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(musique) - Bonjour, ici Greg Bonnell. Bienvenue à Parlons Argent en direct, une émission de Placements directs TD. Nos invités commentent l'actualité des marchés et répondent à vos questions sur les placements.
Aujourd'hui, nous sommes à quelques jours de la plus récente décision de la Fed sur les taux d'intérêt. Mike MacBain de East Coast Fund Management fait le point.
En parlant de tous les terrains d'inflation, des données clés sur l'indice des prix à la consommation seront publiées demain au Canada. Anthony Okolie nous donne un aperçu.
Nous poursuivons la découverte de CourtierWeb. Bryan Rogers nous montre comment créer et suivre des portefeuilles fictifs, effectuer des transactions hypothétiques. Posez-nous vos questions par courriel, MoneyTalkLive@TD.com, ou dans la boîte de questions au bas de votre écran.
Mais d'abord, un coup d'oeil sur les marchés.
Étrange début de semaine. Le cours du brut continue de remonter. Le brut de référence américain grimpe d'encore à 1/3 %, frise les 92 $ le baril, mais le secteur de l'énergie ne participe pas à la montée générale.
Suncor Energy, par exemple, le jour où le brut continu d'augmenter, est inchangé ou en légère baisse à 47,18 $. Suncor recule d'un demi pour cent. Denison Mines, producteur d'uranium, après un début de séance difficile, progresse très légèrement. Il s'agit des titres les plus activement négociés.
Le marché n'est donc pas très actif en ce début de séance. Denison Mines progresse un peu moins de 1 %.
Aux États-Unis, à quelques jours de la prochaine annonce de la Fed sur les taux d'intérêt, le marché progresse prudemment à 4464, environ un tiers de pour cent.
L'indice Nasdaq ne progresse pas autant que l'ensemble du marché, mais tout de même de 22 points, soit un cinquième de pour cent. Une certaine baisse pression à la baisse sur Tesla.
Le titre recule de deux et demis pour cent, mais rien de tellement grave.
Les coûts d'emprunt sont au centre des préoccupations des investisseurs cette semaine alors que la réserve fédérale se réunit pour prendre une nouvelle décision.
Avec la hausse des prix de l'essence qui fait grimper l'inflation globale, à quoi peut-on s'attendre de la part de la Fed dans sa lutte contre l'inflation? Mike MacBain, chef des placements et chef de la direction du East Coast Fund Management.
Ça me fait très plaisir de passer à votre émission. Parlons du grand problème, cela fait un an et demi que les investisseurs sont obnubilés par l'inflation,(...) que pensez-vous que la Fed va faire cette semaine?
- La Fed à mon avis n'agira pas cette semaine. Elle a annoncé très clairement ses objectifs: baisse de l'inflation, hausse du chômage.
Les statistiques qui paraissent montrent que l'inflation recule légèrement et qu'elle peut sans doute se permettre d'attendre. Je ne suis pas convaincu qu'elle ait fini de relever les taux mais pour ce mois je pense qu'il n'y a pas suffisamment de statistiques pour justifier une hausse.
Quand on parle de l'inflation globale, ce n'est pas bien sûr le repère principal pour les banques centrales. Elles s'intéressent à l'inflation de base qui exclut les éléments plus volatiles car le cours de l'essence est volatile, le cours du brut est volatile. Est-ce que c'est ce que nous recherchons compte tenu de l'activité en ce qui concerne les taux d'intérêt, l'idée de faire abstraction de certaines de ces péripéties?
- Oui. L'inflation a reflué considérablement, comme la plupart des gens s'y attendaient, mais on assiste à un nivellement de la courbe.
Les chiffres de l'IPC le mois dernier est un peu plus élevé dans les segments de base sur lesquels les banques centrales se concentrent.
Les banques centrales n'ont pas encore recueilli suffisamment d'informations pour justifier une hausse des taux à cette réunion selon moi.
- Une pause cette semaine, mais vous n'excluez pas une autre hausse des taux d'ici la fin de l'année. Qu'est-ce qui justifierait une telle hausse de taux?
Volatilité, prix de l'essence, certains éléments dont il sera fait abstraction.
Qu'est-ce qui convaincra la Fed que sa mission n'est pas accomplie?
- Les deux grands facteurs pour la Fed: le chômage et l'inflation. Jerome Powell a dit très clairement: il croit fermement que l'économie ne ralentira pas suffisamment à moins que les chiffres de l'emploi ne commencent à évoluer. Comme je l'ai dit, l'inflation a diminué, la baisse a connu un certain nivellement depuis peu, si l'emploi continue de bien se porter, que l'inflation ne diminue pas davantage, à mon avis, c'est le mois prochain que la décision sera prise.
- Est-ce que cela a du bon sens quand on prend du recul et qu'on songe aux mesure très ferme, voire agressive prise par la banque Canada, les banques centrales occidentales, pour relever le coût des emprunts afin de maîtriser l'inflation? Au début, on nous a averti, il y aura beaucoup de dégâts. Or l'économie a été tellement résiliente. Comment concilier ces éléments?
- Oui, l'économie a été très résiliente le marché du travail en particulier.
En ce qui concerne les données sur les postes à pourvoir, il y a eu un pic à 12 millions d'emplois et depuis lors un recul considérable.
Jerome Powell, président de la Fed, en a parlé il y a 10 à 12 mois.
Il s'agissait de créer un certain flottement dans les postes à pourvoir.
C'est le scénario boucle d'or.
Ce sont des postes qui existent, qu'ils soient pourvus ou non, cela ne retire l'emploi personne, c'est le merveilleux.
Mais il y a toujours 150000 ou 200 000 nouveaux emplois créés chaque mois. C'est trop selon Powellpar conséquent, en définitive, à moins qu'il y ait une baisse de l'inflation, ce sera le facteur décisif. L'autre donné de cette inflation, les banques prennent des mesures énergiques pour rehausser les coûts d'emprunt, peut-être cela n'est pas fini mais une fois la série terminée, les banques annoncent qu'elles se tiendront à ce niveau élevé pendant longtemps.
À certaines époques de l'année, le marché obligataire a choisi de ne pas croire les banques centrales au pied de la lettre. Où en sommes-nous? Que pense le marché obligataire sur les perspectives d'action de la Fed?
- Rappelez-vous il y a deux ou trois ans, les banques centrales ont maintenu les taux à un niveau bas pendant ce qui semble être une éternité.
Les banques disaient qu'elle ne pensait même pas à penser à penser à réduire les taux.
Or un an plus tard elles ont commencé à relever les taux avec une rapidité sans précédent.
Il faut prendre ses commentaires avec un grain de sel. Les banques centrales sont obligées de dire cela car c'est ce qu'elle pense aujourd'hui, mais que le savon, le monde change rapidement parfois. Si les banques centrales décident que les taux doivent baisser parce que nous sommes entrés en récession et que les chiffres du chômage m'ont en flèche, les taux vont baisser.
Ce n'est pas ce que je prévois, je crois que nous allons nous trouver dans une période où rien d'important ne va se produire sur le marché des taux, peut-être une légère hausse fil du temps, ce sera ce que nous réserve l'avenir. Je pense qu'il y aura des taux d'intérêts qui vont rester relativement inchangés d'ici 12 mois, mais le simple fait que la banque affirme quelque chose, l'histoire nous apprend que bien des fois cela correspond uniquement son opinion aujourd'hui.
- Oui et l'avenir pourrait changer. Vous avez eu une discussion très intéressante avec un de nos collègues, Andres Rincon, je trouve passionnant de vous entendre parler que dans un portefeuille 60-40 on pense être diversifié, mais le monde entier est concentré exclusivement sur les taux d'intérêt et les mesures des banques centrales, la diversification n'est peut-être pas aussi grande qu'on le croit.
- Eh bien, un portefeuille diversifié 60-40 a toujours existé parce que généralement lorsque les taux d'intérêt augmentent, les actions se portent bien, il y a une bonne diversification et l'inverse est vrai. Ceci sur une longue période. Or les actions sont en difficulté et les taux d'intérêt baissent. C'est davantage tiré de la diversification selon le comportement des taux d'intérêt a été très utile.
Depuis que les banques centrales ont essentiellement prient le contrôle de l'économie, et cela fait assez longtemps, au moins par intermittence depuis 10 ans, les banques centrales commandent le marché boursier. Lorsque les banques centrales diminuent les taux d'intérêt, c'est considéré comme étant positif comme les bourses qui remontent.
Or, lorsque les taux d'intérêt diminuent, les obligations augmentent. On en arrive au point où les taux d'intérêt sont essentiellement à zéro, ils ne peuvent que remonter. Lorsqu'ils remontent, c'est défavorable pour les marchés boursiers.
Donc nous nous sommes retrouvés avec une corrélation très positive entre le marché boursier et obligataire. Si vous avez 60 % d'obligations et 40 % d'actions que les actions baissaient que les obligations mettent, vous n'avez pas de diversification.
Cela procède des ingérences. Le mot est peut-être fort. Les ingérences des banques centrales sur les marchés.
- Excellent début d'émission!
Mike MacBain répond à vos questions sur les titres à revenu fixe dans quelques instants.
