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(musique) Vous pouvez nous poser vos questions par courriel à cette adresse courriel ou dans la boîte de questions au bas de votre écran.
Mais d'abord, un coup d'œil sur les marchés en ce premier jour de bourse de la semaine et du mois de mai.
À 20 675 points l'indice TSX composite progresse de un cinquième de pour cent et le secteur minier était en faveur des investisseurs à 6,95 $ progresse de plus de 2 %.
Certaines faiblesses dans le secteur de l'énergie de l'impériale pétrolière 68,26 $ recul d'un peu plus de 1 %. Aux États-Unis, l'indice S&P 500 instantané des marchés beaux progresse modestement de cinq points.
Une journée calme, mais nous en viendrons dans quelques instants à ce qui se passe sous la surface.
L'indice Nasdaq après une semaine où beaucoup des grands titres viennent d'annoncer leurs bénéfices il reste rappelle cette semaine indice Nasdaq recule de 35 points. Amazon en baisse de presque trois dollars l'action à 102 $, 63 soient un peu plus de 3 %.
(..
.) Nous commençons le mois avec toutes sortes d'actualité pour les investisseurs les autorités ont forcé la vente d'une autre banque régionale américaine à l'une des grandes banques de la Michael Craig gestion d'actif TD vous est toujours parmi nous après de grands événements aujourd'hui c'est une autre banque régionale américaine saisie par les régulateurs les marchés semblent très calmes.
- C'est le 1er mai en Europe les bourses sont donc très calmes aujourd'hui là-bas. Dans le cas de first Republique, il s'agit d'une source de risques en moins sur le marché J.P. Morgan l'a acheté à la FDIC de 10 milliards les obligations et les action été radiée à zéro.
Les actionnaires et les titulaires d'obligations ne récupéreront donc rien mais les marchés une source de stress en moins ce ne sera sans doute pas la dernière victime de ce cycle de hausse mais ce dossier est essentiellement Jimmy Diamond ce volet de la crise éternité mais n'exclut pas qu'une autre banque régionale et défaut des difficultés semblables mais le * secteur rangeait enquérant général serait sain.
Il s'agit d'une banque importante qui est un créneau d'Alain client très aisé. J.P. Morgan un financement garanti a bénéficié maladie est il s'agit pour eux d'une petite acquisition.
- Nous avons étudié le cas.
Dans les cycles de hausse de la Fed il y a toujours des victimes. Ce sont surtout les entreprises dans les modèles d'affaires sont les plus faibles et il y a peut-être eu des problèmes dans le deuxième semestre parlons des taux d'intérêt car au cœur de tout cela, il y a la structuration des dépôts et déplacements pour ces petites institutions. Modalités perturbées par la hausse des taux.
On prévoit que la Fed va cette semaine annoncer une nouvelle hausse de taux est faite surveille la seule situation ne semble pas préoccupée. Je pense toujours que la priorité consiste à maîtriser l'inflation.
Cette dernière est résistante plus persistant que prévu. La Fed considère qu'elle a les outils nécessaires pour gérer ce genre d'événements. Il y a eu beaucoup d'argent au guichet d'escompte au mois de mars la laisse la macérait et développer commence à se ça se rétracter la banque à la capacité de gérer ses flambées mais ne baissera pas les bras jusqu'à ce que l'inflation commence à refluer durablement.
Il y a certains secteurs comme les prix des marchandises et les prix des biens et/ou l'inflation s'est apaisée, mais les services et les salaires continuent de progresser à un rythme trop rapide selon la Fed. Ce sera sans doute la dernière hausse peut-être une ou deux de plus au mois de juin mais la question se pose à présent et celle de savoir pendant combien de temps ces taux demeureront élever. C'est presque un poison lent injecté dans l'économie qui corrompt l'activité économique et le fera dans les trimestres à venir. Certains secteurs du marché parient que la Fed même s'il va vraisemblablement cette semaine pratiquer une hausse de taux, les marchés dirigent parient que la Fed va pratiquer des coupures de taux d'ici l'été.
C'est un peu rapide on parle même de bascule.
Et si il règne une certaine confusion sur les marchés et la Fed y a contribué en estimant que les marchés sont beaucoup trop optimistes. Ce qu'il faut comprendre de la position des marchés c'est que il s'agit d'un calcul de probabilité la trajectoire en soi n'a pas de sens mais c'est une combinaison de… un scénario où rien ne se passe ou bien une récession sévère où la banque coupe de 300 points.
Une nouvelle hausse de taux et puis 150 points de base de coupure cet été il est très peu probable qu'il y ait une coupure de taux de 100 points. Je pense qu'il aura soit rien soit 300 points de base.
Il y a un atterrissage brutal.
C'est ce que l'on doit tirer de cette courbe des contrats à terme. Il s'agit de probabilité et de résultats binaires.
Le FMI en a parlé le mois dernier et les chances d'une véritable contraction mondiale.
Il faut tenir compte des probabilités et les investisseurs doivent être très conscients de la situation d'ici la fin de l'année. Avec toutes ces grandes forces en jeu nous sommes en plein dans la saison d'annonce des bénéfices et il y a eu de grand noms qui a déjà annoncé le bénéfice et concluez-vous?
- Globalement les bénéfices sont supérieurs aux prévisions. Il y a une certaine faiblesse dans les secteurs de l'économie réelle. Les technologies s'en est bien tiré mieux que prévu. Il y a une forte remontée dans les actions de technologie cette année.
Je ne m'en balaierais pas trop, Amazon a averti les investisseurs que la nuagique se porterait moins bien ce qui a plombé leur action.
Je ne m'attends pas à ce que les bénéfices affichent une remontée prochainement. Je pense que d'ici le reste de l'année les bénéfices seront inférieurs à ceux de l'an dernier. Compte tenu de la répartition d'actifs puisque la fête de fin d'annonce cette semaine et qu'il y a des difficultés dans le secteur des banques régionales, accolés investisseurs doivent-ils songer lorsqu'ils investissent sur le marché?
- Pour nous à l'heure actuelle, c'est la patience qui est le mot d'ordre.
Nous avons une position défensive, nous avons toujours des positions en action, mais dans des secteurs de plus grande qualité du marché et notre survivant avec des modèles d'affaires solides qui vont prospérer lorsque les autres sont en butte à un ralentissement économique, nous continuons de favoriser les titres à revenu fixe comme par le passé.
On peut prendre une position défensive et regagner 5 % au niveau du revenu.
Les dividendes hors des États-Unis sont assez attractifs dans le monde.
Nous vivons une période où il s'agit de réduire au minimum les erreurs.
(...) Il y a une assez forte remontée dans le secteur de la technologie qui était faible l'an dernier.
C'était dans bien des cas une question de positionnement des investisseurs qui se retrouvaient découverts ou en sous pondération.
Dans les marchés baissiers, on essaie d'être malin et on a des ennuis.
Il s'agit d'être patient systématique et d'attendre que les occasions se présentent de nouvelles fois. Cet homme à l'art attendant est-ce que vous pouvez baliser cette patience est-ce qu'il y a des signes avant-coureurs?
- Il y a deux choses qui restent à se produire tout d'abord les valorisations sur surtout sur les marchés américains sont trop élevées renseignant sur le rendement des obligations et deuxièmement, un véritable recul décisif de l'inflation.
Pour ça il faudrait que l'aspect du logement noyé autre diminue. Ainsi que les services.
Les services de base à l'exclusion du logement aux États-Unis il faut que ces deux secteurs affichent un net recul de l'inflation sinon nous en serons en situations respectives au niveau des taux d'intérêt il y aura d'autres ennuis. Ce sont ces décès de signes avant-coureurs que nous attendons avant d'adopter une attitude plus optimiste.
- Excellent début d'émission Michael Craig répond à vos questions dans quelques instants pour vous pouvez nous poser vos questions en tout temps par courriel à cette adresse courriel ou dans la bonne question bas de votre écran.
L'actualité du monde des affaires un coup d'œil sur les marchés.
- (mot en anglais) relève ses prévisions de bénéfices après avoir annoncé des résultats supérieurs au premier trimestre. La compagnie augmente le prix des billets et prévoit que la demande de voyages et les demandes à bord de voyageurs aisés va continuer d'augmenter les revenus prévoient également que les coûts de carburant et d'alimentation diminue cette année le titre progresse de huit et 8 %.
Enbridge fait l'acquisition d'une stockage de gaz naturel au prix de 400 millions de dollars. Le géant des gaz ludiques achetèrent (mot en anglais) cette installation souterraine une capacité de 77 millions de pieds cube qui est branchée sur trois grands gazoducs.
Cargo jet annonce des bénéfices réduits pour le dernier trimestre par rapport à la l'exercice précédent.
