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(musique)
Bonjour Ici Greg Bonnell, bienvenue à Parlons d'argent en direct une émission de Placements direct TD.
Aujourd'hui Scott Colburn de gestion d'actifs TD nous donne son opinion sur la possibilité de nouvelles hausses de taux par la banque du Canada.
Est-ce que la banque pourrait marquer une pause? Bart Melek nous donne ses perspectives pour le pétrole tandis que le plafonnement du prix du brut russe entre en vigueur les conséquences pour les marchés les producteurs d'énergie et l'économie mondiale et Jimmy expose une nouvelle tendance dans les opérations boursières qui pourraient causer davantage de vulnérabilité sur le marché voici une mise à jour sur le marché. Dans les 10 TSX des produits de base remonte tandis que les investisseurs attendent une relance de la demande en Chine avec l'assouplissement des restrictions dues à la Covid-19. Certains grandissaient de la technologie comme Shopify sont en hausse l'indice S&P 500 est légèrement baisse tandis que les investisseurs assimilent les dernières statistiques de l'industrie des prix de production aux États-Unis qui sont un peu plus élevés que prévus ce qui alimente la crainte d'une persistance de l'inflation les statistiques de l'indice des prix à la consommation paraissent mardi et les marchés seront certainement concentrés sur cette échéance après la fin de semaine.
L'indice Nasdaq spécialisé dans la technologie est légèrement en hausse.
Comme on l'avait prévu, la banque du Canada a augmenté les taux d'intérêt de 50 point de base et il s'agit de la septième hausse de suite et la banque centrale acide ainsi que l'inflation reste un problème a laissé entendre que ce cycle de hausse de taux pourrait bientôt prendre fin. Scott Colburn directeur général des gestions d'actif Tedey s'entretient avec Greg.
Il y a un peu de pipeau et un peu de tout sur les marchés aujourd'hui.
Le marché était divisé entre 25 et 50 points de base.
Les termes ont changé.
Autrefois, on savait qu'ils allaient augmenter les taux et maintenant, la banque nous dit qu'elle va envisager l'opportunité de relever les taux.
Il y a donc une certaine optionnelle IT que la banque du Canada se ménage. La question est de savoir si la prochaine hausse de zéro où elle sera de 25 point de base. Il s'agit de beaucoup beaucoup de banques centrales suive ces trajectoires.
On s'est concentré sur le rythme et beaucoup de hausse rapide et initiale que ce soit la fin de la banque du Canada ou la banque de réserve d'Australie à présent, on se demande où allons-nous aboutir combien de temps la nous allons nous y maintenir voilà la trajectoire.
L'idée d'augmenter les taux consiste à juguler l'inflation en donnant un coup de frein à l'économie avec quatre écarts de pour cent il s'agit d'un taux entièrement restrictif. Est-ce que nous sommes parvenus au point où nous pouvons maîtriser l'inflation avec un taux comme celui-ci?
Voilà le grand débat.
La politique monétaire fonctionne avec un décalage dans les derniers chiffres, la demande intérieure affaiblie au niveau de la consommation et un niveau du logement et ses augmentations de tout rapide commencent à se répercuter sur l'économie mais comme la banque du Canada l'a signalé, l'inflation demeure élever. Elle a peut-être touchant sommet mais demeurent plus élever que c'est souhaitable. Il faut attendre que les mesures qui ont été pris se répercutent sur l'économie.
L'impact de la politique monétaire n'est pas pleinement ressenti par l'économie.
Leur serait-il venu de marquer une pause et de se concentrer sur l'importance d'attendre et d'évaluer les données?
À la prochaine réunion de janvier?
- Les marchés sont à présent divisé entre 0 et 25 point de base pour l'augmentation qui sera annoncée en janvier.
Le meilleur scénario serait bien entendu que la banque du Canada ayant pratiqué initialement de forte hausse constate que l'inflation est maîtrisée et ralentie sans avoir causé trop de dégâts économie. Parlons de la l'inversion de la courbe des taux et de ce que cela nous dit.
Les mois les plus dangereux dans le lexique des investisseurs les mots sont: c'est différent cette fois. Beaucoup d'investisseurs expriment des doutes quant à la possibilité d'une récession et le marché obligataire canadien et le marché américain ont une grande cour de taux très élevé il s'agit d'un indicateur fiable de l'approche d'une récession.
Le délai dans lequel celle-ci interviendra peut varier, mais à notre avis, ignorant de récession au Canada et aux États-Unis. Sera-t-il profonde ou peu profonde ou court?
Les signaux du marché obligataire sont nettes.
Nous allons entrer en récession il s'agit de l'impact décalé de ces hausses de tour rapide. La banque du Canada marque une pause. Est-ce que le marché obligataire nous annonce la nature de cette récession?
Parlons-en. Le meilleur scénario consiste à entrer en récession, mais ce serait une récession modeste et le pire scénario serait un chômage de masse ce qui se passe pendant les récessions profondes pour nous éviter ce scénario, je crois que une des clés, c'est le marché de l'emploi.
Il demeure aussi bien au Canada qu'aux États-Unis, il demeure très serrer.
Dans la mesure où c'est un signe avant-coureur de l'étendue de la récession, la croissance de l'emploi a ralenti, mais les salaires se comportent bien.
Les chiffres sur les salaires aux États-Unis sont très positifs. Jusqu'ici, tout porte à croire selon les statistiques que le ralentissement sera modéré. Y a-t-il un élément de surprise quant à la résidence de l'économie? Même la banque du Canada a admis que l'économie est présidente face à ses augmentations de taux.
Nous les attendions pas le marché du travail se porte bien le PIB mais un peu la consommation recule, mais l'économie très forte.
- C'est le cas dans le monde entier au Canada et aux États-Unis les économies nord-américaines ont démontré une résilience que les modèles que les pronostiqueurs n'auraient pas attendus. On pense on pensait que l'impact sera plus fort que ce soient les politiques budgétaires pendant la pandémie, l'épargne est en hausse, le marché du travail se porte bien, le marché des produits de base est favorable pour le Canada et donc, le débouclage de tout cela prend plus longtemps peut-être que les responsables de la politique monétaire ne l'aurait cru.