Vous pouvez nous les poser en tout temps, par courriel, MoneyTalkLive@TD.com, dans la boîte de questions au bas de votre écran.
À présent, l'actualité du monde des affaires et un coup d'oeil sur les marchés.
Les pourparlers se poursuivent au Canada entre Unifor et Ford avant la date limite de minuit. Dans un communiqué, Unifor déclare que les deux parties restent très éloignées dans les négociations et que le syndicat est prêt à faire face à tous les scénarios y comprit la grève. Aux États-Unis, les travailleurs de l'automobile organisent des actions ciblées contre les trois grands constructeurs automobiles depuis vendredi dernier. À surveiller.
La société Clorox avertit que la cyber attaque qu'elle a subie pour avoir un impact important sur le trimestre en cours.
Le fabricant de Pine Sol et Liquid-Plumr déclare que le piratage l'a contraint à mettre fin à ses services en ligne.
Heather Reisman reprend la direction d'Indigo books and music quelques semaines seulement après la démission abrupte de Peter Ruis. Dans un communiqué, elle déclare que la voie était toute tracée pour redonner de l'élan à la compagnie afin qu'elle renoue avec la croissance et la rentabilité. L'action progresse, bondit même de 18 %.
À présent, un coup d'œil sur les bourses.
Le cours du brute frise 92 $ le baril.
Or le secteur de l'énergie ne participe à la remontée.
L'indice TSX composite recule 280; soit 1/2 %. Indice S&P 500 dans l'attente de la décision de la Fed demain progresse modestement de 10 points, soit un quart de pour cent.
Mike MacBain répond à vos questions sur les titres à revenu fixe.
Que pensez-vous du marché des obligations à haut rendement?
Recèle-t-il les possibilités?
- Le marché des obligations à haut rendement, dans un marché stable, offre des opportunités intéressantes.
On y trouve un rendement dans la fourchette de 7 à 8 %. Le marché se porte donc relativement bien.
Le problème avec le marché des obligations à haut rendement, c'est que dans les périodes de baisse il y a une probabilité raisonnable de défaillance. Le segment des obligations à rendement élevé et le segment le plus risqué du marché des obligations d'entreprise. Les taux de défaillance tournent autour de deux à 3 % sur un marché normal.
Si vous réalisez c'est pour ça que les taux de défaillance de deux à 3 % dans un portefeuille diversifié, les obligations romandes procurent quatre ou 5 %. La véritable difficulté intervient dans un environnement de récession.
Si vous pensez que nous nous y dirigeons, ce qui est sans doute le cas d'ici 12 à 18 mois, les taux de défaillance atteint 10,12 %, ce qui représente un résultat très négatif pour le majorer le marché des obligations à rendement élevé.
Au plan tactique, il faut être présent sur ce marché après un événement qui a engendré les risques plutôt qu'avant.
Personnellement, je n'y investirais pas aujourd'hui.
Mais les rendements sont plus élevés qui l'ont été dans le passé, c'est certain.
- Un investisseur qui fait ses recherches devrait envisager quels facteurs?
Bien sûr, rendement élevé pour une raison parce que le risque est plus élevé. Quels sont les facteurs dont vous tenez compte pour déterminer la solvabilité?
- C'est un secteur très dangereux pour un investisseur autonome.
Il s'agit d'un marché très technique. Il y a des risques reliés à toutes les entreprises dans le secteur des obligations à rendement élevé. La dispersion des notes de crédits par rapport aux défaillances potentielles peut être très élevée en fonction de l'entreprise individuelle.
Dans le secteur obligataire, c'est très semblable à ce que recherche Warren Buffett sur le marché boursier.
Recherche des actions qui offrent une valeur profonde, qui sont restés mais il a fait ses recherches.
Je recommanderais de ne pas se lancer sur le marché des obligations à rendement élevé à titre d'amateur.
- Une mise en garde à prendre en compte.
À moyen terme d'ici un à trois ans, comment les taux d'intérêt vont ils se normalisaient? Ce que sera sera différent cette fois?
- Je crois que nous sommes dans un marché baissier à long terme en ce qui concerne les taux d'intérêt.
Je ne prédis pas des taux d'intérêt de 10,12 ou 13 % dans le proche avenir, mais je pense que nous sommes de nouveau dans un environnement où l'inflation représente une réalité.
Les changements structurels de l'économie ont été considérables, aussi bien au niveau du marché du travail, le rapatriement de la production industrielle dans le secteur de l'énergie, l'intérêt national prévaut dans beaucoup d'industries.
Autrefois, c'était le secteur militaire seulement qui répondait à l'international, mais si l'alimentation, les soins de santé, les semi-conducteurs en silice.
À présent, tout ce qui relève de l'international doit être fabriqué au pays, ce qui est plus coûteux.
Nous nous trouvons dans une décennie où les taux d'intérêt sont plus élevés. Les taux d'intérêt, comme tout le monde le sait, on bondit de façon extraordinaire depuis un an et demi. Cela va certainement entraîner un ralentissement, et d'ici un an environ, disons pour une obligation de banque sur cinq ans qui rapportent 5 %, je pense qu'on se trouve entre cinq heures et 6 %.
C'est sans doute là où nous nous trouvons dans un an.
D'ici trois ans, qui sait? Il est difficile de pronostiquer sur quoi que ce soit.
D'ici trois ans sur les marchés.
Mon point de vue serait qu'il y aurait une légère hausse à partir de là.
L'économie en définitive va s'ajuster, elle devra bien, mais il y a une génération de personnes qui ont investi sur le marché, une génération de propriétaires de logements, de travailleurs qui n'ont jamais vu les taux d'intérêt. Ce sera difficile pour les marchés, pour la société.
- C'est bien vrai. Remontez deux ou trois en arrière lorsque les prêts hypothécaires est à 2 %.
Les banques vous suppliaient d'emprunter dans le cadre d'une marge hypothécaire à 50 points de base. Tout le monde le faisait, (...), pourquoi pas? À présent les prêts hypothécaires sont à six ou 7 %.
C'est un régime très différent.
Selon mon expérience, tous ces facteurs sont gérables sur une période prolongée.
Ils sont difficiles à gérer sur une période courte, très difficile.
Si les taux d'intérêt passent de zéro à 5 % en un an, c'est difficile pour beaucoup d'entreprises ou de particuliers. Mais s'il passe de zéro à 5 % sur cinq ans, ce n'est pas un gros problème.
S'il passe de cinq à 10 % sur cinq ans, bien sûr c'est pire, mais on peut tirer des plans. C'est le choc qui crée la difficulté.
Tout dépend du rythme.
Le rythme de hausse de taux d'intérêt est ralenti.
Le rythme rapide de hausse de taux d'intérêt n'est plus pertinent.
- Oui, il y a eu beaucoup de choc depuis un an et demi. Est-ce que les obligations à longue duration offre le plus grand potentiel de hausse?
C'est-à-dire au cas je suppose ou les banques centrales cesseraient de hausser les taux et commence à les diminuer.
- Il y a beaucoup de potentiel de croissance. C'est une autre façon de dire qu'il y a plus de volatilité. Exposition aux obligations à longue duration représente beaucoup de volatilité. Chaque année il y a eu une année de coupon de glisser une année de duration de plus. Par exemple, mettons que vous avez une obligation sur un an, votre duration est de un. Si les taux d'intérêt augmentent de 10 points de base, les pertes 10 points de base.
(...) Vous allez perdre 200 points de base.
Voilà c'est mathématique.
Si les taux diminuent de 100 points de base, vous allez gagner 20 fois plus d'argent que si vous notez une obligation sur un an. Le contraire est également vrai. Si les taux d'intérêt augmentent, vous allez perdre 20 fois plus que ce ne serait le cas avec une obligation de un an.
À mon avis personnel, la courbe de rendement est très inversée à l'heure actuelle. Les obligations à un an propos 6 %, les obligations à 30 ans moins de 4 %.
Par conséquent, au fur et à mesure que les taux d'intérêt se nivellent, il y aura un redressement de la courbe des renseignements. Selon moi, vous allez perdre de l'argent sur les taux de longue durée. Les obligations à longue durée ne vont pas le serment diminuent.
- Vous avez parlé de l'inversion de la courbe de rendement. Il fut un temps où nous entrions des conclusions sur le futur de l'économie, mais la pandémie a tout brouillé.
il y a beaucoup de donnés historiques qui montrent qu'une fois qu'il y a inversion de la courbe des rendements, dans les 18 mois qui suit, il y a une récession.
C'est une statistique qui s'est confirmée encore et encore historiquement.
Je pense que la pandémie et les transferts financiers qui ont été faits vers le public pendant la pandémie ont étiré cela, mais je crois que la cour des rendements a rarement été aussi inversée qu'elle a été depuis un an.
Nous verrons donc ce qui se produira.
Mais je pense que l'abondance d'argent qui circule dans le système est toujours présent ici ce qui empêche la survenue d'une récession.
- Faites toujours vos propres recherches avant de prendre des décisions de placement.
Mike MacBain répond vocation sur les titres à revenu fixe en quelques minutes.
