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(musique)
Bonjour Ici Greg Bonnell, et bienvenue à Parlons d'argent en direct, une émission de Placements direct TD. Nos invités commentent l'actualité des marchés répondent à vos questions sur les placements.
Aujourd'hui, devons nous attendre davantage de volatilité? Michael Craig chef de la répartition d'actifs à gestion d'actif Tedey nous répond.
Nous poursuivons la découverte de courtier Web comment comparer les FNB sur la plate-forme. Posez vos questions par courriel à cette adresse courriel dans la boîte de questions au bas de votre écran.
Mais d'abord, un coup d'œil sur les marchés en ce premier jour de bourse de la semaine.
Après une semaine chaotique, la semaine dernière, l'indice S&P/TSX est en progression de 102 points.
Le bruit de référence américain légèrement recule aujourd'hui à 66,40 $ le barrer.
Certains titres notamment reliés au cuivre progresse First quantum est en hausse de près de 6 %.
- Le secteur de la technologie dans ce secteur en défaveur.
Shopify 59,12 $ l'action recule de plus de trois et demis pour cent.
Aux États-Unis, la semaine sera chargée il y a notamment une réunion de deux jours de la fête qui commence demain et qui se soldera mercredi par l'annonce de la banque sur les taux d'intérêt ainsi que l'annonce des perspectives de la Fed sur le système financier mondial.
Pour l'instant, le S&P 500 progresse de 24 points soit un peu plus d'un demi pour cent.
- L'indice Nasdaq fluctue depuis l'ouverture de la séance. Il est actuellement progression de 38 points soit un tiers de pour cent.
Certains des fabricants de semi-conducteurs qui avaient progressé la semaine dernière notamment AND qui avait grimpé la semaine dernière recule aujourd'hui à 94,06 $ l'action en baisse de près de 4 %.
(...) Les investisseurs surveillent de près le système financier mondial tandis que les banques centrales prennent des mesures coordonnées pour calmer les marchés et que UBS accepte de racheter Credit Suisse en difficulté.
Michael Craig chef de répartition bonjour Michael.
- Bonjour Craig.
- Le vendredi ne résout rien on revient le lundi et la situation est toujours aussi délicate.
Il s'agit d'une situation historique il y a 15 ans, c'était (mot en anglais) qui s'était effondré vers la même époque de la ligue de l'année aujourd'hui c'est le Credit Suisse.
- Bien sûr. Le Credit Suisse la semaine dernière cette reprise permettait de marquer une pause mais les problèmes sous-jacents demeurent.
C'est sans doute la fin du commencement.
Et non pas le commencement de la fin.
Donc il s'agit du système financier mondial. Les préoccupations semblent remonter à 1 million d'années et l'effondrement de la Silicon Valley mais de la pression sur les banques régionales américaines et puis tout à coup UBS reprend le Credit Suisse.
Que devrions-nous surveiller en tant qu'investisseur?
- Le crédit, la disponibilité de crédit.
Les banques prennent du recul.
Les éléments d'actif et de passif dans le système financier américain font l'objet de statistiques hebdomadaires. Nous prévoyons une contraction. La raison de ces effondrements sont très différents. La Silicon Valley banque a commis des erreurs classiques a investi à long terme à partir de dépôts à court terme.
Quant au Credit Suisse, c'est une banque maladroite depuis longtemps déjà.
Les erreurs qui ont eu lieu semblent toutes attribuables à un Credit Suisse.
- Il ne s'agissait pas de banques de grande qualité.
Cette semaine il y a une décision à l'égard des taux.
La Fed est prise entre deux feux il y a ce nouveau problème d'instabilité financière mais par ailleurs, l'inflation perdure.
Il faudra que la Fed choisit sa priorité. Je crois que ce sera l'inflation.
- L'inflation car il ne manque pas de commentateurs qui pronostiquent que la Fed va faire dans deux jours.
Certains affirment que la Fed va malgré tout relever les taux de 25 points de base pour montrer que la lutte contre l'inflation est importante si la Fed ne augmentait pas les taux, c'est peut-être qu'elle s'était sue suffisamment quatre élégants avec seulement deux jours d'attente il est difficile de démêler ce que la Fed aura à dire et pourra dire.
Pour nous, d'abord essayé de pronostiquer ce que la Fed va faire, c'est pratiquement impossible.
Il faut songer à la gamme de probabilités.
Et la réaction prévisible.
À mon avis, si la Fed ne rehausse pas les taux, cela va faire un peu plus de dégâts qu'autre chose.
Les marchés commencent à croire que la Fed va manquer de zèle à l'égard de l'inflation. Les attentes à l'égard de l'inflation vont remonter ce qui est beaucoup plus problématique à long terme.
Je prévois une hausse de 25 points.
On ne peut pas cette croyance que l'on peut maîtriser l'inflation en manipulant un bouton en fixant le chômage et la consommation était de tes niveaux sacrés des déformations, le coût de l'inflation c'est sans doute une récession.
Il faudra que la Fed garde le cap maintienne le cap avant que l'inflation ne reflue de manière notable.
Elle va donc à mon avis garder le cap marié malgré les difficultés du système bancaire et il les faillites d'entreprises qui ne sont pas prêts à fonctionner dans un environnement financier respectif.
J'avais parlé de la banque Silicon Valley et la stratégie s'est retournée contre elle et le Credit Suisse qui fait les manchettes depuis longtemps.
Est-ce que la Fed en tiendra compte à votre avis en se disant qu'il s'agit d'instances spécifiques, ou est-ce qu'il y a une conclusion plus vaste?
- Oui, il y aura des préoccupations quant au comportement des banques régionales. Les banques régionales américaines font l'objet d'un régime de conformité différent que les grandes banques des places financières. Elles sont moins diversifiées se concentrent sur la région de géographie qui assimile banque aux États-Unis.
Imaginez-vous c'est comme si au Canada nous en avions 60.
Il y aura toujours des failles de banque parce qu'il y en a tellement qu'on peut pas toutes les surveiller.
Il y en a qui feront des erreurs. Mais la mission de la Fed et de lutter contre l'inflation et ne peut pas je pense à la franchir et cesser de se préoccuper de l'inflation.
L'inflation de base notamment qui est opiniâtre.
Jusqu'à ce que le marché du travail se desserre la Fed devra garder le cap.
Les marchés se comportent aujourd'hui. Les obligations à court terme se sont effondrées. Peut-être que nous reviendrons des attentes à l'égard du tout terminal de cinq et 8 %. C'est de cela que les marchés redoutent.
Je crois que ce serait une erreur d'augmenter de moins de 25 points ce qui serait un signal de panique.
Je ne pas trop entrai dans le détail à moins que vous ne vouliez nous expliquer comment fonctionne les soit.
Les banques centrales occidentales ont déclaré aujourd'hui qu'elle prendre des mesures au niveau de la liquidité du dollar américain.
Je crois que les banques distinguent d'une part les hausses de taurine inflation d'une part et la stabilité finale de tapas et s'agi de stabilité financière il s'agit de fournir aux banques la liquidité dont ils ont besoin pour continuer de fonctionner.
Cela montre bien que les banques centrales ne vont pas utiliser les RPC se stressent et vont courir à d'autres outils.
Les investisseurs qui espèrent parce que leurs investissements sont fondés sur des taux d'intérêt plus bas dans ce préoccuper car je pense que les taux d'intérêt de vont pas baisser de sitôt. La semaine dernière les marchés envisageaient une nouvelle hausse de quatre coupures d'ici le mois de janvier. Je pense que ça ne va pas se produire.
Je ne dirais pas qu'il n'y aucune possibilité, mais la moyenne n'a pas de bon sens.
Ce sont les éléments qui sont prêts encore dans cette moyenne sont intéressantes.
Je dirais que 80 % envisagent qu'il n'y a pas de coupure cette année 20 % de chances qu'il y ait quatre coupures ce qui est assez typique d'un cycle de coupure.
- Si vous pariez que les taux vont baisser, il faut que cette chose se produise ce serait un atterrissage brutal.
6 millions d'Américains au chômage 7 millions en progression de 2 %.
C'est la gamme de probabilités que les marchandisages.
