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(musique) - Bonjour, je suis Greg Bonnell. Bienvenue à l'émission d'aujourd'hui. Aujourd'hui, les chiffres de l'emploi aux États-Unis et au Canada. Les deux sont un peu plus élevés que prévus.
Anthony Okolie est ici pour expliquer ce que cela signifie du point de vue de la politique monétaire. En parlant de cela, l'écart croissant entre la politique et la banque du Canada et celle de la Fed.
Aujourd'hui on en discute un peu plus tard. En outre, dans le segment consacré à la formation des courtiers en ligne, nous examinons les actions et dividendes et où les trouver sur la plate-forme en ligne.
Caitlin Cormier yp sera pour en discuter.
À présent, une mise à jour sur les marchés.
Regardons à présent, comme vous le voyez ici, vous avez les résultats de jeudi. Il semble que Wall Street et Bay Street observent ce titre très étroitement.
Silicon Valley Bank était fermé aujourd'hui. Sous la protection du ministère californien, et donc la banque et je le répète est fermée. On a apparemment nommé un syndic. Cela a attiré l'attention de la Bay Street et de Wall Street. C'est une banque beaucoup centrée sur le financement de la technologie et cela a apparemment occasionné une dégringolade en bourse avant qu'on arrête les opérations sur ces titres. Les obligations qu'elle a vendues à rabais en raison des augmentations des taux d'intérêt depuis un an, elle a essayé de se capitaliser depuis quelques instants, se financer dans les marchés, ça n'a pas fonctionné. Un titre à observer de près.
Examinons le marché général à présent.
Nous avons eu les chiffres de l'emploi de part et d'autre de la frontière. Les marchés sont assez ébranlés pour le moment. La TSX a diminué de 30 points, plus d'un demi pour cent. Regardons à présent Shopify. Trois et demis pour cent de chute depuis l'ouverture des marchés.
On semble se réfugier dans l'or. On peut afficher par exemple Kinross. Au sud de la frontière le marché c'est dire si retrouver, on ne sait pas passer des chiffres de l'emploi de la Silicon Valley Bank perdra malgré tout un résultat positif en début de journée qui commence à régresser à l'heure actuelle, mais pas beaucoup. C'est une journée houleuse.
L'attaque à présent, toujours positif, 15 points de plus, un peu plus d'un 10e de pour cent. Les grandes banques de Wall Street ont fait l'objet de pressions à la baisse hier, ce n'est plus le cas aujourd'hui apparemment. J.P. Morgan semble avoir augmenté de trois et demis pour cent.
Nous allons nous centrer sur les chiffres de l'emploi au Canada et aux États-Unis.
Des chiffres un peu meilleurs que prévu, Anthony Okolie s'est penché sur les chefs et se joint à nous pour en parler.
- Commençons par les États-Unis. Le marché de l'emploi nous montre que la pression pourrait ralentir, comme vous le dîtes. Les chiffres sont intéressants. Une création de 311 000 emplois en février. On s'attendait plutôt à 275 000, dont c'est bien meilleur que prévu. Taux de chômage qui a augmenté quant à lui à 3,6 %.
Augmentation de ce qu'on prévoyait. On prévoyait plutôt 3,4 %. Donc le marché du travail est le plus fort depuis mars 2020.
Comme je le disais, de bonnes nouvelles dans le rapport, surtout au sujet de l'inflation. Les salaires horaires moyens ont augmenté de 4,6 % d'une année sur l'autre.
plus que ce qui avait été estimé par Wall Street. la bonne nouvelle, c'est qu'on a moins de pression salariale. Une bonne nouvelle pour la Fed.
- Qu'en est-il du Canada? Je pense que nous avons ajouté des emplois aussi et peut-être qu'on s'attend à un certain ralentissement, n'est-ce pas?
- Oui, on continue de voir une force dans le marché du travail canadien. Le Canada a ajouté 22 000 postes en février après deux mois d'augmentation consécutive en décembre janvier. Tous les emplois sont des posts à temps complets. Les emplois février sont conformes à ce qu'on avait vu en janvier, alors à peu près 20 millions de personnes dans la population active, croissance depuis l'année dernière.
ENVIRON 5 %. Quand on regarde les nouvelles de l'inflation, toujours préférable à ce qu'on avait prévu.
Accélération des salaires de 4,5 %. Ce n'est pas ce que l'on cherche du point de vue de l'inflation. Selon le secteur de l'économie, la majorité des emplois sont dans le domaine de la santé, de l'administration publique, des services publics. On a vu des pertes du côté des entreprises privées et des secteurs locatifs. Ainsi que le bâtiment. Alors un tableau mitigé. Ce sont les grandes questions, n'est-ce pas? Que feront les grandes banques? Les grandes banques veulent ralentir l'économie pour conjurer l'inflation et le disent. Il y a un ralentissement de l'inflation, ralentissement de l'économie. Pour le moment, il y a une pause dans les augmentations, mais que fera la Fed cette semaine?
- Oui, c'est la question qui brûle toutes les lèvres. On craint que la Fed augmente encore plus. si on regarde les attentes du marché, le groupe CME estime une augmentation 42 points de base. Les attentes sont évoluées. On pense que l'inflation ralentit, en espérant que la Fed n'augmente pas autant.
- Merci Anthony. Anthony Okolie de Parlons Argent en direct. Comme on le disait, la banque du Canada a confirmé qu'elle allait continuer de proposer une pose des augmentations de taux d'intérêt. Jerome Powell à témoigner devant le congrès qu'il faudrait peut-être augmenter les taux d'intérêt pour freiner l'inflation. J'ai demandé à Andrew Kelvin.
- Chaque augmentation Canada fait un peu plus de mal qu'aux États-Unis. Ces conformations à quoi on s'attendait. La banque du Canada a déclaré une pause conditionnelle et beaucoup de gens pensent que c'est peut-être un peu trop prématuré.
bien que je suis d'accord que la croissance économique devrait ralentir, on n'en voit pas encore les signes concrets.
Les chiffres de l'emploi de janvier le montre bien. Nous avons un marché du travail très serré. L'économie ne montre pas de signes de ralentissement pour le moment. Pas ce qu'on avait envisagé lorsqu'on avait d'abord proposé cette pause. Des augmentations. La banque du Canada avait bien estimé l'IPC, donc c'est la raison pour laquelle on s'attendait ce qu'il n'y avait pas d'augmentation la dernière fois. À la mort du mois d'avril, et jusqu'en juin, il faudra qu'on ait un ralentissement important de l'activité économique au Canada pour justifier que la banque du Canada maintienne sa position actuelle. La réserve fédérale voit peut-être une certaine vigueur sur le terrain, contrairement à ce qu'observe la banque du Canada. Je dirais que dans un environnement où les États-Unis font preuve d'une certaine résilience, l'économie canadienne devra faire la même chose. Le deuxième facteur, c'est la devise. Si la réserve fédérale appuie vraiment sur l'accélérateur ou les freins, selon ce qu'on pense, si la Fed resserre davantage que ça quoi cette marche, cela exercera de la pression sur le dollar canadien. Même si la banque du Canada tolère les fluctuations du dollar canadien, une dépréciation excessive pour avoir un effet sur l'inflation. Aux États-Unis, il faut s'attendre à 1« de fermeté plus important au Canada. Il y a des limites à la divergence à laquelle on peut s'attendre à ce que les deux banques.
Cela laisse la banque centrale dans une situation très difficile. Vous avez parlé de l'endettement des ménages ici au Canada, cela nous fait craindre les augmentations davantage, mais au même moment, au sud de la frontière, je ne voudrais pas non plus, être gouverneur d'une banque centrale. Les moments sont vraiment durs pour eux.
- Oui, c'est un travail ingrat il va sans dire. Une chose qu'il faut garder à l'esprit, communaux Canada et aux États-Unis, c'est que dans les deux cas, on avait des économies excédentaires.
C'est quelque chose qui peut aider à atténuer l'impact sur les dépenses des ménages, même si au Canada on a une dynamique d'endettement plus pernicieuse.
