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(musique) - Bonjour, ici Greg Bonnell, bienvenue à Parlons argent direct, une émission de Placements direct TD.
Aujourd'hui, Anthony Okolie commente les dernières statistiques de l'inflation aux États-Unis.
Qui pourrait influencer l'évolution des taux d'intérêt.
Michael O'Brien de Gestion d'actifs TD commente la dynamique des marchés boursiers.
Brad Simpson nous expose son point de vue sur les conditions du marché.
Nous poursuivons la découverte de courtiers ouais. Jason Natyk nous parle d'analyse technique.
Mais d'abord, un coup d'œil sur le marché.
Nous allons parler bientôt de l'indicateur de l'éducation privilégiée par la Fed.
Qui est plus avec imprévu.
D'où une plus grande aversion au risque sur les marchés. L'indice SUP TSX composite est en baisse 95; soit 1/2 %.
Cela se répercute sur le secteur de la technologie.
Shopify est en baisse de 4 % à 55,26 $ l'action.
Depuis l'annonce de bénéfices décevants.
CCL industrie est en hausse très modestement d'un demi pour cent.
Aux États-Unis, la grande question, après le bon début d'année: jusqu'où la Fed doit-elle aller pour maîtriser l'inflation? L'économie américaine étend tellement résiliant. Le S&P 500 est en baisse de 45 points, soit un peu plus de 1 %.
L'indice Nasdaq spécialisé dans la technologie à remonter depuis le creux atteint en début de séance.
La raison en baisse de 1,8 %. Carvana, la plate-forme de commerce électronique de voitures d'occasion annonce des bénéfices décevants. Les vols de voitures d'occasion étaient très en demande pendant la pandémie avec la pénurie de semi-conducteurs, mais la situation a changé.
Le titre dévisse de plus de 18 % annonce bénéfices décevants.
Encore des statistiques sur l'inflation aux États-Unis.
Il s'agit d'un indicateur privilégié par la Fed et qui plus évêques prévues.
Anthony Okolie commente les détails.
- L'indice des dépenses de consommation est plus élevé que prévu au mois de janvier.
Ce qui inquiète les marchés, puisque la Fed pourrait devoir maintenir les taux plus élevés plus longtemps.
- Les prix de consommation personnelle affichent une hausse de 4,3 % sur 12 mois, contre 4,3 décembre. C'est le chef le plus élevé depuis juin.
La plupart des gains sont alimentés par les cours de l'énergie qui est en hausse de 2 %, suivi par l'alimentation.
Quand on considère l'indice de base, consommation personnelle, compris l'énergie, la hausse de 4,6 % sur 12 mois et 4,7 % sur un mois par rapport aux attentes de 4,3 %.
Rappelez-vous que la Fed vise un taux d'inflation annuelle 2 %, il nous reste encore beaucoup de chemin à faire.
Quand et services économiques TD à analyser ces chiffres, on a conclu, même si le mot des inflationnistes a été prononcé par Jérôme parole plusieurs fois, le processus va durer encore longtemps et on s'attend à une ou deux hausses de taux par la Fed.
- Oui.
Les données montrent que la désinflation se produit, mais très lentement.
Il y a également eu une série de statistiques très en hausse.
Les Américains dépensent de plus en plus chez les détaillants.
En janvier, le taux de chômage atteint un niveau plus bas que depuis 50 ans.
Le première demande d'assurance chômage qui indique le nombre de licenciements atteigne un creux également.
Jamais atteint.
- Nous en sommes dans une situation les marchés semblent croire la Fed. En début d'année, la Fed ne change pas de discours, et affirmé que pour maîtriser l'inflation, elle ne doit pas lever le pied trop rapidement, qui lui reste du chemin à faire. Les marchés obligataires ne la croyaient pas sur parole et prévoyait des coupures de taux d'ici la fin de l'année.
Les marchés sont davantage alignés sur la fête?
- Oui. On commence à oublier la thèse des réductions de taux d'ici la fin de l'année. De plus en plus, les marchés supposent une augmentation de taux de 50 points de base. On prévoit toujours que la Fed va relever le taux de 25 points de base à sa réunion de mars est peut-être celle de mes.
Et de toute façon, selon les indicateurs économiques, les marchés se concentrent sur une dynamique plus énergique de la part de la Fed.
- Merci de nous avoir commenté cet indicateur très important.
Anthony Okolie sera de retour sur le plateau pour commenter la situation des petites entreprises au Canada.
- Les marchés ont bien commencé l'année, même s'ils ont perdu de leur élan.
Les inquiétudes légales de la trajectoire future des taux d'intérêt.
Est-ce qu'une période de volatilité nous attend? Michael O'Brien gestionnaire de portefeuille Gestion d'actifs TD commande.
- Si vous songez au début de l'année, les marchés ont grimpé en flèche.
Il y a eu une hausse énorme en janvier.
Si l'on prend un peu de recul et qu'on se demande qu'est-ce qui a alimenté cette hausse, il y a quelques indicateurs intéressants. D'abord, l'hiver a été clément en Europe.
Ce qui était très important.
Ce qui a soulagé les économies européennes.
Ces dernières se portent mieux qu'on le pensait. C'est un avantage.
Deuxième facteur, on se demandait quand la Chine renonce à sa politique de Giraud COVID. Là ouverture de l'économie chinoise était plus précoce et plus rapide qu'on le pensait. C'est un autre facteur positif pour les marchés.
Troisième élément auquel vous avait fait allusion, qui a vraiment entraîné un départ très rapide pour les marches au mois de janvier, ce sont les donnés encourageants relatives au prix.
L'inflation commençait à reculer les investisseurs ont vraiment prie le mors aux dents ont commencé à se demander dans quel délai la fête pourrait arrêter de hausser les taux. Voire même les réduire pendant la deuxième moitié de l'année.
Ce qui a bénéficié au titre plus spéculatif. Celle que nous avons vu mois de janvier. Ce qui a changé, c'est qu'il y a eu des chiffres plus élevés que prévu.
Pour l'emploi.
Aussi bien aux États-Unis au Canada. Le nombre d'occupations d'emploi était très élevé aux États-Unis. Et puis recul de l'inflation à marquer une pause.
Surtout aux États-Unis, encore.
Les investisseurs ont été obligés de se demander dans quelle mesure le processus de désinflation serait en fait rapide.
Les pronostics de coupure de taux commencent à s'estomper. J'ai toujours pensé qu'ils étaient optimistes.
Les marchés obligataires repensent donc à la rapidité de la désinflation, ce qui se répercute sur les marchés boursiers.
Est-ce qu'il nous reste du chemin à faire?
Selon moi, nous avons anticipé sur une bonne partie des rendements de 2023 pendant les trois ou quatre premières semaines de l'année. Il est donc naturel qu'il y aurait de ralentissement.
Cela n'étonnera personne.
Un autre élément intéressant.
La nature du marché et les secteurs en pointe, en particulier, change. Pendant les premières semaines de l'année, il fallait trouver des titres qui avaient été abîmés pendant le deuxième semestre de l'an dernier.
Les compagnies dont les bénéfices se situent dans l'avenir et qui bénéficie lorsque les taux d'intérêt diminuent, ce sont les compagnies qui étaient en vogue pendant les premières semaines de l'année.
Mais la situation évolue très rapidement.
Le marché va marquer une pause et surtout d'autres secteurs seront en pointe.
Parlons-en! Si nous nous retrouvons dans un environnement qui est conforme pronostic de la Fed, au début, le marché ne croyait pas ce que la Fed affirmait.
À présent, si c'est l'environnement dans lequel nous nous trouvons, quelques hausses de taux supplémentaires, on ne sait pas dans quelle mesure.
La Fed va atteindre un taux où elle va rester et rester longtemps.
Que pensez-vous de votre portefeuille?
- Ce que je pense en ce qui concerne portefeuille, ce qui s'agit de passer moins de temps à identifier les compagnies qui seront les gagnantes en 2025, mais plutôt nous demander quelles seront les compagnies auxquels vous avez confiance au niveau de l'exécution dans une conjoncture difficile.
La croissance est toujours satisfaisante, mais elle ralentit.
Il y a beaucoup de pressions qui s'exercent sur les coûts.
Ceci favorise les équipes dirigeants de qualités qui peuvent le mieux maîtriser leurs coûts.
