Print Transcript
(musique) - Bonjour, ici Greg Bonnell.
Bienvenue à parlant argent direct, une émission de placement direct de TD. Nos invités commentent l'actualité de marcher répondre à vos questions sur le placement.
Aujourd'hui, notre invité nous explique que les dégâts à court terme pourraient procurer des avantages à long terme pour les investisseurs. Michael O'Brien le placement direct de TD.
- Caitlin Cormier nous explique la différence entre les entreprises Mercier et les autres limites.
Posez vos questions par courriel@moneytalklivetd.com ou dans la boîte de questions au bas de votre écran.
Mais tout d'abord, un coup d'œil sur les marchés.
L'indice TSX est modestement négatif pendant la matinée, il est en baisse de quelque 55., Soit un peu plus d'un quart de pour cent. Rien de trop gras, une certaine faiblesse dans les titres industriels et de services publics.
Le secteur de l'énergie remonte aujourd'hui. Le cours du brut Editor de plus ou moins inchangé après un bond hier. C'est novice par exemple annonce un chiffre d'affaires légèrement décevants est donc en baisse de 1,7 %.
Admin rôle progressent en revanche depuis le début de la séance de 2 3/4 % à huit de leurs quatre l'action.
Aux États-Unis, le S&P 500 instantané des marchés américains papillonne entre le positif et le négatif.
À l'heure actuelle, il est en hausse de quatre., 1/10 de pour cent. Le grand discours de Jérôme PowerPoint prononcé aujourd'hui en Suède ne recevrait pas beaucoup d'informations sur la trajectoire de la politique monétaire.
Il s'agissait d'un discours finalement plus ou moins anodin.
L'indice Nasdaq se spécialise dans la technologie est dans une situation semblable ensemble du marché.
Visa à progression début de séance est en hausse de moins de 1 % à l'heure actuelle.
Les investisseurs qui espéraient un rendement améliorer cette année devront faire preuve de patience. Selon notre invité aujourd'hui, la trajectoire de marcher pour être difficile.
Michael O'Brien gestionnaire de portefeuille, bonjour.
Cette fait plaisir de vous revoir.
L'an dernier, tournons la page.
Mettons cette année dernière nous en tant qu'investisseur, que nous réserve l'avenir?
Doit-on espérer des jours meilleurs?
- Oui, des jours meilleurs nous attendent, mais il nous reste tout de même un peu de chemin à parcourir.
L'an dernier, nous avons tous été pris par surprise par la rapidité de la hausse des taux d'intérêt par les banques centrales.
Le niveau atteint par ses taux, la bonne nouvelle ce que nous arrivons en fin de trajectoire.
Ce qu'il y a de délicat en 2023, quand on y songe, c'est la question de savoir comment on peut ramener l'inflation à proximité de cet objectif de 2 %, très clairement, tel pensé par les banques centrales d'une part, sans d'autre pardon n'est pas trop fort sur les bénéfices des entreprises.
C'est un exercice d'équilibriste.
Et donc, de manière réaliste, il y a des raisons d'être optimiste.
L'inflation recule, évolue dans la bonne direction.
Mais je crois que nous devons être prêts à ce que le chemin nous réserve des embûches en 2023.
Faire parvenir économie à l'atterrissage en douceur n'est pas une tâche facile.
Réduire l'inflation sans faire augmenter le chômage n'est pas une tâche facile il y aura donc des arbitrages en cours de route.
Je n'ai pas encore vu le feu vert qui nous amènerait à réinvestir pleinement sur le marché. Il faut être judicieux et choisir avec soin.
Il y a toutefois des raisons d'envisager la situation sous un jour positif. Les six à 12 mois à venir seront délicats, mais d'ici trois à cinq ans, quand je considère le point de départ d'aujourd'hui, les marchés canadiens se trouvent à l'heure actuelle en une situation où historiquement, il devrait tourner entre 16 et 18 fois les bénéfices.
Or, nous en sommes à 12 fois et demie les bénéfices.
Ces traits en-deçà de la norme historique.
Les banques, un élément important de notre indice, tourne autour de 11 à 10 fois les bénéfices et aujourd'hui, elles sont à moins de 10.
Avec le point de départ d'aujourd'hui, et moyennant un peu de patience, d'ici à 300 comme que nous pouvons envisager une évolution positive des actions canadiennes. À court terme, ils restent du travail à faire pour les boissons prenants n'ont pas fini. Et un jour, il y a les manchettes négatives au niveau de la hausse du taux de chômage, par exemple, nous devons être prêts.
- Le travail qui doit être fait, les manchettes qui sont encore à venir, je songe aux statistiques d'emploi qui vient de paraître Canada après toutes les hausses d'impôts, très important de l'an dernier, marché du travail demeure très intéressant que se passe-t-il?
Cela s'est intéressant de signaler ça.
Beaucoup des investisseurs sont perplexes.
Collectivement, nous avons tous abordés l'année 2023 avec une feuille de route semblable. Le début de l'année sera difficile, au fur et à mesure de ces augmentations de tout se répercutent sur l'économie, de 10e semestre sera meilleur.
C'est le consensus. À l'heure actuelle, nous nous demandons si nous avons eu raison. 100 000 emplois de plus au Canada en décembre, 300 000 aux États-Unis.
La récession ne semble pas imminente.
Alors je crois que nous nous rendons compte que cela pourrait prendre un peu plus de temps.
Ce n'est pas aussi simple qu'un semestre difficile suivi d'un semestre positif. La situation pourrait s'étaler.
Le point de vue positif sur la situation s'est cosigné au Canada qu'aux États-Unis, les consommateurs, les ménages sont beaucoup plus brésiliens qu'on ne l'avait pensé.
Mais l'aspect négatif, c'est que cette résilience oblige peut-être les banques centrales à faire preuve d'une plus grande fermeté que ce n'aurait été le cas autrement, augmenter les taux plus qu'elle ne le refait par ailleurs, afin de parvenir au même résultat.
Autrement dit, il se pourrait que les taux d'intérêt doivent augmenter davantage et demeurer élever plus longtemps avant que nous ne parvenions à notre estimation.
À l'évidence, an dernier, grands termes telle l'inflation, la lutte contre l'inflation et ses conséquences pour l'économie.
Tout cela à dominer nos entretiens.
Cela se prolonge cette année, il s'agit de facteurs dominants. Quand reviendrons-nous en 2023 au. Il y aura d'autres thèmes? Ce sont les grands défis macro-économiques nous devons relever encore longtemps.
- Nous avons eu un baume sans précédent en 2020 2021 grâces aux mesures de relances budgétaires et monétaires qui ont été injectées sur le marché.
Il n'est que raisonnable de penser qu'il faudra plus que neuf à 12 mois pour que tout cela se dissipe.
Je crois qu'il reste encore des dégâts à essuyer.
Mais il y a de nombreuses raisons de croire que l'inflation pourrait avoir déjà dépassé son sommeil.
Il y a de bonnes raisons de croire que le pique du cycle des hausses des banques centrales est imminent.
Il n'y a peut-être pas beaucoup d'autre hausse.
Simplement, nous ne sommes pas encore.
Une fois que nous y parviendrons, il y a un nouveau mur de souci à gravir, mais à court terme, les gens seront rivés au rapport sur l'inflation et aux paroles des banquiers centraux qu'il soit en Suède ou ailleurs.
C'est cela qu'il va impulser le marché à court terme.
- Je crois que nous pouvons envisager d'avoir d'autres problèmes à régler.
- Il y a toujours de nouveaux problèmes. Quand vous avez dit que ce sera une année délicate, pour les investisseurs, comment peut-on élargir ce marché?
Est-ce qu'il s'agit de patience?
Non pas de rester dans l'attentisme mais de choisir ce moment.
- Ce que j'essaie toujours de me dire, c'est qu'il ne faut pas essayer d'être plus malin que soi-même.
Trouver le genre d'entreprise que l'on veut détenir pendant tout le cycle, ici les préoccupations parviennent à un point où on peut acheter un juste prix aujourd'hui, c'est aussi simple que cela.
Mais il faut par ailleurs être conscient des risques que l'on prend. Il peut s'agir d'une entreprise cyclique, dont les bénéfices sont très risqués, ou bien une entreprise qui est considérée comme étant très stable, mais dont la valorisation est très élevée.
Dans les deux cas, il faut être conscient des risques que l'on prend dans un portefeuille. C'est ainsi que je considère la question leur actuelle. Quel est l'équilibre à établir? Les risques je prends d'une part et les occasions à saisir. Loin ces déséquilibres?
Il y a toujours des secteurs du marché où il y a un potentiel de baisse. Trop de risques au niveau des bénéfices des bénéfices trop chers, mais il y a des créneaux sur le marché où l'on peut trouver au moins une partie du risque relié au bénéfice dans cet environnement est déjà intégré dans le cours de l'action.
- Excellent webémission!
Notre invité Michael O'Brien répondre à vos questions sur les actions canadiennes en ce moment.