Dans la déclaration d'aujourd'hui, la banque du Canada indique la politique monétaire continue de peser sur les dépenses des ménages. Toutefois, compte tenu du resserrement du marché de l'emploi, à mon avis il faut un ralentissement supplémentaire. La banque du Canada de considérer tous ces facteurs.
Le PIB est à la traîne, le marcher de l'emploi toujours fort. C'est un marché mitigé. Le gouvernement doit déposer un budget au printemps. Que se passera-t-il à votre avis? Vous avez la politique monétaire qui dit une chose, mais la politique budgétaire parfois aidait les électeurs dans le besoin. C'est toujours un danger dans les deux sens. Il arrive dans d'autres pays que les banques centrales a tendance à assouplir leur politique alors que l'agence fiscal réduit les dépenses. Ce qui va à l'encontre des objectifs de la banque centrale.
Évidemment dans le contexte inflationniste, le risque serait que les mesures de relance gouvernementale rendent le travail plus difficile et occasionne une augmentation des taux. Rien n'indique en un budget vraiment audacieux. Les calculs politiques changent constamment, c'est quelque chose qui pourrait changer selon les sondages, le gouvernement pourrait décider par exemple qu'il veut proposer une nouvelle politique qui plairait aux électeurs. Tout peut changer.
Mais d'après la mise à jour économique qu'on a eu en novembre, le gouvernement ne semble pas planifier une expansion budgétaire très important. Il n'est pas nécessaire d'avoir des élections cette année. C'est un gouvernement minoritaire, toujours un risque il va sans dire, mais étant donné que les prochaines élections sont prévues dans plusieurs années, à mon avis le moment n'est pas forcément bien choisi pour proposer des mesures de relance afin de gagner quelques votes de plus. C'est un risque. C'est quelque chose qu'on gardera l'œil en avril, mais ça ne fait pas parti de notre scénario de base.
- Selon la banque du Canada, j'ai examiné sa déclaration, elle pense que l'inflation sera renouvelée, de nouveaux à environ 3 % un peu plus tard cette année. Ceci est réaliste?
- Je pense, mais il y a beaucoup d'effets de base. L'inflation était extrêmement élevée, l'accélération des prix était très forte durant la première partie de 2022, tandis que les mois d'inflation se cumulent, l'inflation diminue mathématiquement éventuellement. On peut arriver à un taux d'environ 3 %, 3 % unissant trop de difficultés. La difficulté sera de passer de toi ni à nu pour ça. L'inflation sous-jacente évalue à un taux qui correspond davantage à 3,5 %.
Je regarde mesure de base en quelque sorte. Il faut avoir davantage de déflation d'un mois sur l'autre pour avoir un parcours vers les 2 % qui est l'objectif de la banque. 3 % milieu de l'année, ce qui est prévu par la banque à l'heure actuelle, c'est une balise mais ce n'est pas forcément le but. Si on arrive à la fin de 2023 à ...pour cent, ce sera un signe que la banque du Canada revoir sa politique. La fourchette de deux à trois.
- Est-ce qu'elle est satisfaite de quelque chose qui est en haut de la fourchette?
- je pense qu'elle sera à l'aise d'être à l'intérieur de la fourchette, mais il est vrai que malgré tout elle cherche davantage les 2 % que les 3 % dans la fourchette.les attentes dsont élevées. Il y a la crédibilité de la banque centrale.
Dans un environnement où on évolue entre un demi et 2 %, et que pendant un moment net à 2,7 %, la banque ne serait sans doute pas très préoccupée tant qu'elle pense que l'inflation est stable. Dans ce contexte où on a vraiment raté la cible, pendant de longues périodes, je pense qu'il est très difficile d'arriver à 2,9 % et de dire mission accomplie. Il faut vraiment atteindre les 2 % pour rétablir la crédibilité de la banque.
- C'était Andrew Kelvin. Examinons à présent les marchés. Mise à jour de Silicon Valley Bank. Hier on a arrêté les opérations avant l'ouverture des marchés aujourd'hui, en attendant les nouvelles.
Les nouvelles sont au rendez-vous. Les régulateurs ont fermé la banque est nommé un syndic. Pour répartir ces actifs. La FDIC nous dit que tous les dépôts assurés de Silicon Valley Bank auront accès au dépôt au plus tard lundi matin. Le 13 mars. On dit que les 17 succursales seront rouvertes lundi aussi. La FDIC est à présent le syndic juste suite à la fermeture de la banque par le régulateur.
C'est quelque chose qui intéresse évidemment Wall Street et Bay Street. Ça a été difficile. Évidemment, la banque n'a pas réussi à retrouver la santé et subit des pertes suite à la vente de ses obligations. Cela est symptomatique de l'augmentation des taux.
- (...) Pour stimuler la demande des services nuagique, la société déclare qu'elle s'attend à recruter davantage de clients dans le secteur de la santé au cours des prochains trimestres. La société mère de Navy et Banana Republic affiche une perte plus importante que prévu pour ce point GAP Inc. La société a réduit ses prix pendant les fêtes pour écouler ses stocks, ce qui a un impact sur ses marges.
Donc on a une perte à présent d'environ 6 %. C'est le vendredi des emplois de part et d'autre la frontière, mais depuis la publication de ses résultats, nous avons démarché assez houleux. Nous poursuivons notre examen des mesures prises par les banques centrales. Vous avez le TSX, diminution de 125 points, un peu moins d'un tiers de pour cent. Au sud de la frontière, S&P 500 modérément positif, une baisse à présent de 26 points, un peu plus de 1/2 %. Poursuivons notre examen des banques centrales. Le président de la Fed, Jerome Powell, parle d'une augmentation supérieure à ce qu'on prévoyait des taux d'intérêt. Nous avons discuté avec Scott Colbourne de Gestion d'actifs TD.
- Nous sommes dans un environnement dépendant des données et nous voyons un écart par rapport à ce thème. D'abord aux États-Unis, avec la Fed, Jerome Powell qui disait cette semaine que lors de la prochaine réunion il faudrait peut-être augmenter de 50 points de base. Nous avons deux éléments: la dépendance donnée.
Demain, nous avons les salaires, la semaine prochaine l'IPC, alors essentiellement la Fed nous a dit que les donnés sont plus forts que prévu, alors il faudra augmenter les taux d'intérêt, mais la Fed se donne un peu de marge de manœuvre. Si les donnés sont plus forts que prévu, elle prévoit un rythme cadencé à 25 points de base. C'est un environnement vraiment incertain. Si vous regardez partout dans le monde, il y a cette incertitude associée à la situation actuelle avec l'environnement inflationniste. Tous les pays doivent composer avec. À la banque du Canada, on a une pause conditionnelle. Ces conditionnelle ou donnée. Voilà l'incertitude dans laquelle on évolue tous. Il s'agisse des analyses des banques centrales ou des investisseurs, c'est difficile pour nous tous, difficile de s'y retrouver étend donné la volatilité et l'incertitude associée à cet environnement. Au début de cette année, les investisseurs se sentaient un peu plus constructifs, on va dire positif par rapport aux titres à revenu fixe. On a eu une augmentation des taux d'intérêt assez agressive. On s'est dit que les taux des banques centrales allaient peut-être être stagnants pendant une période.qu'en est-il des taux à revenu fixe?
- Globalement, dans l'ensemble, étant donné les rendements, il y a assez de possibilités dans l'ensemble des secteurs pour participer. Du point de vue long terme, nous avons des revenus pour la première fois. Ça n'a pas été disponible dans les titres à revenu fixe depuis un moment. Étant donné que les taux d'intérêt étaient auprès de zéro pendant très longtemps. L'environnement est positif, cela dit l'incertitude associée à l'inflation, l'histoire nous enseigne que le passage rapide de zéro à quatre et demis pour cent et les difficultés qu'on a eues en 2022, de s'attendre à un pivot rapide des banques centrales, je pense que l'histoire nous enseigne que les décideurs prennent généralement leur temps. Ils tendent à agir avec précaution et resserrer plus longtemps que nécessaire au besoin. On a eu un changement rapide des augmentations, alors je pense qu'il est assez clair qu'étant donnée la trajectoire de l'inflation, bien qu'il diminue, à des éléments plus permanents. Il faut être patient du point de vue des décideurs politiques. Passion du point de vue des investisseurs également.
