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(musique) - Bonjour!
Il se Greg Bonnell, bienvenue à parlons argent en direct notre mission quotidien de placement direct et des. Nos invités comprendront l'actualité des marchés, la commenterons et répondrons à vos questions sur les placements.
Aujourd'hui donc, nous allons aborder les perspectives pour les actions canadiennes alors qu'on suit ce qui se passe dans le secteur de l'énergie et des financements.
Michael O'Brien gestionnaire de portefeuille sera notre invité. Plus tard Anthony Okolie va aborder le domaine de l'immobilier résidentiel. Alors, nous allons aussi accueillir Erin Amine qui va nous parler de la façon d'utiliser courtiers Web.
Pour aborder les actions privilégiées.
Alors, faisons d'abord une mise à jour.
Donc, c'est un peu modeste comme avancée.
À la suite de l'annonce de la réduction de production de l'OPEP astique qui a fait grimper certaines actions.
Donc la SCP TSX composite a baissé de presque 46., Un quart de pour cent. Kinross Gold, lors grimper un peu aujourd'hui et ça grimpe un peu plus fort maintenant depuis que j'ai vérifié la dernière fois.
Kinross Gold une hausse de 5,6 %.
Du côté des mines d'uranium, Denison Mines à la baisse.
Une baisse de 5 %. Au sud de notre frontière, des résultats mixtes, un peu à la baisse, rien de prononcer.
Le SCP 500 pour la principale disposée aux États-Unis, une baisse d'un peu plus de demi pour cent. Le Nasdaq a maintenant qui a une baisse de 55; un peu moins de demi pour cent de baisse.
La république baigne que, les préoccupations pour ce qui est des banques régionales États-Unis donc que 13,80 $ l'action, une baisse de plus de 5 %.
Nous semblons être au croisement des routes un carrefour pour les deux grands secteurs du TSX. À la suite de la réduction de la production de l'OPEP, et des préoccupations du côté du secteur énergie, et par ailleurs, du secteur bancaire. Michael O'Brien gestionnaire de portefeuille va nous en parler.
Bienvenue ! Merci!
- Voici ce qu'il y a de plus important sur le TSX. Il y a beaucoup de manchettes à l'heure actuelle. Commençons par le secteur de l'énergie.
À la suite de la décision de l'OPEP pendant la fin de semaine, qu'est-ce que ça signifie?
- Alors je pense que si on examine ce qui se passe du côté du secteur énergie depuis un mois et demi ou deux mois, jusqu'à l'annonce de l'OPEP, enfin, on pourrait résumer en disant qu'il avait des préoccupations pour ce qui est des perspectives économiques. C'est un peu pessimiste.
Bien des gens se concentraient sur la question de savoir s'il y avait une récession possible, et qu'est-ce que ça signifierait. La baisse des prix du pétrole influence en sorte que les gens se sont dits qu'en définitive, cette section annonçait.
Je pense que l'annonce de l'OPEP qui a prie les gens un peu par surprise à rappeler aux investisseurs que c'est bidirectionnel, c'est-à-dire que les gens s'emportent un peu trop pour ce qui est des mauvaises nouvelles, les mauvaises perspectives, mais on oubliait ça été indiqué clairement maintenant, qu'il y a des gens qui s'occupent de ce marché, l'OPEP, vous savez, nous a indiqué clairement qu'il ne souhaite pas que les prix du pétrole baissent trop. Ils sont intervenus et vont défendre le prix du pétrole. Et ça, ça change la donne, évidemment. Ça devient plus équilibré.
Il y a des préoccupations matière d'économie, ça ne disparaît pas. Peut-être les conséquences possibles sur la demande.
Mais maintenant, on nous rappelle que du côté de l'offre, il y a une offre limitée et que les grands acteurs vont faire leur part pour s'assurer que les cours du pétrole ne se trompent pas trop.
Quand on revient maintenant la question des actions, nous sommes aujourd'hui, c'est environ 80 $ pour le pétrole.
Et il y a eu une amélioration du cours du pétrole. Dans l'ouest du Canada.
Donc, dans ce genre de situation, ces compagnies deviennent très rentables.
En dépit des perspectives négatives ou si vous voulez des préoccupations.
De façon générale, il reste tout un groupe d'actions qui sont très rentables et qui vont envoyer beaucoup d'actions actionnaires cette année.
Donc l'énergie à sa propre façon de réagir à nos réalités économiques.
Cette réduction de production de départ de l'OPEP, maintenant du côté des compagnies financières, aussi il y a eu des inquiétudes. J'ai montré un peu ce qui se passe du côté d'une banque régionale États-Unis. Il y a dépression. Est-ce que c'est terminé, c'est préoccupations?
- Je pense que ce qu'on voit ce qu'il y a encore des inquiétudes. J.P. Morgan, son PDG, Monsieur Diamond qui est respecté dans le domaine on voit un bulletin, une lettre aux actionnaires pour dire que ce n'est toujours pas réglé. Il va encore y avoir une voie chaotique.
Les crises financières, ça vient par vagues.
Et il faut nous attendre quand même à ce qu'il y a une certaine flambée, des piques et des creux, mais je pense que les autorités les banques centrales, les responsables de la réglementation agiraient rapidement dans ce genre de situation.
Les choses semblent ainsi stabiliser, au moins pour ce qui est des données quant au dépôt dans les banques.
Et tout ça semble indiquer que ce n'est pas tout à fait normal encore, il y a encore dépression et de détention, mais à tout le moins, les peurs les plus prononcés semblent reculer.
L'idée que les gens retirent leur dépôt des banques, non, ça se stabilise.
Ça se stabilise, je ne dirais pas qu'on est sorti du bois mais c'est mieux qu'il y a trois ou quatre semaines. Sachez bien ce qu'on espérait. Qu'on pourrait contenir les dégâts, les limiter, qu'il y a une ou deux banques les mals gérés son bilan que ce ne doit pas affecter tout le système.
- Oui, la bande dessinée corne vallée, idiosyncrasique, des cas particuliers. Ces banques s'étaient organisées de manière telle que ce n'était pas très prudent.
Les autres banques n'avaient pas tombé victime du même piège.
- Oui.
Si vous avez vécu la crise financière de 2008, 2009, et bien nous avons appris à la dure qu'il faut être prudent quand on dit que quelque chose est un cas particulier, car souvent, ce qui semble cas particulier, ça s'avère que ce n'est pas économique. Il y a peut-être d'autres qui font pareil. Exactement.
Dans 7-6, encore une fois, je pense que nous sommes bien placés. Quand on recule et qu'on fait l'autopsie de la Silicon Valley bien que et de ce qui a mal été, ils ont commis des erreurs manifestent.
Ils étaient trop concentrés dans un certain type de base de clientèle. Leur dépôt a dépassé de diversification, leurs actifs, et leur passif n'était pas bien aligné.
Donc de graves erreurs. Et c'est très particulier.
C'est l'idiosyncrasie. Mais je vous dirai ceci: la cause première de ce qui a entraîné le problème dans cette banque, c'est la hausse rapide des taux d'intérêt.
Et ce n'est pas propre à la Silicon Valley bien que.
Et certaine dépression que nous avons constatée ont des conséquences sur un certain nombre de manques régionale aux États-Unis.
Plus ou moins, on peut trouver le même genre de conséquences pour plusieurs banques.
Et les gens surveillent maintenant d'ailleurs d'un peu plus près je vous dirai à la loupe ou au microscope les actifs qui figurent au bilan. En d'autres mots, reçoit un dépôt, et on le place dans une obligation d'épargne des États-Unis sur cinq ans alors que les taux d'intérêt est beaucoup plus faire. Ce n'est pas que la Silicon Valley d'un qui a fait ça, ils ont fait plus que d'autres que c'était moins bien géré, mais dans une plus grande mesure, c'est ce qu'on va trouver dans d'autres banques et c'est là que ça devient important comme investisseurs d'essayer de bien distinguer.
La situation de la Silicon Valley bien que. Et puis la situation des autres banques dans lesquels on veut placer son argent.
- On va parler certainement des banques canadiennes.
- On pourrait parler aussi du crédit suisse, mais ici, au pays, il y a eu des pressions à la baisse aussi.
- Oui tout à fait. Encore la cause problème première de tous ces problèmes et une hausse très rapide des taux d'intérêt de la part de la banque du Canada et de la Fed américaine.
Sacré dépression sur le système. Mais ensuite, quand on veut distinguer et comprendre comment distinguer les banques qui sont véritablement difficultés par opposition à celles qui sont plus résiliences, je pourrais vous dresser une liste très longue des raisons pour laquelle banquent canadiennes sont différentes.
Tout simplement si je résume, la grande différence, c'est que quand on regarde la nature des dépôts pour les cinq ou six grandes banques pays, c'est très diversifié.
Alors que la Silicon Valley bien que, là-bas, ils avaient un problème.
Parce qu'il y avait beaucoup de clients qui ont retiré leur dépôt.
La plupart de leurs clients, c'était des gens qui plaçaient dans le capital de risque et qui avait besoin d'argent rapidement car ils dépassaient rapidement.
Alors si on parle de la tétée, avant de Montréal et de la Banque Royale, la source, la diversité du financement lié à ces banques ici au Canada, c'est beaucoup plus stable. Et tout ce que j'entends dire jusqu'à présent, c'est qu'on ne constate pas le même genre de chaos, de retrait du système bancaire canadien.