Vous pouvez nous les poser en tout temps par courriel, moneytalklivetd.com ou dans la boîte question pas de votre écran.
À présent, l'actualité du monde des affaires et un coup d'œil sur les marchés.
Bêtes baptême Bjorn annonce une perte plus important que prévu pour le donne trimestre. Le détail en difficulté qui a annoncé aux investisseurs il y a quelques jours seulement qui risque de faire faillite a perdu plus d'un milliard de dollars dans les neuf derniers mois de l'exercice.
Le chef de la direction continue de déclarer que la compagnie envisage des possibilités stratégiques dans le cadre de son revirement et les actions sont en hausse de 18 et demis pour cent.
Parlons à présent des actions de Virgine orbite qui éprouve des dégâts de la gravité après que le satellite sera lancé récemment n'est pas parvenu en orbite.
Cette information est dévaluée et le titre est en baisse de 12 %.
Queen B annonce qu'il va réduire son personnel de 20 % à une nouvelle série de coupures d'emploi affirme crypto monnaie. À cause des acteurs dans l'industrie.
La fermeture de la bourse STX a terni la réputation de l'industrie.
À présent, coup d'œil sur les marchés, l'indice repart à Toronto. L'indice ainsi P TSX composite est légèrement baisse de 45 points, soit un peu moins de 40 %. Aux États-Unis, l'indice S&P 500 papillonne aujourd'hui. Affiche actuellement un modeste gain en hausse d'un peu plus de: soit de 0,06 %.
Michael O'Brien répondre à vos questions sur les axes canadiennes. Commençons par la grande question pour l'industrie sec: les perspectives pour les bons canadiennes. Le moment est propice de poser de questions. Hier une conférence bancaire a eu lieu Toronto ou les six grandes banques ont délégué leur chef de la direction indiquée le perspective actuelle.
Tout le monde sait que la conjoncture macro-économique délicate.
La grande question tourne autour de la question de savoir s'il y aura un cycle de crédit, comment se présentent les portefeuilles auprès des banques, et autel des fonds propres suffisants pour s'en tirer sans difficulté.
Après six heures, consacrée écoutait les banquiers, je conclus que sans être optimiste, je suis confiant.
Les portefeuilles de prêts semblent solides, en ce qui concerne par exemple les prêts hypothécaires à l'habitation. Toutes les banques affirment qu'elle ne voit aucune faille dans leur portefeuille hypothécaire aujourd'hui.
Cela a été affirmé avec beaucoup de fermeté.
Les banques sont-ils satisfaits de leur niveau de fonds propres.
Le régulateur avait augmenté les exigences qui avaient causé quelques hésitations.
Il s'agissait de prévoir quelques réserves supplémentaires, pour un environnement potentiellement difficile.
Le message que j'avais entendu, c'est que les banquiers estimaient avoir assimilé cette exigence et pouvait répondre aux nouvelles normes du BSI F. Il y a une question qui s'est posée quant à l'éventualité des préoccupations reliées au portefeuille de prêts. Les banques nous ont dit qu'il ne s'agit pas des prix des logements, il ne s'agit pas des seuils critiques pour les taux d'intérêt, il s'agit du marché de l'emploi.
Et du chômage.
Le message d'évoquer le suivant: surveiller le taux de chômage. Si celui-ci commence à augmenter, il est beaucoup plus probable qu'il y ait des défaillances, des prêtres sur créances. Si le marché du travail demeure aussi brésiliens qu'il est aujourd'hui, on ne voit pas de grands problèmes au niveau des prêts. La confiance grâce portefeuille de presse est intéressant.
La baisse des prix des logements après le pique de l'an dernier et la réduction des mises en chantier entraîne une certaine inquiétude.
- Les chefs des banques content publié des informations très détaillées quant à la composition de leur portefeuille de prêts hypothécaires. Pour répondre à votre question, le secteur de leur clientèle de prêts hypothécaires qui leur paraient courir des risques, c'est-à-dire un rapport près valeurs élevé, prêts hypothécaires à taux variable et qui devront être renouvelé des taux plus élevés, mauvaise cote de crédit, ce secteur représente un pourcentage très faible.
Dans le bas de la fourchette de zéro à 10 %. Les banquiers estiment qu'il ne s'agit pas de problème généralisé.
Le deuxième élément intéressant qui a été avancé, c'est dans quelle mesure sera-t-il difficile pour les ménages d'absorber les nouveaux taux d'intérêt?
Les banquiers ont signalé qu'avant la crise, le régulateur, le bénéficiaire avait instauré des règles assez strictes pour le montage des prêts hypothécaires.
Notamment le fameux stress test.
Le spectateur se rappelleront que même si les taux étaient très bas, le BSI F a instauré une règle verte de laquelle les banques devaient monter des frais en fonction d'un taux de 5,2 %, ou du meilleur taux de prêt hypothécaire plus 2 %.
Une des banques donne un exemple cette année: la cohorte des prêts qui arrivent au renouvellement, à cause de cette exigence imposée il y a cinq ans, les prêts ont été montés entre cinq, et 5,4 %.
Alors que le taux actuel n'est que légèrement supérieur.
Les banques signalent qu'elles ont déjà monté ses prêts en fonction de l'environnement de prêts hypothécaires.
Semblable à celui qui est aujourd'hui. Cela ne signifie pas que c'est indolore.
Mais il est probable qu'il y aura de l'argent qui aurait été dépensé en dépenses discrétionnaires, cinéma, restaurant et habillement, une partie de ses dépens seront consacrés aux mensualités de prêt hypothécaire. C'est positif pour les banques.
Car leurs prêts ne sont pas défaillants, mais c'est négatif pour l'ensemble de l'économie.
- Une autre question: quelle est votre perspective en 2023 pour le producteur de pétrole et de gaz?
- Les producteurs de pétrole et de gaz! De toute évidence, le cours du pétrole est très volatile.
Le cours du gaz naturel fluctue énormément.
Mais du côté du gaz naturel, qui est tributaire de la météo, l'approvisionnement est évidemment moins serré surtout en Amérique du Nord. Il est possible d'augmenter rapidement la production de gaz naturel.
S'il y a de bonnes raisons de le faire, et bien souvent, la solution pour les prix élevés ce sont les prix élevés. Le grade le gaz naturel affiche une plus grande volatilité. Le marché du pétrole, le cours du WTI demeurant autour de 75 $, ses perspectives font débat.
Les plus pessimistes quant à la trajectoire du pétrole souligne la perspective économique très morose non seulement Canada met en Amérique du Nord mais dans le monde entier.
S'il y a une profonde récession à l'échelle mondiale, la demande pourrait être affectée. Mais en revanche, les plus optimistes à l'égard du marché pétrolier signalent d'abord que moins que la récession mondiale ne soit très profonde, historiquement, la demande cesse d'augmenter mais ne diminue pas tellement.
Mis à part des événements comme la crise financière de 2008.
Deuxième domaine où les optimistes trouvent des arguments, c'est que l'offre est toujours très serrée.
Il n'y a pas eu de résurgence de la production à grande échelle.
En même temps, par comparaison 2022, lorsque la Chine, plus gros importateur mondial de pétrole, était-on confinement, l'économie chinoise se relance très rapidement, ce qui pourrait engendrer une hausse de la demande de un à 2 millions de barils en provenance de Chine.
Tandis que celle-ci abandonne sa politique de zéro COVID. Ce sera un facteur très positif en 2023.
- Quand je pondère tous ces facteurs, j'ai l'intuition que moins que la récession ne soit beaucoup plus grave, c'est le grand risque, soit beaucoup plus grave que prévu, signale pas donc de profonde récession, l'augmentation de la demande attribuable à la Chine ainsi que la fin des prélèvements sur la réserve stratégique américaine, qui a plafonné les cours du pétrole en dernier, je pense que ce contexte est très positif pour le pétrole cette année.
C'est toujours vos propres recherches avant de prendre des décisions de placement.
Vous pouvez poser des questions en tout temps par courriel@moneytalklivetd.
com à présent, poursuivons la découverte de courtier Web.
Si vous voulez passer un ordre sur le marché, vous avez différentes options.
Pour nous expliquer la différence entre les différents ordres, Caitlin Cormier forme formatrice placement directe Ltd est parmi nous. Il s'agit des ordres au prix du marché, les autres limites.
Pourriez-vous nous expliquer la différence?
- Volontiers!
Les autres limites sont parmi les plus recherchées par les investisseurs.
C'est assez basique, mais facile à comprendre, alors passons-les en revue rapidement pour comprendre de quoi il s'agit et quelles sont les différences.
Allons sur courtier Web, qui conçut recherche, puis action, il s'agit de la page d'accueil pour les recherches n'importe quel type, choisissons celui d'Apple.
Si l'on veut acheter une action d'Apple, le prix demandeur est le plus important.
Le cours demandeur et 228 et 99.
C'est le prix auquel les investisseurs sont disposés à vous vendre l'action.
C'est-à-dire ce que vous devriez payer pour acheter l'action.
