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(musique) - Bonjour! Ici Greg Bonnell. Bien à part le rangement direct une mission de placement direct Ltd. Aujourd'hui, Michael O'Brien de gestion d'actif Tedey nous explique si la remontée des marchés représente un faux espoir pour les investisseurs. Robert broute de valeurs mobilières TD va commenter les statistiques de l'inflation canadienne parue cette semaine, et leurs conséquences sur la trajectoire future des taux d'intérêt. Peter Martine de Faivre aille rituels tu vas nous expliquer pourquoi nous ne disposions pas vers un événement d'elles-mêmes, que la crise financière de 2008. Nugwa Haruna de courtiers Web nous expliquent comment utiliser les outils de répartition d'actifs sur la plate-forme. Un coup d'œil sur les marchés. L'indice TSX composite est en très légère augmentation, un corps de pour cent. Le pétrole brut affiche le plus bas cours depuis le printemps. La financière Sun Life affiche un gain de 0,37 €, soit un peu plus d'un demi pour cent. Comme je le disais, le brut de référence américain affiche le cours le plus bas depuis le printemps, ce qui exerce une pression sur les titres d'énergie, y compris Suncor qui recule de deux et demis pour cent. L'indice S&P 500 aux États-Unis réagit comme toute la semaine aux actualités est en très légère hausse de presque encore de pour cent. L'indice Nasdaq aussi de porter d'autres du seuil de rentabilité, à un déficit un cinquième de pour cent. Le type de lieu n'était elles te réagissent les points de presque 3000 %. Voilà pour la mise à jour sur les marchés! Nous savons que vous suivez les marchés d'aussi près que nous, chez parloir gens direct, la semaine a été mitigée. Anthony Okolie analyse, il s'agit d'une semaine ou l'actualité influence beaucoup les marchés. - Oui. Les marchés cherchent des indices quant à la trajectoire des taux d'intérêt. L'inflation diminue quelque peu, l'indice des prix à la consommation aux États-Unis augmente plus lentement, ce qui est pris pour les marchés pour 1000 nouvelles positives. Les observations de responsable de la semaine cette année on douchait l'enthousiasme, résultat: beaucoup de volatilité. Il s'agit d'une époque particulièrement délicate, car personne ne veut s'opposer à la fête. On cherche donc un pronostic après les déclarations de la Fed. Qui sont un peu contradictoires, certains intervenants affirment qu'il y a encore beaucoup de chemin à faire, et d'autres précisent que nous pouvons parvenir un objectif pour on ne pas vu d'atterrissage en douceur, mais au moins, à maîtriser l'inflation et ralentir l'économie sans déterminer un ralentissement trop rapide. C'est effectivement la crainte. Ces taux d'intérêt très élevé pourraient faire basculer les États-Unis en récession. Comme on l'a dit, les observations des intervenants de la Fed de cette semaine sont plutôt du côté de la fermeté. James brodeur, président de la Fed de Saint-Louis, a déclaré jeudi que les augmentations de taux n'ont qu'un effet limité et que la lutte n'est pas finie. Ce qui a atténué l'enthousiasme des investisseurs et électeurs des actifs risqués. Le pétrole et l'énergie représente un volet très important du TSX. 78,62, en baisse de presque trois dollars pour le pétrole brut. C'est une semaine difficile pour ce produit. La Chine joue un rôle très important sur le marché. Rouvrira-t-elle les restrictions attribuables à la COVID? Et demeureront à leur place? C'est la grande question. Va-t-elle basculer dans sa politique sur la COVID? Si la Chine assouplit les restrictions, il est possible que les marchés de l'énergie remontent et que les cours de l'énergie qui comme vous l'avez dit sont en recul, ce qui exerce une certaine pression sur les titres d'énergie au Canada pourrait remonter. Il y a donc encore beaucoup d'incertitudes, s'écrie énormément de volatilité pour les investisseurs. Beaucoup de facteurs à surveiller. Anthony Okolie sera de retour tout à l'heure pour parler du nouveau rapport de valeurs mobilières TD. Sur l'évolution des taux d'intérêt en 2023. - Les marchés, depuis quelques jours, après une année difficile, beaucoup d'investisseurs se demandent s'il y a beaucoup de possibilités d'augmentation. Michael O'Brien, gestionnaire de portefeuille, commente l'évolution de l'optimisme. - Il est évident que les investisseurs sont influencés par les tendances de l'inflation. Quand on a des indices qui laissent à croire que l'inflation atteinte un sommet, on pourrait commencer refluer, c'est