En bout de piste, s'il n'y a pas ses pressions pour ce qui est des dépôts, on n'a pas tellement à s'occuper des problèmes qui ont affaibli la Silicon Valley bien que.
Donc s'il n'y a pas ce genre de pression, on peut tenir le coup.
Je pense donc à tout le moins, ce que nous avons vu jusqu'à présent, on ne peut pas dire idiosyncrasique, et que c'est simplement des cas particuliers, mais quand on compare la situation canadienne, nos banques sont beaucoup mieux placées pour ce qui est de résister aux pressions sur les liquidités. Il est important de garder en tête, bon début d'émission!
Michael O'Brien reviendra pour répondre à vos questions. Vous pouvez communiquer avec nous à tout moment en utilisant l'adresse courriel à l'écran moneytalklivetd.com ou en cliquant sur votre question encore prévue à cet effet au bas de l'écran.
Qu'est-ce qui se passe dans le monde des affaires?
Voyons un peu.
Fort de prévoir une augmentation de 10 % de ses ventes de voitures États-Unis pour le premier trimestre en comparaison de l'an dernier.
Le fabricant de voitures a vendu 473 000 véhicules pendant ces trois mois, notamment des camionnettes F 150.
Et les V US bronco.
Et pour ce qui est du secteur du véhicule électrique, ça un peu grippé mais ce n'est que 2 % de leurs ventes.
Vers une orbite aux États-Unis sa place sous la loi de la protection contre la faillite.
Il cesse leurs opérations pendant une année prévisible, distille. Ils ont éprouvé une difficulté technique dans l'une de leurs fusées en janvier, et ont subi des conséquences.
Il y a des indications à l'effet que les taux d'intérêt ambitieux de la part de la Fed auraient peut-être des conséquences sur le marché du travail.
Et les nouveaux emplois.
Il y en a maintenant moins de 10 millions au sud de notre frontière, en février.
Les taux d'intérêt ont grimpé, mais le marché du travail et les dépenses des consommateurs sont très résiliences.
Donc les bourses maintenant. D'abord le TSX, une petite baisse d'environ d'un corps de pour cent. Alors que le cours du pétrole après avoir beaucoup grimpé hier se trouve autour de 80 $ le baril. Au sud de la frontière, ça grimpé ça rabaisse, ça aussi. Une baisse de 27..
Nous retrouvons Michael O'Brien pour répondre à vos questions sur les actions canadiennes.
Nous revoyons un peu les hausses des prix des matières premières.
Qu'est-ce que ça signifie par rapport aux risques de récession?
- Je pense que cette question cherche à savoir comment il se fait que les prix des matières premières peuvent grimper alors que il y a beaucoup de nouvelles pessimistes.
Alors au fond, il y a deux aspects à la question, ou de côté à la médaille.
Premièrement, s'il y a un ralentissement économique, s'il y a une récession, ça aura des conséquences clarinettes sur les matières premières.
C'est cyclique par définition, ces actions ont tendance à dépendre de la croissance mondiale.
Donc il est clair que si on avait un contexte de croissance économique plus laborieux, ça aurait des conséquences sur le prix des matières premières.
Par ailleurs, en fonction de la matière première qu'on examine, il y en a qui sont plus sensibles que d'autre croissance économique, par exemple, le pétrole.
C'est moins sensible à la demande que certaines autres matières premières. Par exemple l'acier. Les produits agricoles.
C'est moins volatile.
Mais ils vont plus ou moins tous en subir les conséquences.
Ce sur quoi nous concentrer quand on se demande quelles seront les plus résiliences ou qu'elle pourrait résister à la tendance générale et tenir le coup ou même grimpé. Ça revient la question de l'offre. Y a une grande offre qui pourra faire en sorte de tenir compte de la réduction de la demande?
Ou est-ce qu'on maîtrise l'offre? Le peuple qui retire une partie de l'offre, qui resserre l'offre, qui rééquilibre l'offre et la demande.
Je pense que chaque matière première est un cas particulier, si vous voulez, il s'agit de voir lesquels du côté de l'offre pourront résister en atténuant à tout le moins les pressions du côté de la demande attribuable à une réduction de la croissance économique. L'OPEP nous a étonné, en fin de semaine, les gens disent: ils ne veulent par que le cours du pétrole soit trop élevé.
Mais est-ce que l'OPEP envisage pour un proche avenir que la demande va encore faiblir?
- En fait, l'OPEP est beaucoup plus comprend beaucoup mieux la demande mondiale que nous. Comme investisseurs. Donc nous ne serons pas véritablement complètement ce que la réponse à cette question, on le sera donc six mois.
Peut-être que l'OPEP a compris quelque chose que nous on n'a pas encore vu.
Par ailleurs, l'OPEP est frustré, parce qu'ils n'ont pas réussi à maîtriser le narratif comme on dit.
Ils ont perdu le contrôle. Et je pense que c'est un effort de leur part de se réaffirmer.
Comme je l'ai dit, ils sont plus au courant que nous pour ce qui est de la demande en temps réel, mais je ne peux pas vous dire aujourd'hui exactement ce qui les a motivés à agir.
- Une autre question sujet de secteur de la vente au détail: Nordstrom qui quitte le Canada, qu'est-ce que ça signifie pour le secteur de la vente au détail au Canada?
- Nordstrom n'avait pas une très grande présence pour ce qui est du mont d'une agression Canada.
Ils sont arrivés assez récemment, et maintenant il retourne au sud de la frontière.
La queue entre les jambes.
Ça été difficile.
Les magasins rayons depuis un certain temps. Donc il se retire. Pour ce qui est des conséquences directes sur le Canada, ça ne va pas changer grand-chose, mon avis.
Avec une demi-douzaine de magasins en pays.
En soi, ce n'est pas très grave. Mais c'est encore un exemple des façons dont les modes de magasinage changent, que ce soit sur Cusco dans les grands magasins, ou en ligne sur Amazone.
C'est un modèle affaire est un peu compliqué.
Par ailleurs aussi, si on réfléchit à d'autres facteurs, c'est là un bon exemple de certains des défis auxquels font face les propriétaires d'immobilier commercial.
Ça revient un peu ce qu'on dit sur les banques, les banques régionales aux États-Unis, qui ont beaucoup de prêt.
Elles ont à faire à l'immobilier commercial.
À Toronto, le (...
) ou le mail (..
.) quand Nordstrom aura fermé son magasin, c'est un tout.
Dans le centre d'achat. Beaucoup de propriétaires de ces centres d'achat vont en pâtir. On pourrait en dire autant pour ce qui est du secteur des bureaux, des tours à bureaux dans les centres-villes.
Après la pandémie, il y a eu toutes sortes de changements et ça devient plus difficile pour ces catégories d'actifs.
Il y aura des temps difficiles pour certaines de ces compagnies, les propriétaires du mobilier qui détienne beaucoup de tours à bureaux et qui ne sont pas parmi les meilleurs actifs, disons, depuis ma fenêtre, je vois des planchers entiers, les états gentils qui sont vident à Toronto.
Dans les villes canadiennes, c'est très marqué.
- Il y a des pressions de ce côté, je vous dirai que de la bande du côté de la vente au détail, c'est un peu semblable.
Nordstrom père, en soi ce n'est pas grave, mais ça représente quelque chose, c'est-à-dire les pressions sur cette catégorie d'actifs.
- Autre question: est-ce que les fabricants d'automobiles Canada comme magnats de pièces automobiles vont tirer parti de la production de véhicules électriques?
- Question intéressante.
La bonne façon de réfléchir à la tradition vers les véhicules électriques à mon avis, pour un intervenant comme magnats, ce n'est pas tellement de savoir que c'est une occasion ou pas, c'est plutôt qu'ils doivent participer à cette participation.
Leurs clients vont l'exiger.
Donc ils vont se réajuster, ils ont pris déjà des mesures pour tenir compte de cette transition depuis un certain nombre d'années.
Nous faisons des acquisitions, des compagnies qui ont des habilités, des compétences vont développer leurs propres compétences.
Mais je dirais que ça, c'est le coup quand on veut rester en affaires.
Enfin quand, ils vont effectuer la transition, ils vont être fournisseurs clés pour les grands fabricants automobiles Canada. Du point de vue du placement, ils vont devoir dépenser beaucoup d'argent pour y parvenir.
Ça ne sera pas évident pour rester en affaires, pour rester pertinent, ils vont être obligés de beaucoup investir et c'est de l'argent qui ne sera pas renvoyé dans les poches des investisseurs.
Ils vont y arriver, mais il y a des ambiguïtés.
Avant on disait qu'une portière était une portière, qu'il s'agisse de véhicules électriques ou pas, mais il y a d'autres pièces y comprit le moteur.
\Oui, comme le moteur. Après tout c'est quand même important!
Ça paraît petit mieux moteur est important, n'est-ce pas?
- Bon c'est vrai pour tous les fournisseurs de pièces d'automobiles.
Il y a certains secteurs d'activité de magnats qui vont perdre leur transition et d'autres secteurs d'activité de magnats qui vont y gagner. On peut espérer que si on continue d'investir de façon intelligente, et qu'on prend les devants, au fur et à mesure que la transition va se produire, si on perd d'un côté, on gagne d'un autre côté.