Je vous rappelle comment nous poser vos questions par courriel, MoneyTalkLive@TD.com.
À présent, poursuivre la découverte de CourtierWeb.
Vous êtes-vous déjà demandés comment vous pouvez faire le suivi d'un portefeuille fictif et réaliser des opérations hypothétiques? Bryan Rogers montre comment faire. Bonjour.
- Bonjour Greg.
Il s'agit d'une question que nous pose beaucoup de nos clients. Chacun sait qu'on peut ajouter des symboles à liste de veille, il y a des choses connaissait peut-être pas, ce qu'il est possible d'ajouter des informations sur les cours.
Je voulais contrôler une théorie en vous disant: je ne suis pas tout à fait prêt à risquer mon propre argent pour acheter une action, mais j'ai une intuition, par exemple en fonction de votre analyse fondamentale technique et vous voulez vous demander si cela fonctionnerait à court terme, vous pouvez saisir des symboles dans votre liste de veille et les saisir comme si vous achetiez. Vous pouvez saisir la quantité et le cours et faire un suivi du cours sur CourtierWeb et d'ici un mois en vous disant voilà, je pense que cela a donné de bons résultats, je vais essayer dans la réalité. Vous pouvez faire l'expérience risquer votre argent sur CourtierWeb. Voici comment vous pouvez procéder.
C'est une petite astuce.
Je peux l'ajouter à n'importe quelle liste de veille en cliquant sur la liste ou si j'ai un symbole, je peux… normalement il y a une dizaine de listes.
L'une des limitations, c'est qu'on ne peut ajouter que 10 symbole. Si vous voulez faire un suivi de plusieurs actions, il faut peut-être faire preuve de créativité.
Vous ne pouvez saisir que 10 titres.
maintenant que je vais ajouter Apple. Je clique sur le symbole. À titre d'exemple, nous allons ajouter.
vous cliquez sur l'onglet suivi. Pour créer ce portefeuille fictif, cliquez sur suivi. Vous voyez, je l'ai fait pour certains, j'ai ajouté les symboles de 100 actions et je fais une démonstration dans 1, Cours que je donnais.
Si je veux ajouter Apple, je vais ajouter, si je l'achète aujourd'hui, mettons que je peux avoir un ordre limite à 178 $. Je vais ajouter ma quantité et le coût. Je vais saisir 100 actions.
Il faut faire preuve de réalisme, comme si vous achetiez réellement l'action aujourd'hui. Cliquez sur enregistrer. Il ne se passe pas grand-chose.
C'est peut-être très légèrement en hausse.
L'action avait très légèrement progressé.
Voici le dernier cours.
En hausse de 0,40$.
Vous pouvez déterminer si votre stratégie aura donné de bons résultats.
- Vous nous avez montré comment utiliser des listes de surveillance.
Est-ce qu'il y a d'autres investissements que l'on peut ajouter à ces listes?
- Oui. C'est une très bonne question.
Il est possible d'ajouter d'autres placements.
Mettons que vous ne vous intéressez qu'au fond négocié en bourse au fonds commun de placement, il y a également des opérations sur options. Vous pouvez réaliser les opérations fictives sur options. Voyons comment procéder.
Pour ajouter ce genre d'investissement.
Je vais fermer cette liste de surveillance.
Affichons donc un symbole, mettons que vous recherchez. Annonce recherche.
Si vous ne connaissez pas le symbole, ensuite fonds mutuel.
Vous pouvez trouver un fonds.
Mettons action internationale. Je trouve un fonds au hasard.
Une fois là, je peux ajouter cela à la liste des veilles et choisir une liste de veille. Mettons que je choisis la liste de surveillance, portefeuille, symbole est déjà ajouté.
Je clique sur portefeuille et je peux voir, voici le fond que je viens d'ajouter.
Les mêmes mesures peuvent être prises.
Choisissez la bonne catégorie.
Si ces FNB vous devaient rechercher le symbole. Vous pouvez ajouter des options.
Il faut suivre le symbole précis.
Vous sélectionnez les options. Si vous connaissez déjà le marché des options, vous le saurez. Vous devez également ajouter des indices. On ne peut pas ajouter les cours, on ne peut pas acheter d'indice, même village à votre liste de surveillance. Elle est suivie et il est possible de saisir le montant et la quantité pour un fonds commun de placement également.
- Merci Brian.
- Je vous en prie, Greg.
- Bryan Rogers est formateur principal à Placements directs TD. Ne manquez pas de visiter le centre d'apprentissage de CourtierWeb où vous trouverez encore plus de ressources.
À présent je vous rappelle comment nous poser vos questions.
Avez-vous une question sur les placements ou encore sur les marchés? Vous pouvait nous les poser, soit par courriel, MoneyTalkLive@TD.com, sont dans la boîte de questions au bas de votre écran. Il suffit de cliquer sur envoyer. Nos invités pourraient vous répondre en direct.
Mike MacBain répond à vos questions sur les titres à revenu fixe.
Combien longtemps les obligations prendront-elles pour réagir à une baisse des taux?
- La question est de savoir s'il y aura une baisse des taux.
- Oui c'est l'hypothèse. Parlons-en d'abord.
- Si les taux diminuent, les obligations réagiront.
Comme dans les hausses de taux, c'est l'extrémité à court terme qui réagit le plus.
Les rendements des obligations ont augmenté dans une moindre mesure tout au long de la courbe est la même chose se produira si les taux diminuent.
J'ai dit tout à l'heure que je pense que la Fed va maintenir les taux à cette réunion qui vient, mais le risque que la Fed et la Banque du Canada relève les taux est plus élevé que le risque, que la probabilité qu'elle réduise les taux, certainement à court terme. Pour les six prochains mois, la probabilité d'une hausse de taux, du fait des banques centrales, plus élevée que la probabilité d'une baisse de taux.
C'est l'aspect psychologique de l'action des banques centrales. Il y a deux ans une dizaine chose, je me rappelais, au Canada, Tiff Macklem disait: si vous voulez contracter un prêt, acheter une maison, une entreprise, les taux vont rester bas pendant très longtemps. Finalement très très longtemps on n'a pas duré très longtemps.
Est-ce que dans le cadre de la lutte menée par la banque centrale, cette dernière s'est que si elle pratique une coupure de tout cela pourrait déclencher une activité qu'elle ne veut pas voir survenir sur le marché logement?
Elle tente de donner des orientations pour convaincre les gens que les taux vont être plus élevés et par conséquent il ne faut pas se livrer à des activités qui créent davantage d'optimisme et davantage de croissance.
La banque cherche à réduire la croissance.
Si nous pensons que les taux vont être plus bas de 200 points de vente dans trois mois, on va commencer à se comporter comme si cela devait se produire.
- Une autre question. Comment se préparer à la volatilité des marchés?
Vous pouvez nous expliquer ce que vous faites comment vous concevez l'investissement titres à revenu fixe?
- Notre stratégie est un peu différente.
Nous sommes un fonds d'investissement dans les obligations de première qualité.
Nous sommes très présents dans le secteur des services financiers et des banques. La grande différence par rapport à ce que font la plupart des autres fonds d'obligations, ce que nous éliminons le l'exposition aux taux d'intérêt que nous achetons. Comme nous l'avons vu depuis trois ans, (...) la Banque TD va vous rembourser votre argent, comme toujours, mais les obligations de la banque ont baissé parce que les taux d'intérêt ont augmenté.
Nous investissons dans l'éducation de plus courte durée. Il faut que nous avons éliminé l'exposition au taux d'intérêt, vous investissez dans une source de rendement qui est plus fiable.
Ce sont des compagnies de première qualité qui vont vous rembourser et c'est une source de rendement plus fiable au fil du temps et qui crée moins de volatilité selon nous. Donc en ce qui concerne les marchés aujourd'hui, nous considérons que nous sommes dans une période, c'est la saison qui le détermine, qui est plus volatile pour le marché obligataire et pour le marché boursier. Il n'y a pas eu démission parce que les services de trésorerie sont fermés. Or il y a eu un rendement de 56 % et les investisseurs sont intéressés à acheter les obligations.
Tout l'été, elle devient de plus en plus coûteuse. Or tout le monde est de retour, les entreprises commencent à émettre des obligations il y a un déséquilibre entre l'offre et la demande. Les écarts de crédit sur le marché obligataire augmentent.
Nous considérons qu'il s'agit à court terme d'une occasion dont nous pouvons profiter.
Et nous voyons qu'il y a aussi une chance raisonnable que le mois de septembre et octobre seront semblables cette année à ce qu'ils sont chaque automne.
Nous sommes positionnés pour profiter des reculs du marché.
- Faites toujours vos propres recherches avant de prendre des décisions de placement.
Une autre question.
On parle des obligations privilégiées.
Est-ce que les obligations privilégiées font parti du marché des titres à revenu fixe ou faut-il se limiter aux obligations?
