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(musique) - Bonjour. Ici Greg Bonnell. Bienvenue à Parlons Argent en direct, une émission de Placements directs TD. Aujourd'hui, une grosse réserve pour la semaine fédérale qui augmente les taux de 75 points de base. Le communiqué de la Fed semble plus conciliant mais son président a paru plus ferme à la conférence de presse. James Marple, économiste principal de la Banque TD, commande. Les marchés ont été perturbés depuis le début de l'année mais il y a certains créneaux porteurs. Si on sait les trouver. On ne partage des découvertes. La volatilité ambiante pourrait vous convaincre d'envisager la sécurité relative des CPG. Nous découvrons la découverte de CourtierWeb. Bryan Rogers nous explique quelles sont les options de CPG. Mais tout d'abord un coup d'œil sur les marchés. C'est aujourd'hui que paraissent les statistiques de l'emploi au Canada comme aux États-Unis. L'emploi se porte mieux que prévu. L'indice ACP TSX est alimenté par la fenêtre monter du cours du brut aujourd'hui. Le dollar américain semble avoir légèrement reculé, ce qui entraîne une remontée des titres minimes. L'indice de la bourse de Toronto est en hausse de plus d'un demi pour cent. Kim Brasco est en hausse de plus de 10 %. Crescent Point Energy, impulsé par la hausse du brut américain, en hausse de plus de 3,5 %. 11 $. C'est positif mais en baisse par rapport au sommet atteint en début de séance. La même chose pourrait s'appliquer à l'indice S&P 500, instantanée des marchés américains. Cette remontée de se mettre fin commence à reculer. L'indice est en hausse d'un peu plus de dixièmes de pour cent. L'indique NASDAQ qui était redescendu en-deçà du seuil de rentabilité est à présent autre tiers de pour cent. Twilio, un titre du secteur de la communication qui annonce des perspectives de ventes en baisse. Le titre dévisse de 35 %. C'est aujourd'hui que paraissent les statistiques de l'emploi au Canada et aux États-Unis. Dans les deux pays, le marché du travail se porte mieux que prévu. Il se passe beaucoup de choses. Anthony Okolie commande. Des chiffres très intéressants malgré tout se confond les banques centrales pour refroidir l'économie. Au Canada, il s'agissait d'un. C'est largement au-delà des prévisions des emplois à plein temps dans le secteur privé dans le secteur où il y a des gains importants. Le secteur manufacturier. Voilà les secteurs il y a de plus de gains. Par région, l'embauche et concentre dans deux provinces : l'Ontario et le Québec. C'est là où les plusieurs protéines créées. Ce qui va attirer l'attention du monde Canada et de la Fed, c'est la croissance salariale, laquelle contient être forte en dépit des mesures prises par les banques centrales pour lever les taux de l'intérêt. En octobre, en hausse de 5,6 %. Pour le salaire horaire contre 5,2 % septembre. Aux États-Unis, en dépit de certains signes de refroidissement, un gain de 261 000 emplois en octobre, largement au-delà des estimations. Mais il s'agissait d'une baisse notable par rapport aux 315 000 emplois du bois précédent. La croissance de l'emploi est largement en avance de la tendance d'offre de main-d'œuvre. Quand on considère les secteurs, la santé, les services professionnels et techniques, le secteur manufacturier sont en pointe. Forte croissance des salaires en octobre. La croissance a augmenté de 0,4 % en octobre. Une pression à la hausse sur les salaires qui compliquent la situation pour la le réserve fédérale. Je me suis entretenu avec James Marple peu après l'annonce de la Fed et je lui demandais quel étais son message. - Le message demeure le même. La Fed pense que d'autres au taux de haussement viennent. Elle sera donc peut-être plus tournée vers l'avenir, plus attentive dans la façon dont les données entrent en jeu plutôt que de maintenir une hausse. On prévoit encore d'autres, à quoi vous attendez-vous? - Je m'attendais os encore plus important. Je pense que c'est un peu plus c… j'imagine qu'elle va encore augmenter à la prochaine rencontre est proche Le Mans à la rencontre suivante. Elle a fait passer