Grâce à l'adoption des véhicules électriques.
C'est le jeu qu'ils doivent réussir et ils le savent.
Comme je l'ai indiqué, il faut faire preuve de prudence comme investisseurs car ils devront dépenser pour y arriver.
- Assurez-vous de faire vos propres recherches avant de prendre des décisions en matière de placement. On reviendra à Michael O'Brien dans un instant.
Je vous rappelle que vous pouvez communiquer avec nous par courriel à l'adresse qui figure à l'écran.
Maintenant secteur de l'éducation.
Les actions privilégiées, cette petit actif disponible sur courtiers Web.
Il y a des outils pour vous aider. Donc Hiren Amin qui travail dans le secteur va nous en parler.
Je suis ravi de vous accueillir.
Les gens qui viennent pour la première fois nous écouter ne savent peut-être pas ce que c'est que des actions privilégiées.
- Oui.
La plupart des investisseurs connaissent les actions privilégiées.
Mais on connaît en général les actions, pas forcément les actions privilégiées, je dirais.
Quand les compagnies veulent obtenir plus de capital, il y a deux façons de le faire. En émettant des actifs ou des créances.
Donc on peut offrir des actions ordinaires des actions privilégiées.
Les actions privilégiées, c'est un peu comme un modèle hybride.
Qui offre un peu comme une action, certaines caractéristiques des caractéristiques, des obligations.
Donc il y a des versements fixes sous la forme de dividendes, c'est comme pour les obligations, mais il y a aussi le cours de l'action comme pour une action qui peut grimper ou chuter.
C'est la raison pour laquelle les actions privilégiées, on dit parfois que c'est une obligation sans date de péremption.
Donc que les détenteurs de ses obligations occupent une position supérieure à celle des détenteurs d'actions ordinaires.
Et je vous dirai qu'il y a quatre types de catégories d'actions privilégiées.
D'abord, celles qui sont à taux fixe révisé, les actions privilégiées avec des dividendes qui seront fixes pendant un certain temps, disons cinq ans, et ensuite, c'est révisé à une certaine date en fonction des taux qui sont établis d'avance qui est supérieure à la fourchette sur cinq ans des obligations dépend du Canada.
Et si la structure de placement la plus utilisée dans ce domaine.
Le deuxième type maintenant, ce sont ce qu'on appelle les perpétuels, les dividendes à taux fixe pendant toute la durée de vie des actions.
Mais l'émetteur en d'autres mots la compagnie, peut les racheter à 1, Cours fixe d'ici une certaine date.
Ensuite, ce sera un taux variable, la troisième catégorie.
Actions privilégiées à taux variable, c'est réajusté en fonction des taux d'intérêt, par exemple taux en cours des marchés, et finalement, les rachetables.
La compagnie a ce moment la règle investisseurs plutôt à la possibilité de les revendre.
À l'émetteur, un certain courrier a été établi d'avance.
Donc je vais aller maintenant dans courtiers Web pour montrer à nos auditeurs comment on peut trouver tout ça.
Donc j'affiche maintenant la CIBC. Quand je regarde le symbole de la CIBC c'est ici.
Et les actions privilégiées, vous les voyez au bas de la fenêtre.
Il y a le .
pr, j'en choisis une.
Je signale aussi les avantages potentiels, notamment que c'est moins volatile. Ces actions ont tendance à connaître des variations de cours moins prononcé que la plupart des actions.
Mais garder à l'esprit aussi qu'en matière de risque, il y a moins de liquidités.
Donc il y a peu d'achat et de vente, peu de transactions sur ce genre de produit.
Donc il y a de plus grands écarts entre l'offre et la demande.
- Bon résumé!
Sur ce que sont les actions privilégiées.
Vous nous avez indiqué comment en trouver, ce genre d'action, sur courtiers Web.
Donc continuer de nous en parler! Classe si on veut voir un peu ce qui existe, on utilise la section des outils.
Et on va dans la fonction tri qui nous permet évidemment, le moule dit, de faire un tri.
Donc, ça s'affiche lentement mais sûrement.
On pourra voir les divers paramètres.
Donc je clique en anglais sur screening, j'efface les résultats antérieurs que j'avais obtenus, donc on pourrait commencer par le type d'action.
À ce moment-là, on peut décider de descendre tout de suite à actions privilégiées.
Je vais m'en tenir au Canada pour l'instant.
J'ai choisi Canada donc, et puis je clique sur deux autres critères: le volume.
Il y a un certain volume de transactions.
Et puis le rendement en dividende, puisque ce sont des produits qui servent pour les revenus, pour les investisseurs.
Donc on s'en tient au minimum disons 2000 actions transigées pour le dividende. Au moins 5 %.
Une fois ces paramètres établis, on voit les résultats.
Il y en a 238.
Ces classés en fonction des critères que j'ai indiqués.
D'abord, pourquoi c'est le numéro un ici?
On peut cliquer pour apprendre pourquoi c'est le numéro un.
On peut voir des explications rapide qui indiquent pourquoi c'est le premier nom qui figure dans cette liste.
- Très intéressant toujours!
Merci!
- Ça m'a fait plaisir.
- Hiren Amin formateur chez placement direct DTD.
Vérifier évidemment notre site pour obtenir des classes de maître savoir quelle webinaire on annonce avant de revenir à vos questions qui s'adressent à nous, voici un peu comment nous les envoyer.
Si vous avez des questions sur les placements ou encore sur les marchés, nos invités voudront vous entendre.
Envoyez-nous vos questions de façon de procéder comme toujours par courriel@moneytalklivetd.com, vous voyez l'adresse à l'écran, ou encore utiliser la case de questions au bas de l'écran.
Tapez votre question, cliquez sur envoyer et on verra si un de nos invités pour vous répondre immédiatement.
De retour avec Michael O'Brien pour parler des actions canadiennes.
Alors, vos perspectives pour ce qui est des banques canadiennes? Est-ce que c'est toujours sécuritaire?
- Il y a toujours un risque dans la vie, voyons ce qu'il en est des banques canadiennes.
Oui, je fais suite à ce que vous venez de dire.
En bout de piste, les banques, ce sont des institutions financières, il y a une certaine volatilité parfois, donc c'est ma mise en garde, mais quand on examine la situation actuelle, je vous dirai pour ce qui est des banques canadiennes, je me sens tout à fait en confiance. Pour ce qui est du cours des actions canadiennes d'ici trois 52 je ne peux pas vous dire ce qu'il en sera distillé deux ou trois prochains trimestres.
Parce que à très court terme, dans l'immédiat, il y a des vents de front.
Il est clair que les pertes liées auprès vont augmenter on ne sait pas de combien.
Il est clair aussi qu'il y aura des pressions pour ce qui est de la croissance des prêts, probablement que ça va un peu ralentir.
De plus, il y aura dépression, puisque les dépôts vont coûter plus cher pour plusieurs banques.
Les banques, origine de ne rien payait pour nos comptes d'épargne, devront peut-être verser un certain intérêt.
Donc, il est clair qu'il y a des vents de face dans ce secteur d'activité.
Mais si je me sens en confiance, pour ce qui est de la situation dans trois à cinq ans, il y a deux raisons d'abord.
Sur le plan fondamental, c'est banques sont conçus pour tenir le coup dans ce genre de situation. Éléments canadiennes sont très régulières et bien capitalisées, et bien réglementé.
Même quand elle se trompe, les responsables des réglementations vont les rappeler à l'ordre, contrairement à ce qui se passe aux États-Unis.
Par conséquent, il est clair pour moi que cet été, qui va être un test de stress, les pertes liées auprès vont grimper, mais pas autant que certains investisseurs se l'imaginent.
Après coup, je pense qu'on aura compris encore une fois que les banques sont tout à fait solides.
- Donc c'est ma première raison pour laquelle je suis optimiste à plus long terme.
Ma deuxième raison maintenant, c'est tout simplement qu'elles offrent une belle valeur.
Quand on voit le cours de ses actions bancaires, historiquement, les multiples cours bénéficient des dividendes, dans les deux cas, c'est tout à fait attractif, ce qu'on nous offre aujourd'hui.
En fonction de votre horizon d'attente et de votre tolérance aux manchettes et peut rendre qui vont peut-être venir cet été, je pense qu'à court terme, ce sera un peu chaotique, mais à long terme, ça paraît tout à fait intéressant.
- Une autre question au sujet d'une nouvelle récente: c'est offre de la part de Glenn pour d'acheter ressources est-ce que c'est bon pour les investisseurs?
- C'était bon pour les investisseurs hier puisque le cours grimpait de 19 ou 20 %.
Mais si je veux répondre à votre question, je vous dirai que c'est bon pour les investisseurs, ne serait-ce que parce que ça fait en sorte qu'il est évident pour nous tous, pour le cas où on l'aurait oublié, que Teck Resources, c'est très intéressant pour les acheteurs stratégiques. En d'autres mots, d'autres minières, notamment du côté du cuivre, ils ont une nouvelle mine de cuivre qui a été lancé qui sera très importante pendant de longues années.
Et donc, c'est clair que c'est tout à fait positif pour les investisseurs.