Les volumes de fret sont affectés par le basculement des dépenses de consommateurs des services aux dépens des biens. Une tendance qui selon la compagnie va se stabiliser cette année. Cargo jet se concentre sur la maîtrise de ses coûts d'action progresse de 5 %.
- À présent les grands indices l'indice TSX composite progresse de 49 points un modeste un quart de pour cent. On est l'indice S&P 500 est en hausse modestement de huit points soit un cinquième de pour cent.
Michael Craig répond à vos questions sur la répartition d'actifs.
Ou investir iriez-vous de l'argent frais pour le long terme?
Nous ne pouvons pas donner de conseils spécifiques mais parlons de répartition d'actifs.
Quand on part du long terme, je suppose cinq ans et plus.
Alors actuelle, hors des États-Unis, en Europe au Canada, ce n'est pas trop coûteux, les bourses et les titres à revenu fixe offre le rendement et le revenu plus élevé que depuis 15 ans.
Si on part du long terme, ce sera peut-être un peu inquiétant d'ici six à neuf mois.
Admettons que vous êtes dans un créneau de qualité sur les marchés tout ira bien.
En définitive, il est essentiel de comprendre les résultats.
Rechercher avec les placements à long terme.
C'est toujours elle est demandée les conseils vous parlait du volet de tir à revenu fixe le portefeuille l'an dernier a été difficile pour les actions les titres à revenu fixe vu les hausses de taux énergie des banques centrales.
Vous avez dit que les rendements des obligations n'ont pas été aussi intéressante aujourd'hui depuis 15 ans.
Lorsque les banques centrales décideront de réduire les taux, il y aura peut-être des progrès encore à venir sur un titre à revenu fixe il y a trois éléments si c'est un marché obligataire les rendements sont à 5 % au fur et à mesure que l'inflation reflue, je pense que les rendements seront supérieurs à l'inflation ce qui est très positif pour les investisseurs et deuxièmement, puisque l'an dernier a été tellement difficile, une bonne partie du marché est largement en deçà du père.
Lorsque l'obligation arrive à maturité on récupère 600 $. Au niveau du rendement après impôts les titres revenus fixe sont intéressants parce que une bonne partie du revenu sera composée de capitaux et non de revenus ce qui est plus avantageux.
- Je dirais qu'il y a une chance sur six roussettes de récession de cette année ce n'est pas notre scénario de base, mais si ça que se concrétise, je prévoirai des gains en capital majeur au niveau des obligations du gouvernement. Suis-je encore une fois, ce n'est pas un pronostic, c'est une probabilité. Ce serait la troisième raison pour lesquels les titres revenus fixant intéressants.
- Voulez-vous comparer les obligations du gouvernement du Canada et du gouvernement des États-Unis?
Y a-t-il des différences envisagées?
- Oui.
Il y en a quelques-unes qu'il faut connaître.
D'abord la monnaie bien sûre.
Selon que l'échange découvert ou non s'il n'est pas couvert avec une bonne partie du rendement proviendra de la différence entre le dollar canadien américain.
Vous devez donc vous demander si vous avez des dollars américains si vous les gardez aux États-Unis c'est très bien. Mais si vous étiez affectés par le taux de champ c'est important.
Quant au rendement, les obligations des États-Unis sont cotées beaucoup moins chères que celle du gouvernement du Canada.
Vers le haut de la fourchette à long terme normalement les obligations du gouvernement des États-Unis sont cooptées plus du on n'en au premier décile dans la différence en faveur du Canada, 60 à 80 points de base rendement supplémentaire qu'on peut obtenir des bons du trésor américain.
En fait, il faut se rappeler qu'il y a le plafond budgétaire qui peut qui surviendra bientôt et qui pourrait entraîner 1; de volatilité sur les marchés des bons du trésor américain. Une belle volatilité à court terme.
Quand on part du plafond de la dette, il y a beaucoup de manœuvres politiques il y a beaucoup de manœuvres Amérique du gouvernement américain affirme les optimistes ou même irréalistes ne ferait jamais sur sa dette. Toutefois, si on arrive à des manœuvres politiques extrêmes il y a peut-être une erreur.
D'abord les marchés sont désormais stressés.
Les bons du trésor qui arrive à échéance auparavant sont cotées beaucoup plus chers que ce qui arrive à échéance après.
Les soins de défaillance pour les dons du trésor américain atteignit également des sommets.
Théoriquement il pourrait avoir une défaillance au niveau opérationnel.
La constitution interdit les défaillances, mais puisqu'il y a tellement de risque opérationnel, Kijiji de dire nous n'allons pas payer les retraites, les soins de santé mais là le risque d'une erreur opérationnelle ne peut pas être écarté. En définitive, il y aura une solution qui sera trouvée, mais quelles seront les dégâts au niveau de la confiance tant qu'ils seront kos en chemin?
- Ni l'un ni l'autre des parties ne semble disposée à parvenir à un accord.
Les démocrates vont blâmer les républicains face à un problème budgétaire les républicains vont blâmer les démocrates. Ni l'un ni l'autre n'est partie une raison de parvenir à un compromis.
Il s'agira une source d'inquiétude majeure d'ici deux mois.
- D'inquiétude, comme vous le dîtes.
Alors à court terme tandis que les taux d'intérêt sont assez élevés, quel segment de la courbe de rendement est intéressant?
- C'est une question intéressante.
Encore une fois, on en revient au scénario qui nous intéresse.
Et un niveau très simple quant au rendement total, le secteur le plus risqué de la courbe, qui sera le plus affecté s'il y a une remontée, si l'extrémité à long terme.
Si vous êtes aussi sur les titres revenus fixe que voulait prendre ce genre de risque, vous devriez envisager l'extrémité à long terme.
Mais soyons clairs: extrémité à long terme a subi une baisse de 50 % depuis 2001 donc ce n'est pas pour les timides. Mais si vous recherchez en avoir le plus pour votre argent ce serait les obligations à long terme.
- Certain en envisageant les titres revenus fixe pas suffisamment d'argent pour déployer sur les marchés pour limiter les missions du gouvernement il y a d'autres solutions.
Que voit-il savoir si on envisage les fonds communs de placement ou les titres qui sont reliés au titre un office?
- Si vous achetez l'ensemble du marché il y a d'autres sources obligations les obligations de sociétés alors actuelles, elles ont des écarts relativement serrés par rapport au contexte.
Dans un scénario d'atterrissage en douceur, ces obligations donnent de très bons résultats dans le scénario d'atterrissage brutal ce sera un peu défavorable pour votre rendement total.
- Ce serait un peu plus délicat en cas de ralentissement économique parce que les séries d'entreprises qui ont davantage de levier je pars des obligations à haut rendement.
- Les titres revenus fixant un exercice de répartition d'actifs on peut avoir des titres revenus fixe qui ressemblent à des actions et d'autre part des titres revenus fixe du gouvernement.
Il faut savoir ce que l'on achète pour que vos placements soient alignés sur vos objectifs. C'est toujours vos propres recherches avant de prendre vos décisions de placement. Michael Craig répond à vos questions dans quelques instants.
Vous pouvez nous déposer en tout temps par courriel à cette adresse courriel. À présent poursuivons la découverte de courtier Web.
- Nous sommes en pleine saison d'annonces de bénéfices.
Si vous voulez savoir quelles ont été les résultats d'une entreprise pendant le dernier trimestre, courtier Web vous propose des outils. Nugwa Haruna est formatrice à la gestion TD.
- Les compagnies sont tenues de publier leurs états financiers. Ces états financiers sont publiés chaque trimestre ainsi qu'à la fin de l'exercice financier.
Les investisseurs peuvent trouver sur courtier Web trois documents financier: le bilan, l'état des revenus et l'état des flux de trésorerie.
Voici comment ces états financiers peuvent être trouvés sur courtier Web. On clique recherches et puis sous la rubrique placement sur action.
Vous pouvez afficher la compagnie qui vous intéresse et vous cliquez ensuite sur l'onglée donnée fondamentale puis sur états financiers.
Si vous recherchez les états financiers trimestriels, vous cliquez sur intérim et si vous recherchez des états financiers annuels devez vous cliquer sur annuel.
Parlons un peu de ces différents états financiers.
Commençons par l'état des revenus ou l'état des profits et pertes.
Il donne une idée des résultats financiers d'une entreprise pendant une période donnée.
Ensuite il y a le bilan il s'agit de l'état de la faire valeur nette de la compagnie qui donne aux investisseurs une idée des actifs de l'accompagner c'est-à-dire ce que possède de son passif c'est-à-dire ce qu'elle doit et de la différence l'avoir des actionnaires.
Enfin, il y a l'état des flux de trésorerie.
