouvementée pour l'indice S&P 500. Il est actuellement recule très modestement. Les fabricants de semi-conducteurs, même si les grands titres de Wall Street, Bank of America, Wells Fargo, American Express voit que NVIDIA recule de 3,5 %, NVIDIA de presque 5 %, les fabricants de semi-conducteurs, surtout NVIDIA, était en hausse continue l'an dernier. Faites aux reproches avant de prendre décision de placement. Restez à l'écoute, lundi, Michael Craig de gestion de placements TD répond à vos questions sur la répartition d'actifs.
Vous pouvez nous poser vos questions en tout temps par courriel à moneytalklive@td.com.
Au nom de toute l'équipe de Parlons Argent en direct, merci et à lundi après une semaine forte occupée.
Notamment la perspective économique des marchés.
Julien Palardy de gestion TD nous présente des opportunités de l'investissement quantitatif et passif.
Nous allons entendre de point de vue sur le budget fédéral. Hafiz Noordin nous donne son avis sur ce que les dépenses d'Ottawa pourraient signifier par la Banque du Canada et Nicole Ewing nous donne une perspective sur les finances personnelles.
Nous poursuivons la découverte de CourtierWeb. Bryan Rogers nous montre comment découvrir les actions qui composent un index.
Mais d'abord un coup d'œil sur les marchés. En ce dernier jour de bourse de la semaine, le risque géopolitique est au premier plan. Israël semble avoir pris des mesures de représailles pendant la nuit contre l'Iran après une flambée initiale de certains produits de base, les marchés semblent s'en accommoder.
L'indice composite est monté d'un demi pour cent, parmi les titres les plus activement négociés, certaines des mines d'or et des entreprises de l'énergie.
Kinross Gold à 9,30 $ progresse de 3,5 %.
Baytex Energy, même si le pétrole a flambé pendant la nuit avec la nouvelle de l'attaque israélienne contre l'Iran, mais les compagnies de pétrole et de gaz se maintiennent à 5,00 $ six, action progresse de 1,6 %. Aux États-Unis, la semaine a été un peu délicate, surtout indice S&P 500 qui recule aujourd'hui de 23 ; soit 0,5 %. Le Nasdaq est également en recul, certains des fabricants qui plombent l'indice.
Jetant un coup d'œil sur AMD, le fabricant est toujours en recul à aujourd'hui 148,67 $, il baisse de plus de 4 %.
Les marchés surveillent de près les tensions entre Israël et l'Iran.
Je me suis entretenu avec Brad Simpson de gestion de placements, de patrimoine tédé sur l'attitude à l'égard du conflit. Tout d'abord les conséquences pour l'inflation.
La première question est celle des taux d'intérêt. Quand on parle des taux d'intérêt, bien sûr on parle inflation.
Puisque c'est dans une région du monde où il y a énormément de conséquences pour les produits de base, notamment le cours du pétrole, si le cours du pétrole commence à augmenter, ce qui a été le cas depuis quelques semaines, depuis 85 $, environ jusqu'au voisinage de 90 $, il y a eu un recul d'un pour cent environ depuis quelques jours, au moment de l'attaque.
S'il y a une évolution du cours de pétrole, par exemple, Brent a dépensé 100 $, il y aura un impact sur l'inflation ce qui pourrait avoir un impact sur les taux d'intérêt. Nous ne croyons pas que c'est ce qui va se produire, certainement pas à court ou moyen terme. L'autre côté de la médaille, il y a une fuite vers la sécurité, ce qui signifie donc que les marchés pourraient commencer à se tourner vers les obligations américaines, qui présenterait la possibilité de faire baisser les taux d'intérêt. C'est également un élément qui serait positif honnête. Nous maintenons notre pondération des titres à revenu fixe, nous surprendrons modérément les titres à revenu fixe nous continuons d'être satisfaite cette position. Que dire des actions. Nous reviendrons produit de base, parce qu'il y a bien entendu un lien entre les produits basés et les obligations.
Mais revenons aux actions. Bien sûr, c'est très important, surtout si l'on se place du point de vue de la plupart des mouvements du marché mondiaux.
Prenant le S&P 500. Depuis octobre 2023, et la remontée de 25 % en dollars, environ 12 millions de dollars de capitalisation boursière supplémentaire. C'est un marché qui a beaucoup progressé avec une volatilité pratiquement nulle depuis cinq ou six mois.
Il s'agit d'un marché qui recherche une base pour une progression future. Cela a été annoncé d'avance, donc l'attaque iranienne n'a pas été le catalyseur que les marchés chercheraient, mais depuis quelques semaines, nous avons commencé à constater une légère correction. Cette correction, selon nous va sans doute se prolonger au cours des semaines à venir.