Cela dit, ce qu'il faut vraiment comprendre dans ce cas, c'est que Teck Resources a une structure d'action à des catégories, des actions de catégorie B que les investisseurs comme nous achetons, et ce n'est pas nous qui contrôlons la compagnie.
Ce sont les détenteurs d'actions de catégorie A, notamment une famille qui détient une grande partie de ses actions.
Le fait que Glenn coure a fait une offre hostile, ça n'a aucune possibilité de réussir.
Il faut que la famille Kebar soit d'accord.
D'après les dépêches de presse, à tout le moins en fonction de l'offre de la part de Glenn Corre, la réponse c'est nettement non.
Donc la question est intéressante.
Glenn Corre évidemment comprend qu'on ne peut pas réussir par une offre hostile. Pourquoi ils ont fait ça maintenant?
Il peut y avoir diverses raisons.
Manifestement, Tech on payera, va se séparer en deux, et Glenn Corre s'insère dans le contexte.
Glenn Corre a de l'intérêt dans tout ça.
Car ce que Tech va vendre, c'est ces opérations du côté du charbon.
C'est important pour Glenn Corre, notamment.
Alors que cherche Glenn Corre dans tout ça?
Ce n'est pas clair.
Pour moi, je reviens la question de votre auditeur: c'est bon pour les investisseurs.
- Très intéressant, on reviendra à vos questions tout à l'heure.
Assurez-vous de faire vos propres recherches monde prend des décisions de placement.
Communiquer avec nous comme vous le voulez, si vous voulez poser des questions sur les placements sur les marchés, nos invités veulent vous entendre.
Envoyez-nous vos questions!
De façon de procéder: par courriel comme toujours un moneytalklivetd.com ou encore tapez votre question dans la case prévue à cet effet.
Au bas de l'écran.
Tapez votre classification et cliquer.
On verra si un de nos invités pour vous répondre ici-même.
Donc que les ventes résidentielles au Canada. Il y a des changements est-ce qu'il y aura un rebondissement pendant la deuxième moitié de l'année où c'est encore des faiblesses?
- Anthony Okolie a examiné la question pour ce qui est du marché de l'immobilier dans les provinces.
- Oui, on prévoit que les ventes résidentielles en 2023 connaîtront une plus grande croissance pendant la deuxième moitié de l'année.
Pour soutenir tout ça, on dit qu'il faut tenir compte des facteurs fondamentaux.
Les revenus et la disponibilité des résidences que l'écart se resserre.
À plus court terme, un marché du travail plus resserré devrait être intéressant alors que même si le ralentissement économique.
Donc il n'y aura probablement pas de réduction du prix des ventes de maisons, d'après service économique TD.
Et la reprise va être limitée.
On prévoit que les ventes seront plus faibles qu'avant la pandémie pendant 2024.
Par contre, les prix des maisons au Canada, les résidences au Canada, ont sans doute atteint de leur creux pendant la deuxième moitié, du troisième trimestre 2023.
En moyenne, duplique au creux, une chute de 21 %.
J'ai apporté ici un tableau qui illustre tout ça.
Ces chiffres sont négatifs à cause de départ négatif en ce début d'année.
Donc l'Ontario et la Colombie Britannique.
Il y aura une plus grande hausse de la croissance des ventes cette année, en 2023 probablement ce sera la moins bonne année depuis le début des années 2000 dans ces deux provinces.
Quand il s'agit maintenant du prix des maisons, des résidences, on voit un peu ce qui se passe en Ontario et en Colombie Britannique.
La région de l'Atlantique, notamment la Nouvelle-Écosse peut en pâtir.
Il y aura un ralentissement des migration interprovinciale et un ralentissement de la hausse des prix des maisons.
On pense que les prix vont mieux tenir temps des provinces comme le Québec ou dans les prairies, notamment en Saskatchewan.
On prévoit que tout ça va se maintenir en 2024 à cause d'une meilleure portabilité dans les prairies par opposition à d'autres régions du pays.
- Très bien! Merci beaucoup!
Quels sont les risques donc?
- Les principaux risques ce sont les changements réglementation.
Des règles plus serrées pour les conditions de prêt et les tests de stress.
Il y a aussi la possibilité qu'il y ait une plus grande volatilité dans les marchés financiers.
Une moins bonne croissance économique prévue, dans ce cas y aura peut-être plus de perte d'emploi.
Ce qui serait mauvais pour la demande de résidence et pour les prix des résidences. De plus, tous les risques ne sont pas à la baisse.
Par exemple il pourrait y avoir des ventes qui grimperaient plus rapidement, ce qui aiderait les prix des ventes des maisons P.
- Toujours intéressant, Anthony.
Merci beaucoup!
C'était Anthony Okolie.
Maintenant les marchés boursiers: l'affaiblissement, une baisse de 41 points à Toronto.
On a vu ce qui s'est passé du côté du pétrole.
Maintenant à 2B mineurs 11, les matières premières, c'est plus faible.
Une baisse de presque 6 %.
Lors avait un peu grimpé, voyons un peu saine – cause: sa faucille.
Laurie faire grimper un peu, on le voit à l'écran, une hausse de plus de 3 %.
Au sud de la frontière, c'est plus faible aussi.
Presque 30.
À la baisse.
Maintenant, Nasdaq, secteur technologie, c'est à peu près la même chose.
Une baisse de 89.
Ou trois cordes pour cent.
Bank of America, on part du secteur financier, qu'en est-il dans ce contexte?
Une baisse d'un peu plus de 3 %.
Nous retrouvons Michael O'Brien pour parler des actions canadiennes.
Alors, qu'est-ce qu'on pense d'alimentation Couche-Tard, étant donné qu'on passe aux véhicules électriques?
- Oui.
Écoutez, en fait, c'est très intéressant, la situation.
Alimentation Couche-Tard, ça été brillant de leur part ou un accident de parcours, vrai coup de chance?
Il y a un certain nombre d'années ils ont fait une grande acquisition d'un certain nombre, d'une chaîne dans des pays scandinaves, notamment en Norvège.
Et ces dernières années, la Norvège a été un des premiers docteurs des véhicules électriques.
Quand on voit le taux de pénétration des véhicules électriques en Norvège, c'est bien en avance sur l'Amérique du Nord.
Alors ce qui s'est produit, au fond, c'est que Couche-Tard a pu bénéficier de laboratoire en temps réel pour voir, pour comprendre quels réajustements seront nécessaires afin d'effectuer la transition de la station-service conventionnelle de l'essence vers l'évolution si vous voulez de la station-service, qui s'occupera plutôt de véhicules électriques.
La bonne nouvelle donc pour les actionnaires, c'est qu'en dépit de cette augmentation importante du taux de véhicules électriques en Norvège, ils s'en sont très bien tirés.
Ils se sont adaptés.
Par exemple, ça prend plus de temps pour recharger un véhicule électrique que de mettre de l'essence dans le réservoir.
Donc les gens entre magasins ils ont plus de temps pour acheter.
Donc leur apprentissage dans un contexte réaliste, leur permet de prévoir ce qui se passera au moment de la transition l'Amérique du Nord, tirer parti de ce qu'ils ont appris en Scandinavie pour l'appliquer en Amérique du Nord.
Ça leur donne une longueur d'avance sur leurs concurrents.
Alors avant que vous ne repartiez, je reviens un peu ce qu'on disait au début de l'émission.
Il se passe beaucoup de choses.
On essaie de comprendre que les banques centrales vont faire, l'OPEP nous a étonné, volatilité dans les banques régionales aux États-Unis.
Un investisseur veut prendre un peu de recul et comprendre la réalité.
Qu'est-ce qui devrait se dire?
- C'est toujours important pour nous de ne pas nous laisser emporter.
C'est drôle, vous le savez, en dépit des manchettes pessimistes depuis un mois, deux mois ou trois mois, Nasdaq au sud de la France a connu son meilleur trimestre depuis des années.
D'une part ne veut pas se laisser emporter par le pessimisme, et par ailleurs, il ne faut pas être naïf.
Ça va être difficile pour l'économie.
Pendant une certaine période, économie peut faire un peu autre chose pour ce que fait des marchés boursiers, missions l'Amérique du Nord, tôt ou tard, et dormiez d'autres marchés, en Europe du Nord notamment, les conséquences des resserrements de la part des banques centrales auront des conséquences dans l'économie.
Le taux de chômage va grimper.
Il y aura plus de faillite.
Toutes ces choses vont se produire.
Donc nous devons toujours nous demander dans quelle mesure les cours actuels en tiennent compte?
Si je peux essayer de prédire quelque chose, c'est qu'il y aura de la volatilité dans les mois à venir et beaucoup d'incertitudes.
Mais je pense qu'on en ressortira et que par la suite, le monde va continuer de tourner et que nous devons continuellement revoir quels sont les risques et les réévaluer pour voir si le cours des actions sont réalistes, et qu'on s'est valable, on investit, on achète, sinon on attend et on est patient.
C'est toujours la même histoire.
En dépit des manchettes qui paraissent pessimistes.
- Toujours un plaisir de vous accueillir, Michael.
La prochaine fois!
Merci à Michael O'Brien nous avons parlé aujourd'hui.
Demain, Peter Watson fondateur à recherche chez Fahy result parler des actions de compagnies de taille moyenne.
Envoyez-nous vos questions d'avance.
Surtout pour nous aujourd'hui, merci d'avoir été des nôtres et à demain!
