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(musique) - Bonjour, ici Greg Bonnell. Bienvenue à par leur argent direct, inhibition de placement direct et des. Nos invités commentent l'actualité des marchés répondre à vos questions sur le placement. Aujourd'hui, la remontée des marchés sera-t-elle durable ou s'agit-il d'un faux espoir pour les investisseurs? Michael O'Brien de gestion d'actifs des des commandes. Nous poursuivons la découverte courtiers ouais. Dizaine attique nous explique comment se tenir au courant des bénéfices entreprise. Posez-nous vos questions par courriel@moneytalklivetd.com ou dans la boîte de questions au bord de votre écran. Tout d'abord, un coup d'œil sur le marché. Il y a du verre à l'écran de part et d'autre de la frontière. L'indice TSX composite en hausse de 124. , Un peu plus d'un demi pour cent, au-delà du seuil psychologique de 20 000.. Le goût du risque revenu, ce qui favorise le secteur de la technologie, Shopify progresse de presque 6 % à 54 quelques dollars l'action. Légère pression à la baisse sur le cours de l'or. Une mine d'or y comprit les barriques se sont en baisse de deux et demis pour cent dans le cadre barriques. L'indice S&P 500 est en baisse d'un et demi pour cent. Les chiffres relatifs au prix de gros semblent laisser entendre que l'inflation est un reflux. Ce que nous recherchons en ce moment, en ce qui concerne inflation, c'est un affaiblissement de l'augmentation des prix. L'indice Nasdaq spécialisé dans la technologie réalise des gains importants de deux et demis pour cent en hausse aujourd'hui. Amazon, les compagnies de technologie Amiga capitalisation qui ont beaucoup reculé après l'annonce de la bénéfice il y a 15 jours regarder un peu de terrain perdu et Amazon est en hausse de plus de 2 %. Une dynamique positive sur les marchés qui prolongent la remontée que nous avons amorcée depuis peu. Mais après une année difficile, beaucoup d'investisseurs se demandent si cette tendance dura. Michael O'Brien gestionnaire de portefeuille à gestion d'actifs cédés commente. Comment interpréter cette dynamique? C'est un changement agréable, ça fait plaisir de voir des remontées. La semaine dernière, et cette semaine, enfin, c'est une tendance très forte. Quelles conclusions tirez-vous? - Je dirais que l'ampleur de l'évolution appris beaucoup de gens par surprise. Les investisseurs étaient assez pessimistes. C'est donc une de ces situations où de légère bonne nouvelle était susceptible de faire beaucoup d'augmenter les indices. Or, il ne s'agissait pas d'une bonne nouvelle peu d'importance. Il s'agissait des chiffres de l'inflation qui était inférieure aux prévisions. Dans l'ensemble des différents indicateurs, on constate les signes d'un mouvement général de déflation. Les prix des voitures d'occasion, la santé, toutes sortes de secteurs. Il s'agissait là d'un élément légitimement positif. Ce qui renforce l'importance de l'inflation pour l'orientation des marchés. - Nous éprouvons quelques difficultés audio pour l'instant. Nous allons régler le problème de micro de Michael. Vous pouvez communiquer avec moi tout en@moneytalklivetd.com ou dans la boîte de questions en bas de votre écran. - Quelques mots sur l'actualité des affaires. Et un coup d'œil sur les marchés. Les ventes de logements au Canada affichent le premier gain sur un mois depuis le mois de février. En hausse de 1 % sur le mois dernier selon les dernières statistiques de la société canadienne l'immobilier, six marchés sur 10 affichent une augmentation de l'activité, mais les ventes sont tout de même inférieures de 36 % sur 12 mois. Et le prix moyen de vente est inférieur de 10 ans à ce qu'il était l'an dernier. Les actions de Walmart sont sous le feu des projecteurs. Le détaillant géant dépasse les prévisions pour le dernier trimestre et rehausse les pronostics de vente de bénéfice. L'inflation exerce une pression sur les budgets des ménages, mais la demande d'alimentation est en hausse. Walmart annonce également un plan de rachat d'actions devient 20 milliards de dollars. Home Depot dépasse également les attentes. Mais le détaillant de rénovation laisse ses pronostics inchangés pour l'exercice. Home Depot est en hausse un peu plus de 2 % à 313 quelques dollars l'action. Les indices, TSX composite est en hausse de plus d'un demi pour cent, prolongeant