encouragé les investisseurs à l'idée de la réserve fédérale aux États-Unis où la banque du Canada chez nous ont presque achevé leur travail. C'est une inquiétude de taille pour le marché. Car l'ampleur des hausses de taux aux États-Unis comme au Canada a vraiment prient les investisseurs par surprise. L'une des choses qui ont vraiment pesé sur les évaluations depuis le début d'année, c'est la réorientation constante des attentes des investisseurs. Parfois, on pense que les taux continuent d'augmenter, parfois on pense qu'il y aura une pause, les chiffres de l'inflation aux États-Unis la semaine dernière, j'espère qu'ils seront semblables Canada, cette semaine, montre qu'il y a peut-être un sommet qui devrait commencer à une système incertaine déflation, que les pressions se faire moins forte, ce qui pourrait amener les banques centrales à se mettre en retrait. Beaucoup d'investisseurs c'est que beaucoup de l'effet cumulatif des hausses de taux depuis le début de l'année. Quel sera l'effet sur la croissance prochaine? Sur les bénéfices en prochain? Plus rapidement l'inflation commencera refluer, plutôt j'espère les banques centrales pourront-elles se mettre en retrait. Ce qui réduit le risque d'une année très négative pour la croissance en prochain. Dans la mesure où ces signes d'inflation pourraient indiquer que nous avons atteint un sommet, cela soulage la pression sur les banques centrales. Résultat: il y a un peu moins de risque que nous vivions une récession profonde l'an prochain, et la possibilité d'un atterrissage en douceur est plus important. Voilà ce qui a déclenché la remontée. Je pense qu'elle durera quelque temps. Le défi suivant pour les marchés sera sans doute un événement premier trimestre avec la prochaine série d'annonces bénéfices entreprises, à la fin janvier début février, je pense que ce sera la nouvelle premier marchée. D'ici là, il y aura des tendances positives pour la saison des fêtes. Est-ce que ce premier trimestre sera le théâtre éventuellement d'une fin des hausses de taux? La Fed, la banque du Canada les autres banques centrales, estimant que la mission est achevée. Mettons que l'économie ralentit, que cela va se répercuter sur les bénéfices des entreprises? - Effectivement. C'est toute l'idée. En attendant que l'économie ralentisse, que la surchauffe au Canada comme aux États-Unis commence à diminuer, et que le marché du travail devienne moins tendu, la mission de la Fed ne sera pas achevée. La mission de la banque du Canada ne sera pas accomplie. C'est cela que nous surveillerons. À la fin janvier début février. Lorsque les bénéfices quatrièmes trimestres seront annoncés. Les entreprises devront donc nous communiquer leur pronostic quant à l'exercice, quant à l'année 2003. Si l'impact cumulatif de ces hausses de taux signifie que la croissance ne sera pas au rendez-vous l'an prochain, il sera difficile pour les entreprises d'éviter cette discussion. C'est pourquoi je dis que ce sera une véritable épreuve, car nous pourrons pas nous attendre avec réalisme que l'inflation demeure ou pas basse si nous avons le plein emploi, si économie est en croissance rapide. Ces deux éléments vont de pair. Peut-être que l'inflation reflue, mais la raison pour laquelle le reflux, c'est parce que nous allons constater une réduction de la demande et un relâchement du marché du travail. La dernière fois que Joanne Powell, président de la Fed s'est exprimé, il a semblé préparer le terrain pour annoncer que le terminal serait plus vite que prévu. Le marché se concentre sur le ralentissement du rythme, les augmentations de 75. Diminueront à 50, voire à 25. Les intervenants de la Fed récemment on semblait souligner qu'il ne fallait pas s'attacher à la taille, l'ampleur de la prochaine augmentation, mais aux nouveaux taux terminal. Est-ce là la nuance que l'on veut transmettre? - Oui. Les banquiers veulent faire comprendre aux investisseurs qui ne doivent pas se laisser obnubiler par la cadence. 