- Vous signalez que si vous avez un coupon, vous allez avoir enfin u n revenu pour un titre à revenu fixe. Il est peut-être logique d'être payé pour attendre. J'ai trouvé que c'était intéressant connaît comme investisseurs.
Vous êtes payés le printemps lorsque vous avez des actions, passion pour avoir des dividendes, lorsque vous avez des titres à revenu fixe vous avez maintenant un coupon à espérer.
- Oui. Ce qui est bien avec les titres à revenu fixe, ce qui repose sur des mathématiques. Je ne veux pas parler des menus détails, mais essentiellement oui, sortez le tableau blanc, nous allons faire quelques mathématiques. En gén��ral, on achète une obligation à deux ans qui donnent un rendement de 5 %, disons Stasi, alors on obtient 5 % pour l'année. On reçoit 5 %. Les taux peuvent augmenter davantage, mais les revenus touchés compensent le déclin associé à la hausse des taux d'intérêt. Ce n'est pas que le prix de l'obligation qui fluctue, qui représente votre rendement, c'est la combinaison des: avec les(...) le taux pourrait augmenter de cinq points de base.
C'est possible. C'est important de penser les répartitions des titres et les revenus fixes font parti des l'analyses des scénarios pour son portefeuille.
- L'an dernier je pense que les gens étaient frustrés parce que les banques centrales ont agi si rapidement que c'était mauvais à la fois pour les obligations et pour les actions. L'idée de ce portefeuille 60-40, on se pose la question, est-ce que ça fonctionne?
- Au moins les titres à revenu fixe d'une certaine stabilité. Nous avons vécu un choc de toute une génération l'année dernière. Des politiques issus d'une pandémie, nous n'avions jamais vécu cela, et la politique monétaire et budgétaire a entraîné une hausse rapide de l'inflation et les décideurs ont dû réagir. Les actions les titres à revenu fixe ont subi un choc générationnel. À présent,on subit l'attention. On a eu une augmentation rapide des taux d'intérêt on compose avec une stabilisation de la politique monétaire. On peut s'attendre à ce que le portefeuille 60-40 reprendre son rôle étend donné que les titres à revenu fixe produisent des revenus. Les titres à revenu fixe joue plusieurs rôles. D'abord, revenu, ensuite les liquidités. On peut rééquilibrer selon ce qu'on cherche, c'est aussi une diversification. Cela permet de trouver un équilibre. Lorsque les actions sont en baisse, les titres à revenu fixe peuvent prendre le contre-pied.
- C'était Scott Colbourne, directeur général des titres à revenu fixe Valeurs mobilières TD. À présent, passons aux segments éducatifs. Au grand nombre d'investisseurs, les dividendes peuvent être un composant important de la stratégie, dont les actions qu'on envisage. D'acheter. Caitlin Cormier est ici pour nous expliquer le processus en se servant de la plate-forme. Toujours très heureux de vous retrouver. Parlons de la BBA, des fonctionnalités de la plate-forme.
- Certains investisseurs peuvent décider de se centrer sur les dividendes. C'est une distribution faite par une société vers ses actionnaires. La distribution provient des bénéfices de l'entreprise et cela peut être versé sur une base régulière ou alors ça peut être versé de manière forfaitaire. Vous devez être titulaires au moment du versement pour recevoir les dividendes, ce qui signifie que vous devez acheter l'action au moins un jour avant le versement de dividendes.
C'est une date importante lorsqu'on part des plates-formes. Ce que je vais faire aujourd'hui, je vais vous montrer où vous pouvez trouver des actions qui versent des dividendes. Je vous présente CourtierWeb et je vais aller dans recherche. Ensuite, dans les outils, je peux choisir les actions selon un filtre que j'appelais.
Aujourd'hui, je vais choisir des filtres préétablis. Il y a des possibilités dividendes, on présente les actions qui versent des dividendes et augmenter dividendes pour les actionnaires à la recherche de ces dividendes. Ici, je vais avoir les dividendes et les actions pour le Canada et les États-Unis. On cherche des actions qui versent des dividendes, alors il y a déjà des critères établis. On a ici 560 possibilités. C'est beaucoup, probablement trop pour qu'on puisse véritablement faire un choix. Je vais aller cliquer sur supplémentaire. Par exemple, je vais choisir des actions canadiennes. Ici, cela a permis de réduire à 77 combinaisons possibles. Ensuite, je peux apporter d'autres changements. Par exemple, je peux cliquer sur d'autres critères. (...) Je peux cliquer la technologie et les services de communication. Ensuite, je clique sur fermer et on est de retour avec 68 possibilités. C'est plus raisonnable. Cela me donne une liste des entreprises qui versent des dividendes qui augmentent les dividendes, alors vous le voyez ici, la croissance des dividendes cinq ans, vous voyez, cela augmente. Ensuite, vous avez le rendement annuel. Ainsi que le prix de l'action. Il s'agit d'une liste qui vous permet de voir rapidement quels sont les actions qui versent des dividendes. Vous pouvez ensuite les garder à l'œil, faire des recherches supplémentaires si vous souhaitez investir dans ses possibilités.
- Un peu plus tôt, vous avez évoqué les jours de versement des dividendes.
Pourquoi c'est important comment trouver davantage d'informations sur cela sur la plate-forme?
- Oui, une date très importante s'il en est, si vous voulez recevoir ces dividendes. Essentiellement, il s'agit du premier jour où l'action est transigée sans dividendes. Je vais vous montrer où vous pouvez trouver ces dates. Nous allons chercher de nouveau dans l'onglet recherche. Sous marché. Nous allons choisir l'événement. Ici, c'est un événement pour le marché. Je vais sur dividendes, dans le calendrier des événements, et ici j'aurais une liste des entreprises qui ont une date inscrite.
Comme vous vous rappelez, je disais: si vous achetez ces actions aujourd'hui, vous n'êtes pas admissibles au versement des dividendes. C'est pourquoi la date est si importante. Si vous avez acheté le jour où les sections verts et dividendes, vous n'aurez pas de dividendes. Vous devez choisir la journée suivante. Ici on choisit le 13. Comme vous voyez, il y a trois actions qui versent des dividendes ce jour-là. Je pourrais proposer un achat et être admissible au moment voulu. Une autre chose rapide à montrer à l'écran, je peux passer du Canada aux États-Unis étant donné qu'il y a beaucoup plus de titres aux États-Unis. On a beaucoup de possibilités, comme vous le voyez. Vous avez la capacité d'appliquer des filtres.
Canada États-Unis, ainsi que changer la date. Éventuellement, la dernière chose que vous verrez, c'est le montant. Quel est le dividende annuel.
- Formidable. Merci beaucoup.
- Avec plaisir.
- Caitlin Cormier, formatrice cPhPePzP Placements directs TD. N'oubliez pas de consulter le centre d'apprentissage de CourtierWeb pour avoir des vidéos éducatives ainsi que des webinaires. Mardi prochain manquait pas le webinaire en direct: les femmes et les placements. Si vous êtes célibataires , pour protéger votre avenir. Ce sera avec Leslie McCormick. Nous avons des nouvelles si vous vous interrogez quand le gouvernement va déposer son budget. Nous avons une date de la ministre Freeland. Le budget sera déposé le 28 mars prochain. La dernière mise à jour des libéraux. On saura alors qu'elle sera les politiques de ce gouvernement. Ce sera une conversation intéressante pour l'état de l'économie, la lutte contre l'inflation. Évidemment veut parler de politique monétaire, mais qu'est-ce que cela signifie pour vous?