Ce qui souligne la résilience de l'économie mondiale et de l'économie canadienne.
Le scénario le plus probable est donc qu'il y a une hausse de la hausse des taux plutôt qu'une série de réductions de taux très prochain. Les marchés espèrent bien que les banques centrales ayant achevé la série de hausse de taux, il commence à pratiquer une série de réduction contenue de la résilience de l'économie, il est plus probable que la bonne réaction consistera marquer une pause et à réévaluer.
Pipeau parler de l'économie mondiale. Quelle est la situation dans le monde au niveau des banques centrales? Pipeau nous somme la banque du Canada commence à laisser entendre qu'elle a peut-être fini ou que la prochaine augmentation sera modeste.
Il y a différents facteurs le marché que font les autres banques centrales?
- La banque de réserve d'Australie cette semaine, pays qui présente quelques ressemblances avec un Canada un économie axée sur les produits de base, la banque de réserve d'Australie augmentait les taux de 25 point de base il y aura sans doute d'autre hausse de taux. Avec cette approche étagée de la politique monétaire, la rythme des hausses de taux en Australie a également faibli.
Il s'agit de savoir où se situeront les taux la fête de la banque du Canada et l'Australie d'autres banques centrales laisse encore entendre qu'il y a encore un peu de chemin à faire nous en somme à la septième ou huitième manche, mais c'est plutôt près de la fin de la partie il s'agit de savoir combien de temps y reste.
Comment l'inflation évoluera-t-elle, comment le marché de l'emploi, les salaires vont évoluer et dans quelle mesure l'inflation sera persistante nous savons que l'inflation va diminuer l'an prochain surtout avec la baisse des prix de produits de base et les ajustements chaînent d'approvisionnement et l'inflation redescendra-t-elle jusqu'à 2 % ou bien va-t-elle demeurer bloquer à trois ou quatre? Pipeau - Vous venait d'entendre ce que Colbert un directeur gestion d'actifs TD. Un de nos plus grands spécialistes des marchés et des taux.
Ça a également été une semaine très volatile pour le cours du pétrole, tandis que les spécialistes évaluent les conséquences du plafonnement du cours du brut russe pour le marché.
Mais avec l'approvisionnement mondial limité, est-ce que le cours va demeurer plus bas plus longtemps?
Anthony Okolie s'entretient avec Bart Melek.
- Pour répondre pour répondre à votre question, je pense que le pétrole se comporte mieux.
Le grand facteur qui explique la faiblesse du pétrole, c'est l'incertitude, à présent, l'OPEP a annoncé qu'il n'allait pas réduire l'offre dans l'avenir.
Ceci est en partie due aux fêtes comme vous l'avez dit que le brut russe est à présent plafonné.
Nous ne savons pas dans quelle mesure cela va affecter l'offre.
Certains estiment que le cours du brut pourrait diminuer notablement à cause de ce plafonnement.
D'autres affirment que l'impact sera contourné par la flotte de 600 pétroliers clandestins armés par la Russie et peut-être par d'autres méthodes de contourner ses sanctions cette forme de sanction.
Croyez-vous qu'il existe un risque que les Russes pourraient arrêter l'exportation de pétrole à cause de l'embargo?
- Je pense que le risque est faible.
Les Russes menacent de cesser les exportations, mais je soupçonne que le conflit avec l'Ukraine engendre un affrontement avec les États-Unis avec les pays de l'OTAN qui soutienne l'Ukraine, les Russes ont besoin de cette source de revenus.
Et je soupçonne que ces menaces sont justement seulement des menaces.
Les Russes espèrent que les pays alliés renonceront à ces mesures, en définitive, c'est dans l'intérêt des Russes de continuer à faire ce qu'ils font, même s'ils en tirent moins de revenus. Moins de revenu vaut mieux que pas de revenus du tout.
- Parlons de l'autre grande annonce de l'OPEP plus.
De maintenir la production au niveau actuel. Est-ce que ces décisions vous étonnent?
- C'est ce que nous pensions qu'il allait se produire.
L'OPEP a tendance à être très prudente dans l'évolution de sa politique.
Depuis quelque temps déjà, l'OPEP cherche à établir un équilibre entre l'offre et la demande.
Faisant en sorte que les budgets nationaux soient adéquatement alimentés.
Je ne suis pas étonné, compte tenu de l'incertitude engendrée par le plafonnement du brut et les conséquences pour l'offre, nous pensions que l'OPEP allait maintenir la coupure de quota de 2,2 millions bas de barils par jour annonçaient la dernière réunion.
Laquelle représente idéalement une réduction de l'offre de 1,1 million de barriques et que le pape va attendre pour voir comment la demande évolue et comment la réouverture de la Chine affecte les marchés et comment les économies de l'Ouest se portent. Il pourrait y avoir davantage de stratégie dans la gestion de production.
- Tout à fait.
L'OPEP a toujours fait preuve de stratégie depuis longtemps déjà.
La raison pour laquelle il le peut, c'est qu'il n'y a pas vraiment de concurrents importants dans les coulisses.
Si le pape réduit la production d'encore 500 000 batteries après avoir réduit les quotas de plus de 2 millions de barils la dernière fois, il est peu probable que la production excédentaire de pétrole de schiste pour en combler l'écart et renflouer la demande. L'OPEP a les mains libres.
- Quels sont les risques géopolitiques?
Les États-Unis vont cesser les prélèvements prélèvements dans la réserve stratégique afin de reconstituer ses stocks.
Faiblesse de la demande en Chine.
- Les risques pour le pétrole dans l'avenir, il y a le gaz naturel. Cela peut vous paraître paradoxal que je pars du gaz naturel lorsque vous m'avez posé une question sur le pétrole, mais nous sommes encore au tout début de l'hiver et l'hiver pourrait encore s'avérer rigoureux, plus qu'on ne le prévoit.