les gains importants de la semaine dernière. Nous en sommes à plus de 110 points d'augmentation. Aux États-Unis, les données sur les ventes de gros laisse espéraient reculent l'inflation, ce qui pourrait modifier la trajectoire de la réserve fédérale. Le S&P 500 est en hausse d'un et 1/3 %, soit 50:. Cette tendance positive sur le marché depuis quelques séances, après une année difficile pour les investisseurs, nous amène à nous demander s'il y a une tendance durable. Michael O'Brien gestionnaire de portefeuille à gestion d'actif Tedey. Approfondissons. - Une tendance positive, c'est très positif. Que dire de cette tendance? - Il s'agit d'une tendance très positive. Les investisseurs rebondissent sur la tendance de l'inflation. Comme vous le disiez, lorsque nous éliminions quelques indicateurs qui peuvent laisser entendre l'inflation atteinte un sommet et commencera pluie, cela nous encourage à penser que la réserve fédérale aux États-Unis, la banque du Canada chez nous, l'approche de la fin de leurs tâches. C'est une préoccupation importante pour les marchés, car l'ampleur des hausses de taux de porte d'autre de la frontière a prie les investisseurs par surprise. Cela a beaucoup plombé les valorisations jusqu'ici. Ses déceptions continuent, infligées aux investisseurs, tandis que les banques centrales annoncent qu'elles vont prolonger et accentuer la hausse des taux. J'espère que les prochaines statistiques canadiennes refléteront le même mouvement que celle qui vient de paraître aux États-Unis. Peut-être commencerons nous a constaté une légère déflation, ce qui va permettre, espérons-le, à la banque centrale d'estomper son action. Beaucoup d'investisseurs redoutent l'effet cumulatif de toutes les augmentations de taux sur la croissance l'an prochain, sur les bénéfices l'an prochain. Plus rapidement, l'inflation commence à reculer. Plutôt, espérons-le, les banques centrales pourront marquer une pause. Ce qui réduit le risque d'une année négative pour la croissance l'an prochain. Dans la mesure où certains indices laissent à croire que l'inflation peut atteindre un sommet, ou l'avoir déjà atteint, la pression qui s'exerce sur les banques centrales et soulager d'autant, ce qui nous donne l'espoir de parvenir à un atterrissage en douceur. - Voilà ce qui motive cette remontée des bourses. Une remontée qui sera je pense durable. Le prochain grand défi pour les marchés se situera sans doute au premier trimestre, lorsque fin janvier ou début février, les entreprises annonceront leur prochain bénéfice. D'ici là, j'espère que nous profiterons des tendances favorables pendant cette saison. Est-ce que ce premier trimestre après que la banque fédérale réserve règlement du Canada ont achevé leur mission, la question de rehausser l'étau, c'était un remède de cheval qu'il s'était infligé. Est-ce que ce ralentissement de l'économie va commencer à se répercuter sur les bénéfices des entreprises au premier trimestre? - Tout à fait. Jusqu'à ce que l'économie ralentisse, jusqu'à ce que la surchauffe au Canada comme aux États-Unis commence à s'apaiser, en un mot, jusqu'à ce que le marché du travail se desserre un peu, la tâche de la Fed, la tâche la banque Canada ne sera pas achevée. C'est cela que nous allons surveiller. Tandis que nous arrivons à la fin janvier, début février. Lorsque le bénéfice quatrième trimestre seront publiés, ces entreprises devront nous dire ce que leur réserve l'année 2023 selon elle. Si l'année prochaine sera plus difficile pour la croissance, il sera difficile pour les entreprises d'éviter cette discussion. Ce sera une véritable épreuve, car nous pouvons nous attendre avec réalisme que l'inflation demeure faible si nous avons le plein emploi, si la croissance économique est toujours excellente. Il nous faut les deux. Peut-être inflation Flip publie-t-elle. Comme vous le dîtes, elle faiblit parce que nous avons vont insister un affaiblissement de la demande, un desserrement du marché du travail. La dernière fois que Jérôme par le président de la fête est exprimé, il semblait laisser entendre que le taux terminal pourrait être plus élevé que nous ne l'avions prévu. Les marchés se focalisent sur le ralentissement du rythme des augmentations, 25. , Cela semble presque appartenir au passé. Mais les intervenants de la Fed depuis quelque temps ont semblé insister