25,50 et 75, mais plutôt se concentrer sur la destination, c'est-à-dire le taux terminal. Est-ce que ce sera 4 %, quatre et demis ou 5 %? Les banques centrales ne veulent pas que les investisseurs s'emballent et prennent ralentissement du rythme d'augmentation de taux par un affaiblissement de la résolution de la Fed. Il faut ralentir l'économie, c'était que le fait de chercher à faire et ce qu'elle fera. Elle veut donc avertir les investisseurs et nous ferions bien de l'écouter. On ne peut pas lutter contre la Fed. C'est une maxime qui conserve toute sa signification. Je crois que nous devons croire la Fed sur parole, il aura ralentissement l'an prochain, la question est de savoir si les banques font preuve d'adresse, et avec quelle rapidité lève l'inflation ralentira. On nous a dit qu'il y avait des dégâts mais le marché du travail se porte bien. Nous avons constaté les dégâts dans notre portefeuille. Mais l'emploi, une fois qu'une récession commencera, les dégâts seront plus généraux. Traditionnellement, la banque centrale dirait: l'économie ralentit, réduisant les coûts d'emprunt pour relancer l'économie. Cette situation s'y semble différente. - Vous touchez un point important, grec. Je pense que beaucoup d'investisseurs au début de l'année avaient pensé que les banques centrales relèveraient les taux jusqu'à un taux restrictif, mais reviendra sur leurs pas dès que l'économie flippe publierait. Et que les taux seraient réduits et que les banques centrales évoluent au secours de l'économie. En pratiquant des coupures de taux. Or, les banques centrales déclaraient être très clairement que ce n'était pas cela qu'elle ferait. On peut s'attendre à ce qu'une fois le taux terminal atteint, un moment donné, début 2023, ce taux va demeurer pendant quelque temps. Il va demeurer pendant quelque temps, parce que les banques centrales veulent être certaines que l'inflation non seulement reflux, mais reste faible. Cela, nous l'avons oublié. Nous savions qu'il y avait des éléments dans cette poussée inflationniste qui était transitoire. L'an dernier, on ne pensait qu'on ne parlait que l'inflation transitoire, il y a d'autres facteurs en revanche sont déformés par les perturbations de la chaîne d'approvisionnement. On peut maintenant se procurer les matériaux de construction pour une rénovation, les prix des voitures d'occasions qui avaient flambé sont redescendues. Donc, d'ici quelques mois, nous allons procéder à une désinflation facile. Les facteurs transitoires d'inflation commenceront à descendre. Et cela paraîtra positif. C'est pourquoi je dis que la remontée des marchés va durer quelque temps. Mais un moment donné, en 2023, les victoires faciles ont été obtenues, nous allons nous retrouver dans une situation plus difficile ou l'inflation ne se situe qu'à sept ou 8 %, mais à trois ou quatre ou 5 %. Mais la diminution de un à 2 % pour parvenir à la cible de 2 % sera difficile. C'est là où il faudra prendre les mesures difficiles. Quel que soit le taux terminal auquel les banques centrales s'arrêteront, que ce soient 4,4 1005 %, nous nous y maintiendrons quelque temps. Et ce sera la force que nous traverserons 2023. Il s'agit de ralentir l'activité économique jusqu'à ce que les facteurs les plus délicats de l'inflation, notamment le marché du travail, il faudra que la trajectoire des augmentations de salaire en 2023 s'infléchisse. Il ne se ce ne sera qu'alors que les banques centrales estimeront qu'elles peuvent enfin lever le pied et marquer une pause. Et envisager des coupures de taux. Si l'inflation demeure persistante à trois ou 4 %, ce qui est nettement au-delà de l'objectif des banques centrales C, ces dernières vont pas cesser leurs efforts. Voilà la clé pour 2023. Il faut que les éléments plus durables de l'inflation réagissent aux mesures qui ont été prises et notamment le marché du travail. Qui a tendance à ne pas pouvoir être influencé si facilement. Cela je vous venais d'entendre Michael O'Brien, gestionnaire de portefeuille gestion d'actif Tedey. Un coup d'œil sur les marchés! Les actions de Foot Locker un sont en vedette aujourd'hui. La compagnie a augmenté son pronostic de vente pour l'année avec des résultats supérieurs aux prévisions pour le dernier trimestre. Foot Locker annonce une augmentation surprise des ventes pour les magasins ouverts depuis plus de 12 mois. Un autre détail américain annonce les résultats supérieurs aux prévisions au niveau du chiffre d'affaires et des bénéfices, garde signale que la demande des consommateurs qui doivent retourner au travail entraînent une augmentation de 8 % des ventes, tandis que la marque Old Navy annonce une augmentation plus modeste de 2 %. Aplats immatériels annoncent un chiffre d'affaires supérieures aux attentes. Le fabricant d'équipements de fabrication de semi-conducteur affiche des ventes supérieures aux prévisions en dépit des avertissements des fabricants de puces quant à la demande réduite d'appareils utilisateurs de semi-conducteurs comme les téléphones intelligents