Il se Greg Bonnell, bienvenue à parlons argent en direct notre mission quotidien de placement direct et des. Nos invités comprendront l'actualité des marchés, la commenterons et répondrons à vos questions sur les placements.
Aujourd'hui donc, nous allons aborder les perspectives pour les actions canadiennes alors qu'on suit ce qui se passe dans le secteur de l'énergie et des financements.
Michael O'Brien gestionnaire de portefeuille sera notre invité. Plus tard Anthony Okolie va aborder le domaine de l'immobilier résidentiel. Alors, nous allons aussi accueillir Erin Amine qui va nous parler de la façon d'utiliser courtiers Web.
Pour aborder les actions privilégiées.
Alors, faisons d'abord une mise à jour.
Donc, c'est un peu modeste comme avancée.
À la suite de l'annonce de la réduction de production de l'OPEP astique qui a fait grimper certaines actions.
Donc la SCP TSX composite a baissé de presque 46., Un quart de pour cent. Kinross Gold, lors grimper un peu aujourd'hui et ça grimpe un peu plus fort maintenant depuis que j'ai vérifié la dernière fois.
Kinross Gold une hausse de 5,6 %.
Du côté des mines d'uranium, Denison Mines à la baisse.
Une baisse de 5 %. Au sud de notre frontière, des résultats mixtes, un peu à la baisse, rien de prononcer.
Le SCP 500 pour la principale disposée aux États-Unis, une baisse d'un peu plus de demi pour cent. Le Nasdaq a maintenant qui a une baisse de 55; un peu moins de demi pour cent de baisse.
La république baigne que, les préoccupations pour ce qui est des banques régionales États-Unis donc que 13,80 $ l'action, une baisse de plus de 5 %.
Nous semblons être au croisement des routes un carrefour pour les deux grands secteurs du TSX. À la suite de la réduction de la production de l'OPEP, et des préoccupations du côté du secteur énergie, et par ailleurs, du secteur bancaire. Michael O'Brien gestionnaire de portefeuille va nous en parler.
Bienvenue ! Merci!
- Voici ce qu'il y a de plus important sur le TSX. Il y a beaucoup de manchettes à l'heure actuelle. Commençons par le secteur de l'énergie.
À la suite de la décision de l'OPEP pendant la fin de semaine, qu'est-ce que ça signifie?
- Alors je pense que si on examine ce qui se passe du côté du secteur énergie depuis un mois et demi ou deux mois, jusqu'à l'annonce de l'OPEP, enfin, on pourrait résumer en disant qu'il avait des préoccupations pour ce qui est des perspectives économiques. C'est un peu pessimiste.
Bien des gens se concentraient sur la question de savoir s'il y avait une récession possible, et qu'est-ce que ça signifierait. La baisse des prix du pétrole influence en sorte que les gens se sont dits qu'en définitive, cette section annonçait.
Je pense que l'annonce de l'OPEP qui a prie les gens un peu par surprise à rappeler aux investisseurs que c'est bidirectionnel, c'est-à-dire que les gens s'emportent un peu trop pour ce qui est des mauvaises nouvelles, les mauvaises perspectives, mais on oubliait ça été indiqué clairement maintenant, qu'il y a des gens qui s'occupent de ce marché, l'OPEP, vous savez, nous a indiqué clairement qu'il ne souhaite pas que les prix du pétrole baissent trop. Ils sont intervenus et vont défendre le prix du pétrole. Et ça, ça change la donne, évidemment. Ça devient plus équilibré.
Il y a des préoccupations matière d'économie, ça ne disparaît pas. Peut-être les conséquences possibles sur la demande.
Mais maintenant, on nous rappelle que du côté de l'offre, il y a une offre limitée et que les grands acteurs vont faire leur part pour s'assurer que les cours du pétrole ne se trompent pas trop.
Quand on revient maintenant la question des actions, nous sommes aujourd'hui, c'est environ 80 $ pour le pétrole.
Et il y a eu une amélioration du cours du pétrole. Dans l'ouest du Canada.
Donc, dans ce genre de situation, ces compagnies deviennent très rentables.
En dépit des perspectives négatives ou si vous voulez des préoccupations.
De façon générale, il reste tout un groupe d'actions qui sont très rentables et qui vont envoyer beaucoup d'actions actionnaires cette année.
Donc l'énergie à sa propre façon de réagir à nos réalités économiques.
Cette réduction de production de départ de l'OPEP, maintenant du côté des compagnies financières, aussi il y a eu des inquiétudes. J'ai montré un peu ce qui se passe du côté d'une banque régionale États-Unis. Il y a dépression. Est-ce que c'est terminé, c'est préoccupations?
- Je pense que ce qu'on voit ce qu'il y a encore des inquiétudes. J.P. Morgan, son PDG, Monsieur Diamond qui est respecté dans le domaine on voit un bulletin, une lettre aux actionnaires pour dire que ce n'est toujours pas réglé. Il va encore y avoir une voie chaotique.
Les crises financières, ça vient par vagues.
Et il faut nous attendre quand même à ce qu'il y a une certaine flambée, des piques et des creux, mais je pense que les autorités les banques centrales, les responsables de la réglementation agiraient rapidement dans ce genre de situation.
Les choses semblent ainsi stabiliser, au moins pour ce qui est des données quant au dépôt dans les banques.
Et tout ça semble indiquer que ce n'est pas tout à fait normal encore, il y a encore dépression et de détention, mais à tout le moins, les peurs les plus prononcés semblent reculer.
L'idée que les gens retirent leur dépôt des banques, non, ça se stabilise.
Ça se stabilise, je ne dirais pas qu'on est sorti du bois mais c'est mieux qu'il y a trois ou quatre semaines. Sachez bien ce qu'on espérait. Qu'on pourrait contenir les dégâts, les limiter, qu'il y a une ou deux banques les mals gérés son bilan que ce ne doit pas affecter tout le système.
- Oui, la bande dessinée corne vallée, idiosyncrasique, des cas particuliers. Ces banques s'étaient organisées de manière telle que ce n'était pas très prudent.
Les autres banques n'avaient pas tombé victime du même piège.
- Oui.
Si vous avez vécu la crise financière de 2008, 2009, et bien nous avons appris à la dure qu'il faut être prudent quand on dit que quelque chose est un cas particulier, car souvent, ce qui semble cas particulier, ça s'avère que ce n'est pas économique. Il y a peut-être d'autres qui font pareil. Exactement.
Dans 7-6, encore une fois, je pense que nous sommes bien placés. Quand on recule et qu'on fait l'autopsie de la Silicon Valley bien que et de ce qui a mal été, ils ont commis des erreurs manifestent.
Ils étaient trop concentrés dans un certain type de base de clientèle. Leur dépôt a dépassé de diversification, leurs actifs, et leur passif n'était pas bien aligné.
Donc de graves erreurs. Et c'est très particulier.
C'est l'idiosyncrasie. Mais je vous dirai ceci: la cause première de ce qui a entraîné le problème dans cette banque, c'est la hausse rapide des taux d'intérêt.
Et ce n'est pas propre à la Silicon Valley bien que.
Et certaine dépression que nous avons constatée ont des conséquences sur un certain nombre de manques régionale aux États-Unis.
Plus ou moins, on peut trouver le même genre de conséquences pour plusieurs banques.
Et les gens surveillent maintenant d'ailleurs d'un peu plus près je vous dirai à la loupe ou au microscope les actifs qui figurent au bilan. En d'autres mots, reçoit un dépôt, et on le place dans une obligation d'épargne des États-Unis sur cinq ans alors que les taux d'intérêt est beaucoup plus faire. Ce n'est pas que la Silicon Valley d'un qui a fait ça, ils ont fait plus que d'autres que c'était moins bien géré, mais dans une plus grande mesure, c'est ce qu'on va trouver dans d'autres banques et c'est là que ça devient important comme investisseurs d'essayer de bien distinguer.
La situation de la Silicon Valley bien que. Et puis la situation des autres banques dans lesquels on veut placer son argent.
- On va parler certainement des banques canadiennes.
- On pourrait parler aussi du crédit suisse, mais ici, au pays, il y a eu des pressions à la baisse aussi.
- Oui tout à fait. Encore la cause problème première de tous ces problèmes et une hausse très rapide des taux d'intérêt de la part de la banque du Canada et de la Fed américaine.
Sacré dépression sur le système. Mais ensuite, quand on veut distinguer et comprendre comment distinguer les banques qui sont véritablement difficultés par opposition à celles qui sont plus résiliences, je pourrais vous dresser une liste très longue des raisons pour laquelle banquent canadiennes sont différentes.
Tout simplement si je résume, la grande différence, c'est que quand on regarde la nature des dépôts pour les cinq ou six grandes banques pays, c'est très diversifié.
Alors que la Silicon Valley bien que, là-bas, ils avaient un problème.
Parce qu'il y avait beaucoup de clients qui ont retiré leur dépôt.
La plupart de leurs clients, c'était des gens qui plaçaient dans le capital de risque et qui avait besoin d'argent rapidement car ils dépassaient rapidement.
Alors si on parle de la tétée, avant de Montréal et de la Banque Royale, la source, la diversité du financement lié à ces banques ici au Canada, c'est beaucoup plus stable. Et tout ce que j'entends dire jusqu'à présent, c'est qu'on ne constate pas le même genre de chaos, de retrait du système bancaire canadien.