sur la nécessité de songer non pas à l'ampleur des roses, mais auto qui sera atteint en dernière analyse. - Pense que les banques centrales veulent faire comprendre aux investisseurs que ce n'est pas tellement le rythme d'augmentation, 25, sous 50 ou 75. Qui conduit plutôt la destination, c'est-à-dire le taux terminal. S'agirait-il de 4 %, quatre et demis pour cent ou 5 %? La fille ne veut pas que les investisseurs se trompent en prenant ralentissement dans le rythme des augmentations comme affaiblissement de la résolution. Les banques centrales. Ce que ces dernières veulent, c'est ralentir l'économie. Elles veulent avertir les investisseurs et nous ferions bien d'entendre ses avertissements. Car il est bien inutile de jouer au plus fin avec la fête. La question est de savoir si les banques centrales sauront faire preuve de l'adresse suffisante. Les banques centrales nous avertissent qu'il y aura des dégâts. Le marché du travail se porte bien. Les marchés boursiers aussi. Nous avons vu les dégâts dans notre portefeuille, mais dans la vie réelle, une fois de la récession commencera, s'aider de façon plus généralisée. Traditionnellement, la banque centrale affirmait que lorsque l'économie ralentit, il faut plutôt réduire les coûts d'emprunt. Vous soulignez un élément important. Beaucoup d'investisseurs en début d'année avaient pensé que les banques centrales relèveraient les taux jusqu'à des taux restrictifs. Mais dès qu'une certaine faiblesse apparaisse dans l'économie, les banques centrales volaient à notre secours en réduisant les taux. Or, les banques centrales ont affirmé très clairement que ce n'est pas ce qu'elle ferait cette fois-ci. Une fois parvenue au taux terminal, sans doute au début de 2023, elles s'y maintiendront pendant quelque temps. Pourquoi? Parce qu'elles doivent s'assurer que l'inflation non seulement diminue, mais demeure faible. C'est ça qui est délicat nous l'avons oublié. Nous savions que certains éléments de cette flambée déflation étaient transitoires. Transitoires, c'était le mot à la mode l'on dernier. Il y a d'autres éléments qui ont été influencés par les problèmes de chaînes d'approvisionnement. Le prix des voitures d'occasion remontée en flèche, parce qu'on ne pouvait pas en trouver. Les matériaux de construction pour les rénovations à domicile avaient été augmentés. Certains de ces facteurs temporaires d'inflation ont commencé à s'estomper. Ce sera favorable pour les investisseurs et c'est pour soi pourquoi je dis que cette remontée sera quelque peu durable. À un moment donné, lorsque nous entrerons dans l'année 2023, les progrès faciles dans la base inflation ont été accomplis. Ce qui restera sera plus difficile à faire baisser. Nous serons peut-être à trois ou 4 %, et un ou 2 % nécessaires pour redescendre jusqu'à l'objectif de 2 % sera beaucoup plus difficile à obtenir. Quel sera le taux que les banques centrales choisiront? 4,4 et cinq? Ce taux terminal va demeurer en vigueur de pendant assez longtemps. Cela va quelque peu dégonfler l'économie en 2023. Plus rapidement, les facteurs durables de l'inflation, le marché du travail joue un rôle tellement important, la trajectoire de la progression des salaires en 2023 va déterminer quand les banques centrales estimeront qu'elles peuvent enfin lever le pied en toute sécurité? Et même envisager des coupures de taux? Si l'inflation demeure durable à trois ou 4 %, ce qui est nettement au-dessus des objectifs des banques centrales, celles-ci ne vont pas réduire les mesures qu'elle prenne. Comment le marché du travail en particulier réagit-t-il aux mesures qui ont déjà été prises? À la suite de ces augmentations de taux. - Merci pour ces aperçus. Michael O'Brien répond en quelques instants à vos questions sur les actions. Un coup d'œil sur les marchés tout d'abord. L'indice CCP TSX est en hausse de 120 points, soit 1 + 1/2 %. L'indice S&P 500 est lui aussi en hausse, l'indice S&P 500 est en hausse d'un tiers pour cent. Michael O'Brien répond à vos questions sur les actions canadiennes. - Que prévoyez-vous pour la saison des bénéfices des banques? Les qu'elle annonce au Canada leurs bénéfices en dernier? - Ce sont les dernières des sociétés, mais sans doute les plus importantes de l'ensemble de l'indice TSX. Je prévois que nous verrons des résultats très solides. Quand je réfléchis aux