les taux d'intérêt à un taux d'intérêt supérieur. Cela signifie que la Fed pense que le territoire étend être restrictif. Bien sûr, le taux reste? Taux d'inflation. Il y a un débat à savoir dans quelle mesure il doit s'élever pour qu'il devienne restrictif. C'est donc une cible plus mobile mais c'est beaucoup plus important de se surveiller les données de l'inflation. L'inflation est toujours élevée. On a également des données sur les marchés de l'emploi qui vient d'être publié et qui montre qu'il est très solide. En quoi cela vient jouer sur le fait que la Fed dépasse cible? - Le fait qu'on n'a pas observé de signes de ralentissement réel sur le marché du travail. Il y a quelques éléments sous-jacents. Malheureusement, le dernier mois, il a augmenté plutôt que diminuer. Le marché de l'emploi reste très serré. La Fed à prévoir des signes de ralentissement. Elle a vu. Dans le Mars dans l'économie le marché de limitation. La croissance du PIB a été pratiquement nulle au cours des trois derniers trimestres. Elle remonte au troisième trimestre. Elle a sûrement ralenti au cours de la dernière année. Mettant que le marché du travail est vigoureux, elle ne peut dire qu'elle a obtenu l'effet qu'elle voulait voir. Cela accroît la probabilité que ça continue jusqu'à quelque chose ne fonctionne plus parce qu'il n'y a pas le moindre indicateur ou précurseur qui pourrait lui faire dire de provoquer sur ce concert grave —, fait une pause. Tant que le marché du travail ne montre pas de signes de ralentissement, surtout avec les salaires. Le rythme est encore plus rapide qu'en 2019, même si les niveaux de l'emploi est revenu au point que ça dure, plus les taux d'intérêt sont élevés, plus les probables que quelque chose ne fonctionne plus et qu'il y a un atterrissage brutal. Mieux Beaucoudray meurt par rapport aux répercussions. Économique. On se demande si cette approche était la meilleure. Que se concentrer en ligne de compte dans l'édition? Je ne pense pas. Je pense que la Fed réagisse à la façon dont les exilés réagissent. Ça arrive compliquer les choses. Cela peut être contre-productif car la Fed doit affirmer son indépendance et ne pas réagir à ce que les policiers lui dit de faire. Je dirais toutefois que la situation budgétaire est importante et plus on augmente les déficits, plus la Fed doit augmenter les taux d'intérêt. Si les politiciens veulent vraiment faciliter la tâche de la Fed, la meilleure chose à faire est de mettre de l'ordre dans les sciences publiques. Il ne sera pas nécessaire de poser tant de hausse de taux. - Quels autres risques a voyé-vous. Il y a déposerait sur les marchés financiers. Il y a beaucoup de risques géopolitiques. Le talent à faire. Il est difficile de savoir quel va être le prochain type de chèques. Plutôt augmente, plus les problèmes qu'il y a un problème sur le marché financier. Si on ne voit pas de ralentissement, le risque ça arrive plus rapidement. Parlons du dollar américain qui continue de surpasser un palier de devise. Il est certain qu'après ça, de lancer des principes. Comment va-t-il se comporte à court terme? - Je ne crois pas qu'il va baisser par rapport au dollar canadien. La capacité la banque du Canada n'est plus limitée que celle des États-Unis. L'endettement des ménages les plus élevés. Service de la dette a augmenté. La banque du Canada en est conscient. Il va donc falloir y avoir un léger écart entre les taux directeurs, ça va continuer d'alimenter les pressions à la hausse. La même sauce s'y applique à l'euro. L'inflation de base n'est pas aussi forte mais son économie continue de souffrir des effets directs de la guerre en Ukraine. La rétrospective adore être limitée. Tout cela semble indiquer que le dollar américain demeure solide. Et s'il y a un élément quelconque qui conduit des risques, la ruée est avantageuse pour les billets verts. Le dollar est toujours solide. Vous venez d'entendre James Marple, économiste principal de TD. Il sera notre invité lundi pour parler des questions reliées à l'économie. L'actualité des affaires et un coup d'œil sur les marchés. Les actions de