Nous serons en couverture ici le 28 mars lors de l'émission Parlons Argent en direct. Nous allons décliner cela pour vos finances personnelles. De retour dans titres de la semaine. La réserve fédérale américaine signale cette semaine qu'elle n'a pas terminé sa lutte contre l'inflation et qu'elle pourrait augmenter les taux encore davantage que prévu. Nous allons discuter avec David Sekera, de Morningstar. Si vous regardez les observations faites par Jerome Powell dans le passé, il a été très centré sur l'inflation. Je pense que le marché rattrape ce qu'il disait depuis quelque temps.
- oui, et si on suit ce qu'il dit pour finir, on se demande où sera le taux final de la Fed et(...) ce que l'on cherche, ces deux augmentations avant qu'il y ait une pause. Un des risques les plus importants à mon avis n'est pas forcément l'inflation. On s'attend toujours à ce que l'inflation se stabilise au cours de l'année à venir aux États-Unis, mais le risque le plus important pour les actions, c'est plutôt en resserrement trop important. Que la récession soit plus profonde que ce que prévoient les marchés.
Erreur de politique. Il semble que la seule chose sur laquelle la Fed se concentre soit effectivement l'inflation.
Évidemment, le chômage aux États-Unis aussi, mais la Fed se concentre beaucoup sur l'inflation. Quel est(...) ce n'est pas le scénario de base. On s'attend à des hausses de fois avant de pose. Évidemment, c'est quelque chose qui est un risque important. Pour le moment c'est en ce que l'économie américaine surchauffe par rapport à ce que prévoit le marché. La Fed
(...) ont particulièrement ralentissement, que ce resserrement de la politique monétaire aura des restes répercussions sur l'économie plus tard cette année. Un peu plus tôt on pensait que le ralentissement se soldera par une stagnation au deuxième et troisième trimestre. Maintenant pense plutôt que ce sera pendant les troisièmes et quatrièmes trimestres. Malgré ce ton restrictif, de Jerome Powell, il a aussi dit que la politique monétaire fonctionnait avec un certain retard. Même les mesures prises récemment auront des répercussions plus tard. Est-ce que c'est là le danger de la politique? On sait que la politique a un décalage. Si on est trop audacieux au maintenant, peut-être que le résultat final sera trop important.
- Oui. Il y a un décalage. Personne ne sait quelle sera l'ampleur de ce décalage.
Par exemple, si vous regardez l'habitation, cela est extrêmement vigoureux aux États-Unis depuis quelques années. Il a beaucoup de retard dans la construction, les mises en chantier pour de nouvelles maisons, donc on voit toujours évoluer dans les systèmes.
Lorsqu'on regarde les indicateurs économiques les permis, cela diminue. On s'attend à ce que les marchés fléchissent au cours de l'année à venir. Quand on regarde les autres indicateurs économiques, ils sont également en baisse.
Ils vont continuer d'être en baisse au cours des mois à venir.
- Lorsqu'on pense au marché boursier, on n'en est qu'au mois de mars, début mars, mais il y a eu beaucoup de turbulences depuis janvier. Est-ce que quelque chose vous a étonné? Je pense au repli de février. De fortes fluctuations ou les marchés se dirige-t-il à l'avenir? Est-ce qu'on s'attend toujours à ce qu'il y ait des perturbations?
- Oui, on s'attend certainement que les moments soient difficiles pour les mois à venir. Au départ, on trouvait que les titres étaient sous-évalués, sur vendu, alors je n'ai pas été surpris par l'augmentation janvier, surtout suite aux pressions l'année dernière. Des gens tâchaient de profiter des (...) en février, on pense que le marché américain était peut-être 10 à 12 % sous-évalués. Je pense que nous constatons une volatilité au cours des mois à venir. Pendant la période de publication des bénéfices. On examinera diverses mesures, selon leur évolution, je pense que les marchés pourraient progresser lorsque les délits sont meilleurs et diminuent lorsque les données seront pires que prévu, mais je pense que pendant le deuxième semestre, les indicateurs économiques devraient commencer à augmenter. Ce sera le signal pour le marché. C'est-à-dire on se tournera davantage de valeur intrinsèque.
S'était fait intéressant, parce qu'on surveille la Fed mais aussi les données sont observées par la Fed. Quels sont les mesures principales? Soulignent évidemment l'inflation, mais qu'est-ce que l'investisseur doit avoir allé? Peut-être pour comprendre ce comparateur?
- On dépend beaucoup des données, Jerome Powell se centre beaucoup sur les données.
(...) je pense qu'on va regarder aller cette information vendredi. Si les chiffres sont inférieurs à ce qu'on espérait, ça ralentira la pression sur la Fed, mais si on a des chiffres supérieurs pour compenser, la Fed demeurera audacieuse.
- Est-ce que c'est ce qui se passe au Canada aussi? On a tellement été agressif du point de vue des augmentations que le marché de l'emploi, c'est étonnant, demain résiliant. Est-ce que la banque a du mal à comprendre pourquoi?
- oui. Si vous regardez les États-Unis, la Fed est celle qui appliquait les plus fortes augmentations de taux d'intérêt.
Probablement depuis les années 80 d'ailleurs.bien sûr, on a eu la pandémie évidemment. On voit toujours comment l'économie se redresse, même après trois ans. On a un certain redressement.
- Il y a une certaine, de certaines perturbations dans le marché. En tant qu'investisseur, ce qu'on voit, on peut espérer un jour où on n'aura pas besoin de suivre de si près la politique monétaire?
Évidemment, cela a beaucoup changé depuis quelque temps pour de bonnes raisons, mais ce qu'on va arriver à un stade on va renouveler notre étude des paramètres fondamentaux?
- Je pense qu'on arrive à un stade où les choses se normalisent long et ce sera probablement davantage vers le milieu de cette année. Quand je pense aux taux d'intérêt depuis quelques années, à quel point les taux d'intérêt ont diminué pendant la pandémie, ils ont touché des creux historiques aux États-Unis, on était à des niveaux des années 10 et 30.
Maintenant on est de retour à des niveaux de 4 % sont plus normaux du point de vue historique. Pensons aussi à ce qui s'est passé dans les marchés boursiers.
L'ampleur à laquelle ils ont chuté au début de la pandémie. Puis on a eu la politique monétaire très stimulant hâtive aux États-Unis aussi pour essayer de régler le plus possible les conséquences de la pandémie. Je pense que la Fed a probablement maintenu une politique monétaire trop expansionniste pendant trop longtemps. Le problème qu'on a maintenant, c'est de corriger ses erreurs passées.
- C'était David Sekera, stratège en chef Morningstar. Avant de se laisser, un œil sur les marchés. C'est le vendredi des emplois de part et d'autre la frontière.
Nous avons des ajouts d'emploi plus important que ce à quoi on s'attendait.
Pour le moment, diminution pour le TSX composite d'un peu plus d'un demi pour cent. La financière Sun Life, diminution de demi pour cent environ. Mais lors connaît un rebond et cela se répercute sur le secteur minier. Barrick Gold, augmentation de plus de 3 %. Au sud de la frontière, Wall Street garde à l'oeil Silicon Valley Bank qui a déposé le bilan.
La FDIC est devenue syndic, donc cela a un impact sur les marchés. Les marchés sont houleux du côté des S&P 500. Vous voyez qu'il était en territoire positif pour le moment, elle diminue d'environ 14 points au moins 37 %. Les emplois sont plus importants que ce à quoi on s'attendait, mais le taux de chômage a aussi augmenté.
Ce sont des résultats assez mitigés et l'investisseur doit tâcher de s'y retrouver. Rapidement, un coup d'œil sur le Nasdaq. Le Nasdaq connaît des moments très perturbés. Une diminution pour le moment de 104 points, presque un point de pourcentage complet de diminution. Des déplacements intéressants, mouvements intéressants. Nous allons examiner les grandes banques de Wall Street qui ont fait l'objet de pressions à la baisse hier. On semble avoir un regain cette année, dont Bank of America qui a augmenté très modérément et qui regagne une partie du terrain perdu hier. Restez des nôtres, lundi nous serons en compagnie de Haining Zha. Nous parlerons de la situation en Chine. Vous pouvez nous écrire, MoneyTalkLive@TD.com, voilà pour l'émission d'aujourd'hui et à la semaine prochaine!