Ce cours évolue constamment.
Vous voyez que ce cours est à date de 12h20, il est mis à jour constamment.
Mais il s'agit du prix le plus important dans un ordre au prix du marché.
C'est-à-dire le cours que les investisseurs sont disposés à vendre l'action.
Si on passe un ordre au prix du marché, on ne sait pas exactement quel prix on paraît, mais une certaine incertitude demeure à l'égard du prix que l'on va payer.
Ce qui est prioritaire, quand on passe un ordre prix du marché, c'est l'exécution.
Vous avez fait vos recherches, vous avez trouvé l'action, vous voulez l'acheter ou la vendre, donc exécuter l'opération c'est la priorité.
Le cours est secondaire.
Encore une fois, vous avez une idée du prix mais il pourrait y avoir une légère dérive ou une forte variation.
C'est l'exécution de l'ordre qui compte le plus pour vous.
Quand il s'agit de notre limite, le cours demandeur est toujours pris en compte, mais le prix qui vous intéresse surtout, c'est celui que vous voulez payer pour acheter l'action. En l'occurrence, c'est le prix qui est la priorité, ce que vous payez pour acheter l'action, c'est l'élément le plus important de l'opération.
En passant à un autre limite, on tient compte non seulement du cours demandeur, mais du cours historique, peut-être au cours des deux jours à venir pour voir dans quelle mesure il y a une certaine volatilité. Nous choisissons le point auquel nous voulons faire notre entrée sur le marché.
S'il s'agit d'acheter une action, on dit: voilà le plus que je suis prêt à payer.
Et si on vend, on dit: c'est le minimum que je suis prêt à accepter pour me séparer de cette action.
Par exemple, nous voyons que l'action actuelle, cours demandeur de 129 $.
On pourrait dire: je ne vends que si le cours monte à 132.
Si le cours monte à 132, je vends.
Face à un autre limite, mais en revanche, on peut dire que l'on ne veut procéder à l'achat que si le cours de 100 à 127.
C'est donc le maximum que l'on est disposé à payer pour acheter l'action. On passe donc un autre limite de 127.
S'agissant de notre limite, le prix qui est prioritaire, l'exécution est incertaine. On ne sait pas si cet ordre sera exécuté, si le cours n'atteint pas celui que nous avons fixé, c'est-à-dire ne baisse pas jusqu'à 127 tous le mondes pagent 432.
S'agissant respectivement de l'achat d'une vente, il se peut que l'ordre ne soit pas exécuté.
C'est la principale différence.
Un ordre prix du marché l'exécution du compte prix secondaire avec un autre limite, le cours est prioritaire c'est l'exécution qui est secondaire.
- Merci pour cette explication sur la différence entre les entreprises marchées les autres limites.
Admettons que l'on veut passer un ordre, comment faire?
La saisie de l'ordre est très importante.
Revenons à notre exemple de l'action d'Apple. On veut cliquer sur le bouton achat ou vente, qui pré-remplies une partie de l'ordre, on voit le symbole boursier, nous avons déjà l'information sur le cours acheteur et vendeur.
Le comportement de l'action depuis le début de la séance, tous ces éléments sont disponibles sur la bois.
La différence entre ces titres ordre, on a le symbole, ont saisi le nombre d'actions, donc il s'agit de nombres entiers.
Pour 50 actions.
Le type de prix du marché, il suffit donc de saisir la quantité et le cours sera celui auquel l'action est cotée.
On clic sur le bouton actualisait pour obtenir le cours mis à jour.
On peut généralement saisir un autre prise marché pour la journée six agit d'une action qui est activement négociée, il y a des chances pour que soit exécuté le jour même.
S'il s'agit d'un autre limite, il y a une seconde Corse qui s'affiche est celle du cours limite.
S'il s'agit d'un achat, cours limite est typiquement inférieur au taux demandeur actuel.
Et donc, vous voulez attendre que l'action est baissée à 127, vous saisissez ce cours qui est le plus bas, plus élevés auquel vous êtes disposés à acheter.
Autrement dit, l'ordre ne sera exécuté que si l'action est cotée à 127 $ au moins. Rien au-dessus.
Ensuite, la durée de l'ordre.
Ce dernier peut rester en vigueur pour la journée si le cours n'atteint jamais 127, l'ordre sera annulé en fin de journée.
On peut choisir une période spécifique, par exemple deux semaines ou une semaine, ou de jour, ou bien on peut laisser l'ordre ouvert jusqu'à annulation.
90 jours pour les actes canadiennes et 120 pour les actions américaines.
L'ordre est donc valable jusqu'à l'expiration de cette période jusqu'à ce que vous l'annuliez.
Rappelez-vous qu'avec ce genre d'ordre, puisque l'exécution n'est pas garantie, vous pourriez envisager une période plus longue qu'une journée, afin de donner le temps au cours de fluctuer jusqu'au seuil que vous aurez fixé.
Rappelez-vous également que si l'ordre est exécuté sur plusieurs jours, vous pourriez devoir quitter plusieurs commissions!
- Voilà quelques types d'autres que vous pouvez utiliser lorsque vous créez votre portefeuille.
En fonction de vos priorités.
Merci, Caitlin!
- Je vous en prie.
- Caitlin Cormier formatrice placement directe Ltd.
Ne manquez pas de visiter le centre d'apprentissage de courtier Web vous trouverez encore plus de ressources.
Michael O'Brien va continuer de répondre à vos questions au sujet des actions canadiennes, mais d'abord, je vous rappelle comment vous posez une question.
Avez-vous une question sur les placements ou encore sur le marché?
Vous pouvez nous la poser, soit par courriel, moneytalklivetd.com.
Soit dans la boîte de questions au bas de votre écran.
Il suffit de cliquer sur envoyer.
Nos invités pourraient vous répondre on directe!
Michael O'Brien répond à vos questions sur les actions canadiennes.
Dans notre entretien à l'ouverture de l'émission, notre invité à évoquer les compagnies qui ont potentiel à court terme.
Lesquels?
- Le potentiel à court terme au niveau de la réouverture de la Chine, je ne sais pas exactement si le but de la question, mais selon les marchés, que vous envisagez, il y a différents titres qui peuvent bien réussir.
Le voyage, l'habillement.
Au Canada, c'est plutôt les produits de base, producteur de pétrole et de gaz dont nous avons parlé tout à l'heure, ou encore les compagnies de métaux de base, d'engrais dans le secteur des produits de base.
Ce sont des entreprises qui sont étroitement liées à la demande de produits de base, l'économie chinoise.
Le revers de la médaille, c'est que ce sont des secteurs très volatiles.
Il s'agit de vérifier que les risques restent acceptables, mais ce sont des compagnies qui pourraient bénéficier de la réouverture de l'économie chinoise.
Un autre secteur du marché n'est pas spécifique à la Chine, ce sont les compagnies qui peuvent s'y retrouver dans un environnement économique.
Il s'agit de titres comme dollars à ma, les compagnies discrétionnaires.
Mais c'est vraiment comme des produits de consommation courante à cause de la valeur de leur préfet.
Il n'y a pas le même rabais et il y a une juste valorisation, mais ce sont des entreprises qui se débrouillent dans ce genre d'environnement comme un supermarché, on place et trop, s'il y a plus de patience, je crois qu'il y a davantage d'opportunités.
Je pense qu'il s'agit d'un bon.
D'entrée, mais qui pourrait prendre davantage de temps.
Les titres financiers, les banques, vous payez très peu chère. Un bon rendement en dividende. Mais il y a également des titres financiers comme certains des assureurs comme Sun Life, les dividendes intéressantes et une valorisation très modeste.
Donc le type d'entreprise qui, dans un contexte plus optimiste, ont tendance à être plus coûteuse, vous pourrez attendre ce contexte si à un peu plus pour obtenir le rendement, mais le prix est plus intéressant.
Justement, est-ce la patience qui représente le risque?
- Parfois je manque de patience.
C'est une tendance humaine.
L'aspect humain, c'est qu'il faut maîtriser ses émotions, est-ce que vous avez besoin de cet argent d'ici trois mois?
C'est la grande question si vous n'avez votre distinction de ces trois mois, vous avez les moyens d'être patients.
Si vous attendez d'obtenir un rendement, il faut choisir autre chose.
Je songe au long terme, mais parfois je me laisse emporter.
Pour en revenir à la grande question, investir dans un environnement comme celui-ci, il y a tellement de volatilité, il faut toujours maintenir ce sens d'équilibre.
Une approche en vertu de laquelle vous pouvez acheter des actions qui sont plus volatiles tant que vous êtes rémunérés pour le risque que vous prenez en même temps, c'est toujours bien d'avoir des titres qui rapportent plus régulièrement.
- Une autre question au sujet de la situation macro-économique: est-ce que la banque du Canada va réduire les taux d'intérêt en 2023 ou 2024?
- Les investisseurs qui sont plus optimistes pour le marché en 2023 quant au marché obligataire depuis longtemps, les investisseurs supposent que les taux d'intérêt vont augmenter encore quelque peu d'ici trois à six mois, mais que les banques centrales vont commencer à réduire les taux d'ici la fin de l'année.