Yamana Gold sont en vedette deux autres que compagnies mineures, Pan American Silver et Agnico Eagle, auront fait conjointement une offre de 4,8 milliards de dollars pour acheter Yamana. Golf il avait déjà proche proposé de racheter Yamana et affirmer aujourd'hui qu'elle continuerait de mener ce projet. La sœur de larmes Yamana? De 15 %. Le géant de la rénovation l'ose vend son activité canadienne à une firme privée, c'est que mon père, dans le cadre de sa stratégie de simplification. Cette vente comporte les magasins exploités sous la bannière Rhône-Alpes. L'ose acheter honneur 2016 pour 2,3 milliards. Elle déclare qu'il a par rapport à la même période de l'année précédente. À présent, un coup d'œil sur les bourses. Lundi, CCP TSX composite maintient ses gains notamment dans le secteur minier. Le cours du but de référence américain remonte de façon n'est aujourd'hui. Aux États-Unis, la remontée engendrée par le rapport sur les statistiques de l'emploi ce matin, beaucoup plus élevé que de d'habitude, commence à s'estomper. L'indice ACP est tout juste en territoire positif. En hausse de moins de 10 %. L'indice S&P 500 est en baisse de plus de 20 % à ce jour. Les marchés sont aux prises avec l'inflation et les mesures prises par les banques centrales pour lutter contre celle-ci. Je me suis entretenu avec Ben Gossack, le S&P 500 est censé représenté les 50 grosses compagnies aux États-Unis. Mais la pondération occupe une parent plus important. La plupart des gens affirmeront que le marché a atteint un sommet le 4 janvier de cette année. À cet avis, c'est à ce moment-là que Microsoft Apple ont atteint un sommet, beaucoup de titres de secteur étaient déjà en baisse dès 2021 c'est pourquoi nous en sommes ici aujourd'hui, cette année, il y a eu une baisse de 20 à 30 %. Ce matin pour cent aujourd'hui. Nous verrons nous mènerons les prochains événements risques. Ce ne pas dire qu'il n'y a pas des occasions sur le marché. L'un des secteurs qui se portent le mieux, c'est l'énergie. C'est le seul secteur qui soit en 11/12 mois. Tous les autres sont en baisse. Mais quand on le compare à l'indice S&P 500, c'est le but de ce graphique, on compare le secteur de l'énergie contre l'ensemble du S&P 500. J'ai pris le secteur du lit superposé aux CP 500. L'échelle n'est pas très important, célèbre l'orientation. C'est la première ou la deuxième, cherchera changement de tendance. Pendant très longtemps, l'énergie ce aller moins bien que le S&P 500. Elle représente 2 % de l'indice. En 2021 2022, l'énergie à remonter, elle représente 5 % de l'indice. Est-ce que ces titres peuvent continuer de bien ce comportait? Ils ne font que commencer, oui. Le pétrole a reculé depuis le sommet de 120 $ mais l'offre demeure limiter. Le papa fait la preuve de sa capacité d'être discipliné. On ne sait toujours pas s'il y aura une récession. Les entreprises donnent des voilà pourquoi le secteur se porte bien. Voilà pour le secteur de l'énergie. Il y en a quelques-uns. Parlons du secteur financier. Le secteur financier est intéressant. Si je vous dis que l'économie ralentit, il y a beaucoup de tête, les taux d'intérêt augmentent, vous diriez d'accord, je suis un peu préoccupé par les provisions sur pertes pour créances parce que sont soustraites directement des bénéfices. Il y a une faiblesse, surtout dans les banques américaines en début d'année, ce qui a plombé le rendement du secteur financier. Mais il y a toutefois un secteur intéressant dans les finances. Quand on parle de titres financiers, la plupart des gens pensent au port. On oublie compagnies d'assurances. La bourse est en baisse de 20 % et compagnies d'assurances touchent de nouveaux sommets. Elles n'ont pas été affectées par la guerre russe ou ukrainienne. Elles ont bénéficié de la hausse des taux d'intérêt. Elles n'ont pas dû se préoccuper de craindre relative à des prévisions. Certes, il y a eu des catastrophes naturelles comme le récent ouragan en Floride. C'est traité comme un événement portuaire, les compagnies d'assurances, leur portefeuille d'assez courte durée. Elles peuvent donc imposer leur