Il y a beaucoup de vent contraire. Il s'agit de trouver une soupape pour ce marché. Nous croyons qu'il s'agit d'une mise en garde. À l'heure actuelle, notre pondération boursière et neutre et nous pensons que c'est une bonne façon d'aborder la question à l'heure actuelle.
Nous avons évoqué le pétrole et les liens avec l'inflation et que le marché obligataire. – Mais que dire des autres produits de base?
- Les produits de base, c'est cela qui est très intéressant pour un certain nombre de raisons. Tout d'abord, quand on songe à notre travail, mon équipe et moi réfléchissons à la répartition des capitaux et à la gestion des risques.
Pour nous, quand on remonte au début de l'année, même jusqu'en novembre dernier, quand nous faisions nos pronostics pour l'année à venir, nous avons dit que nous prévoyons qu'il y aurait beaucoup de perturbations dans cette région du monde.
Nous voulons envisager la possibilité d'une recrudescence des combats, ce qui exercerait davantage de pression sur les cours du pétrole.
Nous avons donc sur pondérer le pétrole en fonction de sa probabilité accrue de montée des tensions. Par ailleurs, nous estimions et nous continuons d'estimer dès que nous avons légèrement sur pondérer les produits de base dans leur ensemble. Pour nous il s'agit d'une position stratégique et tactique.
Nous pensons que les investisseurs doivent se positionner en continu sur les produits de base. Pourquoi parce qu'il s'agit d'une excellente couverture si on considère la manière dont les marchés ont évolué depuis six mois, chaque fois qu'il y a une augmentation, une hausse des tensions, ou que ce soit dans le monde, les deux guerres, russo- ukrainienne également en Israël, les produits de base jour un excellent rôle de diversification et nous continuons de penser que ça beaucoup de bon sens.
- Vous et moi avons eu beaucoup de discussions quant à la manière de réfléchir sur les marches à long terme.
Vous avez parlé la répartition des capitaux, et au début vous avez dit que cette évolution même si elle peut être rapide, avec des conséquences pour des semaines, des mois peut-être des années dans l'avenir, qu'est-ce que les investisseurs doivent faire au niveau de ses tensions géopolitiques dans leur propre choix de leur portefeuille.
- Ce qui est important, c'est… nous avons beaucoup parlé depuis deux ans dans nos bulletins, dans nos articles de ce phénomène. Dans cet air de démondialisation, nous nous trouvons dans cette situation où il y aura davantage de conflits dans le monde. On peut créer un portefeuille d'investissement en tenant compte de cela. Le point de départ, c'est vraiment de faire en sorte que votre portefeuille soit bien diversifié. C'est également une question d'orientation.
C'est-à-dire que vous ne devriez pas répartir un portefeuille uniquement sur la base de ce que vous détenez.
Vous pourriez couvrir, mais il y a également la possibilité de protéger quand la volatilité décolle.
Le dernier élément, c'est en définitive qu'il faut s'assurer que tant que vous investissez vous ayez un plan financier par rapport aux objectifs afin que vous puissiez rallonger votre horizon temporel.
Les actifs à long terme, contrairement aux actions, cela du bon sens, même si vous pouvez vous trouver dans une aire de conflit, dans le passé, tant que vous avez un horizon temporel long, votre portefeuille peut très bien supporter cette évolution mais vous pouvez avoir beaucoup de croissance.
- Vous venez d'entendre Brad Simpson, stratège en chef à Gestion de Patrimoine TD. À présent l'actualité du monde des affaires et un coup d'œil sur les marchés.
Les parts de Netflix sont en vedette aujourd'hui. Le géant de la diffusion continue abattue son chiffre d'affaires en termes de résultats, mais l'action diminue et les marchés semblent se concentrer sur les prévisions. Netflix dit s'attendre à ce que le nombre d'abonnés soit plus faible en raison de la saisonnalité.
L'entreprise a cessé de communiquer le nombre trimestriel de membres et de consommation par. Le géant Procter & Gamble annonce un trimestre, la compagnie qui vend des produits comme le détergent Hyde et Charmin a vu ses ventes stagner pour le deuxième trimestre consécutif en raison des hausses inflationnistes des prix des produits, les entreprises comme PPG ont eu du mal à faire monter à ses demandes. La réaction est en baisse de 10 % pour les actions de par un montant en mouvement aujourd'hui, du moins elle est en début de séance est toujours en hausse de 9 %, et ce, à cause de rapport non confirmé que Sony Pictures intégralement et Appolo Group Management envisage de faire une offre conjointe pour la société.
Apparemment est actuellement en pourparlers pour fusionner avec Sky dance média.
C'est une histoire à suivre.
Ensuite, un coup d'œil sur les marchés.