Celui-ci donc donne aux investisseurs une idée de la manière dont la compagnie gère sa position de trésorerie. La compagnie peut-elle servir sa dette peut-elle financer ses propres opérations?
On demandera mais comment cela est-il pertinent pour moi en tant qu'investisseur? Comment utiliser ces informations?
- C'est là où l'idée d'analyse de ratio entre enjeux.
Il s'agit de prendre l'information de ces états financiers et de les comparer sur une base d'industrie et entreprise par entreprise. Si vous voulez réaliser notre relevé entre vous pouvez cliquer sur l'onglet comparaison sectoriel.
Nous allons nous intéresser à un ratio aujourd'hui.
Le ratio de trésorerie.
Il s'agit d'une mesure de liquidité qui donne aux investisseurs une idée de la mesure dans laquelle une compagnie peut satisfaire son passif à court terme c'est-à-dire les dettes qui arrivent à échéance d'ici un an en utilisant des actifs à court terme c'est-à-dire qui peuvent être liquidés d'ici un an.
On peut comparer le ratio de l'entreprise par rapport à celui de l'industrie. Si ce ratio de trésorerie ou ratio actuel est semblable à celui du secteur, cela signifie que la compagnie peut satisfaire ses obligations. À en revanche, si le ratio actuel est inférieur à la moyenne de l'industrie, cela pourrait signifier que la compagnie présente un risque élevé de défaillance ou pourrait se trouver en situation financière délicate.
Quand vous consultez les états financiers ou que vous réalisez des analyses de ratio, courtier Web vous propose un certain nombre d'outils qui vous permet d'alimenter votre stratégie de placement.
- Nugwa Haruna informatrices placement directes TD. Ne manquez pas de visiter le centre d'apprentissage de courtier Web vous trouverez encore plus de ressources.
Je vous rappelle comment nous vous posez vos questions.
Avez-vous une question sur les placements ou encore sur les marchés?
Vous pouvez nous la poser, soit par courriel à cette adresse courriel, soit dans la boîte de questions au bas de votre écran.
Il suffit de cliquer sur envoyer. Nos invités pourraient vous répondre en direct.
- Michael Craig chef de la répartition d'actif TD répond à vos questions sur la répartition d'actifs.
Cette question vient de nous arriver. Les Canadiens doivent-ils s'inquiéter des difficultés du secteur bancaire aux États-Unis.
- Je donnerai une réponse triple.
D'abord, il y a 6000 banques régionales aux États-Unis.
C'est un secteur très fragmenté.
Ce ne sont pas les banques J.P. Morgan Bank of America ce sont des banques régionales des modèles d'affaires très simples.
Elles reçoivent des dépôts et prêt aux entreprises locales. Ce sont des modèles bancaires simples et rudimentaires.
Très souvent, ces banques disparaissent il y a des faillites tout le temps.
Les déposants américains sont garantis à hauteur de 250 000 $.
Les Canadiens qui passent une partie de l'année aux États-Unis, doivent se rappeler que leurs dépôts sont assurés à hauteur de 250 000 $ mais qu'il y a toujours un risque lorsqu'on fait affaire avec des petites banques régionales.
- En tant qu'investisseur canadien, nos banques sont très différentes et ce sont des banques qui s'occupent de gestion de patrimoine d'assurance de services bancaires, qui sont donc très diversifiées.
Le risque financier peut exercer une certaine pression sur notre secteur, mais il n'y a pas de comparaison notre secteur bancaire est beaucoup plus prudent et les bilans de sont beaucoup plus saints.
- Le fait qu'il y ait des difficultés dans un banque des banques aux États-Unis ne signifient pas qu'il y aura des six difficultés au secteur bancaire canadien.
Bien sûr, si on niveau mondial les conditions bancaires se resserrent il y a un stress, mais notre secteur bancaire à la suite d'un choix, consiste en une poignée d'établissements plutôt que d'une masse d'établissements plus faibles.
Historiquement, c'est un modèle qui semble être le bon.
Je ne m'en inquiète pas à vrai dire, mais il est important de situer la question dans son contexte selon l'exposition que l'on a aux banques régionales américaines.
- L'une des analystes comparait les plus intéressantes au niveau des banques américaines, c'est que nous cherchons à resserrer la situation à ralentir l'économie et cette crise pourrait faire une partie du travail de la fête en ce qui concerne la disponibilité du crédit aux États-Unis.
- Tout à fait.
La Fed n'aurait peut-être pas être aussi ferme que prévu.
L'enquête de la fête auprès des responsables des prêts va sans doute révéler qu'il y a un resserrement notable et c'est la croissance du crédit. Qui diminue ça va donner un coup de frein aux investissements. La question est de savoir dans quelle mesure il faut qu'il y ait des dégâts économiques réellement que l'inflation du reflux.
Avec les conséquences sur la croissance et le resserrement des conditions monétaires, il y a donc un ensemble de facteurs.
- Prévoyez-vous un atterrissage brutal ou en douceur?
- Nous sommes positionnés pour les deux.
Il y a certains aspects pour du contexte actuel sont menaçants.
L'immobilier commercial aux États-Unis est en difficulté, les conditions de crédit se resserrent.
Nous vivons dans un monde très endetté nous ne sommes pas des anges dans les années 80 où l'endettement était très faible.
Il s'agit d'une situation où… le FMI pense que si la croissance mondiale diminue à 1 % ce serait une récession assez sévère et le FMI affirme qu'il y a une chance sur six ou sept que cela se produise.
En revanche, il n'y a pas de déséquilibre énorme et évident.
On ne peut pas dire par exemple qu'il y a toutes sortes de capitaux qui se sont accumulés dans un secteur voué à l'effondrement, comme l'immobilier résidentiel aux États-Unis dans les années 2000.
On ne peut pas dire qu'il y a beaucoup d'investissement qui a été consacré des actifs non productifs.
- Nous pensons qu'il aura peut-être une récession cette année, mais ce ne sera pas une récession brutale avec une crise du crédit comment 2008.
Mais je pense que ce n'est pas une impossibilité.
Je ne vous donne pas de réponse précise, mais c'est une question de probabilité il faut créer des portefeuilles qui ont tendance à bien se comporter dans une série de scénarios différents à l'heure actuelle, nous nous comporterons bien dans l'un ou l'autre de ces scénarios.
C'est ainsi que nous nous sommes préparés.
Dans le cas d'une banque centrale en cas de récession grave, il y aurait coupure de taux.
Est-ce que la banque pourra le refaire après ce qu'il a fait en 2020?
- Si nous nous trouvons dans un environnement de stagflation, ce serait effectivement le risque.
Nous nous sommes tellement habitués à ces marchés en V ou il y a un effondrement, et puis les banques centrales prennent les mesures d'assouplissement et le marché remonte.
Beaucoup de gens ne sont pas préparés à marcher qui pendant deux ans un marché qui pendant deux ans faits du surplace.
Nous avons déjà entamé cette période depuis quelques mois. Nous ne prévoyons pas une trajectoire en V, mais plutôt une période de surplace.
Je ne serais pas étonné que les bourses soient dans des bois au point où en lisant sont aujourd'hui peut-être après une période de volatilité.
Tandis que nous avons vécu une correction il y a deux types de correction la correction niveau des prix est aussi correction au niveau du temps où les marchés font du surplace pendant deux ans avant de remonter.
C'est ainsi que nous prévoyons les 12 mois à venir.
Ce serait plutôt une période de surplace.
- Une autre question: inquiétude à l'écart de la dé dollarisation si les pays s'éloignent du dollar américain un récent accord commercial entre la Chine et le Brésil.
- J'ai vu des arguments de part et d'autre du scénario de la dé dollarisation.
Je pense que ce n'est pas probable avec la guerre en Ukraine, et des mesures que lever les mesures que les Américains ont prises a été d'utiliser le dollar comme une arme.
Et le réseau Swift de transfert d'argent pour exclure la Russie.
Les pays se rendent compte que s'ils ont des ennuis politiques avec les États-Unis, cela peut se retourner contre.
Il y a donc des raisons de s'éloigner des États-Unis.
C'est plus facile à dire qu'à faire, si nous faisons un échange commercial, on peut faire le troc il y a certaines relations bilatérales par exemple entre l'Arabie Saoudite et la Chine la Chine a besoin du pétrole saoudien et l'Arabie Saoudite de la technologie chinoise.
Cela facilite les échanges hors du système du dollar.
La tendance est vraisemblable mais qu'est-ce que cela signifiera à l'heure actuelle que dans la plupart des endroits au monde à un moment donné à une période où le dollar est moins accepté dans d'autres pays que dans l'autre je ne sais pas vraiment mais ce n'est pas un scénario le dollar va descendre à zéro tout moment sur le tout se fait en dollars américains remplacés et nous allons sans doute aborder une période où il n'y a pas de superpuissance économique où il y aura des échanges dans diverses modèles.