facteurs clés de la rentabilité des banques, il est évident que les provisions pour pertes sur créances pratiquées par les banques seront scrutées de près. Autrement dit, comment se comporte leur portefeuille de prêts? Ce sera une inquiétude face à l'évolution de la croissance. Je pense que les banques vont tâcher de pratiquer des provisions pour pertes sur créances au titre des prêts qui pourraient devenir douteux. Certains des prêts qui paraissaient productifs vont peut-être devenir douteux auto au cours des mois à venir. Je pense que les banques vont renforcer leurs prévisions pour pertes sur prêts productifs. Les prêts douteux, ceux qui sont d'ores et déjà non remboursés, ne vont sans doute pas bouger où ces provisions vont augmenter légèrement. C'est cela qui sera surveillé de plus près. Du côté positif, je pense que les marges d'intérêt nettes des banques, c'est-à-dire les marges sur leur prêt s'élargissent de façon considérable. Cela a été le cas le trimestre précédent, seule sera ce trimestre-ci. C'est l'activité de base des banques. Les banques vous prêtent de l'argent à un taux supérieur à celui qu'elles doivent verser à leurs déposants. Je pense que cette marge sera excellente. La discussion quant à l'évolution des pertes sur créances des banques ne prendra pas fin, mais je prévois que les résultats des banques pour ce trimestre seront solides. Ce sont des banques d'excellents fonds propres et d'excellents provisions. À l'approche l'an prochain, si nous entrons en récession, et on peut espérer que ce sera une récession légère, est-ce que ce sera un phénomène négatif pour les actions des banques? - Oui, tout à fait. Les banques sont essentiellement des paris à levier sur l'économie. Chaque fois que la croissance ralentit, celle des prêts ralentit également. Il s'agit de savoir quels cycles de crédit nous allons découvrir. À mon avis, ce sera un facteur négatif jusqu'à ce que la discussion soit résolue. Quant aux perspectives, les banques et les Canadiens en général sont assez bien placés. L'emploi se porte bien. Une épargne excédentaire a été accumulée pendant la pandémie, les secteurs de l'économie qui sont tributaires de produits de base, particulièrement dans les provinces de l'Ouest sont florissants. Il y aura un cycle de crédit, mais il sera de plus en plus apparent. Pour les investisseurs. Trimestre après trimestre, que les portefeuilles de prêts des banques se comporteront bien, que leurs fonds propres sont abondants. Je pense que nous nous rassurons rapidement quant à la situation des banques. Slice question suivante: que pensez-vous du pétrole? - C'est 1, Cours qui fluctue beaucoup depuis quelque temps. À l'heure actuelle, le pétrole fluctue dans une certaine fourchette. Il y a eu le piquet qui a été atteint en début d'année avec la situation rustaud ukrainienne. À l'heure actuelle, pétrole aussi entre 80 et 100 dollars plutôt vers le bas de cette fourchette aujourd'hui. Il y a deux forces concurrentes. Tout d'abord ce qui fait baisser les cours, c'est que l'on s'inquiète de l'évolution de la demande. Le Canada et les États-Unis ne sont pas les seuls pays où la croissance ralentit. Nous nous demandons si il pourrait effectivement y avoir une récession mondiale en 2023. L'Europe subit beaucoup de pression. On cinq donc un niveau général sur les conséquences pour la demande de pétrole. Quand on remonte dans l'histoire, la demande pétrole pas été aussi sensible à la croissance économique qu'on pourrait le penser. Mais c'est cela qui plombe le cours du pétrole. En revanche, quand on envisage l'avenir, il y a un certain nombre de catalyseurs très positifs et très proches qui maintiennent le cours du pétrole relativement élevé, est-ce que les actions des sociétés pétrolières. Par exemple, les États-Unis tirent 1 million de barils par jour de la réserve stratégique depuis le printemps. À présent que les élections demies mandats sont achevées, ces prélèvements vont cesser. Donc 1 million de barils par jours qui ne sont plus prélevés d'ici quelques semaines. En Europe, le 5 décembre, l'embargo du pétrole russe par l'union européenne doit entrer en vigueur, ce qui pourrait avoir un impact très perturbateur sur les flux de pétrole russe. Enfin, la Chine, après son tout dernier congrès, pendant lequel le président a été prolongé dans ses fonctions, que