L'indice composite SX est en hausse de 0,5 %. Le secteur minier progresse ainsi que le secteur pétrolier et gazier. Aux États-Unis l'indice S&P 500 a connu une semaine de hauts et de bas sans pouvoir trouver d'orientation durable. L'indice recul de 29 points, soit 0,5 %.
Passant du risque géopolitique la trajectoire future des taux d'intérêt et les questions que se posent les investisseurs ne manquent pas. Quel rôle investissement quantitatif et passif pourrait-il jouer dans cet environnement.
Julien Palardy de gestion de placements TD s'est jointe à moi plutôt pour en discuter.
- Typiquement, nos stratégies sont quantitatif ou passives. Du côté quantitatif, on peut penser à des stratégies avec différents types d'objectifs pour les investisseurs de manière à faire mieux que les marchés. Il y a aussi des stratégies axées sur le risque qui vise à réduire le risque. Il y a des stratégies à faible volatilité et il y a d'autres stratégies qui sont assez courantes, mais l'objectif pourrait être d'être un simple rendement.
L'objectif pourrait être de parvenir un rendement de dividende raisonnable par rapport au marché et maintenir un rendement en dividende au fil du temps en évitant les entreprises qui réduisent leur dividende en choisissant celle qui augmente en dividende. C'est un peu différent du rendement pur ou de la gestion du risque pur, mais il s'agit tout de même d'un objectif que les investisseurs peuvent envisager.
- Commençons analyser certains de ces éléments. Vous avez parlé de stratégies quantitatives et passif. Commençons par les stratégies quantitatif. Expliquez-moi.
Ensuite certains investisseurs ont entendu parler du titre d'investissement quantitatif et ne comprennent pas exactement de quoi il s'agit.
- Les stratégies quantitatives, j'ai parlé du risque du rendement, il s'agit de partir de risque à partir de modèles mathématiques, de statistiques en extrayant des données, autant d'informations que possible au sujet du risque futur, la corrélation entre les actions et le rendement futur. Ce sont les stratégies d'alpha. Il s'agit de transformer des données en informations utilisables, en rendement prévisible et de créer des portefeuilles. Ça c'est un élément important des stratégies quantitatif. Il faut créer des portefeuilles qui vous permettront de produire le rendement que vous souhaitez au fil du temps ou de réduire le risque de la manière la plus efficace possible au fil du temps. Voilà pour le quantitatif.
Les stratégies passives, comment les différencier des stratégies quantitatif.
Elles sont très différentes même si certains des outils sont très semblables.
Lorsqu'il s'agit d'investissement passif, c'est stratégies porte sur un indice spécifique. Il s'agit de suivre l'indice d'aussi près que possible. On cherche à reproduire l'indice aussi parfaitement que possible. Le résultat que vous obtiendrez sera fonction de l'évolution de l'indice.
La plupart sont à pondération en fonction de la capitalisation boursière, mais il y a également des indices qui ne sont pas pondérés en fonction de la capitalisation boursière, qui suive des stratégies, on pourrait dire des recettes qui ne sont pas aussi élaborées que les stratégies quantitatives que nous suivons. Il y a de plus en plus de ces indices. Les stratégies passives peuvent suivre ses indices également. Cela diffère de l'investissement quantitatif où il y a des modèles complexes qui cherche à réduire le risque de dépasser le marché. Ce n'est pas le cas pour les stratégies passives. Les outils peuvent être semblables, nous avons une approche très systématique au niveau de l'ensemble de l'équipe et nous utilisons des optimisés en par exemple, mais lorsqu'il s'agit de l'investissement passif, il s'agit de reproduire spécifiquement un indice tel que le S&P 500.
- Parlant de placements axés sur les dividendes. On comprend bien comment cela fonctionne. Mais la question, depuis longtemps, c'est de savoir s'il s'agit d'un environnement favorable pour l'investissement dividende.
- Oui, je le croirais. En fait, un environnement favorable à l'investissement axé sur les dividendes, à leur actuel en particulier, s'est particulièrement propice. Il semble qu'il y aurait une réduction des taux d'intérêt au Canada.
L'écart entre le rendement des obligations canadiennes et américaines augmente déjà, ceci montre que les marchés s'attendent à ce qu'il y ait une certaine divergence dans une certaine mesure au niveau de la politique monétaire des deux côtés de la frontière.
Dans ce genre d'environnement, et pourrait donc avoir des sources définies de rendement perpétuel que vous pourriez verrouiller cela peut vous être procurés par des actions qui vous apportent des dividendes. Mais il faut bien sûr s'assurer qu'il ne s'agit pas d'action de dividende dans les dividendes ont diminué dans un proche avenir s'il y a une récession par exemple. Il faut que ces dividendes demeurent aussi solides que possible.