tarif d'un univers de 4 % est beaucoup plus intéressant. Que 0 %. Les compagnies d'assurances obtiennent de bons résultats. Au Canada aux États-Unis. Les banques américaines qui viennent d'annoncer leurs bénéfices, il y a des préoccupations, mais ce n'est pas encore une préoccupation très vive, ce sera en 2023. Entre-temps, les banques peuvent prêter à des taux très intéressants et proposer des taux très bas sur les dépôts. Ensuite, le prochain secteur et celui de la technologie. Encore une fois, la contre, selon moi, ce graphique devrait être bien pire. La raison pour laquelle le graphique n'est pas aussi catastrophique du problème, c'est qu'il faut décomposer en secteur. Il n'y a pas une pondération égale. Apple représente un élément clé. Apple est une source de solidité et les demeurés. Par rapport marché. Entre-temps, Microsoft a reculé après avoir prononcé ses bénéfices. On connaît bien la déception engendrée par le secteur des semi-conducteurs. Il faut comprendre les tendances, les sites. La technologie en tant que secteur devrait afficher des résultats plus décevants que cynique. Ensuite, les communications. On parle des méga compagnies de technologies qui ont déçu la semaine dernière. L'organisation qui répartit les entreprises en secteur a décidé que celui des télécommunications était devenu trop petit et des années, on avait affecté des entreprises comme Google, Facebook qui s'appelle maintenant Meta au communications. C'est une situation situation que lorsqu'on considère rendement du secteur, on se dit, ça ne peut pas empirer et se remplir. Tina n'est pas dans l'indice S&P 500, mais les mêmes défis que sida doit relever ont également surgi pour Meta. Il y a eu des défis pour Netflix également. C'est un secteur qui est toujours aux prises avec des facteurs négatifs. La situation est encore pire parce que Google qui s'était maintenu est à présent pris avec bon nombre de problèmes comme état. Et la santé. S'agit de la santé aux États-Unis puisque les titres sont différents de chez nous. Pas des investisseurs au Canada se tournent vers la santé aux États-Unis. Pour compléter leur portefeuille. Ce qui est intéressant dans santé, ses comptes constatent typiquement ce secteur comme étant défensif. Ça ne s'est pas été facile. Si vous considérez le secteur de la santé, par rapport au S&P 500, vous direz : si merveilleux. Il s'agit d'un secteur qui surclasse. Mais il y a une distinction. Le secteur pharmaceutique se comporte bien pourquoi? Parce que la plus grande partie de leur cause se situe dans la recherche-développement. C'est la première pilule qui coûte le plus cher. Après ça, les mores sont très bonnes. Et les bénéfices futurs sont prévisibles. Ainsi votre médicament, son brevet, arrive à échéance dans cinq à 10 ans, ce n'est pas un problème. Les flux de trésorerie sont réguliers. Une compagnie comme Merck touchent de nouveaux sommets. Toutefois, le secteur de la technologie médicale, secteur très intéressant, il y a des tendances lourdes, il y a des avantages concurrentiels. Ça pourrait être l'orthopédie, le diabète. C'est un secteur qui a eu beaucoup de difficultés au niveau des marges. Les compagnies qui ont des problèmes au niveau des marches et des prix de revient ont déçu. Des compagnies très connues comme Abbott, Stryker, ont donné des résultats décevants. Ça ne se voit pas avec la moyenne du secteur. Enfin non des moindres, les services publics. Les services publics et les fiducies de revenu immobilière obéissent aux mêmes tendances. Au début de l'année, tout le monde voyait bien que le marché dégringolait, la croissance anticipée, les banques centrales se sont rendues qu'elle devait agir. Les investisseurs cherchaient des titres défensives, c'est-à-dire des services publics DDR frère et. C'était donc le refuge. À présent, le secteur a déçu. Les taux d'intérêt commencent à donner un plus gros problème. Lorsqu'on était à 2 %, 3 %, ça allait encore, mais avec la relance de l'inflation, l'assiette et les autres banques centrales doivent resserrer la politique monétaire. J'aimerais mieux être propriétaire de bons