certaines mesures pourraient être prises pour assouplir la politique zéro COVID. Quand on n'y songe, la Chine a été le facteur de croissance numéro un pour le pétrole. En 2022, avec les politiques de confinement, attribuable à la COVID, la demande de pétrole en Chine est anormalement faible. S'il est un desserrement de la politique zéro COVID, qui annonce le retour de la demande chinoise, les marchés pourraient être beaucoup plus serrés. Il y a donc des problèmes de demande d'une part et d'autre part, beaucoup de catalyseurs d'une augmentation de la demande. Cette discussion sera en cours jusqu'à ce que nous en sachions davantage. Est-ce qu'il est trop tard pour acheter des actions de compagnies d'énergie? - Trop tard? Je dirais non. Il est trop tard pour Satan de réaliser des gains spectaculaires comme ceux qui ont été enregistrés au printemps 2020. Lorsque les cours du pétrole étaient négatifs et que beaucoup de compagnies pétrolières étaient cotées à des prix qui reflétaient le fait qu'elle pouvait peut-être faire faillite. Mais il y a eu une forte remontée des actions pétrolières depuis deux ans. Si vous achetez aujourd'hui, ne vous attendez pas à faire un coup de bourse. Mais le cours du pétrole dans la gamme de 80 à 100 $ sont durables. Je pense que c'est ce que nous verrons depuis ici plusieurs années. Quand vous considérez les valorisations aujourd'hui, sont très raisonnables. Et vous pouvez compter sur une restitution énorme de trésorier aux investisseurs. Les compagnies pétrolières font preuve de discipline ne réinvestit pas tous leurs revenus, mais les reverse aux investisseurs sous forme de rachat d'actions et de dividendes. Je vois toujours des opportunités dans le secteur de l'énergie. - Fait toujours vos propres recherches avant de prendre des décisions de placement. Michael O'Brien répond à vos questions sur les actions canadiennes quelques instants. Vous pouvez nous poser nos questions en tout temps par courriel@moneytalklivetd.com poursuivons la découverte de courtier Web. La saison des bénéfices est presque achevée, mais ils restent encore quelques sociétés qui vont annoncer les leurs. Dizaine attique responsable de la formation en placements directs de TD nous explique comment on peut se tenir au courant des bénéfices des entreprises. - Bonjour, Greg! Se tenir au courant le sextant sur le marché est toujours important. Ça peut être difficile. Mais il est important en particulier de se tenir au courant des annonces de bénéfices des entreprises. Courtier Web contient deux outils très utiles pour rester au courant. Sur la page d'accueil de courtier Web, à laquelle on peut toujours accéder directement en cliquant sur le sigle TD dans le coin supérieur gauche, considérez le coin inférieur droit. La série vos événements. Il s'agit de rechercher des annonces de changement de note de crédit, les annonces de dividendes, des annonces de bénéfices, des entreprises dont les actions figurent dans votre compte. Il s'agit d'un compte de démonstration, je ne détiens pas d'axiome dans votre portefeuille, ces résultats s'afficheront. Pour nous faire éditer des experts sur le reste du marché, nous pouvons cliquer sur l'onglet recherche au sommet de la page, sous la rubrique marchée, choisir: événement. Il s'agit d'une possibilité de choisir une date pour réaliser une analyse rétrospective, ou pour se donner au courant des événements futurs. On peut choisir le Canada, les États-Unis, s'affiche donc une liste qui donne la possibilité de choisir les bénéfices et les dividendes, fractionnement d'action. Choisissant laquelle la section des annonces de bénéfices. On voit que la période qui est visée par ces annonces, on a la possibilité de comparer le lien entre ces estimations les résultats de l'année précédente. Quand on considère les informations sur les bénéfices d'une entreprise en particulier, on clique sur le sigle boursier de la compagnie, et puis on choisit la sélection au bas de l'écran. Pour continuer d'analyser les bénéfices, on clique sur l'onglet bénéfices. Et sur cette page, on peut voir les rapports des analystes, les informations sur les bénéfices passés et les projections de bénéfices futurs. Vous pouvez voir non seulement ce que la compagnie prévoit, mais c'est que les analystes ensemble du marché projet. Vous pouvez donc vous tenir au courant et utiliser