Les prévisions météorologiques sont difficiles, surtout la météo future.
La météo passée, c'est différent.
Il demeura risque que les stocks de gaz naturel seront réduits considérablement, ce qui pourrait signifier que nous allons prélever sur les stocks de distillat beaucoup plus que cela n'a été le cas jusqu'à maintenant les stocks sont faibles historiquement parlants ainsi que les stocks de pétrole.
Il existe une capacité excédentaire de raffinage en Chine si la demande de distillat est plus élevée qu'on le pense à cause des conditions hivernales, il se pourrait que les marchés du pétrole deviennent beaucoup plus serrés qu'ils ne le sont aujourd'hui.
- Compte tenu de tous ces risques sur le marché, quel est votre perspective quant au cours du pétrole en 2023?
Pipeau - Pour nous c'est très positif.
Tout le monde connaît notre logique, mais je vais la réitérer.
Nous pensons que l'OPEP continuera de se comporter de manière stratégique, même si nous prévoyons que la croissance de la demande se détériore l'an prochain, quand le monde occidental va entrer en récession.
Ou du moins de nombreuses régions.
L'Europe se porte assez mal, les États-Unis vont vraisemblablement connaître une contraction un moment donné.
Mais on s'attend toujours à ce que la demande soit positive est largement au-delà d'un million de barriques par jour et en même temps, il y a une crise sur le marché du gaz naturel, sur lequel la demande de produits pourrait augmenter beaucoup. L'OPEP encore une fois continue de se comporter de façon stratégique et va rationaliser sa production pour faire en sorte qu'elle ne soit pas excessive, ce qui va sans doute faire augmenter les cours.
L'autre grand risque est le suivant: une fois qu'il y aura un changement de cap dans la politique de la réserve fédérale, ce que nous ne prévoyons pas avant le milieu de l'an prochain, c'est ce que le marché anticipe.
Il se pourrait qu'il y ait des spéculateurs qui vont monter le prix.
Les données fondamentales devraient demeurer serrer, cette contraction de la croissance de la demande sera inversée et à ce moment-là, le pétrole réussira beaucoup mieux.
Cela ne se produira peut-être pas aussi rapidement qu'on ne l'espérait dans les prospectives que nous avons rédigé il y a quelques semaines. Les choses changent encore une fois pronostiquer l'avenir est difficile.
Je crois que le thème général demeure.
- Je sais qu'avant cette émission, vous avez animé une table ronde. Est-ce qu'il y a des grands thèmes que les investisseurs reconnaissent? Pipeau - L'un des grands thèmes en ce qui concerne les produits de base c'est que l'offre est limitée. Même si nous prévoyons qu'il y ait une baisse cyclique, nous ne croyons pas que celle-ci sera aussi profonde qu'elle a été historiquement.
Historiquement, nous on a vu l'échec de 40 pouvoirs de 70 % des cours de certains produits de base comme le pétrole le cuivre.
Nous ne prévoyons pas une correction de c'est surtout par ce que dans le cas des métaux de base par exemple, il y a des limites imposées par les mines par l'effondré, par les problèmes d'énergie dans le monde.
Par ailleurs, il y a une diminution moins significative de la demande que ce n'est normalement le cas dans une période de contraction s'agissant de métal comme le cuivre, on assiste aux premiers signes que les véhicules électriques surtout en Chine, assure une demande suffisante. Selon cette logique pour faire remonter les cours et selon cette logique lorsque nous consommons beaucoup plus de métal cuivre par véhicule, au fur et à mesure que le thème de la dé carbonatation dans le monde évolue, il y aura beaucoup plus de demandes de cuivre pour des véhicules électriques et les facteurs légers.
- Vous venez d'entendre Bart Melek de valeurs mobilières TD s'entretenant avec Anthony Okolie.
Si vous êtes plongés dans la confusion par les mouvements de titres que vous détenez récemment, vous ne serez pas seuls.
C'est peut-être à cause de la nouvelle stratégie d'option qui est de plus en plus populaire chez les investisseurs individuels.
Les options à court terme qui deviennent un élément de plus important dans les volumes boursiers selon Jimmy gestionnaire à gestion d'actif Tedey cela pourrait créer davantage de vulnérabilité.
Greg s'entretient avec lui.
C'est une - C'est une intéressante sec compte tenue de ce qui est arrivé au taux d'intérêt et le resserrement des conditions financières, mais les investisseurs sont toujours disposés à réaliser des opérations en bourse.
En utilisant ce genre de stratégie d'option, j'ai eu quelques invités qui en ont parlé après les émissions je me suis dit que c'est intéressant qu'il fallait trouver quelqu'un pour en parler. On m'a dit que j'ai mis tes spécialistes. Quelles sont les options?
Jour et comment ça fonctionne?
- Des stratégies assez astucieuses historiquement, si on remonte avant la crise financière, si stratégie était l'apanage des investisseurs institutionnels.
Mais aujourd'hui, on constate que ce type de stratégie s'est généralisé à tous investisseurs les options agirent au jour sont des options qui expirent le jour même comme leur nom l'indique.
Elle des options en début de journée dans l'espoir qu'elles ne valent plus rien l'échéance, que leur valeur tombe à zéro ils peuvent embaucher là empocher la prime issue de la vente.
- C'est intéressant.
Pourquoi procéder ainsi maintenant?
Depuis avril et mai de cette année le CB loin de la bourse des options aux États-Unis propose des options qui expirent le même jour. Les investisseurs peuvent réaliser cette opération chaque jour.
Ils veulent capter la dégradation de l'option d'ici la fin de la journée désespèrent que l'option n'aura plus de valeur s'ils ont raison il arrachait à 1, Cours plus bas..
Ce qui est intéressant dans six stratégies, c'est qu'elles sont très efficaces au plan des capitaux.