Mais c'est un thème qui se déroulera au-delà de ma carrière de la vôtre il faudra beaucoup d'années pour que cela se réalise.
- Une autre question: que pensez-vous des fiducies de revenu immobilière?
Les immeubles de bureaux sont-ils en danger?
- On n'en parle beaucoup.
Les lundis et le vendredi, le métro n'est jamais bondé.
Tout d'abord, ce ne sont pas les revenus et qui se spécialise dans les bureaux.
Didier FAR est spécialisé dans les bureaux s'en est une autre.
Notre approche a toujours été de diversifier.
Le secteur industriel et le secteur de bureaux se porte moins bien.
Le taux d'inoccupation dans les bureaux à Toronto et de 17 à 18 % et à Calgary encore plus cela va entraîner un stress sur le marché aux États-Unis, il y a eu un ou deux grands investisseurs qui ont simplement abandonné des immeubles et je pense qu'il faudrait que les choses se détériorent gravement ici avant que nous est-ce n'assistions ce genre de phénomène.
- Mais le scénario ou le secteur de l'immobilier de bureau fera du surplace pendant quelque temps, je pense que les entreprises n'ont pas encore décidé exactement dans quelle mesure le travail se fera au bureau à domicile.
Donc le métro ne sera peut-être toujours pas bondé les lundis et vendredis dans un nom peut-être pas.
Est-ce qu'il y aura davantage de travail hybride au moins?
- Je pense qu'il y en aura sans doute moins, mais à court terme ce sera difficile pour ce marché.
- J'aime beaucoup quand les wagons ne sont pas bondés.
Michael Craig répond à vos questions se fait toujours vos propres recherches avant de prendre des décisions de placement.
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En parlant d'immobilier commercial, il y a des inquiétudes qui vont grandissants et les taux d'inoccupation de resserrement des conditions de crédit Anthony Okolie comment un nouveau rapport des services économiques idée qui expliquent pourquoi un revirement du marché immobilier de bureau est peu probable.
- Selon services économiques TD, les données fondamentales du marché immobilier de bureaux États-Unis demeurent médiocres.
Les taux d'inoccupation ont dépassé le pic de la grande crise financière pour atteindre un sommet de 13 % le trimestre dernier.
Services économiques idée montrent que l'occupation de bureaux dans 10 grandes agglomérations aux États-Unis est toujours inférieure de moitié au niveau pré pandémie.
La situation n'est pas équivalente sur plusieurs marchés, ceux de Miami et de Tampa Bay ne se sont plus porteurs grâce à l'afflux d'entreprises pendant la pandémie toutefois, l'impact de la pandémie a été ressenti beaucoup plus durement dans d'autres zones comme San Francisco et Seattle où les taux d'inoccupation sont au double et au triple du niveau pré pandémie que respectivement.
Ceci a un fort impact sur les loyers de bureaux qui ont à peine progressé d'un pour cent seulement depuis le début de la pandémie.
Le resserrement des conditions de prêt nuise également à l'activité de transaction et le volume des nouvelles transactions de bureaux est le moins élevé depuis le quatrième trimestre de 2009.
Services économiques TD ne prévoient pas de revirement pour le secteur de l'immobilier commercial de bureaux, l'une des raisons en est et on a parlé aujourd'hui, c'est que le travail à distance persiste.
Environ 30 % de la semaine de travail de cinq jours se passent hors de l'environnement traditionnel de bureau.
Il y a quelque 60 millions de pieds carrés de nouveau bureau qui vont être inaugurés aux États-Unis d'ici la fin de l'année, saturant encore le marché.
On estime que 150 milliards de dollars de dette immobilière de bureaux dus à des banques arrivant à échéance d'ici un an.
Si on associa cela le resserrement des conditions de crédit et le fait que ces vont être renouvelé à des taux beaucoup plus élevés cela accroît la probabilité qu'il y aura une hausse de défaillance sur les prêts hypothécaires commerciaux d'ici un an.
Services économiques TD ne prévoient pas de revirement si longtemps.
- En ce qui concerne le stress sur les secteurs boursiers parmi les banques régionales aux États-Unis, le secteur de l'immobilier commercial est très important dans ce domaine. La fête, à la mise en place un programme de financement des banques en difficulté et les données hebdomadaires de la Fed montrent que les banques auprès d'urgence demeurent élever et affichent même une tendance modérée à la hausse depuis quelques semaines.
Toutefois, ce Re: au pic enregistré au mois de mars mais services économiques TD signalent que les signes de stress récents qui se sont exercés sur les banques continuent de persister.
Anthony Okolie à présent un coup d'œil sur les marchés.
- L'indice TSX composite inaugure la semaine et le mois de mai en hausse de 70 points un tiers de pour cent.
Le secteur minier progresse (mot en anglais) est en hausse d'un peu plus de 3 % à quatre dollars tout juste l'action.
Il y a une certaine faiblesse dans le secteur du bois d'œuvre Intersport nous remonte un peu après le creux du début de la séance, mais toujours en recul de un tiers de pour cent 21,18 $ l'action. L'indice S&P 500 instantanée des marchés américains progresse de 14 points soit un tiers de pour cent.
La Fed fait une annonce mercredi et aujourd'hui c'est le congé du 1er mai en Europe.
L'indice Nasdaq était en baisse on y début de session est inchangé de 0,01 % en hausse.
J.P.
Morgan fait la les manchettes aujourd'hui à 142 $ l'action le titre progresse de plus de 3 %.
- Michael Craig chef de la répartition d'actifs répond à vos questions sur la répartition d'actifs.
Est-ce que vous prévoyez que les entreprises vont relever les dividendes?
- Une question chez générale, oui il y en aura certains qui vont relever les dividendes cette année.
Il y en a qui augmente leurs dividendes chaque année.
Je pense que la croissance des dividendes va malgré tout ralentir.
Puisque la croissance des bénéfices sera selon nous négatif cette année.
Par ailleurs, le lorsque les entreprises songent leur flux de trésorerie excédentaire, et pourrait commencer à envisager des remboursements de dettes puisque le coût du financement est beaucoup plus élevé qu'il ne l'était.
Il y a donc davantage de raison de se désendetter.
Donc je ne serai pas trop petit et optimiste quant à la perspective eau généralisée des dividendes d'ici 12 mois.
Dans un environnement comme celui-ci c'est compréhensible.
- Avant de nous quitter, il y a tellement de facteurs en jeu, nous sommes en pleine saison des baies annonces des bénéfices il y a là l'annonce prochaine de la fête.
En quoi les investisseurs doivent-ils songer à court ou moyen terme?
- À court terme, je surveille de près ce qui se passe au gouvernement américain.
Ça compte beaucoup.
À l'approche du deuxième trimestre et du deuxième semestre, il y a aura il y aura la possibilité de ralentissement.
Le secteur manufacturier présage une certaine contraction, pas le secteur des services.
L'incertitude est très élevée les investisseurs sont plongés dans la confusion.
Il faut surveiller les données économiques s'il y a un recul de l'économie, une récession est peu probable.
- Voilà à quoi nous nous intéressons d'ici trois à 12 mois.
La confusion, l'actualité mouvementée au niveau du gouvernement américain, c'est un moment où il faut avoir une stratégie à laquelle on croit est une discipline fondamentale afin d'éviter la panique.
- Oui.
Parlons de diverses façons de perdre beaucoup d'actes d'argent.
Vous perdez beaucoup d'argent que vos investissements font faillite.
Si vous les investissez à plus long terme, il y a des hauts et des bas.
Mais tant que vous n'avez pas de perte de capitale permanente, tout a tendance à bien se décanter.
Je m'intéresserais donc surtout à la qualité des entreprises qui vont vraisemblablement se consolider et se renforcer pendant les périodes comme celle-ci et qui ont tendance à développer leur activité en reprenant des concurrents plus faibles.
Il faut privilégier la qualité dans un portefeuille de compagnie qui augmente constamment leurs dividendes.
C'est un excellent indice de valeur à long terme pour les actionnaires.
Voilà où j'investirais à l'heure actuelle plutôt que dans les secteurs plus marginaux qui vont sans doute disparaître d'ici un ou deux ans content tenu de la conjoncture.
- Ça me fait toujours plaisir de vous recevoir Michael Craig.
Il est chef de la répartition d'actifs en gestion d'actif TD.
C'est toujours vos propres recherches avant de prendre vos décisions de placement.
Reste à l'écoute demain quartier ou de va répondre à vos questions sur les actions de technologie.