cette information pour vous aider dans vos ordres. Lorsque les investisseurs font des recherches sur les entreprises, il y a une chose qu'ils aiment bien voir, ce sont les comparaisons de bénéfices sur 12 mois. Il s'agit d'un outil très important qui permet de vérifier que la compagnie a une dynamique positive. Courtier Web vous propose un outil excellent. Que l'on trouve dans l'onglet recherche, puis sous la rubrique outils. L'outil filtre. Les filtres permettent de créer un univers d'entreprise très étendue, ou encore d'indiquer des critères très spécifiques pour repérer des entreprises très précises. On peut rechercher des événements techniques, des fonds communs de placement, des FNB ou des titres particuliers. Cliquant sur filtres, et je vais éliminer les filtres prédéfinis pour sélectionner quelques critères. Vous voyez qu'au milieu de l'écran, il y a toute une catégorie intitulée croissance bénéfices. Je vais choisir croissance des bénéfices période de cinq ans pour cet exemple. Il est donc possible d'affiner l'analyse. Concentrons-nous sur le marché canadien. Et vous remarquerez qu'il y a une ligne qui permet de fixer le minimum de croissance que l'on recherche. Il y a 539 occurrences. Si l'on fait glisser jusqu'à 5 %, nous avons croissance de 5 %, nous avons déjà réduit le nombre de résultats à 274 avec un seul critère. Vous avez déjà repéré des opportunités, vous pouvez toujours ajouter de nouveaux champs comme rendement dividendes, volumes moyens au cours de l'action. Le tout afin de définir les titres qui seront le bon choix d'investissement pour vous. - Merci, comme toujours, les hommes. Cela je vous en prie. - Dizaine attique et formateur en placements directs de TD. Ne manquez pas de visiter le centre d'apprentissage courtier Web où vous trouverez encore plus de ressources ainsi que l'annonce de webinaire venir. Michael O'Brien répond à vos questions dans quelques instants, mais tout d'abord, rappelle de la manière de nous poser vos questions. Avez-vous une question sur les placements ou encore sur les marchés? Vous pouvez nous la poser soit par courriel@moneytalklivetd.com, soit dans la boîte de questions au bas de votre écran. Il suffit de cliquer sur envoyer. Nos invités pourraient vous répondre en direct. Michael O'Brien répond à vos questions sur les actions canadiennes. Amazon élimine 10 000 emplois. Quelles sont les conséquences pour Shopify? - Si les géants comme Amazon commence à vouloir maîtriser leurs dépenses, cela reflète le fait que l'écosystème de commerce électronique et sous une forte pression. Shopify, la mise en place des premiers ensemble de réductions de coûts il y a quelques mois, les temps sont durs pour ces compagnies. Je pense que Amazon qui licencie 11 000 personnes se répercute directement sur l'activité de Shopify. Cela ne change pas la dynamique concurrentielle, mais cela montre bien qu'il y a des facteurs négatifs. On a beaucoup parlé de ralentissement de la croissance en 2023. Si vous songez à une entreprise comme Shopify, son pain quotidien, ce sont les petites entreprises indépendants qui vendent des biens de consommation discrétionnaire. Typiquement, ce sont les secteurs qui sont pas mal secoué en période de récession. Shopify va devoir enlever des relevés des défis comme Amazon et toute entreprise prépare à une époque difficile. Ils se serrent la ceinture. Il s'agit d'actions qui se comportent bien dans son environnement ou le goût du risque est à l'ordre du jour. Selon les chiffres qui sont publiés récemment, au niveau des statistiques, l'inflation semble sur le recul. Un titre comme Shopify suscitent des réactions très violentes. À la hausse et à la baisse depuis 15 jours, Shopify a connu une belle hausse. C'est une question d'horizon temporel. J'ai souligné que l'an prochain, pourrait être un environnement difficile pour beaucoup des clients de Shopify, petites entreprises indépendants qui vendent des biens de consommation discrétionnaire. Mais il est tout aussi valable d'adopter une approche à plus long terme, il s'agit d'une compagnie excellente qui a un avenir brillant. Nous nous concentrons pas tellement sur ce qui se passe depuis six mois, mais sur ce qui se passe depuis 10 ans. - Est tout à fait légitime. Ce qui suscite les fluctuations dans ses actions, s'il y a un peu d'encouragement à cause d'une