En bout de piste, s'il n'y a pas ses pressions pour ce qui est des dépôts, on n'a pas tellement à s'occuper des problèmes qui ont affaibli la Silicon Valley bien que.
Donc s'il n'y a pas ce genre de pression, on peut tenir le coup.
Je pense donc à tout le moins, ce que nous avons vu jusqu'à présent, on ne peut pas dire idiosyncrasique, et que c'est simplement des cas particuliers, mais quand on compare la situation canadienne, nos banques sont beaucoup mieux placées pour ce qui est de résister aux pressions sur les liquidités. Il est important de garder en tête, bon début d'émission!
Michael O'Brien reviendra pour répondre à vos questions. Vous pouvez communiquer avec nous à tout moment en utilisant l'adresse courriel à l'écran moneytalklivetd.com ou en cliquant sur votre question encore prévue à cet effet au bas de l'écran.
Qu'est-ce qui se passe dans le monde des affaires?
Voyons un peu.
Fort de prévoir une augmentation de 10 % de ses ventes de voitures États-Unis pour le premier trimestre en comparaison de l'an dernier.
Le fabricant de voitures a vendu 473 000 véhicules pendant ces trois mois, notamment des camionnettes F 150.
Et les V US bronco.
Et pour ce qui est du secteur du véhicule électrique, ça un peu grippé mais ce n'est que 2 % de leurs ventes.
Vers une orbite aux États-Unis sa place sous la loi de la protection contre la faillite.
Il cesse leurs opérations pendant une année prévisible, distille. Ils ont éprouvé une difficulté technique dans l'une de leurs fusées en janvier, et ont subi des conséquences.
Il y a des indications à l'effet que les taux d'intérêt ambitieux de la part de la Fed auraient peut-être des conséquences sur le marché du travail.
Et les nouveaux emplois.
Il y en a maintenant moins de 10 millions au sud de notre frontière, en février.
Les taux d'intérêt ont grimpé, mais le marché du travail et les dépenses des consommateurs sont très résiliences.
Donc les bourses maintenant. D'abord le TSX, une petite baisse d'environ d'un corps de pour cent. Alors que le cours du pétrole après avoir beaucoup grimpé hier se trouve autour de 80 $ le baril. Au sud de la frontière, ça grimpé ça rabaisse, ça aussi. Une baisse de 27..
Nous retrouvons Michael O'Brien pour répondre à vos questions sur les actions canadiennes.
Nous revoyons un peu les hausses des prix des matières premières.
Qu'est-ce que ça signifie par rapport aux risques de récession?
- Je pense que cette question cherche à savoir comment il se fait que les prix des matières premières peuvent grimper alors que il y a beaucoup de nouvelles pessimistes.
Alors au fond, il y a deux aspects à la question, ou de côté à la médaille.
Premièrement, s'il y a un ralentissement économique, s'il y a une récession, ça aura des conséquences clarinettes sur les matières premières.
C'est cyclique par définition, ces actions ont tendance à dépendre de la croissance mondiale.
Donc il est clair que si on avait un contexte de croissance économique plus laborieux, ça aurait des conséquences sur le prix des matières premières.
Par ailleurs, en fonction de la matière première qu'on examine, il y en a qui sont plus sensibles que d'autre croissance économique, par exemple, le pétrole.
C'est moins sensible à la demande que certaines autres matières premières. Par exemple l'acier. Les produits agricoles.
C'est moins volatile.
Mais ils vont plus ou moins tous en subir les conséquences.
Ce sur quoi nous concentrer quand on se demande quelles seront les plus résiliences ou qu'elle pourrait résister à la tendance générale et tenir le coup ou même grimpé. Ça revient la question de l'offre. Y a une grande offre qui pourra faire en sorte de tenir compte de la réduction de la demande?
Ou est-ce qu'on maîtrise l'offre? Le peuple qui retire une partie de l'offre, qui resserre l'offre, qui rééquilibre l'offre et la demande.
Je pense que chaque matière première est un cas particulier, si vous voulez, il s'agit de voir lesquels du côté de l'offre pourront résister en atténuant à tout le moins les pressions du côté de la demande attribuable à une réduction de la croissance économique. L'OPEP nous a étonné, en fin de semaine, les gens disent: ils ne veulent par que le cours du pétrole soit trop élevé.
Mais est-ce que l'OPEP envisage pour un proche avenir que la demande va encore faiblir?
- En fait, l'OPEP est beaucoup plus comprend beaucoup mieux la demande mondiale que nous. Comme investisseurs. Donc nous ne serons pas véritablement complètement ce que la réponse à cette question, on le sera donc six mois.
Peut-être que l'OPEP a compris quelque chose que nous on n'a pas encore vu.
Par ailleurs, l'OPEP est frustré, parce qu'ils n'ont pas réussi à maîtriser le narratif comme on dit.
Ils ont perdu le contrôle. Et je pense que c'est un effort de leur part de se réaffirmer.
Comme je l'ai dit, ils sont plus au courant que nous pour ce qui est de la demande en temps réel, mais je ne peux pas vous dire aujourd'hui exactement ce qui les a motivés à agir.
- Une autre question sujet de secteur de la vente au détail: Nordstrom qui quitte le Canada, qu'est-ce que ça signifie pour le secteur de la vente au détail au Canada?
- Nordstrom n'avait pas une très grande présence pour ce qui est du mont d'une agression Canada.
Ils sont arrivés assez récemment, et maintenant il retourne au sud de la frontière.
La queue entre les jambes.
Ça été difficile.
Les magasins rayons depuis un certain temps. Donc il se retire. Pour ce qui est des conséquences directes sur le Canada, ça ne va pas changer grand-chose, mon avis.
Avec une demi-douzaine de magasins en pays.
En soi, ce n'est pas très grave. Mais c'est encore un exemple des façons dont les modes de magasinage changent, que ce soit sur Cusco dans les grands magasins, ou en ligne sur Amazone.
C'est un modèle affaire est un peu compliqué.
Par ailleurs aussi, si on réfléchit à d'autres facteurs, c'est là un bon exemple de certains des défis auxquels font face les propriétaires d'immobilier commercial.
Ça revient un peu ce qu'on dit sur les banques, les banques régionales aux États-Unis, qui ont beaucoup de prêt.
Elles ont à faire à l'immobilier commercial.
À Toronto, le (...
) ou le mail (..
.) quand Nordstrom aura fermé son magasin, c'est un tout.
Dans le centre d'achat. Beaucoup de propriétaires de ces centres d'achat vont en pâtir. On pourrait en dire autant pour ce qui est du secteur des bureaux, des tours à bureaux dans les centres-villes.
Après la pandémie, il y a eu toutes sortes de changements et ça devient plus difficile pour ces catégories d'actifs.
Il y aura des temps difficiles pour certaines de ces compagnies, les propriétaires du mobilier qui détienne beaucoup de tours à bureaux et qui ne sont pas parmi les meilleurs actifs, disons, depuis ma fenêtre, je vois des planchers entiers, les états gentils qui sont vident à Toronto.
Dans les villes canadiennes, c'est très marqué.
- Il y a des pressions de ce côté, je vous dirai que de la bande du côté de la vente au détail, c'est un peu semblable.
Nordstrom père, en soi ce n'est pas grave, mais ça représente quelque chose, c'est-à-dire les pressions sur cette catégorie d'actifs.
- Autre question: est-ce que les fabricants d'automobiles Canada comme magnats de pièces automobiles vont tirer parti de la production de véhicules électriques?
- Question intéressante.
La bonne façon de réfléchir à la tradition vers les véhicules électriques à mon avis, pour un intervenant comme magnats, ce n'est pas tellement de savoir que c'est une occasion ou pas, c'est plutôt qu'ils doivent participer à cette participation.
Leurs clients vont l'exiger.
Donc ils vont se réajuster, ils ont pris déjà des mesures pour tenir compte de cette transition depuis un certain nombre d'années.
Nous faisons des acquisitions, des compagnies qui ont des habilités, des compétences vont développer leurs propres compétences.
Mais je dirais que ça, c'est le coup quand on veut rester en affaires.
Enfin quand, ils vont effectuer la transition, ils vont être fournisseurs clés pour les grands fabricants automobiles Canada. Du point de vue du placement, ils vont devoir dépenser beaucoup d'argent pour y parvenir.
Ça ne sera pas évident pour rester en affaires, pour rester pertinent, ils vont être obligés de beaucoup investir et c'est de l'argent qui ne sera pas renvoyé dans les poches des investisseurs.
Ils vont y arriver, mais il y a des ambiguïtés.
Avant on disait qu'une portière était une portière, qu'il s'agisse de véhicules électriques ou pas, mais il y a d'autres pièces y comprit le moteur.
\Oui, comme le moteur. Après tout c'est quand même important!
Ça paraît petit mieux moteur est important, n'est-ce pas?
- Bon c'est vrai pour tous les fournisseurs de pièces d'automobiles.
Il y a certains secteurs d'activité de magnats qui vont perdre leur transition et d'autres secteurs d'activité de magnats qui vont y gagner. On peut espérer que si on continue d'investir de façon intelligente, et qu'on prend les devants, au fur et à mesure que la transition va se produire, si on perd d'un côté, on gagne d'un autre côté.