Et réaliser les prédictions en matière de bénéfices. Il s'agit compagnies qui sont les meilleurs de leur catégorie.
Et qui présente un bêta moindre, une cyclique qualité moindre.
Il s'agit de miser sur les coûts sur tout le monde a négligé pendant les trois ou quatre premières semaines de l'année.
Ce sont des actions sur lesquels on peut compter.
Et qui rempliront les attentes.
Et cela signifie également la patience pendant la pandémie.
Il y a une mesure très énergique prise par les banques centrales. Les mesures de relance des gouvernements.
Les marchés décollent et on peut faire fortune en deux mois!
- Nous somme dans un environnement très différent.
C'est-à-dire une raison à long terme, de la patience.
- Tout à fait.
Vous avez mis le doigt dessus.
Il s'agit d'un univers bien différent de celui de 2020.
En 2020, des mesures de relance budgétaire ont été prises à très grande échelle, le gouvernement voyait des chèques à tout le monde, il y a des mesures de relance monétaire.
Les banques centrales réduisent les taux à zéro. L'environnement aujourd'hui ne pourrait être plus différent.
La liquidité se resserre et devient plus rare. Ce n'est pas un environnement positif pour s'enrichir rapidement.
Parallèlement, en supposant que l'économie se maintiendra, beaucoup d'entreprises qui ont fait leurs preuves, les entreprises fiables, m'ont donné les résultats escomptés à long terme.
Simplement, on ne doit pas s'attendre au feu d'artifice auquel on s'est habitué il y a un ou deux ans.
Ce n'est pas le monde dans lequel nous sommes aujourd'hui.
- Jouvenet d'antan Michael O'Brien gestionnaire de portefeuille Gestion d'actifs TD. À présent l'actualité du monde des affaires et un coup d'œil sur les marchés.
AB grâce annonce des bénéfices rajustés légèrement inférieurs aux pronostics des analystes pour le dernier trimestre. La compagnie prévoit que la production de cuivre et montre de 10 %, et la production d'or de 30 % cette année.
Valeurs mobilières TD signalent que AB a mieux résisté à l'inflation que beaucoup des autres compagnies minières.
La production du pick-up électrique Ford F150 est suspendue pendant une semaine de plus après que les ingénieurs étudiants problème de batterie qui a causé un incendie depuis quelques semaines.
Le fournisseur de batterie de Ford a repris la production après l'enquête.
Ford affirme qu'il fera quelque temps pour assurer leur sécurité.
Il semble que l'inflation n'empêche pas les visiteurs au concert. L'infini chêne a vu son revenu trimestriel bondir de 60 % abus de 4 milliards de dollars.
Les ventes de billets seraient en hausse de 20 % jusqu'ici cette année. À présent, l'indice composite TSX est en baisse de 107; un peu plus d'un demi pour cent.
L'indice S&P 500 des États-Unis est en recul d'un accord pour cent.
L'indice de dépenses de consommation personnelle et plus vite que prévu. S'agit de l'indicateur privilégié par la Fed pour mesurer les pressions sur le coût de la vie, ce qui amène marcher être réticent au risque. Au Canada, les dernières statistiques de l'inflation globale s'établissent à 5,9 %.
Bien entendu, marché du travail et la consommation sont très résiliant.
Qu'est-ce que cela signifie pour les tours dans l'avenir?
Alex Gorewicz gestionnaire de titres à revenu fixe Gestion d'actifs TD commande.
- L'inflation globale 5,9 %, rien inflation élevé des produits alimentaires, mais ce n'est pas un phénomène simple au Canada mais dans le monde entier que les prix de l'alimentation continue d'augmenter assez régulièrement.
Si on exclut cela et que l'on se base, si on étudie l'inflation de base, à l'exclusion de l'énergie et de l'alimentation, l'inflation de base continue de décroître comment la vie depuis plusieurs mois.
Le problème, c'est que le rythme auquel l'inflation reflue et peut-être un peu plus lent que nous ne l'aurions prévu, pas seulement nous met vraisemblablement la banque du Canada.
En plus, nous avons constaté quelques révisions à la hausse pour les chiffres inflation de bâtiments précédentes, ce qui est un peu inquiétant.
Cette période de l'année est connue pour des révisions à la hausse assez important.
Mais quand on considère quels sont les éléments qui sont fort et lesquels sont faibles, c'est le logement et les éléments reliés aux logements qui sont résiliant.
C'est prévisible. Le loyer, les mensualités de prêt hypothécaire, il s'agit de volets qui affichent une hausse sur l'an dernier.
Ils se sont également des volets qui réagissent beaucoup plus lentement aux mesures de resserrement monétaire.
Ce que nous voyons à l'heure actuelle n'est pas étonnant et ne change pas la perspective de la banque du Canada.
L'inflation globale reflue et nous avons également les statistiques sur les ventes détails.
Les consommateurs ont dépensé en décembre, c'est un mode traditionnel qu'on dépense.
Selon statistique Canada, nous avons retenu en janvier.
Le magistrat se porte bien la banque du Canada duquel elle marque une pause, voir les conséquences de l'économie.
Dernièrement, on ne se demande plus quand la banque va réduire les coûts lithos, mais si elle serait capable de relever encore davantage.
- Les données sont mixtes.
Le marché du travail en particulier a été très résiliant et continu de créer des emplois très rapidement. Cela laissait croire que la consommation même si ralentit par rapport aux années précédentes, va demeurer résiliant honte.
Pour nous aider peut-être même à éviter une baisse, voir pour réaliser une légère croissance économique.
Cela ne change rien au fait que la tendance est toujours au reflux de l'inflation au niveau de la consommation, au niveau des volets du logement, qui contribue beaucoup à l'économie canadienne.
Et ce, avant que nous n'ayons ressenti le plein effet des hausses que la banque Canada pratiquée depuis 12 mois.
Quand on songe à ce qui est vraiment nécessaire, c'est le temps.
Il faut que l'effet intégral des mesures de resserrement de la banque Canada se répercute sur l'économie d'ici un ou deux mois, voire un ou deux trimestres. Au niveau actuel des taux d'intérêt, c'est l'une des raisons pour lesquelles la banque du Canada a déclaré qu'elle était à l'aise pour s'arrêter et attendre.
- Parle des États-Unis.
La Fed a fait évoluer les attentes sur les marchés.
Quant aux décisions futures de l'avant-centre le plus puissant au monde.
Maintenant, on parle d'une hausse de 50 points de base.
- La situation est très semblable à celle du Canada.
Il y a un reflux de l'inflation, c'est un processus des inflationnistes auquel Jérôme Powell a fait allusion.
Plusieurs fois citaient le mot désinflation.
Ce processus n'encourt.
Est-ce qu'il se produit plus rapidement que prévu?
Oui, mais nous savons depuis quelque temps déjà que le passage de 8 % inflation globale 4 % serait relativement rapide.
Nous pouvons toujours y parvenir d'ici la fin de ce premier trimestre.
En mars ou en avril.
Mais selon les données qui sont parues, dernièrement, surtout au niveau des indices de confiance des gestionnaires d'achat, des statistiques sur la consommation, qui non seulement ne décroissent pas et pourrait même remonter, bref le parcours de 4 % inflation ou de pour cent que vise la Fed sera sans doute plus long et plus pénible.
Ce que cela signifie pour le marché obligataire, c'est qu'ils doivent croire la Fed sur parole lorsque les claques ne va pas réduire les taux cette année.
Est-ce que le cela signifie que la Fed doit augmenter encore les taux?
- Je pense que les données ne soutiennent pas la thèse selon laquelle économie entreprend un nouveau départ.
C'est le recul qui est plus long.
Les marchés obligataires doivent à présent croire la fête sur parole, comme vous dîtes au début de l'année, le marché ne croyait pas la Fed, malgré ses affirmations. Mais à présent, le rendement des obligations du trésor américain est à 3 %.
La remonter.
- Oui, mais c'est plus ou moins nous étions débuts de l'année.
Les taux ont beaucoup diminué au mois de janvier.
Puis sont remontées avec notamment les statistiques sur l'emploi.
Le changement de cap, afin de qui réduit lithos au deuxième semestre, les données économiques des deux dernières semaines ne favorisent pas cette thèse.