Vous pouvez nous déposer d'ores et déjà par courriel à cette adresse courriel.
Merci et à demain!
Mais d'abord, un coup d'œil sur les marchés en ce premier jour de bourse de la semaine et du mois de mai.
À 20 675 points l'indice TSX composite progresse de un cinquième de pour cent et le secteur minier était en faveur des investisseurs à 6,95 $ progresse de plus de 2 %.
Certaines faiblesses dans le secteur de l'énergie de l'impériale pétrolière 68,26 $ recul d'un peu plus de 1 %. Aux États-Unis, l'indice S&P 500 instantané des marchés beaux progresse modestement de cinq points.
Une journée calme, mais nous en viendrons dans quelques instants à ce qui se passe sous la surface.
L'indice Nasdaq après une semaine où beaucoup des grands titres viennent d'annoncer leurs bénéfices il reste rappelle cette semaine indice Nasdaq recule de 35 points. Amazon en baisse de presque trois dollars l'action à 102 $, 63 soient un peu plus de 3 %.
(..
.) Nous commençons le mois avec toutes sortes d'actualité pour les investisseurs les autorités ont forcé la vente d'une autre banque régionale américaine à l'une des grandes banques de la Michael Craig gestion d'actif TD vous est toujours parmi nous après de grands événements aujourd'hui c'est une autre banque régionale américaine saisie par les régulateurs les marchés semblent très calmes.
- C'est le 1er mai en Europe les bourses sont donc très calmes aujourd'hui là-bas. Dans le cas de first Republique, il s'agit d'une source de risques en moins sur le marché J.P. Morgan l'a acheté à la FDIC de 10 milliards les obligations et les action été radiée à zéro.
Les actionnaires et les titulaires d'obligations ne récupéreront donc rien mais les marchés une source de stress en moins ce ne sera sans doute pas la dernière victime de ce cycle de hausse mais ce dossier est essentiellement Jimmy Diamond ce volet de la crise éternité mais n'exclut pas qu'une autre banque régionale et défaut des difficultés semblables mais le * secteur rangeait enquérant général serait sain.
Il s'agit d'une banque importante qui est un créneau d'Alain client très aisé. J.P. Morgan un financement garanti a bénéficié maladie est il s'agit pour eux d'une petite acquisition.
- Nous avons étudié le cas.
Dans les cycles de hausse de la Fed il y a toujours des victimes. Ce sont surtout les entreprises dans les modèles d'affaires sont les plus faibles et il y a peut-être eu des problèmes dans le deuxième semestre parlons des taux d'intérêt car au cœur de tout cela, il y a la structuration des dépôts et déplacements pour ces petites institutions. Modalités perturbées par la hausse des taux.
On prévoit que la Fed va cette semaine annoncer une nouvelle hausse de taux est faite surveille la seule situation ne semble pas préoccupée. Je pense toujours que la priorité consiste à maîtriser l'inflation.
Cette dernière est résistante plus persistant que prévu. La Fed considère qu'elle a les outils nécessaires pour gérer ce genre d'événements. Il y a eu beaucoup d'argent au guichet d'escompte au mois de mars la laisse la macérait et développer commence à se ça se rétracter la banque à la capacité de gérer ses flambées mais ne baissera pas les bras jusqu'à ce que l'inflation commence à refluer durablement.
Il y a certains secteurs comme les prix des marchandises et les prix des biens et/ou l'inflation s'est apaisée, mais les services et les salaires continuent de progresser à un rythme trop rapide selon la Fed. Ce sera sans doute la dernière hausse peut-être une ou deux de plus au mois de juin mais la question se pose à présent et celle de savoir pendant combien de temps ces taux demeureront élever. C'est presque un poison lent injecté dans l'économie qui corrompt l'activité économique et le fera dans les trimestres à venir. Certains secteurs du marché parient que la Fed même s'il va vraisemblablement cette semaine pratiquer une hausse de taux, les marchés dirigent parient que la Fed va pratiquer des coupures de taux d'ici l'été.
C'est un peu rapide on parle même de bascule.
Et si il règne une certaine confusion sur les marchés et la Fed y a contribué en estimant que les marchés sont beaucoup trop optimistes. Ce qu'il faut comprendre de la position des marchés c'est que il s'agit d'un calcul de probabilité la trajectoire en soi n'a pas de sens mais c'est une combinaison de… un scénario où rien ne se passe ou bien une récession sévère où la banque coupe de 300 points.
Une nouvelle hausse de taux et puis 150 points de base de coupure cet été il est très peu probable qu'il y ait une coupure de taux de 100 points. Je pense qu'il aura soit rien soit 300 points de base.
Il y a un atterrissage brutal.
C'est ce que l'on doit tirer de cette courbe des contrats à terme. Il s'agit de probabilité et de résultats binaires.
Le FMI en a parlé le mois dernier et les chances d'une véritable contraction mondiale.
Il faut tenir compte des probabilités et les investisseurs doivent être très conscients de la situation d'ici la fin de l'année. Avec toutes ces grandes forces en jeu nous sommes en plein dans la saison d'annonce des bénéfices et il y a eu de grand noms qui a déjà annoncé le bénéfice et concluez-vous?
- Globalement les bénéfices sont supérieurs aux prévisions. Il y a une certaine faiblesse dans les secteurs de l'économie réelle. Les technologies s'en est bien tiré mieux que prévu. Il y a une forte remontée dans les actions de technologie cette année.
Je ne m'en balaierais pas trop, Amazon a averti les investisseurs que la nuagique se porterait moins bien ce qui a plombé leur action.
Je ne m'attends pas à ce que les bénéfices affichent une remontée prochainement. Je pense que d'ici le reste de l'année les bénéfices seront inférieurs à ceux de l'an dernier. Compte tenu de la répartition d'actifs puisque la fête de fin d'annonce cette semaine et qu'il y a des difficultés dans le secteur des banques régionales, accolés investisseurs doivent-ils songer lorsqu'ils investissent sur le marché?
- Pour nous à l'heure actuelle, c'est la patience qui est le mot d'ordre.
Nous avons une position défensive, nous avons toujours des positions en action, mais dans des secteurs de plus grande qualité du marché et notre survivant avec des modèles d'affaires solides qui vont prospérer lorsque les autres sont en butte à un ralentissement économique, nous continuons de favoriser les titres à revenu fixe comme par le passé.
On peut prendre une position défensive et regagner 5 % au niveau du revenu.
Les dividendes hors des États-Unis sont assez attractifs dans le monde.
Nous vivons une période où il s'agit de réduire au minimum les erreurs.
(...) Il y a une assez forte remontée dans le secteur de la technologie qui était faible l'an dernier.
C'était dans bien des cas une question de positionnement des investisseurs qui se retrouvaient découverts ou en sous pondération.
Dans les marchés baissiers, on essaie d'être malin et on a des ennuis.
Il s'agit d'être patient systématique et d'attendre que les occasions se présentent de nouvelles fois. Cet homme à l'art attendant est-ce que vous pouvez baliser cette patience est-ce qu'il y a des signes avant-coureurs?
- Il y a deux choses qui restent à se produire tout d'abord les valorisations sur surtout sur les marchés américains sont trop élevées renseignant sur le rendement des obligations et deuxièmement, un véritable recul décisif de l'inflation.
Pour ça il faudrait que l'aspect du logement noyé autre diminue. Ainsi que les services.
Les services de base à l'exclusion du logement aux États-Unis il faut que ces deux secteurs affichent un net recul de l'inflation sinon nous en serons en situations respectives au niveau des taux d'intérêt il y aura d'autres ennuis. Ce sont ces décès de signes avant-coureurs que nous attendons avant d'adopter une attitude plus optimiste.
- Excellent début d'émission Michael Craig répond à vos questions dans quelques instants pour vous pouvez nous poser vos questions en tout temps par courriel à cette adresse courriel ou dans la bonne question bas de votre écran.
L'actualité du monde des affaires un coup d'œil sur les marchés.
- (mot en anglais) relève ses prévisions de bénéfices après avoir annoncé des résultats supérieurs au premier trimestre. La compagnie augmente le prix des billets et prévoit que la demande de voyages et les demandes à bord de voyageurs aisés va continuer d'augmenter les revenus prévoient également que les coûts de carburant et d'alimentation diminue cette année le titre progresse de huit et 8 %.
Enbridge fait l'acquisition d'une stockage de gaz naturel au prix de 400 millions de dollars. Le géant des gaz ludiques achetèrent (mot en anglais) cette installation souterraine une capacité de 77 millions de pieds cube qui est branchée sur trois grands gazoducs.
Cargo jet annonce des bénéfices réduits pour le dernier trimestre par rapport à la l'exercice précédent.