C'est plus favorable au marché obligataire que pour le marché boursier.
Car ce qui amènerait les banques centrales réduire les taux à la fin de l'année serait sans doute le fait que l'économie se porte moins bien que prévu.
Donc, il ne s'agirait pas nécessairement de scénario positif pour les bourses.
Mais c'est un pronostic qui est assez répandu.
Si vous écoutez les banques centrales, elles nous disent quelque chose de bien différent.
Il nous incombe de faire la part des choses.
Ce que les banques centrales nous disent, clairement, c'est qu'elle prévoit augmenter les taux encore plus qu'aujourd'hui il maintient pendant une période prolongée.
Il n'y aura pas de coupure de taux en 2023.
Qu'est-ce qui les amènera changer d'avis?
Ce qui serait positif serait que l'économie revienne à la tendance sans faire de dégâts, ce n'est que peu probable.
L'autre raison pour laquelle les banques pourraient changer d'avis, c'est si la récession est beaucoup plus grave que nous ne le prévoyons aujourd'hui.
Avec d'importantes pertes d'emploi, une forte hausse du chômage.
Cela mettra la banque à agir.
Michael O'Brien répond de nouveau vos questions en quelques instants.
Comme d'habitude, faites toujours vos propres changements de de faire des projets d'édition de placement.
Je vous rappelle comment nous poser vos questions.
Avez-vous une question sur les placements ou encore sur le marché?
Vous pouvez nous la poser soit par courriel@moneytalklivetd.
com soit dans la boîte de questions au bas de votre écran.
Il suffit de cliquer sur envoyer.
Nos invités pourraient vous répondre on directe!
Nous parlions de la banque du Canada et toutes les augmentations de taux pratiqués en dernier ont prélevé attribut sur le marché du logement.
- Est-ce que nous arrivons à la fin du processus?
Pourrions-nous toucher le fond de?
- Anthony Okolie commente les pronostics de service économique TD sur le marché du logement.
- Service économique TD prédit que les ventes de logements Canada toucheront le fond début 2023.
On prévoit également que la valeur moyenne de logements Canada touchera le fond cette année.
De la crête autre, il s'agit on prévoit une baisse de 20 % du prix des logements Canada, ce calendrier étend conforme à celui des mesures de resserrement de la banque du Canada, qu'elle va prendre fin ce mois-ci avec une dernière hausse de 25.
.
Même si le marché ne touche le fond d'ici quelques mois, service économique TD considère que les ventes demeureront atténuer et que l'année 2023 sera la plus faible pour les ventes depuis 2001 il y a plus de 22 ans.
La raison en est que le Canada connaît selon et service économique TD la pire période de portabilité des logements le président la fin des années 80 le début des années 90 autour de dans les provinces comme l'Ontario.
Dans un rapport intérieur, service économique TD d'un avion de ménage habitant la région du Grand Toronto est toujours le revenu moyen des ménages devrait consacrer 56 % de son revenu mensuel avant impôts mensualités protecteurs seulement afin d'acheter un logement au prix moyen.
Or, les prix vont continuer à augmenter, ce qui va encore creuser l'écart au plan de la portabilité.
Service économique TD prévoit le plus important baise en raison de l'Atlantique, Ontario en Colombie Britannique.
La Nouvelle-Écosse, nouveau produit que l'Ontario de représenter une baisse de plus de 11 % du prix des logements cette année.
Selon service économique TD, les baisses en Ontario en Colombie Britannique vont plus que compenser les baisses, les hausses de randonnée, ce qui n'est pas le cas pour les provinces de l'Atlantique.
Service économique TD prévoit que les baisses seront inférieures dans les prairies, et Terre-Neuve et à Labrador cette année à cause de la meilleure portabilité dans ses provinces.
Service de Me Frédéric TD prévoit également que si la hausse des taux et la faiblesse économique entraîne des ventes forcées par les propriétaires de logements, les perspectives de croissance des prix pourraient être plus faibles que prévu.
C'est un scénario que l'on espère éviter.
Mais si l'on prévoit uniquement un marché morose du logement cette année, y a des possibilités de rebond?
- Service économique TD croit que leur rebond des ventes de logements devrait intervenir en 2024.
D'ici là, service économique TD pense que l'inflation devrait être jugulée.
La banque du Canada devrait avoir réduit ses taux.
Les qu'elle sera plus restrictif au niveau régional, on prévoit que les prairies Terre-Neuve et Labrador sur place les autres provinces.
Puisque ces régions continuent de bénéficier d'une meilleure portabilité.
Dans les provinces en Ontario la Colombie Britannique, une bonne partie de l'Atlantique, la croissance devrait être mitigée encore une fois à cause de la portabilité.
- Tout le monde s'intéresse à l'évolution du marché du logement.
Vous venez d'entendre Anthony Okolie. Un coup d'œil sur le marché.
L'indice composite TSX élément négatif depuis le début de la séance.
Et si maintient à 33.
En baisse, un peu moins de 0,15 %.
Il y a une certaine faiblesse dans le secteur de l'énergie, brute semble s'être stabilisée stabiliser par les gains importants du début de la séance d'hier.
Certains titres industriels sont en état de faiblesse, mais rien de trop spectaculaire.
Il s'agit donc de 33.
En baisse.
Michael O'Brien de gestion d'actif Tedey réponde à vos questions sur les actions canadiennes.
Les compagnies des télécommunications à présent.
Il y a beaucoup de choses qui s'en viennent avec leur proposition de fusion de roches et chat qui a été annoncé il me semble il y a plus de deux ans.
Une éternité. Et qui pourrait être consommé prochainement.
Je récapitule: le commissaire à la concurrence s'est opposé à l'opération.
Roches et chats ont proposé de vendre le fruit de mon père à Vidéotron, un concurrent québécois.
Le tribunal de la concurrence a statué en faveur de la fusion.
Le commissaire à la concurrence a fait appel.
Mais si nous parvenons à un point, rapidement, j'espère, où la décision sera confirmée la fusion sera prouvée, ce qui me semble être le cas, il s'agit d'une décision féconde en conséquence pour le marché.
Des télécommunications.
La famille shaw a commencé après l'annonce de la fusion à réduire les efforts financiers déployés pour développer son réseau, notamment sur les marchés où Fido avait une présence, notamment l'Ontario l'Alberta et le pronom Colombie Britannique.
Si prud'homme est vendu à Vidéotron, les propriétaires de Vidéotron dit clairement qu'ils vont être des concurrents tenaces et vont tâcher de conquérir des abonnés.
Proposer des services et des forfaits innovants à ce qui pourrait changer la dynamique concurrentielle dans le sans fil.
Le créneau le plus attractif pour toutes les compagnies communicables télécommunications.
Nous pourrions donc assister à une évolution par rapport à un environnement concurrentiel très bénin en 2022 où il y avait également des facteurs favorables à cause de la réouverture, la reprise des déplacements, l'année 2023 pourrait être un peu plus difficile au plan concurrentiel.
Avec le temps, l'arrivée de quatrième concurrent sur ces marchés, n'entraînera pas de graves perturbations, mais à court terme, cela amène une certaine prudence.
Peut-être que l'année 2023 ne sera pas aussi forte que ne l'été 2022.
Nous n'avons plus de temps pour vous poser des questions, mais je voudrais solliciter une ultime réflexion.
Nous avons commencé par parler du fait que les investisseurs sont très heureux de tourner la page après 2022.
Ils espèrent que cette année sera meilleure.
- Ce sera délicat.
Oui.
Comme je l'ai dit, la tâche n'est pas terminée.
Les banques centrales ont un travail à faire.
Une tâche à accomplir, de ramener l'inflation à leur cible, ne levons pas le pied jusqu'à ce qu'ils y soient parvenus.
Nous devons accepter qu'il s'agit d'un processus dont il faudra attendre la fin.
Nous ne sommes pas encore.
Mais comme je l'ai dit, au début de l'émission, si vous adoptez un point de vue à plus long terme, les marchés se sont déjà largement stabilisés.
En supposant qu'il ne s'agit pas de processus s'étendant sur plusieurs années, en supposant que les banques centrales réalisent leur mission, et que la récession est moins profonde et plus courte, et que nous évitons certains des dégâts constatés en 2008, point de départ d'aujourd'hui est assez positif.
Plus longtemps vous êtes investis, meilleurs sur vos chances de succès.
Voici un excellent exemple.
Il faut investir dans des compagnies qui nous intéressent.
Sans être obnubilé par les variations du marché attendre des jours meilleurs.
- Merci pour votre intervention et à bientôt j'espère!
Là je vous en prie.
- Michael O'Brien de gestion d'actifs Ltd.
Demain, Michael Craig chef de la répartition d'actifs de gestion d'actif Tedey va répondre à vos questions sur la répartition d'actifs.
Vous pouvez nous poser vos questions en tout temps par courriel, moneytalklivetd.com.