Le marché obligataire a donc dû reprendre à partir de zéro ces hypothèses quant à l'éventuelle réduction des taux qui est maintenant exclue.
Nous sommes revenus au point où nous en étions débuts de l'année.
Semble bien que la fille ne va pas réduire les taux, mais doit-elle relever encore?
On peut couper les cheveux en quatre.
Est-ce que ça sera 5 ha ou cinq ennemis, tout terminal?
La réalité c'est encore une fois, nous avons besoin de temps.
À ce niveau de tout directeur.
Afin que les conséquences des mesures de la banque centrale se répercutent sur le système, pour que nous puissions déterminer l'impact intégral du resserrement de la politique monétaire sur l'économie.
- Est-ce que le fait que le marché obligataire croit la fête parole change les thèses investissement? L'évolution du marché obligataire cette année, le portefeuille obligataire était plutôt défavorable avec les hausses de taux.
Jusqu'ici, mais à présent le roman des obligations est très intéressant.
- Ça dépend de quelles obligations il s'agit.
Si vous songez aux obligations à court terme de deux ans ou un an, ces obligations peuvent toujours remonter.
Et devrait remonter si nous allons tenir compte de l'intégralité de la Fed, c'est-à-dire 5 ha, une pause pour le reste de l'année.
Quand on songe plus loin sur la courbe de rendement, les taux d'intérêt à 10 ans ou 30 ans, la question que l'on doit se poser la suivante: est-ce que nous pensons que la Fed va réduire les taux de nouveaux?
Si la réponse est oui, il faut se demander jusqu'à quel niveau.
Si vous pensez que les taux sur 10 ans à 4 %, c'est audacieux par rapport à ce que la Fed a continuellement affirmé quant à l'équilibre des taux d'intérêt pour l'économie américaine, équilibre qui se situe à deux et demis pour cent, ces 4 % sont pas mal élevés par rapport à ce taux directeur à long terme.
Que la Fed a l'intention de maintenir une fois qu'elle parvient.
- Bref, il existe une marge au fil du temps pour que l'économie continue son ralentissement pour la réduction des taux à long terme.
- Vous avez entendu Alex Gorewicz de Gestion d'actifs TD. À présent, poursuivons la découverte de courtier Web.
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Jason Natyk et formateur en relation directe TD. Jason, bonjour, comment courtier Web peut-il vous aider à identifier les événements techniques?
- Bonjour, Greg.
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Pour identifier un indice.
Choisissant les CP TSX 60.
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De bonnes informations, pas dans la bonne direction pour identifier les opportunités.
- Je suis à l'écran et je regarde triple moyenne mobile, double moyenne mobile.
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Une série en cinq parties sur les fondements de l'analyse technique que nos spectateurs trouveront certainement très intéressante et informative.
- C'est la fin de semaine justement, ce serait peut-être une façon de passer quelques bons moments.
Merci, Jason.
Jason Natyk et formateur en relation directe TD.
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Après un bon début, de l'année, la volatilité est de retour. Face à l'incertitude économique et ses conséquences pour les taux d'intérêt.
Comment les investisseurs doivent-ils approcher les marchés pour l'avenir?
Brad Simpson, stratège gestion de patrimoine TD commande.
- Si on prend un peu de recul, la grande surprise jusqu'ici cette année, les marchés des titres à revenu fixe ont été très positifs.
Les marchés ont commencé à remonter en octobre.
À l'époque, cela avait du bon sens.
Mais quand on commence à se demander à quoi ressemblent les marchés boursiers, surtout en janvier, et les éléments constitutifs, les facteurs qui ont engendré cette évolution, s'il y a un moment de surprise, je pense qu'il faut prendre un peu de recul.
Envisager ce qui fait évoluer le marché, et je crois que lorsque je considère la situation en ces termes, celle-ci apparaît sous un jour nouveau. Vous avez d'ailleurs graphiques qui montrent la situation.
Il y a une chose qui est incroyable jusqu'ici cette année: si vous prenez les actions qui se sont le mieux comporté en 2022, des actions de bonne qualité à bon prix, excellente croissance du bénéfice par action, les données fondamentales sont un facteur très important.
Et puis à l'inverse, les compagnies qui se sont mal comportées ce sont des compagnies très endettées, des bénéfices intermittents ou repousser très loin dans l'avenir.
Ces compagnies ont été en forte baisse de 50 à 70 %, dans certains cas, en 2022. En janvier, c'est compagnies qui avait beaucoup reculé en 2022 se retrouve parmi les plus porteurs avec des hausses de 15 %.
Et cela explique l'aspect que prend ce marché.
On peut se demander comment cela se produit-il?
Il y a une idée qui commence à se répandre.
Les marchés obligataires se situent dans une phase de fin de cycle.
On pense que les taux d'intérêt vont commencer à baisser d'ici six à neuf mois.
Les marchés boursiers ont commencé à s'appuyer sur des illusions.
L'illusion étend que nous n'allions pas avoir un atterrissage brutal ni un atterrissage en douceur.
Mais aucun atterrissage.
La situation continuerait indéfiniment.
D'emblée, je pense qu'il s'agit de prendre un peu de recul pour nous.
Il faut se demander: quel est le facteur qui influence évolution? Il y a beaucoup de spéculations, beaucoup de couverture de position à découvert, et puis, vous et moi en avons parlé, à court terme, les marchés, et c'est tout à fait inédit, évolue en fonction d'algorithmes dans ce scénario il y a où il y a ni atterrissage brutal, ni atterrissage en douceur.
Cela change les paramètres des algorithmes et cela crée un marché qui ressemble à celui-ci.
Le problème, c'est qu'il y a encore la réalité.
Les investisseurs feraient mieux de s'arrêter de se demander: songeons à celle-ci.
Parlons de la réalité.
Parce que la réalité nous informerait peut-être sur ce que la Fed va faire pour la grande question est de savoir quel est le point final de la série de hausses de taux.
L'inflation étend maîtrisée.
En janvier, nous avons publié notre stratégie trimestrielle qui insiste sur l'instant présent.
Voici l'idée: il y a certains facteurs qui affectent les marchés, sur des titres à revenu fixe, marchés boursiers aussi.
Le point de départ consiste à dire: il faut se demander ce qui va arriver à l'inflation. Est-ce qu'il y aura une récession ou pas?
Deuxième question: à quoi les bénéfices vont-ils ressembler?
Et puis troisième question: il faut se demander quels sont les aléas géopolitiques.
Lors ce que vous étudiez les marchés boursiers et leur évolution, toutes ces questions ont semble-t-il trouvé réponse, mais aucune notre réponse.
Dans la gestion prioritaire des risques, c'est le principe fédérateur de notre répartition des capitaux.
Nous considérons que les marchés sont des systèmes ouverts complexes.
Les systèmes ouverts complexes comportent un élément aléatoire.
Le monde ne fonctionne pas de manière linéaire parce que les êtres humains prennent des décisions.
Même les codes informatiques sont fondés sur les thèses et les suppositions des êtres humains.
Cela est fait évoluer les marchés.
Mais la réalité, c'est que depuis quelques années, nous avons assisté à des mesures de politique monétaire incroyable.
Les politiques budgétaires prises en réponse un phénomène qui n'était pas apparu depuis des années. Les données qui ont en ressortiront seront un peu indécises.
La consommation remontait en janvier.
Ce qui nous a pris par surprise.
On pensait qu'il y aurait un ralentissement.
Les explications simples ne sont pas convaincantes en ce moment.
Alors, comment analyser la situation?
On pourrait dire: très bien, il n'y a pas d'atterrissage à la consommation est de retour.
Et c'était un mauvais mois à passer.
Et puis nous pourrons tourner la page.
Mais parfois, les décisions de dépenses ne sont pas rationnelles.
Les gens étaient confinés chez eux, et il y a une demande accumulée.
Nous sommes en plein hiver, l'hiver a été clément, les gens ont eu beaucoup plus de temps pour sortir, beaucoup plus de temps pour profiter de leurs espaces.
En janvier, la météo a été clément, surtout en Amérique du Nord.
Et on voit cette évolution des dépenses de consommation personnelle.
Est-ce que cela signifie que nous sommes pas obligés de nous inquiéter de ralentissement à partir d'ici?