Les volumes de fret sont affectés par le basculement des dépenses de consommateurs des services aux dépens des biens. Une tendance qui selon la compagnie va se stabiliser cette année. Cargo jet se concentre sur la maîtrise de ses coûts d'action progresse de 5 %.
- À présent les grands indices l'indice TSX composite progresse de 49 points un modeste un quart de pour cent. On est l'indice S&P 500 est en hausse modestement de huit points soit un cinquième de pour cent.
Michael Craig répond à vos questions sur la répartition d'actifs.
Ou investir iriez-vous de l'argent frais pour le long terme?
Nous ne pouvons pas donner de conseils spécifiques mais parlons de répartition d'actifs.
Quand on part du long terme, je suppose cinq ans et plus.
Alors actuelle, hors des États-Unis, en Europe au Canada, ce n'est pas trop coûteux, les bourses et les titres à revenu fixe offre le rendement et le revenu plus élevé que depuis 15 ans.
Si on part du long terme, ce sera peut-être un peu inquiétant d'ici six à neuf mois.
Admettons que vous êtes dans un créneau de qualité sur les marchés tout ira bien.
En définitive, il est essentiel de comprendre les résultats.
Rechercher avec les placements à long terme.
C'est toujours elle est demandée les conseils vous parlait du volet de tir à revenu fixe le portefeuille l'an dernier a été difficile pour les actions les titres à revenu fixe vu les hausses de taux énergie des banques centrales.
Vous avez dit que les rendements des obligations n'ont pas été aussi intéressante aujourd'hui depuis 15 ans.
Lorsque les banques centrales décideront de réduire les taux, il y aura peut-être des progrès encore à venir sur un titre à revenu fixe il y a trois éléments si c'est un marché obligataire les rendements sont à 5 % au fur et à mesure que l'inflation reflue, je pense que les rendements seront supérieurs à l'inflation ce qui est très positif pour les investisseurs et deuxièmement, puisque l'an dernier a été tellement difficile, une bonne partie du marché est largement en deçà du père.
Lorsque l'obligation arrive à maturité on récupère 600 $. Au niveau du rendement après impôts les titres revenus fixe sont intéressants parce que une bonne partie du revenu sera composée de capitaux et non de revenus ce qui est plus avantageux.
- Je dirais qu'il y a une chance sur six roussettes de récession de cette année ce n'est pas notre scénario de base, mais si ça que se concrétise, je prévoirai des gains en capital majeur au niveau des obligations du gouvernement. Suis-je encore une fois, ce n'est pas un pronostic, c'est une probabilité. Ce serait la troisième raison pour lesquels les titres revenus fixant intéressants.
- Voulez-vous comparer les obligations du gouvernement du Canada et du gouvernement des États-Unis?
Y a-t-il des différences envisagées?
- Oui.
Il y en a quelques-unes qu'il faut connaître.
D'abord la monnaie bien sûre.
Selon que l'échange découvert ou non s'il n'est pas couvert avec une bonne partie du rendement proviendra de la différence entre le dollar canadien américain.
Vous devez donc vous demander si vous avez des dollars américains si vous les gardez aux États-Unis c'est très bien. Mais si vous étiez affectés par le taux de champ c'est important.
Quant au rendement, les obligations des États-Unis sont cotées beaucoup moins chères que celle du gouvernement du Canada.
Vers le haut de la fourchette à long terme normalement les obligations du gouvernement des États-Unis sont cooptées plus du on n'en au premier décile dans la différence en faveur du Canada, 60 à 80 points de base rendement supplémentaire qu'on peut obtenir des bons du trésor américain.
En fait, il faut se rappeler qu'il y a le plafond budgétaire qui peut qui surviendra bientôt et qui pourrait entraîner 1; de volatilité sur les marchés des bons du trésor américain. Une belle volatilité à court terme.
Quand on part du plafond de la dette, il y a beaucoup de manœuvres politiques il y a beaucoup de manœuvres Amérique du gouvernement américain affirme les optimistes ou même irréalistes ne ferait jamais sur sa dette. Toutefois, si on arrive à des manœuvres politiques extrêmes il y a peut-être une erreur.
D'abord les marchés sont désormais stressés.
Les bons du trésor qui arrive à échéance auparavant sont cotées beaucoup plus chers que ce qui arrive à échéance après.
Les soins de défaillance pour les dons du trésor américain atteignit également des sommets.
Théoriquement il pourrait avoir une défaillance au niveau opérationnel.
La constitution interdit les défaillances, mais puisqu'il y a tellement de risque opérationnel, Kijiji de dire nous n'allons pas payer les retraites, les soins de santé mais là le risque d'une erreur opérationnelle ne peut pas être écarté. En définitive, il y aura une solution qui sera trouvée, mais quelles seront les dégâts au niveau de la confiance tant qu'ils seront kos en chemin?
- Ni l'un ni l'autre des parties ne semble disposée à parvenir à un accord.
Les démocrates vont blâmer les républicains face à un problème budgétaire les républicains vont blâmer les démocrates. Ni l'un ni l'autre n'est partie une raison de parvenir à un compromis.
Il s'agira une source d'inquiétude majeure d'ici deux mois.
- D'inquiétude, comme vous le dîtes.
Alors à court terme tandis que les taux d'intérêt sont assez élevés, quel segment de la courbe de rendement est intéressant?
- C'est une question intéressante.
Encore une fois, on en revient au scénario qui nous intéresse.
Et un niveau très simple quant au rendement total, le secteur le plus risqué de la courbe, qui sera le plus affecté s'il y a une remontée, si l'extrémité à long terme.
Si vous êtes aussi sur les titres revenus fixe que voulait prendre ce genre de risque, vous devriez envisager l'extrémité à long terme.
Mais soyons clairs: extrémité à long terme a subi une baisse de 50 % depuis 2001 donc ce n'est pas pour les timides. Mais si vous recherchez en avoir le plus pour votre argent ce serait les obligations à long terme.
- Certain en envisageant les titres revenus fixe pas suffisamment d'argent pour déployer sur les marchés pour limiter les missions du gouvernement il y a d'autres solutions.
Que voit-il savoir si on envisage les fonds communs de placement ou les titres qui sont reliés au titre un office?
- Si vous achetez l'ensemble du marché il y a d'autres sources obligations les obligations de sociétés alors actuelles, elles ont des écarts relativement serrés par rapport au contexte.
Dans un scénario d'atterrissage en douceur, ces obligations donnent de très bons résultats dans le scénario d'atterrissage brutal ce sera un peu défavorable pour votre rendement total.
- Ce serait un peu plus délicat en cas de ralentissement économique parce que les séries d'entreprises qui ont davantage de levier je pars des obligations à haut rendement.
- Les titres revenus fixant un exercice de répartition d'actifs on peut avoir des titres revenus fixe qui ressemblent à des actions et d'autre part des titres revenus fixe du gouvernement.
Il faut savoir ce que l'on achète pour que vos placements soient alignés sur vos objectifs. C'est toujours vos propres recherches avant de prendre vos décisions de placement. Michael Craig répond à vos questions dans quelques instants.
Vous pouvez nous déposer en tout temps par courriel à cette adresse courriel. À présent poursuivons la découverte de courtier Web.
- Nous sommes en pleine saison d'annonces de bénéfices.
Si vous voulez savoir quelles ont été les résultats d'une entreprise pendant le dernier trimestre, courtier Web vous propose des outils. Nugwa Haruna est formatrice à la gestion TD.
- Les compagnies sont tenues de publier leurs états financiers. Ces états financiers sont publiés chaque trimestre ainsi qu'à la fin de l'exercice financier.
Les investisseurs peuvent trouver sur courtier Web trois documents financier: le bilan, l'état des revenus et l'état des flux de trésorerie.
Voici comment ces états financiers peuvent être trouvés sur courtier Web. On clique recherches et puis sous la rubrique placement sur action.
Vous pouvez afficher la compagnie qui vous intéresse et vous cliquez ensuite sur l'onglée donnée fondamentale puis sur états financiers.
Si vous recherchez les états financiers trimestriels, vous cliquez sur intérim et si vous recherchez des états financiers annuels devez vous cliquer sur annuel.
Parlons un peu de ces différents états financiers.
Commençons par l'état des revenus ou l'état des profits et pertes.
Il donne une idée des résultats financiers d'une entreprise pendant une période donnée.
Ensuite il y a le bilan il s'agit de l'état de la faire valeur nette de la compagnie qui donne aux investisseurs une idée des actifs de l'accompagner c'est-à-dire ce que possède de son passif c'est-à-dire ce qu'elle doit et de la différence l'avoir des actionnaires.
Enfin, il y a l'état des flux de trésorerie.