Cela ne se produira sans doute pas, 8 %, mais quand on songe au scénario de base la récession, mais à présent, il y a le risque accru d'une crise de crédit puisque les conditions de crédit pour se resserrer à cause des contraintes qui pèsent sur les banques régionales. Le mois de mars est toujours un mois dangereux.
Je vous rappelle les et les anniversaires de mes enfants le mois de mars encore une fois apportée son lot de mauvaises nouvelles.
Il faut se rappeler qu'il y a une gamme de probabilités qui sont sans doute plus orientées vers le pessimiste qu'il y a un mois.
- Excellent début d'émission! Michael Craig répondant quelques minutes à vos questions sur la répartition des actifs.
Vous pouvez nous poser vos questions tout temps par courriel à cette adresse courriel.
Ou d'un bas de question bas de votre camp.
À présent l'actualité du monde des affaires et un coup d'œil sur les marchés.
Encore des coupures d'emploi dans le secteur de la technologie. Le géant du commerce électronique Amazon licencie 9000 travailleurs l'annonce a été faite dans une note au personnel émanant de (mot en anglais) chef de la direction. Il s'agit de la dernière en date d'une série d'annonces de licenciements par les grands noms de la technologie Amazon est en baisse d'un peu plus de 2 %.
Les actions de la First république banquent ce début de semaine boursière et la banque régionale américaine est en baisse de plus de 29 % et fait l'objet d'une rétrogradation de salle de crédit en effet on s'inquiète à l'idée que la fusion de 30 milliards de dollars de dépôts par plusieurs grandes banques de New York pourrait ne pas régler les problèmes de liquidités de la banque First république a assisté une fuite des dépôts ainsi qu'une autre banque régionale après l'effondrement dans la Silicon Valley banque.
Les investisseurs soupèsent les perspectives mitigées le détaillant de vêtements physiques qui prévoient un ralentissement des banques dans le cadre d'une relation renouvelée avec qui.
- À présent, un coup d'œil sur les grands indices le TSX prendre un peu plus d'un tiers de pour cent. Aux États-Unis, alors que la Fed a entamé sa réunion de deux jours l'indice S&P 500 progresse de 14 points soit un peu plus d'un tiers de pour cent.
Michael Craig Richer de la répartition des actifs à la gestion d'actifs TD répond à vos questions.
Quel pourcentage de portefeuille devrait-il être investi dans les obligations?
- Nous gérons de l'argent pour toutes sortes d'investisseurs allant des plus prudents au plus audacieux.
Nous avons renforcé notablement la proportion d'obligations et c'est la proportion la plus élevée depuis 10 ans ou davantage.
Encore une fois, cela dépend de chaque personne.
Est-ce que vous préférez 25 % ou 80 % d'obligations?
- De toute façon, notre pondération est accrue, notamment les obligations du gouvernement.
- Approfondissant un peu.
C'est ainsi que vous avez mis la table à l'approche de cette année il y a une ruée vers les obligations et les titres à revenu fixe depuis quelques jours et quelques semaines, depuis l'effondrement de la Silicon Valley banque et la baisse des rendements.
Attendons-nous pour l'avenir?
- C'est avantageux pour les obligations mais depuis très peu de temps.
- Je prévoirai que les rendements continueront de bien se comporter.
Les obligations si je vous disais que vous pouvez acheter de l'assurance domiciliaire et gagner 5 %, c'est une bonne police d'assurance. Les obligations pesant toujours un élément clé de portefeuille au niveau de la diversification les rendements sont au-delà des attentes d'inflation à long terme pas de l'inflation actuelle mais les marchés s'attendent à ce que l'inflation au fil du temps cela beaucoup de bon sens c'est encore très tôt mais le comportement est très bon dans notre répartition d'actifs nous avons pondération maximum pour les titres à revenu fixe et nous soupons dérouler actions ce n'est pas typique.
Au fil du temps si le bon positionnement cette année.
- Il reste énormément de potentiel rôle dans cette catégorie d'actifs.
Je dis toujours qu'il est difficile de prédire si la récession est plus sévère que les obligations vont donner d'excellents résultats si elle est moins, c'est une mémoire bon placement.
S'il y a une reprise de l'inflation et que la Fed et que la main de la Fed tremble, ce sera peut-être un problème mais je ne le crois pas.
Vous avez dit que vous vous concentrez sur les obligations du gouvernement illisible obligations de société les obligations rendements.
Mais en cas de récession peut se demander comment se comporteraient les obligations de société ou à rendements.
- C'est une question de qualité de crédit.
Les obligations à haut rendement vont se comporter comme des actions pendant une récession c'est-à-dire assez mal.
Les obligations de société c'est intéressant le secteur financier est en difficulté et dans la foulée du rachat du crédit Suisse.
Le crédit Suisse à radier les obligations dites à TF1 qui ont un seuil réglementaire qui permet de les radier afin de rétablir comme le capital de la banque. Ces 17 milliards d'obligations est irradiée à zéro dimanche soir et les obligations de second rang sont sous pression aujourd'hui.
Si les égards financiers commencent à s'accroître cela faire affecter les consommateurs.
Tandis que le coût de la charmante cela va se répercuter sur le client.
Je prévois que les titres de créances ne se comporteront pas très bien alors que nous resserrement des conditions financières.
Au niveau de la sécurité il y a un élargissement des écarts de crédit..
Mais puisque les obligations à TF1 sont basées sur les bons du trésor, on peut s'intéresser tout d'abord aux obligations du gouvernement. Les obligations de première qualité souvent bien se comportaient également.
- Une autre question: est-ce qu'il y a des secteurs alités lorsqu'on investit une nouvelle somme sur le marché?
- Question intéressante à notre époque.
C'est toujours une question difficile. Je dirais que globalement plutôt que de se concentrer sur un secteur, il faut éviter le bêta élevé et la faible qualité.
Toutes les entreprises vont vivre une période de volatilité nous le savons.
Mais il faut s'assurer d'en sortir.
Il ne faut pas être actionnaire de Credit Suisse par exemple en ce moment… essentiellement la moitié de la valeur de votre action a disparu depuis vendredi.
- Il s'agit d'entreprises qui vont persévérer, qui vont durer établir des parallèles avec 2008 et 2008 c'était la pire récession en sentant je ne sais pas si c'est la bonne façon d'examiner cela.
Il s'agit d'une cession des entreprises qui disparaissent dans récession il faut donc choisir les entreprises qui vont durer mais qu'un bêta plus élevé qui ont donc un bilan plus solide une source de bénéfices plus durables que les entreprises tricycliques et très endettées.
- Vu tout ce qui fèparti passé depuis quelques jours les préoccupations à l'égard des banques américaines et leur signification pour l'ensemble de l'économie Libé d'un atterrissage nul a disparu.
Beaucoup de gens commencent à croire qu'il n'y aurait pas d'atterrissage du tout.
Historiquement, c'est ainsi que cela fonctionne.
On commence avoir une accumulation d'indices de stress et puis, il y a la méthode de l'autruche pour gérer l'argent. On s'enfuit la tête dans le sable. Il y a plein emploi il y a un problème d'inflation… il y a eu des hausses de taux de 400 points et plus.
Cela correspond aux difficultés des marchés.
- Je n'ai jamais vraiment cru à cela.
Dans notre industrie, beaucoup de ces points de vue ont tendance à émaner d'investisseurs avec des horizons courts. C'est compréhensible, mais aujourd'hui, je pense que le pessimisme a fait un retour en force et rapidement.
À présent, parlons des banques centrales.
On prévoit que la fête continuera d'augmenter les taux et que la banque du Canada est en hausse.
Jusqu'à quel points l'écart entre les taux peut-il se creuser? Est-ce que la banque en tient compte lorsqu'elle prend ses décisions?
- La banque du Canada s'intéresse au Canada et c'est ainsi.
Je dirais que… la décision prise par la banque du Canada de ne pas augmenter les taux était correcte.
Je crois qu'il n'était pas nécessaire d'annoncer qu'elle marquerait une pause ce qui réduisait ses options mais quoi qu'il en soit, l'écart atteindra son maximum après cette réunion.