Merci et à demain!
Bienvenue à parlant argent direct, une émission de placement direct de TD. Nos invités commentent l'actualité de marcher répondre à vos questions sur le placement.
Aujourd'hui, notre invité nous explique que les dégâts à court terme pourraient procurer des avantages à long terme pour les investisseurs. Michael O'Brien le placement direct de TD.
- Caitlin Cormier nous explique la différence entre les entreprises Mercier et les autres limites.
Posez vos questions par courriel@moneytalklivetd.com ou dans la boîte de questions au bas de votre écran.
Mais tout d'abord, un coup d'œil sur les marchés.
L'indice TSX est modestement négatif pendant la matinée, il est en baisse de quelque 55., Soit un peu plus d'un quart de pour cent. Rien de trop gras, une certaine faiblesse dans les titres industriels et de services publics.
Le secteur de l'énergie remonte aujourd'hui. Le cours du brut Editor de plus ou moins inchangé après un bond hier. C'est novice par exemple annonce un chiffre d'affaires légèrement décevants est donc en baisse de 1,7 %.
Admin rôle progressent en revanche depuis le début de la séance de 2 3/4 % à huit de leurs quatre l'action.
Aux États-Unis, le S&P 500 instantané des marchés américains papillonne entre le positif et le négatif.
À l'heure actuelle, il est en hausse de quatre., 1/10 de pour cent. Le grand discours de Jérôme PowerPoint prononcé aujourd'hui en Suède ne recevrait pas beaucoup d'informations sur la trajectoire de la politique monétaire.
Il s'agissait d'un discours finalement plus ou moins anodin.
L'indice Nasdaq se spécialise dans la technologie est dans une situation semblable ensemble du marché.
Visa à progression début de séance est en hausse de moins de 1 % à l'heure actuelle.
Les investisseurs qui espéraient un rendement améliorer cette année devront faire preuve de patience. Selon notre invité aujourd'hui, la trajectoire de marcher pour être difficile.
Michael O'Brien gestionnaire de portefeuille, bonjour.
Cette fait plaisir de vous revoir.
L'an dernier, tournons la page.
Mettons cette année dernière nous en tant qu'investisseur, que nous réserve l'avenir?
Doit-on espérer des jours meilleurs?
- Oui, des jours meilleurs nous attendent, mais il nous reste tout de même un peu de chemin à parcourir.
L'an dernier, nous avons tous été pris par surprise par la rapidité de la hausse des taux d'intérêt par les banques centrales.
Le niveau atteint par ses taux, la bonne nouvelle ce que nous arrivons en fin de trajectoire.
Ce qu'il y a de délicat en 2023, quand on y songe, c'est la question de savoir comment on peut ramener l'inflation à proximité de cet objectif de 2 %, très clairement, tel pensé par les banques centrales d'une part, sans d'autre pardon n'est pas trop fort sur les bénéfices des entreprises.
C'est un exercice d'équilibriste.
Et donc, de manière réaliste, il y a des raisons d'être optimiste.
L'inflation recule, évolue dans la bonne direction.
Mais je crois que nous devons être prêts à ce que le chemin nous réserve des embûches en 2023.
Faire parvenir économie à l'atterrissage en douceur n'est pas une tâche facile.
Réduire l'inflation sans faire augmenter le chômage n'est pas une tâche facile il y aura donc des arbitrages en cours de route.
Je n'ai pas encore vu le feu vert qui nous amènerait à réinvestir pleinement sur le marché. Il faut être judicieux et choisir avec soin.
Il y a toutefois des raisons d'envisager la situation sous un jour positif. Les six à 12 mois à venir seront délicats, mais d'ici trois à cinq ans, quand je considère le point de départ d'aujourd'hui, les marchés canadiens se trouvent à l'heure actuelle en une situation où historiquement, il devrait tourner entre 16 et 18 fois les bénéfices.
Or, nous en sommes à 12 fois et demie les bénéfices.
Ces traits en-deçà de la norme historique.
Les banques, un élément important de notre indice, tourne autour de 11 à 10 fois les bénéfices et aujourd'hui, elles sont à moins de 10.
Avec le point de départ d'aujourd'hui, et moyennant un peu de patience, d'ici à 300 comme que nous pouvons envisager une évolution positive des actions canadiennes. À court terme, ils restent du travail à faire pour les boissons prenants n'ont pas fini. Et un jour, il y a les manchettes négatives au niveau de la hausse du taux de chômage, par exemple, nous devons être prêts.
- Le travail qui doit être fait, les manchettes qui sont encore à venir, je songe aux statistiques d'emploi qui vient de paraître Canada après toutes les hausses d'impôts, très important de l'an dernier, marché du travail demeure très intéressant que se passe-t-il?
Cela s'est intéressant de signaler ça.
Beaucoup des investisseurs sont perplexes.
Collectivement, nous avons tous abordés l'année 2023 avec une feuille de route semblable. Le début de l'année sera difficile, au fur et à mesure de ces augmentations de tout se répercutent sur l'économie, de 10e semestre sera meilleur.
C'est le consensus. À l'heure actuelle, nous nous demandons si nous avons eu raison. 100 000 emplois de plus au Canada en décembre, 300 000 aux États-Unis.
La récession ne semble pas imminente.
Alors je crois que nous nous rendons compte que cela pourrait prendre un peu plus de temps.
Ce n'est pas aussi simple qu'un semestre difficile suivi d'un semestre positif. La situation pourrait s'étaler.
Le point de vue positif sur la situation s'est cosigné au Canada qu'aux États-Unis, les consommateurs, les ménages sont beaucoup plus brésiliens qu'on ne l'avait pensé.
Mais l'aspect négatif, c'est que cette résilience oblige peut-être les banques centrales à faire preuve d'une plus grande fermeté que ce n'aurait été le cas autrement, augmenter les taux plus qu'elle ne le refait par ailleurs, afin de parvenir au même résultat.
Autrement dit, il se pourrait que les taux d'intérêt doivent augmenter davantage et demeurer élever plus longtemps avant que nous ne parvenions à notre estimation.
À l'évidence, an dernier, grands termes telle l'inflation, la lutte contre l'inflation et ses conséquences pour l'économie.
Tout cela à dominer nos entretiens.
Cela se prolonge cette année, il s'agit de facteurs dominants. Quand reviendrons-nous en 2023 au. Il y aura d'autres thèmes? Ce sont les grands défis macro-économiques nous devons relever encore longtemps.
- Nous avons eu un baume sans précédent en 2020 2021 grâces aux mesures de relances budgétaires et monétaires qui ont été injectées sur le marché.
Il n'est que raisonnable de penser qu'il faudra plus que neuf à 12 mois pour que tout cela se dissipe.
Je crois qu'il reste encore des dégâts à essuyer.
Mais il y a de nombreuses raisons de croire que l'inflation pourrait avoir déjà dépassé son sommeil.
Il y a de bonnes raisons de croire que le pique du cycle des hausses des banques centrales est imminent.
Il n'y a peut-être pas beaucoup d'autre hausse.
Simplement, nous ne sommes pas encore.
Une fois que nous y parviendrons, il y a un nouveau mur de souci à gravir, mais à court terme, les gens seront rivés au rapport sur l'inflation et aux paroles des banquiers centraux qu'il soit en Suède ou ailleurs.
C'est cela qu'il va impulser le marché à court terme.
- Je crois que nous pouvons envisager d'avoir d'autres problèmes à régler.
- Il y a toujours de nouveaux problèmes. Quand vous avez dit que ce sera une année délicate, pour les investisseurs, comment peut-on élargir ce marché?
Est-ce qu'il s'agit de patience?
Non pas de rester dans l'attentisme mais de choisir ce moment.
- Ce que j'essaie toujours de me dire, c'est qu'il ne faut pas essayer d'être plus malin que soi-même.
Trouver le genre d'entreprise que l'on veut détenir pendant tout le cycle, ici les préoccupations parviennent à un point où on peut acheter un juste prix aujourd'hui, c'est aussi simple que cela.
Mais il faut par ailleurs être conscient des risques que l'on prend. Il peut s'agir d'une entreprise cyclique, dont les bénéfices sont très risqués, ou bien une entreprise qui est considérée comme étant très stable, mais dont la valorisation est très élevée.
Dans les deux cas, il faut être conscient des risques que l'on prend dans un portefeuille. C'est ainsi que je considère la question leur actuelle. Quel est l'équilibre à établir? Les risques je prends d'une part et les occasions à saisir. Loin ces déséquilibres?
Il y a toujours des secteurs du marché où il y a un potentiel de baisse. Trop de risques au niveau des bénéfices des bénéfices trop chers, mais il y a des créneaux sur le marché où l'on peut trouver au moins une partie du risque relié au bénéfice dans cet environnement est déjà intégré dans le cours de l'action.
- Excellent webémission!
Notre invité Michael O'Brien répondre à vos questions sur les actions canadiennes en ce moment.