- Les obligations privilégiées, c'est vraiment l'exemple même des montagnes russes depuis cinq à 10 ans. Ces malheureux parce que les actions privilégiées pourraient être produites excellent, mais le problème c'est que la liquidité de ce produit ou le manque de liquidités en fait un produit très volatile, ce qui devrait évoluer de deux à 3 % évolue de 10 à 15 % parce que c'est un produit qui détienne des particuliers, des institutions ne s'y intéressent pas. En fait le marché a pratiquement été restructuré en marché obligataire. Les institutions s'intéressent au marché obligataire.
C'est le même niveau dans la structure du capital qu'une action privilégiée, mais c'est structuré comme obligation. Tandis que le produit pour les particuliers, prend la forme d'actions privilégiées à cause de leur statut fiscal.
Cela crée malheureusement un écart en matière de liquidités. Lorsque les cours baissent, c'est vraiment un secteur qui est très délicat sur ce marché. Nous l'évitons tout à fait. Pour cette raison.
- Mike MacBain répond aux questions dans quelques instants. Faites toujours vos propres recherches conditions de placement. Je vous rappelle comment vous posez les questions. Avez-vous une question sur les placements ou encore sur les marchés? Vous pouvait nous les poser, ce par courriel, MoneyTalkLive@TD.com, se dans la boîte de questions au bas de votre écran.
Il suffit de cliquer sur envoyer. Nos invités pourraient vous répondre en direct.
La réserve fédérale va annoncer sa décision sur les taux cette semaine. Il s'agit de lutter contre l'inflation.
Demain matin, le rapport sur l'inflation Canada est attendu.
Nous savons que l'inflation était plus élevée que prévue aux États-Unis récemment cause de la hausse des coûts d'énergie.
Anthony Okolie commente sur les perspectives de Services économiques TD sur l'inflation Canada.
La semaine dernière, les statistiques de l'inflation aux États-Unis étaient supérieures aux prévisions. Il se pourrait donc que l'inflation au Canada remonte.
Les marchés prévoient une probabilité plus élevée d'une nouvelle hausse des taux par la banque Canada d'ici la fin de l'année.
Services économiques TD prévoit que l'IPC au mois d'août affiche un bond considérable, 3,8 % sur 12 mois contre les 3,3 % du mois de juillet et les 2,8 % du mois de juin.
Le principal coupable, les prix de l'essence.
Le bon de 5 % sur un mois du prix de l'essence va sans doute engendrer une hausse de l'inflation globale au mois d'août.
S'agissant de l'inflation de base, Services économiques TD ne prévoit pas que beaucoup de progrès seront réalisés sur ce tableau car l'inflation globale ne bénéficie plus de l'effet de comparaison comme le graphique le montre.
La moyenne sur trois mois de l'évolution des prix au Canada, voici la médiane et la médiane ajustée de l'IPC qui exclut certains éléments présentant une volatilité extrême et de fortes fluctuations des prix.
Or, ces indices semblent bloqués autour de trois à 8 %. Selon Services économiques TD, c'est pourquoi la banque Canada se ménage la possibilité de relever davantage les taux directeurs.
Une partie des raisons pour l'attitude ferme de la banque Canada est attribuable à la résilience de la consommation Canada et à la capacité du consommateur à résister à la série de hausse des taux.
La valeur nette accrue des ménages canadiens a augmenté de 256 milliards de dollars, ce qui en fait un coussin à beaucoup de Canadiens. Si on ajoutait 140 milliards de dollars d'épargnes excédentaires non dépensées. Services économiques TD avertit que cela pourrait représenter un problème pour la banque Canada.
Les consommateurs décident de dépenser leur richesse nouvelle, cela pourrait exercer une pression supplémentaire sur la croissance et l'inflation. Enfin, service économique des dénotent qu'il y a eu un net ralentissement des dépenses, une faiblesse sur le marché du logement ainsi que sur le marché de l'emploi.
Nous sommes parvenus à ce que Services économiques TD appelle un point de bascule. Comme le montre le graphique, l'embauche ralentit au Canada, le taux de chômage passe à 5,5 % et le nombre de personnes au chômage a bondi à plus de 120 000 cette année.
Toutefois, en dépit de ces signes avant-coureurs de ralentissement du marché de l'emploi, Services économiques TD affirme que les Canadiens sont en meilleure position financière puisque l'inflation persistante rendra la tâche de la banque Canada beaucoup plus difficile.
Services économiques TD ne prévoit pas que la banque Canada augmente les taux d'ici la fin de l'année, mais prévoit qu'elle se ménage la possibilité de le faire au cas où il y a encore une fois une surprise à la hausse dans les données économiques.
- Savait parler de la résilience du consommateur.
Les chiffres sur l'inventaire ou détails qui sont un peu retardataires, qu'ont-ils annoncé?
- Au mois de juin les vantaux détaillant très légèrement progressé par rapport au deuxième trimestre et c'est à cause de la forte demande de voitures neuves. Mais quand on exclut les ventes des établissements concessionnaires automobiles et les stations-service, les ventes au détail étaient en baisse au mois de juin, largement en deçà des attentes du consensus. Pour l'avenir, Services économiques TD prévoit que les dépenses pourraient se relever avec l'un des rabais sur l'alimentation pour les ménages modestes proposés par le gouvernement fédéral.
Mais comme l'estimation anticipée de Statistique Canada, les données de la Banque TD envisagent rebond des dépenses au mois de juillet, mais note que l'effet cumulatif des augmentations de salaire antérieur commence vraiment seulement avoir un impact sur le budget des ménages.
Au fur et à mesure que le plus grand nombre de prêts hypothécaires son rôle renouvelé à des taux plus élevés, plus grands nombres de propriétaires vont consacrer une part importante de leurs revenus au remboursement de la dette qui pourrait engendrer une baisse des dépenses.
- Le mois de juillet, c'est l'anniversaire de ma femme. Nous avons fait une grande fête. Il y a une légère hausse de nos dépenses. À présent, un coup d'oeil sur les marchés.
Un coup d'oeil à la plate-forme avancée.
La fonction de carte thermique n'offre guère de renseignements intéressants. Il y a un peu de vert à l'écran dans le secteur minier, que ce soit Kinross, Shopify se distingue, en baisse de trafic atténue pour cent.
Le secteur de l'énergie est important.
Ce n'est pas parce que si pas grand-chose, la plupart des grands titres sont légèrement en baisse, c'est le fait que le brut de référence américain continu de remonter. Or aujourd'hui le secteur de l'énergie ne participe pas à cette hausse.
Phénomène curieux. Aux États-Unis, jetant un coup d'œil à l'indice S&P 100 et voyons ce qui évolue aujourd'hui.
Demain, les responsables de la Fed vont entamer la réunion de deux jours.
Mercredi après-midi elles annoncent leur décision sur les taux.
Tesla occupe beaucoup de place au milieu de l'écran, en baisse de 8 %.
Dans le secteur de la technologie, il y a certains progrès, Apple augmente de plus de 2 %.
Mike MacBain répond à vos questions sur les titres à revenu fixe.
Est-il envisageable aujourd'hui d'investir dans les obligations d'une durée de plus de cinq ans supposant que les taux sont plus bas dans la lettre ou est-il préférable de continuer à investir à court terme et réinvestir à échéance?
- Nous ne pouvons pas donner de conseils spécifiques, mais nous pouvons regarder ce qui se passe sur le marché. C'est une question de risque de rendement.
Les obligations de banque à un an offrent un rendement de cinq 75 ou 6 %.
Les obligations à cinq ans vous procurent cinq ou cinq et quart.
Si vous ne pensez pas que les taux d'intérêt vont diminuer, il vaut mieux détenir des obligations un an parce que vous allez réaliser 50 points de pas de plus. Si vous pensez qu'ils vont augmenter, il vaut mieux acheter des obligations à un an parce que vous allez voir rendement plus élevé vous pouvez acheter des obligations à cinq ans, 10 avec un rendement plus élevé.
- Quel est votre pronostic à l'égard des taux?
- Comme nous l'avons déjà dit, nous ne nommons prélever que les taux d'intérêt vont augmenter légèrement d'ici un an à 18 mois.
j'ai investir à court terme. Mais si vous pensez que nous allons entrer en récession dans deux mois, les taux vont diminuer.
Lorsque nous serons en récession. Alors là il est préférable d'avoir des obligations à plus longue échéance.
- Le temps nous manque pour poser d'autres questions. La Fed fait son annonce mercredi.
Beaucoup de commentateurs disent que ce n'est pas la décision, personne ne sait à ce qu'il y ait une hausse, c'est la façon dont elle sera présentée. Qu'est-ce que vous allez surveiller?
- Je pense que la Fed va garder le cap.
Que pensera-t-elle de l'inflation, que pense-t-elle de l'emploi? La Fed estimera-t-elle qu'il y a eue un cap de franchi en matière d'inflation?
Que le recul de l'emploi non agricole insuffisant pour maintenir sa position? Ce sont les deux grands indicateurs. J'espère que nous pourrons nous reparler.
- Moi aussi. Mike MacBain est chef de la direction et des placements à East Coast Fund Management. Faites toujours vos propres recherches avant de prendre des décisions de placement. Demain, Robert Both, stratège Valeurs mobilières TD, va répondre à vos questions sur l'économie.
Et les taux d'intérêt.