La Fed, je pense achever sa tâche. Nous ne pensons pas que la Fed enverra beaucoup plus la question c'est combien de temps il y restera?
- Historiquement dès que la Fed arrive à son taux maximum, elle réduit les taux après un ou deux trimestres parce qu'elle a chauffé l'économie.
Ce sera intéressant de voir si la Fed recommence à réduire les taux si l'inflation est toujours à trois et demis pour cent.
Les deux banques centrales sont en mode posent après cette semaine et nous sommes en situation respective même au niveau actuel.
- Une bonne analyse a été faite quant aux grands centres bancaires.
C'est presque comme s'il y avait 150 points de base de réduction à cause de l'évolution des taux réels.
Nous pensons que les données économiques vont afficher un recul.
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Michael Craig chef de la répartition d'actifs à gestion d'actifs télé répond à vos questions sur les marchés.
Nous en avons déjà parlé mais c'est intéressant.
Approfondissons.
Que conclure du communiqué de presse publiée pendant la fin de semaine par les banques centrales?
- Celles-ci veulent présenter une façade unie et calmer les marchés financiers, inspirer un sentiment de stabilité. Un certain soulagement et cela est prouvé, Credit Suisse à 500 milliards de dollars d'actifs cette banque importante au niveau du système financier.
On croira que le risque aura été réduit par la reprise par une institution financière plus forte ce qui cela aura un effet de calme.
On n'en reviendra… à ce qui nous préoccupait antérieurement c'est-à-dire les hausses de taux et l'inflation.
- Quand j'ai eu le communiqué de presse, je me suis dit qu'il s'agit de la plomberie du secteur financier et cela ne ne sont pas des éléments que tout le monde comprend.
Simplement, on comprend que les banques centrales veulent s'assurer que la machine continue de tourner.
Je suis un peu inquiet lorsque j'entends que les banques centrales disent que tout va bien, ça manquait toujours.
Mais en définitive, il s'agit de calmer l'inquiétude du public.
Et d'éviter que cela ne se transforme en catastrophe avec l'effondrement de nouvelles institutions financières.
- Voilà l'objectif de ces déclarations d'endiguer la panique, plutôt ce sera fait, plutôt nous pouvons revenir à une véritable problème c'est-à-dire l'inflation Ventoux.
- Les banques centrales cherchent à susciter un emploi maximum la stabilité financière l'inflation.
En général on peut réussir que sur deux les trois tableaux parfois sur un seul.
Les banques centrales veulent vraiment calmer le problème de la stabilité financière afin de s'attaquer aux problèmes à plus long terme de l'inflation, mais cela sera au détriment de l'emploi.
Ce n'est pas un moment facile pourra être à la tête d'une banque centrale mais c'est une période que l'on étudiera dans les manuels d'économie dans les années à venir.
- Une autre question: si les taux vont demeurer élever longtemps, que le quel secteur canadien bénéficiera?
- Il y a deux façons de répondre à la question.
Dans cet environnement, on s'entendra on s'attendrait à ce que la croissance économique ralentisse notablement.
Il faut se concentrer sur des secteurs qui ont moins de Meta au niveau de la croissance.
Les biens de consommation courante, les services publics, le secteur ennuyeux qui ont tendance à bien se comporter.
C'est un pari, et pour nous, en général, j'ai tendance à pécher par excès de prudence.
Il faut investir de manière séquentielle.
Acheter de l'or il y a un an aujourd'hui, sera du bon sens vous auriez vécu beaucoup de volatilité.
Je pense que plus tard cette année, il y aura une occasion comme on n'en a qu'une seule dans un cycle, dans un cycle de rehausser la proportion d'action.
D'ici là ce sera difficile. Il ne s'agit pas simplement de savoir ce que l'on doit détenir à l'heure actuelle, ce que l'on doit détenir à leur actuel est un titre venu fixait des bons du trésor.
Mais plus tard dans l'année, on pourra rechercher des actions cycliques qui réussissent bien en début de cycle.
Domaine thématique pour la prochaine décennie l'infrastructure la dé carbonatation… l'élimination des émissions dans les secteurs de croissance, toutes les compagnies font parti de cet écosystème devint un cerf à long terme niveau thématique mais d'ici là, il faut traverser cette période d'indigestion.
- Si nous parvenons ce stade il y aura bien sûr des hauts et des bas de la volatilité.
Si vous faites un pari pour la prochaine décennie sachant qu'il y aura des hauts et des bas il faut faire preuve de patience.
L'essentiel c'est s'inquiété.
- Tout à fait à 100 %. Il y a des périodes comme celle-ci où il faut prendre les bonnes décisions.
Parce qu'on peut acheter des choses très bon marché et des valeurs très bon marché pour aboutir à un rendement très long terme.
- Investir, ce n'est pas ce n'est jamais fini. C'est une profession infinie les marchés vont être là longtemps après que nous n'y serons plus donc il y a les hauts et les bas dans les prérequis de celle-ci mais il faut se rappeler ses objectifs à long terme.
Voilà pourquoi cela m'arrive aussi il faut songer aux environs aux horizons plutôt.
Cinq mois à cinq ans ou 10 ans. Cinq à 10 ans, ce dont nous parlons aussi ce n'est pas critique pour les 12 prochains mois ces critiques.
- Une question sur la géopolitique.
Quels sont les tensions géopolitiques mondiales qui vous préoccupent le plus?
La liste doigtent être longues.
- Au niveau des marchés, les plus grands risques se trouvent au niveau du budget américain cet été.
La semaine dernière, mon ami caverne qui lie la constitution des États-Unis à ces moments de loisirs le 14e amendement adopté après la guerre civile la guerre de sécession déclare que le crédit des États-Unis doit être remis en question.
Autrement dit, si le plafond budgétaire n'est pas relevé, les paiements d'intérêts et le principal vaut toujours être versé.
Donc il n'y a pas de défaillance.
Mais il y a un risque que tous les autres paiements prennent fin la sécurité sociale, assurance maladie.
S'il y a une impasse budgétaire et que le plafond de la dette n'est pas relevé, la situation actuelle est bien pire qu'en 2011.
Il y avait une certaine uniformité au niveau du parti républicain mais aujourd'hui, ce n'est pas le cas. Il y a des points de vue tout à fait extrêmes.
Mais quand cliquez n'est pas en position de force. Si nous nous retrouvons dans une position où le plafond de la dette n'est pas relevé, il s'encore une fois agit d'acheter le bon trésor la croissance va s'effondrer il y a beaucoup d'Américains qui vivent du jour au lendemain et le revenu 500 la consommation va s'effondrer dans beaucoup de secteurs aux États-Unis.
- Au niveau géopolitique, et au niveau humanitaire, c'est sur les marchés et c'est en Europe de l'Est, mais au niveau des marchés, c'est plutôt le budget américain.
- En ce qui concerne l'Europe est-ce que les marchés ont fait la part des choses une crise humanitaire les marchés ont réagi au tout début.
La situation s'est apaisée au niveau financier?
- - Il y a toujours des risques d'escalade.
C'est là où la volatilité pourrait s'aggraver.
Je crois que les marchés ne peuvent s'intéresser quand une couple de thématiques à la fois.
Je ne sais pas si bon mauvais mais c'est le rôle des marchés à l'heure actuelle ce n'est pas leur priorité.
À moins que la situation ne s'aggrave notablement au niveau de la tension, je crois que s'il s'agit d'un match nul, d'une impasse, c'est à cela que ressemble la situation au niveau humanitaire c'est catastrophique.
Mais au niveau des marchés, ils vont se tourner vers autre chose.
- Une autre question: le secteur de la technologie sera-t-il encore faible?
On vient de parler de nouveaux licenciements chez Amazon.
- Oui, et une pour une deux raisons.
Tout d'abord, la technologie est extrêmement sensible à la croissance économique mais ça n'a pas toujours été le cas.
Pendant longtemps on prévoyait que les technologies étaient un secteur s'auto générant qui est donné de bons résultats quelques soient la situation et beaucoup de compagnies de la technologie tirent leurs revenus de la publicité et Laurence ralentissement de la publicité entraîne une perte de revenus.