et les ordinateurs personnels. Les indices présents: l'indice CPT sexe légèrement en hausse à un cinquième de pour cent. Il y a eu une tendance à la baisse au cours du pétrole cette semaine. Il s'agit de la pire semaine depuis le printemps, ce qui affecte certains grands titres du secteur de l'énergie. Aux États-Unis, l'indice S&P 500 instantané du marché américain connu des fluctuations cette semaine, il est actuellement en hausse d'un 10e de pour cent. Le rapport sur l'indice des prix à la consommation Canada parue cette semaine montre que l'inflation demeure élever, mais c'est maintenu en octobre 6,9 %. Robert Bowth, stratège macro-économique à valeurs mobilières TD explique que les statistiques de cette semaine donnent à réfléchir aux partisans de la hausse de la baisse. - Les prix ont augmenté de 0,7 % sur un mois. Je crois qu'il faut retenir deux choses: d'abord, avec un taux d'inflation de 6,9 % en octobre, on se situe en dessous des prévisions de la banque du Canada pour le quatrième trimestre. Dans son rapport sur la politique monétaire d'octobre, prévoyait 7,1 % pour le quatrième trimestre. D'après les données d'aujourd'hui, l'inflation devrait se situer entre 6,7 %. C'est encore très élevé, mais on avance dans la bonne direction. Deuxièmement, l'inflation demeure inconfortablement élever. Surtout avec la hausse de l'inflation de basse depuis septembre. La banque du Canada garde surtout de Schiff dans son viseur, à savoir la moyenne tronquée et la médiane pondérée de l'inflation. Tous deux ont augmenté d'un 10e de pour cent. Ça veut dire que l'on va dans la bonne direction, mais peut-être pas aussi vite qu'on le souhaiterait. Le taux d'inflation de base donne à penser que l'inflation risque de persister et qu'il faudra un peu plus de temps avant que l'inflation globale de recul de manière significative. Ceci dit, il y avait des données prometteuses dans ce rapport. L'inflation des services à l'affiche une hausse relativement faible sur un mois, c'est une préoccupation majeure, n'est-ce pas? Les prix volatils comme ceux de l'énergie et de l'alimentation peut changer assez rapidement. La crainte, c'est que si l'inflation s'empare des services, et deviennent plus difficiles à maîtriser. Parlez-nous un peu du secteur des services. - Dans les services, on constate une légère compensation des autres pressions provenant de composants du logement. Cette composante comporte deux sous composantes sensibles au prix des maisons. D'abord le coût de remplacement pour le propriétaire qui suit simplement le coût des nouvelles constructions Canada, ensuite les autres dépenses pour le logement et propriété. Cette mesure tient compte des frais de transfert de propriété, et permet un suivi plus global global des prix des maisons. Ces données contrebalancent d'autres volets plus inflationnistes du secteur des services. Prises ensemble, elle laisse entrevoir un ralentissement. De plus, la mesure alimentation énergie que les États-Unis utilisent pour l'inflation de base, enregistré une des hausses les plus modérés depuis l'an dernier. Dans l'ensemble, les signes sont assez mitigés. Comme vous l'avez développé voir les signes d'une approche ferme conciliante. Selon votre vision du monde, vous lisez ce que vous voulez dans ce rapport pour la dernière fois que la banque du Canada s'est exprimée, à relâcher la pression. Après une année de hausse de taux brutal, elle a un peu ralenti le rythme. Quelques annonces pour la réunion de septembre? - La réunion de décembre assez inscrit dans un contexte très intéressant. L'heure actuelle, le marché tablait une rose des taux entre 25 et 50 points de base. Les données de l'IPC d'aujourd'hui ne rien changeaient. On ne sait pas sur quel pied danser avec ses signes annonciateurs d'une position ferme ou conciliante. Entre la hausse des mesures de base le monde du Canada, la variation sur un mois de l'inflation des services, les chefs hors alimentation et énergie, chacun peut y aller de sa propre interprétation. Le marché a donc plus ou moins décidé de faire abstraction. Nous faisons parti de ceux qui estiment qu'une hausse de 25 points de base sont plus prudentes pour la réunion de décembre. Même après la hausse de 50 points de base d'octobre qui était en dessous des prévisions, les taux sont encore largement territoires restrictifs. On note des signes de ralentissement dans d'autres pans de l'économie qui sont sensibles aux taux d'intérêt, comme l'a dit le gouverneur Marc Lasne. Pour moi, l'approche