Vous pouvez nous les poser en tout temps, par courriel, MoneyTalkLive@TD.com. Merci et à demain!
Aujourd'hui, nous sommes à quelques jours de la plus récente décision de la Fed sur les taux d'intérêt. Mike MacBain de East Coast Fund Management fait le point.
En parlant de tous les terrains d'inflation, des données clés sur l'indice des prix à la consommation seront publiées demain au Canada. Anthony Okolie nous donne un aperçu.
Nous poursuivons la découverte de CourtierWeb. Bryan Rogers nous montre comment créer et suivre des portefeuilles fictifs, effectuer des transactions hypothétiques. Posez-nous vos questions par courriel, MoneyTalkLive@TD.com, ou dans la boîte de questions au bas de votre écran.
Mais d'abord, un coup d'oeil sur les marchés.
Étrange début de semaine. Le cours du brut continue de remonter. Le brut de référence américain grimpe d'encore à 1/3 %, frise les 92 $ le baril, mais le secteur de l'énergie ne participe pas à la montée générale.
Suncor Energy, par exemple, le jour où le brut continu d'augmenter, est inchangé ou en légère baisse à 47,18 $. Suncor recule d'un demi pour cent. Denison Mines, producteur d'uranium, après un début de séance difficile, progresse très légèrement. Il s'agit des titres les plus activement négociés.
Le marché n'est donc pas très actif en ce début de séance. Denison Mines progresse un peu moins de 1 %.
Aux États-Unis, à quelques jours de la prochaine annonce de la Fed sur les taux d'intérêt, le marché progresse prudemment à 4464, environ un tiers de pour cent.
L'indice Nasdaq ne progresse pas autant que l'ensemble du marché, mais tout de même de 22 points, soit un cinquième de pour cent. Une certaine baisse pression à la baisse sur Tesla.
Le titre recule de deux et demis pour cent, mais rien de tellement grave.
Les coûts d'emprunt sont au centre des préoccupations des investisseurs cette semaine alors que la réserve fédérale se réunit pour prendre une nouvelle décision.
Avec la hausse des prix de l'essence qui fait grimper l'inflation globale, à quoi peut-on s'attendre de la part de la Fed dans sa lutte contre l'inflation? Mike MacBain, chef des placements et chef de la direction du East Coast Fund Management.
Ça me fait très plaisir de passer à votre émission. Parlons du grand problème, cela fait un an et demi que les investisseurs sont obnubilés par l'inflation,(...) que pensez-vous que la Fed va faire cette semaine?
- La Fed à mon avis n'agira pas cette semaine. Elle a annoncé très clairement ses objectifs: baisse de l'inflation, hausse du chômage.
Les statistiques qui paraissent montrent que l'inflation recule légèrement et qu'elle peut sans doute se permettre d'attendre. Je ne suis pas convaincu qu'elle ait fini de relever les taux mais pour ce mois je pense qu'il n'y a pas suffisamment de statistiques pour justifier une hausse.
Quand on parle de l'inflation globale, ce n'est pas bien sûr le repère principal pour les banques centrales. Elles s'intéressent à l'inflation de base qui exclut les éléments plus volatiles car le cours de l'essence est volatile, le cours du brut est volatile. Est-ce que c'est ce que nous recherchons compte tenu de l'activité en ce qui concerne les taux d'intérêt, l'idée de faire abstraction de certaines de ces péripéties?
- Oui. L'inflation a reflué considérablement, comme la plupart des gens s'y attendaient, mais on assiste à un nivellement de la courbe.
Les chiffres de l'IPC le mois dernier est un peu plus élevé dans les segments de base sur lesquels les banques centrales se concentrent.
Les banques centrales n'ont pas encore recueilli suffisamment d'informations pour justifier une hausse des taux à cette réunion selon moi.
- Une pause cette semaine, mais vous n'excluez pas une autre hausse des taux d'ici la fin de l'année. Qu'est-ce qui justifierait une telle hausse de taux?
Volatilité, prix de l'essence, certains éléments dont il sera fait abstraction.
Qu'est-ce qui convaincra la Fed que sa mission n'est pas accomplie?
- Les deux grands facteurs pour la Fed: le chômage et l'inflation. Jerome Powell a dit très clairement: il croit fermement que l'économie ne ralentira pas suffisamment à moins que les chiffres de l'emploi ne commencent à évoluer. Comme je l'ai dit, l'inflation a diminué, la baisse a connu un certain nivellement depuis peu, si l'emploi continue de bien se porter, que l'inflation ne diminue pas davantage, à mon avis, c'est le mois prochain que la décision sera prise.
- Est-ce que cela a du bon sens quand on prend du recul et qu'on songe aux mesure très ferme, voire agressive prise par la banque Canada, les banques centrales occidentales, pour relever le coût des emprunts afin de maîtriser l'inflation? Au début, on nous a averti, il y aura beaucoup de dégâts. Or l'économie a été tellement résiliente. Comment concilier ces éléments?
- Oui, l'économie a été très résiliente le marché du travail en particulier.
En ce qui concerne les données sur les postes à pourvoir, il y a eu un pic à 12 millions d'emplois et depuis lors un recul considérable.
Jerome Powell, président de la Fed, en a parlé il y a 10 à 12 mois.
Il s'agissait de créer un certain flottement dans les postes à pourvoir.
C'est le scénario boucle d'or.
Ce sont des postes qui existent, qu'ils soient pourvus ou non, cela ne retire l'emploi personne, c'est le merveilleux.
Mais il y a toujours 150000 ou 200 000 nouveaux emplois créés chaque mois. C'est trop selon Powellpar conséquent, en définitive, à moins qu'il y ait une baisse de l'inflation, ce sera le facteur décisif. L'autre donné de cette inflation, les banques prennent des mesures énergiques pour rehausser les coûts d'emprunt, peut-être cela n'est pas fini mais une fois la série terminée, les banques annoncent qu'elles se tiendront à ce niveau élevé pendant longtemps.
À certaines époques de l'année, le marché obligataire a choisi de ne pas croire les banques centrales au pied de la lettre. Où en sommes-nous? Que pense le marché obligataire sur les perspectives d'action de la Fed?
- Rappelez-vous il y a deux ou trois ans, les banques centrales ont maintenu les taux à un niveau bas pendant ce qui semble être une éternité.
Les banques disaient qu'elle ne pensait même pas à penser à penser à réduire les taux.
Or un an plus tard elles ont commencé à relever les taux avec une rapidité sans précédent.
Il faut prendre ses commentaires avec un grain de sel. Les banques centrales sont obligées de dire cela car c'est ce qu'elle pense aujourd'hui, mais que le savon, le monde change rapidement parfois. Si les banques centrales décident que les taux doivent baisser parce que nous sommes entrés en récession et que les chiffres du chômage m'ont en flèche, les taux vont baisser.
Ce n'est pas ce que je prévois, je crois que nous allons nous trouver dans une période où rien d'important ne va se produire sur le marché des taux, peut-être une légère hausse fil du temps, ce sera ce que nous réserve l'avenir. Je pense qu'il y aura des taux d'intérêts qui vont rester relativement inchangés d'ici 12 mois, mais le simple fait que la banque affirme quelque chose, l'histoire nous apprend que bien des fois cela correspond uniquement son opinion aujourd'hui.
- Oui et l'avenir pourrait changer. Vous avez eu une discussion très intéressante avec un de nos collègues, Andres Rincon, je trouve passionnant de vous entendre parler que dans un portefeuille 60-40 on pense être diversifié, mais le monde entier est concentré exclusivement sur les taux d'intérêt et les mesures des banques centrales, la diversification n'est peut-être pas aussi grande qu'on le croit.
- Eh bien, un portefeuille diversifié 60-40 a toujours existé parce que généralement lorsque les taux d'intérêt augmentent, les actions se portent bien, il y a une bonne diversification et l'inverse est vrai. Ceci sur une longue période. Or les actions sont en difficulté et les taux d'intérêt baissent. C'est davantage tiré de la diversification selon le comportement des taux d'intérêt a été très utile.
Depuis que les banques centrales ont essentiellement prient le contrôle de l'économie, et cela fait assez longtemps, au moins par intermittence depuis 10 ans, les banques centrales commandent le marché boursier. Lorsque les banques centrales diminuent les taux d'intérêt, c'est considéré comme étant positif comme les bourses qui remontent.
Or, lorsque les taux d'intérêt diminuent, les obligations augmentent. On en arrive au point où les taux d'intérêt sont essentiellement à zéro, ils ne peuvent que remonter. Lorsqu'ils remontent, c'est défavorable pour les marchés boursiers.
Donc nous nous sommes retrouvés avec une corrélation très positive entre le marché boursier et obligataire. Si vous avez 60 % d'obligations et 40 % d'actions que les actions baissaient que les obligations mettent, vous n'avez pas de diversification.
Cela procède des ingérences. Le mot est peut-être fort. Les ingérences des banques centrales sur les marchés.
- Excellent début d'émission!
Mike MacBain répond à vos questions sur les titres à revenu fixe dans quelques instants.