Anthony Okolie est ici pour expliquer ce que cela signifie du point de vue de la politique monétaire. En parlant de cela, l'écart croissant entre la politique et la banque du Canada et celle de la Fed.
Aujourd'hui on en discute un peu plus tard. En outre, dans le segment consacré à la formation des courtiers en ligne, nous examinons les actions et dividendes et où les trouver sur la plate-forme en ligne.
Caitlin Cormier yp sera pour en discuter.
À présent, une mise à jour sur les marchés.
Regardons à présent, comme vous le voyez ici, vous avez les résultats de jeudi. Il semble que Wall Street et Bay Street observent ce titre très étroitement.
Silicon Valley Bank était fermé aujourd'hui. Sous la protection du ministère californien, et donc la banque et je le répète est fermée. On a apparemment nommé un syndic. Cela a attiré l'attention de la Bay Street et de Wall Street. C'est une banque beaucoup centrée sur le financement de la technologie et cela a apparemment occasionné une dégringolade en bourse avant qu'on arrête les opérations sur ces titres. Les obligations qu'elle a vendues à rabais en raison des augmentations des taux d'intérêt depuis un an, elle a essayé de se capitaliser depuis quelques instants, se financer dans les marchés, ça n'a pas fonctionné. Un titre à observer de près.
Examinons le marché général à présent.
Nous avons eu les chiffres de l'emploi de part et d'autre de la frontière. Les marchés sont assez ébranlés pour le moment. La TSX a diminué de 30 points, plus d'un demi pour cent. Regardons à présent Shopify. Trois et demis pour cent de chute depuis l'ouverture des marchés.
On semble se réfugier dans l'or. On peut afficher par exemple Kinross. Au sud de la frontière le marché c'est dire si retrouver, on ne sait pas passer des chiffres de l'emploi de la Silicon Valley Bank perdra malgré tout un résultat positif en début de journée qui commence à régresser à l'heure actuelle, mais pas beaucoup. C'est une journée houleuse.
L'attaque à présent, toujours positif, 15 points de plus, un peu plus d'un 10e de pour cent. Les grandes banques de Wall Street ont fait l'objet de pressions à la baisse hier, ce n'est plus le cas aujourd'hui apparemment. J.P. Morgan semble avoir augmenté de trois et demis pour cent.
Nous allons nous centrer sur les chiffres de l'emploi au Canada et aux États-Unis.
Des chiffres un peu meilleurs que prévu, Anthony Okolie s'est penché sur les chefs et se joint à nous pour en parler.
- Commençons par les États-Unis. Le marché de l'emploi nous montre que la pression pourrait ralentir, comme vous le dîtes. Les chiffres sont intéressants. Une création de 311 000 emplois en février. On s'attendait plutôt à 275 000, dont c'est bien meilleur que prévu. Taux de chômage qui a augmenté quant à lui à 3,6 %.
Augmentation de ce qu'on prévoyait. On prévoyait plutôt 3,4 %. Donc le marché du travail est le plus fort depuis mars 2020.
Comme je le disais, de bonnes nouvelles dans le rapport, surtout au sujet de l'inflation. Les salaires horaires moyens ont augmenté de 4,6 % d'une année sur l'autre.
plus que ce qui avait été estimé par Wall Street. la bonne nouvelle, c'est qu'on a moins de pression salariale. Une bonne nouvelle pour la Fed.
- Qu'en est-il du Canada? Je pense que nous avons ajouté des emplois aussi et peut-être qu'on s'attend à un certain ralentissement, n'est-ce pas?
- Oui, on continue de voir une force dans le marché du travail canadien. Le Canada a ajouté 22 000 postes en février après deux mois d'augmentation consécutive en décembre janvier. Tous les emplois sont des posts à temps complets. Les emplois février sont conformes à ce qu'on avait vu en janvier, alors à peu près 20 millions de personnes dans la population active, croissance depuis l'année dernière.
ENVIRON 5 %. Quand on regarde les nouvelles de l'inflation, toujours préférable à ce qu'on avait prévu.
Accélération des salaires de 4,5 %. Ce n'est pas ce que l'on cherche du point de vue de l'inflation. Selon le secteur de l'économie, la majorité des emplois sont dans le domaine de la santé, de l'administration publique, des services publics. On a vu des pertes du côté des entreprises privées et des secteurs locatifs. Ainsi que le bâtiment. Alors un tableau mitigé. Ce sont les grandes questions, n'est-ce pas? Que feront les grandes banques? Les grandes banques veulent ralentir l'économie pour conjurer l'inflation et le disent. Il y a un ralentissement de l'inflation, ralentissement de l'économie. Pour le moment, il y a une pause dans les augmentations, mais que fera la Fed cette semaine?
- Oui, c'est la question qui brûle toutes les lèvres. On craint que la Fed augmente encore plus. si on regarde les attentes du marché, le groupe CME estime une augmentation 42 points de base. Les attentes sont évoluées. On pense que l'inflation ralentit, en espérant que la Fed n'augmente pas autant.
- Merci Anthony. Anthony Okolie de Parlons Argent en direct. Comme on le disait, la banque du Canada a confirmé qu'elle allait continuer de proposer une pose des augmentations de taux d'intérêt. Jerome Powell à témoigner devant le congrès qu'il faudrait peut-être augmenter les taux d'intérêt pour freiner l'inflation. J'ai demandé à Andrew Kelvin.
- Chaque augmentation Canada fait un peu plus de mal qu'aux États-Unis. Ces conformations à quoi on s'attendait. La banque du Canada a déclaré une pause conditionnelle et beaucoup de gens pensent que c'est peut-être un peu trop prématuré.
bien que je suis d'accord que la croissance économique devrait ralentir, on n'en voit pas encore les signes concrets.
Les chiffres de l'emploi de janvier le montre bien. Nous avons un marché du travail très serré. L'économie ne montre pas de signes de ralentissement pour le moment. Pas ce qu'on avait envisagé lorsqu'on avait d'abord proposé cette pause. Des augmentations. La banque du Canada avait bien estimé l'IPC, donc c'est la raison pour laquelle on s'attendait ce qu'il n'y avait pas d'augmentation la dernière fois. À la mort du mois d'avril, et jusqu'en juin, il faudra qu'on ait un ralentissement important de l'activité économique au Canada pour justifier que la banque du Canada maintienne sa position actuelle. La réserve fédérale voit peut-être une certaine vigueur sur le terrain, contrairement à ce qu'observe la banque du Canada. Je dirais que dans un environnement où les États-Unis font preuve d'une certaine résilience, l'économie canadienne devra faire la même chose. Le deuxième facteur, c'est la devise. Si la réserve fédérale appuie vraiment sur l'accélérateur ou les freins, selon ce qu'on pense, si la Fed resserre davantage que ça quoi cette marche, cela exercera de la pression sur le dollar canadien. Même si la banque du Canada tolère les fluctuations du dollar canadien, une dépréciation excessive pour avoir un effet sur l'inflation. Aux États-Unis, il faut s'attendre à 1« de fermeté plus important au Canada. Il y a des limites à la divergence à laquelle on peut s'attendre à ce que les deux banques.
Cela laisse la banque centrale dans une situation très difficile. Vous avez parlé de l'endettement des ménages ici au Canada, cela nous fait craindre les augmentations davantage, mais au même moment, au sud de la frontière, je ne voudrais pas non plus, être gouverneur d'une banque centrale. Les moments sont vraiment durs pour eux.
- Oui, c'est un travail ingrat il va sans dire. Une chose qu'il faut garder à l'esprit, communaux Canada et aux États-Unis, c'est que dans les deux cas, on avait des économies excédentaires.
C'est quelque chose qui peut aider à atténuer l'impact sur les dépenses des ménages, même si au Canada on a une dynamique d'endettement plus pernicieuse.