Est-ce que nous ne sommes pas obligés de demander pourquoi les gens ont des niveaux de carte de crédit très élevé, des soldes de carte de crédit très élevé?
Tout cela a de l'impact sur les bilans.
Et je ne veux pas paraître trop pessimiste, car ce n'est pas le cas, mais nous avons situé une stratégie dans l'instant présent parce que nous voulions nous assurer pendant ce trimestre de contrer les thèses extrémistes.
Si les statistiques seraient positives, le volume et la volatilité augmenterait.
Si les statistiques étaient négatives, ce sera le contraire.
Jusqu'ici, c'est ce qui s'est produit.
Pour nous, l'instant présent, c'est l'idée selon laquelle il faut adopter un processus d'investissement basé sur des données fondamentales et sur une méthode de répartition des capitaux qui n'a pas pour horizon temporel la parution des prochaines statistiques.
Si vous pouvez prolonger votre horizon, ou au moins à un trimestre, de préférence à 12 à 18 mois, et envisager l'instant présent, il y a beaucoup de fluctuations, beaucoup de données contradictoires qui ressortent.
Si vous procédez ainsi, sans vous laisser prendre au piège, il s'agit d'un marché avec beaucoup d'alpha qui est finalement très intéressant.
Il y a des valorisations très intéressantes sur toute la gamme, mais il faut surveiller les fluctuations.
- S'agissant du cycle économique, où en sommes-nous?
- La Fed, toute idée des hausses de taux par les banques centrales au Canada comme aux États-Unis, c'est de refroidir l'économie ou maîtriser l'inflation.
Vous avez dit qu'il y a des statistiques imprévues, mais à long terme, où en sommes-nous dans l'économie?
- Nous sommes aussi obsédés par la récession actuelle.
Je dirais qu'il faut se rappeler, s'agissant d'une récession, il n'y a pas une cloche qui retentit.
On ne se laisse pas un matin en pleine récession.
La réalité, c'est qu'un groupe d'économistes dans un bureau a posteriori vont dire: voilà la date à laquelle votre récession a commencé.
Si vous voulez répartir des capitaux sur cette base, je crois qu'il faudrait que vous repensez votre processus.
En vous disant: peut-être pas.
Nous savons que nous sommes dans un stade tardif de l'Éductyl économique.
Ce qui devrait orienter votre réflexion quant à votre répartition actuelle.
Vous avez une bonne idée de l'allure que prendront les 12 à 18 mois à venir.
Vous pouvez vous adapter, vous ajustez au changement.
Mais l'idée que nous pouvons rester perpétuellement dans une économie en stade tardif qui n'entre pas récession, si on réécoute ce que je vous ai dit la dernière fois, j'étais sur ce plateau, l'inflation occupe le devant de la scène.
Lorsque l'inflation n'était pas une préoccupation, les banques centrales pouvaient la maîtriser en priorité.
Mais le fait est qu'elles ont passé 15 à 20 ans à s'inquiéter de la désinflation.
Alors, l'inflation défie des finalement plus aucun de leurs priorités. Laquelle était devenue de gérer une croissance lente.
À présent, l'inflation est au cœur des préoccupations.
Les banques centrales affirment qu'elle constate un cycle économique plus classique, qu'elle va reprendre ses méthodes de gestion plus classique.
L'idée sur les marchés, c'est qu'un grand nombre de mouvements auxquels nous assistons sont attribuables à des gens qui ne se sont pas encore réconciliés aux fins de l'environnement pour changer avec l'inflation.
Et donc, une économie de stade tardif, ça devrait vraiment affecter la façon dont vous répartissez vos capitaux.
Fondamentalement.
Si vous considérez le S&P 500, les facteurs qui ont fait évoluer cet indicateur à ce jour, cette année, c'est généralement les éléments qui sont pertinents dans une économie de stade précoce ce qui n'a pas le marché, les titres plus défensives, ce sont ceux qui surclassent généralement dans une économie de stade tardif.
Si vous pensez que la situation revient à la moyenne, au fur et à mesure qu'on s'éloigne du court terme est et de ses terres nouvelles de fluctuations des marchés dans laquelle nous nous trouvons, il y a un retour à la moyenne et on commence à se retrouver dans les actifs de stade tardif, les actions de stade tardif.
Je crois que c'est un ordre marché qui est très prometteur.
- Vous venez d'entendre Brad Simpson, stratège en CFA gestion de patrimoine TD.
Un coup d'œil sur le marché.
Le dernier jour de bourse de cette semaine raccourcie.
L'indice TSX composite, on assiste à un léger regain du cours du brut de référence américain.
Mais l'indice TSX est toujours en baisse de 120; soit un peu plus d'un demi pour cent.
Albumine grâce a annoncé ses bénéfices récemment, en baisse de trois et demis pour cent.
Eldorado Gold est en hausse de 12 à 11 l'action, presque 7 %.
Avant de vous dire au revoir pour la semaine, Anthony Okolie commente le degré de confiance des propriétaires de PME.
- Jusqu'ici, l'indice des PME a légèrement augmenté en février avec l'apaisement des inquiétudes à l'égard de l'inflation le mois dernier.
L'indice montre que la confiance pour les 12 mois à venir à augmenté d'un demi pour cent à 15,7 en février.
51,7.
Ce qui est au-delà de 50; signifie que la majorité des propriétaires d'entreprises ont confiance face quelques mois à venir.
Les perspectives pour les trois mois à venir ont augmenté de: jusqu'à 48,9.
Ce qui est toujours un niveau pessimiste.
Les deux indices sont au niveau le plus bas enregistré depuis 2009 hors des périodes récession.
Qu'est-ce qui nuit aux petites entreprises?
Les attentes moyennes de salaires ont augmenté de plus de 3 %.
Par rapport à un gain de 3 % seulement en janvier, tandis que les coûts ont légèrement augmenté mais demeure élevée par rapport aux normes historiques.
Parmi les facteurs, c'est celui du détail qui affiche le moindre niveau d'optimiste à 44.
.
Il s'agit du huitième mois de suite en deçà de 50 %.
L'industrie des détails du Canada, bien sûr, éprouver des difficultés à trouver du personnel.
Le nombre de posts vacants atteints des sommets.
En ce qui concerne les prix de reviens, ceci continue d'exercer une pression sur les propriétaires de PME. Les coûts d'emprunt et les prix de revient sont au double de la moyen historique.
Il y a également d'autre pression sur les coûts auxquelles les petites entreprises doivent relever, coût de l'énergie, et les salaires.
Le sondage contient de bonnes nouvelles pour la confiance à l'égard de l'emploi, surtout l'emploi à plein temps et légèrement augmenté en janvier, et les défis liés aux chaînes approvisionnement continues de republier.
La hausse de la confiance quelques mois représentent une bonne nouvelle mais est faible par rapport niveau historique.
Sur avec un invité nous disent pendant la pandémie: mais dépense sans les revenus de quelqu'un d'autre.
Comment ces entreprises envisagent les dépenses de consommation d'ici la fin de l'année?
- Beaucoup de petites entreprises continuent à s'inquiéter de la faiblesse de la demande intérieure.
Ce que la troisième préoccupation et qui affecte plus d'un tiers des répondants.
La plupart des entreprises attendent des ventes plus faibles dans l'année à venir.
Selon service économie TD, celle-ci est conforme à la perspective économique qui prévoit un ralentissement de la consommation, ce qui va nuire à la rentabilité des entreprises.
- Merci, vous venez d'entendre Anthony Okolie.
Reste à l'écoute lundi, Andress Rincon, chef des ventes FNB à valeurs mobilières et répondre aux questions au sujet des fonds négociés en bourse.
Vous pouvez d'ores et déjà vous poser une question@moneytalklivetd.
com!
Merci, au nom de toute l'équipe de parlons argents en direct, merci et à lundi!
Aujourd'hui, Anthony Okolie commente les dernières statistiques de l'inflation aux États-Unis.
Qui pourrait influencer l'évolution des taux d'intérêt.
Michael O'Brien de Gestion d'actifs TD commente la dynamique des marchés boursiers.
Brad Simpson nous expose son point de vue sur les conditions du marché.
Nous poursuivons la découverte de courtiers ouais. Jason Natyk nous parle d'analyse technique.