Vous n'avez besoin que d'avoir un compte de marge et par ailleurs, elles sont populaires, par ce que elle ne comporte aucun risque du jour au lendemain les investisseurs peuvent dormir sur leurs deux oreilles.
Cela se produit sur le marché nous ne voulons en parler mais nous ne formulons aucune recommandation quant aux structures des opérations de nos téléspectateurs.
Une option qui expire en un jour, il y a beaucoup de risques.
Chaque fois que vous vendez des options découverts, si stratégie comporte le risque de très mal finir et ça a très mal été avant la crise financière on est à une époque où la volatilité augmente, les investisseurs qui utilisent ces stratégies vendent en général des options par ce qu'ils sont à courte échéance et ne perçoivent qu'une prime très faible.
Toutefois, si le marché évolue dans la mauvaise direction, leur perte pourrait être le cas de plus le lait des peut-être même le décuple de la prime qu'ils auraient perçue.
Quand on considère les statistiques, il semble que le taux de gain important .50 %.
Si vous le faites jour après jour et que vous réalisez un petit bénéfice chaque jour, tout à coup vous prenez confiance à votre stratégie vous commencez à augmenter vos parts et à vendre des options alors que c'est pas tellement intéressant et cela peut vous causer beaucoup de problèmes.
Nicolas écrit ce livre dans lequel il a l'exemple de la dette.
Une dinde à la ferme chaque jour elle en Grèce elle appelle les autres dindons et tout cela jusqu'au jour de l'action de grâce et à ce moment-là, ça finit mal.
- En effet.
Il ne faut pas être le dindon action de grâces. Voici la stratégie et les risques qui l'environnent.
Et stratégie de très populaire.
Ce qui nous intriguait si la popularité de ces stratégies depuis que ces options quotidiennes ont été cotées cette année.
Selon les statistiques depuis un mois, presque 40 % des options négociées en bourse sont des options à zéro jour.
C'est remarquable, situé ça, c'est tout 3,3 millions de dollars mensuels.
Ces ils ne sont pas intégralement reliés aux individuelles il y a d'autres raisons d'utiliser les options à zéro jour mais ça représente une part importante du marché.
C'est important car de nos jours, il est de plus en plus facile de réaliser des opérations remboursées auprès des applications mobiles en quelques secondes, et aux États-Unis, les opérations sur options sont exemptes de commissions.
Lorsqu'il n'y a pas de coût explicite, cela rend la stratégie beaucoup plus intéressante investisseurs individuelle. Considère les volumes, il s'agit en général de cinq à 10 contrats, ce qui en général trop petit pour les investisseurs institutionnels.
Notre théorie est que ces stratégies sont dominées par des investisseurs individuels et c'est la tendance que nous constatons depuis la pandémie.
Le volume d'investissement de détail reprend une pension croissante du marché et nous l'avons vu dans le secteur des options également.
- Je n'aurais à me jamais pensé pourquoi comprendre le marché évolue dans un sens ou dans l'autre même après tant d'années dans le métier je me suis demandé mais pourquoi?
Pourquoi c'est ainsi?
Est-ce que cette stratégie a joué un rôle dans les fluctuations de cette année?
- Ce qui a causé les fluctuations extrêmes du marché du savon après l'activité en bourse après ce genre investisseurs donc le volume d'option augmente beaucoup le matin ce qui peut créer une volatilité et c'est surtout en fin de journée lorsque les investisseurs cherchent à clôturer leur position surtout c'est aussi la situation et commencer évoluer déplorable défavorablement, cela entraîne davantage de volatilité en fin d'année tandis que les investisseurs tentent de liquider leurs positions.
Notons que si vous êtes découverts sur une option pour liquider ses positions, il faut que vous vendiez plus d'action ce qui exerce davantage de pression à la baisse ce qui peut causer des fluctuations extrêmes sur le marché lorsqu'il y a des problèmes de liquidités.
Cela peut causer certains des fluctuations qu'on a vu cette année on a envisagé les risques pour un investisseur individuel nous ne recommandons pas si stratégies nous voulons seulement la comprendre car elle joue un rôle sur le marché.
Les risques cela se retourne contre la veste individuelle du risque à plus long terme quant à la vulnérabilité du marché, il y a des activités qui influencent les cours.
Il faut séparer d'une part les activités d'aller plus options à court terme et puis, les options à plus long terme les options normales et les options de jour peut-être.
- Pour les investisseurs institutionnels, la plupart des investisseurs dans la mise à penser stratégie vendaient achat des options qui ont une échéance à un mois ou davantage.
Ce qui se passe dans l'indice BX l'indice BX est en un niveau relativement raisonnable à une dépit de la volatilité.
Ce qui suit comme ces options expirent le même jour ne se répercutent pas sur les indices DivX donc l'impact pour les investisseurs traditionnels est en fait limité.
Mais à court terme, ce qui est intéressant, c'est que content tenu de tous types d'intérêts, les volumes sont très bien absorbés par le marché. Les faiseurs de marché identité c'est plus même s'ils sont nous savons que les écarts acheteur vendeur sont des plus importants avant ce volume ils vendent les matins à chaque après-midi c'est très rentable pour les malgré qui représentent 40 % davantage du marché, sont absorbés très bien par le marché donc si vous ne surveillez pas, vous pourriez finalement rater ces opérations.
- Vous venez d'entendre Jimmy Zhu.
Quelle excellente façon de comprendre ces options dites ZTO au jour zéro. Comme toujours fêtent vos propres recherches avant de prendre vos décisions de placement et reste à l'écoute.
Lundi, Chris va répondre à vos questions sur les actions des détaillants.
Il se passe beaucoup de choses intéressantes dans ce secteur, la saison des fêtes.
Que va-t-il se pencher en janvier en 2023 chez les détaillants?
Beaucoup de gens s'inquiètent d'une récession au niveau des bénéfices des entreprises.
Vous pouvez nous envoyer vos questions par courriel à tout temps à cette adresse courriel.
Nous y répondrons lundi.
Merci d'avoir été à l'écoute, et au revoir!