Dans la déclaration d'aujourd'hui, la banque du Canada indique la politique monétaire continue de peser sur les dépenses des ménages. Toutefois, compte tenu du resserrement du marché de l'emploi, à mon avis il faut un ralentissement supplémentaire. La banque du Canada de considérer tous ces facteurs.
Le PIB est à la traîne, le marcher de l'emploi toujours fort. C'est un marché mitigé. Le gouvernement doit déposer un budget au printemps. Que se passera-t-il à votre avis? Vous avez la politique monétaire qui dit une chose, mais la politique budgétaire parfois aidait les électeurs dans le besoin. C'est toujours un danger dans les deux sens. Il arrive dans d'autres pays que les banques centrales a tendance à assouplir leur politique alors que l'agence fiscal réduit les dépenses. Ce qui va à l'encontre des objectifs de la banque centrale.
Évidemment dans le contexte inflationniste, le risque serait que les mesures de relance gouvernementale rendent le travail plus difficile et occasionne une augmentation des taux. Rien n'indique en un budget vraiment audacieux. Les calculs politiques changent constamment, c'est quelque chose qui pourrait changer selon les sondages, le gouvernement pourrait décider par exemple qu'il veut proposer une nouvelle politique qui plairait aux électeurs. Tout peut changer.
Mais d'après la mise à jour économique qu'on a eu en novembre, le gouvernement ne semble pas planifier une expansion budgétaire très important. Il n'est pas nécessaire d'avoir des élections cette année. C'est un gouvernement minoritaire, toujours un risque il va sans dire, mais étant donné que les prochaines élections sont prévues dans plusieurs années, à mon avis le moment n'est pas forcément bien choisi pour proposer des mesures de relance afin de gagner quelques votes de plus. C'est un risque. C'est quelque chose qu'on gardera l'œil en avril, mais ça ne fait pas parti de notre scénario de base.
- Selon la banque du Canada, j'ai examiné sa déclaration, elle pense que l'inflation sera renouvelée, de nouveaux à environ 3 % un peu plus tard cette année. Ceci est réaliste?
- Je pense, mais il y a beaucoup d'effets de base. L'inflation était extrêmement élevée, l'accélération des prix était très forte durant la première partie de 2022, tandis que les mois d'inflation se cumulent, l'inflation diminue mathématiquement éventuellement. On peut arriver à un taux d'environ 3 %, 3 % unissant trop de difficultés. La difficulté sera de passer de toi ni à nu pour ça. L'inflation sous-jacente évalue à un taux qui correspond davantage à 3,5 %.
Je regarde mesure de base en quelque sorte. Il faut avoir davantage de déflation d'un mois sur l'autre pour avoir un parcours vers les 2 % qui est l'objectif de la banque. 3 % milieu de l'année, ce qui est prévu par la banque à l'heure actuelle, c'est une balise mais ce n'est pas forcément le but. Si on arrive à la fin de 2023 à ...pour cent, ce sera un signe que la banque du Canada revoir sa politique. La fourchette de deux à trois.
- Est-ce qu'elle est satisfaite de quelque chose qui est en haut de la fourchette?
- je pense qu'elle sera à l'aise d'être à l'intérieur de la fourchette, mais il est vrai que malgré tout elle cherche davantage les 2 % que les 3 % dans la fourchette.les attentes dsont élevées. Il y a la crédibilité de la banque centrale.
Dans un environnement où on évolue entre un demi et 2 %, et que pendant un moment net à 2,7 %, la banque ne serait sans doute pas très préoccupée tant qu'elle pense que l'inflation est stable. Dans ce contexte où on a vraiment raté la cible, pendant de longues périodes, je pense qu'il est très difficile d'arriver à 2,9 % et de dire mission accomplie. Il faut vraiment atteindre les 2 % pour rétablir la crédibilité de la banque.
- C'était Andrew Kelvin. Examinons à présent les marchés. Mise à jour de Silicon Valley Bank. Hier on a arrêté les opérations avant l'ouverture des marchés aujourd'hui, en attendant les nouvelles.
Les nouvelles sont au rendez-vous. Les régulateurs ont fermé la banque est nommé un syndic. Pour répartir ces actifs. La FDIC nous dit que tous les dépôts assurés de Silicon Valley Bank auront accès au dépôt au plus tard lundi matin. Le 13 mars. On dit que les 17 succursales seront rouvertes lundi aussi. La FDIC est à présent le syndic juste suite à la fermeture de la banque par le régulateur.
C'est quelque chose qui intéresse évidemment Wall Street et Bay Street. Ça a été difficile. Évidemment, la banque n'a pas réussi à retrouver la santé et subit des pertes suite à la vente de ses obligations. Cela est symptomatique de l'augmentation des taux.
- (...) Pour stimuler la demande des services nuagique, la société déclare qu'elle s'attend à recruter davantage de clients dans le secteur de la santé au cours des prochains trimestres. La société mère de Navy et Banana Republic affiche une perte plus importante que prévu pour ce point GAP Inc. La société a réduit ses prix pendant les fêtes pour écouler ses stocks, ce qui a un impact sur ses marges.
Donc on a une perte à présent d'environ 6 %. C'est le vendredi des emplois de part et d'autre la frontière, mais depuis la publication de ses résultats, nous avons démarché assez houleux. Nous poursuivons notre examen des mesures prises par les banques centrales. Vous avez le TSX, diminution de 125 points, un peu moins d'un tiers de pour cent. Au sud de la frontière, S&P 500 modérément positif, une baisse à présent de 26 points, un peu plus de 1/2 %. Poursuivons notre examen des banques centrales. Le président de la Fed, Jerome Powell, parle d'une augmentation supérieure à ce qu'on prévoyait des taux d'intérêt. Nous avons discuté avec Scott Colbourne de Gestion d'actifs TD.
- Nous sommes dans un environnement dépendant des données et nous voyons un écart par rapport à ce thème. D'abord aux États-Unis, avec la Fed, Jerome Powell qui disait cette semaine que lors de la prochaine réunion il faudrait peut-être augmenter de 50 points de base. Nous avons deux éléments: la dépendance donnée.
Demain, nous avons les salaires, la semaine prochaine l'IPC, alors essentiellement la Fed nous a dit que les donnés sont plus forts que prévu, alors il faudra augmenter les taux d'intérêt, mais la Fed se donne un peu de marge de manœuvre. Si les donnés sont plus forts que prévu, elle prévoit un rythme cadencé à 25 points de base. C'est un environnement vraiment incertain. Si vous regardez partout dans le monde, il y a cette incertitude associée à la situation actuelle avec l'environnement inflationniste. Tous les pays doivent composer avec. À la banque du Canada, on a une pause conditionnelle. Ces conditionnelle ou donnée. Voilà l'incertitude dans laquelle on évolue tous. Il s'agisse des analyses des banques centrales ou des investisseurs, c'est difficile pour nous tous, difficile de s'y retrouver étend donné la volatilité et l'incertitude associée à cet environnement. Au début de cette année, les investisseurs se sentaient un peu plus constructifs, on va dire positif par rapport aux titres à revenu fixe. On a eu une augmentation des taux d'intérêt assez agressive. On s'est dit que les taux des banques centrales allaient peut-être être stagnants pendant une période.qu'en est-il des taux à revenu fixe?
- Globalement, dans l'ensemble, étant donné les rendements, il y a assez de possibilités dans l'ensemble des secteurs pour participer. Du point de vue long terme, nous avons des revenus pour la première fois. Ça n'a pas été disponible dans les titres à revenu fixe depuis un moment. Étant donné que les taux d'intérêt étaient auprès de zéro pendant très longtemps. L'environnement est positif, cela dit l'incertitude associée à l'inflation, l'histoire nous enseigne que le passage rapide de zéro à quatre et demis pour cent et les difficultés qu'on a eues en 2022, de s'attendre à un pivot rapide des banques centrales, je pense que l'histoire nous enseigne que les décideurs prennent généralement leur temps. Ils tendent à agir avec précaution et resserrer plus longtemps que nécessaire au besoin. On a eu un changement rapide des augmentations, alors je pense qu'il est assez clair qu'étant donnée la trajectoire de l'inflation, bien qu'il diminue, à des éléments plus permanents. Il faut être patient du point de vue des décideurs politiques. Passion du point de vue des investisseurs également.