Vous pouvez nous les poser en tout temps par courriel, moneytalklivetd.com ou dans la boîte question pas de votre écran.
À présent, l'actualité du monde des affaires et un coup d'œil sur les marchés.
Bêtes baptême Bjorn annonce une perte plus important que prévu pour le donne trimestre. Le détail en difficulté qui a annoncé aux investisseurs il y a quelques jours seulement qui risque de faire faillite a perdu plus d'un milliard de dollars dans les neuf derniers mois de l'exercice.
Le chef de la direction continue de déclarer que la compagnie envisage des possibilités stratégiques dans le cadre de son revirement et les actions sont en hausse de 18 et demis pour cent.
Parlons à présent des actions de Virgine orbite qui éprouve des dégâts de la gravité après que le satellite sera lancé récemment n'est pas parvenu en orbite.
Cette information est dévaluée et le titre est en baisse de 12 %.
Queen B annonce qu'il va réduire son personnel de 20 % à une nouvelle série de coupures d'emploi affirme crypto monnaie. À cause des acteurs dans l'industrie.
La fermeture de la bourse STX a terni la réputation de l'industrie.
À présent, coup d'œil sur les marchés, l'indice repart à Toronto. L'indice ainsi P TSX composite est légèrement baisse de 45 points, soit un peu moins de 40 %. Aux États-Unis, l'indice S&P 500 papillonne aujourd'hui. Affiche actuellement un modeste gain en hausse d'un peu plus de: soit de 0,06 %.
Michael O'Brien répondre à vos questions sur les axes canadiennes. Commençons par la grande question pour l'industrie sec: les perspectives pour les bons canadiennes. Le moment est propice de poser de questions. Hier une conférence bancaire a eu lieu Toronto ou les six grandes banques ont délégué leur chef de la direction indiquée le perspective actuelle.
Tout le monde sait que la conjoncture macro-économique délicate.
La grande question tourne autour de la question de savoir s'il y aura un cycle de crédit, comment se présentent les portefeuilles auprès des banques, et autel des fonds propres suffisants pour s'en tirer sans difficulté.
Après six heures, consacrée écoutait les banquiers, je conclus que sans être optimiste, je suis confiant.
Les portefeuilles de prêts semblent solides, en ce qui concerne par exemple les prêts hypothécaires à l'habitation. Toutes les banques affirment qu'elle ne voit aucune faille dans leur portefeuille hypothécaire aujourd'hui.
Cela a été affirmé avec beaucoup de fermeté.
Les banques sont-ils satisfaits de leur niveau de fonds propres.
Le régulateur avait augmenté les exigences qui avaient causé quelques hésitations.
Il s'agissait de prévoir quelques réserves supplémentaires, pour un environnement potentiellement difficile.
Le message que j'avais entendu, c'est que les banquiers estimaient avoir assimilé cette exigence et pouvait répondre aux nouvelles normes du BSI F. Il y a une question qui s'est posée quant à l'éventualité des préoccupations reliées au portefeuille de prêts. Les banques nous ont dit qu'il ne s'agit pas des prix des logements, il ne s'agit pas des seuils critiques pour les taux d'intérêt, il s'agit du marché de l'emploi.
Et du chômage.
Le message d'évoquer le suivant: surveiller le taux de chômage. Si celui-ci commence à augmenter, il est beaucoup plus probable qu'il y ait des défaillances, des prêtres sur créances. Si le marché du travail demeure aussi brésiliens qu'il est aujourd'hui, on ne voit pas de grands problèmes au niveau des prêts. La confiance grâce portefeuille de presse est intéressant.
La baisse des prix des logements après le pique de l'an dernier et la réduction des mises en chantier entraîne une certaine inquiétude.
- Les chefs des banques content publié des informations très détaillées quant à la composition de leur portefeuille de prêts hypothécaires. Pour répondre à votre question, le secteur de leur clientèle de prêts hypothécaires qui leur paraient courir des risques, c'est-à-dire un rapport près valeurs élevé, prêts hypothécaires à taux variable et qui devront être renouvelé des taux plus élevés, mauvaise cote de crédit, ce secteur représente un pourcentage très faible.
Dans le bas de la fourchette de zéro à 10 %. Les banquiers estiment qu'il ne s'agit pas de problème généralisé.
Le deuxième élément intéressant qui a été avancé, c'est dans quelle mesure sera-t-il difficile pour les ménages d'absorber les nouveaux taux d'intérêt?
Les banquiers ont signalé qu'avant la crise, le régulateur, le bénéficiaire avait instauré des règles assez strictes pour le montage des prêts hypothécaires.
Notamment le fameux stress test.
Le spectateur se rappelleront que même si les taux étaient très bas, le BSI F a instauré une règle verte de laquelle les banques devaient monter des frais en fonction d'un taux de 5,2 %, ou du meilleur taux de prêt hypothécaire plus 2 %.
Une des banques donne un exemple cette année: la cohorte des prêts qui arrivent au renouvellement, à cause de cette exigence imposée il y a cinq ans, les prêts ont été montés entre cinq, et 5,4 %.
Alors que le taux actuel n'est que légèrement supérieur.
Les banques signalent qu'elles ont déjà monté ses prêts en fonction de l'environnement de prêts hypothécaires.
Semblable à celui qui est aujourd'hui. Cela ne signifie pas que c'est indolore.
Mais il est probable qu'il y aura de l'argent qui aurait été dépensé en dépenses discrétionnaires, cinéma, restaurant et habillement, une partie de ses dépens seront consacrés aux mensualités de prêt hypothécaire. C'est positif pour les banques.
Car leurs prêts ne sont pas défaillants, mais c'est négatif pour l'ensemble de l'économie.
- Une autre question: quelle est votre perspective en 2023 pour le producteur de pétrole et de gaz?
- Les producteurs de pétrole et de gaz! De toute évidence, le cours du pétrole est très volatile.
Le cours du gaz naturel fluctue énormément.
Mais du côté du gaz naturel, qui est tributaire de la météo, l'approvisionnement est évidemment moins serré surtout en Amérique du Nord. Il est possible d'augmenter rapidement la production de gaz naturel.
S'il y a de bonnes raisons de le faire, et bien souvent, la solution pour les prix élevés ce sont les prix élevés. Le grade le gaz naturel affiche une plus grande volatilité. Le marché du pétrole, le cours du WTI demeurant autour de 75 $, ses perspectives font débat.
Les plus pessimistes quant à la trajectoire du pétrole souligne la perspective économique très morose non seulement Canada met en Amérique du Nord mais dans le monde entier.
S'il y a une profonde récession à l'échelle mondiale, la demande pourrait être affectée. Mais en revanche, les plus optimistes à l'égard du marché pétrolier signalent d'abord que moins que la récession mondiale ne soit très profonde, historiquement, la demande cesse d'augmenter mais ne diminue pas tellement.
Mis à part des événements comme la crise financière de 2008.
Deuxième domaine où les optimistes trouvent des arguments, c'est que l'offre est toujours très serrée.
Il n'y a pas eu de résurgence de la production à grande échelle.
En même temps, par comparaison 2022, lorsque la Chine, plus gros importateur mondial de pétrole, était-on confinement, l'économie chinoise se relance très rapidement, ce qui pourrait engendrer une hausse de la demande de un à 2 millions de barils en provenance de Chine.
Tandis que celle-ci abandonne sa politique de zéro COVID. Ce sera un facteur très positif en 2023.
- Quand je pondère tous ces facteurs, j'ai l'intuition que moins que la récession ne soit beaucoup plus grave, c'est le grand risque, soit beaucoup plus grave que prévu, signale pas donc de profonde récession, l'augmentation de la demande attribuable à la Chine ainsi que la fin des prélèvements sur la réserve stratégique américaine, qui a plafonné les cours du pétrole en dernier, je pense que ce contexte est très positif pour le pétrole cette année.
C'est toujours vos propres recherches avant de prendre des décisions de placement.
Vous pouvez poser des questions en tout temps par courriel@moneytalklivetd.
com à présent, poursuivons la découverte de courtier Web.
Si vous voulez passer un ordre sur le marché, vous avez différentes options.
Pour nous expliquer la différence entre les différents ordres, Caitlin Cormier forme formatrice placement directe Ltd est parmi nous. Il s'agit des ordres au prix du marché, les autres limites.
Pourriez-vous nous expliquer la différence?
- Volontiers!
Les autres limites sont parmi les plus recherchées par les investisseurs.
C'est assez basique, mais facile à comprendre, alors passons-les en revue rapidement pour comprendre de quoi il s'agit et quelles sont les différences.
Allons sur courtier Web, qui conçut recherche, puis action, il s'agit de la page d'accueil pour les recherches n'importe quel type, choisissons celui d'Apple.
Si l'on veut acheter une action d'Apple, le prix demandeur est le plus important.
Le cours demandeur et 228 et 99.
C'est le prix auquel les investisseurs sont disposés à vous vendre l'action.
C'est-à-dire ce que vous devriez payer pour acheter l'action.
Ce cours évolue constamment.