Premier facteur négatif.
Un autre facteur négatif, c'est que les entreprises qui sont dans la nuagique ralentissement de la croissance.
L'info nuagique est toujours en croissance, mais cette croissance ralentit et depuis peu, il y a une certaine remontée ou du secteur de la technologie notamment à long terme.
Si les obligations du gouvernement à long terme remontent, on peut acheter des cibles action de la technologie.
Je pense que cette façon de penser est dépassée.
- C'est en effet la secteur de la technologie demeure coûteux. À moins que vous pensiez convenir avec l'argent avec zéro des taux d'intérêt je ne vois pas comment la technologie va surclasser le reste du marché au cours des années à venir.
Jusqu'à ce que les valorisations redevient intéressante, Microsoft après le pic de 2001, Microsoft va continuer de réaliser d'extraordinaires bénéfices par action, l'école mais le cours de l'action n'a pas évolué pendant 12 ans.
Je ne dis pas que cela va se produire une nouvelle fois, mais cela me rappelle que si nous abordons une période de déclassement, la technologie n'est pas un secteur privilégié.
Et puis s'agit de compagnies qui ont une complète capitalisation boursière de 1 million.
Vont-elles passer à un ou 2 billions?
- Il faudra qu'il se passe des choses extraordinaires.
Je pense qu'il y a il ne faut pas donner zéro pondération secteurs de la technologie mais ne pas le sûr pondéré autant qu'il a été depuis 12 ans.
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À présent, un coup d'œil sur les marchés.
L'indice TSX composite en ce premier jour de bourse de la semaine après une semaine compliquée la semaine dernière.
Face à toutes sortes de complications reliées au système financier mondial ainsi qu'à la décision attendue de la fête mercredi, le TSX est en hausse de 76.
Soit un tiers de pour cent.
Le secteur minier attire les investisseurs portant les mines d'or que d'autre secteur techniques est en hausse de 2,7 % Athabasca avec le bruit de référence américain 67 $ cent 51 scènes sur mon écran le secteur pétrolier recule Athabasca est en baisse un peu plus de 2 %.
- Aux États-Unis l'indice S&P 500 augment démarre la semaine avec une légère hausse 17 points soit -1/2 %.
La Fed entame une réunion de deux jours de main et fera une action de deux jours demain nous allons bien entendu commenter cette annonce sur les différentes plates-formes de parlons argent.
L'indice Nasdaq est en repli par rapport à l'ensemble du marché est en baisse de 20 de 34 points soit un peu plus d'un peu plus d'un quart de pour cent.
- Le Credit Suisse à l'heure actuelle est en baisse de 53 %.
Vous voyez cette longue trajectoire de baisse sur un an et l'effondrement au dernier moment.
Michael Craig chef de la répartition d'actifs gestion d'activité des répond à vos questions.
L'intelligence artificielle: quelles sont les compagnies à surveiller?
- ChatGPT fêtent les manchettes.
Il y a une poignée de capitalisation qu'on ne suit pas de très près et dont le nom m'échappe.
S'agissant de l'intelligence artificielle, d'abord, ce n'est pas quelque chose de… ce n'est pas un secteur dans lequel on peut se lancer du lot le jour au lendemain.
Les obstacles à ceux qui voudraient s'y lancer sont très élevés.
Il s'agit d'une énorme source de gains de productivité, mais cela s'étend sur 10 ans.
On commence à automatiser beaucoup de tâches quotidiennes qui sont actuellement dévolues aux humains.
Au niveau d'une thèse d'investissement, c'est un secteur où… il y a une importance, mais il y a des entreprises qui réussiront, des entreprises qui ne réussiront par ailleurs une consolidation.
Je ne sais pas qui va gagner ou perdre, mais il faut se rappeler que… vous auriez pu lancer une fléchette et dans les années 1990 sur le tableau des compagnies de la technologie et qui aurait prédit qu'une petite librairie deviendra géante?
- Quand on entendu parlait d'Amazone, c'était un énorme livre sur toutes les chansons des Beatles.
Je ne peux pas trouver ça dans une librairie et je me suis dit c'est vraiment bizarre d'acheter ça sur Internet.
Je ne ferai plus jamais cela.
Ensuite,, l'industrie de l'intelligence artificielle… l'indice TSX ou le TSX finira-t-il année quels sont les secteurs qui seront qui se sont le mieux comporté?
- Je crois que nous avons atteint les sommets pour l'année.
Il y a une dévalorisation intéressante.
Le titre financier tourne à moins de 10 % de ratio coût bénéfice.
Le marché va commencer à tenir compte d'un rendement dividende de cinq à 6 %.
Et sur quelques années c'est intéressant.
Ce qui s'est confirmé depuis quelque temps relevé du début de l'émission, c'est que le pétrole est coté très bas car c'est un baromètre en temps réel de l'activité économique.
S'il continue de reculer cela vous montrera qu'il se passe quelque chose.
Alors que nous touchons le fond, l'énergie sera bien placée pour tirer son épingle du jeu à l'heure actuelle, il faut qu'il se passe quelque chose au niveau de la demande pour que le but soit coté à ce niveau-là.
Donc ce n'est pas pour aujourd'hui mais ce sont les domaines qui à mon allié vont progresser d'ici un an.
- Une toute dernière question pour Michael Craig avant de nous séparer.
Avec tout ce que je pensais que nous devrions éviter les obligations rendement élevées?
- Les obligations à rendement élevé sont dévolues aux spécialistes.
Dans la jeunesse dissipée, je me suis occupé d'obligations à élever ses compliquées.
Les prêts, les transactions à rendement élevé sont assorties de prospectus qui regorge d'options.
Un exemple: beaucoup d'investissement investisseurs ce matin des obligations à T1 de Credit Suisse qui sont choqués d'apprendre que… Celan était radiée à zéro et tout cela parce qu'on n'a pas lu les petites caractères du prospectus.
Toute l'idée c'était des obligations fusibles.
Parfois, avec les obligations rendement élevées, quand la situation devient spéculative, on achète cela sans trop y regarder.
Nous avons des obligations rendement élevées.
Nous l'avons réduit de moitié cette pondération depuis deux ans depuis un an nous somme très sélectifs.
Nous demandons à tout spectateur de se rappeler qu'il s'agit d'une des actifs complexes qui peuvent avoir d'excellents rendements à long terme.
Une bonne partie du potentiel de hausse des actions la moitié de la volatilité dans un portefeuille multi actif d'une excellente catégorie d'actifs mais c'est beaucoup plus complexe que beaucoup d'autres à cause de la nature.
Et pour avoir une entreprise avec de multiples obligations assorties de structures très différentes et ce comportement différent.
Plutôt que l'action l'achat de l'action une fois pour toutes.
Nous sommes sous pondérer nous allons sans doute augmenter la pondération et s'il y a une augmentation des écarts si ces gens s'agit de secteurs compliqués font alors une bonne compréhension science tout seule.
Il ne faut pas se retrouver comme beaucoup de gens ce matin tu te retrouves avec zéro à cause de ce qui s'est passé pendant la fin de semaine.
- Il se passe beaucoup de choses beaucoup d'interrogations pour les investisseurs.
Que faut-il se rappeler d'ici quelque temps?
- Il faut demeurer sur la défensive.
Il faut avoir des liquidités pour saisir les occasions, le marché des bons du trésor me plaît et puis, cela passera.
Elle sépare une période unique il y a eu des crises, ça se produit à huit ans d'intervalle à peu près, et il faut éviter de trop s'exposer.
- Merci Michael et à bientôt.
Merci à Michael Craig chef de la répartition d'actifs gestion d'actif Tedey.
Reste à l'écoute demain Alex Gorewciz gestionnaire de portefeuille titre à revenu fixe la gestion d'actif Tedey va répondre aux questions sur les titres à revenu fixe.
Vous pouvez nous poser vos questions d'ores et déjà par courriel à cette adresse courriel.
Merci et à demain!
Bonjour Ici Greg Bonnell, et bienvenue à Parlons d'argent en direct, une émission de Placements direct TD. Nos invités commentent l'actualité des marchés répondent à vos questions sur les placements.