Vous pouvez nous les poser en tout temps, par courriel, MoneyTalkLive@TD.com, dans la boîte de questions au bas de votre écran.
À présent, l'actualité du monde des affaires et un coup d'oeil sur les marchés.
Les pourparlers se poursuivent au Canada entre Unifor et Ford avant la date limite de minuit. Dans un communiqué, Unifor déclare que les deux parties restent très éloignées dans les négociations et que le syndicat est prêt à faire face à tous les scénarios y comprit la grève. Aux États-Unis, les travailleurs de l'automobile organisent des actions ciblées contre les trois grands constructeurs automobiles depuis vendredi dernier. À surveiller.
La société Clorox avertit que la cyber attaque qu'elle a subie pour avoir un impact important sur le trimestre en cours.
Le fabricant de Pine Sol et Liquid-Plumr déclare que le piratage l'a contraint à mettre fin à ses services en ligne.
Heather Reisman reprend la direction d'Indigo books and music quelques semaines seulement après la démission abrupte de Peter Ruis. Dans un communiqué, elle déclare que la voie était toute tracée pour redonner de l'élan à la compagnie afin qu'elle renoue avec la croissance et la rentabilité. L'action progresse, bondit même de 18 %.
À présent, un coup d'œil sur les bourses.
Le cours du brute frise 92 $ le baril.
Or le secteur de l'énergie ne participe à la remontée.
L'indice TSX composite recule 280; soit 1/2 %. Indice S&P 500 dans l'attente de la décision de la Fed demain progresse modestement de 10 points, soit un quart de pour cent.
Mike MacBain répond à vos questions sur les titres à revenu fixe.
Que pensez-vous du marché des obligations à haut rendement?
Recèle-t-il les possibilités?
- Le marché des obligations à haut rendement, dans un marché stable, offre des opportunités intéressantes.
On y trouve un rendement dans la fourchette de 7 à 8 %. Le marché se porte donc relativement bien.
Le problème avec le marché des obligations à haut rendement, c'est que dans les périodes de baisse il y a une probabilité raisonnable de défaillance. Le segment des obligations à rendement élevé et le segment le plus risqué du marché des obligations d'entreprise. Les taux de défaillance tournent autour de deux à 3 % sur un marché normal.
Si vous réalisez c'est pour ça que les taux de défaillance de deux à 3 % dans un portefeuille diversifié, les obligations romandes procurent quatre ou 5 %. La véritable difficulté intervient dans un environnement de récession.
Si vous pensez que nous nous y dirigeons, ce qui est sans doute le cas d'ici 12 à 18 mois, les taux de défaillance atteint 10,12 %, ce qui représente un résultat très négatif pour le majorer le marché des obligations à rendement élevé.
Au plan tactique, il faut être présent sur ce marché après un événement qui a engendré les risques plutôt qu'avant.
Personnellement, je n'y investirais pas aujourd'hui.
Mais les rendements sont plus élevés qui l'ont été dans le passé, c'est certain.
- Un investisseur qui fait ses recherches devrait envisager quels facteurs?
Bien sûr, rendement élevé pour une raison parce que le risque est plus élevé. Quels sont les facteurs dont vous tenez compte pour déterminer la solvabilité?
- C'est un secteur très dangereux pour un investisseur autonome.
Il s'agit d'un marché très technique. Il y a des risques reliés à toutes les entreprises dans le secteur des obligations à rendement élevé. La dispersion des notes de crédits par rapport aux défaillances potentielles peut être très élevée en fonction de l'entreprise individuelle.
Dans le secteur obligataire, c'est très semblable à ce que recherche Warren Buffett sur le marché boursier.
Recherche des actions qui offrent une valeur profonde, qui sont restés mais il a fait ses recherches.
Je recommanderais de ne pas se lancer sur le marché des obligations à rendement élevé à titre d'amateur.
- Une mise en garde à prendre en compte.
À moyen terme d'ici un à trois ans, comment les taux d'intérêt vont ils se normalisaient? Ce que sera sera différent cette fois?
- Je crois que nous sommes dans un marché baissier à long terme en ce qui concerne les taux d'intérêt.
Je ne prédis pas des taux d'intérêt de 10,12 ou 13 % dans le proche avenir, mais je pense que nous sommes de nouveau dans un environnement où l'inflation représente une réalité.
Les changements structurels de l'économie ont été considérables, aussi bien au niveau du marché du travail, le rapatriement de la production industrielle dans le secteur de l'énergie, l'intérêt national prévaut dans beaucoup d'industries.
Autrefois, c'était le secteur militaire seulement qui répondait à l'international, mais si l'alimentation, les soins de santé, les semi-conducteurs en silice.
À présent, tout ce qui relève de l'international doit être fabriqué au pays, ce qui est plus coûteux.
Nous nous trouvons dans une décennie où les taux d'intérêt sont plus élevés. Les taux d'intérêt, comme tout le monde le sait, on bondit de façon extraordinaire depuis un an et demi. Cela va certainement entraîner un ralentissement, et d'ici un an environ, disons pour une obligation de banque sur cinq ans qui rapportent 5 %, je pense qu'on se trouve entre cinq heures et 6 %.
C'est sans doute là où nous nous trouvons dans un an.
D'ici trois ans, qui sait? Il est difficile de pronostiquer sur quoi que ce soit.
D'ici trois ans sur les marchés.
Mon point de vue serait qu'il y aurait une légère hausse à partir de là.
L'économie en définitive va s'ajuster, elle devra bien, mais il y a une génération de personnes qui ont investi sur le marché, une génération de propriétaires de logements, de travailleurs qui n'ont jamais vu les taux d'intérêt. Ce sera difficile pour les marchés, pour la société.
- C'est bien vrai. Remontez deux ou trois en arrière lorsque les prêts hypothécaires est à 2 %.
Les banques vous suppliaient d'emprunter dans le cadre d'une marge hypothécaire à 50 points de base. Tout le monde le faisait, (...), pourquoi pas? À présent les prêts hypothécaires sont à six ou 7 %.
C'est un régime très différent.
Selon mon expérience, tous ces facteurs sont gérables sur une période prolongée.
Ils sont difficiles à gérer sur une période courte, très difficile.
Si les taux d'intérêt passent de zéro à 5 % en un an, c'est difficile pour beaucoup d'entreprises ou de particuliers. Mais s'il passe de zéro à 5 % sur cinq ans, ce n'est pas un gros problème.
S'il passe de cinq à 10 % sur cinq ans, bien sûr c'est pire, mais on peut tirer des plans. C'est le choc qui crée la difficulté.
Tout dépend du rythme.
Le rythme de hausse de taux d'intérêt est ralenti.
Le rythme rapide de hausse de taux d'intérêt n'est plus pertinent.
- Oui, il y a eu beaucoup de choc depuis un an et demi. Est-ce que les obligations à longue duration offre le plus grand potentiel de hausse?
C'est-à-dire au cas je suppose ou les banques centrales cesseraient de hausser les taux et commence à les diminuer.
- Il y a beaucoup de potentiel de croissance. C'est une autre façon de dire qu'il y a plus de volatilité. Exposition aux obligations à longue duration représente beaucoup de volatilité. Chaque année il y a eu une année de coupon de glisser une année de duration de plus. Par exemple, mettons que vous avez une obligation sur un an, votre duration est de un. Si les taux d'intérêt augmentent de 10 points de base, les pertes 10 points de base.
(...) Vous allez perdre 200 points de base.
Voilà c'est mathématique.
Si les taux diminuent de 100 points de base, vous allez gagner 20 fois plus d'argent que si vous notez une obligation sur un an. Le contraire est également vrai. Si les taux d'intérêt augmentent, vous allez perdre 20 fois plus que ce ne serait le cas avec une obligation de un an.
À mon avis personnel, la courbe de rendement est très inversée à l'heure actuelle. Les obligations à un an propos 6 %, les obligations à 30 ans moins de 4 %.
Par conséquent, au fur et à mesure que les taux d'intérêt se nivellent, il y aura un redressement de la courbe des renseignements. Selon moi, vous allez perdre de l'argent sur les taux de longue durée. Les obligations à longue durée ne vont pas le serment diminuent.
- Vous avez parlé de l'inversion de la courbe de rendement. Il fut un temps où nous entrions des conclusions sur le futur de l'économie, mais la pandémie a tout brouillé.
il y a beaucoup de donnés historiques qui montrent qu'une fois qu'il y a inversion de la courbe des rendements, dans les 18 mois qui suit, il y a une récession.
C'est une statistique qui s'est confirmée encore et encore historiquement.
Je pense que la pandémie et les transferts financiers qui ont été faits vers le public pendant la pandémie ont étiré cela, mais je crois que la cour des rendements a rarement été aussi inversée qu'elle a été depuis un an.
Nous verrons donc ce qui se produira.
Mais je pense que l'abondance d'argent qui circule dans le système est toujours présent ici ce qui empêche la survenue d'une récession.
- Faites toujours vos propres recherches avant de prendre des décisions de placement.
Mike MacBain répond vocation sur les titres à revenu fixe en quelques minutes.
Je vous rappelle comment nous poser vos questions par courriel, MoneyTalkLive@TD.com.