Vous voyez que ce cours est à date de 12h20, il est mis à jour constamment.
Mais il s'agit du prix le plus important dans un ordre au prix du marché.
C'est-à-dire le cours que les investisseurs sont disposés à vendre l'action.
Si on passe un ordre au prix du marché, on ne sait pas exactement quel prix on paraît, mais une certaine incertitude demeure à l'égard du prix que l'on va payer.
Ce qui est prioritaire, quand on passe un ordre prix du marché, c'est l'exécution.
Vous avez fait vos recherches, vous avez trouvé l'action, vous voulez l'acheter ou la vendre, donc exécuter l'opération c'est la priorité.
Le cours est secondaire.
Encore une fois, vous avez une idée du prix mais il pourrait y avoir une légère dérive ou une forte variation.
C'est l'exécution de l'ordre qui compte le plus pour vous.
Quand il s'agit de notre limite, le cours demandeur est toujours pris en compte, mais le prix qui vous intéresse surtout, c'est celui que vous voulez payer pour acheter l'action. En l'occurrence, c'est le prix qui est la priorité, ce que vous payez pour acheter l'action, c'est l'élément le plus important de l'opération.
En passant à un autre limite, on tient compte non seulement du cours demandeur, mais du cours historique, peut-être au cours des deux jours à venir pour voir dans quelle mesure il y a une certaine volatilité. Nous choisissons le point auquel nous voulons faire notre entrée sur le marché.
S'il s'agit d'acheter une action, on dit: voilà le plus que je suis prêt à payer.
Et si on vend, on dit: c'est le minimum que je suis prêt à accepter pour me séparer de cette action.
Par exemple, nous voyons que l'action actuelle, cours demandeur de 129 $.
On pourrait dire: je ne vends que si le cours monte à 132.
Si le cours monte à 132, je vends.
Face à un autre limite, mais en revanche, on peut dire que l'on ne veut procéder à l'achat que si le cours de 100 à 127.
C'est donc le maximum que l'on est disposé à payer pour acheter l'action. On passe donc un autre limite de 127.
S'agissant de notre limite, le prix qui est prioritaire, l'exécution est incertaine. On ne sait pas si cet ordre sera exécuté, si le cours n'atteint pas celui que nous avons fixé, c'est-à-dire ne baisse pas jusqu'à 127 tous le mondes pagent 432.
S'agissant respectivement de l'achat d'une vente, il se peut que l'ordre ne soit pas exécuté.
C'est la principale différence.
Un ordre prix du marché l'exécution du compte prix secondaire avec un autre limite, le cours est prioritaire c'est l'exécution qui est secondaire.
- Merci pour cette explication sur la différence entre les entreprises marchées les autres limites.
Admettons que l'on veut passer un ordre, comment faire?
La saisie de l'ordre est très importante.
Revenons à notre exemple de l'action d'Apple. On veut cliquer sur le bouton achat ou vente, qui pré-remplies une partie de l'ordre, on voit le symbole boursier, nous avons déjà l'information sur le cours acheteur et vendeur.
Le comportement de l'action depuis le début de la séance, tous ces éléments sont disponibles sur la bois.
La différence entre ces titres ordre, on a le symbole, ont saisi le nombre d'actions, donc il s'agit de nombres entiers.
Pour 50 actions.
Le type de prix du marché, il suffit donc de saisir la quantité et le cours sera celui auquel l'action est cotée.
On clic sur le bouton actualisait pour obtenir le cours mis à jour.
On peut généralement saisir un autre prise marché pour la journée six agit d'une action qui est activement négociée, il y a des chances pour que soit exécuté le jour même.
S'il s'agit d'un autre limite, il y a une seconde Corse qui s'affiche est celle du cours limite.
S'il s'agit d'un achat, cours limite est typiquement inférieur au taux demandeur actuel.
Et donc, vous voulez attendre que l'action est baissée à 127, vous saisissez ce cours qui est le plus bas, plus élevés auquel vous êtes disposés à acheter.
Autrement dit, l'ordre ne sera exécuté que si l'action est cotée à 127 $ au moins. Rien au-dessus.
Ensuite, la durée de l'ordre.
Ce dernier peut rester en vigueur pour la journée si le cours n'atteint jamais 127, l'ordre sera annulé en fin de journée.
On peut choisir une période spécifique, par exemple deux semaines ou une semaine, ou de jour, ou bien on peut laisser l'ordre ouvert jusqu'à annulation.
90 jours pour les actes canadiennes et 120 pour les actions américaines.
L'ordre est donc valable jusqu'à l'expiration de cette période jusqu'à ce que vous l'annuliez.
Rappelez-vous qu'avec ce genre d'ordre, puisque l'exécution n'est pas garantie, vous pourriez envisager une période plus longue qu'une journée, afin de donner le temps au cours de fluctuer jusqu'au seuil que vous aurez fixé.
Rappelez-vous également que si l'ordre est exécuté sur plusieurs jours, vous pourriez devoir quitter plusieurs commissions!
- Voilà quelques types d'autres que vous pouvez utiliser lorsque vous créez votre portefeuille.
En fonction de vos priorités.
Merci, Caitlin!
- Je vous en prie.
- Caitlin Cormier formatrice placement directe Ltd.
Ne manquez pas de visiter le centre d'apprentissage de courtier Web vous trouverez encore plus de ressources.
Michael O'Brien va continuer de répondre à vos questions au sujet des actions canadiennes, mais d'abord, je vous rappelle comment vous posez une question.
Avez-vous une question sur les placements ou encore sur le marché?
Vous pouvez nous la poser, soit par courriel, moneytalklivetd.com.
Soit dans la boîte de questions au bas de votre écran.
Il suffit de cliquer sur envoyer.
Nos invités pourraient vous répondre on directe!
Michael O'Brien répond à vos questions sur les actions canadiennes.
Dans notre entretien à l'ouverture de l'émission, notre invité à évoquer les compagnies qui ont potentiel à court terme.
Lesquels?
- Le potentiel à court terme au niveau de la réouverture de la Chine, je ne sais pas exactement si le but de la question, mais selon les marchés, que vous envisagez, il y a différents titres qui peuvent bien réussir.
Le voyage, l'habillement.
Au Canada, c'est plutôt les produits de base, producteur de pétrole et de gaz dont nous avons parlé tout à l'heure, ou encore les compagnies de métaux de base, d'engrais dans le secteur des produits de base.
Ce sont des entreprises qui sont étroitement liées à la demande de produits de base, l'économie chinoise.
Le revers de la médaille, c'est que ce sont des secteurs très volatiles.
Il s'agit de vérifier que les risques restent acceptables, mais ce sont des compagnies qui pourraient bénéficier de la réouverture de l'économie chinoise.
Un autre secteur du marché n'est pas spécifique à la Chine, ce sont les compagnies qui peuvent s'y retrouver dans un environnement économique.
Il s'agit de titres comme dollars à ma, les compagnies discrétionnaires.
Mais c'est vraiment comme des produits de consommation courante à cause de la valeur de leur préfet.
Il n'y a pas le même rabais et il y a une juste valorisation, mais ce sont des entreprises qui se débrouillent dans ce genre d'environnement comme un supermarché, on place et trop, s'il y a plus de patience, je crois qu'il y a davantage d'opportunités.
Je pense qu'il s'agit d'un bon.
D'entrée, mais qui pourrait prendre davantage de temps.
Les titres financiers, les banques, vous payez très peu chère. Un bon rendement en dividende. Mais il y a également des titres financiers comme certains des assureurs comme Sun Life, les dividendes intéressantes et une valorisation très modeste.
Donc le type d'entreprise qui, dans un contexte plus optimiste, ont tendance à être plus coûteuse, vous pourrez attendre ce contexte si à un peu plus pour obtenir le rendement, mais le prix est plus intéressant.
Justement, est-ce la patience qui représente le risque?
- Parfois je manque de patience.
C'est une tendance humaine.
L'aspect humain, c'est qu'il faut maîtriser ses émotions, est-ce que vous avez besoin de cet argent d'ici trois mois?
C'est la grande question si vous n'avez votre distinction de ces trois mois, vous avez les moyens d'être patients.
Si vous attendez d'obtenir un rendement, il faut choisir autre chose.
Je songe au long terme, mais parfois je me laisse emporter.
Pour en revenir à la grande question, investir dans un environnement comme celui-ci, il y a tellement de volatilité, il faut toujours maintenir ce sens d'équilibre.
Une approche en vertu de laquelle vous pouvez acheter des actions qui sont plus volatiles tant que vous êtes rémunérés pour le risque que vous prenez en même temps, c'est toujours bien d'avoir des titres qui rapportent plus régulièrement.
- Une autre question au sujet de la situation macro-économique: est-ce que la banque du Canada va réduire les taux d'intérêt en 2023 ou 2024?
- Les investisseurs qui sont plus optimistes pour le marché en 2023 quant au marché obligataire depuis longtemps, les investisseurs supposent que les taux d'intérêt vont augmenter encore quelque peu d'ici trois à six mois, mais que les banques centrales vont commencer à réduire les taux d'ici la fin de l'année.