du trésor américain de 4 % que de m'inquiéter d'une compagnie de distribution, mais quitté de ses intrants, inquiéter de l'effet des ouragans, à l'idée qu'un gouvernement pourrait dire : les factures de service public sont trop élevées, au plafonnier moral non. Ça commence affecter les services publics et pourquoi déçoit. Je m'entretenais avec Ben Gossack,… la hausse du direct et désintérêt un grand homme sur le marché aujourd'hui. Cela a engendré des préoccupations quant à une récession possible. Comment les titres financiers vont-ils se maintenir en cas de baisse économique. Je suis entretenu avec B Biggar qui m'a dit il y a trois termes recherchés. Au niveau des prêts, et on a connu un accalmie pendant la pandémie. Il y avait beaucoup de chômage, d'incertitude. Il y a eu très peu d'entrain à cette période. Un an plus tard, les gens reviennent demander des prêts. L'immobilier a connu une bonne période. Il y avait une demande accumulée de vacances. Selon les deux données hebdomadaires de la Fed sur les prêts, l'activité est en hausse de 10 % sur les 12 mois. Le consommateur se sent bien malgré des sondages sur la confiance des consommateurs. Il y a beaucoup d'activités. À l'exception de raciste sans repli sur le marché de l'habitation. Le marché a diminué en raison de la hausse des taux. C'est l'effet escompté par la Fed. Qui tente d'éviter un emballement de l'économie. Mais sur le plan des prêts, la hausse des marges est attribuable à la hausse du taux directeur de la Fed. On assiste à un redressement généralisé de la courbe des taux qui doit augmenter. Tout à l'avantage des banques. Comme en témoignent les hausses des ondes. C'est intéressant. Non seulement le portefeuille de frais à résister mais les aussi en hausse grâce aux décisions de la Fed. Parlons un peu de la Fed. Des hausses de taux comme ça qu'on a connu ici au Canada suscite bien sûr des craintes de récession. Que faut-il retenir pour le service secteur des services financiers? - Grand risque alors actuel, ce qui explique pourquoi les actions de certaines grandes banques se négocient à des prix plus bas, c'est que la Fed sera contraint d'aller trop loin pour freiner l'inflation. Quand on augmente le coût d'emprunt, on augmente aussi le risque de défaut de paiement en essayant de ralentir l'économie. On fait tanguer le marché de l'emploi alors qu'il se porte bien. Il y a moins d'offres d'emploi, plus de mise à pied. Le secteur bancaire, je dirais qu'il n'y a pas de corrélation. Si vous perdez votre emploi vous avez du mal entrepreneur, vous allez accumuler des factures en retard et les impayés. Les banques regardent quand remonte-vous impayés. Au bout de trois mois, ils établissent qu'il y a un défaut de paiement, et finissent par raser de près. On a bien vu dans les résultats du troisième trimestre que les banques sont un peu plus prudentes. Il n'y a pas encore eu de hausse du taux de radiation mais envisage l'avenir avec plus prudentes. On augmente la provision pour pertes sur prêts en prévision d'une faiblesse l'an prochain. S'il a condamné aujourd'hui. On craint toujours que la Fed est trop loin trop vite. Ici le milieu de l'année prochaine, et risque même de devoir réduire les taux s'il va trop loin. On suit donc de près le marché de l'emploi pour voir dans quelle mesure la situation se détériore ou non. Il y a deux mois, il y avait deux fois plus d'offres d'emploi que de chômeurs. Ce qui laisse énormément de marge de manœuvre pour une diminution du chômage. Il y a toujours une décalage entre les compétences. Mais à mon avis, le principal risque à ce stade c'est que l'économie amorce un léger repli. Les coûts du crédit vont augmenter et c'est un facteur de changement important pour les banques. Quand les choses vont mal. Elles ont eu augmenté considérablement les provisions pour pertes, ce qui va entamer les bénéfices assez rapidement. - Passons au troisième facteur. Parmi les grands noms de Wall Street, on observe un ralentissement. Les études négociations apportent aussi bien que pour respirer. Qu'est-ce que vous prévoyez. ? De c'est une année