À présent, poursuivre la découverte de CourtierWeb.
Vous êtes-vous déjà demandés comment vous pouvez faire le suivi d'un portefeuille fictif et réaliser des opérations hypothétiques? Bryan Rogers montre comment faire. Bonjour.
- Bonjour Greg.
Il s'agit d'une question que nous pose beaucoup de nos clients. Chacun sait qu'on peut ajouter des symboles à liste de veille, il y a des choses connaissait peut-être pas, ce qu'il est possible d'ajouter des informations sur les cours.
Je voulais contrôler une théorie en vous disant: je ne suis pas tout à fait prêt à risquer mon propre argent pour acheter une action, mais j'ai une intuition, par exemple en fonction de votre analyse fondamentale technique et vous voulez vous demander si cela fonctionnerait à court terme, vous pouvez saisir des symboles dans votre liste de veille et les saisir comme si vous achetiez. Vous pouvez saisir la quantité et le cours et faire un suivi du cours sur CourtierWeb et d'ici un mois en vous disant voilà, je pense que cela a donné de bons résultats, je vais essayer dans la réalité. Vous pouvez faire l'expérience risquer votre argent sur CourtierWeb. Voici comment vous pouvez procéder.
C'est une petite astuce.
Je peux l'ajouter à n'importe quelle liste de veille en cliquant sur la liste ou si j'ai un symbole, je peux… normalement il y a une dizaine de listes.
L'une des limitations, c'est qu'on ne peut ajouter que 10 symbole. Si vous voulez faire un suivi de plusieurs actions, il faut peut-être faire preuve de créativité.
Vous ne pouvez saisir que 10 titres.
maintenant que je vais ajouter Apple. Je clique sur le symbole. À titre d'exemple, nous allons ajouter.
vous cliquez sur l'onglet suivi. Pour créer ce portefeuille fictif, cliquez sur suivi. Vous voyez, je l'ai fait pour certains, j'ai ajouté les symboles de 100 actions et je fais une démonstration dans 1, Cours que je donnais.
Si je veux ajouter Apple, je vais ajouter, si je l'achète aujourd'hui, mettons que je peux avoir un ordre limite à 178 $. Je vais ajouter ma quantité et le coût. Je vais saisir 100 actions.
Il faut faire preuve de réalisme, comme si vous achetiez réellement l'action aujourd'hui. Cliquez sur enregistrer. Il ne se passe pas grand-chose.
C'est peut-être très légèrement en hausse.
L'action avait très légèrement progressé.
Voici le dernier cours.
En hausse de 0,40$.
Vous pouvez déterminer si votre stratégie aura donné de bons résultats.
- Vous nous avez montré comment utiliser des listes de surveillance.
Est-ce qu'il y a d'autres investissements que l'on peut ajouter à ces listes?
- Oui. C'est une très bonne question.
Il est possible d'ajouter d'autres placements.
Mettons que vous ne vous intéressez qu'au fond négocié en bourse au fonds commun de placement, il y a également des opérations sur options. Vous pouvez réaliser les opérations fictives sur options. Voyons comment procéder.
Pour ajouter ce genre d'investissement.
Je vais fermer cette liste de surveillance.
Affichons donc un symbole, mettons que vous recherchez. Annonce recherche.
Si vous ne connaissez pas le symbole, ensuite fonds mutuel.
Vous pouvez trouver un fonds.
Mettons action internationale. Je trouve un fonds au hasard.
Une fois là, je peux ajouter cela à la liste des veilles et choisir une liste de veille. Mettons que je choisis la liste de surveillance, portefeuille, symbole est déjà ajouté.
Je clique sur portefeuille et je peux voir, voici le fond que je viens d'ajouter.
Les mêmes mesures peuvent être prises.
Choisissez la bonne catégorie.
Si ces FNB vous devaient rechercher le symbole. Vous pouvez ajouter des options.
Il faut suivre le symbole précis.
Vous sélectionnez les options. Si vous connaissez déjà le marché des options, vous le saurez. Vous devez également ajouter des indices. On ne peut pas ajouter les cours, on ne peut pas acheter d'indice, même village à votre liste de surveillance. Elle est suivie et il est possible de saisir le montant et la quantité pour un fonds commun de placement également.
- Merci Brian.
- Je vous en prie, Greg.
- Bryan Rogers est formateur principal à Placements directs TD. Ne manquez pas de visiter le centre d'apprentissage de CourtierWeb où vous trouverez encore plus de ressources.
À présent je vous rappelle comment nous poser vos questions.
Avez-vous une question sur les placements ou encore sur les marchés? Vous pouvait nous les poser, soit par courriel, MoneyTalkLive@TD.com, sont dans la boîte de questions au bas de votre écran. Il suffit de cliquer sur envoyer. Nos invités pourraient vous répondre en direct.
Mike MacBain répond à vos questions sur les titres à revenu fixe.
Combien longtemps les obligations prendront-elles pour réagir à une baisse des taux?
- La question est de savoir s'il y aura une baisse des taux.
- Oui c'est l'hypothèse. Parlons-en d'abord.
- Si les taux diminuent, les obligations réagiront.
Comme dans les hausses de taux, c'est l'extrémité à court terme qui réagit le plus.
Les rendements des obligations ont augmenté dans une moindre mesure tout au long de la courbe est la même chose se produira si les taux diminuent.
J'ai dit tout à l'heure que je pense que la Fed va maintenir les taux à cette réunion qui vient, mais le risque que la Fed et la Banque du Canada relève les taux est plus élevé que le risque, que la probabilité qu'elle réduise les taux, certainement à court terme. Pour les six prochains mois, la probabilité d'une hausse de taux, du fait des banques centrales, plus élevée que la probabilité d'une baisse de taux.
C'est l'aspect psychologique de l'action des banques centrales. Il y a deux ans une dizaine chose, je me rappelais, au Canada, Tiff Macklem disait: si vous voulez contracter un prêt, acheter une maison, une entreprise, les taux vont rester bas pendant très longtemps. Finalement très très longtemps on n'a pas duré très longtemps.
Est-ce que dans le cadre de la lutte menée par la banque centrale, cette dernière s'est que si elle pratique une coupure de tout cela pourrait déclencher une activité qu'elle ne veut pas voir survenir sur le marché logement?
Elle tente de donner des orientations pour convaincre les gens que les taux vont être plus élevés et par conséquent il ne faut pas se livrer à des activités qui créent davantage d'optimisme et davantage de croissance.
La banque cherche à réduire la croissance.
Si nous pensons que les taux vont être plus bas de 200 points de vente dans trois mois, on va commencer à se comporter comme si cela devait se produire.
- Une autre question. Comment se préparer à la volatilité des marchés?
Vous pouvez nous expliquer ce que vous faites comment vous concevez l'investissement titres à revenu fixe?
- Notre stratégie est un peu différente.
Nous sommes un fonds d'investissement dans les obligations de première qualité.
Nous sommes très présents dans le secteur des services financiers et des banques. La grande différence par rapport à ce que font la plupart des autres fonds d'obligations, ce que nous éliminons le l'exposition aux taux d'intérêt que nous achetons. Comme nous l'avons vu depuis trois ans, (...) la Banque TD va vous rembourser votre argent, comme toujours, mais les obligations de la banque ont baissé parce que les taux d'intérêt ont augmenté.
Nous investissons dans l'éducation de plus courte durée. Il faut que nous avons éliminé l'exposition au taux d'intérêt, vous investissez dans une source de rendement qui est plus fiable.
Ce sont des compagnies de première qualité qui vont vous rembourser et c'est une source de rendement plus fiable au fil du temps et qui crée moins de volatilité selon nous. Donc en ce qui concerne les marchés aujourd'hui, nous considérons que nous sommes dans une période, c'est la saison qui le détermine, qui est plus volatile pour le marché obligataire et pour le marché boursier. Il n'y a pas eu démission parce que les services de trésorerie sont fermés. Or il y a eu un rendement de 56 % et les investisseurs sont intéressés à acheter les obligations.
Tout l'été, elle devient de plus en plus coûteuse. Or tout le monde est de retour, les entreprises commencent à émettre des obligations il y a un déséquilibre entre l'offre et la demande. Les écarts de crédit sur le marché obligataire augmentent.
Nous considérons qu'il s'agit à court terme d'une occasion dont nous pouvons profiter.
Et nous voyons qu'il y a aussi une chance raisonnable que le mois de septembre et octobre seront semblables cette année à ce qu'ils sont chaque automne.
Nous sommes positionnés pour profiter des reculs du marché.
- Faites toujours vos propres recherches avant de prendre des décisions de placement.
Une autre question.
On parle des obligations privilégiées.
Est-ce que les obligations privilégiées font parti du marché des titres à revenu fixe ou faut-il se limiter aux obligations?
- Les obligations privilégiées, c'est vraiment l'exemple même des montagnes russes depuis cinq à 10 ans. Ces malheureux parce que les actions privilégiées pourraient être produites excellent, mais le problème c'est que la liquidité de ce produit ou le manque de liquidités en fait un produit très volatile, ce qui devrait évoluer de deux à 3 % évolue de 10 à 15 % parce que c'est un produit qui détienne des particuliers, des institutions ne s'y intéressent pas. En fait le marché a pratiquement été restructuré en marché obligataire. Les institutions s'intéressent au marché obligataire.