Donc à leur actuel, c'est une excellente occasion de verrouiller un rendement que vous pouvez obtenir normalement avec des obligations Canada. Le rendement pourrait supérieur de 1 % et on peut espérer que cela serait plus élevé pour l'avenir prévisible si les rendements diminuent.
Ces dividendes continueront d'être versés pourraient même augmenter à l'avenir.
- C'est un élément clé lorsqu'il s'agit de placements dividendes. Il y a qualité des titres, qui vont continuer de verser dividende. On parle également non seulement des dividendes actuels, mais des antécédents d'augmentation des dividendes.
Ce que la compagnie continuera de faire.
- Précisément. En définitive, il y a des facteurs clés dont on peut tenir compte lorsqu'il s'agit de la qualité. Nous gérons des FNB au sein de notre équipe qui mise d'abord sur la qualité à fin d'exclure de notre univers de placements les entreprises qui ont le plus de chance de ne pas pouvoir maintenir leur dividende. Et puis nous avons un processus d'optimisation. Nous nous concentrons sur la maximisation de la qualité des actions que nous détenons sous réserve de certaines contraintes. Nous ne cherchons pas à maximiser d'abord le rendement et rechercher les actions à croissance raisonnable. Nous recherchons les actions de la meilleure qualité possible sous réserve de certains objectifs en matière de rendement dividendes.
- Il y a une autre stratégie dont on a beaucoup parlé, compte tenu de comportement des marchés l'an dernier.
C'était en 2022 que ca, a commencé c'est la faible volatilité dont on a beaucoup parlé en 2022, c'était une année mouvementée. Qu'est-ce qui se passe dans ce secteur?
- Je dirais que les investisseurs ont un peu délaissé les stratégies à faible volatilité depuis quelque temps, les gens ont tendance à oublier la gestion du risque quand le marché est en hausse. La remontée du marché a donc amené un certain délaissement des actions à faible volatilité. Il s'agit de secteurs défensifs qui n'ont pas participé à la remontée des marchés l'an dernier cette année. Les investisseurs se méfient donc des stratégies à faible volatilité mais de manière empirique, cela nous montre que c'est à une époque comme celle-ci qu'il est le meilleur moment d'investir. Il y aurait une période semblable à la fin des années 90, en 98, 1999, cela aurait été sans doute le meilleur moment pour se lancer dans les titres à faible volatilité maudissant le pire moment pour en sortir.
Mais malheureusement, l'ensemble du marché, s'intéresse à ce qui s'est bien passé récemment et vote pour cela. Donc je pense que la faible volatilité va finalement ramener en faveur les stratégies à faible volatilité.
- Beaucoup de stratégies très diversifiées. Comment créer une équipe pour gérer toutes ces stratégies. Quels sont les antécédents des membres de votre équipe?
- Quand je suis entré dans l'équipe, il y a 17 ans ou 18 ans, la plupart des membres de l'équipe étaient avec une formation financement d'économie, on avait tous des maîtrises. Certains des doctorats.
Il y avait un titulaire de Docteur en physique. C'était une exception parce que travailler sur des modèles du marché obligataire. Aujourd'hui, je dirais que nous avons une diversification de nos antécédents.
Nous embauchant au sein de l'équipe des personnes qui connaissent dans certains domaines. Les sciences informatiques que nous avons une personne qui a fait un doctorat en informatique, un autre qui a fait un doctorat en sciences cognitives.
Donc il y a des antécédents intéressants, il a passé aussi du temps dans les financements demandés formés en finance, mais contrairement au passé, nous ne recrutons pas nécessairement des gens qui sont dans la finance.
En fait, je dis parfois que je ne me recrute serais peut-être pas moi-même à leur actuel même si je dirige l'équipe. Je ne sais pas si les critères qui prévalaient il y a 17 ou 18 ans existe encore. Mais aujourd'hui, nous recherchons des gens qui doivent savoir coder, c'est une exigence obligatoire, mais aussi qui apporte des antécédents diversifiés afin de pouvoir nous compléter les uns les autres lorsqu'il s'agit de faire des recherches par exemple. Ce nous recherchons une diversité de connaissances et de compétences.
- Vous venez d'entendre Julien Palardy de gestion de placements TD.
À présent poursuivons la découverte de CourtierWeb.
Si vous voulez vous renseigner sur les actions qui composent un indice, CourtierWeb peut vous aider. Bryan Rogers Placements directs TD se joint à moi pour en discuter. Est-il possible de visualiser rapidement les entreprises qui font parti d'un indice?
- Oui.
C'est une astuce que j'aime beaucoup montrer parce que c'est très simple mais c'est également très utile. Pour quiconque est novice en placements, et se demande qu'est-ce que l'indice S&P 500, doit bien commerçant sentit allumer les cas de figure. Donc si vous souhaitez savoir comment trouver seul avec lui une façon très simple de le faire sur CourtierWeb.