- Vous signalez que si vous avez un coupon, vous allez avoir enfin u n revenu pour un titre à revenu fixe. Il est peut-être logique d'être payé pour attendre. J'ai trouvé que c'était intéressant connaît comme investisseurs.
Vous êtes payés le printemps lorsque vous avez des actions, passion pour avoir des dividendes, lorsque vous avez des titres à revenu fixe vous avez maintenant un coupon à espérer.
- Oui. Ce qui est bien avec les titres à revenu fixe, ce qui repose sur des mathématiques. Je ne veux pas parler des menus détails, mais essentiellement oui, sortez le tableau blanc, nous allons faire quelques mathématiques. En gén��ral, on achète une obligation à deux ans qui donnent un rendement de 5 %, disons Stasi, alors on obtient 5 % pour l'année. On reçoit 5 %. Les taux peuvent augmenter davantage, mais les revenus touchés compensent le déclin associé à la hausse des taux d'intérêt. Ce n'est pas que le prix de l'obligation qui fluctue, qui représente votre rendement, c'est la combinaison des: avec les(...) le taux pourrait augmenter de cinq points de base.
C'est possible. C'est important de penser les répartitions des titres et les revenus fixes font parti des l'analyses des scénarios pour son portefeuille.
- L'an dernier je pense que les gens étaient frustrés parce que les banques centrales ont agi si rapidement que c'était mauvais à la fois pour les obligations et pour les actions. L'idée de ce portefeuille 60-40, on se pose la question, est-ce que ça fonctionne?
- Au moins les titres à revenu fixe d'une certaine stabilité. Nous avons vécu un choc de toute une génération l'année dernière. Des politiques issus d'une pandémie, nous n'avions jamais vécu cela, et la politique monétaire et budgétaire a entraîné une hausse rapide de l'inflation et les décideurs ont dû réagir. Les actions les titres à revenu fixe ont subi un choc générationnel. À présent,on subit l'attention. On a eu une augmentation rapide des taux d'intérêt on compose avec une stabilisation de la politique monétaire. On peut s'attendre à ce que le portefeuille 60-40 reprendre son rôle étend donné que les titres à revenu fixe produisent des revenus. Les titres à revenu fixe joue plusieurs rôles. D'abord, revenu, ensuite les liquidités. On peut rééquilibrer selon ce qu'on cherche, c'est aussi une diversification. Cela permet de trouver un équilibre. Lorsque les actions sont en baisse, les titres à revenu fixe peuvent prendre le contre-pied.
- C'était Scott Colbourne, directeur général des titres à revenu fixe Valeurs mobilières TD. À présent, passons aux segments éducatifs. Au grand nombre d'investisseurs, les dividendes peuvent être un composant important de la stratégie, dont les actions qu'on envisage. D'acheter. Caitlin Cormier est ici pour nous expliquer le processus en se servant de la plate-forme. Toujours très heureux de vous retrouver. Parlons de la BBA, des fonctionnalités de la plate-forme.
- Certains investisseurs peuvent décider de se centrer sur les dividendes. C'est une distribution faite par une société vers ses actionnaires. La distribution provient des bénéfices de l'entreprise et cela peut être versé sur une base régulière ou alors ça peut être versé de manière forfaitaire. Vous devez être titulaires au moment du versement pour recevoir les dividendes, ce qui signifie que vous devez acheter l'action au moins un jour avant le versement de dividendes.
C'est une date importante lorsqu'on part des plates-formes. Ce que je vais faire aujourd'hui, je vais vous montrer où vous pouvez trouver des actions qui versent des dividendes. Je vous présente CourtierWeb et je vais aller dans recherche. Ensuite, dans les outils, je peux choisir les actions selon un filtre que j'appelais.
Aujourd'hui, je vais choisir des filtres préétablis. Il y a des possibilités dividendes, on présente les actions qui versent des dividendes et augmenter dividendes pour les actionnaires à la recherche de ces dividendes. Ici, je vais avoir les dividendes et les actions pour le Canada et les États-Unis. On cherche des actions qui versent des dividendes, alors il y a déjà des critères établis. On a ici 560 possibilités. C'est beaucoup, probablement trop pour qu'on puisse véritablement faire un choix. Je vais aller cliquer sur supplémentaire. Par exemple, je vais choisir des actions canadiennes. Ici, cela a permis de réduire à 77 combinaisons possibles. Ensuite, je peux apporter d'autres changements. Par exemple, je peux cliquer sur d'autres critères. (...) Je peux cliquer la technologie et les services de communication. Ensuite, je clique sur fermer et on est de retour avec 68 possibilités. C'est plus raisonnable. Cela me donne une liste des entreprises qui versent des dividendes qui augmentent les dividendes, alors vous le voyez ici, la croissance des dividendes cinq ans, vous voyez, cela augmente. Ensuite, vous avez le rendement annuel. Ainsi que le prix de l'action. Il s'agit d'une liste qui vous permet de voir rapidement quels sont les actions qui versent des dividendes. Vous pouvez ensuite les garder à l'œil, faire des recherches supplémentaires si vous souhaitez investir dans ses possibilités.
- Un peu plus tôt, vous avez évoqué les jours de versement des dividendes.
Pourquoi c'est important comment trouver davantage d'informations sur cela sur la plate-forme?
- Oui, une date très importante s'il en est, si vous voulez recevoir ces dividendes. Essentiellement, il s'agit du premier jour où l'action est transigée sans dividendes. Je vais vous montrer où vous pouvez trouver ces dates. Nous allons chercher de nouveau dans l'onglet recherche. Sous marché. Nous allons choisir l'événement. Ici, c'est un événement pour le marché. Je vais sur dividendes, dans le calendrier des événements, et ici j'aurais une liste des entreprises qui ont une date inscrite.
Comme vous vous rappelez, je disais: si vous achetez ces actions aujourd'hui, vous n'êtes pas admissibles au versement des dividendes. C'est pourquoi la date est si importante. Si vous avez acheté le jour où les sections verts et dividendes, vous n'aurez pas de dividendes. Vous devez choisir la journée suivante. Ici on choisit le 13. Comme vous voyez, il y a trois actions qui versent des dividendes ce jour-là. Je pourrais proposer un achat et être admissible au moment voulu. Une autre chose rapide à montrer à l'écran, je peux passer du Canada aux États-Unis étant donné qu'il y a beaucoup plus de titres aux États-Unis. On a beaucoup de possibilités, comme vous le voyez. Vous avez la capacité d'appliquer des filtres.
Canada États-Unis, ainsi que changer la date. Éventuellement, la dernière chose que vous verrez, c'est le montant. Quel est le dividende annuel.
- Formidable. Merci beaucoup.
- Avec plaisir.
- Caitlin Cormier, formatrice cPhPePzP Placements directs TD. N'oubliez pas de consulter le centre d'apprentissage de CourtierWeb pour avoir des vidéos éducatives ainsi que des webinaires. Mardi prochain manquait pas le webinaire en direct: les femmes et les placements. Si vous êtes célibataires , pour protéger votre avenir. Ce sera avec Leslie McCormick. Nous avons des nouvelles si vous vous interrogez quand le gouvernement va déposer son budget. Nous avons une date de la ministre Freeland. Le budget sera déposé le 28 mars prochain. La dernière mise à jour des libéraux. On saura alors qu'elle sera les politiques de ce gouvernement. Ce sera une conversation intéressante pour l'état de l'économie, la lutte contre l'inflation. Évidemment veut parler de politique monétaire, mais qu'est-ce que cela signifie pour vous?
Nous serons en couverture ici le 28 mars lors de l'émission Parlons Argent en direct. Nous allons décliner cela pour vos finances personnelles. De retour dans titres de la semaine. La réserve fédérale américaine signale cette semaine qu'elle n'a pas terminé sa lutte contre l'inflation et qu'elle pourrait augmenter les taux encore davantage que prévu. Nous allons discuter avec David Sekera, de Morningstar. Si vous regardez les observations faites par Jerome Powell dans le passé, il a été très centré sur l'inflation. Je pense que le marché rattrape ce qu'il disait depuis quelque temps.