Aujourd'hui, devons nous attendre davantage de volatilité? Michael Craig chef de la répartition d'actifs à gestion d'actif Tedey nous répond.
Nous poursuivons la découverte de courtier Web comment comparer les FNB sur la plate-forme. Posez vos questions par courriel à cette adresse courriel dans la boîte de questions au bas de votre écran.
Mais d'abord, un coup d'œil sur les marchés en ce premier jour de bourse de la semaine.
Après une semaine chaotique, la semaine dernière, l'indice S&P/TSX est en progression de 102 points.
Le bruit de référence américain légèrement recule aujourd'hui à 66,40 $ le barrer.
Certains titres notamment reliés au cuivre progresse First quantum est en hausse de près de 6 %.
- Le secteur de la technologie dans ce secteur en défaveur.
Shopify 59,12 $ l'action recule de plus de trois et demis pour cent.
Aux États-Unis, la semaine sera chargée il y a notamment une réunion de deux jours de la fête qui commence demain et qui se soldera mercredi par l'annonce de la banque sur les taux d'intérêt ainsi que l'annonce des perspectives de la Fed sur le système financier mondial.
Pour l'instant, le S&P 500 progresse de 24 points soit un peu plus d'un demi pour cent.
- L'indice Nasdaq fluctue depuis l'ouverture de la séance. Il est actuellement progression de 38 points soit un tiers de pour cent.
Certains des fabricants de semi-conducteurs qui avaient progressé la semaine dernière notamment AND qui avait grimpé la semaine dernière recule aujourd'hui à 94,06 $ l'action en baisse de près de 4 %.
(...) Les investisseurs surveillent de près le système financier mondial tandis que les banques centrales prennent des mesures coordonnées pour calmer les marchés et que UBS accepte de racheter Credit Suisse en difficulté.
Michael Craig chef de répartition bonjour Michael.
- Bonjour Craig.
- Le vendredi ne résout rien on revient le lundi et la situation est toujours aussi délicate.
Il s'agit d'une situation historique il y a 15 ans, c'était (mot en anglais) qui s'était effondré vers la même époque de la ligue de l'année aujourd'hui c'est le Credit Suisse.
- Bien sûr. Le Credit Suisse la semaine dernière cette reprise permettait de marquer une pause mais les problèmes sous-jacents demeurent.
C'est sans doute la fin du commencement.
Et non pas le commencement de la fin.
Donc il s'agit du système financier mondial. Les préoccupations semblent remonter à 1 million d'années et l'effondrement de la Silicon Valley mais de la pression sur les banques régionales américaines et puis tout à coup UBS reprend le Credit Suisse.
Que devrions-nous surveiller en tant qu'investisseur?
- Le crédit, la disponibilité de crédit.
Les banques prennent du recul.
Les éléments d'actif et de passif dans le système financier américain font l'objet de statistiques hebdomadaires. Nous prévoyons une contraction. La raison de ces effondrements sont très différents. La Silicon Valley banque a commis des erreurs classiques a investi à long terme à partir de dépôts à court terme.
Quant au Credit Suisse, c'est une banque maladroite depuis longtemps déjà.
Les erreurs qui ont eu lieu semblent toutes attribuables à un Credit Suisse.
- Il ne s'agissait pas de banques de grande qualité.
Cette semaine il y a une décision à l'égard des taux.
La Fed est prise entre deux feux il y a ce nouveau problème d'instabilité financière mais par ailleurs, l'inflation perdure.
Il faudra que la Fed choisit sa priorité. Je crois que ce sera l'inflation.
- L'inflation car il ne manque pas de commentateurs qui pronostiquent que la Fed va faire dans deux jours.
Certains affirment que la Fed va malgré tout relever les taux de 25 points de base pour montrer que la lutte contre l'inflation est importante si la Fed ne augmentait pas les taux, c'est peut-être qu'elle s'était sue suffisamment quatre élégants avec seulement deux jours d'attente il est difficile de démêler ce que la Fed aura à dire et pourra dire.
Pour nous, d'abord essayé de pronostiquer ce que la Fed va faire, c'est pratiquement impossible.
Il faut songer à la gamme de probabilités.
Et la réaction prévisible.
À mon avis, si la Fed ne rehausse pas les taux, cela va faire un peu plus de dégâts qu'autre chose.
Les marchés commencent à croire que la Fed va manquer de zèle à l'égard de l'inflation. Les attentes à l'égard de l'inflation vont remonter ce qui est beaucoup plus problématique à long terme.
Je prévois une hausse de 25 points.
On ne peut pas cette croyance que l'on peut maîtriser l'inflation en manipulant un bouton en fixant le chômage et la consommation était de tes niveaux sacrés des déformations, le coût de l'inflation c'est sans doute une récession.
Il faudra que la Fed garde le cap maintienne le cap avant que l'inflation ne reflue de manière notable.
Elle va donc à mon avis garder le cap marié malgré les difficultés du système bancaire et il les faillites d'entreprises qui ne sont pas prêts à fonctionner dans un environnement financier respectif.
J'avais parlé de la banque Silicon Valley et la stratégie s'est retournée contre elle et le Credit Suisse qui fait les manchettes depuis longtemps.
Est-ce que la Fed en tiendra compte à votre avis en se disant qu'il s'agit d'instances spécifiques, ou est-ce qu'il y a une conclusion plus vaste?
- Oui, il y aura des préoccupations quant au comportement des banques régionales. Les banques régionales américaines font l'objet d'un régime de conformité différent que les grandes banques des places financières. Elles sont moins diversifiées se concentrent sur la région de géographie qui assimile banque aux États-Unis.
Imaginez-vous c'est comme si au Canada nous en avions 60.
Il y aura toujours des failles de banque parce qu'il y en a tellement qu'on peut pas toutes les surveiller.
Il y en a qui feront des erreurs. Mais la mission de la Fed et de lutter contre l'inflation et ne peut pas je pense à la franchir et cesser de se préoccuper de l'inflation.
L'inflation de base notamment qui est opiniâtre.
Jusqu'à ce que le marché du travail se desserre la Fed devra garder le cap.
Les marchés se comportent aujourd'hui. Les obligations à court terme se sont effondrées. Peut-être que nous reviendrons des attentes à l'égard du tout terminal de cinq et 8 %. C'est de cela que les marchés redoutent.
Je crois que ce serait une erreur d'augmenter de moins de 25 points ce qui serait un signal de panique.
Je ne pas trop entrai dans le détail à moins que vous ne vouliez nous expliquer comment fonctionne les soit.
Les banques centrales occidentales ont déclaré aujourd'hui qu'elle prendre des mesures au niveau de la liquidité du dollar américain.
Je crois que les banques distinguent d'une part les hausses de taurine inflation d'une part et la stabilité finale de tapas et s'agi de stabilité financière il s'agit de fournir aux banques la liquidité dont ils ont besoin pour continuer de fonctionner.
Cela montre bien que les banques centrales ne vont pas utiliser les RPC se stressent et vont courir à d'autres outils.
Les investisseurs qui espèrent parce que leurs investissements sont fondés sur des taux d'intérêt plus bas dans ce préoccuper car je pense que les taux d'intérêt de vont pas baisser de sitôt. La semaine dernière les marchés envisageaient une nouvelle hausse de quatre coupures d'ici le mois de janvier. Je pense que ça ne va pas se produire.
Je ne dirais pas qu'il n'y aucune possibilité, mais la moyenne n'a pas de bon sens.
Ce sont les éléments qui sont prêts encore dans cette moyenne sont intéressantes.
Je dirais que 80 % envisagent qu'il n'y a pas de coupure cette année 20 % de chances qu'il y ait quatre coupures ce qui est assez typique d'un cycle de coupure.
- Si vous pariez que les taux vont baisser, il faut que cette chose se produise ce serait un atterrissage brutal.
6 millions d'Américains au chômage 7 millions en progression de 2 %.
C'est la gamme de probabilités que les marchandisages.
Cela ne se produira sans doute pas, 8 %, mais quand on songe au scénario de base la récession, mais à présent, il y a le risque accru d'une crise de crédit puisque les conditions de crédit pour se resserrer à cause des contraintes qui pèsent sur les banques régionales. Le mois de mars est toujours un mois dangereux.