Il y a un domaine très utile. Alors vous voyez dans l'onglet recherche, dès le début, on voit dans le survol indice. Vous pouvez réaliser des graphiques de différents indices, vous pouvez suivre les hausses, les baisses, mais ici, il y a toute une liste des indices. Il y a la moyenne industrielle Dow Jones. Mais tant que nous considérons le S&P 500. Si je clique sur l'hyperlien qui est associé avec l'indice, cela affiche une case qui comporte des données de base et ensuite en bas, il y a un lien intitulé membres.
Membres, c'est-à-dire quels sont les actions qui font parti de l'indice, quels sont les entreprises. Donc si je clique sur membres, il y en a 100 en l'occurrence, parce que c'est un indice, par rien à 500, parce que c'est un indice très général.
Donc c'est par ordre alphabétique. Dans une certaine mesure, vous pouvez les trier, trier ses colonnes, on regardera peut-être sape une autre fois, mais la première chose que je voulais vous montrer, c'est l'idée que les indices que vous pouvez sélectionner figure sur ce menu déroulant. Mais si vous souhaitez par exemple vous renseigner sur des éléments qui sont pertinents pour un secteur en particulier, on parle souvent de l'or. Si on considère l'indice mondial de l'or, je peux voir les actions qui en font parti.
C'est un filtre très rapide. Il existe d'autres outils de sélection de CourtierWeb, mais c'est une grille de sélection très rapide pour rechercher les entreprises de banque etc.
Certains… parfois il y a eu des changements, ou des modifications, je crois que l'indice des résultats financiers à présent, mais une façon rapide de découvrir qui est membre d'un indice en particulier.
Même lorsqu'il s'agirait de titres plus petits. Voici l'indice S&P 500. Beaucoup de titres à sélectionner. Comment pouvons-nous filtrer l'information?
- Alors retournant sur CourtierWeb et je veux montrer comment c'est l'un des procédés que j'apprécie le plus.
Revenant à l'indice S&P 500. Si nous allons au menu déroulant supérieur, il y a 500 actions, il est possible de réaliser une sélection élémentaire, mais qui est très utile. Mais tant que vous recherchez une action dans l'indice S&P 500 qui voit son pourcentage évolué de 5 % par exemple.
Il y a apparemment, vous avez dit tout à l'heure que par amende et en hausse d'une certaine proportion. C'est l'un des chefs de file dans le changement de valeur aujourd'hui, donc ça c'est une façon.
Vous pouvez choisir en dollars en pourcentage. Voyant le volume. Quelles sont les actions qui sont le plus négocié aujourd'hui.
C'était cela qui a le volume le plus élevé. AMD, NVIDIA et ainsi de suite. On peut même sélectionner en fonction du rendement dividende. Je vais trouver les actions du S&P 500 qui rapporte le plus.
Vous pouvez ensuite réaliser des recherches. Vous pouvez également compter sur la performance.
Mettons que vous voulez trouver rendement sur un an, lequel est le plus élevé, plus faible. Il ne s'agit pas de conseils financiers. C'est une action, même si elle est en tête du palmarès, le rendement passé ne garantit pas le rendement futur.
Mais là, vous pouvez faire des recherches, cliquez sur chacun de ces symboles est entrée beaucoup plus dans le détail sur l'action spécifique.
- Merci beaucoup, Bryan Rogers.
- Je vous en prie, Greg.
- C'était Bryan Rogers formateur principal à Placements directs TD. Pour vous renseigner sur la plate-forme avancée, utiliser le centre d'apprentissage de CourtierWeb utiliser ce code QR pour naviguer vers la page YouTube Placements directs TD. Vous trouverez encore plus de ressources. Le budget fédéral canadien présenté cette semaine prévoit une cinquantaine de milliards de dollars de nouvelles dépenses pour les cinq prochaines années. Qu'est-ce que ça signifie pour la Banque du Canada qui tente de ramener l'inflation à 2 %? Hafiz Noordin de gestion de placements TD s'est joint à moi plutôt pour en discuter.
- Il y a certainement une aggravation dans le déficit d'ici quelques années. Cela en soi n'est pas un résultat très favorable, mais quand on n'y songe, il y a eu une hausse des recettes fiscales compensées par les dépenses. Au net, il n'y a pas vraiment eu de vague sur les marchés financiers, les rendements obligataires n'ont pas évolué ou très peu. Au niveau des recettes via une annonce surprise en accusant des gains en capital pour les entreprises et les particuliers très aisés. Mais inversement il y a davantage de dépenses, surtout au niveau du logement, mais dans d'autres domaines comme la santé la défense.