C'est le même niveau dans la structure du capital qu'une action privilégiée, mais c'est structuré comme obligation. Tandis que le produit pour les particuliers, prend la forme d'actions privilégiées à cause de leur statut fiscal.
Cela crée malheureusement un écart en matière de liquidités. Lorsque les cours baissent, c'est vraiment un secteur qui est très délicat sur ce marché. Nous l'évitons tout à fait. Pour cette raison.
- Mike MacBain répond aux questions dans quelques instants. Faites toujours vos propres recherches conditions de placement. Je vous rappelle comment vous posez les questions. Avez-vous une question sur les placements ou encore sur les marchés? Vous pouvait nous les poser, ce par courriel, MoneyTalkLive@TD.com, se dans la boîte de questions au bas de votre écran.
Il suffit de cliquer sur envoyer. Nos invités pourraient vous répondre en direct.
La réserve fédérale va annoncer sa décision sur les taux cette semaine. Il s'agit de lutter contre l'inflation.
Demain matin, le rapport sur l'inflation Canada est attendu.
Nous savons que l'inflation était plus élevée que prévue aux États-Unis récemment cause de la hausse des coûts d'énergie.
Anthony Okolie commente sur les perspectives de Services économiques TD sur l'inflation Canada.
La semaine dernière, les statistiques de l'inflation aux États-Unis étaient supérieures aux prévisions. Il se pourrait donc que l'inflation au Canada remonte.
Les marchés prévoient une probabilité plus élevée d'une nouvelle hausse des taux par la banque Canada d'ici la fin de l'année.
Services économiques TD prévoit que l'IPC au mois d'août affiche un bond considérable, 3,8 % sur 12 mois contre les 3,3 % du mois de juillet et les 2,8 % du mois de juin.
Le principal coupable, les prix de l'essence.
Le bon de 5 % sur un mois du prix de l'essence va sans doute engendrer une hausse de l'inflation globale au mois d'août.
S'agissant de l'inflation de base, Services économiques TD ne prévoit pas que beaucoup de progrès seront réalisés sur ce tableau car l'inflation globale ne bénéficie plus de l'effet de comparaison comme le graphique le montre.
La moyenne sur trois mois de l'évolution des prix au Canada, voici la médiane et la médiane ajustée de l'IPC qui exclut certains éléments présentant une volatilité extrême et de fortes fluctuations des prix.
Or, ces indices semblent bloqués autour de trois à 8 %. Selon Services économiques TD, c'est pourquoi la banque Canada se ménage la possibilité de relever davantage les taux directeurs.
Une partie des raisons pour l'attitude ferme de la banque Canada est attribuable à la résilience de la consommation Canada et à la capacité du consommateur à résister à la série de hausse des taux.
La valeur nette accrue des ménages canadiens a augmenté de 256 milliards de dollars, ce qui en fait un coussin à beaucoup de Canadiens. Si on ajoutait 140 milliards de dollars d'épargnes excédentaires non dépensées. Services économiques TD avertit que cela pourrait représenter un problème pour la banque Canada.
Les consommateurs décident de dépenser leur richesse nouvelle, cela pourrait exercer une pression supplémentaire sur la croissance et l'inflation. Enfin, service économique des dénotent qu'il y a eu un net ralentissement des dépenses, une faiblesse sur le marché du logement ainsi que sur le marché de l'emploi.
Nous sommes parvenus à ce que Services économiques TD appelle un point de bascule. Comme le montre le graphique, l'embauche ralentit au Canada, le taux de chômage passe à 5,5 % et le nombre de personnes au chômage a bondi à plus de 120 000 cette année.
Toutefois, en dépit de ces signes avant-coureurs de ralentissement du marché de l'emploi, Services économiques TD affirme que les Canadiens sont en meilleure position financière puisque l'inflation persistante rendra la tâche de la banque Canada beaucoup plus difficile.
Services économiques TD ne prévoit pas que la banque Canada augmente les taux d'ici la fin de l'année, mais prévoit qu'elle se ménage la possibilité de le faire au cas où il y a encore une fois une surprise à la hausse dans les données économiques.
- Savait parler de la résilience du consommateur.
Les chiffres sur l'inventaire ou détails qui sont un peu retardataires, qu'ont-ils annoncé?
- Au mois de juin les vantaux détaillant très légèrement progressé par rapport au deuxième trimestre et c'est à cause de la forte demande de voitures neuves. Mais quand on exclut les ventes des établissements concessionnaires automobiles et les stations-service, les ventes au détail étaient en baisse au mois de juin, largement en deçà des attentes du consensus. Pour l'avenir, Services économiques TD prévoit que les dépenses pourraient se relever avec l'un des rabais sur l'alimentation pour les ménages modestes proposés par le gouvernement fédéral.
Mais comme l'estimation anticipée de Statistique Canada, les données de la Banque TD envisagent rebond des dépenses au mois de juillet, mais note que l'effet cumulatif des augmentations de salaire antérieur commence vraiment seulement avoir un impact sur le budget des ménages.
Au fur et à mesure que le plus grand nombre de prêts hypothécaires son rôle renouvelé à des taux plus élevés, plus grands nombres de propriétaires vont consacrer une part importante de leurs revenus au remboursement de la dette qui pourrait engendrer une baisse des dépenses.
- Le mois de juillet, c'est l'anniversaire de ma femme. Nous avons fait une grande fête. Il y a une légère hausse de nos dépenses. À présent, un coup d'oeil sur les marchés.
Un coup d'oeil à la plate-forme avancée.
La fonction de carte thermique n'offre guère de renseignements intéressants. Il y a un peu de vert à l'écran dans le secteur minier, que ce soit Kinross, Shopify se distingue, en baisse de trafic atténue pour cent.
Le secteur de l'énergie est important.
Ce n'est pas parce que si pas grand-chose, la plupart des grands titres sont légèrement en baisse, c'est le fait que le brut de référence américain continu de remonter. Or aujourd'hui le secteur de l'énergie ne participe pas à cette hausse.
Phénomène curieux. Aux États-Unis, jetant un coup d'œil à l'indice S&P 100 et voyons ce qui évolue aujourd'hui.
Demain, les responsables de la Fed vont entamer la réunion de deux jours.
Mercredi après-midi elles annoncent leur décision sur les taux.
Tesla occupe beaucoup de place au milieu de l'écran, en baisse de 8 %.
Dans le secteur de la technologie, il y a certains progrès, Apple augmente de plus de 2 %.
Mike MacBain répond à vos questions sur les titres à revenu fixe.
Est-il envisageable aujourd'hui d'investir dans les obligations d'une durée de plus de cinq ans supposant que les taux sont plus bas dans la lettre ou est-il préférable de continuer à investir à court terme et réinvestir à échéance?
- Nous ne pouvons pas donner de conseils spécifiques, mais nous pouvons regarder ce qui se passe sur le marché. C'est une question de risque de rendement.
Les obligations de banque à un an offrent un rendement de cinq 75 ou 6 %.
Les obligations à cinq ans vous procurent cinq ou cinq et quart.
Si vous ne pensez pas que les taux d'intérêt vont diminuer, il vaut mieux détenir des obligations un an parce que vous allez réaliser 50 points de pas de plus. Si vous pensez qu'ils vont augmenter, il vaut mieux acheter des obligations à un an parce que vous allez voir rendement plus élevé vous pouvez acheter des obligations à cinq ans, 10 avec un rendement plus élevé.
- Quel est votre pronostic à l'égard des taux?
- Comme nous l'avons déjà dit, nous ne nommons prélever que les taux d'intérêt vont augmenter légèrement d'ici un an à 18 mois.
j'ai investir à court terme. Mais si vous pensez que nous allons entrer en récession dans deux mois, les taux vont diminuer.
Lorsque nous serons en récession. Alors là il est préférable d'avoir des obligations à plus longue échéance.
- Le temps nous manque pour poser d'autres questions. La Fed fait son annonce mercredi.
Beaucoup de commentateurs disent que ce n'est pas la décision, personne ne sait à ce qu'il y ait une hausse, c'est la façon dont elle sera présentée. Qu'est-ce que vous allez surveiller?
- Je pense que la Fed va garder le cap.
Que pensera-t-elle de l'inflation, que pense-t-elle de l'emploi? La Fed estimera-t-elle qu'il y a eue un cap de franchi en matière d'inflation?
Que le recul de l'emploi non agricole insuffisant pour maintenir sa position? Ce sont les deux grands indicateurs. J'espère que nous pourrons nous reparler.
- Moi aussi. Mike MacBain est chef de la direction et des placements à East Coast Fund Management. Faites toujours vos propres recherches avant de prendre des décisions de placement. Demain, Robert Both, stratège Valeurs mobilières TD, va répondre à vos questions sur l'économie.
Et les taux d'intérêt.
Vous pouvez nous les poser en tout temps, par courriel, MoneyTalkLive@TD.com. Merci et à demain!