statistique macro-économique, par exemple l'IPC de la semaine dernière, la tendance haussière reprend et vice versa. Je pense que l'avenir de Shopify sera vraisemblablement positif. Devrions-nous nous laisser obnubiler par ce qu'il va se passer d'ici six mois? Ou nous tourner vers un avenir plus lointain? - Je me suis laissé moi-même obnubiler et c'était plus d'une fois cette année, alors que j'aurais dû être plus lucide. Est-ce que le dollar américain est en perte de vitesse? - La tendance à la hausse de la s'est interrompu. C'est un autre élément encourageant pour les actions. Le lien est le suivant, normalement: lorsque le dollar américain est fort comme il a été depuis le début de l'année, cela exerce une pression sur beaucoup d'économies. En particulier les marchés émergents. Qui en pâtissent beaucoup. La plupart des pays sont mis sous pression. Le gouverneur de la banque du Canada a déclaré un peu plus tôt cette année que le fait que le dollar canadien s'est raffermi en raison des cours du pétrole, mais faible par rapport au dollar américain, rendait sa tâche plus difficile. Car le dollar fort a tendance à atténuer les pressions inflationnistes. Cela exerce également une forte pression sur les produits de base. Normalement, le dollar américain fort est associé avec des pressions sur les prix des produits de base et vice versa. Le fait que le dollar américain semble infléchir sa tendance soulage la pression sur ses produits de base. Est-ce que la tendance va s'installer? Je dirais que le dollar américain a pris beaucoup de valeur pendant l'été. Une pause après une remontée aussi spectaculaire et valable. Mais cela n'ôte rien au fait que la réserve fédérale adopte une position très énergique. Il y a sans doute des banques centrales qui vont assouplir leur trajectoire avant que la Fed ne le fasse. Il s'agit d'un répit après une très longue remontée, mais je pense que nous n'assisterons pas une faiblesse prolongée de leur américain dans un proche avenir. - Michael O'Brien répond à vos questions sur les actions canadiennes dans quelques minutes. Fait toujours vos propres recherches reprend les décisions de placement. Avez-vous une question sur les placements ou encore sur le marché? Vous pouvez nous la poser soit par courriel moneytalklivetd. com soit dans la boîte de questions au bas de votre écran. Il suffit de cliquer sur envoyer. Nos invités pourraient vous répondre en direct! Le nombre de logements change changeant de main au Canada augmenté pour la première fois depuis huit mois au mois d'octobre. Même s'il est encore très en deçà du niveau prix pandémie. Les augmentations de taux d'intérêt nuisent au marché du logement. Les services économiques TD analysent. Au Canada, le nombre de maisons et appartement vendu a légèrement augmenté le mois dernier, mais les prix sont toujours en chute. Les ventes de logements au Canada sont en hausse de 3 %, c'est le premier gain mensuel depuis février. Les données montrent qu'il y a des signes que les acheteurs redeviennent actifs selon les statistiques de l'association canadienne de l'immobilier. Mais la légère augmentation des ventes s'accompagne d'une chute des prix de logements. L'indice MLS a diminué de 1 %. D'un mois sur l'autre. La moyenne nationale des prix de logements était en baisse de 10 % sur 12 mois. La hausse des prix des logements, la hausse des taux d'intérêt oblige les acheteurs rechercher des maisons moins coûteuses, ce qui contribue à réduire les prix des logements Canada, particulièrement les maisons unifamiliales qui ont chuté de près de 4 % sur un mois. Ils sont en baisse sur 12 mois pour la première fois depuis décembre 2019. Le prix des appartements ont diminué, mais dans une moindre mesure, les ventes d'appartements sont en hausse de 6 % sur 12 mois. Dans l'ensemble du pays, les ventes de logements ont augmenté dans huit provinces sur 10. Le gain le plus important est dans l'île du Prince-Édouard en hausse de 26 %. Ce n'est pas étonnant, vu que les provinces des Prairies présentent les meilleurs meilleurs conditions de portabilité et les gains sont enregistrés en Colombie Britannique, Manitoba et en Alberta. Les mises en vente ont augmenté de 2 % en octobre, mais reste toujours inférieur à la moyenne à long terme. Encore une fois, cela reflète le déséquilibre entre l'offre et la demande. Tout le