À lundi!
Bonjour Ici Greg Bonnell, bienvenue à Parlons d'argent en direct une émission de Placements direct TD.
Aujourd'hui Scott Colburn de gestion d'actifs TD nous donne son opinion sur la possibilité de nouvelles hausses de taux par la banque du Canada.
Est-ce que la banque pourrait marquer une pause? Bart Melek nous donne ses perspectives pour le pétrole tandis que le plafonnement du prix du brut russe entre en vigueur les conséquences pour les marchés les producteurs d'énergie et l'économie mondiale et Jimmy expose une nouvelle tendance dans les opérations boursières qui pourraient causer davantage de vulnérabilité sur le marché voici une mise à jour sur le marché. Dans les 10 TSX des produits de base remonte tandis que les investisseurs attendent une relance de la demande en Chine avec l'assouplissement des restrictions dues à la Covid-19. Certains grandissaient de la technologie comme Shopify sont en hausse l'indice S&P 500 est légèrement baisse tandis que les investisseurs assimilent les dernières statistiques de l'industrie des prix de production aux États-Unis qui sont un peu plus élevés que prévus ce qui alimente la crainte d'une persistance de l'inflation les statistiques de l'indice des prix à la consommation paraissent mardi et les marchés seront certainement concentrés sur cette échéance après la fin de semaine.
L'indice Nasdaq spécialisé dans la technologie est légèrement en hausse.
Comme on l'avait prévu, la banque du Canada a augmenté les taux d'intérêt de 50 point de base et il s'agit de la septième hausse de suite et la banque centrale acide ainsi que l'inflation reste un problème a laissé entendre que ce cycle de hausse de taux pourrait bientôt prendre fin. Scott Colburn directeur général des gestions d'actif Tedey s'entretient avec Greg.
Il y a un peu de pipeau et un peu de tout sur les marchés aujourd'hui.
Le marché était divisé entre 25 et 50 points de base.
Les termes ont changé.
Autrefois, on savait qu'ils allaient augmenter les taux et maintenant, la banque nous dit qu'elle va envisager l'opportunité de relever les taux.
Il y a donc une certaine optionnelle IT que la banque du Canada se ménage. La question est de savoir si la prochaine hausse de zéro où elle sera de 25 point de base. Il s'agit de beaucoup beaucoup de banques centrales suive ces trajectoires.
On s'est concentré sur le rythme et beaucoup de hausse rapide et initiale que ce soit la fin de la banque du Canada ou la banque de réserve d'Australie à présent, on se demande où allons-nous aboutir combien de temps la nous allons nous y maintenir voilà la trajectoire.
L'idée d'augmenter les taux consiste à juguler l'inflation en donnant un coup de frein à l'économie avec quatre écarts de pour cent il s'agit d'un taux entièrement restrictif. Est-ce que nous sommes parvenus au point où nous pouvons maîtriser l'inflation avec un taux comme celui-ci?
Voilà le grand débat.
La politique monétaire fonctionne avec un décalage dans les derniers chiffres, la demande intérieure affaiblie au niveau de la consommation et un niveau du logement et ses augmentations de tout rapide commencent à se répercuter sur l'économie mais comme la banque du Canada l'a signalé, l'inflation demeure élever. Elle a peut-être touchant sommet mais demeurent plus élever que c'est souhaitable. Il faut attendre que les mesures qui ont été pris se répercutent sur l'économie.
L'impact de la politique monétaire n'est pas pleinement ressenti par l'économie.
Leur serait-il venu de marquer une pause et de se concentrer sur l'importance d'attendre et d'évaluer les données?
À la prochaine réunion de janvier?
- Les marchés sont à présent divisé entre 0 et 25 point de base pour l'augmentation qui sera annoncée en janvier.
Le meilleur scénario serait bien entendu que la banque du Canada ayant pratiqué initialement de forte hausse constate que l'inflation est maîtrisée et ralentie sans avoir causé trop de dégâts économie. Parlons de la l'inversion de la courbe des taux et de ce que cela nous dit.
Les mois les plus dangereux dans le lexique des investisseurs les mots sont: c'est différent cette fois. Beaucoup d'investisseurs expriment des doutes quant à la possibilité d'une récession et le marché obligataire canadien et le marché américain ont une grande cour de taux très élevé il s'agit d'un indicateur fiable de l'approche d'une récession.
Le délai dans lequel celle-ci interviendra peut varier, mais à notre avis, ignorant de récession au Canada et aux États-Unis. Sera-t-il profonde ou peu profonde ou court?
Les signaux du marché obligataire sont nettes.
Nous allons entrer en récession il s'agit de l'impact décalé de ces hausses de tour rapide. La banque du Canada marque une pause. Est-ce que le marché obligataire nous annonce la nature de cette récession?
Parlons-en. Le meilleur scénario consiste à entrer en récession, mais ce serait une récession modeste et le pire scénario serait un chômage de masse ce qui se passe pendant les récessions profondes pour nous éviter ce scénario, je crois que une des clés, c'est le marché de l'emploi.
Il demeure aussi bien au Canada qu'aux États-Unis, il demeure très serrer.
Dans la mesure où c'est un signe avant-coureur de l'étendue de la récession, la croissance de l'emploi a ralenti, mais les salaires se comportent bien.
Les chiffres sur les salaires aux États-Unis sont très positifs. Jusqu'ici, tout porte à croire selon les statistiques que le ralentissement sera modéré. Y a-t-il un élément de surprise quant à la résidence de l'économie? Même la banque du Canada a admis que l'économie est présidente face à ses augmentations de taux.
Nous les attendions pas le marché du travail se porte bien le PIB mais un peu la consommation recule, mais l'économie très forte.
- C'est le cas dans le monde entier au Canada et aux États-Unis les économies nord-américaines ont démontré une résilience que les modèles que les pronostiqueurs n'auraient pas attendus. On pense on pensait que l'impact sera plus fort que ce soient les politiques budgétaires pendant la pandémie, l'épargne est en hausse, le marché du travail se porte bien, le marché des produits de base est favorable pour le Canada et donc, le débouclage de tout cela prend plus longtemps peut-être que les responsables de la politique monétaire ne l'aurait cru.