risque grandement incite à la prudence. On anticipe une hausse de 25 points de base en décembre, et de 25 points de base en janvier. Pour culminer à 4,25 %. A le sentiment que le monde Canada et peut-être même la fille de tombes adoptèrent une vision plus long terme? Elles savent que la politique monétaire fonctionne avec un décalage guérison ont déjà beaucoup fait. Doivent commencer à penser à l'inflation dans un an, dont 18 mois; l'état futur de l'économie. De ce fait, les donnés rétrospectifs sont tellement importants qu'elle ne l'était cet été?? On sursaute à chaque des données des publiés! Les donnés sont toujours rétrospectifs dans une certaine mesure. - Oui. Vous avez raison. La banque du Canada évoquait un relèvement rapide des taux. On avait une hausse de taux de 100 points de base en juin, puis, on a eu des hausses de 75 et 50 points de base. À présent que les taux sont largement au-delà de la gamme de neutralité, cela permet d'attacher davantage de pondérations indicateurs prospectifs. Les derniers chiffres trimestriels du PIB, on a l'impression que ça fait une éternité, les taux d'intérêt est bien plus bas à l'époque. Traditionnellement, il faut un à deux ans pour que les hausses de taux produisent des effets sur la demande. Donc, je crois qu'il va falloir revenir à une approche plus fine pour reprendre les mots du gouverneur. Bien sûr, on se pose toute une grand question: quand notre banque centrale ou la Fed estimera qu'elle peut maintenant cesser les hausses de taux, combien de temps et tout ce miel maintiendront-ils à ce niveau? On a assisté à des hausses spectaculaires cette année. Cette question préoccupe tous ceux qui ont un prêt lié aux taux directeurs. J'imagine qu'elle se demande quand ça va s'arrêter et combien de temps les taux vont rester là. - Oui. Je pense que ça dépend de quelques facteurs. Avant tout, les perspectives d'inflation. La banque devrait avoir des signes évidents que les attentes inflation sont bien ancrées et qu'une baisse est déjà bien amorcée avant d'envisager d'inverser partiellement ses hausses de taux. Mais les prévisions en matière d'inflation dépend aussi de l'économie mondiale, des perturbations de l'offre qui ont fait des ravages dans le secteur de production de biens ces deux dernières années. Et de la façon économie canadienne réagit aux os de taux qui ont eu lieu à ce jour. Comme je l'ai dit, nous commençons à constater que ses hausses de taux ont un effet sur le marché du travail. Sur certaines industries. Et du point de vue du PIB. Quand l'IPC retombera, aux alentours de 3 %, et si les attentes d'inflation restent ancrées, nous pensons que la banque du Canada peut commencer à ramener des taux à un niveau énième ne mettra pas de mesures d'assouplissement mais relancera un peu le frein. Selon nous, il est peu probable que cela se produise avant le premier trimestre 2024. On s'attend à rester un taux directeur de 4,25 % pendant environ 12 mois. - (Robert Bowth, stratèges macro-économiques valeurs mobilières TD. À présent, poursuivant la découverte de courtiers ouais! - Souhaitez-vous diversifier votre portefeuille? Courtiers Web vous proposent des outils. Nous quoi Arauna et formatrice placement directe Ltd. - Si vous souhaitez parvenir à vos objectifs de placement en créant un portefeuille, vous pouvez envisager la répartition d'actifs ainsi que la diversification. 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Il s'on utilise un mini filtre qui est basé sur différents critères pour sélectionner différents titres et sous la rubrique des FNB, on va cliquer sur ce menu déroulant, click on sur les fonds négociés en bourse qui ont 50 à 70 % d'actions. On voit qu'il y en a 22. Donc on déroule pour afficher ses 22 fonds négociés en bourse. Parvenez à une page où apparaissent les différents fonds figurant sur la liste. Si vous voulez savoir ce que détient chaque FNB, je vais en choisir un. MD AIV il est possible de cliquer sur sa mère, l'idée, c'est que vous pouvez voir la répartition des catégories d'actifs. Une fois que vous êtes sur cette page, vous pouvez dérouler vers le bas, vous concentrant sur le côté gauche de l'écran. Alors je peux voir que ce fonds en particulier à 50 % d'actions américaines et mondiales, ainsi que des actions privilégiées, plus de 20 % d'actions privilégiées qui sont à titre hybride entre les actions et les titres à revenu fixe ainsi que les obligations américaines et non américaines. Vous pouvez voir les différents secteurs dans lesquels