Mais d'abord, un coup d'œil sur le marché.
Nous allons parler bientôt de l'indicateur de l'éducation privilégiée par la Fed.
Qui est plus avec imprévu.
D'où une plus grande aversion au risque sur les marchés. L'indice SUP TSX composite est en baisse 95; soit 1/2 %.
Cela se répercute sur le secteur de la technologie.
Shopify est en baisse de 4 % à 55,26 $ l'action.
Depuis l'annonce de bénéfices décevants.
CCL industrie est en hausse très modestement d'un demi pour cent.
Aux États-Unis, la grande question, après le bon début d'année: jusqu'où la Fed doit-elle aller pour maîtriser l'inflation? L'économie américaine étend tellement résiliant. Le S&P 500 est en baisse de 45 points, soit un peu plus de 1 %.
L'indice Nasdaq spécialisé dans la technologie à remonter depuis le creux atteint en début de séance.
La raison en baisse de 1,8 %. Carvana, la plate-forme de commerce électronique de voitures d'occasion annonce des bénéfices décevants. Les vols de voitures d'occasion étaient très en demande pendant la pandémie avec la pénurie de semi-conducteurs, mais la situation a changé.
Le titre dévisse de plus de 18 % annonce bénéfices décevants.
Encore des statistiques sur l'inflation aux États-Unis.
Il s'agit d'un indicateur privilégié par la Fed et qui plus évêques prévues.
Anthony Okolie commente les détails.
- L'indice des dépenses de consommation est plus élevé que prévu au mois de janvier.
Ce qui inquiète les marchés, puisque la Fed pourrait devoir maintenir les taux plus élevés plus longtemps.
- Les prix de consommation personnelle affichent une hausse de 4,3 % sur 12 mois, contre 4,3 décembre. C'est le chef le plus élevé depuis juin.
La plupart des gains sont alimentés par les cours de l'énergie qui est en hausse de 2 %, suivi par l'alimentation.
Quand on considère l'indice de base, consommation personnelle, compris l'énergie, la hausse de 4,6 % sur 12 mois et 4,7 % sur un mois par rapport aux attentes de 4,3 %.
Rappelez-vous que la Fed vise un taux d'inflation annuelle 2 %, il nous reste encore beaucoup de chemin à faire.
Quand et services économiques TD à analyser ces chiffres, on a conclu, même si le mot des inflationnistes a été prononcé par Jérôme parole plusieurs fois, le processus va durer encore longtemps et on s'attend à une ou deux hausses de taux par la Fed.
- Oui.
Les données montrent que la désinflation se produit, mais très lentement.
Il y a également eu une série de statistiques très en hausse.
Les Américains dépensent de plus en plus chez les détaillants.
En janvier, le taux de chômage atteint un niveau plus bas que depuis 50 ans.
Le première demande d'assurance chômage qui indique le nombre de licenciements atteigne un creux également.
Jamais atteint.
- Nous en sommes dans une situation les marchés semblent croire la Fed. En début d'année, la Fed ne change pas de discours, et affirmé que pour maîtriser l'inflation, elle ne doit pas lever le pied trop rapidement, qui lui reste du chemin à faire. Les marchés obligataires ne la croyaient pas sur parole et prévoyait des coupures de taux d'ici la fin de l'année.
Les marchés sont davantage alignés sur la fête?
- Oui. On commence à oublier la thèse des réductions de taux d'ici la fin de l'année. De plus en plus, les marchés supposent une augmentation de taux de 50 points de base. On prévoit toujours que la Fed va relever le taux de 25 points de base à sa réunion de mars est peut-être celle de mes.
Et de toute façon, selon les indicateurs économiques, les marchés se concentrent sur une dynamique plus énergique de la part de la Fed.
- Merci de nous avoir commenté cet indicateur très important.
Anthony Okolie sera de retour sur le plateau pour commenter la situation des petites entreprises au Canada.
- Les marchés ont bien commencé l'année, même s'ils ont perdu de leur élan.
Les inquiétudes légales de la trajectoire future des taux d'intérêt.
Est-ce qu'une période de volatilité nous attend? Michael O'Brien gestionnaire de portefeuille Gestion d'actifs TD commande.
- Si vous songez au début de l'année, les marchés ont grimpé en flèche.
Il y a eu une hausse énorme en janvier.
Si l'on prend un peu de recul et qu'on se demande qu'est-ce qui a alimenté cette hausse, il y a quelques indicateurs intéressants. D'abord, l'hiver a été clément en Europe.
Ce qui était très important.
Ce qui a soulagé les économies européennes.
Ces dernières se portent mieux qu'on le pensait. C'est un avantage.
Deuxième facteur, on se demandait quand la Chine renonce à sa politique de Giraud COVID. Là ouverture de l'économie chinoise était plus précoce et plus rapide qu'on le pensait. C'est un autre facteur positif pour les marchés.
Troisième élément auquel vous avait fait allusion, qui a vraiment entraîné un départ très rapide pour les marches au mois de janvier, ce sont les donnés encourageants relatives au prix.
L'inflation commençait à reculer les investisseurs ont vraiment prie le mors aux dents ont commencé à se demander dans quel délai la fête pourrait arrêter de hausser les taux. Voire même les réduire pendant la deuxième moitié de l'année.
Ce qui a bénéficié au titre plus spéculatif. Celle que nous avons vu mois de janvier. Ce qui a changé, c'est qu'il y a eu des chiffres plus élevés que prévu.
Pour l'emploi.
Aussi bien aux États-Unis au Canada. Le nombre d'occupations d'emploi était très élevé aux États-Unis. Et puis recul de l'inflation à marquer une pause.
Surtout aux États-Unis, encore.
Les investisseurs ont été obligés de se demander dans quelle mesure le processus de désinflation serait en fait rapide.
Les pronostics de coupure de taux commencent à s'estomper. J'ai toujours pensé qu'ils étaient optimistes.
Les marchés obligataires repensent donc à la rapidité de la désinflation, ce qui se répercute sur les marchés boursiers.
Est-ce qu'il nous reste du chemin à faire?
Selon moi, nous avons anticipé sur une bonne partie des rendements de 2023 pendant les trois ou quatre premières semaines de l'année. Il est donc naturel qu'il y aurait de ralentissement.
Cela n'étonnera personne.
Un autre élément intéressant.
La nature du marché et les secteurs en pointe, en particulier, change. Pendant les premières semaines de l'année, il fallait trouver des titres qui avaient été abîmés pendant le deuxième semestre de l'an dernier.
Les compagnies dont les bénéfices se situent dans l'avenir et qui bénéficie lorsque les taux d'intérêt diminuent, ce sont les compagnies qui étaient en vogue pendant les premières semaines de l'année.
Mais la situation évolue très rapidement.
Le marché va marquer une pause et surtout d'autres secteurs seront en pointe.
Parlons-en! Si nous nous retrouvons dans un environnement qui est conforme pronostic de la Fed, au début, le marché ne croyait pas ce que la Fed affirmait.
À présent, si c'est l'environnement dans lequel nous nous trouvons, quelques hausses de taux supplémentaires, on ne sait pas dans quelle mesure.
La Fed va atteindre un taux où elle va rester et rester longtemps.
Que pensez-vous de votre portefeuille?
- Ce que je pense en ce qui concerne portefeuille, ce qui s'agit de passer moins de temps à identifier les compagnies qui seront les gagnantes en 2025, mais plutôt nous demander quelles seront les compagnies auxquels vous avez confiance au niveau de l'exécution dans une conjoncture difficile.
La croissance est toujours satisfaisante, mais elle ralentit.
Il y a beaucoup de pressions qui s'exercent sur les coûts.
Ceci favorise les équipes dirigeants de qualités qui peuvent le mieux maîtriser leurs coûts.
Et réaliser les prédictions en matière de bénéfices. Il s'agit compagnies qui sont les meilleurs de leur catégorie.
Et qui présente un bêta moindre, une cyclique qualité moindre.
Il s'agit de miser sur les coûts sur tout le monde a négligé pendant les trois ou quatre premières semaines de l'année.
Ce sont des actions sur lesquels on peut compter.
Et qui rempliront les attentes.
Et cela signifie également la patience pendant la pandémie.
Il y a une mesure très énergique prise par les banques centrales. Les mesures de relance des gouvernements.