Ce qui souligne la résilience de l'économie mondiale et de l'économie canadienne.
Le scénario le plus probable est donc qu'il y a une hausse de la hausse des taux plutôt qu'une série de réductions de taux très prochain. Les marchés espèrent bien que les banques centrales ayant achevé la série de hausse de taux, il commence à pratiquer une série de réduction contenue de la résilience de l'économie, il est plus probable que la bonne réaction consistera marquer une pause et à réévaluer.
Pipeau parler de l'économie mondiale. Quelle est la situation dans le monde au niveau des banques centrales? Pipeau nous somme la banque du Canada commence à laisser entendre qu'elle a peut-être fini ou que la prochaine augmentation sera modeste.
Il y a différents facteurs le marché que font les autres banques centrales?
- La banque de réserve d'Australie cette semaine, pays qui présente quelques ressemblances avec un Canada un économie axée sur les produits de base, la banque de réserve d'Australie augmentait les taux de 25 point de base il y aura sans doute d'autre hausse de taux. Avec cette approche étagée de la politique monétaire, la rythme des hausses de taux en Australie a également faibli.
Il s'agit de savoir où se situeront les taux la fête de la banque du Canada et l'Australie d'autres banques centrales laisse encore entendre qu'il y a encore un peu de chemin à faire nous en somme à la septième ou huitième manche, mais c'est plutôt près de la fin de la partie il s'agit de savoir combien de temps y reste.
Comment l'inflation évoluera-t-elle, comment le marché de l'emploi, les salaires vont évoluer et dans quelle mesure l'inflation sera persistante nous savons que l'inflation va diminuer l'an prochain surtout avec la baisse des prix de produits de base et les ajustements chaînent d'approvisionnement et l'inflation redescendra-t-elle jusqu'à 2 % ou bien va-t-elle demeurer bloquer à trois ou quatre? Pipeau - Vous venait d'entendre ce que Colbert un directeur gestion d'actifs TD. Un de nos plus grands spécialistes des marchés et des taux.
Ça a également été une semaine très volatile pour le cours du pétrole, tandis que les spécialistes évaluent les conséquences du plafonnement du cours du brut russe pour le marché.
Mais avec l'approvisionnement mondial limité, est-ce que le cours va demeurer plus bas plus longtemps?
Anthony Okolie s'entretient avec Bart Melek.
- Pour répondre pour répondre à votre question, je pense que le pétrole se comporte mieux.
Le grand facteur qui explique la faiblesse du pétrole, c'est l'incertitude, à présent, l'OPEP a annoncé qu'il n'allait pas réduire l'offre dans l'avenir.
Ceci est en partie due aux fêtes comme vous l'avez dit que le brut russe est à présent plafonné.
Nous ne savons pas dans quelle mesure cela va affecter l'offre.
Certains estiment que le cours du brut pourrait diminuer notablement à cause de ce plafonnement.
D'autres affirment que l'impact sera contourné par la flotte de 600 pétroliers clandestins armés par la Russie et peut-être par d'autres méthodes de contourner ses sanctions cette forme de sanction.
Croyez-vous qu'il existe un risque que les Russes pourraient arrêter l'exportation de pétrole à cause de l'embargo?
- Je pense que le risque est faible.
Les Russes menacent de cesser les exportations, mais je soupçonne que le conflit avec l'Ukraine engendre un affrontement avec les États-Unis avec les pays de l'OTAN qui soutienne l'Ukraine, les Russes ont besoin de cette source de revenus.
Et je soupçonne que ces menaces sont justement seulement des menaces.
Les Russes espèrent que les pays alliés renonceront à ces mesures, en définitive, c'est dans l'intérêt des Russes de continuer à faire ce qu'ils font, même s'ils en tirent moins de revenus. Moins de revenu vaut mieux que pas de revenus du tout.
- Parlons de l'autre grande annonce de l'OPEP plus.
De maintenir la production au niveau actuel. Est-ce que ces décisions vous étonnent?
- C'est ce que nous pensions qu'il allait se produire.
L'OPEP a tendance à être très prudente dans l'évolution de sa politique.
Depuis quelque temps déjà, l'OPEP cherche à établir un équilibre entre l'offre et la demande.
Faisant en sorte que les budgets nationaux soient adéquatement alimentés.
Je ne suis pas étonné, compte tenu de l'incertitude engendrée par le plafonnement du brut et les conséquences pour l'offre, nous pensions que l'OPEP allait maintenir la coupure de quota de 2,2 millions bas de barils par jour annonçaient la dernière réunion.
Laquelle représente idéalement une réduction de l'offre de 1,1 million de barriques et que le pape va attendre pour voir comment la demande évolue et comment la réouverture de la Chine affecte les marchés et comment les économies de l'Ouest se portent. Il pourrait y avoir davantage de stratégie dans la gestion de production.
- Tout à fait.
L'OPEP a toujours fait preuve de stratégie depuis longtemps déjà.
La raison pour laquelle il le peut, c'est qu'il n'y a pas vraiment de concurrents importants dans les coulisses.
Si le pape réduit la production d'encore 500 000 batteries après avoir réduit les quotas de plus de 2 millions de barils la dernière fois, il est peu probable que la production excédentaire de pétrole de schiste pour en combler l'écart et renflouer la demande. L'OPEP a les mains libres.
- Quels sont les risques géopolitiques?
Les États-Unis vont cesser les prélèvements prélèvements dans la réserve stratégique afin de reconstituer ses stocks.
Faiblesse de la demande en Chine.
- Les risques pour le pétrole dans l'avenir, il y a le gaz naturel. Cela peut vous paraître paradoxal que je pars du gaz naturel lorsque vous m'avez posé une question sur le pétrole, mais nous sommes encore au tout début de l'hiver et l'hiver pourrait encore s'avérer rigoureux, plus qu'on ne le prévoit.