C'est plus favorable au marché obligataire que pour le marché boursier.
Car ce qui amènerait les banques centrales réduire les taux à la fin de l'année serait sans doute le fait que l'économie se porte moins bien que prévu.
Donc, il ne s'agirait pas nécessairement de scénario positif pour les bourses.
Mais c'est un pronostic qui est assez répandu.
Si vous écoutez les banques centrales, elles nous disent quelque chose de bien différent.
Il nous incombe de faire la part des choses.
Ce que les banques centrales nous disent, clairement, c'est qu'elle prévoit augmenter les taux encore plus qu'aujourd'hui il maintient pendant une période prolongée.
Il n'y aura pas de coupure de taux en 2023.
Qu'est-ce qui les amènera changer d'avis?
Ce qui serait positif serait que l'économie revienne à la tendance sans faire de dégâts, ce n'est que peu probable.
L'autre raison pour laquelle les banques pourraient changer d'avis, c'est si la récession est beaucoup plus grave que nous ne le prévoyons aujourd'hui.
Avec d'importantes pertes d'emploi, une forte hausse du chômage.
Cela mettra la banque à agir.
Michael O'Brien répond de nouveau vos questions en quelques instants.
Comme d'habitude, faites toujours vos propres changements de de faire des projets d'édition de placement.
Je vous rappelle comment nous poser vos questions.
Avez-vous une question sur les placements ou encore sur le marché?
Vous pouvez nous la poser soit par courriel@moneytalklivetd.
com soit dans la boîte de questions au bas de votre écran.
Il suffit de cliquer sur envoyer.
Nos invités pourraient vous répondre on directe!
Nous parlions de la banque du Canada et toutes les augmentations de taux pratiqués en dernier ont prélevé attribut sur le marché du logement.
- Est-ce que nous arrivons à la fin du processus?
Pourrions-nous toucher le fond de?
- Anthony Okolie commente les pronostics de service économique TD sur le marché du logement.
- Service économique TD prédit que les ventes de logements Canada toucheront le fond début 2023.
On prévoit également que la valeur moyenne de logements Canada touchera le fond cette année.
De la crête autre, il s'agit on prévoit une baisse de 20 % du prix des logements Canada, ce calendrier étend conforme à celui des mesures de resserrement de la banque du Canada, qu'elle va prendre fin ce mois-ci avec une dernière hausse de 25.
.
Même si le marché ne touche le fond d'ici quelques mois, service économique TD considère que les ventes demeureront atténuer et que l'année 2023 sera la plus faible pour les ventes depuis 2001 il y a plus de 22 ans.
La raison en est que le Canada connaît selon et service économique TD la pire période de portabilité des logements le président la fin des années 80 le début des années 90 autour de dans les provinces comme l'Ontario.
Dans un rapport intérieur, service économique TD d'un avion de ménage habitant la région du Grand Toronto est toujours le revenu moyen des ménages devrait consacrer 56 % de son revenu mensuel avant impôts mensualités protecteurs seulement afin d'acheter un logement au prix moyen.
Or, les prix vont continuer à augmenter, ce qui va encore creuser l'écart au plan de la portabilité.
Service économique TD prévoit le plus important baise en raison de l'Atlantique, Ontario en Colombie Britannique.
La Nouvelle-Écosse, nouveau produit que l'Ontario de représenter une baisse de plus de 11 % du prix des logements cette année.
Selon service économique TD, les baisses en Ontario en Colombie Britannique vont plus que compenser les baisses, les hausses de randonnée, ce qui n'est pas le cas pour les provinces de l'Atlantique.
Service économique TD prévoit que les baisses seront inférieures dans les prairies, et Terre-Neuve et à Labrador cette année à cause de la meilleure portabilité dans ses provinces.
Service de Me Frédéric TD prévoit également que si la hausse des taux et la faiblesse économique entraîne des ventes forcées par les propriétaires de logements, les perspectives de croissance des prix pourraient être plus faibles que prévu.
C'est un scénario que l'on espère éviter.
Mais si l'on prévoit uniquement un marché morose du logement cette année, y a des possibilités de rebond?
- Service économique TD croit que leur rebond des ventes de logements devrait intervenir en 2024.
D'ici là, service économique TD pense que l'inflation devrait être jugulée.
La banque du Canada devrait avoir réduit ses taux.
Les qu'elle sera plus restrictif au niveau régional, on prévoit que les prairies Terre-Neuve et Labrador sur place les autres provinces.
Puisque ces régions continuent de bénéficier d'une meilleure portabilité.
Dans les provinces en Ontario la Colombie Britannique, une bonne partie de l'Atlantique, la croissance devrait être mitigée encore une fois à cause de la portabilité.
- Tout le monde s'intéresse à l'évolution du marché du logement.
Vous venez d'entendre Anthony Okolie. Un coup d'œil sur le marché.
L'indice composite TSX élément négatif depuis le début de la séance.
Et si maintient à 33.
En baisse, un peu moins de 0,15 %.
Il y a une certaine faiblesse dans le secteur de l'énergie, brute semble s'être stabilisée stabiliser par les gains importants du début de la séance d'hier.
Certains titres industriels sont en état de faiblesse, mais rien de trop spectaculaire.
Il s'agit donc de 33.
En baisse.
Michael O'Brien de gestion d'actif Tedey réponde à vos questions sur les actions canadiennes.
Les compagnies des télécommunications à présent.
Il y a beaucoup de choses qui s'en viennent avec leur proposition de fusion de roches et chat qui a été annoncé il me semble il y a plus de deux ans.
Une éternité. Et qui pourrait être consommé prochainement.
Je récapitule: le commissaire à la concurrence s'est opposé à l'opération.
Roches et chats ont proposé de vendre le fruit de mon père à Vidéotron, un concurrent québécois.
Le tribunal de la concurrence a statué en faveur de la fusion.
Le commissaire à la concurrence a fait appel.
Mais si nous parvenons à un point, rapidement, j'espère, où la décision sera confirmée la fusion sera prouvée, ce qui me semble être le cas, il s'agit d'une décision féconde en conséquence pour le marché.
Des télécommunications.
La famille shaw a commencé après l'annonce de la fusion à réduire les efforts financiers déployés pour développer son réseau, notamment sur les marchés où Fido avait une présence, notamment l'Ontario l'Alberta et le pronom Colombie Britannique.
Si prud'homme est vendu à Vidéotron, les propriétaires de Vidéotron dit clairement qu'ils vont être des concurrents tenaces et vont tâcher de conquérir des abonnés.
Proposer des services et des forfaits innovants à ce qui pourrait changer la dynamique concurrentielle dans le sans fil.
Le créneau le plus attractif pour toutes les compagnies communicables télécommunications.
Nous pourrions donc assister à une évolution par rapport à un environnement concurrentiel très bénin en 2022 où il y avait également des facteurs favorables à cause de la réouverture, la reprise des déplacements, l'année 2023 pourrait être un peu plus difficile au plan concurrentiel.
Avec le temps, l'arrivée de quatrième concurrent sur ces marchés, n'entraînera pas de graves perturbations, mais à court terme, cela amène une certaine prudence.
Peut-être que l'année 2023 ne sera pas aussi forte que ne l'été 2022.
Nous n'avons plus de temps pour vous poser des questions, mais je voudrais solliciter une ultime réflexion.
Nous avons commencé par parler du fait que les investisseurs sont très heureux de tourner la page après 2022.
Ils espèrent que cette année sera meilleure.
- Ce sera délicat.
Oui.
Comme je l'ai dit, la tâche n'est pas terminée.
Les banques centrales ont un travail à faire.
Une tâche à accomplir, de ramener l'inflation à leur cible, ne levons pas le pied jusqu'à ce qu'ils y soient parvenus.
Nous devons accepter qu'il s'agit d'un processus dont il faudra attendre la fin.
Nous ne sommes pas encore.
Mais comme je l'ai dit, au début de l'émission, si vous adoptez un point de vue à plus long terme, les marchés se sont déjà largement stabilisés.
En supposant qu'il ne s'agit pas de processus s'étendant sur plusieurs années, en supposant que les banques centrales réalisent leur mission, et que la récession est moins profonde et plus courte, et que nous évitons certains des dégâts constatés en 2008, point de départ d'aujourd'hui est assez positif.
Plus longtemps vous êtes investis, meilleurs sur vos chances de succès.
Voici un excellent exemple.
Il faut investir dans des compagnies qui nous intéressent.
Sans être obnubilé par les variations du marché attendre des jours meilleurs.
- Merci pour votre intervention et à bientôt j'espère!
Là je vous en prie.
- Michael O'Brien de gestion d'actifs Ltd.
Demain, Michael Craig chef de la répartition d'actifs de gestion d'actif Tedey va répondre à vos questions sur la répartition d'actifs.
Vous pouvez nous poser vos questions en tout temps par courriel, moneytalklivetd.com.
Merci et à demain!