monde s'intéresse à l'évolution des prix de logements, services économiques TD pronostiques quoi? Slice les services économiques TD prévoient une chute beaucoup plus considérable des prix des logements ou début 2023. Le prix moyen devrait reculer d'un montant correspondant la moitié des gains réalisés pendant la pandémie. Risque clé dans ce pronostic serait que les propriétaires de logements doivent les mettre en vente à cause de l'augmentation des mensualités attribuables à la hausse des taux d'intérêt, ce qui pourrait exercer une pression encore plus forte sur les prix l'an prochain. - Merci, Anthony Okolie. Rapide coup d'œil sur les marchés. L'indice TSX composite, un autre jour de gain. 20 045. Soit une progression de plus d'un demi pour cent. Le goût du risque et de retour les actions de technologie progressent. Au Canada comme aux États-Unis. Lightspeed est à 23 44 l'action, on hausse de presque de trois et demis pour cent. Arédia, c'est une entreprise qui est très favorisée depuis le début de la pandémie. Une légère baisse un peu plus de 2 %, rien de grave. L'indice des prix de production, c'est-à-dire les prix de groupe augmentent moins que prévu, un autre signe comme nous en discussion avec Michael O'Brien que l'inflation a peut-être dépassé un sommet. Ce qui facilitera la tâche des banques centrales, l'indice S&P 500 interprétation de 50 % soit un peu plus de 1 %. L'indice Nasdaq spécialisant la technologie progressent de corps pour cent, certains des meilleurs titres technologiques qui est expression quelque peu, appelait en progression de deux et demis pour cent. Michael O'Brien gestion d'actif Tedey répond à vos questions sur les actions canadiennes. Le prochain marché haussier, quels seront les actions ou les secteurs qui sont en pointe? - C'est une question optimiste. Cela me plaît. Quand on essaie de prévoir quelles seront les secteurs qui seront au point, une approche facile il s'agit de titres de secteur consistent à se demander dans quel secteur y a eu une demande insatisfaite et inversement, quel secteur y a-t-il eu une consommation excédentaire? Après la période étrange de la pandémie, que l'on songe aux automobiles. En 2020 2021, beaucoup de gens voulaient acheter une voiture neuve et on avait les moyens. Ne pouvait pas physiquement en commander une. À cause des prix. Si vous considérez ce secteur du marché, tout particulièrement, s'il y a une légère baisse, il faut, les autos sont un achat important, il faut les financer. Je pense qu'il y aura beaucoup de demande insatisfaite dans le prochain cycle de biens comme des automobiles. En revanche, quand on songe à ce que nous avons acheté, ce que nous pouvions acheter pendant la pandémie, les produits électroniques étaient très à la mode. Il fallait équiper nos bureaux à domicile, remplacer nos portables, remplacer nos ordinateurs. Nous procurer le tout dernier iPhone. Il y a une consommation excédentaire dans ce domaine et je crois que ce n'est pas un secteur qui se trouvera en pointe pour les remontées de bénéfices. Une observation plus générale qui remonte à une maxime traditionnelle, les secteurs qui étaient en pointe dans la remontée précédente ne sont en général passant. Dans la remontée future. Il y a en général une transition dans les secteurs de pointe. La dernière décennie était caractérisée par l'argent facile, dépression déflationniste, dans ce scénario, la situation sera largement différent. Les taux d'intérêt seront plus élevés qu'ils ne l'étaient depuis une dizaine d'années, il y aura des pressions inflationnistes. Les prix des produits de base seront sans doute plus élevés. Je ne sais pas où se situera le leadership, mais je considère très sérieusement que les titres de technologie et les titres à valeur élevée à rentabilités faibles qui se sont bien comportées depuis 10 ans. Ce sera différent d'ici cinq à 10 ans. C'est un cycle et je prévois les choses. - Michael, ça me plaisir de m'entretenir avec vous. Michael O'Brien gestionnaire de portefeuille gestion d'actif Tedey. Demain, Robert Croce stratège aux valeurs mobilières TD sera notre invité, il réagit au rapport sur l'inflation Canada qui paraîtra avant l'ouverture des marchés demain nous répondrons abrogations sur l'économie! Vous pouvait d'ores et déjà nous poser vos questions par courriel@moneytalklivetd. com. Merci à demain!