se font est investi. Vous pouvez voir la région, et enfin, vous pouvez voir quels sont les titres principaux qui sont détenus dans ce fonds. Vous pouvez utiliser cet outil lors ce que vous cherchez à diversifier votre portefeuille afin de vous aider à gérer le risque d'investir sur le marché. - Nugwa Haruna et formatrice placement directe TD. Ne manquez pas de visiter le son information de courtiers Web où vous trouverez encore plus de ressources. Les marchés ont été marqués par une forte volatilité depuis le début de l'année avec la montée et les craintes quant à une récession possible. Peter Vatine, fondateur des recherches parce que l'événement de type 2008 n'est pas inscrit dans l'avenir. - Éliane récession, ce sera une récession normale. C'est-à-dire faible et courte. La récession moyenne est d'environ 11 mois en ce moment. Tout le monde est préoccupé par la situation avec en 2008. Si vous étiez dans un coma pendant 20 ans, ouvre vous vous reverrez et regardez la bourse aujourd'hui et vous disiez: on est en mauvaise posture car le marché boursier doré. En 2008, les banques ferment leurs portes constamment, les constructeurs de manœuvres automobiles faisaient faillite, le crédit était bloqué, les taux d'intérêt étaient horribles, les bénéfices étaient catastrophiques. Les États-Unis partent perdaient 400 000 emplois par mois. Aujourd'hui la pire chose qui se passe et que votre compagnie a une croissance de 10 ou 15 % au lieu de 20 % les investisseurs paniquent. 200 000 emplois sont créés chaque mois au lieu des emplois sont perdus! Situation où ce sont des ventes qui sont alimentées par la crainte, la crainte de l'inflation des taux d'intérêt. Mais dans tous les siècles passés, les taux d'intérêt élevé non pas une efficacité favorable sur le marché. Parce qu'ils accompagnent une économie forte, une économie forte et un taux d'intérêt élevé. C'est élémentaire. Pour une raison quelconque cette année, les gens sont passés en mode paniquent comme si c'était la fin du monde. Je ne sais pas quand les difficultés vont prendre fin, la semaine dernière était excellente, mais les journées ne font pas une tendance. Ce qui va se passer ce que les gens vont commencer à se détendre et à se concentrer sur les bénéfices au lieu de tout le reste. Ça été une année difficile pour les gestionnaires, parce que les bénéfices des entreprises ne comptent pas ce que fait la fête. On va revenir aux sources un de ces jours. Revenir aux sources aux principes de base m'amène à croire qu'on a été doté en tant qu'investisseur, et de consommateurs pendant longtemps, avec le coût du financement, le coût des empreintes très faibles. Ne pourrait-on dire. On dirait simplement que c'est le prix normal à payer pour emprunter de l'argent et une économie peut gérer ce type de quoi? - Tout à fait. C'est là que la situation emploi très important. Il y a 10 millions d'emplois disponibles en Amérique du Nord en ce moment. En 2008, les gens perdent leur emploi. Ils étaient submergés par le paiement hypothécaire remettaient à la clé à la banque. L'offre de la banque était excédentaire, les prix des maisons s'effondraient. Maintenant si vous avez un emploi, vous allez continuer de payer vos mensualités de prêt hypothécaire. Vous aurez 1000 $ de moins par mois, mais emprunter de l'argent coûte de l'argent. On a une vie facile, forte hausse et on revient à la normale. Beaucoup de compagnies qui se négocient à 50 fois les ventes de existeront plus. Les les flux négatifs seront à (. .. ) il faut acheter des actions qui vont être là dans deux ans. Parce que ça va changer d'ici deux ans, revenir à la normale et nous avons peut-être avoir un marché aussi un de ces jours. Personne s'attend à cela, la situation actuelle ne va pas durer éternellement. Assurez-vous que vos compagnies sont là que la fille de recommencer. Il s'agit non seulement d'atténuer les émotions cette année était très chargée en émotions. Mais il s'agit d'avoir une thèse à long terme. Si vous vous appuyez sur certains à long terme, vous y tenez, parce que c'est toujours, moi aussi parfois je deviens un peu émotif il faut que je prenne du recul. Ça rappeler l'objectif ultime: - Tout à fait. Ce qui nous arrête, c'est que chaque jour, une entreprise qui entendra plus d'argent aujourd'hui que l'on éveilla. La plupart des sociétés exercice 24 heures sur 24, même la fin de semaine vous avait trois jours de plus d'argent aujourd'hui que vous en aviez vendredi. Et si le titre baisse, votre ratio précède