Donc des mesures de relance, il y a différentes façons de voir les chiffres, mais on parle de 35 milliards de dollars de relances nouvelles par rapport à ce que l'on attendait en fonction de la mise à jour de l'automne. Ces 35 milliards d'ici cinq ans.
Donc si on étale sans pourcentage de notre PIB, ce n'est pas énorme, mais la conclusion à tirer, c'est que les déficits persistants ne nous laissent pas entrevoir une trajectoire vers l'équilibrage du budget de sitôt.
- Parlons-en, des déficits qui persistent pendant une période prolongée, sans trajectoire vers l'équilibre. Le gouvernement émet beaucoup de dettes.
Comment cela se présente?
- Le budget comporte notamment une stratégie de gestion de la dette. Comment le gouvernement va-t-il financer tout cela.
Les chiffres généraux, quant à la dette à émettre cette année s'établisse à 500 milliards de dollars. Ça semble énorme il faut toujours ajuster en fonction du renouvellement de dettes existantes qui arrivent à échéance pendant cet exercice.
Quand on soustraie les dettes qui arrivent à échéance, il ne s'agit pas de 500 milliards de nouvelles émissions nets.
Ensuite les marchés s'interrogent sur la proportion en bons du trésor par rapport aux obligations qui sont émises à cinq ans, deux ans, etc.
Si vous commencez à trop affaiblir sur les obligations, vous pouvez avoir et que les marchés vont exiger une concession pour cela, il va y avoir des écarts plus élevés. Le nombre d'obligations amène cette année 230 milliards environ les analystes attendaient à 240 à 250, c'est un peu moins que prévu. Par conséquent de ce point de vue là, la stratégie d'émission demeure relativement bénigne.
Encore une fois il ne s'agit pas de faire trop de vagues. La dernière fois que nous avons eue une communication de Tiff Macklem, c'était il y a fort longtemps, semble-t-il, et il a déclaré que la banque se maintenait au point où elle en était est-ce que le mois de juin était une possibilité lui a-t-on demandé? C'est pas impossible, a-t-il répondu. Il s'agit d'un budget fédéral et un budget fédéral qui paraîtra, maintenant le budget fédéral a été publié, est-ce que cela change votre opinion, votre vision des choses?
- Il y aura des projections à plus long terme qui pourrait être affecté lorsqu'il s'agit de la quantité de dépenses du gouvernement. Il y aura un impact sur le PIB, peut-être un légère impact inflationniste.
Mais les chiffre de l'IPC pour le mois de mars ont paru au Canada et sont inférieures aux prévisions.
Pour commencer la journée hier, tandis que les obligations États-Unis se vendaient à très court terme, c'est sans doute ce sur quoi la Banque du Canada va se concentrer parce qu'encore une fois le budget n'était pas nettement différent. Il faudra extrapoler les données sur l'inflation et les surveiller.
2,9 % pour l'inflation globale et l'inflation de base sur 12 mois à compter du mois de mars. Donc nous sommes en deçà de 3 %, et de ce point de vue, c'est conforme avec le discours relatif à la baisse progressive de l'inflation.
- Ce qui est important c'est que la dynamique de l'inflation à décliner et Tiff Macklem faisait parti d'un panel avec Jérôme parole et je crois que j'ai vu Bill Morneau, je regardais du coin de l'œil, et il a pu réagir. C'est pas souvent que nous recevons une réaction du gouverneur de la Banque du Canada.
C'était dans la séance de questions. Il a semblé satisfait la trajectoire.
- Oui, je pense qu'il a toutefois compensé en disant qu'il reste des données apparaître. Il s'agit du mois de juin, donc les données pour avril et mois de mai reste apparaître. La banque va rechercher une régularité dans cette tendance. D'ici juin, si cette désinflation se poursuit, on sera autour de 2 % pour l'inflation se serait conforme que la réduction des taux permettrait de reculer du moins par rapport au taux maximum.
- C'est un contraste avec ce que Jerome Powell doit gérer. Mais les données sont favorables, on va voir une harmonisation, uniformité avec une tendance. Les cours du pétrole, les choses évoluent dans la direction de la Banque du Canada, inflation globale, et l'inflation de base, elle fait abstraction du carburant et des loyers.
- Oui mais même au niveau de la façon globale, y compris l'énergie, y compris l'alimentation et la volatilité, on descend légèrement deçà de 3 %. Donc je pense qu'il y a une augmentation plus récente dans les prix de l'essence qui pourrait se répercuter. Mais sachant qu'il y a toujours pas mal de volatilité au niveau des cours du pétrole, il y a bien entendu des inquiétudes Moyen-Orient qui affectent les attentes en matière d'offres à court terme, mais en même temps, il y a une forte tendance et la demande d'énergie mentale aussi.