Grâce à l'adoption des véhicules électriques.
C'est le jeu qu'ils doivent réussir et ils le savent.
Comme je l'ai indiqué, il faut faire preuve de prudence comme investisseurs car ils devront dépenser pour y arriver.
- Assurez-vous de faire vos propres recherches avant de prendre des décisions en matière de placement. On reviendra à Michael O'Brien dans un instant.
Je vous rappelle que vous pouvez communiquer avec nous par courriel à l'adresse qui figure à l'écran.
Maintenant secteur de l'éducation.
Les actions privilégiées, cette petit actif disponible sur courtiers Web.
Il y a des outils pour vous aider. Donc Hiren Amin qui travail dans le secteur va nous en parler.
Je suis ravi de vous accueillir.
Les gens qui viennent pour la première fois nous écouter ne savent peut-être pas ce que c'est que des actions privilégiées.
- Oui.
La plupart des investisseurs connaissent les actions privilégiées.
Mais on connaît en général les actions, pas forcément les actions privilégiées, je dirais.
Quand les compagnies veulent obtenir plus de capital, il y a deux façons de le faire. En émettant des actifs ou des créances.
Donc on peut offrir des actions ordinaires des actions privilégiées.
Les actions privilégiées, c'est un peu comme un modèle hybride.
Qui offre un peu comme une action, certaines caractéristiques des caractéristiques, des obligations.
Donc il y a des versements fixes sous la forme de dividendes, c'est comme pour les obligations, mais il y a aussi le cours de l'action comme pour une action qui peut grimper ou chuter.
C'est la raison pour laquelle les actions privilégiées, on dit parfois que c'est une obligation sans date de péremption.
Donc que les détenteurs de ses obligations occupent une position supérieure à celle des détenteurs d'actions ordinaires.
Et je vous dirai qu'il y a quatre types de catégories d'actions privilégiées.
D'abord, celles qui sont à taux fixe révisé, les actions privilégiées avec des dividendes qui seront fixes pendant un certain temps, disons cinq ans, et ensuite, c'est révisé à une certaine date en fonction des taux qui sont établis d'avance qui est supérieure à la fourchette sur cinq ans des obligations dépend du Canada.
Et si la structure de placement la plus utilisée dans ce domaine.
Le deuxième type maintenant, ce sont ce qu'on appelle les perpétuels, les dividendes à taux fixe pendant toute la durée de vie des actions.
Mais l'émetteur en d'autres mots la compagnie, peut les racheter à 1, Cours fixe d'ici une certaine date.
Ensuite, ce sera un taux variable, la troisième catégorie.
Actions privilégiées à taux variable, c'est réajusté en fonction des taux d'intérêt, par exemple taux en cours des marchés, et finalement, les rachetables.
La compagnie a ce moment la règle investisseurs plutôt à la possibilité de les revendre.
À l'émetteur, un certain courrier a été établi d'avance.
Donc je vais aller maintenant dans courtiers Web pour montrer à nos auditeurs comment on peut trouver tout ça.
Donc j'affiche maintenant la CIBC. Quand je regarde le symbole de la CIBC c'est ici.
Et les actions privilégiées, vous les voyez au bas de la fenêtre.
Il y a le .
pr, j'en choisis une.
Je signale aussi les avantages potentiels, notamment que c'est moins volatile. Ces actions ont tendance à connaître des variations de cours moins prononcé que la plupart des actions.
Mais garder à l'esprit aussi qu'en matière de risque, il y a moins de liquidités.
Donc il y a peu d'achat et de vente, peu de transactions sur ce genre de produit.
Donc il y a de plus grands écarts entre l'offre et la demande.
- Bon résumé!
Sur ce que sont les actions privilégiées.
Vous nous avez indiqué comment en trouver, ce genre d'action, sur courtiers Web.
Donc continuer de nous en parler! Classe si on veut voir un peu ce qui existe, on utilise la section des outils.
Et on va dans la fonction tri qui nous permet évidemment, le moule dit, de faire un tri.
Donc, ça s'affiche lentement mais sûrement.
On pourra voir les divers paramètres.
Donc je clique en anglais sur screening, j'efface les résultats antérieurs que j'avais obtenus, donc on pourrait commencer par le type d'action.
À ce moment-là, on peut décider de descendre tout de suite à actions privilégiées.
Je vais m'en tenir au Canada pour l'instant.
J'ai choisi Canada donc, et puis je clique sur deux autres critères: le volume.
Il y a un certain volume de transactions.
Et puis le rendement en dividende, puisque ce sont des produits qui servent pour les revenus, pour les investisseurs.
Donc on s'en tient au minimum disons 2000 actions transigées pour le dividende. Au moins 5 %.
Une fois ces paramètres établis, on voit les résultats.
Il y en a 238.
Ces classés en fonction des critères que j'ai indiqués.
D'abord, pourquoi c'est le numéro un ici?
On peut cliquer pour apprendre pourquoi c'est le numéro un.
On peut voir des explications rapide qui indiquent pourquoi c'est le premier nom qui figure dans cette liste.
- Très intéressant toujours!
Merci!
- Ça m'a fait plaisir.
- Hiren Amin formateur chez placement direct DTD.
Vérifier évidemment notre site pour obtenir des classes de maître savoir quelle webinaire on annonce avant de revenir à vos questions qui s'adressent à nous, voici un peu comment nous les envoyer.
Si vous avez des questions sur les placements ou encore sur les marchés, nos invités voudront vous entendre.
Envoyez-nous vos questions de façon de procéder comme toujours par courriel@moneytalklivetd.com, vous voyez l'adresse à l'écran, ou encore utiliser la case de questions au bas de l'écran.
Tapez votre question, cliquez sur envoyer et on verra si un de nos invités pour vous répondre immédiatement.
De retour avec Michael O'Brien pour parler des actions canadiennes.
Alors, vos perspectives pour ce qui est des banques canadiennes? Est-ce que c'est toujours sécuritaire?
- Il y a toujours un risque dans la vie, voyons ce qu'il en est des banques canadiennes.
Oui, je fais suite à ce que vous venez de dire.
En bout de piste, les banques, ce sont des institutions financières, il y a une certaine volatilité parfois, donc c'est ma mise en garde, mais quand on examine la situation actuelle, je vous dirai pour ce qui est des banques canadiennes, je me sens tout à fait en confiance. Pour ce qui est du cours des actions canadiennes d'ici trois 52 je ne peux pas vous dire ce qu'il en sera distillé deux ou trois prochains trimestres.
Parce que à très court terme, dans l'immédiat, il y a des vents de front.
Il est clair que les pertes liées auprès vont augmenter on ne sait pas de combien.
Il est clair aussi qu'il y aura des pressions pour ce qui est de la croissance des prêts, probablement que ça va un peu ralentir.
De plus, il y aura dépression, puisque les dépôts vont coûter plus cher pour plusieurs banques.
Les banques, origine de ne rien payait pour nos comptes d'épargne, devront peut-être verser un certain intérêt.
Donc, il est clair qu'il y a des vents de face dans ce secteur d'activité.
Mais si je me sens en confiance, pour ce qui est de la situation dans trois à cinq ans, il y a deux raisons d'abord.
Sur le plan fondamental, c'est banques sont conçus pour tenir le coup dans ce genre de situation. Éléments canadiennes sont très régulières et bien capitalisées, et bien réglementé.
Même quand elle se trompe, les responsables des réglementations vont les rappeler à l'ordre, contrairement à ce qui se passe aux États-Unis.
Par conséquent, il est clair pour moi que cet été, qui va être un test de stress, les pertes liées auprès vont grimper, mais pas autant que certains investisseurs se l'imaginent.
Après coup, je pense qu'on aura compris encore une fois que les banques sont tout à fait solides.
- Donc c'est ma première raison pour laquelle je suis optimiste à plus long terme.
Ma deuxième raison maintenant, c'est tout simplement qu'elles offrent une belle valeur.
Quand on voit le cours de ses actions bancaires, historiquement, les multiples cours bénéficient des dividendes, dans les deux cas, c'est tout à fait attractif, ce qu'on nous offre aujourd'hui.
En fonction de votre horizon d'attente et de votre tolérance aux manchettes et peut rendre qui vont peut-être venir cet été, je pense qu'à court terme, ce sera un peu chaotique, mais à long terme, ça paraît tout à fait intéressant.
- Une autre question au sujet d'une nouvelle récente: c'est offre de la part de Glenn pour d'acheter ressources est-ce que c'est bon pour les investisseurs?
- C'était bon pour les investisseurs hier puisque le cours grimpait de 19 ou 20 %.
Mais si je veux répondre à votre question, je vous dirai que c'est bon pour les investisseurs, ne serait-ce que parce que ça fait en sorte qu'il est évident pour nous tous, pour le cas où on l'aurait oublié, que Teck Resources, c'est très intéressant pour les acheteurs stratégiques. En d'autres mots, d'autres minières, notamment du côté du cuivre, ils ont une nouvelle mine de cuivre qui a été lancé qui sera très importante pendant de longues années.
Et donc, c'est clair que c'est tout à fait positif pour les investisseurs.
Cela dit, ce qu'il faut vraiment comprendre dans ce cas, c'est que Teck Resources a une structure d'action à des catégories, des actions de catégorie B que les investisseurs comme nous achetons, et ce n'est pas nous qui contrôlons la compagnie.