Je vous rappelle les et les anniversaires de mes enfants le mois de mars encore une fois apportée son lot de mauvaises nouvelles.
Il faut se rappeler qu'il y a une gamme de probabilités qui sont sans doute plus orientées vers le pessimiste qu'il y a un mois.
- Excellent début d'émission! Michael Craig répondant quelques minutes à vos questions sur la répartition des actifs.
Vous pouvez nous poser vos questions tout temps par courriel à cette adresse courriel.
Ou d'un bas de question bas de votre camp.
À présent l'actualité du monde des affaires et un coup d'œil sur les marchés.
Encore des coupures d'emploi dans le secteur de la technologie. Le géant du commerce électronique Amazon licencie 9000 travailleurs l'annonce a été faite dans une note au personnel émanant de (mot en anglais) chef de la direction. Il s'agit de la dernière en date d'une série d'annonces de licenciements par les grands noms de la technologie Amazon est en baisse d'un peu plus de 2 %.
Les actions de la First république banquent ce début de semaine boursière et la banque régionale américaine est en baisse de plus de 29 % et fait l'objet d'une rétrogradation de salle de crédit en effet on s'inquiète à l'idée que la fusion de 30 milliards de dollars de dépôts par plusieurs grandes banques de New York pourrait ne pas régler les problèmes de liquidités de la banque First république a assisté une fuite des dépôts ainsi qu'une autre banque régionale après l'effondrement dans la Silicon Valley banque.
Les investisseurs soupèsent les perspectives mitigées le détaillant de vêtements physiques qui prévoient un ralentissement des banques dans le cadre d'une relation renouvelée avec qui.
- À présent, un coup d'œil sur les grands indices le TSX prendre un peu plus d'un tiers de pour cent. Aux États-Unis, alors que la Fed a entamé sa réunion de deux jours l'indice S&P 500 progresse de 14 points soit un peu plus d'un tiers de pour cent.
Michael Craig Richer de la répartition des actifs à la gestion d'actifs TD répond à vos questions.
Quel pourcentage de portefeuille devrait-il être investi dans les obligations?
- Nous gérons de l'argent pour toutes sortes d'investisseurs allant des plus prudents au plus audacieux.
Nous avons renforcé notablement la proportion d'obligations et c'est la proportion la plus élevée depuis 10 ans ou davantage.
Encore une fois, cela dépend de chaque personne.
Est-ce que vous préférez 25 % ou 80 % d'obligations?
- De toute façon, notre pondération est accrue, notamment les obligations du gouvernement.
- Approfondissant un peu.
C'est ainsi que vous avez mis la table à l'approche de cette année il y a une ruée vers les obligations et les titres à revenu fixe depuis quelques jours et quelques semaines, depuis l'effondrement de la Silicon Valley banque et la baisse des rendements.
Attendons-nous pour l'avenir?
- C'est avantageux pour les obligations mais depuis très peu de temps.
- Je prévoirai que les rendements continueront de bien se comporter.
Les obligations si je vous disais que vous pouvez acheter de l'assurance domiciliaire et gagner 5 %, c'est une bonne police d'assurance. Les obligations pesant toujours un élément clé de portefeuille au niveau de la diversification les rendements sont au-delà des attentes d'inflation à long terme pas de l'inflation actuelle mais les marchés s'attendent à ce que l'inflation au fil du temps cela beaucoup de bon sens c'est encore très tôt mais le comportement est très bon dans notre répartition d'actifs nous avons pondération maximum pour les titres à revenu fixe et nous soupons dérouler actions ce n'est pas typique.
Au fil du temps si le bon positionnement cette année.
- Il reste énormément de potentiel rôle dans cette catégorie d'actifs.
Je dis toujours qu'il est difficile de prédire si la récession est plus sévère que les obligations vont donner d'excellents résultats si elle est moins, c'est une mémoire bon placement.
S'il y a une reprise de l'inflation et que la Fed et que la main de la Fed tremble, ce sera peut-être un problème mais je ne le crois pas.
Vous avez dit que vous vous concentrez sur les obligations du gouvernement illisible obligations de société les obligations rendements.
Mais en cas de récession peut se demander comment se comporteraient les obligations de société ou à rendements.
- C'est une question de qualité de crédit.
Les obligations à haut rendement vont se comporter comme des actions pendant une récession c'est-à-dire assez mal.
Les obligations de société c'est intéressant le secteur financier est en difficulté et dans la foulée du rachat du crédit Suisse.
Le crédit Suisse à radier les obligations dites à TF1 qui ont un seuil réglementaire qui permet de les radier afin de rétablir comme le capital de la banque. Ces 17 milliards d'obligations est irradiée à zéro dimanche soir et les obligations de second rang sont sous pression aujourd'hui.
Si les égards financiers commencent à s'accroître cela faire affecter les consommateurs.
Tandis que le coût de la charmante cela va se répercuter sur le client.
Je prévois que les titres de créances ne se comporteront pas très bien alors que nous resserrement des conditions financières.
Au niveau de la sécurité il y a un élargissement des écarts de crédit..
Mais puisque les obligations à TF1 sont basées sur les bons du trésor, on peut s'intéresser tout d'abord aux obligations du gouvernement. Les obligations de première qualité souvent bien se comportaient également.
- Une autre question: est-ce qu'il y a des secteurs alités lorsqu'on investit une nouvelle somme sur le marché?
- Question intéressante à notre époque.
C'est toujours une question difficile. Je dirais que globalement plutôt que de se concentrer sur un secteur, il faut éviter le bêta élevé et la faible qualité.
Toutes les entreprises vont vivre une période de volatilité nous le savons.
Mais il faut s'assurer d'en sortir.
Il ne faut pas être actionnaire de Credit Suisse par exemple en ce moment… essentiellement la moitié de la valeur de votre action a disparu depuis vendredi.
- Il s'agit d'entreprises qui vont persévérer, qui vont durer établir des parallèles avec 2008 et 2008 c'était la pire récession en sentant je ne sais pas si c'est la bonne façon d'examiner cela.
Il s'agit d'une cession des entreprises qui disparaissent dans récession il faut donc choisir les entreprises qui vont durer mais qu'un bêta plus élevé qui ont donc un bilan plus solide une source de bénéfices plus durables que les entreprises tricycliques et très endettées.
- Vu tout ce qui fèparti passé depuis quelques jours les préoccupations à l'égard des banques américaines et leur signification pour l'ensemble de l'économie Libé d'un atterrissage nul a disparu.
Beaucoup de gens commencent à croire qu'il n'y aurait pas d'atterrissage du tout.
Historiquement, c'est ainsi que cela fonctionne.
On commence avoir une accumulation d'indices de stress et puis, il y a la méthode de l'autruche pour gérer l'argent. On s'enfuit la tête dans le sable. Il y a plein emploi il y a un problème d'inflation… il y a eu des hausses de taux de 400 points et plus.
Cela correspond aux difficultés des marchés.
- Je n'ai jamais vraiment cru à cela.
Dans notre industrie, beaucoup de ces points de vue ont tendance à émaner d'investisseurs avec des horizons courts. C'est compréhensible, mais aujourd'hui, je pense que le pessimisme a fait un retour en force et rapidement.
À présent, parlons des banques centrales.
On prévoit que la fête continuera d'augmenter les taux et que la banque du Canada est en hausse.
Jusqu'à quel points l'écart entre les taux peut-il se creuser? Est-ce que la banque en tient compte lorsqu'elle prend ses décisions?
- La banque du Canada s'intéresse au Canada et c'est ainsi.
Je dirais que… la décision prise par la banque du Canada de ne pas augmenter les taux était correcte.
Je crois qu'il n'était pas nécessaire d'annoncer qu'elle marquerait une pause ce qui réduisait ses options mais quoi qu'il en soit, l'écart atteindra son maximum après cette réunion.
La Fed, je pense achever sa tâche. Nous ne pensons pas que la Fed enverra beaucoup plus la question c'est combien de temps il y restera?
- Historiquement dès que la Fed arrive à son taux maximum, elle réduit les taux après un ou deux trimestres parce qu'elle a chauffé l'économie.