Celui-ci donc donne aux investisseurs une idée de la manière dont la compagnie gère sa position de trésorerie. La compagnie peut-elle servir sa dette peut-elle financer ses propres opérations?
On demandera mais comment cela est-il pertinent pour moi en tant qu'investisseur? Comment utiliser ces informations?
- C'est là où l'idée d'analyse de ratio entre enjeux.
Il s'agit de prendre l'information de ces états financiers et de les comparer sur une base d'industrie et entreprise par entreprise. Si vous voulez réaliser notre relevé entre vous pouvez cliquer sur l'onglet comparaison sectoriel.
Nous allons nous intéresser à un ratio aujourd'hui.
Le ratio de trésorerie.
Il s'agit d'une mesure de liquidité qui donne aux investisseurs une idée de la mesure dans laquelle une compagnie peut satisfaire son passif à court terme c'est-à-dire les dettes qui arrivent à échéance d'ici un an en utilisant des actifs à court terme c'est-à-dire qui peuvent être liquidés d'ici un an.
On peut comparer le ratio de l'entreprise par rapport à celui de l'industrie. Si ce ratio de trésorerie ou ratio actuel est semblable à celui du secteur, cela signifie que la compagnie peut satisfaire ses obligations. À en revanche, si le ratio actuel est inférieur à la moyenne de l'industrie, cela pourrait signifier que la compagnie présente un risque élevé de défaillance ou pourrait se trouver en situation financière délicate.
Quand vous consultez les états financiers ou que vous réalisez des analyses de ratio, courtier Web vous propose un certain nombre d'outils qui vous permet d'alimenter votre stratégie de placement.
- Nugwa Haruna informatrices placement directes TD. Ne manquez pas de visiter le centre d'apprentissage de courtier Web vous trouverez encore plus de ressources.
Je vous rappelle comment nous vous posez vos questions.
Avez-vous une question sur les placements ou encore sur les marchés?
Vous pouvez nous la poser, soit par courriel à cette adresse courriel, soit dans la boîte de questions au bas de votre écran.
Il suffit de cliquer sur envoyer. Nos invités pourraient vous répondre en direct.
- Michael Craig chef de la répartition d'actif TD répond à vos questions sur la répartition d'actifs.
Cette question vient de nous arriver. Les Canadiens doivent-ils s'inquiéter des difficultés du secteur bancaire aux États-Unis.
- Je donnerai une réponse triple.
D'abord, il y a 6000 banques régionales aux États-Unis.
C'est un secteur très fragmenté.
Ce ne sont pas les banques J.P. Morgan Bank of America ce sont des banques régionales des modèles d'affaires très simples.
Elles reçoivent des dépôts et prêt aux entreprises locales. Ce sont des modèles bancaires simples et rudimentaires.
Très souvent, ces banques disparaissent il y a des faillites tout le temps.
Les déposants américains sont garantis à hauteur de 250 000 $.
Les Canadiens qui passent une partie de l'année aux États-Unis, doivent se rappeler que leurs dépôts sont assurés à hauteur de 250 000 $ mais qu'il y a toujours un risque lorsqu'on fait affaire avec des petites banques régionales.
- En tant qu'investisseur canadien, nos banques sont très différentes et ce sont des banques qui s'occupent de gestion de patrimoine d'assurance de services bancaires, qui sont donc très diversifiées.
Le risque financier peut exercer une certaine pression sur notre secteur, mais il n'y a pas de comparaison notre secteur bancaire est beaucoup plus prudent et les bilans de sont beaucoup plus saints.
- Le fait qu'il y ait des difficultés dans un banque des banques aux États-Unis ne signifient pas qu'il y aura des six difficultés au secteur bancaire canadien.
Bien sûr, si on niveau mondial les conditions bancaires se resserrent il y a un stress, mais notre secteur bancaire à la suite d'un choix, consiste en une poignée d'établissements plutôt que d'une masse d'établissements plus faibles.
Historiquement, c'est un modèle qui semble être le bon.
Je ne m'en inquiète pas à vrai dire, mais il est important de situer la question dans son contexte selon l'exposition que l'on a aux banques régionales américaines.
- L'une des analystes comparait les plus intéressantes au niveau des banques américaines, c'est que nous cherchons à resserrer la situation à ralentir l'économie et cette crise pourrait faire une partie du travail de la fête en ce qui concerne la disponibilité du crédit aux États-Unis.
- Tout à fait.
La Fed n'aurait peut-être pas être aussi ferme que prévu.
L'enquête de la fête auprès des responsables des prêts va sans doute révéler qu'il y a un resserrement notable et c'est la croissance du crédit. Qui diminue ça va donner un coup de frein aux investissements. La question est de savoir dans quelle mesure il faut qu'il y ait des dégâts économiques réellement que l'inflation du reflux.
Avec les conséquences sur la croissance et le resserrement des conditions monétaires, il y a donc un ensemble de facteurs.
- Prévoyez-vous un atterrissage brutal ou en douceur?
- Nous sommes positionnés pour les deux.
Il y a certains aspects pour du contexte actuel sont menaçants.
L'immobilier commercial aux États-Unis est en difficulté, les conditions de crédit se resserrent.
Nous vivons dans un monde très endetté nous ne sommes pas des anges dans les années 80 où l'endettement était très faible.
Il s'agit d'une situation où… le FMI pense que si la croissance mondiale diminue à 1 % ce serait une récession assez sévère et le FMI affirme qu'il y a une chance sur six ou sept que cela se produise.
En revanche, il n'y a pas de déséquilibre énorme et évident.
On ne peut pas dire par exemple qu'il y a toutes sortes de capitaux qui se sont accumulés dans un secteur voué à l'effondrement, comme l'immobilier résidentiel aux États-Unis dans les années 2000.
On ne peut pas dire qu'il y a beaucoup d'investissement qui a été consacré des actifs non productifs.
- Nous pensons qu'il aura peut-être une récession cette année, mais ce ne sera pas une récession brutale avec une crise du crédit comment 2008.
Mais je pense que ce n'est pas une impossibilité.
Je ne vous donne pas de réponse précise, mais c'est une question de probabilité il faut créer des portefeuilles qui ont tendance à bien se comporter dans une série de scénarios différents à l'heure actuelle, nous nous comporterons bien dans l'un ou l'autre de ces scénarios.
C'est ainsi que nous nous sommes préparés.
Dans le cas d'une banque centrale en cas de récession grave, il y aurait coupure de taux.
Est-ce que la banque pourra le refaire après ce qu'il a fait en 2020?
- Si nous nous trouvons dans un environnement de stagflation, ce serait effectivement le risque.
Nous nous sommes tellement habitués à ces marchés en V ou il y a un effondrement, et puis les banques centrales prennent les mesures d'assouplissement et le marché remonte.
Beaucoup de gens ne sont pas préparés à marcher qui pendant deux ans un marché qui pendant deux ans faits du surplace.
Nous avons déjà entamé cette période depuis quelques mois. Nous ne prévoyons pas une trajectoire en V, mais plutôt une période de surplace.
Je ne serais pas étonné que les bourses soient dans des bois au point où en lisant sont aujourd'hui peut-être après une période de volatilité.
Tandis que nous avons vécu une correction il y a deux types de correction la correction niveau des prix est aussi correction au niveau du temps où les marchés font du surplace pendant deux ans avant de remonter.
C'est ainsi que nous prévoyons les 12 mois à venir.
Ce serait plutôt une période de surplace.
- Une autre question: inquiétude à l'écart de la dé dollarisation si les pays s'éloignent du dollar américain un récent accord commercial entre la Chine et le Brésil.
- J'ai vu des arguments de part et d'autre du scénario de la dé dollarisation.
Je pense que ce n'est pas probable avec la guerre en Ukraine, et des mesures que lever les mesures que les Américains ont prises a été d'utiliser le dollar comme une arme.
Et le réseau Swift de transfert d'argent pour exclure la Russie.
Les pays se rendent compte que s'ils ont des ennuis politiques avec les États-Unis, cela peut se retourner contre.
Il y a donc des raisons de s'éloigner des États-Unis.
C'est plus facile à dire qu'à faire, si nous faisons un échange commercial, on peut faire le troc il y a certaines relations bilatérales par exemple entre l'Arabie Saoudite et la Chine la Chine a besoin du pétrole saoudien et l'Arabie Saoudite de la technologie chinoise.
Cela facilite les échanges hors du système du dollar.
La tendance est vraisemblable mais qu'est-ce que cela signifiera à l'heure actuelle que dans la plupart des endroits au monde à un moment donné à une période où le dollar est moins accepté dans d'autres pays que dans l'autre je ne sais pas vraiment mais ce n'est pas un scénario le dollar va descendre à zéro tout moment sur le tout se fait en dollars américains remplacés et nous allons sans doute aborder une période où il n'y a pas de superpuissance économique où il y aura des échanges dans diverses modèles.