Une forte hausse de la hausse de la croissance.
Donc les marchés des produits de base est assez équilibré. Il se porte bien mais pas au point d'attendre d'affecter les attentes en matière inflation. C'est ce que la banque doit surveiller pour savoir qu'il y a une préoccupation et qu'elle doit réduire encore davantage la demande.
Pour l'instant un peu faire abstraction de ces phénomènes.
- Vous venez entendre Hafiz Noordin de gestion de placements TD. Outre les nouvelles dépenses, le budget de fois également des modifications de l'impôt sur les plus-values.
Pour les sociétés les particuliers très aisés. Nicole Ewing âgé de Gestion de Patrimoine TD.
- Ça s'est enfin produit par le taux d'inclusion hangar en capital.
Comme nous le savons dès que le taux actuel inclusion des 40 à capital et de 50 %. Vous devez inclure 50 % de gains en capital dans vos déclarations de revenus et vous êtes imposés sur ce montant. Ce qui change, c'est que pour les fiducies et les sociétés, le taux passe à deux tiers, il vous faudra donc inclure les deux tiers du gain en capital et être imposé sur ce montant. Pour les particuliers, ce taux des deux tiers s'appliquera uniquement au-delà du seuil de 250 000 $. Moins de 250 000 $, vous êtes toujours assujettis au taux d'inclusion de 50 %. Vous serez par ailleurs soumis aux nouvelles règles à partir, au-delà de 200 000 $, il y a un taux d'inclusion des deux tiers pour les particuliers.
- Parlant du 25 juin de cette année. Le moment où ces règles proposées entre en vigueur parce que ça complique les choses lorsqu'il s'agit de produire les déclarations de revenus pour l'exercice 2024?
- Il y aura des règles de transition. Il n'y aura pas de montant au prorata pour 2024.
Alors ça fait que 250 000 $ s'appliqueront. Il deviendra peut-être un peu plus compliqué pour les personnes, et c'est pourquoi nous demandons l'avis des experts. Les défis des règles de transition devront et approfondi un peu d'ici quelque temps, mais avec tout changement, à chaque fois qu'il y a un changement, il faudra des ajustements à notre manière de penser, à notre planification et à la manière dont nous produisons nos déclarations de revenus.
- Vous souvenez, une déclaration importante. Ça s'applique à nos spectateurs, il faut sans doute s'adresser à un professionnel pour déterminer quels sont les conséquences pour la stratégie qu'il poursuive.
- Nous savons que selon le communiqué de presse, il s'agit de 0,1 % des Canadiens qui seront assujettis et qui auraient un revenu moyen de 1,4 millions de dollars.
Ce sont ceux qui vont sans doute être pris, une forte proportion des campagnes fiducies vont acquitter un taux d'inclusion plus épais. Ça ne s'appliquera donc pas à grand nombre de particuliers, mais pour ceux à qui ça s'applique, il sera important de demander les conseils d'un expert non seulement pour savoir comment produire les impôts, mais comment planifier les sources de revenus dans l'avenir au cas où il y aurait un changement dans la structure du flux de trésorerie ou du revenu qu'il pourrait contribuer.
- Voilà pour les taux relatifs au hockey en capital. Chaque année depuis bien longtemps, on se disait qu'il pourrait y avoir un changement mais ce n'était jamais le cas. Maintenant il y a eu un changement.
Pourriez-vous nous en parler un petit peu?
- L'impôt minimum de remplacement présent.
Lorsqu'il s'agit de dons charitables, de quoi s'agit-il.
Il semble que le gouvernement a répondu à la rétroaction qu'il a reçue lorsque ces règles ont été annoncées, il y a eu quelques contestations. On parlait de 40 000 $ qui seraient sujets à l'impôt minimum de remplacement, à 130 000 $. Donc le seuil a été considérablement relevé en fonction des… mais la où le bât blessait c'était pour les œuvres de bienfaisance.
On s'inquiétait à vrai dire que cela dissuadera et certaines personnes de faire les dons de bienfaisance qu'ils auraient faite par ailleurs parce que l'impôt minimum de remplacement serait un facteur qui ne serait plus pris en compte. Alors ces règles changent le montant de l'imposition des dons des dons de bienfaisance, et impossible de pouvoir réclamer 80% plutôt que 50 % précédemment.
Il est possible également de déduire intégralement le supplément de revenu garanti, indemnisation des accidents de travail, les fiducies de propriété immobilière seraient également… et permettre les crédits qui ne seront pas utilisés pour une opération. Ces crédits ont été élargis. Il semble que le gouvernement apporte des ajustements à ce régime, les modifications entre toujours en vigueur et les changements minimums d'impôts de remplacement mais pour les dents de bienfaisance notamment le gouvernement à écouter et nous avons à présent 80% et non plus 50 % de crédit.