désastreuse. Surtout pour la prise ferme d'action mais aussi pour la prise ferme de titre. Pour les lésions. Ceci explique par l'affaire de volatilité sur les marchés. Que sur les marchés boursiers, les produits de base, la validité a été si forte que les volumes de ont tenu bon. C'est typique. C'est une convention de deux facteurs. Cette année a été épouvantable parce que 2021 a été exceptionnels pour les marchés des capitaux. On a battu les records des 20 dernières années pour ce qui est de la prise ferme d'adoption. Il y a beaucoup de premier appel public à l'épargne avec les taux ferme sur le marché secondaire il y a une bonne démission des titres à revenu fixe. Quand il y a des replis sur le marché boursier, lesquels appel publics se passent mal, les sociétés hésitent davantage à entrer en bourse. Il n'y a tout simplement pas ses liquidités. On sait que la Fed a inondé le marché une partie de cet argent disponible a été dirigée vers les premiers appels publics à l'épargne. La tendance est à la baisse depuis le début de l'année. On est dans un marché baissier avec un repli de 20 %. Il n'y aura donc pas beaucoup d'entreprises privées qui sont prêtes à inscrire leurs actions sur les marchés publics. Il faudra sans doute quelques trimestres avant que la situation s'améliore. Je pense qu'il faudra attendre et d'observer des changements de cap sur le marché boursier et pas seulement d'une semaine comme ces derniers temps. Ni même d'un mois. Il faut qu'on observe une tendance à la hausse soutenue. Il y a eu quelques prix ferme date si on réussit récemment. La filiale d'Intel a bien réussi. Certain qu'il y a des signes encourageants. Mais je crois qu'il faut continuer le travail de fond et qu'il faut des améliorations. Lorsque les coûts de financement augmentent, un certain nombre d'opérations effet de leviers qui sont relevés au second plan dans l'attente de meilleurs taux de financement. Épisodes et acquisitions ne sont pas en chute libre mais il y a eu un ralentissement. Malgré une certaine vigueur en Europe et dans les secteurs spécialisés, secteur de la santé se porte bien. Les secteurs liés à la pression énergétique cité Marcoussis. Mais dans l'ensemble, les grandes cités technologiques et de bain consommation n'a pas été très actif. Je crois que ça va prendre au moins deux trimestres pour voir les signes indicateurs de repos. Vous venez d'entendre Bégin, directeur chez Argus Research. Avant de nous quitter, un coup d'œil sur le marché. L'annonce des statistiques d'emploi au Canada comme aux États-Unis, des chiffres plus prometteurs que nul marché ne le prévoyait. Alors actuel, l'activité serait ACP composite et positif. Le dollar américain a considérablement affaibli aujourd'hui contre une corbeille de devise,. La force du dollar américain cette année a également effacé marcher. Le cours de leur montant flèche et le cours du brut est également nettement en hausse par Marie-Claude annoncée s'il bénéficie cette semaine. Et récupère la baisse enregistrée à ce moment-là. En hausse de 88 %. Shopify, qui avait nettement remonté après l'annonce de ses bénéfices et qui cède une partie de ses gains aujourd'hui à 44 14 l'action, en baisse de presque 5 %. Aux États-Unis, il y a eu une forte remontée après l'annonce des statistiques sur l'emploi meilleur que prévu. En revanche, Jerome Powell avait déclaré que si le marché du travail de l'économie il faiblissait pas, la lutte contre l'inflation serait encore plus difficile. Or, les bon marché montant flèche. Les marchés sont à présent plongé dans les certitudes quoi que les CCP sont hausses d'un tiers de pour cent. L'indice Nasdaq est légèrement en baisse, un peu plus de dixièmes de pour cent. Il a dû remarquer que certains des titres de technologies qui avaient beaucoup parti de l'annonce de leurs bénéfices ont reconquis du terrain aujourd'hui. Microsoft a 218 35 l'action remonte de près de 2 %. Voilà notre émission aujourd'hui. Restez notre mission James Marple va répondre aux questions lundi. Vous posez nous poser vos questions tout en par courriel@moniteuratd. com. Au revoir et à lundi.