Les marchés décollent et on peut faire fortune en deux mois!
- Nous somme dans un environnement très différent.
C'est-à-dire une raison à long terme, de la patience.
- Tout à fait.
Vous avez mis le doigt dessus.
Il s'agit d'un univers bien différent de celui de 2020.
En 2020, des mesures de relance budgétaire ont été prises à très grande échelle, le gouvernement voyait des chèques à tout le monde, il y a des mesures de relance monétaire.
Les banques centrales réduisent les taux à zéro. L'environnement aujourd'hui ne pourrait être plus différent.
La liquidité se resserre et devient plus rare. Ce n'est pas un environnement positif pour s'enrichir rapidement.
Parallèlement, en supposant que l'économie se maintiendra, beaucoup d'entreprises qui ont fait leurs preuves, les entreprises fiables, m'ont donné les résultats escomptés à long terme.
Simplement, on ne doit pas s'attendre au feu d'artifice auquel on s'est habitué il y a un ou deux ans.
Ce n'est pas le monde dans lequel nous sommes aujourd'hui.
- Jouvenet d'antan Michael O'Brien gestionnaire de portefeuille Gestion d'actifs TD. À présent l'actualité du monde des affaires et un coup d'œil sur les marchés.
AB grâce annonce des bénéfices rajustés légèrement inférieurs aux pronostics des analystes pour le dernier trimestre. La compagnie prévoit que la production de cuivre et montre de 10 %, et la production d'or de 30 % cette année.
Valeurs mobilières TD signalent que AB a mieux résisté à l'inflation que beaucoup des autres compagnies minières.
La production du pick-up électrique Ford F150 est suspendue pendant une semaine de plus après que les ingénieurs étudiants problème de batterie qui a causé un incendie depuis quelques semaines.
Le fournisseur de batterie de Ford a repris la production après l'enquête.
Ford affirme qu'il fera quelque temps pour assurer leur sécurité.
Il semble que l'inflation n'empêche pas les visiteurs au concert. L'infini chêne a vu son revenu trimestriel bondir de 60 % abus de 4 milliards de dollars.
Les ventes de billets seraient en hausse de 20 % jusqu'ici cette année. À présent, l'indice composite TSX est en baisse de 107; un peu plus d'un demi pour cent.
L'indice S&P 500 des États-Unis est en recul d'un accord pour cent.
L'indice de dépenses de consommation personnelle et plus vite que prévu. S'agit de l'indicateur privilégié par la Fed pour mesurer les pressions sur le coût de la vie, ce qui amène marcher être réticent au risque. Au Canada, les dernières statistiques de l'inflation globale s'établissent à 5,9 %.
Bien entendu, marché du travail et la consommation sont très résiliant.
Qu'est-ce que cela signifie pour les tours dans l'avenir?
Alex Gorewicz gestionnaire de titres à revenu fixe Gestion d'actifs TD commande.
- L'inflation globale 5,9 %, rien inflation élevé des produits alimentaires, mais ce n'est pas un phénomène simple au Canada mais dans le monde entier que les prix de l'alimentation continue d'augmenter assez régulièrement.
Si on exclut cela et que l'on se base, si on étudie l'inflation de base, à l'exclusion de l'énergie et de l'alimentation, l'inflation de base continue de décroître comment la vie depuis plusieurs mois.
Le problème, c'est que le rythme auquel l'inflation reflue et peut-être un peu plus lent que nous ne l'aurions prévu, pas seulement nous met vraisemblablement la banque du Canada.
En plus, nous avons constaté quelques révisions à la hausse pour les chiffres inflation de bâtiments précédentes, ce qui est un peu inquiétant.
Cette période de l'année est connue pour des révisions à la hausse assez important.
Mais quand on considère quels sont les éléments qui sont fort et lesquels sont faibles, c'est le logement et les éléments reliés aux logements qui sont résiliant.
C'est prévisible. Le loyer, les mensualités de prêt hypothécaire, il s'agit de volets qui affichent une hausse sur l'an dernier.
Ils se sont également des volets qui réagissent beaucoup plus lentement aux mesures de resserrement monétaire.
Ce que nous voyons à l'heure actuelle n'est pas étonnant et ne change pas la perspective de la banque du Canada.
L'inflation globale reflue et nous avons également les statistiques sur les ventes détails.
Les consommateurs ont dépensé en décembre, c'est un mode traditionnel qu'on dépense.
Selon statistique Canada, nous avons retenu en janvier.
Le magistrat se porte bien la banque du Canada duquel elle marque une pause, voir les conséquences de l'économie.
Dernièrement, on ne se demande plus quand la banque va réduire les coûts lithos, mais si elle serait capable de relever encore davantage.
- Les données sont mixtes.
Le marché du travail en particulier a été très résiliant et continu de créer des emplois très rapidement. Cela laissait croire que la consommation même si ralentit par rapport aux années précédentes, va demeurer résiliant honte.
Pour nous aider peut-être même à éviter une baisse, voir pour réaliser une légère croissance économique.
Cela ne change rien au fait que la tendance est toujours au reflux de l'inflation au niveau de la consommation, au niveau des volets du logement, qui contribue beaucoup à l'économie canadienne.
Et ce, avant que nous n'ayons ressenti le plein effet des hausses que la banque Canada pratiquée depuis 12 mois.
Quand on songe à ce qui est vraiment nécessaire, c'est le temps.
Il faut que l'effet intégral des mesures de resserrement de la banque Canada se répercute sur l'économie d'ici un ou deux mois, voire un ou deux trimestres. Au niveau actuel des taux d'intérêt, c'est l'une des raisons pour lesquelles la banque du Canada a déclaré qu'elle était à l'aise pour s'arrêter et attendre.
- Parle des États-Unis.
La Fed a fait évoluer les attentes sur les marchés.
Quant aux décisions futures de l'avant-centre le plus puissant au monde.
Maintenant, on parle d'une hausse de 50 points de base.
- La situation est très semblable à celle du Canada.
Il y a un reflux de l'inflation, c'est un processus des inflationnistes auquel Jérôme Powell a fait allusion.
Plusieurs fois citaient le mot désinflation.
Ce processus n'encourt.
Est-ce qu'il se produit plus rapidement que prévu?
Oui, mais nous savons depuis quelque temps déjà que le passage de 8 % inflation globale 4 % serait relativement rapide.
Nous pouvons toujours y parvenir d'ici la fin de ce premier trimestre.
En mars ou en avril.
Mais selon les données qui sont parues, dernièrement, surtout au niveau des indices de confiance des gestionnaires d'achat, des statistiques sur la consommation, qui non seulement ne décroissent pas et pourrait même remonter, bref le parcours de 4 % inflation ou de pour cent que vise la Fed sera sans doute plus long et plus pénible.
Ce que cela signifie pour le marché obligataire, c'est qu'ils doivent croire la Fed sur parole lorsque les claques ne va pas réduire les taux cette année.
Est-ce que le cela signifie que la Fed doit augmenter encore les taux?
- Je pense que les données ne soutiennent pas la thèse selon laquelle économie entreprend un nouveau départ.
C'est le recul qui est plus long.
Les marchés obligataires doivent à présent croire la fête sur parole, comme vous dîtes au début de l'année, le marché ne croyait pas la Fed, malgré ses affirmations. Mais à présent, le rendement des obligations du trésor américain est à 3 %.
La remonter.
- Oui, mais c'est plus ou moins nous étions débuts de l'année.
Les taux ont beaucoup diminué au mois de janvier.
Puis sont remontées avec notamment les statistiques sur l'emploi.
Le changement de cap, afin de qui réduit lithos au deuxième semestre, les données économiques des deux dernières semaines ne favorisent pas cette thèse.
Le marché obligataire a donc dû reprendre à partir de zéro ces hypothèses quant à l'éventuelle réduction des taux qui est maintenant exclue.
Nous sommes revenus au point où nous en étions débuts de l'année.
Semble bien que la fille ne va pas réduire les taux, mais doit-elle relever encore?
On peut couper les cheveux en quatre.
Est-ce que ça sera 5 ha ou cinq ennemis, tout terminal?
La réalité c'est encore une fois, nous avons besoin de temps.
À ce niveau de tout directeur.