Mais c'est un thème qui se déroulera au-delà de ma carrière de la vôtre il faudra beaucoup d'années pour que cela se réalise.
- Une autre question: que pensez-vous des fiducies de revenu immobilière?
Les immeubles de bureaux sont-ils en danger?
- On n'en parle beaucoup.
Les lundis et le vendredi, le métro n'est jamais bondé.
Tout d'abord, ce ne sont pas les revenus et qui se spécialise dans les bureaux.
Didier FAR est spécialisé dans les bureaux s'en est une autre.
Notre approche a toujours été de diversifier.
Le secteur industriel et le secteur de bureaux se porte moins bien.
Le taux d'inoccupation dans les bureaux à Toronto et de 17 à 18 % et à Calgary encore plus cela va entraîner un stress sur le marché aux États-Unis, il y a eu un ou deux grands investisseurs qui ont simplement abandonné des immeubles et je pense qu'il faudrait que les choses se détériorent gravement ici avant que nous est-ce n'assistions ce genre de phénomène.
- Mais le scénario ou le secteur de l'immobilier de bureau fera du surplace pendant quelque temps, je pense que les entreprises n'ont pas encore décidé exactement dans quelle mesure le travail se fera au bureau à domicile.
Donc le métro ne sera peut-être toujours pas bondé les lundis et vendredis dans un nom peut-être pas.
Est-ce qu'il y aura davantage de travail hybride au moins?
- Je pense qu'il y en aura sans doute moins, mais à court terme ce sera difficile pour ce marché.
- J'aime beaucoup quand les wagons ne sont pas bondés.
Michael Craig répond à vos questions se fait toujours vos propres recherches avant de prendre des décisions de placement.
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En parlant d'immobilier commercial, il y a des inquiétudes qui vont grandissants et les taux d'inoccupation de resserrement des conditions de crédit Anthony Okolie comment un nouveau rapport des services économiques idée qui expliquent pourquoi un revirement du marché immobilier de bureau est peu probable.
- Selon services économiques TD, les données fondamentales du marché immobilier de bureaux États-Unis demeurent médiocres.
Les taux d'inoccupation ont dépassé le pic de la grande crise financière pour atteindre un sommet de 13 % le trimestre dernier.
Services économiques idée montrent que l'occupation de bureaux dans 10 grandes agglomérations aux États-Unis est toujours inférieure de moitié au niveau pré pandémie.
La situation n'est pas équivalente sur plusieurs marchés, ceux de Miami et de Tampa Bay ne se sont plus porteurs grâce à l'afflux d'entreprises pendant la pandémie toutefois, l'impact de la pandémie a été ressenti beaucoup plus durement dans d'autres zones comme San Francisco et Seattle où les taux d'inoccupation sont au double et au triple du niveau pré pandémie que respectivement.
Ceci a un fort impact sur les loyers de bureaux qui ont à peine progressé d'un pour cent seulement depuis le début de la pandémie.
Le resserrement des conditions de prêt nuise également à l'activité de transaction et le volume des nouvelles transactions de bureaux est le moins élevé depuis le quatrième trimestre de 2009.
Services économiques TD ne prévoient pas de revirement pour le secteur de l'immobilier commercial de bureaux, l'une des raisons en est et on a parlé aujourd'hui, c'est que le travail à distance persiste.
Environ 30 % de la semaine de travail de cinq jours se passent hors de l'environnement traditionnel de bureau.
Il y a quelque 60 millions de pieds carrés de nouveau bureau qui vont être inaugurés aux États-Unis d'ici la fin de l'année, saturant encore le marché.
On estime que 150 milliards de dollars de dette immobilière de bureaux dus à des banques arrivant à échéance d'ici un an.
Si on associa cela le resserrement des conditions de crédit et le fait que ces vont être renouvelé à des taux beaucoup plus élevés cela accroît la probabilité qu'il y aura une hausse de défaillance sur les prêts hypothécaires commerciaux d'ici un an.
Services économiques TD ne prévoient pas de revirement si longtemps.
- En ce qui concerne le stress sur les secteurs boursiers parmi les banques régionales aux États-Unis, le secteur de l'immobilier commercial est très important dans ce domaine. La fête, à la mise en place un programme de financement des banques en difficulté et les données hebdomadaires de la Fed montrent que les banques auprès d'urgence demeurent élever et affichent même une tendance modérée à la hausse depuis quelques semaines.
Toutefois, ce Re: au pic enregistré au mois de mars mais services économiques TD signalent que les signes de stress récents qui se sont exercés sur les banques continuent de persister.
Anthony Okolie à présent un coup d'œil sur les marchés.
- L'indice TSX composite inaugure la semaine et le mois de mai en hausse de 70 points un tiers de pour cent.
Le secteur minier progresse (mot en anglais) est en hausse d'un peu plus de 3 % à quatre dollars tout juste l'action.
Il y a une certaine faiblesse dans le secteur du bois d'œuvre Intersport nous remonte un peu après le creux du début de la séance, mais toujours en recul de un tiers de pour cent 21,18 $ l'action. L'indice S&P 500 instantanée des marchés américains progresse de 14 points soit un tiers de pour cent.
La Fed fait une annonce mercredi et aujourd'hui c'est le congé du 1er mai en Europe.
L'indice Nasdaq était en baisse on y début de session est inchangé de 0,01 % en hausse.
J.P.
Morgan fait la les manchettes aujourd'hui à 142 $ l'action le titre progresse de plus de 3 %.
- Michael Craig chef de la répartition d'actifs répond à vos questions sur la répartition d'actifs.
Est-ce que vous prévoyez que les entreprises vont relever les dividendes?
- Une question chez générale, oui il y en aura certains qui vont relever les dividendes cette année.
Il y en a qui augmente leurs dividendes chaque année.
Je pense que la croissance des dividendes va malgré tout ralentir.
Puisque la croissance des bénéfices sera selon nous négatif cette année.
Par ailleurs, le lorsque les entreprises songent leur flux de trésorerie excédentaire, et pourrait commencer à envisager des remboursements de dettes puisque le coût du financement est beaucoup plus élevé qu'il ne l'était.
Il y a donc davantage de raison de se désendetter.
Donc je ne serai pas trop petit et optimiste quant à la perspective eau généralisée des dividendes d'ici 12 mois.
Dans un environnement comme celui-ci c'est compréhensible.
- Avant de nous quitter, il y a tellement de facteurs en jeu, nous sommes en pleine saison des baies annonces des bénéfices il y a là l'annonce prochaine de la fête.
En quoi les investisseurs doivent-ils songer à court ou moyen terme?
- À court terme, je surveille de près ce qui se passe au gouvernement américain.
Ça compte beaucoup.
À l'approche du deuxième trimestre et du deuxième semestre, il y a aura il y aura la possibilité de ralentissement.
Le secteur manufacturier présage une certaine contraction, pas le secteur des services.
L'incertitude est très élevée les investisseurs sont plongés dans la confusion.
Il faut surveiller les données économiques s'il y a un recul de l'économie, une récession est peu probable.
- Voilà à quoi nous nous intéressons d'ici trois à 12 mois.
La confusion, l'actualité mouvementée au niveau du gouvernement américain, c'est un moment où il faut avoir une stratégie à laquelle on croit est une discipline fondamentale afin d'éviter la panique.
- Oui.
Parlons de diverses façons de perdre beaucoup d'actes d'argent.
Vous perdez beaucoup d'argent que vos investissements font faillite.
Si vous les investissez à plus long terme, il y a des hauts et des bas.
Mais tant que vous n'avez pas de perte de capitale permanente, tout a tendance à bien se décanter.
Je m'intéresserais donc surtout à la qualité des entreprises qui vont vraisemblablement se consolider et se renforcer pendant les périodes comme celle-ci et qui ont tendance à développer leur activité en reprenant des concurrents plus faibles.
Il faut privilégier la qualité dans un portefeuille de compagnie qui augmente constamment leurs dividendes.
C'est un excellent indice de valeur à long terme pour les actionnaires.
Voilà où j'investirais à l'heure actuelle plutôt que dans les secteurs plus marginaux qui vont sans doute disparaître d'ici un ou deux ans content tenu de la conjoncture.
- Ça me fait toujours plaisir de vous recevoir Michael Craig.
Il est chef de la répartition d'actifs en gestion d'actif TD.
C'est toujours vos propres recherches avant de prendre vos décisions de placement.
Reste à l'écoute demain quartier ou de va répondre à vos questions sur les actions de technologie.
Vous pouvez nous déposer d'ores et déjà par courriel à cette adresse courriel.
Merci et à demain!