Ce sera intéressant de voir si la Fed recommence à réduire les taux si l'inflation est toujours à trois et demis pour cent.
Les deux banques centrales sont en mode posent après cette semaine et nous sommes en situation respective même au niveau actuel.
- Une bonne analyse a été faite quant aux grands centres bancaires.
C'est presque comme s'il y avait 150 points de base de réduction à cause de l'évolution des taux réels.
Nous pensons que les données économiques vont afficher un recul.
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Michael Craig chef de la répartition d'actifs à gestion d'actifs télé répond à vos questions sur les marchés.
Nous en avons déjà parlé mais c'est intéressant.
Approfondissons.
Que conclure du communiqué de presse publiée pendant la fin de semaine par les banques centrales?
- Celles-ci veulent présenter une façade unie et calmer les marchés financiers, inspirer un sentiment de stabilité. Un certain soulagement et cela est prouvé, Credit Suisse à 500 milliards de dollars d'actifs cette banque importante au niveau du système financier.
On croira que le risque aura été réduit par la reprise par une institution financière plus forte ce qui cela aura un effet de calme.
On n'en reviendra… à ce qui nous préoccupait antérieurement c'est-à-dire les hausses de taux et l'inflation.
- Quand j'ai eu le communiqué de presse, je me suis dit qu'il s'agit de la plomberie du secteur financier et cela ne ne sont pas des éléments que tout le monde comprend.
Simplement, on comprend que les banques centrales veulent s'assurer que la machine continue de tourner.
Je suis un peu inquiet lorsque j'entends que les banques centrales disent que tout va bien, ça manquait toujours.
Mais en définitive, il s'agit de calmer l'inquiétude du public.
Et d'éviter que cela ne se transforme en catastrophe avec l'effondrement de nouvelles institutions financières.
- Voilà l'objectif de ces déclarations d'endiguer la panique, plutôt ce sera fait, plutôt nous pouvons revenir à une véritable problème c'est-à-dire l'inflation Ventoux.
- Les banques centrales cherchent à susciter un emploi maximum la stabilité financière l'inflation.
En général on peut réussir que sur deux les trois tableaux parfois sur un seul.
Les banques centrales veulent vraiment calmer le problème de la stabilité financière afin de s'attaquer aux problèmes à plus long terme de l'inflation, mais cela sera au détriment de l'emploi.
Ce n'est pas un moment facile pourra être à la tête d'une banque centrale mais c'est une période que l'on étudiera dans les manuels d'économie dans les années à venir.
- Une autre question: si les taux vont demeurer élever longtemps, que le quel secteur canadien bénéficiera?
- Il y a deux façons de répondre à la question.
Dans cet environnement, on s'entendra on s'attendrait à ce que la croissance économique ralentisse notablement.
Il faut se concentrer sur des secteurs qui ont moins de Meta au niveau de la croissance.
Les biens de consommation courante, les services publics, le secteur ennuyeux qui ont tendance à bien se comporter.
C'est un pari, et pour nous, en général, j'ai tendance à pécher par excès de prudence.
Il faut investir de manière séquentielle.
Acheter de l'or il y a un an aujourd'hui, sera du bon sens vous auriez vécu beaucoup de volatilité.
Je pense que plus tard cette année, il y aura une occasion comme on n'en a qu'une seule dans un cycle, dans un cycle de rehausser la proportion d'action.
D'ici là ce sera difficile. Il ne s'agit pas simplement de savoir ce que l'on doit détenir à l'heure actuelle, ce que l'on doit détenir à leur actuel est un titre venu fixait des bons du trésor.
Mais plus tard dans l'année, on pourra rechercher des actions cycliques qui réussissent bien en début de cycle.
Domaine thématique pour la prochaine décennie l'infrastructure la dé carbonatation… l'élimination des émissions dans les secteurs de croissance, toutes les compagnies font parti de cet écosystème devint un cerf à long terme niveau thématique mais d'ici là, il faut traverser cette période d'indigestion.
- Si nous parvenons ce stade il y aura bien sûr des hauts et des bas de la volatilité.
Si vous faites un pari pour la prochaine décennie sachant qu'il y aura des hauts et des bas il faut faire preuve de patience.
L'essentiel c'est s'inquiété.
- Tout à fait à 100 %. Il y a des périodes comme celle-ci où il faut prendre les bonnes décisions.
Parce qu'on peut acheter des choses très bon marché et des valeurs très bon marché pour aboutir à un rendement très long terme.
- Investir, ce n'est pas ce n'est jamais fini. C'est une profession infinie les marchés vont être là longtemps après que nous n'y serons plus donc il y a les hauts et les bas dans les prérequis de celle-ci mais il faut se rappeler ses objectifs à long terme.
Voilà pourquoi cela m'arrive aussi il faut songer aux environs aux horizons plutôt.
Cinq mois à cinq ans ou 10 ans. Cinq à 10 ans, ce dont nous parlons aussi ce n'est pas critique pour les 12 prochains mois ces critiques.
- Une question sur la géopolitique.
Quels sont les tensions géopolitiques mondiales qui vous préoccupent le plus?
La liste doigtent être longues.
- Au niveau des marchés, les plus grands risques se trouvent au niveau du budget américain cet été.
La semaine dernière, mon ami caverne qui lie la constitution des États-Unis à ces moments de loisirs le 14e amendement adopté après la guerre civile la guerre de sécession déclare que le crédit des États-Unis doit être remis en question.
Autrement dit, si le plafond budgétaire n'est pas relevé, les paiements d'intérêts et le principal vaut toujours être versé.
Donc il n'y a pas de défaillance.
Mais il y a un risque que tous les autres paiements prennent fin la sécurité sociale, assurance maladie.
S'il y a une impasse budgétaire et que le plafond de la dette n'est pas relevé, la situation actuelle est bien pire qu'en 2011.
Il y avait une certaine uniformité au niveau du parti républicain mais aujourd'hui, ce n'est pas le cas. Il y a des points de vue tout à fait extrêmes.
Mais quand cliquez n'est pas en position de force. Si nous nous retrouvons dans une position où le plafond de la dette n'est pas relevé, il s'encore une fois agit d'acheter le bon trésor la croissance va s'effondrer il y a beaucoup d'Américains qui vivent du jour au lendemain et le revenu 500 la consommation va s'effondrer dans beaucoup de secteurs aux États-Unis.
- Au niveau géopolitique, et au niveau humanitaire, c'est sur les marchés et c'est en Europe de l'Est, mais au niveau des marchés, c'est plutôt le budget américain.
- En ce qui concerne l'Europe est-ce que les marchés ont fait la part des choses une crise humanitaire les marchés ont réagi au tout début.
La situation s'est apaisée au niveau financier?
- - Il y a toujours des risques d'escalade.
C'est là où la volatilité pourrait s'aggraver.
Je crois que les marchés ne peuvent s'intéresser quand une couple de thématiques à la fois.
Je ne sais pas si bon mauvais mais c'est le rôle des marchés à l'heure actuelle ce n'est pas leur priorité.
À moins que la situation ne s'aggrave notablement au niveau de la tension, je crois que s'il s'agit d'un match nul, d'une impasse, c'est à cela que ressemble la situation au niveau humanitaire c'est catastrophique.
Mais au niveau des marchés, ils vont se tourner vers autre chose.
- Une autre question: le secteur de la technologie sera-t-il encore faible?
On vient de parler de nouveaux licenciements chez Amazon.
- Oui, et une pour une deux raisons.
Tout d'abord, la technologie est extrêmement sensible à la croissance économique mais ça n'a pas toujours été le cas.
Pendant longtemps on prévoyait que les technologies étaient un secteur s'auto générant qui est donné de bons résultats quelques soient la situation et beaucoup de compagnies de la technologie tirent leurs revenus de la publicité et Laurence ralentissement de la publicité entraîne une perte de revenus.
Premier facteur négatif.
Un autre facteur négatif, c'est que les entreprises qui sont dans la nuagique ralentissement de la croissance.
L'info nuagique est toujours en croissance, mais cette croissance ralentit et depuis peu, il y a une certaine remontée ou du secteur de la technologie notamment à long terme.