Afin que les conséquences des mesures de la banque centrale se répercutent sur le système, pour que nous puissions déterminer l'impact intégral du resserrement de la politique monétaire sur l'économie.
- Est-ce que le fait que le marché obligataire croit la fête parole change les thèses investissement? L'évolution du marché obligataire cette année, le portefeuille obligataire était plutôt défavorable avec les hausses de taux.
Jusqu'ici, mais à présent le roman des obligations est très intéressant.
- Ça dépend de quelles obligations il s'agit.
Si vous songez aux obligations à court terme de deux ans ou un an, ces obligations peuvent toujours remonter.
Et devrait remonter si nous allons tenir compte de l'intégralité de la Fed, c'est-à-dire 5 ha, une pause pour le reste de l'année.
Quand on songe plus loin sur la courbe de rendement, les taux d'intérêt à 10 ans ou 30 ans, la question que l'on doit se poser la suivante: est-ce que nous pensons que la Fed va réduire les taux de nouveaux?
Si la réponse est oui, il faut se demander jusqu'à quel niveau.
Si vous pensez que les taux sur 10 ans à 4 %, c'est audacieux par rapport à ce que la Fed a continuellement affirmé quant à l'équilibre des taux d'intérêt pour l'économie américaine, équilibre qui se situe à deux et demis pour cent, ces 4 % sont pas mal élevés par rapport à ce taux directeur à long terme.
Que la Fed a l'intention de maintenir une fois qu'elle parvient.
- Bref, il existe une marge au fil du temps pour que l'économie continue son ralentissement pour la réduction des taux à long terme.
- Vous avez entendu Alex Gorewicz de Gestion d'actifs TD. À présent, poursuivons la découverte de courtier Web.
L'analyse technique peut vous aider à analyser le placement potentiel. Courtier Web vous propose des outils.
Jason Natyk et formateur en relation directe TD. Jason, bonjour, comment courtier Web peut-il vous aider à identifier les événements techniques?
- Bonjour, Greg.
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Pour identifier un indice.
Choisissant les CP TSX 60.
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Et cet écran est unique, quand nous pouvons choisir 1; de confiance.
Admettons que je suis haussier, cherchant donc des tendances techniques grossières.
La prochaine étape: utiliser l'entonnoir qui permet de commencer à saisir les détails que nous voulons identifier sur l'écran.
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On choisira d'abord qu'il s'agit de l'évolution du cours qui franchit la moyenne mobile.
Puisque j'ai choisi un indicateur aussi, il s'agit de cas où le cours de l'action va remonter au-delà de la moyenne mobile.
À part les indications géographiques et l'indice, il y a 43 occurrences.
De bonnes informations, pas dans la bonne direction pour identifier les opportunités.
- Je suis à l'écran et je regarde triple moyenne mobile, double moyenne mobile.
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Et puis on déroulant, à la page deux, on trouve une série en cinq parties. Je sais que c'est beaucoup à écouter, mais cela en vaut la peine.
Une série en cinq parties sur les fondements de l'analyse technique que nos spectateurs trouveront certainement très intéressante et informative.
- C'est la fin de semaine justement, ce serait peut-être une façon de passer quelques bons moments.
Merci, Jason.
Jason Natyk et formateur en relation directe TD.
Ne manquez pas de visiter le centre d'apprentissage sur courtier Web vous trouverez encore plus de ressources, y compris l'annonce de webinaire sur la manière de préparer votre portefeuille à une récession.
Après un bon début, de l'année, la volatilité est de retour. Face à l'incertitude économique et ses conséquences pour les taux d'intérêt.
Comment les investisseurs doivent-ils approcher les marchés pour l'avenir?
Brad Simpson, stratège gestion de patrimoine TD commande.
- Si on prend un peu de recul, la grande surprise jusqu'ici cette année, les marchés des titres à revenu fixe ont été très positifs.
Les marchés ont commencé à remonter en octobre.
À l'époque, cela avait du bon sens.
Mais quand on commence à se demander à quoi ressemblent les marchés boursiers, surtout en janvier, et les éléments constitutifs, les facteurs qui ont engendré cette évolution, s'il y a un moment de surprise, je pense qu'il faut prendre un peu de recul.
Envisager ce qui fait évoluer le marché, et je crois que lorsque je considère la situation en ces termes, celle-ci apparaît sous un jour nouveau. Vous avez d'ailleurs graphiques qui montrent la situation.
Il y a une chose qui est incroyable jusqu'ici cette année: si vous prenez les actions qui se sont le mieux comporté en 2022, des actions de bonne qualité à bon prix, excellente croissance du bénéfice par action, les données fondamentales sont un facteur très important.
Et puis à l'inverse, les compagnies qui se sont mal comportées ce sont des compagnies très endettées, des bénéfices intermittents ou repousser très loin dans l'avenir.
Ces compagnies ont été en forte baisse de 50 à 70 %, dans certains cas, en 2022. En janvier, c'est compagnies qui avait beaucoup reculé en 2022 se retrouve parmi les plus porteurs avec des hausses de 15 %.
Et cela explique l'aspect que prend ce marché.
On peut se demander comment cela se produit-il?
Il y a une idée qui commence à se répandre.
Les marchés obligataires se situent dans une phase de fin de cycle.
On pense que les taux d'intérêt vont commencer à baisser d'ici six à neuf mois.
Les marchés boursiers ont commencé à s'appuyer sur des illusions.
L'illusion étend que nous n'allions pas avoir un atterrissage brutal ni un atterrissage en douceur.
Mais aucun atterrissage.
La situation continuerait indéfiniment.
D'emblée, je pense qu'il s'agit de prendre un peu de recul pour nous.
Il faut se demander: quel est le facteur qui influence évolution? Il y a beaucoup de spéculations, beaucoup de couverture de position à découvert, et puis, vous et moi en avons parlé, à court terme, les marchés, et c'est tout à fait inédit, évolue en fonction d'algorithmes dans ce scénario il y a où il y a ni atterrissage brutal, ni atterrissage en douceur.
Cela change les paramètres des algorithmes et cela crée un marché qui ressemble à celui-ci.
Le problème, c'est qu'il y a encore la réalité.
Les investisseurs feraient mieux de s'arrêter de se demander: songeons à celle-ci.
Parlons de la réalité.
Parce que la réalité nous informerait peut-être sur ce que la Fed va faire pour la grande question est de savoir quel est le point final de la série de hausses de taux.
L'inflation étend maîtrisée.
En janvier, nous avons publié notre stratégie trimestrielle qui insiste sur l'instant présent.
Voici l'idée: il y a certains facteurs qui affectent les marchés, sur des titres à revenu fixe, marchés boursiers aussi.
Le point de départ consiste à dire: il faut se demander ce qui va arriver à l'inflation. Est-ce qu'il y aura une récession ou pas?
Deuxième question: à quoi les bénéfices vont-ils ressembler?
Et puis troisième question: il faut se demander quels sont les aléas géopolitiques.
Lors ce que vous étudiez les marchés boursiers et leur évolution, toutes ces questions ont semble-t-il trouvé réponse, mais aucune notre réponse.
Dans la gestion prioritaire des risques, c'est le principe fédérateur de notre répartition des capitaux.
Nous considérons que les marchés sont des systèmes ouverts complexes.
Les systèmes ouverts complexes comportent un élément aléatoire.
Le monde ne fonctionne pas de manière linéaire parce que les êtres humains prennent des décisions.
Même les codes informatiques sont fondés sur les thèses et les suppositions des êtres humains.
Cela est fait évoluer les marchés.
Mais la réalité, c'est que depuis quelques années, nous avons assisté à des mesures de politique monétaire incroyable.
Les politiques budgétaires prises en réponse un phénomène qui n'était pas apparu depuis des années. Les données qui ont en ressortiront seront un peu indécises.
La consommation remontait en janvier.
Ce qui nous a pris par surprise.
On pensait qu'il y aurait un ralentissement.
Les explications simples ne sont pas convaincantes en ce moment.
Alors, comment analyser la situation?
On pourrait dire: très bien, il n'y a pas d'atterrissage à la consommation est de retour.
Et c'était un mauvais mois à passer.
Et puis nous pourrons tourner la page.
Mais parfois, les décisions de dépenses ne sont pas rationnelles.
Les gens étaient confinés chez eux, et il y a une demande accumulée.