- Il y a des mesures intéressantes.
Parlant des mesures à l'égard des propriétaires d'entreprise. L'exonération cumulative des gains en capital quand on est une PME.
- L'exonération cumulative des client capital, c'est un montant avec lequel vous pouvez ne pas payer d'impôts sur une portion de ce que vous vendez. Il a été indexé 1 million de dollars pendant bien des années, mais là il passe à 1,25 donc l'exonération cumulative des gains en capitale passe à 1,2 millions ce qui donnera essentiellement une somme supplémentaire pour ne pas payer d'impôts.
Cela s'applique uniquement à certains types d'actions, certains types de société. Il y a un certain nombre de règles quant à la durée de détention des actions, quant au type d'activité de l'entreprise, otite active que celle-ci détient, reçoit elle en revenus passifs ou des bénéfices non répartis considérables.
Donc encore une fois, il faut consulter un professionnel de la fiscalité pour s'assurer que si vous allez réclamer l'exonération cumulative des gains en capital, vous êtes effectivement admissibles. Et si c'est le cas, il y a une augmentation à présent. C'est passé à 1,25 millions, l'indexation reprendra comme ça avait été le cas pendant plusieurs années. Indexation 2026.
- Demeurant dans le domaine des propriétaires d'entreprise. Il y a l'incitatif canadien pour les entrepreneurs.
- Ça, c'est très intéressant car outre l'exonération des gains cumulatifs en capital, ce nouvel incitatif est spécialement conçu pour les entrepreneurs.
Il réduit le taux d'imposition des gains en capital Action de ses actions.
Disons du taux d'inclusion des gains en capital qui s'appliquerait autrement.
Alors il y a donc zone inclusion de 50 % de 66 %. À présent, cela va permettre des réductions supplémentaires du montant des gains en capital qu'un entrepreneur devrait acquitter.
Cette limite va passer à 2 millions de dollars et ce, progressivement par tranche de 200 000 $ à partir de 2025. Il y a un certain nombre de conditions, mais il y a toujours des conditions auxquelles il faut satisfaire, mais ce qui est intéressant dans ce cas-ci, c'est qu'il est obligatoire que les personnes qui réclament l'exonération doivent être un investisseur fondateur au moment où la société a été créée initialement et pourvue en capitaux. Ce qui distingue cet élément qui montre bien que le programme est conçu pour les entrepreneurs et non pour ceux qui achètent des actions mais qui n'était pas là depuis le début. Ce que vous venez d'entendre Nicole Ewing.
Directrice de la planification fiscale et successorale et Gestion de Patrimoine TD.
Après un coup d'œil sur les marchés.
Nous revoici sur la plate-forme avancée conçue pour les négociateurs actifs et proposés par Placements directs TD. Voici la carte thermique qui permet de visualiser l'évolution du marché. Voici le TSX 60 en fonction du cours et du volume.
Il y a du vert à l'écran dans le secteur de l'énergie. Le cours du brut se maintient un peu en deçà de 80 $ le baril.
Nous avons appris ce matin qu'Israël aurait pris des représailles contre l'Iran pour l'attaque de la semaine dernière. La frappe elle-même ne semble pas avoir eu tellement d'ampleur. La réaction de l'Iran jusqu'ici est plutôt calme. Les marchés se sont donc apaisés par le cours du brut a flambé à la première annonce. Le secteur de l'énergie se maintient Enbridge est en hausse de presque 2 %, Suncor de 1 %. Il y a du vers l'écran dans ce domaine. La situation est plus mitigée dans les produits de base. Le cours du brut progresse de 60 $ l'once a presque 2400 $.
Kinross Gold est en hausse de 3,6 % mais les autres secteurs sont plus atténués. Le secteur financier, il y a du vers l'écran, cela joua un rôle clé dans la tendance de l'indice TSX composite.
La semaine a été mouvementée pour l'indice S&P 500. Il est actuellement recule très modestement. Les fabricants de semi-conducteurs, même si les grands titres de Wall Street, Bank of America, Wells Fargo, American Express voit que NVIDIA recule de 3,5 %, NVIDIA de presque 5 %, les fabricants de semi-conducteurs, surtout NVIDIA, était en hausse continue l'an dernier. Faites aux reproches avant de prendre décision de placement. Restez à l'écoute, lundi, Michael Craig de gestion de placements TD répond à vos questions sur la répartition d'actifs.
Vous pouvez nous poser vos questions en tout temps par courriel à moneytalklive@td.com.
Au nom de toute l'équipe de Parlons Argent en direct, merci et à lundi après une semaine forte occupée.