de s'améliorer parce que le cours de l'action est moins élevé. Que vous avez plus de liquidités. Tôt ou tard, les gens vont se rencontrer tout va bien pour la plupart des compagnies. Il y en a certaines qui ont des difficultés, mais beaucoup vont avoir d'excellents résultats. - À court et moyen terme, on peut résoudre la situation amélioration de beaucoup plus de volatilité. On a entendu les intervenants de la Fed s'exprimait hier et aujourd'hui, on est encore en train de pronostiquer, il y aurait encore des fluctuations dans l'avenir. - Tout à fait. On ne profite pas encore pleinement devant favorable. Si on remonte à 10 en arrière, quand j'étais gestionnaire de portefeuille, je ne me rappelle pas avoir vu de l'inflation pendant 15 ans. Je ne m'en souciais pas et personne ne s'en souciait. On se souciait des employés des bénéfices des sociétés. Maintenant on a une nouvelle source d'inquiétude. À mesure que cette tendance se résorbe, à moins que beaucoup de gens se disent: on va se retrouver dans un scénario d'inflation astronomique comme au Venezuela. Si vous adhérez étudier, vous ne devriez rien détenir. Si on voit une situation normale, peut-être pas inflation à 9 %, mais cinq ou six. Les taux augmentent que l'économie ralentit, et tout le monde s'y adapte. Il y a des jours volatils à venir, mais historiquement, il faut être là les bons jours. Il fallait être là jeudi dernier. Il faut être là pour obtenir un rendement long terme. Si vous ratez les 20 meilleures journées du marché sur 20 ans, sur 10 ans, vous perdez de l'argent. On a un auditoire engagé qui écoute la conversation. Quelqu'un écoute envoie une question. Je pense que Célia se dont on parle. Notre spectateur dit: vous parlez d'une économie solide mais j'ai l'impression qu'il y a une inflation naturelle. Que la pandémie mondiale a changé les règles. Que les règle normale ont disparu, compte tenu que nous vivons depuis le printemps 2020. On parle beaucoup de la mondialisation qui va s'estomper à cause de ce qui est arrivé aux chaînes d'approvisionnement. Cela pourrait entraîner des pressions inflationnistes supplémentaires. Il y avait une pénurie de main-d'œuvre dans tout le monde était malade, les problèmes de production, les semi-conducteurs qui ferment les usines, il y a eu un impact à court terme. La question est la suivante: alors que le monde revient à la normale, comment cela va-t-il changer? C'est peut-être la CANAFE de la banque centrale ne font pas correctement. Elle tente de freiner la demande tandis que dans la réalité, il faut augmenter l'offre. Encore une fois ces basiques. Tant qu'il y a un problème d'offre, les prix sont sous pression. Encore une fois, l'appât du gain est une excellente solution car les entreprises vont commander vont augmenter leurs capacités intérieures et les prix vont diminuer au fur et à mesure que la demande va augmenter, parce que ne veulent pas avoir de problèmes de mondialisation comme cela a été le cas pendant la pandémie depuis le début de la guerre. Il va donc avoir beaucoup de changement mais ça ne signifie pas nécessairement que les choses vont aller mal. Quand une compagnie augmente production pour répondre à la demande et se porte bien et puis les prix se stabilisent. Si une légère récession qui semble être ce que mon pronostic se transforme en profonde récession, combien de temps faudra-t-il avant que la thèse de retour à la normale se réalise? C'est une situation plus la récession profonde, plus vite elle va changer, plus la récession profonde, plusieurs un problèmes de déflation plus aucun problème d'inflation. Mais du point de vue du marché boursier, je pense que les investisseurs s'attendent à ce que la récession ne soit pas si grave. C'est difficile à dire parce que le marché a été tellement mauvais dans certains domaines. Le thème commun est le suivant. L'inflation sera maîtrisée tôt ou tard, les taux vont atteindre le sommet des bénéfices des sociétés vont diminuer. Mais pas tant que que cela. Alors actuellement que la plupart des analystes attendent que les bénéfices augmentent la procédure 12 mois. Ça pourrait changer, ça pourrait être une année de volatilité boursière. Peut-être que si c'est dans un an, recette, étant d'acheter dans six mois. On pourrait avoir encore six mois de difficultés, peut-être neuf mois si les choses se corsent, mais encore une fois, si vous êtes un investisseur à long terme, vous devriez laide, neuf mois ce n'est rien du tout. Ce serait plutôt cinq ans ou 10 ans. Tout