Les prévisions météorologiques sont difficiles, surtout la météo future.
La météo passée, c'est différent.
Il demeura risque que les stocks de gaz naturel seront réduits considérablement, ce qui pourrait signifier que nous allons prélever sur les stocks de distillat beaucoup plus que cela n'a été le cas jusqu'à maintenant les stocks sont faibles historiquement parlants ainsi que les stocks de pétrole.
Il existe une capacité excédentaire de raffinage en Chine si la demande de distillat est plus élevée qu'on le pense à cause des conditions hivernales, il se pourrait que les marchés du pétrole deviennent beaucoup plus serrés qu'ils ne le sont aujourd'hui.
- Compte tenu de tous ces risques sur le marché, quel est votre perspective quant au cours du pétrole en 2023?
Pipeau - Pour nous c'est très positif.
Tout le monde connaît notre logique, mais je vais la réitérer.
Nous pensons que l'OPEP continuera de se comporter de manière stratégique, même si nous prévoyons que la croissance de la demande se détériore l'an prochain, quand le monde occidental va entrer en récession.
Ou du moins de nombreuses régions.
L'Europe se porte assez mal, les États-Unis vont vraisemblablement connaître une contraction un moment donné.
Mais on s'attend toujours à ce que la demande soit positive est largement au-delà d'un million de barriques par jour et en même temps, il y a une crise sur le marché du gaz naturel, sur lequel la demande de produits pourrait augmenter beaucoup. L'OPEP encore une fois continue de se comporter de façon stratégique et va rationaliser sa production pour faire en sorte qu'elle ne soit pas excessive, ce qui va sans doute faire augmenter les cours.
L'autre grand risque est le suivant: une fois qu'il y aura un changement de cap dans la politique de la réserve fédérale, ce que nous ne prévoyons pas avant le milieu de l'an prochain, c'est ce que le marché anticipe.
Il se pourrait qu'il y ait des spéculateurs qui vont monter le prix.
Les données fondamentales devraient demeurer serrer, cette contraction de la croissance de la demande sera inversée et à ce moment-là, le pétrole réussira beaucoup mieux.
Cela ne se produira peut-être pas aussi rapidement qu'on ne l'espérait dans les prospectives que nous avons rédigé il y a quelques semaines. Les choses changent encore une fois pronostiquer l'avenir est difficile.
Je crois que le thème général demeure.
- Je sais qu'avant cette émission, vous avez animé une table ronde. Est-ce qu'il y a des grands thèmes que les investisseurs reconnaissent? Pipeau - L'un des grands thèmes en ce qui concerne les produits de base c'est que l'offre est limitée. Même si nous prévoyons qu'il y ait une baisse cyclique, nous ne croyons pas que celle-ci sera aussi profonde qu'elle a été historiquement.
Historiquement, nous on a vu l'échec de 40 pouvoirs de 70 % des cours de certains produits de base comme le pétrole le cuivre.
Nous ne prévoyons pas une correction de c'est surtout par ce que dans le cas des métaux de base par exemple, il y a des limites imposées par les mines par l'effondré, par les problèmes d'énergie dans le monde.
Par ailleurs, il y a une diminution moins significative de la demande que ce n'est normalement le cas dans une période de contraction s'agissant de métal comme le cuivre, on assiste aux premiers signes que les véhicules électriques surtout en Chine, assure une demande suffisante. Selon cette logique pour faire remonter les cours et selon cette logique lorsque nous consommons beaucoup plus de métal cuivre par véhicule, au fur et à mesure que le thème de la dé carbonatation dans le monde évolue, il y aura beaucoup plus de demandes de cuivre pour des véhicules électriques et les facteurs légers.
- Vous venez d'entendre Bart Melek de valeurs mobilières TD s'entretenant avec Anthony Okolie.
Si vous êtes plongés dans la confusion par les mouvements de titres que vous détenez récemment, vous ne serez pas seuls.
C'est peut-être à cause de la nouvelle stratégie d'option qui est de plus en plus populaire chez les investisseurs individuels.
Les options à court terme qui deviennent un élément de plus important dans les volumes boursiers selon Jimmy gestionnaire à gestion d'actif Tedey cela pourrait créer davantage de vulnérabilité.
Greg s'entretient avec lui.
C'est une - C'est une intéressante sec compte tenue de ce qui est arrivé au taux d'intérêt et le resserrement des conditions financières, mais les investisseurs sont toujours disposés à réaliser des opérations en bourse.
En utilisant ce genre de stratégie d'option, j'ai eu quelques invités qui en ont parlé après les émissions je me suis dit que c'est intéressant qu'il fallait trouver quelqu'un pour en parler. On m'a dit que j'ai mis tes spécialistes. Quelles sont les options?
Jour et comment ça fonctionne?
- Des stratégies assez astucieuses historiquement, si on remonte avant la crise financière, si stratégie était l'apanage des investisseurs institutionnels.
Mais aujourd'hui, on constate que ce type de stratégie s'est généralisé à tous investisseurs les options agirent au jour sont des options qui expirent le jour même comme leur nom l'indique.
Elle des options en début de journée dans l'espoir qu'elles ne valent plus rien l'échéance, que leur valeur tombe à zéro ils peuvent embaucher là empocher la prime issue de la vente.
- C'est intéressant.
Pourquoi procéder ainsi maintenant?
Depuis avril et mai de cette année le CB loin de la bourse des options aux États-Unis propose des options qui expirent le même jour. Les investisseurs peuvent réaliser cette opération chaque jour.
Ils veulent capter la dégradation de l'option d'ici la fin de la journée désespèrent que l'option n'aura plus de valeur s'ils ont raison il arrachait à 1, Cours plus bas..
Ce qui est intéressant dans six stratégies, c'est qu'elles sont très efficaces au plan des capitaux.