Si les obligations du gouvernement à long terme remontent, on peut acheter des cibles action de la technologie.
Je pense que cette façon de penser est dépassée.
- C'est en effet la secteur de la technologie demeure coûteux. À moins que vous pensiez convenir avec l'argent avec zéro des taux d'intérêt je ne vois pas comment la technologie va surclasser le reste du marché au cours des années à venir.
Jusqu'à ce que les valorisations redevient intéressante, Microsoft après le pic de 2001, Microsoft va continuer de réaliser d'extraordinaires bénéfices par action, l'école mais le cours de l'action n'a pas évolué pendant 12 ans.
Je ne dis pas que cela va se produire une nouvelle fois, mais cela me rappelle que si nous abordons une période de déclassement, la technologie n'est pas un secteur privilégié.
Et puis s'agit de compagnies qui ont une complète capitalisation boursière de 1 million.
Vont-elles passer à un ou 2 billions?
- Il faudra qu'il se passe des choses extraordinaires.
Je pense qu'il y a il ne faut pas donner zéro pondération secteurs de la technologie mais ne pas le sûr pondéré autant qu'il a été depuis 12 ans.
- Michael Craig répond à vos questions sur la répartition d'actifs dans quelques instants.
C'est toujours vos propres recherches avant de prendre vos décisions de placement.
Vous pouvez poser vos questions.
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Avez-vous des questions sur les placements ou les marchés?
Vous pouvaient nous la poser soient par courriel à cette adresse courriel, soit dans la boîte de questions bas de votre écran.
Il suffit de cliquer sur envoyer.
Nos invités pourraient vous répondre en direct.
À présent, un coup d'œil sur les marchés.
L'indice TSX composite en ce premier jour de bourse de la semaine après une semaine compliquée la semaine dernière.
Face à toutes sortes de complications reliées au système financier mondial ainsi qu'à la décision attendue de la fête mercredi, le TSX est en hausse de 76.
Soit un tiers de pour cent.
Le secteur minier attire les investisseurs portant les mines d'or que d'autre secteur techniques est en hausse de 2,7 % Athabasca avec le bruit de référence américain 67 $ cent 51 scènes sur mon écran le secteur pétrolier recule Athabasca est en baisse un peu plus de 2 %.
- Aux États-Unis l'indice S&P 500 augment démarre la semaine avec une légère hausse 17 points soit -1/2 %.
La Fed entame une réunion de deux jours de main et fera une action de deux jours demain nous allons bien entendu commenter cette annonce sur les différentes plates-formes de parlons argent.
L'indice Nasdaq est en repli par rapport à l'ensemble du marché est en baisse de 20 de 34 points soit un peu plus d'un peu plus d'un quart de pour cent.
- Le Credit Suisse à l'heure actuelle est en baisse de 53 %.
Vous voyez cette longue trajectoire de baisse sur un an et l'effondrement au dernier moment.
Michael Craig chef de la répartition d'actifs gestion d'activité des répond à vos questions.
L'intelligence artificielle: quelles sont les compagnies à surveiller?
- ChatGPT fêtent les manchettes.
Il y a une poignée de capitalisation qu'on ne suit pas de très près et dont le nom m'échappe.
S'agissant de l'intelligence artificielle, d'abord, ce n'est pas quelque chose de… ce n'est pas un secteur dans lequel on peut se lancer du lot le jour au lendemain.
Les obstacles à ceux qui voudraient s'y lancer sont très élevés.
Il s'agit d'une énorme source de gains de productivité, mais cela s'étend sur 10 ans.
On commence à automatiser beaucoup de tâches quotidiennes qui sont actuellement dévolues aux humains.
Au niveau d'une thèse d'investissement, c'est un secteur où… il y a une importance, mais il y a des entreprises qui réussiront, des entreprises qui ne réussiront par ailleurs une consolidation.
Je ne sais pas qui va gagner ou perdre, mais il faut se rappeler que… vous auriez pu lancer une fléchette et dans les années 1990 sur le tableau des compagnies de la technologie et qui aurait prédit qu'une petite librairie deviendra géante?
- Quand on entendu parlait d'Amazone, c'était un énorme livre sur toutes les chansons des Beatles.
Je ne peux pas trouver ça dans une librairie et je me suis dit c'est vraiment bizarre d'acheter ça sur Internet.
Je ne ferai plus jamais cela.
Ensuite,, l'industrie de l'intelligence artificielle… l'indice TSX ou le TSX finira-t-il année quels sont les secteurs qui seront qui se sont le mieux comporté?
- Je crois que nous avons atteint les sommets pour l'année.
Il y a une dévalorisation intéressante.
Le titre financier tourne à moins de 10 % de ratio coût bénéfice.
Le marché va commencer à tenir compte d'un rendement dividende de cinq à 6 %.
Et sur quelques années c'est intéressant.
Ce qui s'est confirmé depuis quelque temps relevé du début de l'émission, c'est que le pétrole est coté très bas car c'est un baromètre en temps réel de l'activité économique.
S'il continue de reculer cela vous montrera qu'il se passe quelque chose.
Alors que nous touchons le fond, l'énergie sera bien placée pour tirer son épingle du jeu à l'heure actuelle, il faut qu'il se passe quelque chose au niveau de la demande pour que le but soit coté à ce niveau-là.
Donc ce n'est pas pour aujourd'hui mais ce sont les domaines qui à mon allié vont progresser d'ici un an.
- Une toute dernière question pour Michael Craig avant de nous séparer.
Avec tout ce que je pensais que nous devrions éviter les obligations rendement élevées?
- Les obligations à rendement élevé sont dévolues aux spécialistes.
Dans la jeunesse dissipée, je me suis occupé d'obligations à élever ses compliquées.
Les prêts, les transactions à rendement élevé sont assorties de prospectus qui regorge d'options.
Un exemple: beaucoup d'investissement investisseurs ce matin des obligations à T1 de Credit Suisse qui sont choqués d'apprendre que… Celan était radiée à zéro et tout cela parce qu'on n'a pas lu les petites caractères du prospectus.
Toute l'idée c'était des obligations fusibles.
Parfois, avec les obligations rendement élevées, quand la situation devient spéculative, on achète cela sans trop y regarder.
Nous avons des obligations rendement élevées.
Nous l'avons réduit de moitié cette pondération depuis deux ans depuis un an nous somme très sélectifs.
Nous demandons à tout spectateur de se rappeler qu'il s'agit d'une des actifs complexes qui peuvent avoir d'excellents rendements à long terme.
Une bonne partie du potentiel de hausse des actions la moitié de la volatilité dans un portefeuille multi actif d'une excellente catégorie d'actifs mais c'est beaucoup plus complexe que beaucoup d'autres à cause de la nature.
Et pour avoir une entreprise avec de multiples obligations assorties de structures très différentes et ce comportement différent.
Plutôt que l'action l'achat de l'action une fois pour toutes.
Nous sommes sous pondérer nous allons sans doute augmenter la pondération et s'il y a une augmentation des écarts si ces gens s'agit de secteurs compliqués font alors une bonne compréhension science tout seule.
Il ne faut pas se retrouver comme beaucoup de gens ce matin tu te retrouves avec zéro à cause de ce qui s'est passé pendant la fin de semaine.
- Il se passe beaucoup de choses beaucoup d'interrogations pour les investisseurs.
Que faut-il se rappeler d'ici quelque temps?
- Il faut demeurer sur la défensive.
Il faut avoir des liquidités pour saisir les occasions, le marché des bons du trésor me plaît et puis, cela passera.
Elle sépare une période unique il y a eu des crises, ça se produit à huit ans d'intervalle à peu près, et il faut éviter de trop s'exposer.
- Merci Michael et à bientôt.
Merci à Michael Craig chef de la répartition d'actifs gestion d'actif Tedey.
Reste à l'écoute demain Alex Gorewciz gestionnaire de portefeuille titre à revenu fixe la gestion d'actif Tedey va répondre aux questions sur les titres à revenu fixe.
Vous pouvez nous poser vos questions d'ores et déjà par courriel à cette adresse courriel.
Merci et à demain!