cela venait une petite anomalie dans trois parts les plus tard. Je suis convaincu que dans cinq ans, beaucoup d'investisseurs vont se dire: ce titre était bon marché! Ils vont se dire pourquoi je n'en ai pas acheté plus à ce moment-là? C'est difficile de combattre cette émotion et commente l'abondance le mouvement négatif continu de s'alimenter de lui-même. Il faut se sortir de là. Cela je vous valide entendu Peter Vatine, fondateur et chef de la recherche a fête de Noël which. Juron coude sur les marchés en cette dernière journée de négociation de la semaine. À l'heure actuelle, un modeste gain sur la bourse de Toronto, 24., 1/10 de pour cent. Le marché est plombé par la baisse des cours du pétrole cette semaine qui sont les plus bas depuis le printemps. Un titre qui remontait ce matin, BCE, toujours en hausse. En hausse de 1,8 %. Nous l'avons dit, avec le cours du pétrole qui baisse cette semaine, les grands titres d'énergie au Canada subissent également des pressions. Crescent Point Energy 10,60 $ l'action est en baisse un peu plus de 2 %. Aux États-Unis, l'indice S&P 500, comme nous le disions webémission on annonce les prix et les marchés montent, la Fed intervient et le marché baisse, la Fed intervient encore et les marchés haussent. L'indice S&P 500 instantané des marchés marquait en baisse de 10 %. L'indice Nasdaq spécialisé dans les technologies commence à accentuer sa baisse en raison de plus de deux tiers d'un pour cent. Foot Locker obtient des bénéfices plus importants que prévu, est en hausse de presque 8 % à 35,50 $ l'action. L'inflation a atteint des sommets jamais vu depuis plusieurs décennies. Les banques centrales du monde entier ont resserré la politique monétaire. Est-ce que l'inflation pourrait baisser suffisamment de 1023 pour les bons concentration de direction? Anthony Okolie commande. - La grande question en 2003 et celles de savoir si l'inflation permettra aux banques centrales miser sur la croissance. Plusieurs banques centrales ont augmenté les taux d'intérêt. Au fur et à mesure que l'inflation atteint de nouveaux sommets. Valeurs mobilières TD prévoient une baisse de l'inflation en 2023, mais pense que cette baisse sera lente. Voici les pronostics de valeurs mobilières TD pour les taux d'intérêt dans le monde. Les marchés ont rehaussé leurs attentes à l'égard du tout terminal à l'exception des États-Unis. Il y a des signes que l'inflation atteigne sommet. C'est positif pour tout le monde. Les États-Unis sont en avance dans le cycle mondial inflation et valeurs mobilières TD pensent que la Fed va rehausser les taux jusqu'à un taux de 5,25 %, et volets y maintenir pendant quelque temps. Au Canada, valeurs mobilières TD prévoient que la banque du Canada à moins de possibilités d'augmentation que la Fed, il s'arrête un tout terminal d'environ 4 ha pour cent. Soit 100 points de base plus bas que les États-Unis. En Europe, valeurs mobilières TD croient que les taux, en raison d'erreurs commises par les banques centrales vont subir davantage de précisions. On pense que la piscine suivra la trajectoire de la Fed et atteindre un tout terminal de de vaincre 25 %, ce qui est largement en deçà des attentes des marchés qui tablent sur un tout terminal de 2,90 %. Au Royaume-Uni, après les montagnes russes 2022, la banque d'Angleterre a affirmé clairement qu'il faudrait augmenter davantage les taux pour maîtriser l'inflation. Et on prévoit un tout terminal d'environ 3,6 %. Mais valeurs mobilières TD pronostic plutôt un tout terminal trois 25 % au mois de mars. L'une des questions qui nous sont posées cette semaine, on atteint le tout terminal. Pendant combien de temps s'y maintient-t-on? Et comment est-ce que les taux d'intérêt commenceront redescend? - Valeurs mobilières TD pensent que le marché sous-estime l'ampleur des coupures de taux potentiels en 2004. On pense que la Fed va commencer réduire les taux dès décembre 2023. Valeurs mobilières TD pensent que la banque du Canada va appuyer sur la pédale de frein en 2003. On ne pense pas que le cycle des coûts d'assouplissement de la BCE soit aussi rapide que celui de la Fed que les autres pays commenceront réduire les taux en 2004. La grande question bien sûre, merci Anthony. Slice Anthony Okolie de parlons argent. Rester à l'écoute, lundi à Rishi Sondhi, économiste à la banque TD va répondre aux questions sur le marché du logement. Je vous rappelle que vous pouvez d'ores et déjà nous poser une question par courriel@moneytalklivetd. com. Merci et à lundi!