Vous n'avez besoin que d'avoir un compte de marge et par ailleurs, elles sont populaires, par ce que elle ne comporte aucun risque du jour au lendemain les investisseurs peuvent dormir sur leurs deux oreilles.
Cela se produit sur le marché nous ne voulons en parler mais nous ne formulons aucune recommandation quant aux structures des opérations de nos téléspectateurs.
Une option qui expire en un jour, il y a beaucoup de risques.
Chaque fois que vous vendez des options découverts, si stratégie comporte le risque de très mal finir et ça a très mal été avant la crise financière on est à une époque où la volatilité augmente, les investisseurs qui utilisent ces stratégies vendent en général des options par ce qu'ils sont à courte échéance et ne perçoivent qu'une prime très faible.
Toutefois, si le marché évolue dans la mauvaise direction, leur perte pourrait être le cas de plus le lait des peut-être même le décuple de la prime qu'ils auraient perçue.
Quand on considère les statistiques, il semble que le taux de gain important .50 %.
Si vous le faites jour après jour et que vous réalisez un petit bénéfice chaque jour, tout à coup vous prenez confiance à votre stratégie vous commencez à augmenter vos parts et à vendre des options alors que c'est pas tellement intéressant et cela peut vous causer beaucoup de problèmes.
Nicolas écrit ce livre dans lequel il a l'exemple de la dette.
Une dinde à la ferme chaque jour elle en Grèce elle appelle les autres dindons et tout cela jusqu'au jour de l'action de grâce et à ce moment-là, ça finit mal.
- En effet.
Il ne faut pas être le dindon action de grâces. Voici la stratégie et les risques qui l'environnent.
Et stratégie de très populaire.
Ce qui nous intriguait si la popularité de ces stratégies depuis que ces options quotidiennes ont été cotées cette année.
Selon les statistiques depuis un mois, presque 40 % des options négociées en bourse sont des options à zéro jour.
C'est remarquable, situé ça, c'est tout 3,3 millions de dollars mensuels.
Ces ils ne sont pas intégralement reliés aux individuelles il y a d'autres raisons d'utiliser les options à zéro jour mais ça représente une part importante du marché.
C'est important car de nos jours, il est de plus en plus facile de réaliser des opérations remboursées auprès des applications mobiles en quelques secondes, et aux États-Unis, les opérations sur options sont exemptes de commissions.
Lorsqu'il n'y a pas de coût explicite, cela rend la stratégie beaucoup plus intéressante investisseurs individuelle. Considère les volumes, il s'agit en général de cinq à 10 contrats, ce qui en général trop petit pour les investisseurs institutionnels.
Notre théorie est que ces stratégies sont dominées par des investisseurs individuels et c'est la tendance que nous constatons depuis la pandémie.
Le volume d'investissement de détail reprend une pension croissante du marché et nous l'avons vu dans le secteur des options également.
- Je n'aurais à me jamais pensé pourquoi comprendre le marché évolue dans un sens ou dans l'autre même après tant d'années dans le métier je me suis demandé mais pourquoi?
Pourquoi c'est ainsi?
Est-ce que cette stratégie a joué un rôle dans les fluctuations de cette année?
- Ce qui a causé les fluctuations extrêmes du marché du savon après l'activité en bourse après ce genre investisseurs donc le volume d'option augmente beaucoup le matin ce qui peut créer une volatilité et c'est surtout en fin de journée lorsque les investisseurs cherchent à clôturer leur position surtout c'est aussi la situation et commencer évoluer déplorable défavorablement, cela entraîne davantage de volatilité en fin d'année tandis que les investisseurs tentent de liquider leurs positions.
Notons que si vous êtes découverts sur une option pour liquider ses positions, il faut que vous vendiez plus d'action ce qui exerce davantage de pression à la baisse ce qui peut causer des fluctuations extrêmes sur le marché lorsqu'il y a des problèmes de liquidités.
Cela peut causer certains des fluctuations qu'on a vu cette année on a envisagé les risques pour un investisseur individuel nous ne recommandons pas si stratégies nous voulons seulement la comprendre car elle joue un rôle sur le marché.
Les risques cela se retourne contre la veste individuelle du risque à plus long terme quant à la vulnérabilité du marché, il y a des activités qui influencent les cours.
Il faut séparer d'une part les activités d'aller plus options à court terme et puis, les options à plus long terme les options normales et les options de jour peut-être.
- Pour les investisseurs institutionnels, la plupart des investisseurs dans la mise à penser stratégie vendaient achat des options qui ont une échéance à un mois ou davantage.
Ce qui se passe dans l'indice BX l'indice BX est en un niveau relativement raisonnable à une dépit de la volatilité.
Ce qui suit comme ces options expirent le même jour ne se répercutent pas sur les indices DivX donc l'impact pour les investisseurs traditionnels est en fait limité.
Mais à court terme, ce qui est intéressant, c'est que content tenu de tous types d'intérêts, les volumes sont très bien absorbés par le marché. Les faiseurs de marché identité c'est plus même s'ils sont nous savons que les écarts acheteur vendeur sont des plus importants avant ce volume ils vendent les matins à chaque après-midi c'est très rentable pour les malgré qui représentent 40 % davantage du marché, sont absorbés très bien par le marché donc si vous ne surveillez pas, vous pourriez finalement rater ces opérations.
- Vous venez d'entendre Jimmy Zhu.
Quelle excellente façon de comprendre ces options dites ZTO au jour zéro. Comme toujours fêtent vos propres recherches avant de prendre vos décisions de placement et reste à l'écoute.
Lundi, Chris va répondre à vos questions sur les actions des détaillants.
Il se passe beaucoup de choses intéressantes dans ce secteur, la saison des fêtes.
Que va-t-il se pencher en janvier en 2023 chez les détaillants?
Beaucoup de gens s'inquiètent d'une récession au niveau des bénéfices des entreprises.
Vous pouvez nous envoyer vos questions par courriel à tout temps à cette adresse courriel.
Nous y répondrons lundi.
Merci d'avoir été à l'écoute, et au revoir!
À lundi!