Ce sont les détenteurs d'actions de catégorie A, notamment une famille qui détient une grande partie de ses actions.
Le fait que Glenn coure a fait une offre hostile, ça n'a aucune possibilité de réussir.
Il faut que la famille Kebar soit d'accord.
D'après les dépêches de presse, à tout le moins en fonction de l'offre de la part de Glenn Corre, la réponse c'est nettement non.
Donc la question est intéressante.
Glenn Corre évidemment comprend qu'on ne peut pas réussir par une offre hostile. Pourquoi ils ont fait ça maintenant?
Il peut y avoir diverses raisons.
Manifestement, Tech on payera, va se séparer en deux, et Glenn Corre s'insère dans le contexte.
Glenn Corre a de l'intérêt dans tout ça.
Car ce que Tech va vendre, c'est ces opérations du côté du charbon.
C'est important pour Glenn Corre, notamment.
Alors que cherche Glenn Corre dans tout ça?
Ce n'est pas clair.
Pour moi, je reviens la question de votre auditeur: c'est bon pour les investisseurs.
- Très intéressant, on reviendra à vos questions tout à l'heure.
Assurez-vous de faire vos propres recherches monde prend des décisions de placement.
Communiquer avec nous comme vous le voulez, si vous voulez poser des questions sur les placements sur les marchés, nos invités veulent vous entendre.
Envoyez-nous vos questions!
De façon de procéder: par courriel comme toujours un moneytalklivetd.com ou encore tapez votre question dans la case prévue à cet effet.
Au bas de l'écran.
Tapez votre classification et cliquer.
On verra si un de nos invités pour vous répondre ici-même.
Donc que les ventes résidentielles au Canada. Il y a des changements est-ce qu'il y aura un rebondissement pendant la deuxième moitié de l'année où c'est encore des faiblesses?
- Anthony Okolie a examiné la question pour ce qui est du marché de l'immobilier dans les provinces.
- Oui, on prévoit que les ventes résidentielles en 2023 connaîtront une plus grande croissance pendant la deuxième moitié de l'année.
Pour soutenir tout ça, on dit qu'il faut tenir compte des facteurs fondamentaux.
Les revenus et la disponibilité des résidences que l'écart se resserre.
À plus court terme, un marché du travail plus resserré devrait être intéressant alors que même si le ralentissement économique.
Donc il n'y aura probablement pas de réduction du prix des ventes de maisons, d'après service économique TD.
Et la reprise va être limitée.
On prévoit que les ventes seront plus faibles qu'avant la pandémie pendant 2024.
Par contre, les prix des maisons au Canada, les résidences au Canada, ont sans doute atteint de leur creux pendant la deuxième moitié, du troisième trimestre 2023.
En moyenne, duplique au creux, une chute de 21 %.
J'ai apporté ici un tableau qui illustre tout ça.
Ces chiffres sont négatifs à cause de départ négatif en ce début d'année.
Donc l'Ontario et la Colombie Britannique.
Il y aura une plus grande hausse de la croissance des ventes cette année, en 2023 probablement ce sera la moins bonne année depuis le début des années 2000 dans ces deux provinces.
Quand il s'agit maintenant du prix des maisons, des résidences, on voit un peu ce qui se passe en Ontario et en Colombie Britannique.
La région de l'Atlantique, notamment la Nouvelle-Écosse peut en pâtir.
Il y aura un ralentissement des migration interprovinciale et un ralentissement de la hausse des prix des maisons.
On pense que les prix vont mieux tenir temps des provinces comme le Québec ou dans les prairies, notamment en Saskatchewan.
On prévoit que tout ça va se maintenir en 2024 à cause d'une meilleure portabilité dans les prairies par opposition à d'autres régions du pays.
- Très bien! Merci beaucoup!
Quels sont les risques donc?
- Les principaux risques ce sont les changements réglementation.
Des règles plus serrées pour les conditions de prêt et les tests de stress.
Il y a aussi la possibilité qu'il y ait une plus grande volatilité dans les marchés financiers.
Une moins bonne croissance économique prévue, dans ce cas y aura peut-être plus de perte d'emploi.
Ce qui serait mauvais pour la demande de résidence et pour les prix des résidences. De plus, tous les risques ne sont pas à la baisse.
Par exemple il pourrait y avoir des ventes qui grimperaient plus rapidement, ce qui aiderait les prix des ventes des maisons P.
- Toujours intéressant, Anthony.
Merci beaucoup!
C'était Anthony Okolie.
Maintenant les marchés boursiers: l'affaiblissement, une baisse de 41 points à Toronto.
On a vu ce qui s'est passé du côté du pétrole.
Maintenant à 2B mineurs 11, les matières premières, c'est plus faible.
Une baisse de presque 6 %.
Lors avait un peu grimpé, voyons un peu saine – cause: sa faucille.
Laurie faire grimper un peu, on le voit à l'écran, une hausse de plus de 3 %.
Au sud de la frontière, c'est plus faible aussi.
Presque 30.
À la baisse.
Maintenant, Nasdaq, secteur technologie, c'est à peu près la même chose.
Une baisse de 89.
Ou trois cordes pour cent.
Bank of America, on part du secteur financier, qu'en est-il dans ce contexte?
Une baisse d'un peu plus de 3 %.
Nous retrouvons Michael O'Brien pour parler des actions canadiennes.
Alors, qu'est-ce qu'on pense d'alimentation Couche-Tard, étant donné qu'on passe aux véhicules électriques?
- Oui.
Écoutez, en fait, c'est très intéressant, la situation.
Alimentation Couche-Tard, ça été brillant de leur part ou un accident de parcours, vrai coup de chance?
Il y a un certain nombre d'années ils ont fait une grande acquisition d'un certain nombre, d'une chaîne dans des pays scandinaves, notamment en Norvège.
Et ces dernières années, la Norvège a été un des premiers docteurs des véhicules électriques.
Quand on voit le taux de pénétration des véhicules électriques en Norvège, c'est bien en avance sur l'Amérique du Nord.
Alors ce qui s'est produit, au fond, c'est que Couche-Tard a pu bénéficier de laboratoire en temps réel pour voir, pour comprendre quels réajustements seront nécessaires afin d'effectuer la transition de la station-service conventionnelle de l'essence vers l'évolution si vous voulez de la station-service, qui s'occupera plutôt de véhicules électriques.
La bonne nouvelle donc pour les actionnaires, c'est qu'en dépit de cette augmentation importante du taux de véhicules électriques en Norvège, ils s'en sont très bien tirés.
Ils se sont adaptés.
Par exemple, ça prend plus de temps pour recharger un véhicule électrique que de mettre de l'essence dans le réservoir.
Donc les gens entre magasins ils ont plus de temps pour acheter.
Donc leur apprentissage dans un contexte réaliste, leur permet de prévoir ce qui se passera au moment de la transition l'Amérique du Nord, tirer parti de ce qu'ils ont appris en Scandinavie pour l'appliquer en Amérique du Nord.
Ça leur donne une longueur d'avance sur leurs concurrents.
Alors avant que vous ne repartiez, je reviens un peu ce qu'on disait au début de l'émission.
Il se passe beaucoup de choses.
On essaie de comprendre que les banques centrales vont faire, l'OPEP nous a étonné, volatilité dans les banques régionales aux États-Unis.
Un investisseur veut prendre un peu de recul et comprendre la réalité.
Qu'est-ce qui devrait se dire?
- C'est toujours important pour nous de ne pas nous laisser emporter.
C'est drôle, vous le savez, en dépit des manchettes pessimistes depuis un mois, deux mois ou trois mois, Nasdaq au sud de la France a connu son meilleur trimestre depuis des années.
D'une part ne veut pas se laisser emporter par le pessimisme, et par ailleurs, il ne faut pas être naïf.
Ça va être difficile pour l'économie.
Pendant une certaine période, économie peut faire un peu autre chose pour ce que fait des marchés boursiers, missions l'Amérique du Nord, tôt ou tard, et dormiez d'autres marchés, en Europe du Nord notamment, les conséquences des resserrements de la part des banques centrales auront des conséquences dans l'économie.
Le taux de chômage va grimper.
Il y aura plus de faillite.
Toutes ces choses vont se produire.
Donc nous devons toujours nous demander dans quelle mesure les cours actuels en tiennent compte?
Si je peux essayer de prédire quelque chose, c'est qu'il y aura de la volatilité dans les mois à venir et beaucoup d'incertitudes.
Mais je pense qu'on en ressortira et que par la suite, le monde va continuer de tourner et que nous devons continuellement revoir quels sont les risques et les réévaluer pour voir si le cours des actions sont réalistes, et qu'on s'est valable, on investit, on achète, sinon on attend et on est patient.
C'est toujours la même histoire.
En dépit des manchettes qui paraissent pessimistes.
- Toujours un plaisir de vous accueillir, Michael.
La prochaine fois!
Merci à Michael O'Brien nous avons parlé aujourd'hui.
Demain, Peter Watson fondateur à recherche chez Fahy result parler des actions de compagnies de taille moyenne.
Envoyez-nous vos questions d'avance.
Surtout pour nous aujourd'hui, merci d'avoir été des nôtres et à demain!