Nous sommes en plein hiver, l'hiver a été clément, les gens ont eu beaucoup plus de temps pour sortir, beaucoup plus de temps pour profiter de leurs espaces.
En janvier, la météo a été clément, surtout en Amérique du Nord.
Et on voit cette évolution des dépenses de consommation personnelle.
Est-ce que cela signifie que nous sommes pas obligés de nous inquiéter de ralentissement à partir d'ici?
Est-ce que nous ne sommes pas obligés de demander pourquoi les gens ont des niveaux de carte de crédit très élevé, des soldes de carte de crédit très élevé?
Tout cela a de l'impact sur les bilans.
Et je ne veux pas paraître trop pessimiste, car ce n'est pas le cas, mais nous avons situé une stratégie dans l'instant présent parce que nous voulions nous assurer pendant ce trimestre de contrer les thèses extrémistes.
Si les statistiques seraient positives, le volume et la volatilité augmenterait.
Si les statistiques étaient négatives, ce sera le contraire.
Jusqu'ici, c'est ce qui s'est produit.
Pour nous, l'instant présent, c'est l'idée selon laquelle il faut adopter un processus d'investissement basé sur des données fondamentales et sur une méthode de répartition des capitaux qui n'a pas pour horizon temporel la parution des prochaines statistiques.
Si vous pouvez prolonger votre horizon, ou au moins à un trimestre, de préférence à 12 à 18 mois, et envisager l'instant présent, il y a beaucoup de fluctuations, beaucoup de données contradictoires qui ressortent.
Si vous procédez ainsi, sans vous laisser prendre au piège, il s'agit d'un marché avec beaucoup d'alpha qui est finalement très intéressant.
Il y a des valorisations très intéressantes sur toute la gamme, mais il faut surveiller les fluctuations.
- S'agissant du cycle économique, où en sommes-nous?
- La Fed, toute idée des hausses de taux par les banques centrales au Canada comme aux États-Unis, c'est de refroidir l'économie ou maîtriser l'inflation.
Vous avez dit qu'il y a des statistiques imprévues, mais à long terme, où en sommes-nous dans l'économie?
- Nous sommes aussi obsédés par la récession actuelle.
Je dirais qu'il faut se rappeler, s'agissant d'une récession, il n'y a pas une cloche qui retentit.
On ne se laisse pas un matin en pleine récession.
La réalité, c'est qu'un groupe d'économistes dans un bureau a posteriori vont dire: voilà la date à laquelle votre récession a commencé.
Si vous voulez répartir des capitaux sur cette base, je crois qu'il faudrait que vous repensez votre processus.
En vous disant: peut-être pas.
Nous savons que nous sommes dans un stade tardif de l'Éductyl économique.
Ce qui devrait orienter votre réflexion quant à votre répartition actuelle.
Vous avez une bonne idée de l'allure que prendront les 12 à 18 mois à venir.
Vous pouvez vous adapter, vous ajustez au changement.
Mais l'idée que nous pouvons rester perpétuellement dans une économie en stade tardif qui n'entre pas récession, si on réécoute ce que je vous ai dit la dernière fois, j'étais sur ce plateau, l'inflation occupe le devant de la scène.
Lorsque l'inflation n'était pas une préoccupation, les banques centrales pouvaient la maîtriser en priorité.
Mais le fait est qu'elles ont passé 15 à 20 ans à s'inquiéter de la désinflation.
Alors, l'inflation défie des finalement plus aucun de leurs priorités. Laquelle était devenue de gérer une croissance lente.
À présent, l'inflation est au cœur des préoccupations.
Les banques centrales affirment qu'elle constate un cycle économique plus classique, qu'elle va reprendre ses méthodes de gestion plus classique.
L'idée sur les marchés, c'est qu'un grand nombre de mouvements auxquels nous assistons sont attribuables à des gens qui ne se sont pas encore réconciliés aux fins de l'environnement pour changer avec l'inflation.
Et donc, une économie de stade tardif, ça devrait vraiment affecter la façon dont vous répartissez vos capitaux.
Fondamentalement.
Si vous considérez le S&P 500, les facteurs qui ont fait évoluer cet indicateur à ce jour, cette année, c'est généralement les éléments qui sont pertinents dans une économie de stade précoce ce qui n'a pas le marché, les titres plus défensives, ce sont ceux qui surclassent généralement dans une économie de stade tardif.
Si vous pensez que la situation revient à la moyenne, au fur et à mesure qu'on s'éloigne du court terme est et de ses terres nouvelles de fluctuations des marchés dans laquelle nous nous trouvons, il y a un retour à la moyenne et on commence à se retrouver dans les actifs de stade tardif, les actions de stade tardif.
Je crois que c'est un ordre marché qui est très prometteur.
- Vous venez d'entendre Brad Simpson, stratège en CFA gestion de patrimoine TD.
Un coup d'œil sur le marché.
Le dernier jour de bourse de cette semaine raccourcie.
L'indice TSX composite, on assiste à un léger regain du cours du brut de référence américain.
Mais l'indice TSX est toujours en baisse de 120; soit un peu plus d'un demi pour cent.
Albumine grâce a annoncé ses bénéfices récemment, en baisse de trois et demis pour cent.
Eldorado Gold est en hausse de 12 à 11 l'action, presque 7 %.
Avant de vous dire au revoir pour la semaine, Anthony Okolie commente le degré de confiance des propriétaires de PME.
- Jusqu'ici, l'indice des PME a légèrement augmenté en février avec l'apaisement des inquiétudes à l'égard de l'inflation le mois dernier.
L'indice montre que la confiance pour les 12 mois à venir à augmenté d'un demi pour cent à 15,7 en février.
51,7.
Ce qui est au-delà de 50; signifie que la majorité des propriétaires d'entreprises ont confiance face quelques mois à venir.
Les perspectives pour les trois mois à venir ont augmenté de: jusqu'à 48,9.
Ce qui est toujours un niveau pessimiste.
Les deux indices sont au niveau le plus bas enregistré depuis 2009 hors des périodes récession.
Qu'est-ce qui nuit aux petites entreprises?
Les attentes moyennes de salaires ont augmenté de plus de 3 %.
Par rapport à un gain de 3 % seulement en janvier, tandis que les coûts ont légèrement augmenté mais demeure élevée par rapport aux normes historiques.
Parmi les facteurs, c'est celui du détail qui affiche le moindre niveau d'optimiste à 44.
.
Il s'agit du huitième mois de suite en deçà de 50 %.
L'industrie des détails du Canada, bien sûr, éprouver des difficultés à trouver du personnel.
Le nombre de posts vacants atteints des sommets.
En ce qui concerne les prix de reviens, ceci continue d'exercer une pression sur les propriétaires de PME. Les coûts d'emprunt et les prix de revient sont au double de la moyen historique.
Il y a également d'autre pression sur les coûts auxquelles les petites entreprises doivent relever, coût de l'énergie, et les salaires.
Le sondage contient de bonnes nouvelles pour la confiance à l'égard de l'emploi, surtout l'emploi à plein temps et légèrement augmenté en janvier, et les défis liés aux chaînes approvisionnement continues de republier.
La hausse de la confiance quelques mois représentent une bonne nouvelle mais est faible par rapport niveau historique.
Sur avec un invité nous disent pendant la pandémie: mais dépense sans les revenus de quelqu'un d'autre.
Comment ces entreprises envisagent les dépenses de consommation d'ici la fin de l'année?
- Beaucoup de petites entreprises continuent à s'inquiéter de la faiblesse de la demande intérieure.
Ce que la troisième préoccupation et qui affecte plus d'un tiers des répondants.
La plupart des entreprises attendent des ventes plus faibles dans l'année à venir.
Selon service économie TD, celle-ci est conforme à la perspective économique qui prévoit un ralentissement de la consommation, ce qui va nuire à la rentabilité des entreprises.
- Merci, vous venez d'entendre Anthony Okolie.
Reste à l'écoute lundi, Andress Rincon, chef des ventes FNB à valeurs mobilières et répondre aux questions au sujet des fonds négociés en bourse.
Vous pouvez d'ores et déjà vous poser une question@moneytalklivetd.
com!
Merci, au nom de toute l'équipe de parlons argents en direct, merci et à lundi!