- oui, et si on suit ce qu'il dit pour finir, on se demande où sera le taux final de la Fed et(...) ce que l'on cherche, ces deux augmentations avant qu'il y ait une pause. Un des risques les plus importants à mon avis n'est pas forcément l'inflation. On s'attend toujours à ce que l'inflation se stabilise au cours de l'année à venir aux États-Unis, mais le risque le plus important pour les actions, c'est plutôt en resserrement trop important. Que la récession soit plus profonde que ce que prévoient les marchés.
Erreur de politique. Il semble que la seule chose sur laquelle la Fed se concentre soit effectivement l'inflation.
Évidemment, le chômage aux États-Unis aussi, mais la Fed se concentre beaucoup sur l'inflation. Quel est(...) ce n'est pas le scénario de base. On s'attend à des hausses de fois avant de pose. Évidemment, c'est quelque chose qui est un risque important. Pour le moment c'est en ce que l'économie américaine surchauffe par rapport à ce que prévoit le marché. La Fed
(...) ont particulièrement ralentissement, que ce resserrement de la politique monétaire aura des restes répercussions sur l'économie plus tard cette année. Un peu plus tôt on pensait que le ralentissement se soldera par une stagnation au deuxième et troisième trimestre. Maintenant pense plutôt que ce sera pendant les troisièmes et quatrièmes trimestres. Malgré ce ton restrictif, de Jerome Powell, il a aussi dit que la politique monétaire fonctionnait avec un certain retard. Même les mesures prises récemment auront des répercussions plus tard. Est-ce que c'est là le danger de la politique? On sait que la politique a un décalage. Si on est trop audacieux au maintenant, peut-être que le résultat final sera trop important.
- Oui. Il y a un décalage. Personne ne sait quelle sera l'ampleur de ce décalage.
Par exemple, si vous regardez l'habitation, cela est extrêmement vigoureux aux États-Unis depuis quelques années. Il a beaucoup de retard dans la construction, les mises en chantier pour de nouvelles maisons, donc on voit toujours évoluer dans les systèmes.
Lorsqu'on regarde les indicateurs économiques les permis, cela diminue. On s'attend à ce que les marchés fléchissent au cours de l'année à venir. Quand on regarde les autres indicateurs économiques, ils sont également en baisse.
Ils vont continuer d'être en baisse au cours des mois à venir.
- Lorsqu'on pense au marché boursier, on n'en est qu'au mois de mars, début mars, mais il y a eu beaucoup de turbulences depuis janvier. Est-ce que quelque chose vous a étonné? Je pense au repli de février. De fortes fluctuations ou les marchés se dirige-t-il à l'avenir? Est-ce qu'on s'attend toujours à ce qu'il y ait des perturbations?
- Oui, on s'attend certainement que les moments soient difficiles pour les mois à venir. Au départ, on trouvait que les titres étaient sous-évalués, sur vendu, alors je n'ai pas été surpris par l'augmentation janvier, surtout suite aux pressions l'année dernière. Des gens tâchaient de profiter des (...) en février, on pense que le marché américain était peut-être 10 à 12 % sous-évalués. Je pense que nous constatons une volatilité au cours des mois à venir. Pendant la période de publication des bénéfices. On examinera diverses mesures, selon leur évolution, je pense que les marchés pourraient progresser lorsque les délits sont meilleurs et diminuent lorsque les données seront pires que prévu, mais je pense que pendant le deuxième semestre, les indicateurs économiques devraient commencer à augmenter. Ce sera le signal pour le marché. C'est-à-dire on se tournera davantage de valeur intrinsèque.
S'était fait intéressant, parce qu'on surveille la Fed mais aussi les données sont observées par la Fed. Quels sont les mesures principales? Soulignent évidemment l'inflation, mais qu'est-ce que l'investisseur doit avoir allé? Peut-être pour comprendre ce comparateur?
- On dépend beaucoup des données, Jerome Powell se centre beaucoup sur les données.
(...) je pense qu'on va regarder aller cette information vendredi. Si les chiffres sont inférieurs à ce qu'on espérait, ça ralentira la pression sur la Fed, mais si on a des chiffres supérieurs pour compenser, la Fed demeurera audacieuse.
- Est-ce que c'est ce qui se passe au Canada aussi? On a tellement été agressif du point de vue des augmentations que le marché de l'emploi, c'est étonnant, demain résiliant. Est-ce que la banque a du mal à comprendre pourquoi?
- oui. Si vous regardez les États-Unis, la Fed est celle qui appliquait les plus fortes augmentations de taux d'intérêt.
Probablement depuis les années 80 d'ailleurs.bien sûr, on a eu la pandémie évidemment. On voit toujours comment l'économie se redresse, même après trois ans. On a un certain redressement.
- Il y a une certaine, de certaines perturbations dans le marché. En tant qu'investisseur, ce qu'on voit, on peut espérer un jour où on n'aura pas besoin de suivre de si près la politique monétaire?
Évidemment, cela a beaucoup changé depuis quelque temps pour de bonnes raisons, mais ce qu'on va arriver à un stade on va renouveler notre étude des paramètres fondamentaux?
- Je pense qu'on arrive à un stade où les choses se normalisent long et ce sera probablement davantage vers le milieu de cette année. Quand je pense aux taux d'intérêt depuis quelques années, à quel point les taux d'intérêt ont diminué pendant la pandémie, ils ont touché des creux historiques aux États-Unis, on était à des niveaux des années 10 et 30.
Maintenant on est de retour à des niveaux de 4 % sont plus normaux du point de vue historique. Pensons aussi à ce qui s'est passé dans les marchés boursiers.
L'ampleur à laquelle ils ont chuté au début de la pandémie. Puis on a eu la politique monétaire très stimulant hâtive aux États-Unis aussi pour essayer de régler le plus possible les conséquences de la pandémie. Je pense que la Fed a probablement maintenu une politique monétaire trop expansionniste pendant trop longtemps. Le problème qu'on a maintenant, c'est de corriger ses erreurs passées.
- C'était David Sekera, stratège en chef Morningstar. Avant de se laisser, un œil sur les marchés. C'est le vendredi des emplois de part et d'autre la frontière.
Nous avons des ajouts d'emploi plus important que ce à quoi on s'attendait.
Pour le moment, diminution pour le TSX composite d'un peu plus d'un demi pour cent. La financière Sun Life, diminution de demi pour cent environ. Mais lors connaît un rebond et cela se répercute sur le secteur minier. Barrick Gold, augmentation de plus de 3 %. Au sud de la frontière, Wall Street garde à l'oeil Silicon Valley Bank qui a déposé le bilan.
La FDIC est devenue syndic, donc cela a un impact sur les marchés. Les marchés sont houleux du côté des S&P 500. Vous voyez qu'il était en territoire positif pour le moment, elle diminue d'environ 14 points au moins 37 %. Les emplois sont plus importants que ce à quoi on s'attendait, mais le taux de chômage a aussi augmenté.
Ce sont des résultats assez mitigés et l'investisseur doit tâcher de s'y retrouver. Rapidement, un coup d'œil sur le Nasdaq. Le Nasdaq connaît des moments très perturbés. Une diminution pour le moment de 104 points, presque un point de pourcentage complet de diminution. Des déplacements intéressants, mouvements intéressants. Nous allons examiner les grandes banques de Wall Street qui ont fait l'objet de pressions à la baisse hier. On semble avoir un regain cette année, dont Bank of America qui a augmenté très modérément et qui regagne une partie du terrain perdu hier. Restez des nôtres, lundi nous serons en compagnie de Haining Zha. Nous parlerons de la situation en Chine. Vous pouvez nous écrire, MoneyTalkLive@TD.com, voilà pour l'émission d'aujourd'hui et à la semaine prochaine!